Stator. Rotor. Structure et modèles des convertisseurs électromagnétiques. Structure et modèles des convertisseurs électromagnétiques.
|
|
- Emmanuel Cloutier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Plan Machines synchrones avec et sans aimant permanent Machines à réluctance variable 1 Machines synchrones avec et sans aimant permanent Même démarche de dimensionnement : stator dimensionnement en D 2 L rotor en continu donc f=0 et P fer =0 couple Γ e ω s = 3V.I.cosϕ.η Machine à rotor bobiné Machine à pôles lisses :entrefer ε=cste Peu de différences avec une machine asynchrone sauf rotor bobiné en courant continu et que la fmm rotor peut sur ou sous excité la machine selon ϕ de charge. La magnétisation principale est rotorique à forte constante de temps τ r et contrebalance la réaction d induit (statorique à τ s faible) qui peut aussi être magnétisante (intérêt en commande vectorielle) Stator Rotor Exemple type turbo alternateur 2 1
2 Calcul de la f.e.m. à vide c est à dire E v (J) Méthode : la même que pour le calcul de X m de la MAS mais en remplaçant I µ (courant à vide traversant X m ) par J. Partir de V E Φm/pôle ΣHl=N r J un point de E v (J) Nota : ne pas oublier Φ fuites rotor Calcul de J excitation en charge c est à dire N f.j max pour charge fixée A) si ni saturation ni fuite Behn Eschenburg R s X d I Sur une phase, en moteur : Φ s crée par I stator. Ev(J) X d se calcule à partir de B(θ) donc fmm(θ) due aux trois phases Φ / phaseω X d = I 3 V B) si saturation et fuites Potier λ : fuite stator E R : fem résultante de i R avec : Rs λωi I r r r i R = J + αi ER(J+ αi) V Réel rotor Réaction d induit Exemple en moteur avec ϕ avance : J αi ir ϕ I V ER EV λωi Rs.I 4 2
3 Terme fondamental de la force magnétomotrice /pôle au stator ramené à l excitation : 4 π 3 N skbsi = αi 2p 1 2N rkbr 2 p Fmm 3ϕ /pôle stator= fmm/pôle rotor avec I 2 k bs : Coefficient bobinage stator N s : nombre de spires par pôles et par phase stator k br : Coefficient bobinage inducteur N r : nombre de spires par pôles et par phase inducteur 5 Détermination des éléments α et λ On mesure R On relève à la vitesse nominale : La caractéristique à vide E(J) avec ici J courant excitation La caractéristique en court-circuit Icc(J) un point en déwatté c est à dire débit de l alternateur sur récepteur très inductif. On mesure I dw, J dw, V dw (doit permettre d être au delà du coude de saturation) r E r r r r = V + RI + jλi En court-circuit En déwatté E r λi E r V + λi J J r + αi J J r + αi Relations algébriques J r correspond sur la caractéristique à vide réelle au courant d excitation pour E r. 6 3
4 Si de M(J dw,v dw ) on fait une translation horizontale de -αi dw, on passe en S de coordonnées (J dw -αi dw, V dw ). Si de S on fait une translation verticale de λi dw, on va en T de coordonnées (Jrdw, V dw +λi dw =Er dw Le point T pour lequel la fem E r est celle correspondant au courant d excitation Jr sur la caractéristique à vide mais sans savoir où. On pointe sur l axe à tension nulle le point M tel que OM soit égal au courant d excitation qui en court-circuit donne un courant I cc dans l induit égal à I dw. 7 Si de M on fait une translation de -αi dw, on passe en S de coordonnées (J cc -αi cc =J rcc,0). Si on fait une translation de λi dw, on passe de S à T de coordonnées J rcc,0+λi cc =E rcc T est sur la caractéristique à videsur la partie linéaire mais on ne saît pas où. Or I cc = I dw donc M S =MS et S T =ST Si on translate la construction faite à partir de M de manière à ce que M vienne en M, OM devient O Met OX devient OX. La double translation MS puis ST doit amenr sur E(J) et la double translation M S =MS et S T =ST doit amener sur OX. On doit donc e trouver sur l intersection. 8 4
5 Construction On pointe sur M. On porte MO par une translation horizontale à -J cc (courant d excitation qui en court-circuit donne I cc =I dw ). On trace OX parallèle à la tangente à l origine à la caractéristique à vide. L intersection de O X avec E(J) donne le point T et donc SM α= I dw ST λ = I dw 9 Machine à pôles saillants Entrefer variable, avec ou sans saturation + fuites Blondel - théorie des deux axes Notons Ψ le déphasage de I en arrière de E J. L axe de la fmm E I est alors décalé de π/2+ψ en arrière de E J D -π/2 0 π/2 axe Q Ψ axe D axe Q Décomposition de la fmm sur les deux axes- Réaction d induit en alternateur -π/2<ψ<π/2 10 E J E d E s E q E d E q = E s E d = E E q cosψ Ψ sinψ s E s Q 5
6 Q D D Π/2 électrique N S Q iex 11 Pour une phase stator : Φ rd du au courant résultant longitudinal J rd =J+αIsinΨ (axe D). On a : E rd = E sd + E J Φ q du au courant transversal k α IcosΨ (axe Q) Φ T du au courant résultant J T. En alternateur E c = V + Rs. I = jλωi + Eq + E et E E E V R j I rd q + rd = T = + ( s + λω) E sd Φ v E v(iv) axe D E s Ψ E sq Ev axe Q 12 6
7 axe D Jv αi Jrd Φq ΦT Φrd JT ϕ θ Ψ Erd V A ET R.I Ev axe D C Eq B λ.i I ψ = θ + ϕ θ angle interne entre E v et V. 13 Noter que Φ T n est pas en phase avec J T à cause des perméances d entrefer différentes. On passe de E rd à J rd comme de J ex à E v par E v (J ex ). A J excitation sur axe D correspond E v sur axe Q On pose : E q = jx I cosψ= jx aq aq I q X + λω = X aq q Erd = jx ad I sinψ = jx ad I d S il n y a pas saturation, en alternateur Sur axe D Φ rd = Φex + Φ d X + λω = X V + RsI = jλωi + Eq + Ed + Ev = jλωi jx adid jxaqiq + Ev E v = V + RsI + jx did + jxqiq rd ex 14 ad E = E + E d d Diagramme des deux réactances synchrones 7
8 Schéma équivalent par phase = 1 par axe Axe D Id Rs λω Vd=Vsinθ Xad Ev 15 Enroulement rotor ramené au stator R'r x'rf Jexcitation Vexcitation + amortisseurs axe D On remplace l amortisseur réel à cage généralement par deux circuits équivalents. Ils n interviennent que pour les subtransitoires car constantes de temps très faible R"d x"d 16 8
9 Axe Q Iq Rs λω Vq=Vcosθ Xaq + amortisseurs axe Q R"q x"q 17 Le calcul de X ad et X aq se fait comme pour le calcul de X m pour une machine asynchrone. Ou plus simplement par le calcul de la fmm E s que l on décompose en E d et E q et que l on compose avec la perméance P (θ s ) selon chaque axe. Avec E (θ s ) => Φ d et Φ q par pôle => Ψ d et Ψ q par phase et on ajoute les fuites λω aux X ad et X aq. Calcul de la fmm triphasée en régime non saturé avec entrefer ε=cste pour tout θ Hyp : 1 seul conducteur par pôle et par phase avec une seule phase alimentée Fm m (C) π/2 A 0 π/2 A pθ 18 9
10 Sur (C) entourant conducteur ε. ( H 1 + H2) = J 2 = Fmax Conservation du flux par pôle Le fondamental est obtenu en multipliant par 4/π 2. J Fmax 1 Φ1 = Φ2 H1 = H 2 H = = 2ε 2 ε En triphasé avec N s spires en série par phase et pour 2p pôles et k bs 1 4 Fmax N skbs 1m = F π 2 2p F F 4 m max 1 = cos pθ s π 2 θs Angle électrique cospθ s Et le flux par pôle : Φ m = 2 π / 2 0 B1 m ds avec F B µ µ m m H 1 1 = 0 1m = 0 ε D D ds = Lu.. dθs = Lu. d 2 2p ( pθ ) s 19 Soit 3 Φ m1 = π µ 0. Lu. D 2J N skbs ε. p2 Pour une phase, on a N s k bs spires (et 2p pôles) par où passent Φ m1 3 µ. Lu. D m1. s bs. 2 s bs π ε p 0 Flux par phase Ψ = Φ N. k = 2J ( N k ) 2 m1 Ψm1 3 µ 0. Lu. D L = = 2J π ε. p2 ( N k ) 2 s bs µ 0. Lu. D X = Lω = 6 f N. 2 s k bs ε p ( )
11 Calcul de la fmm triphasée en régime non saturé avec entrefer ε non constant pour tout θ Sur un pôle, ε = ε 1 pour π π β pθ β 2 2 et ε = ε 2 ailleurs. Soit : Sur axe D B ad b fondamental 1 X = X ap β τ = p = p La distribution de B est : F. cos B( θ s ) = µ 1 0 ε s ( pθ s ) ( θ ) = B 1max précédant. k '. k' d ( β ) ( β ) d Fmm βπ/2 0 π/2 ap βπ/2 π/2 π/2 βπ/2 τp B2max 0 ε1 βπ/2 ε2 B 1max dans l'axe du pôle D pθ pθ 21 Fmm Sur l axe Q ε1 On place la fmm de l axe Q. On multiple par µ 0 /ε(θ) pour avoir B(θ s ) et on calcule le flux par pôle. On trouve π/2 βπ/2 0 ap βπ/2 π/2 τp ε2 pθ X aq = X précédant. k' q ( β) 0 βπ/2 π/2 π/2 βπ/2 pθ k d et k q dépendent de la forme de l entrefer
12 Calcul des performances En régime permanent Pas d amortisseur et le rotor est ouvert (par rapport aux enroulements stator car Φr constant). On utilise le diagramme ou le schéma équivalent pour avoir les performances sur les axes D et Q En régime transitoire Le stator est complet et le rotor considéré en court-circuit sur lui même via l alimentation continue En régime subtransitoire On tout avec rotor en court-circuit sur lui même et amortisseurs. 23 Machine à aimant permanent Problèmes à résoudre 1. Trouver E v à vide (I s =0) avec aimant permanent seul. E v (Φa aimant ) 2. Trouver les réactances X à partir de I non nul fmm stator seule sans aimant si pas de saturation 3. Déterminer les performances à partir des diagrammes 24 12
13 Rappel sur les Aimants permanents Les aimants permanents sont des matériaux saturables à très forte hystérésis. Ils sont appelés "durs" par opposition aux matériaux ferro et ferrimagnétiques à cycle étroits appelés encore "doux". Les premiers aimants étaient constitués d'alliages à base de Al, Ni, Co, Fe dits "Alnico" moulés à haute température et soumis à des traitements thermiques complexes. Refroidis sous fort champ, ils deviennent magnétiquement anisotropes avec de meilleures propriétés magnétiques dans le sens de cette induction imposée. S'ils sont laissés isotropes leurs propriétés sont moins bonnes. Sont apparus ensuite les ferrites qui sont des céramiques agglomérées sous pression, à base de poudre (Fe 2 O 3 )MeO. Le métal Me, pouvant être Cu, Mn, Zn, Ni, Co, Ba etc... Les plus répandus sont à base de Mn et Zn ou de Zn et Ni. Ils peuvent être isotropes ou non également et sont surtout intéressants par leur forte résistivité (typiquement 1 m). Les ferrites constituent la classe la plus importante des matériaux ferrimagnétiques. 25 Les matériaux magnétiques sont constitués de volumes magnétiques élémentaires dit domaines de Weiss liés à la structure du matériau et crées par le champ moléculaire qui oriente les moments magnétiques de leurs atomes voisins dans une même direction. Un tel domaine est représenté par son moment global sous forme d'une simple flèche. Spontanément les domaines de Weiss s'orientent de façon quelconque, séparément, ou en s'appariant deux à deux mais en sens inverse. Dans ce dernier cas les moments sont égaux ou non. Sous l'action d'un champ extérieur ces domaines s'orientent en plus ou moins grand nombre dans le sens de H, d'où la classification qui nous intéresse (figure 1.15). r r H H r H ferromagnétisme antiferromagnétisme ferrimagnétisme Figure Structure schématique des matériaux ferro et ferrimagnétiques Enfin les derniers matériaux durs apparus sont à base de "terres rares" du tableau de classification périodique des éléments et principalement les alliages samarium-cobalt(sm x Co y ) et fer neodyme bore (Fe x Nd y B z )
14 Utilisation et fonctionnement d un aimant permanent On utilise un aimant comme source de flux en l'insérant en série dans un circuit magnétique. Si on considère le circuit simple de la figure 1.16 où l'aimant est défini par sa géométrie (section Sa, longueur la) et sa caractéristique Ba(Ha) et le circuit, supposé sans fuite, par une partie fer à perméabilité infinie et un entrefer (Se, le). aimant (C) φ a shunt entrefer µfer Figure Utilisation d'un aimant permanent. 27 Le problème consiste à trouver B a et H a dans l'aimant et B e, H e dans l'entrefer où l'on utilise l'induction B e. Le théorème d'ampère appliqué au contour moyen (c) donne : Ha la + He le = 0 (1.16) en supposant Ha et He dans le sens du flux φa de l'aimant. Les caractéristiques des matériaux : Ba(Ha) de l aimant et Be = µ 0 He de l'air fournissent les équations nécessaires pour trouver les quatre inconnues. Compte tenu de ce que Ba(Ha) n'est pas explicite, on élimine Be et He des trois autres équations pour obtenir une seconde relation Ba(Ha ) qui permet de résoudre graphiquement dans le plan (Ba, Ha). B a S e la H P l a = µ S l S H 0 ( ) a = e a = P. R µ H a e a e a a a 28 14
15 Cette équation est celle d une droite (D), dite d'entrefer qui donne accès à B a, H a et donc à B e, H e. Elle se situe dans le second quadrant de B a (H a ) (figure 1.17) et on peut remarquer que H a est toujours négatif ce qui lui vaut le nom de champ de désaimantation et on caractérise alors l'aimant, par la partie du cycle dans ce second quadrant et correspondant à la valeur du champ rémanent B r la plus grande possible (cycle à saturation). Le cycle est uniquement caractérisé par B r et H c et les aimants "travaillent" donc à induction variable lorsque la droite (D) varie du fait de la variation possible de la géométrie de l'entrefer. Lorsqu'à partir d'un point de fonctionnement M, défini par l'intersection des caractéristiques du circuit et de l'aimant, si (D) vient en (D'), sous l'effet d'une augmentation de l e par exemple, M passe en M' sur B a (H a ). Si l'on revient en (D) par un retour à la valeur initiale de l e, M' vient alors en M'' sur un cycle mineur, assimilable à une droite de pente égale à celle de la tangente en B r à la caractéristique B a (H a ). Ces droites sont appelées "droites de recul". Si (D) revient en (D') alors M'' revient en M' et si (D') se couche sur l'axe des champs sous l effet d une forte augmentation de l e par exemple, M' suit la caractéristique jusqu'en H c, mais si l'on revient ensuite à (D) B a = est très faible. On dit que l'on a désaimanté l'aimant ( démontage du circuit magnétique dans lequel est inséré l'aimant ). 29 B (D) M B r Ba (D') M' M'' B a '' B a '' H c H Figure Droite d'entrefer d'un circuit à aimant et point de fonctionnement de celui-ci
16 B(T) 1,5 (1) 1 (3) (2) 0,5-600 (4) H(kA/m) (1) Alnico anisotrope (2) Alnico isotrope (3) Ferrite anisotrope (4) Ferrite isotrope (5) Smx CO y Figure Caractéristiques de divers aimants permanents. 31 Force magnétomotrice équivalente d'un aimant En supposant que la caractéristique Ba(H a) soit linéaire, et donc d'équation : B B a = µ 0 (H c+h a) = µ 0 Ha+Br Dans la réalité on a B a = µ a (Hc+Ha) avec µ = a a µ 0 Ha l a S e La droite d entrefer d'un circuit tel que celui de la figure 1.15 s écrit B l S H a = µ 0 a en combinant ces deux dernières équations on obtient B a P l a Ba = e ( Hc ) S d'où B P l P H l a c a a ( 1+ 1 e ) = e soit avec φ a = Ba Sa, on a φ a (1 + Pe Ra) = Pe Hc la soit φ (R e+r a) = Hc la Sa µ 0 Sa On obtiendrait la même équation pour un même flux avec un circuit géométriquement identique et de mêmes propriétés magnétiques mais sans aimantation de l'aimant et avec une bobine d'excitation de f.m.m. F = Ni = H c.l a f.m.m. équivalente de l'aimant. On peut donc donner un schéma équivalent d'un aimant sous la forme série ou sous la forme parallèle selon la figure Bien noter que la longueur l a est celle comptée dans la direction de H a. a µ 0 e a 32 16
17 φ r = Br.S a Ra φa Fa = Hcla Pa Figure Schémas équivalents d'un aimant permanent. 33 Application à une machine Pour trouver B(θ s ), on considère pour a p =120 et ε=cste Aimant la Ferrite π la Sa = D εhes L fer Φa 3p 2 N ( D 2ε Darbre ) la = A xe symétrie 2 Entrefer S Fuite 1 ε R hes g = Par pôle µ 0 Sg 1 π Sg = ( D ε ) + 2ε [ + 2ε ] 3 L fer p Pour tenir compte épanouissement du flux de l aimant permanent dans l entrefer et ux extrémités de la machine 34 Sa Dans fer, on suppose µ infini. 17
18 Circuit électrique équivalent à vide pour trouver B(θ s ) du à l aimant sur le trajet du flux aimant entrefer culasse (voir figure précédente) R g Φg/2 Φg (entrefer) Φf/2 Hc.la R f/2 R a R f/2 Φa (aimant) Φg/2 Φf/2 (fuite) Axe symétrie Slide6a_01.drw 35 ou R g Φg/2 (entrefer) P f/2 Φf/2 Φa Φg Φf/2 (fuite) P f/2 Φg/2 Φ r P a (aimant) Axe symétrie 36 18
19 Exemple : moteur brushless (sans balais et avec commutation électronique de l alimentation) [Lajoie] M. Lajoie Mazenc, «Structure, alimentation et commandes des machines à aimant», 3EI95 Les moteurs synchrones et leurs applications industrielles Brushless DC Alimentation par créneaux de courant ou de tension. 1er cas : a p =τ p c est à dire π électrique + alimentation triphasée par créneaux de 120 2ème cas : a p =2.τ p /3 c est à dire 2π/3 électrique + alimentation triphasée par créneaux de 180 en connexion triangle ou 120 si connexion étoile Les machines produisent un couple constant en moyenne et quelque soit la fréquence si la commutation est parfaite par interaction de B rotor et B stator en créneaux (d où enroulements plutôt concentrés au stator) qui tornent pas pas de 60 pour avoir un recouvrement spatial de 120 des ondes. Elles ont des propriétés de machine à courant continu c est à dire : Te = k.φ a. I et E v = k.φ a. ω r En fait les créneaux ne sont pas parfaits. Ce sont plutôt des trapèzes d où le nom de machine à fmm trapézoïdale. 37 Principe de l alimentation en créneaux 38 19
20 Brushless AC On cherche des ondes sinusoïdales. B a (θ s ) est quasi sinusoïdal. L alimentation en courant ou en tension est sinusoïdale d où enroulement stator distribué avec raccourcissement pour avoir B s (θ s ) aussi sinusoïdale. Elles ont les propriétés des machines synchrones normales : même performances, même diagrammes avec les deux cas de figure ε=cste ou pas Intérêt d une machine brushless Vitesse variable : économie d énergie, transitoires adoucis, contrôle de position, vitesse Avantages : pas de balais donc entretien réduit et accroissement durée de vie, vitesse élevée et plage étendue, dynamique et rendement élevé, refroidissement plus facile, autosynchrones Inconvénient : investissement plus grand (alim, capteur, commande), fiabilité des éléments plus nombreux, désaimentation possible 39 Structures Machine à induit et inducteur réparti Chaque pôle nord et sud possède son propre système de production de flux. Les conducteurs de l induit peuvent être placés dans des encoches ou directement dans l entrefer
21 Inducteur Inducteur sans pièce polaire Inducteur avec pièce polaire 41 => X ad < X aq Inducteur avec pièces polaires et concentration de flux 42 21
22 Exemple de machines à phases juxtaposées 43 Machine à induit centralisé Les pôles nord et sud au niveau de l induit sont produits au moyen d une bobine uniqueet un circuit magnétique ramifié 44 22
23 45 Machine à inducteur centralisé Il existe deux catégories de machine à inducteur centralisé : un seul entrefer deux entrefers et un induit double Dans les deux cas, les pôles nord et sud de l inducteur sont produits par un aimant centrl et un circuit magnétique ramifié 46 23
24
F = B * I * L. Force en Newtons Induction magnétique en teslas Intensité dans le conducteur en ampères Longueur du conducteur en mètres
LE M O TE U R A C O U R A N T C O N TI N U La loi de LAPLACE Un conducteur traversé par un courant et placé dans un champ magnétique est soumis à une force dont le sens est déterminée par la règle des
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailElectrotechnique. Fabrice Sincère ; version 3.0.5 http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere/
Electrotechnique Fabrice Sincère ; version 3.0.5 http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere/ 1 Sommaire 1 ère partie : machines électriques Chapitre 1 Machine à courant continu Chapitre 2 Puissances électriques
Plus en détailElectrotechnique: Electricité Avion,
Electrotechnique: Electricité Avion, La machine à Courant Continu Dr Franck Cazaurang, Maître de conférences, Denis Michaud, Agrégé génie Electrique, Institut de Maintenance Aéronautique UFR de Physique,
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détail27/31 Rue d Arras 92000 NANTERRE Tél. 33.(0)1.47.86.11.15 Fax. 33.(0)1.47.84.83.67
Caractéristiques standards MODELE Puissance secours @ 50Hz Puissance prime @ 50Hz Moteur (MTU, 16V4000G61E ) Démarrage électrique, alternateur de charge 24 V, régulation Elec Alternateur (LEROY SOMER,
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012
ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailCahier technique n 207
Collection Technique... Cahier technique n 207 Les moteurs électriques pour mieux les piloter et les protéger E. Gaucheron Building a New Electric World * Les Cahiers Techniques constituent une collection
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailCHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques
CHAPITRE VIII : Les circuits avec résistances ohmiques VIII. 1 Ce chapitre porte sur les courants et les différences de potentiel dans les circuits. VIII.1 : Les résistances en série et en parallèle On
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailMachine à courant continu
Machine à courant continu Technologie, choix et alimentation des machines à courant continu Objectif Choisir un ensemble moto-variateur à courant continu à partir d un cahier des charges. Pré-requis Mécanique
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailCIRCUIT DE CHARGE BOSCH
LA GUZZITHÈQUE 1/5 10/06/06 CIRCUIT DE CHARGE BOSCH Ce document est issu d un article de l Albatros, revue de liaison du MGCF, lui-même issu du Gambalunga, revue anglaise de liaison du MGC d Angleterre.
Plus en détailMODULE DES SCIENCES APPLIQUÉES
MODULE DES SCIENCES APPLIQUÉES Machine synchrone/asynchrone PROJET DE FIN D ETUDE EN INGÉNIERIE DANS LE CADRE DU PROGRAMME EN GÉNIE ÉLECTROMÉCANIQUE Présenté par : Mouad Oubidar Sedik Bendaoud Superviseur:
Plus en détailConvertisseurs Statiques & Machines
MASTER EEA Parcours CESE Travaux Pratiques Convertisseurs Statiques & Machines EM7ECEBM V. BLEY D. RISALETTO D. MALEC J.P. CAMBRONNE B. JAMMES 0-0 TABLE DES MATIERES Rotation des TP Binôme Séance Séance
Plus en détailLe triac en commutation : Commande des relais statiques : Princ ipe électronique
LES RELAIS STATIQUES (SOLID STATE RELAY : SSR) Princ ipe électronique Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une simple commande en appliquant une tension continue
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailSYSTEMES LINEAIRES DU PREMIER ORDRE
SYSTEMES LINEIRES DU PREMIER ORDRE 1. DEFINITION e(t) SYSTEME s(t) Un système est dit linéaire invariant du premier ordre si la réponse s(t) est liée à l excitation e(t) par une équation différentielle
Plus en détailContrôle non destructif Magnétoscopie
Contrôle non destructif Magnétoscopie Principes physiques : Le contrôle magnétoscopique encore appelé méthode du flux de fuite magnétique repose sur le comportement particulier des matériaux ferromagnétiques
Plus en détailINSTALLATIONS INDUSTRIELLES
Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Institut Supérieur des Etudes Technologiques de Nabeul Département : Génie Electrique Support de cours : INSTALLATIONS INDUSTRIELLES
Plus en détailt 100. = 8 ; le pourcentage de réduction est : 8 % 1 t Le pourcentage d'évolution (appelé aussi taux d'évolution) est le nombre :
Terminale STSS 2 012 2 013 Pourcentages Synthèse 1) Définition : Calculer t % d'un nombre, c'est multiplier ce nombre par t 100. 2) Exemples de calcul : a) Calcul d un pourcentage : Un article coûtant
Plus en détailNotions fondamentales sur le démarrage des moteurs
Notions fondamentales sur le démarrage des moteurs Démarrage traditionnel Démarreur progressif, convertisseur de fréquence Motor Management TM Préface Ce manuel technique sur le démarrage des moteurs fait
Plus en détailSolutions pour la mesure. de courant et d énergie
Solutions pour la mesure de courant et d énergie Mesure et analyse de signal Solutions WAGO pour la surveillance et l économie d énergie Boucles de mesure Rogowski, série 855 pour la mesure non intrusive
Plus en détailLa polarisation des transistors
La polarisation des transistors Droite de charge en continu, en courant continu, statique ou en régime statique (voir : le transistor) On peut tracer la droite de charge sur les caractéristiques de collecteur
Plus en détailSimulation Matlab/Simulink d une machine à induction triphasée. Constitution d un référentiel
Simulation Matlab/Simulink une machine à inuction triphasée Constitution un référentiel Capocchi Laurent Laboratoire UMR CNRS 6134 Université e Corse 3 Octobre 7 1 Table es matières 1 Introuction 3 Moélisation
Plus en détailCHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance.
XIII. 1 CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance. Dans les chapitres précédents nous avons examiné des circuits qui comportaient différentes
Plus en détailRÉFÉRENTIEL TECHNIQUE
SYSTÈMES ÉNERGÉTIQUES INSULAIRES RÉFÉRENTIEL TECHNIQUE CONTRÔLES DES PERFORMANCES AVANT LA MISE EN EXPLOITATION DEFINITIVE DES INSTALLATIONS DE PRODUCTION D ÉNERGIE ÉLECTRIQUE RACCORDÉES EN HTB DANS LES
Plus en détailCapteurs de vitesse de rotation de roue ATE
Capteurs de vitesse de rotation de roue ATE Pourquoi utiliser les capteurs de vitesse de rotation de roue ATE? Un besoin de plus en plus grand de confort et de sécurité : l ABS est aujourd hui un standard
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailLes résistances de point neutre
Les résistances de point neutre Lorsque l on souhaite limiter fortement le courant dans le neutre du réseau, on utilise une résistance de point neutre. Les risques de résonance parallèle ou série sont
Plus en détailReprésentation géométrique d un nombre complexe
CHAPITRE 1 NOMBRES COMPLEXES 1 Représentation géométrique d un nombre complexe 1. Ensemble des nombres complexes Soit i le nombre tel que i = 1 L ensemble des nombres complexes est l ensemble des nombres
Plus en détailDérivation CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES
Capitre 4 Dérivation Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Dérivation Nombre dérivé d une fonction en un point. Tangente à la courbe représentative d une fonction dérivable
Plus en détailCours 9. Régimes du transistor MOS
Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.
Plus en détail«LES ALTERNATEURS DE VOITURES»
MENUGE CECILE BELVAL FRANCOIS BRAS FRANCOIS CADART JULIEN GAIGNEUR GUILLAUME «LES ALTERNATEURS DE VOITURES» LYCEE EDOUARD BRANLY BOULOGNE SUR MER Aidés par nos professeurs : M Buridant, M Courtois, M Ducrocq
Plus en détailDISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ
SIT Group SIT -3-5 SIGMA 9.955.53 1 Le contenu du présent document peut subir des modifications sans aucun préavis DISPOSITIF DE CONTROLE MULTIFONCTIONNEL POUR APPAREILS A GAZ Domaine d'application Appareils
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailK16 CARACTERISTIQUES GENERALES PUISSANCES ENCOMBREMENT VERSION COMPACT ENCOMBREMENT VERSION INSONORISEE DEFINITION DES PUISSANCES
Réf. moteur Réf. Alternateur Classe de performance KDW1603 AT00470T G2 CARACTERISTIQUES GENERALES Fréquence (Hz) 50 Tension de Référence (V) 400/230 Coffret Standard APM303 Coffret en Option TELYS PUISSANCES
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailAMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE
AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE Le test statique est un moyen très connu pour évaluer les moteurs électriques. Cependant, si un moteur ne peut pas être arreté,
Plus en détailConception et implémentation d un Méta-modèle de machines asynchrones en défaut
Thèse Présentée à L Université de Poitiers Pour l obtention du grade de Docteur de l Université de Poitiers École Supérieure d Ingénieurs de Poitiers École doctorale des sciences pour l ingénieur Diplôme
Plus en détailTHESE DE DOCTORAT SPECIALITE : ELECTROTECHNIQUE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE MOULOUD MAMMERI, TIZI-OUZOU FACULTE DE : GENIE ELECTRIQUE ET D INFORMATIQUE DEPARTEMENT : ELECTROTECHNIQUE THESE DE DOCTORAT
Plus en détailMoteurs pas à pas Michel ABIGNOLI Clément GOELDEL Principe des moteurs pas à pas Structures et modèles de description Alimentation Commande
Moteurs pas à pas par Michel ABIGNOLI Professeur d Université à l ENSEM (École Nationale Supérieure d Électricité et de Mécanique de Nancy) et Clément GOELDEL Professeur d Université à la Faculté des Sciences
Plus en détailLa voiture électrique
La voiture électrique par Michel KANT Professeur à l Université de Technologie de Compiègne 1. Généralités... D 5 560-2 1.1 État de développement... 2 1.2 Architecture de motorisation... 2 1.3 Éléments
Plus en détailEléments constitutifs et synthèse des convertisseurs statiques. Convertisseur statique CVS. K à séquences convenables. Source d'entrée S1
1 Introduction Un convertisseur statique est un montage utilisant des interrupteurs à semiconducteurs permettant par une commande convenable de ces derniers de régler un transfert d énergie entre une source
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailSérie 77 - Relais statiques modulaires 5A. Caractéristiques. Relais temporisés et relais de contrôle
Série 77 - Relais statiques modulaires 5A Caractéristiques 77.01.x.xxx.8050 77.01.x.xxx.8051 Relais statiques modulaires, Sortie 1NO 5A Largeur 17.5mm Sortie AC Isolation entre entrée et sortie 5kV (1.2/
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détail2 La technologie DTC ou le contrôle direct de couple Guide technique No. 1
ABB drives Guide technique No. 1 La technologie DTC ou le contrôle direct de couple - la technologie la plus évoluée pour la commande des moteurs à cage d écureuil 2 La technologie DTC ou le contrôle direct
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailElectron ELECTRICITE. Pour les détails: www.electron.it. Design, Production & Trading. Catalogue Synthétique Rev 01/2007 Page 17
ELECTRICITE Catalogue Synthétique Rev 01/2007 Page 17 SYSTEME DIDACTIQUE FONDEMENTS DE L ELECTRICITE A11 INSTRUMENTS ELECTRIQUES A12 SYSTEME DIDACTIQUE D INSTALLATIONS ELECTRIQUES A21 A24 SYSTEME DIDACTIQUE
Plus en détailLes Mesures Électriques
Les Mesures Électriques Sommaire 1- La mesure de tension 2- La mesure de courant 3- La mesure de résistance 4- La mesure de puissance en monophasé 5- La mesure de puissance en triphasé 6- La mesure de
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailAlimentations. 9/2 Introduction
Alimentations / Introduction / Alimentations non stabilisées AV filtrées, pour l alimentation de commandes électroniques / Généralités / Alimentations AV, AV filtrées, monophasées / Présentation / Tableau
Plus en détailNPIH800 GENERATION & RESEAUX. PROTECTION de COURANT TERRE
GENERATION & RESEAUX PROTECTION de COURANT TERRE NPIH800 assure la protection à maximum de courant terre des réseaux électriques de moyenne et haute tension. Ce relais multifonction surveille les défauts
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailDimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant
Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailCHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques
CHAPITRE IX : Les appareils de mesures électriques IX. 1 L'appareil de mesure qui permet de mesurer la différence de potentiel entre deux points d'un circuit est un voltmètre, celui qui mesure le courant
Plus en détailCorrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010
Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailMultitension Monofonction. Multitension Multifonction
Série - Relais temporisés modulaires 16 A SERIE Caractéristiques.01.11 Relais temporisés multifonction et monofonction.01 - Multifonction et multitension.11 - Temporisé à la mise sous tension, multitension
Plus en détailCABLECAM de HYMATOM. Figure 1 : Schéma du système câblecam et détail du moufle vu de dessus.
CABLECAM de HYMATOM La société Hymatom conçoit et fabrique des systèmes de vidéosurveillance. Le système câblecam (figure 1) est composé d un chariot mobile sur quatre roues posé sur deux câbles porteurs
Plus en détail1 Introduction : 5 2 Couplage, marche à vide 5
1 2 1 Introduction : 5 2 Couplage, marche à vide 5 2.1 Conditions électriques de couplage en parallèle : 5 2.2 Manœuvres de couplage d'un alternateur : 6 2.3 Cas des alternateurs triphasés : 8 3 Principaux
Plus en détailNO-BREAK KS. Système UPS dynamique PRÉSENTATION
NO-BREAK KS Système UPS dynamique PRÉSENTATION Table des matières Chapitre 1 : Description du système No-Break KS...3 Chapitre 2 : Fonctionnement lorsque le réseau est présent...4 Chapitre 3 : Fonctionnement
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détail1- Maintenance préventive systématique :
Page 1/9 Avant toute opération vérifier que le système soit correctement consigné. Avant de commencer toute activité, vous devez être en possession d une attestation de consignation 1- Maintenance préventive
Plus en détailTEPZZ 568448A_T EP 2 568 448 A1 (19) (11) EP 2 568 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (51) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.
(19) TEPZZ 68448A_T (11) EP 2 68 448 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 13.03.2013 Bulletin 2013/11 (1) Int Cl.: G07F 7/08 (2006.01) G06K 19/077 (2006.01) (21) Numéro de dépôt:
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailSur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique
Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique E. Bichat To cite this version: E. Bichat. Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique. J. Phys. Theor.
Plus en détailMoteur DC: Comment faire varier sa vitesse?
Moteur DC: Comment faire varier sa vitesse? Zone d'utilisation Moteur à excitation shunt Influence I e Petite perturbation : e.g. augmentation vitesse À partir de P : couple moteur P'' < couple résistant
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailManuel d'utilisation de la maquette
Manuel d'utilisation de la maquette PANNEAU SOLAIRE AUTO-PILOTE Enseignement au lycée Article Code Panneau solaire auto-piloté 14740 Document non contractuel L'énergie solaire L'énergie solaire est l'énergie
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailApplications des supraconducteurs en courant fort
Applications des supraconducteurs en courant fort Xavier CHAUD Ingénieur de Recherche du CNRS au Laboratoire National des Champs Magnétiques Intenses à Grenoble Introduction Propriétés supraconductrices
Plus en détailDÉPANNAGE SUR PLACE D UN MOTEUR À COURANT CONTINU
DÉPANNAGE SUR PLACE D UN MOTEUR À COURANT CONTINU Par Preben Christiansen, EASA Ingénieur Conseil (retraité) Il s'avère parfois difficile d effectuer un dépannage de moteurs à courant continu sur place,
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailExprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %
23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une
Plus en détailUniversité Mohammed Khidher Biskra A.U.: 2014/2015
Uniersité Mohammed Khidher Biskra A.U.: 204/205 Faculté des sciences et de la technologie nseignant: Bekhouche Khaled Matière: lectronique Fondamentale hapitre 4 : Le Transistor Bipolaire à Jonction 4..
Plus en détailDérivation : cours. Dérivation dans R
TS Dérivation dans R Dans tout le capitre, f désigne une fonction définie sur un intervalle I de R (non vide et non réduit à un élément) et à valeurs dans R. Petits rappels de première Téorème-définition
Plus en détailMEMOIRES MAGNETIQUES A DISQUES RIGIDES
MEMOIRES MAGNETIQUES A DISQUES RIGIDES PARTIE ELECTRONIQUE Le schéma complet de FP5 est donnée en annexe. Les questions porterons sur la fonction FP5 dont le schéma fonctionnel de degré 2 est présenté
Plus en détailChafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1
Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes
Plus en détailLes droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites
I Droites perpendiculaires Lorsque deux droites se coupent, on dit qu elles sont sécantes Les droites (d 1 ) et (d 2 ) sont sécantes en A Le point A est le point d intersection des 2 droites Lorsque deux
Plus en détailChauffage par induction
Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailTexte Agrégation limitée par diffusion interne
Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse
Plus en détailRéférences pour la commande
avec fonction de détection de défaillance G3PC Détecte les dysfonctionnements des relais statiques utilisés pour la régulation de température des éléments chauffants et émet simultanément des signaux d'alarme.
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailRepérage de l artillerie par le son.
Repérage de l artillerie par le son. Le repérage par le son permet de situer avec précision une batterie ennemie, qu elle soit ou non bien dissimulée. Le son se propage avec une vitesse sensiblement constante,
Plus en détailCHARGE ACTIVE. Banc d'essais de machines tournantes. Notice d'instruction. Cette notice doit être transmise. à l'utilisateur final
4226 fr - 2010.01 / b T Cette notice doit être transmise à l'utilisateur final 15 10 5 n 0 30 60 90 120 Notice d'instruction PREAMBULE AUTOCERTIFICATION CE suivant la Directive "Machines" : directive 89/392
Plus en détail