I DIAGNOSTIC DU TERRITOIRE. La commune de RILHAC-RANCON est située en périphérie nord-est de l'agglomération de LIMOGES, dans la deuxième couronne.

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1 I DIAGNOSTIC DU TERRITOIRE SITUATION La commune de RILHAC-RANCON est située en périphérie nord-est de l'agglomération de LIMOGES, dans la deuxième couronne. Membre de la communauté d agglomération qui rassemble 18 communes, et membre du SIEPAL, elle est comprise dans le périmètre du Schéma de Cohérence Territoriale qui intègre 49 communes approuvé le 21 janvier

2 ANALYSE STATISTIQUE EVOLUTION DE LA POPULATION (Source : INSEE) La population totale de Rilhac-Rancon est de 4141 habitants au dernier recensement (2009) pour une superficie de 1742 hectares. La densité du territoire communal est de l ordre de 235 habitants au km 2. Cette forte densité s explique par la situation de cette commune en première couronne de l agglomération de LIMOGES, et de sa proximité de l autoroute A Population de Rilhac Rancon Années Population municipale de Rilhac-Rancon Population du canton d'ambazac Communauté d agglomération Limoges Métropole Depuis 40 ans, la population communale s'est fortement accrue ; elle a été multipliée par quatre. Dans cette même période, la population du canton d'ambazac augmente également, mais de façon plus mesurée, à l image de Limoges Métropole. 2

3 Population de Rilhac Rancon Population du canton d'ambazac Années Variation totale Taux de Variation annuel Variation totale Taux de Variation annuel 1975 à % % 1982 à % % 1990 à % % 1999 à % % L'accroissement de la population de Rilhac-Rancon, particulièrement important entre 1975 et 1982 s est ralenti fortement entre 1982 et 1990, puis s est à nouveau accentué dans la dernière période où on enregistre une évolution de + 1,3 % par an. L évolution de la population du canton d Ambazac suit la même tendance. Périodes Variation Absolue Taux de variation annuel Dû au mouvement naturel Nombre de Naissances Nombre de Décès Dû au solde migratoire * Résultats non communiqués % % % + 0,72 % % % % % % % * * % % % % + 1 % L'analyse plus précise des chiffres concernant les mouvements naturels et les soldes migratoires démontre bien que l'augmentation de la population communale provient essentiellement de l'accueil de nouveaux habitants : le solde migratoire fortement excédentaire depuis 1968 est nettement ralenti depuis A l'inverse le solde naturel a tendance à augmenter. Le nombre de naissance augmente régulièrement depuis Le nombre de décès augmente aussi mais de façon moins importante. Répartition par tranches d âge Si l'on compare la répartition par tranche d'âge entre 1999 et 2006, on remarque un accroissement des tranches d'âges des 0-14 ans, des ans et des 75 ans et plus, alors que la tranche d age des ans reste relativement stable. Par contre on note une diminution sensible de tranches d âge des ans et des ans. 3

4 Année ans ans ans ans 60-74ans 75 ans et + TOTAL Hommes Femmes Migrations - Parmi les 3648 personnes habitant la commune en 1999, 2184 habitaient le même logement en 1990 (59.9 %) 2346 habitaient la même commune (64.3 %) 1302 habitaient une autre commune Dont 882 du même département (24,2 % de l ensemble des habitants). 55 d'un autre département de la même région (1,5 %) 340 d'une autre région de France Métropolitaine (9,3 %) 10 des DOM TOM (0.3 %) 15 venant de l'étranger (0,4 %). Parmi les 4029 personnes habitant Rilhac-Rancon en 2006, 74.3 % habitaient le même logement en % habitaient la même commune. 94 % habitaient la même région. 6 % habitaient une autre région ou à l'étranger en Ces chiffres démontrent des mouvements de population assez importants, surtout entre 1990 et Dans cette période là, l'origine des nouveaux arrivants était, pour la majorité d'entre eux, une autre commune du même département avec un nombre de personnes venant d une autre région de France assez important. Il représentait près d un habitant sur 10, un faible pourcentage venant de l étranger. 4

5 Population des ménages En 1990 les 1143 ménages recensés correspondent à une "population des ménages" de 3381 personnes dont 114 ménages d'une personne seule (environ 10 %), 332 ménages de deux personnes (29 %), 318 ménages de trois personnes (28 %), 277 ménages de 4 personnes ( 24 %), 84 ménages de 5 personnes (7.5 %) et 18 ménages de 6 personnes et plus (1.6 %), avec une moyenne de 2,96 personnes par ménage. En 1999 les 1344 ménages recensés correspondent à une "population des ménages" de 3600 personnes dont 192 ménages d'une personne seule (14 %) 509 ménages de deux personnes (37.8 %), 286 ménages de trois personnes (21.3 %), 275 ménages de 4 personnes (20.5 %), 66 ménages de cinq personnes (4.9 %) et 16 ménages de 6 personnes et plus (1.10 %), avec une moyenne de 2,68 personnes par ménage. En 2006, 1572 ménages ont été recensés, avec une moyenne proche de 2.5 personnes par ménage. Les premiers résultats communiqués ne précisent que la proportion des ménages d'une seule personne, qui est de 17.4 %. On constate une légère diminution de la taille des ménages avec de plus en plus de ménages d'une personne seule ou de deux personnes. Le nombre de ménages de 3 personnes et plus sont de moins en moins nombreux. EMPLOI ET ACTIVITES (Source : INSEE) Population active : En 1982 la commune de Rilhac-Rancon comptait 1389 actifs dont 1326 occupaient effectivement un emploi et 63 étaient au chômage. En 1990 cette commune comptait 1670 actifs. Parmi cette population active, 1559 personnes avaient effectivement un emploi et 111 étaient au chômage. En 1999 elle comptait 1762 actifs, dont 1645 personnes ayant effectivement un emploi et 117 étant au chômage. En 2006, elle comptait 1901 actifs dont 1777 ayant effectivement un emploi et 121 étant au chômage. Depuis 1982 le taux d'activité est en augmentation régulière ; le taux de chômage en augmentation sensible entre 1982 et 1990, s'est stabilisé en 1999, et régresse depuis. 5

6 Le tableau ci-dessous illustre l évolution de la situation de la population active habitant la commune Années Population active Ayant un emploi Au chômage Taux de chômage 4.5 % 6.6 % 6.6 % 6.3 % Taux d activité des ans * résultats non communiqués pour l'instant % 79.8 % 82.7 % * En 1999, le taux de chômage est de 6.6 %, recouvrant néanmoins des réalités différentes : % pour les hommes (la tranche d'âge la plus concernée est celle de ans) % pour les femmes (la tranche d'âge la plus concernée est celle des ans) Hommes Femmes Ensemble Population active Taux d'activité ans 84.3 % 79.4 % Taux d'activité ans 86.8 % 79.6 % 86.7 % Ayant un emploi Au chômage Taux de chômage 5,1% 8.3 % 6.6 % Sur les 117 personnes à la recherche d'un emploi, 58 l étaient depuis plus de 1 an : 21 hommes (dont 2 ayant entre 25 et 49 ans,10 ayant de 15 à 24 ans et 9 ayant plus de 50 ans) et 37 femmes (dont 21 ayant entre 25 et 49 ans,5 ayant de 15 à 24 ans et 11 ayant plus de 50 ans). Migrations alternantes : Entre 1990 et 1999, le nombre d actifs ayant un emploi a augmenté (+ 5.5 %). Par contre, le nombre d actifs résidant et travaillant à Rilhac-Rancon a nettement diminué passant de 15.8 % des actifs à 12 %. La majorité des actifs travaillant en dehors de la commune travaillent dans la même zone d'emploi (agglomération de Limoges). 6

7 Déplacements domicile-travail Population active ayant un emploi Travaillant dans la commune Travaillant hors de la commune Dont autre commune de la même zone d'emploi Autre commune du département * Autre département de même région * Autre région * En 1999 les déplacements domicile-travail étaient réalisés majoritairement avec une voiture particulière: 1520 personnes sur 1645 actifs sont dans ce cas (75 %) utilisent un deux-roues, - 11 utilisent les transports en commun, - 28 utilisent plusieurs modes de transports, - 49 n'utilisent aucun mode de transport - 27 marchent à pied. Evolution des actifs par type d activité : Années ensemble des actifs salariés non salariés Dont indépendants Dont Employeurs Répartition des actifs par type d activité : Nombre d actifs ayant Hommes Femmes TOTAL des actifs un emploi en 1999 Salariés Non salariés Ensemble des actifs Les emplois non salariés ne représentent que 8.5 % des emplois (10 % pour les hommes, 7 % pour les femmes). Les employés et les professions intermédiaires sont les catégories socio-professionnelles les plus représentées % des emplois sont d origine tertiaire % se situent dans le domaine de l industrie. Activité Statut économique Salariés H Non salariés H Salariées F Non salariées F Total AGRICULTURE INDUSTRIE CONSTRUCTION TERTIAIRE TOTAL

8 HABITAT Évolution du nombre de logements Années Résidences principales Rés. secondaires et log. occasionnels Logements vacants TOTAL Le nombre de résidences principales augmente régulièrement : entre 1990 et 1999, +292 entre 1999 et 2009 soit près de 30 résidences principales de plus par an en moyenne. Le nombre total de logements évolue de façon différente :on en compte 186 de plus entre 1990 et 1999, +323 entre 1999 et 2009, soit près de 32 logements de plus par an, en moyenne. Le nombre de résidences secondaires diminue régulièrement, alors que le nombre de logements vacants a augmenté de façon sensible depuis Néanmoins, il ne représente que 3,2% de l ensemble des logements. Age des logements selon l'année de construction de l'immeuble en 1999 Catégorie de logement résidences principales résidences secondaires et Logements occasionnels Logements vacants TOTAL Époque d'achèvement de la construction avant de 1915 de 1949 de 1968 de 1975 de 1982 De à 1948 à 1967 à 1974 à 1981 à 1989 à 1999 TOTAL Le parc de logements est très récent : 14 % a été construit avant 1948, toutes catégories de logements confondues. Mais ce taux varie sensiblement selon la catégorie de logement : il est de 12 % pour les résidences principales, de 57 % pour les résidences secondaires et 63 % pour les logements vacants. 57 % de l'ensemble des logements a été construit après 1975, et 59 % des résidences principales ont été construites après Type d'immeuble et Taille des logements En 1999, 1399 logements se trouvent dans un immeuble d un seul logement. Ils abritent 3585 personnes soit : 2,69 personnes par logement. 6 logements se trouvent dans un immeuble collectif de 2 à 9 logements : ils abritent 11 personnes soit : 1.83 personnes par logement. En 2009, 1694 logements sont des maisons individuelles (immeuble d un seul logement), soit 97.8 % des logements. Le nombre moyen de pièces est de

9 35 logements sont des appartements (2 %), dont le nombre moyen de pièces est de 3.5. Le recensement de 2009 fait apparaître que le nombre d appartements a été multiplié par six dans la dernière période. Ce chiffre témoigne d un effort de densification et de diversification de l offre de logements. Statut d occupation * On note une grosse majorité de propriétaires occupants : - en 1990, ils représentaient 84.8 % des foyers, soit 971 foyers - en 1999, ils représentent 84.4 % soit 1134 foyers abritant 3063 personnes soit 2,7 personnes par logement - en 2009, ils représentent 86.7 % soit 1420 foyers abritant 3500 personnes soit 2,5 personnes par logement * On remarque une augmentation sensible du nombre de locataires (en nombre et en proportion): - en 1990, ils représentaient 10 % des foyers soit 121 foyers - en 1999, ils représentent 12,5 % soit 168 foyers. Les logements locatifs non HLM représentent 132 logements. Ils sont assez anciens : 52 de ces logements sur 128 ont été construits avant 1949 ; 44 ont été construits après Ils abritent 320 personnes soit 2,5 personnes par logement. On compte 36 logements H.L.M. Ils abritent 127 personnes soit 3.5 personnes par logement (ils sont relativement récents car les 36 ont été construits après 1982). - en 2009, ils représentent 12 % soit 197 foyers. Les logements locatifs non HLM représentent 152 logements. Ils abritent 387 personnes soit 2,5 personnes par logement. On compte 45 logements H.L.M. Ils abritent 152 personnes soit 3.4 personnes par logement. Leur nombre est en augmentation + 33%. 9 logements ont été construits entre 1999 et 2009 ; Le nombre de meublés diminue : on en recensait 3 en 1990 et 4 en 1999, abritant 9 personnes, soit 2.25 personnes par logement. * Le nombre de personnes logées gratuitement diminue : - en 1990, ils représentaient 4.5 % des foyers, soit 51 foyers. - en 1999, ils représentent 3,1 % soit 42 foyers comptant 81 personnes soit 1.9 personnes par logement ; 11 de ces logements on été construits avant ont été construits après en 2009, ils représentent 1.3 % soit 21 foyers comptant 54 personnes soit 2.6 personnes par logement. Confort des résidences principales En 1990, sur les 1144 résidences principales recensées, - 23 n'ont ni bain ni douche ni WC intérieur - 16 n'ont ni bain ni douche, mais ont un WC intérieur ont bain ou douche mais pas de WC intérieur - 79 logements ont bain ou douche et WC intérieur, mais pas de chauffage central 9

10 1008 étaient réputés "confortables" (logements disposant de baignoire ou douche, WC intérieur et chauffage central) soit 88 %. En 1999, sur les 1344 résidences principales recensées, - 7 n'ont ni bain ni douche ni WC intérieur - 5 n'ont ni bain ni douche, mais ont un WC intérieur ont bain ou douche mais pas de WC intérieur logements ont bain ou douche et WC intérieur, mais pas de chauffage central Sont réputées confortables (selon les critères retenus en 1990) : 1109 résidences principales soit 82.5 %. En 2009, sur les 1638 résidences principales recensées, - 20 n'ont ni bain ni douche ont une salle de bain avec baignoire ou douche disposent d'un chauffage central collectif possèdent un chauffage central individuel bénéficient d'un chauffage individuel tout électrique ne disposent pas d'un chauffage central Ces chiffres permettent de noter une certaine amélioration du confort des résidences principales dans le domaine sanitaire, mais démontrent de nouveaux comportements par rapport au mode de chauffage. Mais il reste encore des logements à mettre aux normes. Des actions visant à aider les propriétaires occupants ou bailleurs à financer ces travaux pourraient être envisagées. Traitement des effluents En 1999, 903 résidences principales déclarent être reliées au tout-à-l'égout (67.2 %), 407 utilisent une fosse septique (30.3 %) et 34 se trouvent dans un autre cas (2.5 %). Voitures particulières En 1999, 67 ménages (5 %) ne disposaient pas d'une voiture. 436 en possédaient une et 841 en possédaient 2 ou plus. En 2009, 79 ménages (4.8 %) n ont pas de voiture ; 1559 ménages disposent d'au moins une voiture (95.2 %), dont 539 ont une voiture et 1020 en possèdent 2 ou plus. 10

11 EVOLUTION DE LA CONSTRUCTION DE RILHAC-RANCON DEPUIS 1999 (Source mairie de Rilhac-Rancon) 1 Logements autorisés entre 1999 et 2011 Entre 1999 et 2011, 519 logements ont été autorisés à Rilhac-Rancon, soit une moyenne de 40 logements par an. Logements autorisés Individuel Individuel Groupé Collectif Logements en résidence Total annuel Surfaces bâties TOTAL sur 12 ans nr nr nr En regardant la répartition des logements entre individuels, individuels groupés et collectifs, on note une évolution très différente. 11

12 Logements collectifs : On ne compte que deux opérations de construction de logements collectifs dans cette période, en 1998 et en 2002, pour 12 logements au total. Logements individuels groupés : On ne compte qu une opération de ce type concernant la construction de 6 logements en Logements individuels purs : Le nombre de logements individuels purs autorisés varie sensiblement d une année à l autre, avec une moyenne de 23 à 34 logements par an, pour une surface moyenne de 133 m 2 par logement. Dans la période de 1997 à 2011, sur les 519 logements autorisés, les individuels purs représentaient 441 logements, soit 85 % de l ensemble des logements. Ainsi, plus de 8 logements sur 10 sont des individuels purs avec une surface moyenne de 133 m2 par logement. En 2007, 46 logements en résidence ont été autorisés. Il s agit de l extension de la résidence pour adultes handicapés implantée à Cassepierre ; Sur cette période de 13 ans on également enregistré cinq opérations de logements en individuel groupé et deux opérations de logements collectifs. On peut constater un engagement régulier des partenaires publics (ODHAC) ou privés qui participent à mettre sur le marché des logements confortables, adaptés à la demande. 12

13 2 Bâtiments autres que logements, commencés entre 1998 et 2007 Entre 1998 et 2007, ont été commencés, parmi les locaux autres qu habitation : Type de Locaux (en m2) TOTAL Bâtiments agricoles Bâtiments industriels Bâtiments commerciaux Bureaux Autres TOTAL ANNUEL Au total les bâtiments neufs commencés entre 1998 et 2007, représentant m 2 de surface soit 1218 m 2 par an en moyenne. Ce sont, pour la plupart, des bâtiments à usage d'activité. Le secteur primaire investit régulièrement dans la construction de nouveaux bâtiments : 253 m² par an en moyenne soit environ 21 % des surfaces bâties hors logement. Le secteur secondaire investit également ; les surfaces bâties sont de taille irrégulière. On enregistre néanmoins 2522 m², soit 252 m² par an de bâtiments industriels, représentant 21 % des surfaces bâties hors logement. Le secteur tertiaire représente 7130 m 2 de surface, soit 713 m² par an. Les bâtiments publics représentent une grande part des surfaces : Les bâtiments d'enseignement et les bâtiments à usage de culture/loisirs représentent plus de la moitié de ces surfaces. Les bâtiments commerciaux représentent néanmoins 2834 m² et correspondant vraisemblablement à 5 opérations distinctes (en 2000, 2002, 2003, 2006 et 2007). On constate donc un certain dynamisme des entreprises implantées à Rilhac-Rancon, qui investissent régulièrement dans de nouveaux locaux. Sur les deux dernières années, les surfaces des bâtiments commencés sont en nette augmentation, notamment pour les bâtiments commerciaux. 13

14 AGRICULTURE (Source : Agreste 2000) L'agriculture a connu de nombreuses transformations depuis 20 ans ; le nombre d'exploitations diminue (de 28 exploitations en 1979, ce nombre est passé à 30 en 1988, et à 19 en 2000 soit 32 %). La superficie agricole utilisée par les exploitations ayant leur siège sur la commune a nettement diminué : elle était de 740 ha en 1979, de 649 ha en 1988, de 676 ha en 2000 et de 605 en 2010, soit une régression totale proche de 9 %. Taille des exploitations Nombre d exploitations en 1979 Nombre d exploitations en 1988 Nombre d exploitations en 2000 Nombre d exploitations en 2010 Exploitations professionnelles Autres exploitations TOTAL dont plus de 3 s s 50ha Compte tenu que la superficie agricole utilisée communale est de 542 ha, on peut penser que, des exploitations agricoles qui ont leur siège sur cette commune exploitent des terrains situés sur une autre commune. Néanmoins, on peut constater que la diminution du nombre d'exploitations permet une redistribution des terres, et donc un renforcement des exploitations qui subsistent. La SAU moyenne qui était de 26 ha en 1979, est passée à 36 ha en 2000 et à 67 ha en Cette augmentation est bien plus significative pour les exploitations dites "professionnelles" (exploitations dont le nombre d'uta est supérieur ou égal à 0,75 et la marge brute est supérieure ou égale à 12 ha équivalent blé). Pour celles-ci, la SAU moyenne qui était de 57 ha en 1979 est passée à 149 ha en âge des chefs d exploitation et co-exploitants moins de 40 ans de 40 à 55 ans 55 ans et plus TOTAL 1979 s s On peut constater un certain renouvellement de la profession agricole : en % des chefs d exploitations et co-exploitants avaient moins de 40 ans. En 2000, cette tranche d âge représente 28,6 % des chefs d exploitations. Par contre, si en 1979 les plus de 55 ans représentaient 50 % des chefs d exploitations, en 2000, cette tranche d âge représente 38 % de l ensemble. Pour tenir compte de l'activité réelle des exploitations, quelques chiffres complémentaires sont intéressants à connaître. - En 1979, 14 chefs d'exploitation et co-exploitants travaillaient à temps complet et la population familiale active sur les exploitations était de 65 personnes, avec 38 UTA (UTA = 14

15 Unité de Travail Annuel = quantité de travail d'une personne à temps complet pendant une année) dont 32 UTA familiales et 6 UTA salariés. - En 1988, 5 chefs d'exploitation et co-exploitants travaillaient à temps complet et la population familiale active sur les exploitations était de 45 personnes, avec 21 UTA dont 18 UTA familiales et 3 UTA salariés. - En 2000, parmi les 24 chefs d'exploitation et co-exploitants, 3 travaillaient à temps complet et la population familiale active sur les exploitations était de 37 personnes, avec 18 UTA dont 14 UTA familiales et 4 UTA salariés. En 2010, on compte 13 chefs d exploitation et co-exploitants pour un nombre total d UTA égal à 10. Ces chiffres démontrent que l'activité agricole est en pleine mutation : le nombre d'actifs diminue régulièrement. Ce sont près de 28 équivalents emplois à temps plein qui ont disparu dans ce secteur d activité en 31 ans. Le statut des agriculteurs évolue un peu : 17 exploitations sur les 19 recensées en 2000 sont des exploitations individuelles Évolution 1979 à Évolution 1988 à Évolution 2000 à 2010 Nombre d exploitations % % 9-52 % SAU des exploitations % % % Superficie en fermage % % Nr Superficie principale fourragère Dont Surface toujours en herbe , % % % % ,9 % Nr Terres labourables % % Nr Dont Céréales % % S Prairies temporaires : 4 94 X 3 Nr Maïs fourrage et ensilage % s? Nr Total Bovins % % % Total Vaches % % S Vaches Nourrices % 54 : 2 S Total Ovins % % Nr Brebis mères ,8 % % % Total Porcins % s? S Total Volailles % % Nr Bois et forêts des exploitations % % nr 15

16 La production traditionnellement tournée vers l'élevage connaît une certaine évolution. Évolution des cheptels : * L'élevage bovin évolue : - En 1979, 17 exploitations sur 28 avaient un troupeau bovin (moyenne : 33 têtes dont 20 vaches). - En 1988, 12 exploitations sur 30 avaient un troupeau bovin (moyenne : 40 têtes dont 15 vaches). - En 2000, 6 exploitations sur 19 avaient un troupeau bovin (moyenne : 44 têtes dont 24 vaches pour 5 exploitations) - En 2010, 4 exploitations sur 9 avaient un troupeau bovin (moyenne : 90 bovins) * L élevage ovin est en nette régression : - en 1979, 17 exploitations sur 28 avaient un troupeau ovin (moyenne : 83 têtes dont 57 brebis mères). - en 1988, 18 exploitations sur 30 avaient un troupeau ovin (moyenne : 57 têtes dont 40 brebis mères). - en 2000, 13 exploitations sur 19 avaient un troupeau ovin (moyenne : 46 têtes dont 34 brebis mères). - En 2010, 5 exploitations sur 9 avaient un troupeau ovin (moyenne : 33 brebis mères) * L'élevage porcin a pratiquement disparu en 2000, après avoir connu une diminution sensible entre 1979 et * L élevage de volailles reste un élevage traditionnel destiné essentiellement à l autoconsommation (23 volailles en moyenne par exploitation en 1979). En 2000 : 12 exploitations totalisent 195 volailles soit une moyenne de 16 têtes. Évolution des cultures et répartition des surfaces : Bien que les chiffres ne soient pas communiqués pour la dernière période, on remarque que les superficies fourragères principales qui occupaient la majeure partie de la SAU des exploitations sont en diminution. On constate également une diminution des superficies toujours en herbe, compensée par une augmentation des terres labourables pour les cultures fourragères, prairies temporaires, maïs fourrage et ensilage. La culture de céréales reste stable : elle recouvre près de 220 ha, ce qui représente près de 32 % de la SAU. La proportion de terres en fermage s est fortement accrue entre 1979 (où elle était de 47 %) à 2000 où elle est passée à 88 %. Ceci dénote une réelle fragilité de l activité agricole dans la mesure où les exploitants détiennent moins du huitième de la moitié de la propriété foncière qu ils utilisent. D autre part, les surfaces occupées par les bois et forêts des exploitations ajoutées aux surfaces agricoles utilisées par ces mêmes exploitations, en 1979, représentaient 803 ha soit 46 % du territoire communal. En 1988 cette somme ne représentait plus que 689 ha, et en 2000, 740 ha soit 42 % du territoire communal. L interprétation de ces chiffres laisserait envisager que d importantes mutations sont intervenues depuis 30 ans dans le domaine du foncier, mais aussi concernant l utilisation même des sols, qu ils soient boisés ou non. L étude agricole réalisée par la Chambre d agriculture en 2010 (voir en annexe du présent rapport) permet d avoir une vision plus précise de l activité agricole de la commune. 16

17 AUTRES ACTIVITES : COMMERCE, ARTISANAT, INDUSTRIE, SERVICES ACTIVITES AUTRES QUE L AGRICULTURE Nombre d établissements (source : SIRENE) Nombre d établissements à Rilhac Rancon par secteur d activité SECTEUR D ACTIVITE Nombre total d établissements au Nombre de création d établissements en 2007 Industries 7 0 Construction 21 4 Commerce 15 4 Services 60 2 Nombre total d établissements Les secteurs d activité les plus représentés sont ceux des services et de la construction. L examen de l évolution récente permet de constater que les secteurs d activité concernés par la création de nouveaux établissements sont ceux de la construction et des commerces ainsi que les services. ACTIVITE (SIRENE - NES 16) Commune de RILHAC-RANCON 2007 Commune de RILHAC-RANCON 2008 Nombre total d établissements Industries agricoles et alimentaires 3 3 Industries des biens de consommation 1 1 Industrie automobile 0 0 Industrie des biens d équipement 2 1 Industrie des biens intermédiaires 1 1 Energie 0 0 Construction Commerce Transports 6 5 Activités financières 2 2 Activités immobilières Services aux entreprises Services aux particuliers Education Santé action sociale L examen des chiffres comparatifs entre 2007 et 2008 fait apparaître une stabilité du nombre total d établissements avec quelques évolutions : une diminution des industries de biens d équipement, des transports et des services d éducation, Santé et action sociale, et une augmentation du nombre de commerces, des services aux entreprises et des services aux particuliers. 17

18 Etablissements actifs par secteur d activité au 31 décembre 2006 Nombre 0 salarié De 1 à 9 10 à à d établissements salariés et Au plus Industrie Constructions Commerces et réparations Services TOTAL A la fin de l année 2006, les 133 établissements présents dans la commune de Rilhac-Rancon employaient 353 salariés au total. Postes de salariés par secteur d activité au 31 décembre 2006 Total De 1 à 9 salariés 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 à 99 salariés 100 salariés et plus Industrie Constructions Commerces et réparations Services Ensemble postes salariés par secteur d'activité industrie construction commerce et réparations services 18

19 TRANSPORTS ET DEPLACEMENTS Desserte routière L autoroute A20, principal axe de liaison Paris-Orléans-Limoges- Toulouse, créé en parallèle à la RN 20 soumise à un trafic croissant, est devenu un des grands itinéraires du schéma directeur routier Français. Située à proximité immédiate de l Autoroute A20, Rilhac-Rancon bénéficie d un accès rapide sur l autoroute à partir de l échangeur 28 à Grossereix, par la RD 914 qui permet une liaison rapide avec Limoges et notamment la zone industrielle nord, mais aussi en direction de l ouest du département par la RD Plusieurs routes départementales traversent le territoire communal ; - la RD 914 qui dessert le bourg, Cassepierre et le centre de la commune et permet une liaison rapide avec Limoges d une part et Ambazac d autre part. Cette voie est classée dans le réseau primaire de désenclavement qui permet la desserte des poles structurants du département. - la RD 39 qui relie Saint Priest Taurion vers l est et Beaune les Mines vers le nordouest en assurant la liaison avec la RD 914. Cette voie est classée en partie dans le réseau primaire de désenclavement et en partie dans le réseau secondaire de seconde catégorie. - la RD 142 qui dessert la partie sud-est de la commune en la reliant à la RD 39 et au quartier de Beaubreuil, sur le territoire de Limoges. Cette voie appartient au réseau secondaire de première catégorie. - la RD 97 qui traverse Cassepierre assure la liaison entre la RD 39, la RD 914 et la RD 220 en direction de Bonnac La Cote ; Cette voie appartient au réseau secondaire de seconde catégorie. 19

20 Déplacements Domicile-travail L agglomération de Limoges se singularise par une très forte concentration des services et des emplois sur la ville centre : 81 % des emplois salariés et 65 % des entreprises ont leurs sièges dans la commune de Limoges, et par un développement marqué des communes périphériques % des actifs habitant Limoges travaillent dans la même commune. En 2006, le nombre d emplois dans la commune de Limoges est de dont résidant à Limoges. Ainsi la commune de Limoges attire actifs qui proviennent pour un tiers de la première couronne. La commune de Rilhac-Rancon présente les mêmes caractéristiques que les autres communes de la deuxième couronne de l agglomération par le faible nombre d emplois présents dans les entreprises qui ont leur siège dans cette commune et qui représentent 1 % du nombre d établissements de l agglomération et 0.4 % du nombre d emplois salariés. En 2009, 13.6 % des actifs habitant Rilhac-Rancon travaillent dans la même commune ; le nombre d emplois dans la commune de Rilhac-Rancon est de 491, alors que le nombre d actifs ayant un emploi est de Les déplacements domicile travail sont donc importants. La conséquence est une saturation des voies assurant la liaison avec Limoges dont la RD 914, qui est la radiale la plus empruntée. Il en résulte des temps de déplacement de plus en plus longs aux heures de pointe, des bouchons aux abords de l échangeur de Grossereix et un risque de pollution de l air. La grande majorité des déplacements s effectuent au moyen de véhicules particuliers : en 1999, 92 % des actifs ayant un emploi utilisent leur voiture particulière et moins de 1 % des actifs utilisent régulièrement les transports en commun. 20

21 Les déplacements domicile-travail sont réalisés essentiellement avec une voiture particulière : En 1999, 1520 personnes sur 1645 actifs sont dans ce cas (92 %) utilisent un deux-roues, (0.6 %) - 11 utilisent les transports en commun, (0.7 %) - 28 utilisent plusieurs modes de transports, (1.7 %) - 49 n'utilisent aucun mode de transport (3 %, tous travaillent dans la commune de résidence) - 27 marchent à pied (1.6 %, tous travaillent dans la commune de résidence). Ces renseignements ne sont pas communiqués dans les résultats du recensement de Les Transports en Commun La commune est desservie par une ligne du réseau urbain de Limoges : Ligne 18 qui dessert Les mines Janailhac le centre commercial du Bourg le Pérou et les Hauts du Combeau, avec 10 allers-retours par jour. Elle est également desservie par les lignes 10 et 12 du réseau départemental qui emprunte la RD 914 et dessert Cassepierre, Montignac, la table de Pierre et le bourg de Rilhac. Pour inciter à l utilisation des transports en commun, la commune a aménagé un parking dans le secteur du Peyrou près de l arrêt de bus comme aire de rencontre pour le covoiturage. 21

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