DÉTAIL QUÉBEC comité sectoriel de main-d œuvre du commerce de détail Plan d action final Les orientations du plan d action

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1 Les orientations du plan d action En conformité avec la Politique d intervention sectorielle et du modèle de reddition de comptes adopté par la Commission le 25 mars 2010, Détail Québec a déterminé ses priorités selon son plan stratégique triennal (basé sur son diagnostic sectoriel) et sur les cinq orientations suivantes : Orientation 1 : Assurer la représentativité du secteur lors d une assemblée publique, lors de l assemblée générale, au sein du conseil d administration, du comité exécutif et au niveau des autres instances du comité sectoriel de main-d œuvre dans son secteur. Orientation 2 : Développer le partenariat et la concertation entre les partenaires au sein des structures du comité sectoriel de main-d œuvre. Orientation 3 : Contribuer au développement, à la reconnaissance et à la pleine utilisation des compétences de la main-d œuvre (incluant les activités hors Cadre) 1. Orientation 4 : Contribuer au renforcement et à l amélioration des pratiques en gestion des ressources humaines dans les entreprises 2. Orientation 5 : Contribuer à l enrichissement de la connaissance du marché du travail par la collecte et la diffusion de l information stratégique sur les secteurs afin de mieux anticiper les demandes des secteurs et de prévoir leur évolution 3. 1 Correspond au mandat 1 du guide opérationnel 2 Correspond au mandat 2 du guide opérationnel 3 Correspond aux mandats 3, 4 et 5 du guide opérationnel 1

2 BREF PORTRAIT DU SECTEUR DU COMMERCE DE DÉTAIL AU QUÉBEC Le secteur du commerce de détail Le secteur du commerce de détail pour lequel est constitué le comité sectoriel de main-d œuvre du commerce de détail (Détail Québec) exclut les secteurs de l alimentation et de l automobile et représente emplois et plus de établissements dispersés à travers le Québec. Il est constitué de 19 soussecteurs correspondant à des structures d entreprises variées. Plus de 70 % d entre elles ont moins de dix employés. En 2011, les ventes au détail au Québec ont totalisé près de 102 milliards de dollars, soit 23 % de celles réalisées au Canada. Au Québec, les ventes des épiceries et marchands d automobiles ont compté pour 39 % des ventes au détail, tandis que celles des secteurs couverts par Détail Québec ont compté pour 61 % des ventes au détail. Depuis 2001, le taux de croissance annuel moyen des ventes est de 3,7 % au Québec et de 3,9 % au Canada. Cette croissance a toujours été positive, sauf en 2009 où elle a été négative, et ce, tant au Québec (-1,1 %) qu au Canada (-2,9 %). En 2011, ce taux de croissance a été légèrement supérieur au Canada (3,6 %) qu au Québec (1,9 %). Pour plus d information sur Détail Québec et sur son secteur, consulter Caractéristiques des employeurs du secteur Le commerce de détail compte peu de regroupements ou d associations. Les très nombreuses entreprises du secteur se disputent sans cesse les mêmes parts de marché, se battent pour des marges bénéficiaires de plus en plus minces et font face à l arrivée de joueurs de plus en plus grands, ce qui explique sans doute en partie cette tendance à travailler en solo. Le secteur du commerce de détail est majoritairement composé de petites entreprises : 72 % comptent moins de 10 employés et 96 % embauchent moins de 50 employés. Les entreprises de grande taille sont moindres en nombre, mais ce sont celles qui embauchent le plus de main-d œuvre dans le secteur. Les plus grandes sont habituellement bien structurées et organisées, alors que les plus petites doivent composer avec très peu de ressources. Ces plus petits détaillants n ont parfois même pas accès à un ordinateur ou à internet. Pour rejoindre le plus grand nombre d entreprises, soit les très petites, petites et moyennes entreprise, il faut donc les interpeller une à une, et ce, avec des moyens plus traditionnels, voire même rudimentaires. Au fil du temps, les heures d ouverture des magasins se sont allongées et la concurrence s est intensifiée. De plus, les clients sont de plus en plus informés et exigeants et l arrivée du commerce électronique étend le marché et la compétition. Tout cela, relié à un taux de roulement élevé, fait en sorte que les détaillants sont très peu disponibles et très difficiles à rejoindre, voire à convaincre. 2

3 Caractéristiques de la main-d œuvre du commerce de détail En matière de professions, si l on compare le secteur du commerce de détail à l ensemble des industries, on note qu il regroupe une plus forte proportion de personnel de vente et de service à la clientèle (48 % versus 7 % pour l ensemble des industries), de personnel de direction (15 % versus 4 % pour l ensemble des industries) et de personnel de gestion de marchandise (6 % versus 3 % pour l ensemble des industries). Par contre, le personnel professionnel ou soutien administratif compte pour une moins forte proportion (5 % versus 9 % pour l ensemble des industries). Dans le secteur du commerce de détail, certains postes prédominent nettement. C est le cas des postes de directeurs (13 % versus 2 % pour l ensemble des industries), de conseillers-vendeurs ou commis-vendeurs (37 % versus 4 % pour l ensemble des industries) et de caissiers (10 % versus 2 % pour l ensemble des industries). À elles seules, au Québec, ces trois professions englobent 60 % des travailleurs œuvrant dans le secteur du commerce de détail. On recense une moyenne de 12,5 employés par entreprise. La majorité de ces employés sont des femmes (58 %) et presque le tiers étaient âgés entre 15 et 24 ans (32 %) et travaillent à temps partiel (32 %). Les détaillants du Québec embauchent 58 % de femmes (contre 47 % pour l ensemble des industries). Par rapport à l ensemble des industries, les travailleurs du secteur du commerce de détail sont plus jeunes : 32 % sont âgés de 15 à 24 ans contre 14 % pour l ensemble des industries. La proportion d employés âgés de 25 à 64 ans est par ailleurs plus faible (66 % dans le commerce de détail versus 84 % pour l ensemble des industries). Le niveau de scolarité des employés du secteur tend à être plus bas que l ensemble des autres industries. Près d un travailleur sur deux (51 %) ne possède aucun diplôme ou détient un diplôme d études secondaires ; cette proportion est de 36 % dans l ensemble des industries. Le taux de diplômés universitaires varie aussi de façon significative : il est de 14 % dans le secteur du commerce de détail contre 26 % dans l ensemble des industries. De plus, le commerce de détail compte une plus forte proportion d emplois à temps partiel, soit 33 % en 2010 contre 19 % pour l ensemble des industries. De 2005 à 2010, cette proportion a connu une légère progression, passant de 29 % à 33 %. Le taux de roulement du secteur est de 25 %. Il est plus élevé pour le personnel affecté aux ventes et au service à la clientèle (37 %) et pour le personnel à temps partiel (44 %). De toute évidence, le taux de roulement du secteur s explique beaucoup par la présence d un bon contingent d étudiants et d employés à temps partiel. En excluant les étudiants, la durée moyenne d ancienneté de travail de la main-d œuvre est de 14 ans, la durée d ancienneté pour le même employeur est de 8 ans et l ancienneté moyenne dans le poste actuel est de 6 ans. 3

4 Tendances, défis et enjeux du secteur De 2012 à 2015, pour le commerce de détail au Québec, les experts prévoient une stabilité du nombre d entreprises et d emplois. On croit davantage à une réorganisation des parts de marché, avec, entre autres, l arrivée de grandes chaînes américaines. On prévoit que ce sera le même volume de ventes qui se divisera autrement. Dans ce cas, la croissance de certains se fera au détriment des autres. Les experts estiment qu il est primordial d être présent sur le web et que si une entreprise n y est pas, elle court à sa perte. De plus, ils parlent de l importance grandissante du commerce électronique, mais aussi de la difficulté, pour les petits détaillants québécois, de concurrencer avec les sites de haute qualité et les outils très performants développés par les grandes chaînes américaines. On parle du coût onéreux pour le développement, la maintenance et l opération de ces sites. On estime que 6 à 7 personnes (informatique, infographie, rédaction de texte, service à la clientèle, etc.) doivent être affectées au site web pour générer un chiffre d affaires d un million de dollars. Pour pallier le problème de raréfaction des bassins de main-d œuvre potentielle, les experts croient que l embauche des 55 ans et plus et d étudiants ne suffit pas. On pense qu il faut d abord dispenser une bonne formation aux employés et à cet effet, on mentionne la nécessité de défaire la perception des commerçants à l effet que «former un employé accroît les chances de le perdre». On croit également que les employeurs doivent développer des plans de carrière pour leurs employés, notamment pour les 25 à 34 ans. Le défi de la diversité est également grandissant, car la main-d œuvre est de plus en plus diversifiée en matière de cultures et d âge. Dans une même équipe, il est fréquent aujourd hui de retrouver des gens de tous âges (étudiants à semi-retraités) et issus de diverses nationalités. La diversité culturelle de la main-d œuvre est une réalité particulièrement présente dans la grande région de Montréal. Parmi les changements qui auront le plus d impact sur le secteur du détail d ici 2015, les experts identifient les éléments suivants : Relation client et expérience de magasinage profondément transformées par la technologie et les techniques permettant une meilleure connaissance de la clientèle. Lieux et expériences de magasinage plus relaxantes, personnalisées et créatives. Diminution du nombre de commerçants d origine québécoise. Diversité culturelle et générationnelle de la clientèle et des employés. Les changements technologiques et structurels, ainsi que l évolution des besoins de la clientèle et de la main-d œuvre sont autant des défis de taille qui exigeront de la part des détaillants des investissements majeurs en formation et en développement des ressources humaines. 4

5 Orientation 1 : Assurer la représentativité du secteur lors d une assemblée publique, lors de l assemblée générale, au sein du conseil d administration, du comité exécutif et au niveau des autres instances du comité sectoriel de main-d œuvre dans son secteur. Composition du secteur Instance ou forum du CSMO Appréciation en début d année (à maintenir ou à améliorer) Résultats visés (instance ou forum à mettre en place) Les 19 sous-secteurs du commerce de détail couverts par Détail Québec : 4413 Pièces, pneus et accessoires pour véhicule automobile 4421 Meubles 4422 Accessoires de maison 4431 Appareils électroniques 4441 Matériaux et fournitures de construction 4452 Alimentation spécialisée 4453 Bière, vin et spiritueux 4461 Produits de santé et de soins personnels 4471 Stations-service 4481 Vêtements 4482 Chaussures 4483 Bijouteries, bagages et maroquinerie 4511 Articles de sport, passe-temps et instruments de musique 4512 Livres, périodiques et articles de musique 4521 Grands magasins 4529 Autres fournitures de tout genre 4532 Fournitures de bureau, papeterie et cadeaux 4533 Marchandises d occasion 4539 Autres magasins de détail CA et ses comités de gouvernance : Comité ressources humaines Comité vérifications Comité risques Consultations des détaillants CA + entreprises du secteur + intervenants régionaux Mutuelle de formation Détail Québec CA + entreprises du secteur à maintenir à maintenir à maintenir Le CA définit les orientations stratégiques et des priorités de Détail Québec et les comités de gouvernance aident le CA à s acquitter de ses responsabilités en matière de : - politiques régissant les ressources humaines de l organisation et de leur mise en place (comité RH). - surveillance des aspects qui y sont relatifs (comité vérifications). - orientation et de politiques d encadrement de la gestion du risque pour assurer une saine gestion de l organisation (comité risques). Avoir rencontré des détaillants d au moins 10 différents soussecteurs et avoir couvert 3. Avoir réalisé des ateliers de formation auprès de détaillants d au moins 10 différents sous-secteurs, de 5 et de tailles variées. 5

6 Orientation 2 : Développer le partenariat et la concertation entre les partenaires au sein des structures du comité sectoriel de main-d œuvre. Instances actives de concertation et de partenariat Mandat et objectifs Fréquence Résultats visés (à maintenir ou à améliorer) Détaillants, regroupements soussectoriel ou régional et associations syndicales Identifier les problématiques sous-sectorielles et/ou régionales afin de proposer des stratégies répondant aux besoins 5 fois Organiser des groupes de discussion pour recueillir de l information sur des thématiques RH précises dans 5. Mutuelle de formation Détail Québec mettre en place des projets collectifs de formation selon les besoins identifiés par l analyse des besoins des entreprises-membres 1 fois poursuivre et compléter la réalisation des projets collectifs de formation prévus à l entente 2013 et proposer un nouveau projet collectif selon les besoins identifiés (sous réserve d obtention du financement). concevoir des ententes de diffusion des formations avec des partenaires 2 fois concevoir au moins 2 ententes de diffusion de formation (partenariat financier réduisant les frais de participation aux détaillants). Emploi-Québec, Réseau régional des partenaires du marché du travail et MFE poursuivre les actions de représentation auprès des instances gouvernementales concernées sur demande privilégier des ententes avec les instances d Emploi-Québec et des CRPMT qui auront démontré un intérêt pour le commerce de détail. MELS, CLD, CJE, chambres de commerce ou autres collaborer dans divers dossiers relatifs aux programmes de formation et développer des collaborations avec des organismes qui interviennent dans le secteur sur demande MELS : maintenir les liens existants et continuer de favoriser le partage d expertise qui lie les programmes techniques et professionnels du MELS aux normes professionnelles développées pour le secteur. Autres : participer et/ou collaborer aux événements touchant l emploi et le développement des compétences dans le secteur. Comités sectoriels et autres comités relevant de la CPMT organiser des rencontres entre les comités concernés 6 fois développer des présentations ou des outils communs avec les CSMO des secteurs qui partagent les mêmes préoccupations (exemple : comité 45 ans et plus). 6

7 Orientation 3 : Contribuer au développement, à la reconnaissance et à la pleine utilisation des compétences de la main-d œuvre Activités reliées au Cadre de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d œuvre (CDRCMO) : Tableau Description des activités par métier dont la stratégie de développement des compétences est le PAMT 1 : Métier : S/O MÉTIER Description des activités de promotion : S/O Description des activités d implantation : S/O Activités prévues et nature des collaborations souhaitées des : S/O Autres activités : S/O Le financement pour ces activités est-il déjà obtenu ou fera-t-il l objet d une demande? S/O NOTE : Détail Québec ne compte actuellement aucun projet dont la stratégie de développement des compétences est le PAMT. Régions Nombre d entreprises visées par la promotion Nombre de personnes prévues (via une entente avec Emploi-Québec) Développement des compétences (PAMT) RCMO Nombre de personnes prévues à être évaluées par le CSMO (RCMO 2 ) 01 Bas St-Laurent : S/O S/O S/O S/O 02 Saguenay-Lac-St-Jean : S/O S/O S/O S/O 03 Capitale Nationale : S/O S/O S/O S/O 04 Mauricie : S/O S/O S/O S/O 05 Estrie : S/O S/O S/O S/O 06 Montréal : S/O S/O S/O S/O 07 Outaouais : S/O S/O S/O S/O 08 Abitibi-Témiscamingue : S/O S/O S/O S/O 09 Côte-Nord : S/O S/O S/O S/O 10 Nord-du-Québec : S/O S/O S/O S/O 11 Gaspésie IDM : S/O S/O S/O S/O 12 Chaudière-Appalaches : S/O S/O S/O S/O 13 Laval : S/O S/O S/O S/O 14 Lanaudière : S/O S/O S/O S/O 15 Laurentides : S/O S/O S/O S/O 16 Montérégie : S/O S/O S/O S/O 17 Centre-du-Québec : S/O S/O S/O S/O Total : S/O S/O S/O S/O 1 Correspond au mandat 1 du guide opérationnel 2 Reconnaissance des compétences de la main-d œuvre. 7

8 Tableau Description des activités par métier dont la stratégie de développement des compétences est hors PAMT MÉTIER Régions Nombre d employeurs visées par la promotion * Développement des compétences 1 (nombre de travailleurs visés) RCMO 2 (nombre de travailleurs visés à l inscription) 1 : Métier : conseiller-vendeur ET superviseur de premier niveau Description des activités de promotion : La promotion de la démarche d évaluation et de reconnaissance des compétences «Mes compétences, mon avenir» (MCMA) sera réalisée par le biais de visites d entreprises, de conférences et d autres activités de communication de Détail Québec. Nous ferons connaître et encouragerons l utilisation de la norme professionnelle de conseiller-vendeur ainsi que celle de superviseur de premier niveau auprès de employeurs, ce qui représente 11 % des établissements du secteur. Aussi, nous profiterons des tribunes possibles (exemples : entrevues avec les journalistes, conférences, etc.) pour faire la promotion du programme. De plus, le CSMO ESAC s est engagé à son plan d action à faire la promotion de la démarche MCMA auprès de sa clientèle (15 travailleurs visés) à Laval, Montréal et en Outaouais. Description des activités d implantation : La promotion et le démarchage contribueront à améliorer l implantation du projet. Activités prévues et nature des collaborations souhaitées des : Nous poursuivrons la promotion du MCMA et de ses outils de formation (guides, jeux de cartes et formations en ligne). 01 Bas St-Laurent : Saguenay-Lac-St- Jean : Capitale Nationale : Mauricie : Estrie : Montréal : 768 * Outaouais : Abitibi- Témiscamingue : Côte-Nord : Nord-du-Québec : Gaspésie IDM : Chaudière- Appalaches : Laval : 137 * Lanaudière : Laurentides : Montérégie : 374 * Centre-du-Québec : 90 * 75 Total : * 500 Nous solliciterons la collaboration des CLE pour la promotion de la RCMO (pour les deux normes), lors des tournées régionales organisées par la DDCIS. De plus, en collaboration avec la CPMT, nous étudierons et 1 Le processus d évaluation et de reconnaissance des compétences mis sur pied par Détail Québec vise d abord la reconnaissance des compétences de la main-d œuvre. Le décompte des formations en ligne des professions normées est présenté au point 3.2, page Reconnaissance des compétences de la main-d œuvre. 8

9 MÉTIER Régions Nombre d employeurs visées par la promotion * Développement des compétences 1 (nombre de travailleurs visés) RCMO 2 (nombre de travailleurs visés à l inscription) analyserons les partenariats possibles avec d autres organismes externes. Avec ces derniers, nous initierons la signature d ententes visant l obtention de certifications des conseillers-vendeurs et des superviseurs de premier niveau. Autres activités : Une vidéo promotionnelle présentant la RCMO et des témoignages de participants et d employeurs sera produite. Cette vidéo sera diffusée sur le site detailquebec.com et présentée lors des activités de représentation. Un sondage électronique sera réalisé auprès des travailleurs et employeurs ayant participé à la RCMO depuis 2010 afin de mesurer le degré de satisfaction et les retombées. Les données récoltées seront utilisées afin de construire un argumentaire chiffré justifiant les bienfaits du RCMO. Nous profiterons des activités de promotion auprès de regroupements d entreprises (exemples : tables soussectorielles ou régionales, activités de la Mutuelle de formation, consultations annuelles) ainsi que des différents outils de communication de Détail Québec (exemples : bulletin GRH La Vitrine, infolettre Info-Détail, detailquebec.com, médias sociaux) pour faire la promotion de la RCMO. Nous poursuivrons la promotion de la RCMO auprès d institutions scolaires offrant des programmes reliés aux commerces de détail, tels que le DEP Vente-conseil, le DEC (AEC) en gestion de commerces, le programme universitaire SAQ-HEC de Montréal et celui de l Université Laval à Québec. Le financement pour ces activités est-il déjà obtenu ou fera-t-il l objet d une demande? Une nouvelle demande de subvention sera déposée au FDRCMO afin de nous permettre de poursuivre nos efforts promotionnels et opérationnels de la RCMO au cours des deux prochaines années, et ce, dans le but d atteindre l objectif de 500 inscriptions (par année). 9

10 Tableau : Développement d une norme professionnelle Métier ou fonction de travail Travaux prévus Spécifier la nature des travaux (analyse de pertinence, analyse de métier ou élaboration de la norme) ainsi que les échéanciers prévus pour chaque étape Financement prévu (Montant et source) S/O S/O S/O 10

11 3.2 Activités de développement des compétences et de formation de la main-d œuvre qui ne s inscrivent pas dans le Cadre de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d œuvre (CDRCMO) : Description du type d activités et nom du programme offrir les services de la Mutuelle de formation à l ensemble des détaillants du Québec Indicateurs diffuser des ateliers de formation qui répondent aux besoins des détaillants obtenir un financement pour le remboursement salarial des travailleurs intégrer deux nouvelles formations à l offre de la Mutuelle de formation accroître le nombre d entreprises membres Résultats visés avoir diffusé minimalement 25 ateliers de formation auprès de 300 travailleurs. avoir proposé un nouveau projet collectif selon les besoins identifiés (réalisation sous réserve d obtention du financement) avoir comptabilisé, mis à jour et conservé les profils des détaillants qui utilisent les services de la Mutuelle avoir vérifié le transfert des apprentissages et le degré de satisfaction par sondage dans un délai maximum de 3 mois après la formation pour chacun des ateliers avoir intégré une formation d une journée sur les réseaux sociaux et une deuxième sur la gestion des conflits (réalisation sous réserve d obtention du financement) avoir recruté 50 nouvelles entreprises membres de la Mutuelle de formation N o de concernées 3, 5, 6, 7, 12, 13, 14, 15, 16 et 17 Nature de la collaboration souhaitée de la part d Emploi-Québec financement partenariats financiers avec les CLE (subvention ou prêts de salles) intensifier la promotion de la mutuelle de formation pour en faire une référence reconnue au niveau de l offre de formation dans le commerce de détail promouvoir l expertise des formateurs et l offre de formation avoir organisé un déjeuner-conférence mettant en vedette les formations et l expertise des formateurs avoir produit une courte vidéo mettant en vedette les formations et l expertise des formateurs déjeuner-conférence : région n 6 (Montréal) diffusion de la vidéo : diffuser les formations en ligne existantes de Détail Québec s assurer de la diffusion des 4 formations en ligne : Étiquetage exactitude des prix volet exemption générale Étiquetage et exactitude des prix avoir réalisé la promotion des formations en ligne et des forfaits illimités auprès des détaillants avoir réalisé une promotion des formations en ligne auprès des centres de formations professionnelles et des collèges 11

12 Description du type d activités et nom du programme Indicateurs volet étiquette unitaire Profession de conseiller-vendeur Profession de superviseur de premier niveau Résultats visés avoir organisé un concours (tirage) auprès des utilisateurs ayant complété la formation avoir comptabilisé le nombre d utilisateurs : o objectif des formations sur l étiquetage et l exactitude des prix (durée : 1 h) : attribution de codes de formation «d exemption générale» o objectif des formations sur les professions normées (durée : 4 h) : 250 utilisateurs N o de concernées Nature de la collaboration souhaitée de la part d Emploi-Québec déposer une demande de financement avoir formé un comité de travail composé d employeurs du commerce de détail élaborer une formation spécifique au métier de caissière et caissier (sous réserve d obtention de financement) former un comité de travail choisir la méthode de formation appropriée avoir choisi une méthode de formation à préconiser avoir mandaté un consultant spécialisé en formation avoir élaboré le contenu et le matériel de formation 6 élaborer et diffuser la formation avoir diffusé la formation développée sous forme de groupe pilote maintenir une collaboration suivie avec le réseau de l éducation pour le développement et la mise à jour continue des programmes de formations poursuivre les collaborations existantes (RAC-RCMO) entre les institutions scolaires (DEP, DEC, etc.) et les détaillants répondre aux demandes ponctuelles avoir poursuivi avec la CPMT l arrimage RAC-RCMO avoir répondu aux demandes (cas par cas) 12

13 Orientation 4 : Contribuer au renforcement et à l amélioration des pratiques en gestion des ressources humaines dans les entreprises. Description du type d activités Indicateurs Résultats visés N o de concernées Nature de la collaboration souhaitée de la part d Emploi-Québec avoir publié 4 bulletins par année (selon l échéancier préétabli) poursuivre le développement et la publication «La Vitrine» évaluer et ajuster le tirage (en continu, au fil des ententes de partenariat pour la distribution dans les centres d achats) avoir fait la promotion du MCMA, de la Mutuelle de formation, des formations en ligne et des données du diagnostic dans chacune des éditions (bulletin d information s adressant aux gestionnaires en RH du commerce de détail et faisant la promotion des meilleures pratiques RH dans le secteur du commerce de détail, avec la contribution de l industrie) poursuivre les ententes de partenariat de distribution existantes accroître la collaboration du secteur dans l élaboration du contenu (au moins 2 entreprises présentées dans chacune des éditions) avoir maintenu la publication d au moins 1 reportage «exemple à suivre» (meilleures pratiques RH des détaillants) et d au moins 2 témoignages «les étoiles» (mobilisation des travailleurs) dans chacune des éditions. avoir comptabilisé le nombre de bulletins envoyés (6000 détaillants rejoints 4 X par année (ce qui représente 25 % des établissements du secteur) optimiser l utilisation du bulletin électronique (bulletin électronique d information s adressant aux gestionnaires en RH du commerce de détail et faisant la promotion des meilleures pratiques RH dans le secteur du commerce de détail, en plus de faire la promotion des activités potentiellement intéressantes pour l ensemble des abonnés) accroître le nombre d abonnés de 3 % (octobre 2013 : détaillants abonnés) avoir envoyé 10 bulletins électroniques au réseau des détaillants au cours de l année avoir comptabilisé le nombre de bulletins envoyés 13

14 organiser des activités de consultation avec les employeurs du secteur organiser 3 consultations dans des différentes (plus 2 consultations supplémentaires sous réserve d obtention de financement reçu dans le cadre de partenariat) mettre sur pied des ententes de collaboration pour la promotion et l organisation des événements utiliser ces rencontres pour connaître davantage les besoins sous-sectoriels et régionaux des détaillants avoir rédigé un rapport d événements avoir comptabilisé le nombre de participants aux activités en indiquant le nombre de et de sous-secteurs des détaillants participants avoir vérifié par sondage le degré de satisfaction des participants avoir colligé les thèmes d intérêt RH pour les prochains événements sur demande partenariats financiers avec les CLE (subvention) avoir identifié les besoins avoir créé 3 outils de gestion RH développer des outils de gestion des ressources humaines qui tiennent compte des différents besoins des détaillants et en assurer la diffusion et la promotion dans le secteur identifier les besoins en matière d outils de gestion des ressources humaines élaborer les outils de gestion rendre accessible et réaliser la promotion des outils développés avoir développé et adapté un message spécifique aux superviseurs de premier niveau (poste stratégique dans l entreprise) avoir fait la promotion de ces outils auprès des employeurs inscrits au réseau des détaillants avoir comptabilisé le nombre de téléchargements des outils développés par le biais du site web et des bulletins électroniques 14

15 Orientation 5 : Contribuer à l enrichissement de la connaissance du marché du travail par la collecte et la diffusion de l information stratégique sur les secteurs afin de mieux anticiper les demandes des secteurs et de prévoir leur évolution. Description du type d activités Indicateurs Résultats visés N o de concernées Nature de la collaboration souhaitée de la part d Emploi-Québec maintenir à jour et accroître la base de données de Détail Québec participer à des événements de visibilité (congrès, salons, tournées régionales, etc.) et à des activités de promotion du secteur promouvoir les données du diagnostic sectoriel participer aux événements majeurs traitant du commerce de détail : Congrès du CQCD, National Retail Federation (NRF) à New York et/ou autres missions commerciales ou événements pertinents promouvoir et actualiser le site web de Détail Québec et continuer de miser sur l utilisation du web comme outil de diffusion principal augmenter le nombre de contacts dans la base de données de Détail Québec augmenter de 3 % le nombre de détaillants qui adhèrent au Réseau des détaillants rencontrer les clientèles cibles lors d événements de visibilité et activités de promotion du secteur données du diagnostic (fiches sectorielles, fiches régionales, microsite et/ou autres) participer au congrès du CQCD et au NRF de l année en cours ; rester à l affût des autres occasions de représentation (selon les budgets disponibles) maintenir à jour le site web ; miser davantage sur le web comme outil de diffusion en diffusant au moins 45 nouvelles de Détail Québec en ); maintenir ou accroître le nombre de visiteurs ( : ) avoir comptabilité le nombre de nouveaux contacts figurant dans la base de données avoir comptabilisé le nombre de nouveaux détaillants avoir participé à au moins 5 événements de visibilité avoir fait la promotion des fiches sectorielles et régionales avoir fait la promotion du microsite web (données du diagnostic ) avoir participé au congrès du CQCD de l année en cours avoir participé au NRF de l année en cours avoir participé à 1 ou plusieurs autres occasions de représentation d envergure (selon les opportunités et le financement disponible) avoir identifié le nombre de visiteurs et autres statistiques pertinentes le site web cas par cas cas par cas (au besoin) ou de prêt de locaux (au besoin) ou de financement (au besoin) 15

16 Description du type d activités Indicateurs Résultats visés promouvoir le secteur, les formations spécifiques et les carrières du secteur auprès des clientèles cibles (jeunes, femmes, personnes de plus de 45 ans, personnes immigrantes, personnes handicapées) analyser le phénomène de l utilisation croissante des technologies de l information, du commerce électronique, de l internet, du commerce mobile et des réseaux sociaux dans le secteur du commerce de détail ainsi que ses impacts sur les profils de postes et sur les compétences recherchées poursuivre le développement de moyens pour mesurer la progression du comité à l égard de sa notoriété et de l utilisation des divers produits et services accroître la présence de Détail Québec sur les principaux réseaux sociaux favoriser les échanges entre les intervenants du secteur de l éducation et les entreprises du commerce de détail rencontrer les différentes clientèles cibles lors des événements ciblés et activités de représentation identifier les impacts des nouvelles technologies sur les responsabilités et les compétences des travailleurs Mettre à jour les descriptions de postes/profils de compétences selon les changements et tendances observés effectuer une revue de presse régulière (veille média) sonder les détaillants membres du réseau des détaillants augmenter le nombre d abonnés (octobre 2013 : 273 abonnés) diffuser régulièrement des publications répondre aux demandes de collaborations pour mettre en lien les enseignants (DEP ou DEC) et les détaillants, pour des stages, des conférences (agir à titre de facilitateur) avoir participé à au moins 10 activités de représentation (exemples : DEP = jeunes, YWCA = femmes et immigrantes, etc.) avoir comptabilisé les activités de représentation auprès des différentes clientèles avoir récolté l information pertinente à ce sujet avoir déterminé les compétences nécessaires à l utilisation des nouvelles technologies de l information avoir mis à jour les descriptions de postes/profils de compétences des emplois touchés avoir continué de développer des liens avec les médias avoir poursuivi les ententes de partenariat (exemple : Les Affaires promotion des formations et conférences) avoir effectué un sondage électronique sur la notoriété de Détail Québec (incluant un tirage pour inciter à la participation) avoir augmenté de 25 % le nombre d abonnés sur la page Facebook de l organisme. avoir diffusé un minimum de 150 messages par année sur Facebook. avoir facilité l arrimage entre les détaillants et les écoles N o de concernées Nature de la collaboration souhaitée de la part d Emploi-Québec (au besoin) ou de prêt de locaux 16

17 Liste des sigles : CA : conseil d administration CSMO ÉSAC : comité sectoriel de main-d œuvre de l économie sociale et de l action communautaire CJE : carrefour jeunesse emploi CLD : centre local de développement CPMT : Commission des partenaires du marché du travail CQCD : Conseil québécois du commerce de détail CRPMT : Conseil régional des partenaires du marché du travail CSMO : comité sectoriel de main-d œuvre DEP : diplôme d études professionnelles DDCIS : Direction du développement des compétences et de l intervention sectorielle FDRCMO : Fonds de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d œuvre MCMA : Mes compétences, mon avenir MFE : ministère des Finances et de l Économie MELS : ministère de l Éducation, des Loisirs et du Sport MESS : ministère de l Emploi et de la Solidarité sociale NRF : National Retail Federation PAMT : programme d apprentissage en milieu de travail PERC : processus d évaluation et de reconnaissance des compétences RAC : reconnaissance des acquis RCMO : reconnaissance des compétences de la main-d œuvre RH : ressources humaines YWCA : Young Women's Christian Association (Le Y des femmes) 17

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DIAGNOSTIC SECTORIEL DE LA MAIN-D ŒUVRE DU COMMERCE DE DÉTAIL AU QUÉBEC 2012-2015 Pour vous éclairer dans le commerce de détail Comité sectoriel de main-d oeuvre du commerce de détail 550, rue Sherbrooke Ouest Bureau 590, tour Ouest Montréal (Québec) H3A 1B9 T 514 (1-888) 393-0222 C

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