Transformer les meilleures pratiques en outils de programmes utiles : Rapport de réunion

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Transformer les meilleures pratiques en outils de programmes utiles : Rapport de réunion"

Transcription

1 Transformer les meilleures pratiques en outils de programmes utiles : Rapport de réunion Rapport d une réunion tenue à Advance Africa, Arlington, Virginie 11 October 2001 Advance Africa Janvier 2002

2 Le Projet Advance Africa a pour objectif d accroître la disponibilité et l utilisation de services de planification familiale et de santé de la reproduction durables et de qualité en Afrique subsaharienne. Il s appuie à cet effet sur toute une gamme d expertise de pointe provenant des connaissances, des expériences et d autres ressources des six membres du consortium. Le Projet Advance Africa met en œuvre des approches novatrices en matière de planification familiale dans le contexte de la pandémie du VIH/SIDA en Afrique. Il travaille avec des Missions de l Agence des Etats-Unis pour le Développement international (USAID) conformément à ses objectifs stratégiques. Advance Africa est un consortium de six organisations, dont deux sont d origine africaine. Il réunit ainsi une combinaison unique de compétences. Ces organisations sont les suivantes : Académie pour le Développement de l Education (AED), Centre pour les Etudes de la Famille africaine (CEFA), Deloitte Touche Tohmatsu (DTT), Forum for African Women Educationalists (FAWE), Family Health International (FHI) et Management Sciences for Health (MSH). Ce document fait partie d une série de publications se rapportant à la documentation, à la diffusion et à l application des meilleures pratiques. Les travaux d Advance meilleures pratiques sont réalisés dans le cadre de l Accord de Coopération qu il a signé avec la Division des Services de Planification familiale et avec un soutien spécial du Bureau Afrique de l USAID, afin de promouvoir les capacités des institutions africaines intervenant dans le domaine de la planification familiale et de la santé de la reproduction. Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

3 Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

4 Transformer les meilleures pratiques en outils de programmes Introduction Quelles sont les Pratiques les Meilleures? Comment les meilleures pratiques sont-elles définies, diffusées et utilisées? Comment pouvons-nous appliquer les leçons tirées de 30 ans d activités de développement dans le domaine de la planification familiale et de la santé de la reproduction? Le 11 octobre 2001, 70 participants se sont réunis au siège d Advance Africa à Arlington, en Virginie, pour discuter de divers aspects se rapportant à ces questions. (Voir Annexe 1 pour la liste des participants.) Trois grands thèmes ont été examinés lors de l atelier : les approches courantes relatives aux meilleures pratiques pouvant aider à clarifier davantage le domaine, au fur et à mesure que nous renforçons les capacités locales; les approches pour transférer la technologie des meilleures pratiques qui aideront à mettre en place le leadership local pour maintenir le renforcement des capacités; les opportunités pour collaborer et développer des stratégies communes aux diverses approches qu utilisent les grandes organisations pour identifier les meilleures pratiques. La réunion avait été organisée suite aux efforts faits par Advance Africa pour répondre aux questions susmentionnées en tant que partie intégrante de la mission qui lui est assignée de promouvoir les meilleures pratiques en tant que stratégies d extension des services de santé de la reproduction en Afrique subsaharienne. Les efforts faits pour établir une liste des meilleures pratiques dans le domaine de la santé de la reproduction ont montré qu il n existait pas de réponses univoques ou simples à ces questions, pas plus d ailleurs qu il n existe un consensus entre les groupes clés quant à la signification des meilleures pratiques et la manière dont elles peuvent être utilisées pour améliorer la performance des programmes. Les activités à long terme visant à diffuser ou à promouvoir les meilleures pratiques doivent définir clairement les meilleures pratiques et arriver à un consensus sur la manière dont nous pouvons les reproduire et les soutenir. Grâce au soutien de la Division des Services de Planification familiale et du Bureau Afrique, Bureau global de Santé de l'usaid, Advance Africa prévoit d engager des organisations nationales et locales dans le processus visant à rationaliser et à systématiser la documentation, la diffusion et la mise en œuvre des meilleures pratiques possibles. Données générales Aucune enquête n a été faite pour déterminer les similitudes et les différences dans les approches, l efficacité de la diffusion et les résultats de l utilisation des meilleures pratiques. L USAID, le FNUAP, l OMS, la Banque mondiale, les fondations privées et les organismes collaborateurs (OC) de l USAID ont tous réalisé des approches en vue de compiler les meilleures pratiques sous diverses présentations, en utilisant une gamme de critères de sélection variant des plus stricts au moins stricts. Ces recueils sont fréquemment rendus disponibles par le biais de publications imprimées et électroniques. Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

5 Si l on observe les diverses approches, on se pose un certain nombre de questions stratégiques clés: Quelles sont les similitudes et les différences dans les approches, ainsi que les lacunes dans les méthodologies? Les similitudes analogies et les différences créent-elles des possibilités de synergie et d amélioration des efforts en vue de documenter, de diffuser et d appliquer les meilleures pratiques? Les principales parties concernées, notamment les responsables d organisations partenaires nationales et régionales, sont-elles véritablement engagées dans le processus? Les compétences nécessaires sont-elles acquises pour aider les partenaires à documenter et à diffuser les meilleures pratiques et à déterminer lesquelles conviennent le mieux dans les divers contextes? Les meilleures pratiques ont-elles été compilées et diffusées de manière à faciliter leur sélection dans différents contextes et face à différents besoins? Les responsables locaux qui guideront la mise en œuvre sentent-ils qu ils sont partie prenante du projet en question? Ont-ils le sentiment d appropriation? Advance Africa a identifié quatre grands domaines à partir de ces questions qui demandent une réflexion et un débat plus complets et plus systématiques. Débat sur la définition. Qu appelle-t on une Meilleure Pratique? Comment pouvons-nous l identifier? S agit-il d une procédure, d une stratégie, d une intervention, d une méthodologie, d un outil ou même d un programme entier? Question connexe : est-ce que les meilleures pratiques sont indépendantes du contexte? Sont-elles applicables dans toutes les situations ou sont-elles liées à un environnement particulier et explicable par de multiples facteurs favorables? Débat sur la validité. Quel est le type de preuve nécessaire pour désigner quelque chose comme «Meilleure»? Le débat peut traiter de la nature des preuves nécessaires, de la quantité de ces preuves et des personnes qui décident que la preuve est suffisante. Question connexe : comment classer une pratique pour laquelle il n y a pas suffisamment d information. Débat sur la pertinence. Quelles sont les pratiques dans le domaine de la planification familiale/santé de la reproduction qui conviennent et qui peuvent donc être classées comme meilleures pratiques? Les pratiques cliniques, la formation, le changement comportemental, le renforcement de la gestion, le leadership, la technologie contraceptive, la recherche, la réforme du secteur de la santé, etc. sont des domaines très différents et il ne serait facile pour certains parmi eux de les amener au niveau de meilleure pratique. Certaines de ces pratiques risquent d être si dépendantes du contexte ou de facteurs favorables qu elles ne pourront pas être facilement transférées d une situation à une autre et. Dans ce cas, le concept «de pratique optimale ou de meilleure pratique possible» n aura guère de valeur. Débat sur l approche. Comment une pratique peut-elle être diffusée et appliquée? Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

6 Par quel bout faut-il commencer? : Est-il plus approprié de promouvoir activement la mise en œuvre d une ou de plusieurs pratiques ou vaut-il mieux donner aux éventuels utilisateurs les moyens nécessaires pour identifier, évaluer et déterminer quelles sont les meilleures pratiques qui répondent à leurs besoins en particulier? Clarifier les questions susmentionnées est un préalable indispensable si l on veut transférer systématiquement le processus et le contenu des meilleures pratiques possibles aux partenaires locaux, encourageant ainsi leur appropriation de ces dites pratiques. En outre, il est nécessaire de mettre en place le leadership local dont on a besoin pour identifier, documenter et appliquer les meilleures pratiques possibles aux fins d améliorer la performance des programmes. Advance Africa s est engagé à collaborer avec des partenaires nationaux et régionaux à partir de leurs initiatives en cours telles que Maximiser l Accès et la Qualité (USAID) et Appliquer les Meilleures Pratiques Possibles (OMS et partenaires), ainsi que par le biais de discussions avec des organismes collaborateurs de l USAID. Ce travail a abouti à l organisation de la réunion d octobre 2001, au siège du Projet Advance Africa à Arlington, en tant que forum à la fois pour des présentations formelles du travail du groupe clé intervenant dans le domaine des Meilleures Pratiques Possibles et aussi pour l examen des diverses possibilités de susciter intérêt, soutien et partenariat afin de créer une appropriation durable, sur le terrain, des meilleures pratiques possibles. Cette réunion a permis à plusieurs dirigeants clés dans le domaine de la santé de la reproduction de comparer leurs approches face aux meilleures pratiques possibles. Ce sondage a montré qu il faut avoir un inventaire d approches plus complet, ainsi qu une plus grande constance, pour déterminer les domaines de similitude, de différence, de consensus et de synergie. La réunion était également l occasion d opérationnaliser des idées en examinant les diverses manières de reproduire et de généraliser des pratiques qui ont été désignées par tel ou tel groupe comme étant de meilleures pratiques possibles. Le présent rapport récapitule les concepts concernant les meilleures pratiques possibles et les types d actions nécessaires pour les étendre à plus grande échelle. Organisation de la réunion Les objectifs de la réunion avaient été déterminés lors de discussions avec le Bureau Afrique de l USAID, SARA, Frontiers, Catalyst et EngenderHealth. Il ressort des discussions avec ce groupe de planification que des solutions pertinentes face au contexte demandent engagement et leadership de la part des parties concernées locales. La réunion avait trois objectifs: discuter et ébaucher des approches permettant de s assurer que les meilleures pratiques possibles sont utilisées pour améliorer la performance des programmes ; discuter la meilleure manière d engager des partenaires africains à identifier et utiliser les meilleures pratiques possibles dans leurs programmes de prestation de services; Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

7 obtenir le soutien d autres Organismes Collaborateurs de l USAID et des partenaires pour le développement d une approche coordonnée dans l effort d identification et d utilisation efficaces des meilleures pratiques possibles. La première partie de la réunion avait offert à plusieurs importants bailleurs de fonds l occasion de discuter de leurs approches entre eux ainsi qu avec d autres agences qui mettent en œuvre des programmes impliquant l utilisation des meilleures pratiques. Il y avait parmi les groupes qui avaient fait des présentations l OMS, le FNUAP, la Banque mondiale, l Académie pour le Développement de l Education et Management Sciences for Health, et Advance Africa. Un dialogue entre les présentateurs et des questions du public ont suivi ces présentations. Lors de la seconde partie de la réunion, les participants avaient discuté des éléments clés soutenant l application des meilleures pratiques possibles dans les domaines de soins de santé de la reproduction pour les adolescents, les soins après avortement et l intégration de la planification familiale, de la santé de la reproduction et du VIH/SIDA, ainsi que pour les obstacles et les défis entourant cette application. (Voir Annexe 2 pour le programme de la réunion Transformer les meilleures Pratiques possibles en Outils de Programmes utiles.) Approches à la documentation, diffusion et application des meilleures pratiques possibles Cette section récapitule les six présentations sur les approches aux meilleures pratiques possibles : l Approche d Advance Africa des meilleures Pratiques l Initiative conjointe MAQ OMS-USAID sur l Application des meilleures Pratiques l Approche de la Banque mondiale des meilleures Pratiques l Approche FNUAP aux meilleures Pratiques l Expérience du Projet SARA concernant la Diffusion des meilleures Pratiques l Approche Programme Initiatives locales MSH en matière de Diffusion des meilleures Pratiques Approche Advance Africa aux meilleures Pratiques Les travaux d Advance Africa en vue d identifier et de compiler les meilleures pratiques dans le domaine de la santé de la reproduction est basé sur un cadre de la «Pyramide des Pratiques» qui distingue les interventions non testées éprouvées, comportant des risques potentiels et celles soutenues par des expériences et les preuves. La pyramide propose une hiérarchie de pratiques en fonction du niveau des preuves; des faits tangibles. Elle commence par les innovations (moins de preuves et plus de risques) et progresse vers le niveau d assez bonnes pratiques (ABP), puis des bonnes pratiques, ensuite des Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

8 meilleures pratiques [possibles] (plus de preuves et moins de risques) et enfin des principes (conclusions ultimes). Figure 1. Pyramide des pratiques Plus de critères, Beaucoup de preuves Moins de risques Principe s Leçons apprises Meilleures Leçons apprises Bonnes Pratiques Peu de critères Moins de preuves, Plus de risques Leçons apprises Assez Bonnes Pratiques (ABP) Leçons apprises Innovations (Pratiques Initiales) La différenciation des pratiques selon le niveau des preuves est conçue pour faciliter la prise de décisions par les gestionnaires des programmes qui cherchent des idées et des expériences pour améliorer la performance de leurs programmes. En tant que stratégie pour améliorer la performance des programmes, la sélection des meilleures pratiques doit entrer dans un cadre plus vaste de réflexion et de planification stratégiques. Advance Africa relie le concept de la compilation des meilleures pratiques possibles à l approche de la sélection des meilleures pratiques possibles par l entremise d un processus en quatre étapes appelé «cartographie stratégique». Ce processus est illustré sur la Figure 2. Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

9 Figure 2. Quatre étapes de la cartographique stratégiques Etape 1 Cartographie pour identifier les besoins et les lacunes du programme Etape 2 Identification des barrières pour répondre aux besoins et lacunes du programme Etape 3 Identification des pratiques qui pourraient être utilisées pour supprimer les barrières et lacunes du programme Etape 4 Réévaluation et sélection finale des meilleures pratiques à appliquer La cartographie stratégique aide à identifier les besoins, les lacunes ou les barrières qui entravent la performance du programme. Dans ce schéma, les meilleures pratiques sont vues comme des solutions possibles pour supprimer les barrières, combler les lacunes ou élargir l accès, renforcer la demande, améliorer la qualité et promouvoir la viabilité à long terme. La capacité d identifier et de prendre des décisions éclairées pour la sélection des meilleures pratiques est essentielle à l exécution de l Etape 3 du processus de cartographie stratégique. C est la raison pour laquelle, pour Advance Africa, toute compilation ou «compendium» des meilleures pratiques doit non seulement aider les responsables des programmes à prendre des décisions éclairées, mais également faciliter la recherche de solutions. Les responsables de programme ont besoin d un outil convivial qui cerne les meilleures pratiques les plus appropriées, conformément au niveau des preuves et d amélioration de la performance. Un compendium utile et convivial des meilleures pratiques doit être plus qu un document de référence. En effet, il doit aider les gestionnaires des programmes à voir les relations entre les besoins, les lacunes et les opportunités dans leur propre situation de prestation de services, ainsi que les expériences d autres programmes de santé de la reproduction. Aussi, la raison d être d un compendium des meilleures pratiques est-elle de fournir un outil de résolution de problèmes pour les gestionnaires des programmes. (Les étapes utilisées par Advance Africa pour compiler son compendium sont présentées dans la version préliminaire de ce travail qui également décrit plus de 200 pratiques. Une partie de la version préliminaire du compendium est disponible sur le site Web d Advance Africa: Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

10 L approche de l OMS pour l Application des meilleures Pratiques L approche de l Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à l application des meilleures pratiques souligne également l importance d un processus cohérent, mais elle commence par la nécessité de diffuser et de promouvoir l utilisation de normes et standards OMS reconnus à l échelle internationale dans le domaine de la santé de la reproduction. Ces normes ou pratiques concernent notamment les Critères d admission pour l Utilisation des méthodes contraceptives et les Guides des Pratiques de Soins essentiels. Souvent, les meilleures pratiques de l OMS n arrivent pas jusqu à ceux qui en ont besoin ainsi même quand elles sont disponibles, elles risquent de ne pas être utilisées. Reconnaissant ces problèmes, l OMS et un groupe de 10 partenaires ont mis sur pied une approche stratégique et systématique pour surmonter les barrières entravant l utilisation des meilleures pratiques appelées le processus d Application des Meilleures Pratiques (AMP). Le processus AMP traite de multiples composantes inter reliées du système de santé, dont les attentes des clients, des membres communautaires et des prestataires de soins de santé, ainsi que la capacité du système de prestation des services de santé et son contexte physique, social et culturel. Le processus utilise des principes et outils de multiples sources, encourage l innovation, le partage de connaissances et la gestion du changement afin de répondre aux besoins identifiés et de combler les lacunes du système existant. La clé du processus AMP est qu il impulse le changement à partir et dans le système en soutenant le leadership et la Organismes partenaires OMS/AMP EngenderHealth Family Health International (FHI) Fédération internationale pour la Planification familiale (IPPF) INTRAH, Université de la Carolina du Nord JHPIEGO Université Johns Hopkins, Centre pour les Programmes de Communication (JHU/CCP) Management Sciences for Health (MSH) Pathfinder International FNUAP USAID réflexion créative parmi les responsables clés. Le processus AMP renforce les compétences techniques et administratives chez les dirigeants locaux et leur offre des outils et un encadrement pour guider et soutenir le changement organisationnel local. Dans le cadre de ce renforcement, le processus AMP encourage les responsables et organismes clés à créer des réseaux à tous les niveaux. Après le renforcement des compétences grâce à l établissement de réseaux, le processus AMP se concentre sur cinq domaines d action: sensibilisation et plaidoyer; analyse de problèmes et sélection des interventions; adaptation et planification; mise en œuvre; et évaluation. Chacun de ces domaines comprend des activités qui aboutissent à un résultat responsables et autres parties concernées doivent faire une analyse des problèmes pour identifier les lacunes de performance (appelée analyse des causes profondes). En fonction des résultats de l analyse des causes profondes, les responsables peuvent choisir les meilleures pratiques possibles, les plus appropriées, en vue de combler les Caractéristiques du processus AMP : participatif et intégrant multidisciplinaire pratique et réaliste répond aux conditions locales gère l information existante et nouvelle repose sur des preuves créatif pour relever les défis axé sur les résultats Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

11 lacunes de performance identifiées. Avant la mise en œuvre, les pratiques choisies sont ensuite analysées et adaptées pour qu elles répondent à la situation locale. La mise en œuvre comprend l évaluation et, si nécessaire, la réévaluation. Ces étapes du processus AMP sont analogues à l approche de cartographie stratégique qu utilise Advance Africa. En reconnaissant que les dirigeants ont besoin de soutien tout au long du changement, le processus AMP recommande un suivi de la part d encadreurs externes qui fournissent des solutions créatives, mesure les jalons et aide à réfléchir aux ajustements nécessaires. Approche du FNUAP des meilleures Pratiques : initiative «Améliorer la qualité des soins de santé sexuelle et de la reproduction» L initiative réalisée par le FNUAP «Améliorer la qualité des soins de santé sexuelle et de la reproduction» réunit les principaux organismes des Nations Unies intervenant dans le domaine de la santé et des droits en matière de procréation, du renforcement des pouvoirs de la femme et des réformes du secteur de la santé. Le FNUAP, l UNICEF, l OMS et OIT/STEP 1 sont les principaux organismes participant à l initiative. La Fondation des Nations Unies a octroyé le financement pour la première étape qui est consacrée à la planification et au démarrage des activités. Le programme est dirigé par une vision commune et traite tant le côté demande qu offre de la santé de la reproduction aux fins d améliorer la qualité des services de santé de la reproduction et autres services connexes. Toutefois, la grande direction prioritaire est la suivante: comment l aspect demande en sensibilisant davantage les bénéficiaires sur leurs droits en matière de procréation et en augmentant l organisation des ressources disponibles, détenues par les consommateurs peut-il influencer la qualité des soins? Le programme repose sur les expériences positives ou «meilleures pratiques» qui ont amélioré la qualité, sensibilisé davantage aux droits en matière de procréation et aidé les communautés à mobiliser et à réunir les ressources en vue d élargir l accès financier aux services de santé. Aux fins de faciliter le processus d échange entre les pays qui font partie de l'initiative, des études de cas sont compilées et des ateliers sont organisés pour encourager la discussion sur les éléments et les méthodologies utilisées dans le cadre de ces expériences et obtenir un consensus concernant celles que l on peut juger des «meilleures pratiques» dignes d être reproduites à plus grande échelle. L initiative cherche d une part à combler les lacunes de connaissance et d autre part, à mettre à l essai de nouvelles combinaisons d interventions qui se sont avérées réussies L initiative vise à maximiser le partage et l application des «meilleures pratiques possibles» en encourageant l action conjointe entre les organismes des Nations Unies et les ONG collaboratrices. Par exemple, au niveau international, une ONG partenaire qui se spécialise dans la réforme de la santé et le financement communautaire peut travailler en partenariat avec une ONG spécialisée dans l amélioration de la capacité de gestion des agents de santé de la reproduction en élaborant un manuel sur la qualité des soins destiné aux prestataires et des programmes de micro assurance. De même, au niveau national et 1 STEP Stratégies et outils contre l exclusion sociale et la pauvreté, est un programme mondial du secteur de protection social de l Organisation internationale du Travail. Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

12 local, si un partenaire travaille avec des prestataires de soins de santé, un autre peut travailler dans les mêmes régions géographiques avec des groupes communautaires pour sensibiliser davantage aux droits en matière de reproduction. En bref, l initiative vise à promouvoir de bonnes pratiques en facilitant la documentation et la discussion entre partenaires intervenant sur différents aspects de la qualité des soins. Elle encourage également la recherche active de diverses manières d articuler des expériences positives d organisations dans différents domaines d expertise. Approche de la Banque mondiale des meilleures Pratiques possibles L optique de la Banque mondiale sur les meilleures pratiques possibles concerne quatre grands domaines : dialogue de politiques ; programmes multisectoriels et intersectoriels ; généralisation des programmes à grande échelle ; et gestion des ressources empruntées par les gouvernements. La vision de la Banque pour toute activité programmatique se situe dans le long terme et accorde une grande attention aux coûts. Aussi, non seulement la qualité, mais aussi la quantité des coûts (tant humains que financiers) sont-ils des aspects très importants. La Banque utilise les 10 questions suivantes pour décider sélectionner les meilleures pratiques et les programmes qu elles vont soutenir : Définition. Pourquoi une intervention particulière est-elle définie comme une meilleure pratique? C est essentiel à comprendre avant de faire un investissement. Les rendements des investissements sont mesurés par rapport à l impact à long terme et les coûts liés à l expansion de la pratique à l échelle nationale. Aussi, le dialogue en matière de politique est-il essentiel par rapport à ces questions. Faisabilité. Est-ce que cela réussi? Comment une meilleure pratique arrive-t-elle à sa population cible? Par exemple, on constate, dans certaines situations, que les services de soins de santé primaires qui sont destinés aux groupes très pauvres n arrivent jamais à leur niveau. Reproductibilité : Peut-elle être reproduite? Les gouvernements ne sont pas incités à emprunter de l argent pour des activités qui ne peuvent pas être reproduites à l échelle nationale car cela ne serait guère efficace par rapport aux coûts. Aspect du coût abordable et pérennisation. La pratique est-elle abordable du point de vue financier et viable dans le long terme? Des meilleures pratiques possibles qui sont réussies grâce à des incitations ne peuvent généralement pas être maintenues comme des interventions à long terme et à grande échelle car leur réussite dépend essentiellement des incitations. Appropriation par la population locale. La meilleure pratique possible peut-elle être transférée aisément au niveau local? La mesure dans laquelle les partenaires locaux adoptent une meilleure pratique possible détermine souvent sa réussite. L abandon des meilleures pratiques possibles une fois terminé le financement des Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

13 bailleurs de fonds témoigne bien du manque d appropriation de la part des communautés et des gouvernements. Arriver jusqu aux groupes défavorisés. Est-ce que la meilleure pratique arrive jusqu aux groupes défavorisés, tel que prévu? Les bénéficiaires des interventions concernant les meilleures pratiques devraient être ceux situés à l extérieur des activités courantes, à savoir les enfants déscolarisés, les réfugiés et les populations déplacées. Optique équité entre les sexes. Est-ce que la meilleure pratique tient compte du rôle et de la situation de la femme et intègre ces questions à la planification et aux programmes? Encourager les partenariats. Est-ce que la meilleure pratique possible encourage des partenariats continus et actifs? Le double emploi est un gaspillage de ressources et diminue l efficacité des meilleures pratiques possibles. Il est capital de coordonner les interventions. Synergie avec des activités en cours. La meilleure pratique crée une synergie avec des pratiques existantes et qui ont réussies? Un effort concerté doit être fait pour créer une synergie avec des activités continues plutôt que de les abandonner. Ainsi, on ne gaspille pas les fondations existantes. Intégration aux systèmes existants. Est-ce que la meilleure pratique peut être intégrée facilement aux systèmes existants? Vu le manque de ressources dans les pays pauvres, il est important d intégrer la meilleure pratique aux systèmes existants. Approche du Projet SARA concernant la Promotion des meilleures Pratiques Le Projet de Soutien pour l Analyse et la Recherche en Afrique (SARA), financé par le Bureau Afrique, n utilise pas une seule stratégie pour diffuser les meilleures pratiques possibles. En effet, le projet combine de manière sélective diverses composantes, adaptant cette combinaison au domaine et au contexte spécifique. Figure 3 : Processus en spirale L utilisateur doit se mettre au courant du nouvel outil ou de la nouvelle approche et s engager à son application. Le processus Première série de transferts utilise publications, médias, réseaux, contacts et discussions avec des défenseurs de la cause au niveau local capables de préconiser Première application l utilisation de l outil. Les compétences nécessaires pour l utiliser sont acquises par le biais de la formation, des stages en Processus appliqué à des publics de plus en plus larges Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

14 cours d emploi et par le biais d encadrement. Le Projet SARA aborde les meilleures pratiques à partir d un processus en spirale. La spirale est une métaphore pour l application de la meilleure pratique, continuellement transférée et appliquée à des publics de plus en plus larges. (Voir Figure 3.) Une stratégie efficace pour partager une nouvelle approche ou un nouvel outil d un programme exige: une identification des destinataires et évaluation de leurs connaissances et approches; une identification des défenseurs de la cause au niveau local; une analyse du contexte institutionnel qui peut faciliter ou compliquer le processus. Si l on veut que cette stratégie soit efficace, il est important d envisager le niveau de complexité de l approche, le stage d apprentissage nécessaire, la possibilité de créer des groupes de soutien avec différents types de partenaires, ainsi que les coûts et la couverture des besoins avec des méthodes alternatives. Un exemple de partage de meilleures pratiques en santé de la reproduction en Afrique de l'ouest a été présenté, décrivant les obstacles qu ont rencontrés les responsables chargés de la mise en œuvre du programme. Malgré l engagement des organisations partenaires, ni le leadership ni non plus l appropriation n ont pu être créés sur le terrain. Les activités entreprises étaient fragmentées et isolées et la mise en œuvre a été essentiellement assurée par les organismes collaborateurs et les bailleurs de fonds. En rétrospective, on juge que le projet aurait pu être amélioré si: un réel engagement avait été obtenu de la part des organismes collaborateurs et bailleurs de fonds en vue de faire un travail durable avec des partenaires africains; des moniteurs ou encadreurs des organisations partenaires étaient utilisés tout au long du processus; un plan stratégique et intégré pour le long terme avait été développé. La mise en œuvre réussie des meilleures pratiques demande que les OC et les bailleurs de fonds travaillent en étroite collaboration avec des partenaires africains et investissent le temps et les ressources supplémentaires à cette fin tout au long de la mise en œuvre. Programme Initiatives locales : Approche MSH en matière de Diffusion des meilleures Pratiques Management Sciences for Health (MSH) a décrit le Programme Initiatives Locales (LIP), un exemple réussi de meilleure pratique en Indonésie qui a été reproduite au Bangladesh et en Inde. L expérience a mis en exergue de multiples éléments qui ont évolué ces 20 dernières années et qui ont été reproduits dans différents pays. Le Programme Initiatives locales utilise des volontaires de santé communautaire en partenariat avec des comités de santé communautaires. Le premier LIP a été démarré en utilisant des volontaires de la Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

15 santé pour fournir des services sanitaires. Le programme a été démarré en Indonésie dans les années 60 et reproduit au Bangladesh dans les années 80. Au Bangladesh, volontaires communautaires ont été recrutés et formés en matière de planification familiale. Grâce à cette approche, le taux de prévalence de la contraception a été porté à 65% et des services ont été fournis à 2,5 millions de personnes. La réussite de cette expérience peut être attribuée aux éléments suivants: une mobilisation et un engagement au niveau local une création et une mise en place de structures de gestion communautaire un recrutement et un formation des volontaires communautaires une collaboration avec le gouvernement. La gestion a été assurée essentiellement par une assistance technique à faible coût provenant d un groupe local, Technical Assistance, Inc. et MSH. Il a été mis en place un système approprié de monitoring, de guidance et de partage des idées. Des approches et des outils simplifiés de gestion, tels que les cartes d utilisateur de la contraception pour les systèmes d information de gestion (SIG), soutenaient l assistance technique continue. L Inde était le troisième pays où ce modèle a été reproduit. Plusieurs organisations non gouvernementales de l Inde (ONG) se sont rendues dans les communautés du Bangladesh pour participer à LIP, ainsi qu à d autres initiatives telles que BRAC, IDRC et la Grameen Bank. Cinq des 25 ONG de l'inde, prêtes à adopter cette initiative, ont été choisies et trois d entre elles ont été financées. Dans l ensemble, l initiative LIP en Inde a été très réussie. La santé infantile s est améliorée dans les zones pilotes, les communautés étaient engagées et soutenaient l initiative et un réseau d agents de santé communautaires a été mis en place. Le modèle LIP en Inde intégrait d autres innovations, telles que les activités médiatiques, les foires de santé et l adaptation de matériel existant. Ces innovations ont augmenté la demande pour les services de santé infantile. Dans l ensemble, l initiative LIP, qui a été mise en œuvre dans trois pays, démontre que les meilleures pratiques possibles peuvent être reproduites dans d autres pays en les adaptant aux conditions locales et en ajoutant des interventions appropriées. L assistance technique pour guider le processus de reproduction est un élément important. Discussion en plénière des présentations La discussion en plénière des six présentations a permis de faire ressortir les points suivants : La question du coût était d importance primordiale lors des discussions. Les participants, ont non seulement examiné les diverses manières d accroître les ressources, mais également les manières de maximiser le financement disponible. Les applications des meilleures pratiques et leur mise en œuvre à grande échelle exigent des ressources humaines et financières qui peuvent ne pas être disponibles. Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

16 Partir des meilleures pratiques existantes et les améliorer est une alternative qui peut avoir un meilleur rapport coût efficacité. La création de partenariat pour encourager le transfert des connaissances peut également aider à mettre en œuvre les meilleures pratiques. L application des meilleures pratiques possibles a été entravée par l incapacité des partenaires locaux à gérer par eux-mêmes le processus. Aussi, est-il avantageux d aller plus loin que la comparaison des principes d une meilleure pratique pour comparer les avantages de son application et les résultats tangibles ainsi obtenus en santé ou en bien-être social. Il est également utile de transférer les compétences et outils nécessaires pour la mise en œuvre locale. La pérennisation est un facteur d importance critique qu il faut envisager aux niveaux de l'applicabilité et de la faisabilité d une meilleure pratique possible. La durée générale de cinq ans de la plupart des projets ne donne pas un temps suffisant pour pérenniser un projet. La question est de savoir quelles sont les meilleures pratiques possibles qui peuvent être maintenues à la fin du financement extérieur et pourquoi elles peuvent être maintenues. L appropriation appartenance locale est apparue comme un facteur clé de la pérennisation. Etendre à plus grande échelle les meilleures pratiques et les reproduire dans d autres endroits n est pas une tâche facile. Généralement, on ne connaît pas les coûts associés à l expansion des meilleures pratiques et assurer la qualité lorsqu on généralise les meilleures pratiques est chose particulièrement préoccupante pour le responsable du programme ou le décideur. Certaines interventions constituent des meilleures pratiques quand elle sont exécutées à grande échelle et d autres uniquement quand elles sont appliquées à petite échelle. Il faut évaluer le potentiel d expansion avant la mise en œuvre. Par exemple, dans certains endroits, des centres amis-des-adolescents semblaient bien représenter une meilleure pratique lors de la première évaluation, mais elle n était pas efficace pour atteindre des groupes importants d adolescents une fois étendus à une plus grande échelle. Vu le pléthore d informations sur les meilleures pratiques il est particulièrement important de diffuser efficacement, sur le terrain, l information à leur propos. La gestion de la connaissance existante et la création de nouvelles connaissances dans le domaine sont des aspects importants du renforcement des capacités. Le choix de publics appropriés et de lieux pour atteindre ces publics revêt une importance capitale.. Les meilleures pratiques possibles doivent aller plus loin que les responsables de programme et être partagées avec des décideurs et autres dirigeants qui ont le pouvoir nécessaire pour les appliquer. A cet égard, le public visé par le compendium d Advance Africa devrait comprendre également des décideurs et autres responsables clés.. Groupes de travail sur l expansion et la reproduction des meilleures pratiques possibles Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

17 La seconde partie de la réunion se penchait sur les manières de transférer sur le terrain l identification de la documentation et de la diffusion des meilleures pratiques en santé de la reproduction des adolescents, en soins post-avortement et en intégration des programmes de planification familiale et de lutte contre le VIH/SIDA. De petits groupes organisés sur les thèmes de la reproduction des adolescents, les soins post-avortement et l intégration de la PF/SR et du VIH/SIDA devaient répondre aux questions suivantes : Quelles sont les approches les plus efficaces pour reproduire les meilleures pratiques dans ce domaine? Quels sont les grands obstacles ou défis entravant la reproduction dans cette région? Quels sont les éléments clés de la réussite? Que recommande le groupe comme étant l approche la plus faisable pour reproduire efficacement les meilleures pratiques possibles dans ce domaine? Les discussions ont abouti à quatre grandes conclusions : Le sentiment d appropriation revêt une importance clé au transfert réussi des meilleures pratiques possibles. Créer ce Le sentiment d appropriation demande que l on présente aux décideurs et autres parties clés concernées des résultats ou preuves tangibles montrant que la meilleure pratique proposée est de fait une meilleure pratique. Il est également important de vérifier que la meilleure pratique proposée est faisable dans le nouvel environnement. Etendre à grande échelle les meilleures pratiques dans le nouvel environnement demande des défenseurs de la cause qui sont engagés et capables de faire un plaidoyer efficace à ces différents niveaux. Il ne suffit pas que les meilleures pratiques soient faisables du point de vue technique pour que l on puisse l étendre à une plus grande échelle. Leur impact à grande échelle doit être suffisant pour justifier le coût et l engagement nécessaires à cette expansion. Il faudra démontrer que la meilleure pratique traite d un problème important du point de vue de ses répercussions épidémiologiques, démographiques et sociales. L application des meilleures pratiques possibles s est avérée la plus efficace quand elle était intégrée aux systèmes existants plutôt que d être isolée des activités en cours. Des exemples ont été donnés montrant que de solides partenariats permettent une expansion réussie des meilleures pratiques et d autres exemples ont montré que l absence de partenariat a mené à l échec. Les meilleures pratiques possibles n ont pas forcément besoin d être nouvelles. Elles peuvent également être des pratiques courantes qu il faudra simplement renforcer et améliorer. Les participants ont remarqué qu il existait de nombreux exemples où de nouvelles initiatives ont été entreprises sans reconnaître des initiatives existantes analogues qu on aurait pu promouvoir avec un appui léger en meilleures pratiques possibles. Les résultats de ces trois groupes de travail sont présentés en Annexe 3. Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

18 A la conclusion de la discussion par les groupes de travail, les éléments de réussite et les contraintes à une reproduction réussie ont été ébauchés. Ils sont présentés dans le Tableau 1. Tableau 1. Eléments de la réussite et contraintes à une reproduction réussie Eléments de réussite Programme prioritaire Engagement du gouvernement (décentralisation) Ressources disponibles Réseau en place comme support Partenariat entre les groupes clés Pertinence (traite les besoins de la communauté) Conditions d une reproduction réussie : Simple et peu chère demandes de ressources réalistes Soutien politique, plaidoyer/défenseurs Partenariats entre domaines techniques et institutions Exploitation des besoins communautaires (priorités) Faits prouvant des résultats positifs (préalable) Contraintes La pérennisation n est pas prévue (par exemple, formation) Manque d un défenseur de la cause (champion) N est pas une priorité Manque de politique, soutien, engagement Manque de partenariat entre les domaines techniques prioritaires Plaidoyer/communications insuffisants Données appropriées non communiquées au public cible approprié Contraintes à la reproduction : Coût Manque de formation/gamme de compétences nécessaires pour l approche intégrée Manque de données sur les résultats Manque de suivi et de supervision Etapes suivantes La réunion représentait une première étape importante pour transférer le processus d identification, diffusion et utilisation des meilleures pratiques possibles aux organisations sur le terrain puisque la réunion rassemblait les organismes clés participant au processus. La réunion était un forum permettant à ces organisations de partager différentes approches aux meilleures pratiques possibles et de les examiner dans le contexte des besoins et capacités du terrain. Quelles sont les étapes suivantes de ce processus de transfert qui suscite ainsi un sentiment d appartenance chez les parties prenantes? Advance Africa élargira le dialogue sur les meilleures pratiques entre les organismes de développement. Advance Africa encouragera l engagement à collaborer dans ce domaine. En partenariat avec plusieurs organismes collaborateurs, Advance Africa organisera des réunions de partage, groupe de 19 organisations africaines engagées à travailler avec Advance Africa pour améliorer les services de planification familiale et de Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

19 santé reproductive en Afrique afin de traiter des divers aspects liés à la documentation, diffusion et application des meilleures pratiques possibles. Si possible, ces réunions seront planifiées de sorte à coïncider avec d autres réunions concernant les meilleures pratiques. Les réunions des meilleures pratiques en Afrique porteront sur les aspects suivants: 1) transfert de l information sur les meilleures pratiques; 2) contribution africaine à l approche d Advance Africa desmeilleures pratiques possibles; 3) identification des intérêts particuliers au processus des meilleures pratiques; 4) consensus sur le processus et les dates du renforcement des capacités aux fins de confier l initiative aux intervenants africains et de transférer la direction du processus; et 5) identification des compétences et du soutien essentiels pour renforcer la capacité nécessaire. Ces réunions, d abord au niveau régional et ensuite au niveau national, seront organisées avec le soutien du Bureau Afrique. Tout au long de ce processus, Advance Africa gardera son engagement pour valoriser les programmes actuels, forger des partenariats actifs et renforcer la capacité des organisations locales pour qu elles puissent identifier, diffuser et utiliser les meilleures pratiques. Récapitulatif Cette réunion était l occasion d examiner différents points de vue, approches et méthodologies concernant les meilleures pratiques. Voici les grandes conclusions de la réunion: Les responsables de programme, les décideurs et les prestataires de soins de santé doivent connaître les coûts, les risques, les possibilités, les avantages et les conséquences liés à la mise en œuvre d une pratique en fonction de l'expérience d autres organisations. Les partenariats entre décideurs, chercheurs, organismes d exécution et communautés sont nécessaires pour déterminer si les meilleures pratiques auront un impact. Le renforcement de la capacité locale, par le biais de l'encadrement, est un élément essentiel du processus en vue de mettre en œuvre des meilleures pratiques. Il est important de répondre aux questions suivantes avant de passer à la mise en œuvre : Réussit-elle? Traite-t-elle des lacunes ou besoins identifiés? Est-elle abordable du point de vue financier? Est-elle appropriée et peut-elle être reproduite dans un nouvel environnement? La diffusion de l'information sur les meilleures pratiques à elle seule ne permet pas la mise en œuvre. Le sentiment d appropriation au niveau local est nécessaire pour Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

20 mobiliser un engagement et des ressources durables aux fins de leur reproduction et expansion. Les défenseurs de la cause, ou «champions», qu il s agisse de parties concernées individuelles, de communautés ou de gouvernements, jouent un rôle d importance capitale pour la réussite des programmes. C est eux qui détiennent la clé de l application des meilleures pratiques. Annexe 1: Liste des participants Organisation Nom Titre Téléphone Courrier électronique ACNM Frances Ganges Senior Technical Advisor fganges@yahoo.com ACNM Donna Vivio Director, Global Outreach dvivio@acnm.org Advance Africa Sarah Blakeslee Senior Program Assistant sblakeslee@advanceafrica.org Advance Africa Jeanne Brown Senior Technical Advisor jbrown@advanceafrica.org Advance Africa Advance Africa Bruce Gatti Belkis Giorgis Finance and Administration Director Senior Technical Advisor bgatti@advanceafrica.org bgiorgis@advanceafrica.org Advance Africa Saul Helfenbein Project Director shelfenbein@advanceafrica.org Advance Africa Nina Pryun Project Officer npryun@advanceafrica.org Advance Africa Youssouf Ouedraogo Senior Technical Advisor youedraogo@advanceafrica.org Advance Africa Susan Palmore Strategic Dissemination Director spalmore@advanceafrica.org Advance Africa Lauren Pindzola Senior Program Assistant lpindzola@advanceafrica.org Advance Africa Miho Sato Iwamura Fellow msato@advanceafrica.org Advance Africa Vandana Shetti Best Practices Intern vshetti@post.harvard.edu Advance Africa Lalla Toure Senior Technical Advisor ltoure@advanceafrica.org Advance Africa Susan Veras Best Practices Intern sveras@aol.com AED Nancy Keith Behavior and Change Coordinator nkeith@smtp.aed.org AED Peggy Parlato Vice President mparlato@aed.org AED Renny Seidel Director of Publications and Communications rseidel@aed.org AED/SARA project Caroline Blair RH Advisor cblair@aed.org Director of the Center for Suzanne Prysor- AED/SARA project Health Policy and sprysor@aed.org Jones Capacity Building BASICS Remi Sogunro Team Leader for IACH rsogunro@basics.org BASICS Indira Narayannan Team Leader for Neonatal Health inarayanan@basics.org Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

21 BASICS BASICS Ian Sliney Kathleen Shears Regional Program Officer for Africa Director of Strategic Information Transfer Catalyst Orlando Hernandez STA BCC CEDPA EngenderHealth Nancy Tian Isaiah Ndong Senior Advisor/Capacity Building Regional Director for West Africa FHI Jo Ann Lewis Senior Vice President FHI Florence Carayon Training and Program Officer FHI Hally Mahler Senior BCC Specialist (703) FHI FHI FHI Bob Rice John Stanback Matthew Tiedemann The Future's Group Carol Sheperd The Future's Group Koki Agarwal IMPACT/FHI JHPIEGO JHPIEGO JHPIEGO JHPIEGO Tony Bennett Alain Damiba Kathy Jesencky Amy Rial Susi Wyss Deputy Director for Field, Information and Training Service Senior Associate Health Services Research Associate Director, Field, Information and Training Service Director Planning and Finance, the Policy Project Deputy Director for RH Policy Project Associate Director of Field Programs Vice President of Program Operations Director, Program Management of Maternal and Neonatal Health Program Development Officer in the Africa Office Associate Director, Field, Information and Training Service JHU/CCP Jane Brown Senior Program Officer JHU/CCP Michelle Heerey Program Officer II-QOC JSI/DELIVER Sangeeta Raja Country Team Leader MSH Robert Burn Senior Program Associate MSH MSH John Paxman Steve Solter Principal Program Associate CHS Principal Program Associate CHS Transformer les meilleures pratiques possibles en outils de programme utiles, 11 octobre

Cartographie Stratégique du Programme National de Planification Familiale au Bénin

Cartographie Stratégique du Programme National de Planification Familiale au Bénin 4301 N. Fairfax Drive, Suite 400 Arlington, VA 22203 Tel: (703) 310-3500 Fax: (703) 524-7898 www.advanceafrica.org Expanding family planning and reproductive health services in Africa Cartographie Stratégique

Plus en détail

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION

GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION GUIDE DE SUIVI ET D ÉVALUATION Lutte contre le VIH, la tuberculose, le paludisme et renforcement des systèmes de santé et des systèmes communautaires Partie 1 : Exigences du système de suivi et d évaluation

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires

Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Modernisation et gestion de portefeuilles d applications bancaires Principaux défis et facteurs de réussite Dans le cadre de leurs plans stratégiques à long terme, les banques cherchent à tirer profit

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle

ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle Projet d Appui Institutionnel

Plus en détail

Dakar, Sénégal : du 17au 28 Juillet 2006

Dakar, Sénégal : du 17au 28 Juillet 2006 En Collaboration avec le Réseau des Partenaires Francophones en Population et Santé de la Reproduction Partenaires en Population, SR et Réformes du Système de Santé «S ADAPTER AU CHANGEMENT :: Atttteiindrre

Plus en détail

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents

Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins

Plus en détail

L ANALYSE COUT-EFFICACITE

L ANALYSE COUT-EFFICACITE L ANALYSE COUT-EFFICACITE 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L analyse coût-efficacité est un outil d aide à la décision. Il a pour but d identifier la voie la plus efficace, du point de vue

Plus en détail

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique

Plus en détail

FINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE»

FINANCEMENT DE «PARTENAIRE PILOTE» Manuel de mise en œuvre de la communication pour le changement social et comportemental (CCSC) à destination des adolescents en milieu urbain en matière de santé sexuelle et reproductive (SSR) Organisation

Plus en détail

DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE

DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE MSHP MODULE D ORIENTATION DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE Réalisé en mai 2012 avec l appui

Plus en détail

DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES

DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES Préambule: DESCRIPTION D AFFECTATION DE VOLONTAIRE DES NATIONS UNIES Le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU) est au sein des Nations Unies l organisation qui, au niveau mondial, est chargée

Plus en détail

Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques

Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques NATIONS UNIES BES Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques Plénière de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre

Plus en détail

1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE

1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE HHFDS/HS-2007 HAITI HEALTHIER FAMILIES OF DESIRED SIZE 1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE 2007 Uder Antoine, Chef de Mission Adjoint Plan Brève présentation du projet Stratégies spécifiques Mécanismes de financement

Plus en détail

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

CONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL

CONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL Organisation de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL C-WP/Simulation 5/12/14 CONSEIL SIMULATION SPÉCIALE DU CONSEIL DÉFIS RELATIFS AUX PRÉVISIONS DE PÉNURIE DE PERSONNEL AÉRONAUTIQUE QUALIFIÉ

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

Quatre Éléments Clés de la Réalisation des Plans d Application Chiffrés pour la Planification Familiale

Quatre Éléments Clés de la Réalisation des Plans d Application Chiffrés pour la Planification Familiale Kit de Ressources du Plan d Application Chiffré Kit de Ressources Quatre Éléments Clés de la Réalisation des Plans d Application Chiffrés pour la Planification Familiale Approches et outils pour traduire

Plus en détail

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil

Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil Commission de l Union africaine Réunion préparatoire du groupe d experts de la troisième Conférence des ministres africains chargés de l enregistrement des faits d état civil République de Côte d Ivoire

Plus en détail

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité

Plus en détail

Guide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique

Guide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES POLITIQUES DIRECTION DES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUES Projet «BONNE GOUVERNANCE DANS LA SOCIETE DE L INFORMATION» CAHDE (2009) 2F Strasbourg, 20 janvier 2009 Guide No.2 de

Plus en détail

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011

Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits

Plus en détail

Burkina Faso 2011 2015

Burkina Faso 2011 2015 soutenu par la Résumé du rapport d évaluation sur l impact Stratégie pays Burkina Faso 2011 2015 Novembre 2014 INTRODUCTION La stratégie de LIGHT FOR THE WORLD au Burkina Faso est de tout mettre en œuvre

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

resultats EVALUATION PLANIFICATION FAMILIALE Plan stratégique national à vision multisectorielle Elaborée en Octobre 2014 Les 6 Sous-Objectifs

resultats EVALUATION PLANIFICATION FAMILIALE Plan stratégique national à vision multisectorielle Elaborée en Octobre 2014 Les 6 Sous-Objectifs EVALUATION EVALUATION DU PLAN DU PLAN DES DES RESULTATS 2014 POUR LA LA MISE MISE EN EN OEUVRE OEUVRE DU PNSPF DU PNSPF 2014-2020 2014-2020 Elaborée en Octobre 2014 Design by Grace NZOLO REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE

Plus en détail

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les

Plus en détail

Créateur d opportunités

Créateur d opportunités Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale

Plus en détail

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique

Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT Rôle et stratégie de la Banque Africaine de Développement dans la promotion de l intégration financière régionale en Afrique Gabriel Mougani Economiste financier

Plus en détail

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE

ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Distribution limitée IFAP-2008/COUNCIL.V/3 4 février 2008 Original anglais ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L ÉDUCATION, LA SCIENCE ET LA CULTURE Conseil intergouvernemental du Programme Information

Plus en détail

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale

Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Équipes de santé familiale Améliorer les soins de santé familiale Liste de vérification de la mise en œuvre d une équipe de santé familiale Juillet 2009 Version 2.0 Table des matières Introduction...3

Plus en détail

Utilisation de données par les administrateurs de programme. Objet : Durée : Objectifs :

Utilisation de données par les administrateurs de programme. Objet : Durée : Objectifs : Utilisation de données par les administrateurs de programme Objet : Ce cours a pour but de promouvoir l utilisation de données pour la planification et l amélioration basées sur des preuves des programmes

Plus en détail

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Compétences pour les intervenants canadiens en toxicomanie SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES Cette documentation est publiée

Plus en détail

Partage des coûts vs gratuité

Partage des coûts vs gratuité Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))

Plus en détail

ÉNERGIE DURABLE POUR TOUS (SE4ALL): MODÈLE DE PROGRAMME D ACTION NATIONAL. Mars 2014

ÉNERGIE DURABLE POUR TOUS (SE4ALL): MODÈLE DE PROGRAMME D ACTION NATIONAL. Mars 2014 ÉNERGIE DURABLE POUR TOUS (SE4ALL): MODÈLE DE PROGRAMME D ACTION NATIONAL Mars 2014 Le présent modèle est destiné à orienter les Gouvernements et les partenaires de l initiative énergie durable pour tous

Plus en détail

CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP

CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP CADRE DECENNAL DE PROGRAMMATION CONCERNANT LES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES (10YFP) RIO + 20 ADOPTE LE 10YFP La Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio +20) a

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

COALITION DES ENTREPRISES DE CÔTE D IVOIRE CONTRE LE VIH/SIDA (CECI)

COALITION DES ENTREPRISES DE CÔTE D IVOIRE CONTRE LE VIH/SIDA (CECI) COALITION DES ENTREPRISES DE CÔTE D IVOIRE CONTRE LE VIH/SIDA (CECI) Juli 2006 Responsable du Programme: Zadi Kessé E-mail: ebonny@cie.ci Tel : à confirmer Site Web : à confirmer 1 Analyse de la situation

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL

DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL DEUXIÈME CONFÉRENCE DES MINISTRES AFRICAINS CHARGÉS DE L ENREGISTREMENT DES FAITS D ÉTAT CIVIL Durban, Afrique du Sud 6-7 Septembre 2012 Thème «Amélioration de l infrastructure institutionnelle et humaine

Plus en détail

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ

LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ LES UCS AU COEUR DE LA RÉFORME DU SYSTÈME DE SANTÉ POURQUOI UNE RÉFORME? Améliorer l État de santé de la population Plus d Équité, Une meilleure couverture, Et La maîtrise des coûts! THÈMES PRIORITAIRES

Plus en détail

Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage?

Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage? ÉTUDE TECHNIQUE Vos données sont-elles adaptées à l informatique en nuage? De toutes les questions à se poser avant de migrer vers le nuage, la suivante est la plus pertinente : mes données sont-elles

Plus en détail

McMaster Health Forum

McMaster Health Forum McMaster Health Forum Résumé du dialogue : L intégration des infirmières cliniciennes spécialisées et des infirmières praticiennes dans les milieux de soins actifs au Canada Le 7 juillet 2011 1 L intégration

Plus en détail

Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010

Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010 1 Cadre logique du Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé 2009-2010 Objectif global : Le Programme National de Promotion des Mutuelles de Santé contribue effectivement à la mise en place

Plus en détail

Projet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement

Projet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement Projet de Femmes et Familles de l Afrique pour la Préparation au Traitement et l Education en matière de Traitement GUIDE DE DEMANDE DE SUBVENTION RESERVE AUX RESEAUX NATIONAUX DES FEMMES VIVANT AVEC LE

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels

Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels La majorité des organisations comptent sur les voyages d affaires pour réaliser leurs objectifs opérationnels, qu il s agisse de

Plus en détail

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo

Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO

Plus en détail

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé

L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle

Plus en détail

Renforcement de la Nutrition (SUN) Stratégie du mouvement [2012-2015]

Renforcement de la Nutrition (SUN) Stratégie du mouvement [2012-2015] Renforcement de la Nutrition (SUN) Stratégie du mouvement [2012-2015] Septembre 2012 Table des Matières SYNOPSIS... 1 A : VISION ET OBJECTIFS DU MOUVEMENT SUN... 2 B : APPROCHES STRATÉGIQUES ET OBJECTIFS...

Plus en détail

Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1

Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Marthe Deschesnes, Ph.D. Catherine Martin, M.Sc. Adèle Jomphe Hill, Ph.D

Plus en détail

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes

Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Nations Unies UNW/2014/CRP.10 Conseil d administration de l Entité des Nations Unies pour l égalité des sexes et l autonomisation des femmes Deuxième session ordinaire de 2014 Septembre 2014 Point 2 de

Plus en détail

Programme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP)

Programme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP) Strategié de renforcement du potentiel de recherche dans les pays en développement via l octroi de bourses pour la formation à la recherche et pour la réintégration Bourses de Formation à la Recherche

Plus en détail

Le rôle du courtier principal

Le rôle du courtier principal AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent

Plus en détail

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé

INTERNET ET SANTÉ. Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé QUESTIONS REPONSES INTERNET ET SANTÉ Proposition de titre : La certification : un moyen d améliorer la qualité des sites dédiés à la santé LE CONTEXTE Dispose t-on de données relatives à la fréquentation

Plus en détail

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité

Adaptation de l organigramme à des clubs de diverses importances. Avantages de l organigramme modèle. Clubs à effectif limité 1 Organisation d un club Organigramme du club Description des fonctions des officiers et autres responsables désignés Activités des comités du club Méthode de travail des comités Rapports des comités Une

Plus en détail

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.

DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Objectif 3 : Confinement et certification

Objectif 3 : Confinement et certification Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus

Plus en détail

Codes de bonnes pratiques en matière de dialogue sur les politiques et de financement : Promesse tenue

Codes de bonnes pratiques en matière de dialogue sur les politiques et de financement : Promesse tenue Codes de bonnes pratiques en matière de dialogue sur les politiques et de financement : Promesse tenue Bill McCloskey et Lynne Toupin Coprésidents, Table conjointe sur l Accord Codes de bonnes pratiques

Plus en détail

Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario

Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration

Plus en détail

ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti

ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti ATELIER DE FORMATION: «ÉLABORATION DES DOCUMENTS DE PROJETS ET PROGRAMMES» CENTRE JEUNE AYITI 75, angle rues Faubert et Pinchinat, Pétion-Ville, Haïti 23 &24 octobre 2003 Prepared for: USAID/Haiti Contract

Plus en détail

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Institut Ludwig Boltzmann de sociologie de la santé et de la médecine Avril 2001 Introduction

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES

FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus

Plus en détail

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE

Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE

Plus en détail

solutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020

solutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020 International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international Investir dans des solutions Plan stratégique 2015-2020 LE MOT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL Je suis très fier

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS: Utilisation de la collecte de données sur les appareils mobiles au sein du projet LAUNCH

FOIRE AUX QUESTIONS: Utilisation de la collecte de données sur les appareils mobiles au sein du projet LAUNCH FOIRE AUX QUESTIONS: Utilisation de la collecte de données sur les appareils mobiles au sein du projet LAUNCH Le projet LAUNCH, lancé en Juin 2010 et financé par l'usaid afin de promouvoir l agriculture,

Plus en détail

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO

PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation

Plus en détail

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé

Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne. Résumé Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Résumé 1 Rapport 2012 de l Observatoire de la téléphonie mobile en Afrique subsaharienne Au cours de la dernière décennie,

Plus en détail

Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie

Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie Révision du plan stratégique de Volleyball Canada février 2009 Table des

Plus en détail

MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA

MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA MISE EN OEUVRE DU BUDGET PARTICIPATIF DANS LES COLLECTIVITES LOCALES DE KAOLACK ET KEUR BAKA Préparé par l ARD de Kaolack Dans le Cadre de la Convention PNDL Enda ECOPOP Table des matières Sigles et acronymes

Plus en détail

FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN

FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN Publié en novembre 2014 Afin de bien former des interventions, évaluer les progrès, et selon le cas, raffiner leurs stratégies, les décideurs ont

Plus en détail

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger

Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Argumentaire du Développement de la Couverture Universelle en Santé au Niger Dr HIM & AGK Niamey, avril 2014 P a g e 1 Introduction La Constitution nigérienne du 25 Novembre 2010 dispose, en son article

Plus en détail

4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016

4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016 4 e SONDAGE SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE EN PRÉPARATION DU FORUM POUR LA COOPÉRATION EN MATIÈRE DE DÉVELOPPEMENT 2016 SONDAGE 2015 SUR LA RESPONSABILITÉ MUTUELLE NATIONALE Le quatrième sondage

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi)

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016. Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) PLAN STRATÉGIQUE 2013-2016 Institut de la gestion financière du Canada (igf*fmi) Ce rapport a été préparé par : 205, rue Catherine, Suite 300 Ottawa, Ontario K2P 1C3 Tél. : 613.230.6424 Fax : 613.567.1504

Plus en détail

COALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA)

COALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA) COALITION D ENTREPRISES SUD-AFRICAINES CONTRE LE HIV/SIDA (SABCOHA) Octobre 2005 Responsable du Programme: Brad Mears Tel : +27 11880 4821 E-mail: brad@sabcoha@co.za Site Web : www.sabcoha.co.za 1 Analyse

Plus en détail

Sondage sur le climat. scolaire. Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs

Sondage sur le climat. scolaire. Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs Sondage sur le climat scolaire Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs SONDAGE EN LIGNE Table des matières Introduction...2 Instructions étape par étape à l intention

Plus en détail

Veuillez noter que les questions des sondages en ligne s inspirent des questions posées aux groupes de discussion.

Veuillez noter que les questions des sondages en ligne s inspirent des questions posées aux groupes de discussion. Groupe de discussion, questions du sondage en ligne et entrevues avec les informateurs clés Adapté du Centre for Organizational Effectiveness Inc. Groupes de discussion Veuillez noter que les questions

Plus en détail

Communauté. Découverte. Collaboration. Plan stratégique de la Bibliothèque publique de Winnipeg

Communauté. Découverte. Collaboration. Plan stratégique de la Bibliothèque publique de Winnipeg Communauté. Découverte. Collaboration. Plan stratégique de la Bibliothèque publique de Winnipeg 2015-2020 Message du directeur Nous sommes heureux de présenter le Plan stratégique de 2015-2020 de la Bibliothèque

Plus en détail

De meilleurs soins :

De meilleurs soins : De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé

Plus en détail

Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés

Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés Groupes de travail I, II et III du CoC-EEI 23 juillet 2009 Dotation en personnel, location et couverture des bureaux décentralisés 1. La présente note rend compte des travaux en cours concernant la décentralisation,

Plus en détail

EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE

EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT

Plus en détail

Viabilité. 8.1 Aperçu. 8.2 Avant de commencer. 8.3 Planification stratégique. 8.4 Ressources en ligne concernant la planification stratégique

Viabilité. 8.1 Aperçu. 8.2 Avant de commencer. 8.3 Planification stratégique. 8.4 Ressources en ligne concernant la planification stratégique Viabilité 8.1 Aperçu 8.2 Avant de commencer 8.2.1 Différence entre planification annuelle et stratégique 8.2.2 Préparation pour la planification stratégique 8.2.3 Douze questions clés avant de commencer

Plus en détail

Surtout, Données de recherche Canada salue le leadership dont le Groupe 3+ a fait preuve en mettant en branle l actuel processus de consultation.

Surtout, Données de recherche Canada salue le leadership dont le Groupe 3+ a fait preuve en mettant en branle l actuel processus de consultation. Réponse de Données de recherche Canada au document de consultation Tirer profit des données massives : Vers un nouveau cadre stratégique pour l évolution de la recherche numérique au Canada Novembre 2013

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail