Le rôle méconnu des sociétés de négoce international : un exemple dans le domaine des denrées agricoles

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le rôle méconnu des sociétés de négoce international : un exemple dans le domaine des denrées agricoles"

Transcription

1 Le rôle méconnu des sociétés de négoce international : un exemple dans le domaine des denrées agricoles Le négociant se place toujours entre une offre et une demande qu il ne contrôle pas. C est un prestataire de service. Il agit en propre et intervient en son nom. Il répond à la demande (urgente habituellement) d un consommateur ou d un producteur. Il assure un service vis-à-vis de chacun d entre eux, et ce service est la gestion d un risque qu il assume. C est la phrase clé : il assume un risque. Le rôle de ce négociant est de découvrir, d isoler, d analyser les risques d une transaction entre une offre et une demande qui ne correspondent généralement pas dans l espace et dans le temps. Le négociant va donc prendre des risques en répondant au désir d un vendeur de vendre à certaines conditions, et à un acheteur d acheter à des conditions généralement différentes. Il doit gérer ces risques avec rigueur, c est-àdire choisir de les couvrir ou de les prendre pour son compte, ce qui engendre des coûts et des primes de risque qui font partie de la marge. Le profit effectif dépendra de son travail, c est-à-dire de la qualité vérifiée de ses analyses, une fois la transaction portée à bonne fin. S il est trop cher, il n est pas compétitif : n oublions pas qu il a des concurrents, multinationaux et autres. S il fait mal son évaluation, sa marge deviendra négative, il y aura perte, il ne sera pas longtemps capable d assumer les risques qu il prend. Il ne sera plus la contrepartie indiscutable qu il doit être. Un négociant sérieux n assume lui-même que les risques qu il contrôle, et dans la mesure de ses moyens. Les autres risques, il doit les couvrir et payer le coût de cette couverture. Ainsi agit-il avec responsabilité. Et seulement ainsi y a-t-il une vraie concurrence et un juste coût. En remplissant ce rôle, le négociant justifie sa présence dans le circuit économique. Il est nécessaire au vendeur et à l acheteur, utilise les autres facteurs économiques qui doivent intervenir dans la transaction, tels que surveillants, transporteur, assureur, banquier, par exemple, et, comme un maître d œuvre responsable du projet, il sous-traite les risques en utilisant les diverses techniques disponibles. Ces risques sont des risques d exécution (logistique par exemple), des risques sur le prix, des risques financiers. À la fin, lorsqu il a exécuté et a encaissé l opération, le commerçant fait un profit (brut) si la marge qu il a estimée au départ s avère positive dans la réalité, ou une perte si son évaluation a été mauvaise. Pour donner un ordre de grandeur, en moyenne, un négociant gagne 1 % de son chiffre d affaires. Les sociétés de négoce ont souvent une histoire vieille de 100 ans ou plus. Leur métier n a jamais cessé d évoluer en s adaptant d une part aux politiques (nationalisation/libéralisation, mise en place de politiques agricoles, etc ), et, d autre part et surtout, en intégrant l évolution de la technologie et du traitement de l information (télégramme, télex, téléphone, et aujourd hui informatique, etc ), l objectif étant de tout savoir d une demande et d une offre en permanente évolution, et dont elles ne sont elles-mêmes jamais la source. Ce n est pas ce qu en dit d elles la «légende populaire». Les échanges internationaux 79

2 The little-known role of international trading companies: an example in the field of agricultural commodities Traders, by definition, operate between a supply and a demand that they do not control. They are service providers. They do business in their own name. They satisfy the (typically urgent) demand of a consumer or producer. They provide a service to each of them, and this service consists in managing a risk that they bear directly. Indeed, risk-bearing is the essence of their business. The trader s role is to identify, isolate, and analyze the risks of a transaction between a supply and a demand that seldom match, either in time or in space. The trader will therefore take risks by fulfilling a seller s wish to sell on given terms and a buyer s wish to purchase on usually different terms. The trader must manage these risks in a rigorous way, i.e., by choosing to hedge them or to carry them in full: this choice generates costs and risk premiums that form part of the margin. The actual profit will depend on the trader s work, in other words, on the proven quality of his or her analysis once the transaction is brought to a successful close. Traders who are too expensive will not be competitive: remember that they have rivals, some of them multinational. Traders who misjudge situations will end up with negative margins, will incur losses, and will be unable to carry the risk burden for long. They will cease to perform their expected role as unquestioned counterparties. Serious traders bear only those risks that they control directly, and to the extent of their resources. Other risks must be hedged, and the cost of this coverage must be paid. That is the responsible way of doing business and the only way to achieve genuine competition and a fair cost. By playing this role, traders justify their presence in the economic channels. They are necessary for buyers and sellers; they use the other economic factors involved in the transaction, such as watchmen, carriers, insurance agents, and bankers; and, like a prime contractor in charge of the project, they subcontract the risks by using the various methods available. These risks comprise execution risks (such as logistics), price risks, and financial risks. At the end of the process, when the transaction has been completed and settled, the trader realizes a (gross) profit if the margin initially estimated proves positive, or a loss if there has been a misjudgment. To give an average order of magnitude, a trader earns 1% on sales. Trading firms are often a century old or more. Their business has never stopped evolving. First, they have had to adjust to political change, such as nationalization/liberalization and the implementation of agricultural policies. Second, and most important, they have had to incorporate advances in technology and information processing: telegram, telex, telephone, and, today, IT and so on. The goal is to obtain total knowledge of continuously changing demand and supply, which never originates with the traders themselves. But that is not what popular legend says about traders. 80 Insee Méthodes

3 LE RÔLE MÉCONNU DES SOCIÉTÉS DE NÉGOCE INTERNATIONAL : UN EXEMPLE DANS LE DOMAINE DES DENRÉES AGRICOLES Francis Blum Ancien président, Louis-Dreyfus Négoce, vice-président international, Confédération française du commerce de gros inter-entreprises et du commerce international (CGI) 1 La question du rôle d une société de négoce international dans le domaine des denrées agricoles semble toujours sous-entendre tabou, mystère et en tout cas opacité. J ai entendu dire «négociant», «courtier», et ai cru sentir des allusions au trafic d influence, aux pots-de-vin On sous-entend spéculateurs, manipulateurs de prix La connotation est toujours, ou presque, négative. Nombreux sont ceux qui nous voient comme des parasites, des profiteurs, de vils spéculateurs, voire des affameurs. Un film comme «Le sucre», sorti il y a près de trente ans, demeure dans les mémoires. C est l histoire caricaturée d une magouille, bien loin de la réalité. Je suis heureux d avoir l occasion de vous présenter un scénario moins spectaculaire mais beaucoup plus proche de la réalité. Le négociant : un gestionnaire de risques Une société de négoce se place toujours entre une offre et une demande qu elle ne contrôle pas ; c est un prestataire de service qui agit en propre et intervient en son nom. Elle répond à la demande urgente habituellement d un industriel consommateur ou d un producteur. Elle assure un service vis-à-vis de chacun d eux et, pour ce faire, elle assume des risques. Le rôle du négociant en matières premières agricoles est de découvrir, d isoler, d analyser les risques d une transaction entre une offre et une demande qui ne correspondent généralement pas, dans l espace et dans le temps, et de les assumer. Dans ce domaine, il est facile d imaginer les différences géographiques ; moins évidente, la notion du temps, intervient à deux niveaux : en premier lieu, l offre du producteur et la demande du consommateur peuvent vouloir se concrétiser à des moments différents : en matière de céréales, par exemple, le producteur peut souhaiter réaliser ses ventes au moment de sa récolte annuelle, tandis que le consommateur peut, lui, souhaiter répartir ses achats sur toute une année ; en deuxième lieu, pour toutes les matières premières agricoles, on ne traite que rarement des opérations sur des marchandises disponibles : on traite généralement pour des livraisons espacées et plus ou moins lointaines dans le temps. Le négociant va donc prendre des risques en répondant aux désirs du vendeur de vendre et à un acheteur d acheter, à des conditions généralement différentes. Il doit gérer ces risques avec rigueur. Il doit en effet choisir de couvrir les risques et de les prendre pour son compte, ce qui engendre des coûts et des primes de risque qui font partie de sa marge. Le profit dépendra de son travail, c'est-à-dire de la qualité vérifiée de ses analyses, une fois la transaction portée à bonne fin. S il est trop cher, il n est pas compétitif ; s il fait mal son évaluation, il ne sera pas longtemps capable d assumer les risques qu il prend. Sa qualité, en tant que contrepartie, devra disparaître. 1 Ce texte n a pas été relu par l intervenant. Les échanges internationaux 81

4 Un négociant sérieux n assume lui-même que les risques qu il contrôle, dans la mesure de ses propres moyens. Il doit couvrir les autres risques et payer le coût de cette couverture. Ainsi, agit-il avec responsabilité. C est seulement de cette façon qu il y a vraie concurrence et juste prix. En remplissant son rôle, le négociant justifie sa présence dans le circuit économique : il est nécessaire au vendeur et à l acheteur. Il utilise aussi les autres facteurs économiques qui doivent remplir un rôle dans la transaction : surveillants, transporteurs, assureurs, banquiers. Comme un maître d œuvre responsable du projet, il sous-traite des risques en utilisant les diverses techniques disponibles. Le négociant : une passerelle entre vendeur et acheteur Si les risques de prix sont aujourd hui les plus spectaculaires, compte tenu de la volatilité des prix, une catégorie de risques existe depuis la naissance du commerce international : celle qui concerne l exécution de l opération, que je qualifie de «risques physiques». Un producteur de céréales souhaite vendre le produit de sa récolte ; un acheteur souhaite l acheter. Prenons l exemple d un producteur de blé argentin, dont la marchandise sera vendue à un meunier italien. Le producteur argentin dispose de son blé dans le silo de son hacienda. Il en montre un échantillon ; l acheteur, lui, est à Turin, souhaite une constance de qualité dont il a besoin pour ses propres acheteurs : les boulangers. Il veut recevoir ce blé en bonne condition, payer pour le poids qu il recevra, avec une limite maximum d humidité, car il n aime pas payer l eau au prix du blé. Il tolère un maximum de corps étrangers. Il veut aussi être certain de ne pas subir d interruption dans son approvisionnement, et être certain de la date de livraison à Gênes, en fonction d une cadence de déchargement, d un tirant d eau, etc. Aujourd hui, on a tendance à faire passer au second rang ces aspects traditionnels du négoce et les risques qu ils comportent. Je crois pourtant qu ils demeurent à la base de ce métier : il s agit toujours de déplacer des marchandises qui existent physiquement. Le négociant joue un rôle de passerelle entre son acheteur et son vendeur, et prend un risque. Son rôle est d analyser chaque aspect de son intervention et les risques qu elle comporte : pour ce qui est de la qualité, il va faire confiance au vendeur quant à la représentativité de l échantillon qui lui est remis ; il pourra éventuellement mélanger cette marchandise avec une autre afin d entrer dans la définition d un standard ; pour ce qui est de la condition à l arrivée, il doit veiller à ce que le transport s effectue dans des conditions normales les denrées agricoles étant périssables ; il va utiliser son expérience pour évaluer la perte de poids de la marchandise durant le voyage, et va décider lui-même de s assurer ou va faire appel aux services d un surveillant afin de forfaitiser l assurance de la perte de poids de la même façon que pour l humidité et tous facteurs pouvant faire évoluer le produit pendant son déplacement ; le négociant va ensuite prendre des dispositions logistiques pour le transport à terre, pour le stockage dans le port, pour le chargement, pour le transport maritime. Ce sont des opérations qui nécessitent beaucoup de personnel, un mouvement important et des coûts importants. Le négociant va prévoir tous les aléas pouvant entourer ces opérations ; il va assurer la marchandise, et prendre la responsabilité de la cargaison vis-à-vis du navire ; il va convenir des formalités qui marqueront l engagement de sa responsabilité et son dégagement des pénalités qu il peut avoir à payer. En un mot, il va établir un contrat qu il va être en mesure de respecter. Aujourd hui, les choses se standardisent. Les associations professionnelles ont élaboré des contrats type. Les qualités font l objet de standards. 82 Insee Méthodes

5 Tout prévoir, y compris que «le bateau coule» Mais il existe toujours une partie de l écart entre conditions d achat et conditions de vente, et c est le rôle du négociant de prévoir cet écart et d en assumer les risques. Le négociant doit rédiger des contrats et les exécuter suivant les règles de l art. À lui de prévoir, là encore, toutes les situations. Au début de ma carrière, mon patron avait coutume de nous demander : «et si le bateau coule?». Nous étions censés avoir tout prévu. En règle générale, le négociant n a pas le droit de se faire prendre dans une situation dont il n a pas étudié objectivement le risque. Imaginez l effet d un retard de livraison dans notre exemple : le boulanger pourrait-il invoquer le défaut du négociant vis-à-vis du minotier? Et ainsi de suite. Si la probabilité qu un risque se réalise est estimée nulle, la possibilité doit avoir été examinée et écartée. Le négociant est amené à prendre des risques que nous avons appelés «physiques» : soit il se couvre ce qui implique un coût soit il en répercute le coût, en fonction de son analyse, auquel cas ces coûts entrent dans son prix. Le prix de vente du négociant - que l on appelle le «calcul» - sera ainsi composé du prix de la marchandise, des coûts et de la marge. En réalité, le prix sera le prix du marché, car il existe toujours une concurrence. Les décalages dans le temps, la nature des services demandés par le vendeur et par l acheteur vont faire courir au négociant des risques de prix, qui constituent encore une autre catégorie de risques. Chaque fois que le négociant ne pourra pas couvrir simultanément un des éléments du coût ou les prix d achat et de vente, il sera en risque de prix. Cela peut être le cas pour des éléments du calcul autres que le prix de la marchandise ; mais nous parlons surtout ici du risque lié au prix de la marchandise. Contrebalancer le risque sur un fret Argentine-Gênes par celui d un fret Brésil-Japon Pour reprendre notre exemple de transport de blé d Argentine vers l Italie, au moment où il va fixer les prix d achat et de vente, le négociant va calculer ses coûts. Supposons que, dans notre exemple, le coût du transport maritime en représente une bonne partie. Si le coût des transports à terre est assez peu volatil, ce n est pas le cas de la partie maritime. Notre négociant va donc devoir soit fixer à l avance de façon définitive un taux de fret, soit estimer le fret sans le couvrir : il est alors en risque sur le taux de fret. Va-t-il en conserver le risque, estimant que le potentiel de fluctuation à la hausse est raisonnable et qu il peut accepter d être en position spéculative? Va-t-il «forfaiter» son risque auprès d un armateur? Ou va-t-il essayer de limiter son risque? Trouvera-t-il un marché dont les fluctuations seront représentatives ou parallèles aux fluctuations Argentine- Gênes? Si oui, il peut construire une autre opération, dont le résultat visera à le mettre dans une position de fret à l inverse de celle dans laquelle il se trouve. Contre son risque Argentine-Gênes, il peut par exemple prendre une position inverse sur un fret Brésil-Japon. Son risque de fret réside maintenant dans le rapport (que l on appelle le «spread») entre l Argentine-Gênes et le Brésil-Japon. Si son appréciation de la valeur relative des deux frets est exacte et, s il a pris soin de faire son spread sur un fret qu il sait pouvoir revendre facilement, il gagnera sur l une des deux positions ce qu il perdra sur l autre au moment où il fixera son bateau réel et qu il défera l ensemble de ses positions. Le négociant aura «hedgé» son fret. C est ce principe du hedging qui est la base de la couverture du risque de prix. La volatilité des prix nécessite en effet une couverture. Le hedging la lui apporte. On peut qualifier celui-ci comme une opération en sens inverse d une première, la perte dans un sens étant compensée par un gain dans l autre sens. L intelligence du négociant consistera à choisir un rapport de prix qui évoluera à son avantage. Généralement, les marchés à terme, très liquides, garantissent la fiabilité de ses hedges. Il existe une troisième catégorie de risques, communs à de nombreuses activités : les risques financiers. Ceci inclut les risques de change. Cela inclut également les risques de contrepartie : le fait que le négociant présent à Les échanges internationaux 83

6 l origine est présent à l arrivée lui impose de contrôler que tout se passe normalement avec son vendeur comme avec son acheteur. Des risques politiques peuvent également exister même s ils tendent à décroître. Il existe aussi un risque dont on parle peu : le risque de taux d intérêt. Dans la société dans laquelle j ai travaillé, nous traitions environ 30 millions de tonnes de céréales par an. Le financement d une opération prenait environ 30 jours. Autrement dit, tout au long de l année, nous étions en train de monter des financements pour, en moyenne, 2,5 millions de tonnes de céréales à chaque fois. La valeur de la tonne de céréales était de 200 dollars. Un rapide calcul montre donc que le montant en jeu avoisinait 500 millions de dollars à chaque opération. Sur une telle somme, un demi pour cent d intérêt représente 2,5 millions de dollars. 84 Insee Méthodes

Application Form/ Formulaire de demande

Application Form/ Formulaire de demande Application Form/ Formulaire de demande Ecosystem Approaches to Health: Summer Workshop and Field school Approches écosystémiques de la santé: Atelier intensif et stage d été Please submit your application

Plus en détail

INTERNATIONAL CONSULTANT & SUPPLIERS TO THE WINE & SPIRITS TRADE

INTERNATIONAL CONSULTANT & SUPPLIERS TO THE WINE & SPIRITS TRADE Conditions Générales de Vente Article 1 Sauf stipulation contraire, nos offres s entendent sans engagement. Les ordres reçus ne nous lient qu après notre confirmation. Article 2 Sauf convention contraire,

Plus en détail

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,

Plus en détail

Gestion économique du produit agricole, dossier 3, Arnaud Diemer, IHEDREA, MCF Clermont-Ferrand LES MARCHES A TERME

Gestion économique du produit agricole, dossier 3, Arnaud Diemer, IHEDREA, MCF Clermont-Ferrand LES MARCHES A TERME LES MARCHES A TERME Institut des Hautes Etudes en Droit Rural et Economie Agricole 1 PLAN I ) CARACTERISTIQUES DES MARCHES A ) Objectifs B ) Fonctions C ) Conditions d existence D ) Types d intervention

Plus en détail

Nouveautés printemps 2013

Nouveautés printemps 2013 » English Se désinscrire de la liste Nouveautés printemps 2013 19 mars 2013 Dans ce Flash Info, vous trouverez une description des nouveautés et mises à jour des produits La Capitale pour le printemps

Plus en détail

4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.

4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. 4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option

Plus en détail

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Ce manuel est écrit pour les utilisateurs qui font déjà configurer un compte de courrier électronique dans Mozilla Thunderbird et

Plus en détail

Frequently Asked Questions

Frequently Asked Questions GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the

Plus en détail

If you understand the roles nouns (and their accompanying baggage) play in a sentence...

If you understand the roles nouns (and their accompanying baggage) play in a sentence... If you understand the roles nouns (and their accompanying baggage) play in a sentence...... you can use pronouns with ease (words like lui, leur, le/la/les, eux and elles)...... understand complicated

Plus en détail

IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board

IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board IPSAS 32 «Service concession arrangements» (SCA) Marie-Pierre Cordier Baudouin Griton, IPSAS Board 1 L élaboration de la norme IPSAS 32 Objectif : traitement comptable des «service concession arrangements»

Plus en détail

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM

SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM SCHOLARSHIP ANSTO FRENCH EMBASSY (SAFE) PROGRAM 2015-2 APPLICATION FORM APPLICATION FORM / FORMULAIRE DE CANDIDATURE Note: If there is insufficient space to answer a question, please attach additional

Plus en détail

Compléter le formulaire «Demande de participation» et l envoyer aux bureaux de SGC* à l adresse suivante :

Compléter le formulaire «Demande de participation» et l envoyer aux bureaux de SGC* à l adresse suivante : FOIRE AUX QUESTIONS COMMENT ADHÉRER? Compléter le formulaire «Demande de participation» et l envoyer aux bureaux de SGC* à l adresse suivante : 275, boul des Braves Bureau 310 Terrebonne (Qc) J6W 3H6 La

Plus en détail

Un guide étape par étape pour le trading des options binaires

Un guide étape par étape pour le trading des options binaires Un guide étape par étape pour le trading des options binaires www.cedarfinance.com Sommaire 3 Les meilleures raisons pour effectuer des transactions sur les options binaires 4 Les options binaires: leur

Plus en détail

ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE:

ETABLISSEMENT D ENSEIGNEMENT OU ORGANISME DE FORMATION / UNIVERSITY OR COLLEGE: 8. Tripartite internship agreement La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract defines the

Plus en détail

Discours du Ministre Tassarajen Pillay Chedumbrum. Ministre des Technologies de l'information et de la Communication (TIC) Worshop on Dot.

Discours du Ministre Tassarajen Pillay Chedumbrum. Ministre des Technologies de l'information et de la Communication (TIC) Worshop on Dot. Discours du Ministre Tassarajen Pillay Chedumbrum Ministre des Technologies de l'information et de la Communication (TIC) Worshop on Dot.Mu Date: Jeudi 12 Avril 2012 L heure: 9h15 Venue: Conference Room,

Plus en détail

Module Title: French 4

Module Title: French 4 CORK INSTITUTE OF TECHNOLOGY INSTITIÚID TEICNEOLAÍOCHTA CHORCAÍ Semester 2 Examinations 2010 Module Title: French 4 Module Code: LANG 6020 School: Business Programme Title: Bachelor of Business Stage 2

Plus en détail

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.

PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique

Plus en détail

Support Orders and Support Provisions (Banks and Authorized Foreign Banks) Regulations

Support Orders and Support Provisions (Banks and Authorized Foreign Banks) Regulations CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Support Orders and Support Provisions (Banks and Authorized Foreign Banks) Regulations Règlement sur les ordonnances alimentaires et les dispositions alimentaires (banques

Plus en détail

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on

that the child(ren) was/were in need of protection under Part III of the Child and Family Services Act, and the court made an order on ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Applicant(s) (In most cases, the applicant will be a children s aid society.) Full legal name & address for service street & number, municipality,

Plus en détail

LE PROFESSIONNEL - THE PROFESSIONAL

LE PROFESSIONNEL - THE PROFESSIONAL Qu avons nous appris? SOMMAIRE : CHANGEMENTS À LA LOI sur le COURTAGE IMMOBILIER 1. Certificats : 2. Exemptions pour les courtiers immobiliers qui peuvent exécuter une transaction immobilière vendre /

Plus en détail

Consultants en coûts - Cost Consultants

Consultants en coûts - Cost Consultants Respecter l échéancier et le budget est-ce possible? On time, on budget is it possible? May, 2010 Consultants en coûts - Cost Consultants Boulletin/Newsletter Volume 8 Mai ( May),2010 1 866 694 6494 info@emangepro.com

Plus en détail

Règlement sur le télémarketing et les centres d'appel. Call Centres Telemarketing Sales Regulation

Règlement sur le télémarketing et les centres d'appel. Call Centres Telemarketing Sales Regulation THE CONSUMER PROTECTION ACT (C.C.S.M. c. C200) Call Centres Telemarketing Sales Regulation LOI SUR LA PROTECTION DU CONSOMMATEUR (c. C200 de la C.P.L.M.) Règlement sur le télémarketing et les centres d'appel

Plus en détail

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing?

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Alexandre Loire A.L.F.A Project Manager July, 5th 2007 1. Changes to roles in customer/supplier relations a - Distribution Channels Activities End customer

Plus en détail

L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen

L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES 13 European Economic and Social Committee Comité économique et social européen 13 This publication is part of a series of catalogues published in the context of

Plus en détail

86 rue Julie, Ormstown, Quebec J0S 1K0

86 rue Julie, Ormstown, Quebec J0S 1K0 Tel : (450) 829-4200 Fax : (450) 829-4204 Email : info@rout-am.com Contacts: Jean Côté jean@rout-am.com Jocelyn Côté jocelyn@rout-am.com Dispatch info@rout-am.com Phone: (450) 829-4200 Fax: (450) 829-4204

Plus en détail

CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT

CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT CONVENTION DE STAGE TYPE STANDART TRAINING CONTRACT La présente convention a pour objet de définir les conditions dans lesquelles le stagiaire ci-après nommé sera accueilli dans l entreprise. This contract

Plus en détail

RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5

RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS RÈGLE 5 SIGNIFICATION DE DOCUMENTS. Rule 5 / Règle 5 RULE 5 - SERVICE OF DOCUMENTS General Rules for Manner of Service Notices of Application and Other Documents 5.01 (1) A notice of application or other document may be served personally, or by an alternative

Plus en détail

ONTARIO Court File Number. Form 17E: Trial Management Conference Brief. Date of trial management conference. Name of party filing this brief

ONTARIO Court File Number. Form 17E: Trial Management Conference Brief. Date of trial management conference. Name of party filing this brief ONTARIO Court File Number at (Name of court) Court office address Form 17E: Trial Management Conference Brief Name of party filing this brief Date of trial management conference Applicant(s) Full legal

Plus en détail

II. LE PRINCIPE DE LA BASE

II. LE PRINCIPE DE LA BASE II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas

Plus en détail

Lesson Plan Physical Descriptions. belle vieille grande petite grosse laide mignonne jolie. beau vieux grand petit gros laid mignon

Lesson Plan Physical Descriptions. belle vieille grande petite grosse laide mignonne jolie. beau vieux grand petit gros laid mignon Lesson Plan Physical Descriptions Objective: Students will comprehend and describe the physical appearance of others. Vocabulary: Elle est Il est Elle/Il est Elle/Il a les cheveux belle vieille grande

Plus en détail

Le passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past!

Le passé composé. C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! > Le passé composé le passé composé C'est le passé! Tout ça c'est du passé! That's the past! All that's in the past! «Je suis vieux maintenant, et ma femme est vieille aussi. Nous n'avons pas eu d'enfants.

Plus en détail

LE FORMAT DES RAPPORTS DU PERSONNEL DES COMMISSIONS DE DISTRICT D AMENAGEMENT FORMAT OF DISTRICT PLANNING COMMISSION STAFF REPORTS

LE FORMAT DES RAPPORTS DU PERSONNEL DES COMMISSIONS DE DISTRICT D AMENAGEMENT FORMAT OF DISTRICT PLANNING COMMISSION STAFF REPORTS FORMAT OF DISTRICT PLANNING COMMISSION STAFF REPORTS LE FORMAT DES RAPPORTS DU PERSONNEL DES COMMISSIONS DE DISTRICT D AMENAGEMENT A Guideline on the Format of District Planning Commission Staff Reports

Plus en détail

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations

Plus en détail

Gestion des prestations Volontaire

Gestion des prestations Volontaire Gestion des prestations Volontaire Qu estce que l Income Management (Gestion des prestations)? La gestion des prestations est un moyen de vous aider à gérer votre argent pour couvrir vos nécessités et

Plus en détail

Cheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations. Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) CONSOLIDATION

Cheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations. Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) CONSOLIDATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Cheque Holding Policy Disclosure (Banks) Regulations Règlement sur la communication de la politique de retenue de chèques (banques) SOR/2002-39 DORS/2002-39 Current to

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

UML : Unified Modeling Language

UML : Unified Modeling Language UML : Unified Modeling Language Recommended: UML distilled A brief guide to the standard Object Modeling Language Addison Wesley based on Frank Maurer lecture, Univ. of Calgary in french : uml.free.fr/index.html

Plus en détail

Railway Operating Certificate Regulations. Règlement sur les certificats d exploitation de chemin de fer CODIFICATION CONSOLIDATION

Railway Operating Certificate Regulations. Règlement sur les certificats d exploitation de chemin de fer CODIFICATION CONSOLIDATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Railway Operating Certificate Regulations Règlement sur les certificats d exploitation de chemin de fer SOR/2014-258 DORS/2014-258 Current to September 10, 2015 À jour

Plus en détail

First Nations Assessment Inspection Regulations. Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations CONSOLIDATION

First Nations Assessment Inspection Regulations. Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations CONSOLIDATION CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION First Nations Assessment Inspection Regulations Règlement sur l inspection aux fins d évaluation foncière des premières nations SOR/2007-242 DORS/2007-242 Current to September

Plus en détail

affichage en français Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society

affichage en français Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society LIONS VILLAGE of Greater Edmonton Society affichage en français Informations sur l'employeur Nom de l'employeur *: Lions Village of Greater Edmonton Society Secteur d'activité de l'employeur *: Développement

Plus en détail

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.

1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns. 1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!

Plus en détail

Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées

Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride Mission commerciale Du 29 septembre au 2 octobre 2015 Veuillez remplir un formulaire par participant Coordonnées

Plus en détail

Bill 69 Projet de loi 69

Bill 69 Projet de loi 69 1ST SESSION, 41ST LEGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 1 re SESSION, 41 e LÉGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 Bill 69 Projet de loi 69 An Act to amend the Business Corporations Act and the

Plus en détail

Dans une agence de location immobilière...

Dans une agence de location immobilière... > Dans une agence de location immobilière... In a property rental agency... dans, pour et depuis vocabulaire: «une location» et «une situation» Si vous voulez séjourner à Lyon, vous pouvez louer un appartement.

Plus en détail

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par. École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par

Plus en détail

ADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing.

ADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing. LA MAÎTRISE D UN MÉTIER Depuis plus de 20 ans, ADHETEC construit sa réputation sur la qualité de ses films adhésifs. Par la maîtrise de notre métier, nous apportons à vos applications la force d une offre

Plus en détail

Manuel de référence Options sur devises

Manuel de référence Options sur devises Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à

Plus en détail

APPENDIX 6 BONUS RING FORMAT

APPENDIX 6 BONUS RING FORMAT #4 EN FRANÇAIS CI-DESSOUS Preamble and Justification This motion is being presented to the membership as an alternative format for clubs to use to encourage increased entries, both in areas where the exhibitor

Plus en détail

APPENDIX 2. Provisions to be included in the contract between the Provider and the. Holder

APPENDIX 2. Provisions to be included in the contract between the Provider and the. Holder Page 1 APPENDIX 2 Provisions to be included in the contract between the Provider and the Obligations and rights of the Applicant / Holder Holder 1. The Applicant or Licensee acknowledges that it has read

Plus en détail

Examen Final. Indications

Examen Final. Indications DANS LE SECTEUR BANQUE-ASSURANCE NOM : MATRICULE : PRENOM : Examen Final Problèmes Indications Veuillez respecter les indications suivantes: 1. Vous avez 3 heures à disposition 2. Veuillez vérifier que

Plus en détail

Cours débutants Partie 1 : LES BASES DU FOREX

Cours débutants Partie 1 : LES BASES DU FOREX Définition du FOREX : FOREX est l abréviation de Foreign Exchange market et désigne le marché sur lequel sont échangées les devises l une contre l autre. C est un des marchés les plus liquides qui soient.

Plus en détail

AVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS

AVERTISSEMENT ET INFORMATION SUR LES RISQUES LIES A LA NEGOCIATION DES CONTRATS A TERME ET DES ACTIONS Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés par Newedge Group S.A. pour le compte d un client «le Client». Le Client est informé qu il existe

Plus en détail

REVISION DE LA DIRECTIVE ABUS DE MARCHE

REVISION DE LA DIRECTIVE ABUS DE MARCHE REVISION DE LA DIRECTIVE ABUS DE MARCHE Principaux changements attendus 1 Le contexte La directive Abus de marché a huit ans (2003) Régimes de sanctions disparates dans l Union Harmonisation nécessaire

Plus en détail

Algorithmes de recommandation, Cours Master 2, février 2011

Algorithmes de recommandation, Cours Master 2, février 2011 , Cours Master 2, février 2011 Michel Habib habib@liafa.jussieu.fr http://www.liafa.jussieu.fr/~habib février 2011 Plan 1. Recommander un nouvel ami (ex : Facebook) 2. Recommander une nouvelle relation

Plus en détail

Empowering small farmers and their organizations through economic intelligence

Empowering small farmers and their organizations through economic intelligence Empowering small farmers and their organizations through economic intelligence Soutenir les petits agriculteurs et leurs organisations grâce à l intelligence économique XOF / kg RONGEAD has been supporting

Plus en détail

INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been paid yet, you may be eligible for the simplified procedure.

INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been paid yet, you may be eligible for the simplified procedure. Recipient s name 5001-EN For use by the foreign tax authority CALCULATION OF WITHHOLDING TAX ON DIVIDENDS Attachment to Form 5000 12816*01 INDIVIDUALS AND LEGAL ENTITIES: If the dividends have not been

Plus en détail

Scénarios économiques en assurance

Scénarios économiques en assurance Motivation et plan du cours Galea & Associés ISFA - Université Lyon 1 ptherond@galea-associes.eu pierre@therond.fr 18 octobre 2013 Motivation Les nouveaux référentiels prudentiel et d'information nancière

Plus en détail

TABLE DES MATIERES A OBJET PROCEDURE DE CONNEXION

TABLE DES MATIERES A OBJET PROCEDURE DE CONNEXION 1 12 rue Denis Papin 37300 JOUE LES TOURS Tel: 02.47.68.34.00 Fax: 02.47.68.35.48 www.herve consultants.net contacts@herve consultants.net TABLE DES MATIERES A Objet...1 B Les équipements et pré-requis...2

Plus en détail

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca

Francoise Lee. www.photoniquequebec.ca Francoise Lee De: Francoise Lee [francoiselee@photoniquequebec.ca] Envoyé: 2008 年 11 月 17 日 星 期 一 14:39 À: 'Liste_RPQ' Objet: Bulletin #46 du RPQ /QPN Newsletter #46 No. 46 novembre 2008 No. 46 November

Plus en détail

PRESENTATION. CRM Paris - 19/21 rue Hélène Boucher - ZA Chartres Est - Jardins d'entreprises - 28 630 GELLAINVILLE

PRESENTATION. CRM Paris - 19/21 rue Hélène Boucher - ZA Chartres Est - Jardins d'entreprises - 28 630 GELLAINVILLE PRESENTATION Spécialités Chimiques Distribution entreprise créée en 1997, a répondu à cette époque à la demande du grand chimiquier HOECHTS (CLARIANT) pour distribuer différents ingrédients en petites

Plus en détail

The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles

The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles The assessment of professional/vocational skills Le bilan de compétences professionnelles 03/06/13 WHAT? QUOI? Subject Sujet The assessment of professional/vocational skills (3 hours) Bilan de compétences

Plus en détail

calls.paris-neuroscience.fr Tutoriel pour Candidatures en ligne *** Online Applications Tutorial

calls.paris-neuroscience.fr Tutoriel pour Candidatures en ligne *** Online Applications Tutorial calls.paris-neuroscience.fr Tutoriel pour Candidatures en ligne Online Applications Tutorial 1/4 Pour postuler aux Appels d Offres de l ENP, vous devez aller sur la plateforme : calls.parisneuroscience.fr.

Plus en détail

COMMERCE INTERNATIONAL. LES INCOTERMS 2010 DE LA CCI (synthèse)

COMMERCE INTERNATIONAL. LES INCOTERMS 2010 DE LA CCI (synthèse) 1) Introduction COMMERCE INTERNATIONAL LES INCOTERMS 2010 DE LA CCI (synthèse) Les Incoterms (contraction des mots anglais INternational COmmercial TERMS) sont des termes normalisés qui ont pour but de

Plus en détail

TARIFS PIETONS SAISON PEDESTRIAN RATES SEASON 2014/2015 TARIFS ASSURANCE CARRE NEIGE CARRE NEIGE INSURANCE RATES 2014/2015

TARIFS PIETONS SAISON PEDESTRIAN RATES SEASON 2014/2015 TARIFS ASSURANCE CARRE NEIGE CARRE NEIGE INSURANCE RATES 2014/2015 FORFAITS PIETONS PEDESTRIAN PASSES TARIFS PIETONS SAISON PEDESTRIAN RATES SEASON 2014/2015 Adulte / Adult 14 à 64 ans inclus 14 to 64 years old Réduit / Reduced 5 à 13 ans inclus / 65 à 74 ans inclus 5

Plus en détail

NOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan

NOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan Document : Plan Qualité Spécifique du Projet Project Specific Quality Plan Référence Reference : QP-3130-Rev 01 Date Date : 12022008 Nombre de Pages Number of Pages : 6 Projet Project : JR 100 Rédacteur

Plus en détail

Networking Solutions. Worldwide VSAT Maintenance VSAT dans le Monde Entretien. Satellite Communications Les Communications par Satellite

Networking Solutions. Worldwide VSAT Maintenance VSAT dans le Monde Entretien. Satellite Communications Les Communications par Satellite www.dcs-eg.com DCS TELECOM SAE is an Egyptian based Information Technology System Integrator company specializes in tailored solutions and integrated advanced systems, while also excelling at consulting

Plus en détail

Enjeux et défis en assurance habitation Marc-Olivier Faulkner 18 novembre 2011

Enjeux et défis en assurance habitation Marc-Olivier Faulkner 18 novembre 2011 Enjeux et défis en assurance habitation Marc-Olivier Faulkner 18 novembre 2011 Aviva plc AGENDA Assurance habitation des particuliers: quelques constats. Problèmes en assurance habitation. Solutions à

Plus en détail

Chapitre 14 Cours à terme et futures. Plan

Chapitre 14 Cours à terme et futures. Plan hapitre 14 ours à terme et futures Plan Différences entre contrat à terme et contrat de future Fonction économique des marchés de futures Rôle des spéculateurs Futures de matières premières Relation entre

Plus en détail

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees

Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees For Immediate Release October 10, 2014 Small Businesses support Senator Ringuette s bill to limit credit card acceptance fees The Senate Standing Committee on Banking, Trade, and Commerce resumed hearings

Plus en détail

FCM 2015 ANNUAL CONFERENCE AND TRADE SHOW Terms and Conditions for Delegates and Companions Shaw Convention Centre, Edmonton, AB June 5 8, 2015

FCM 2015 ANNUAL CONFERENCE AND TRADE SHOW Terms and Conditions for Delegates and Companions Shaw Convention Centre, Edmonton, AB June 5 8, 2015 FCM 2015 ANNUAL CONFERENCE AND TRADE SHOW Terms and Conditions for Delegates and Companions Shaw Convention Centre, Edmonton, AB June 5 8, 2015 Early-bird registration Early-bird registration ends April

Plus en détail

INSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM

INSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM INSTITUT MARITIME DE PREVENTION For improvement in health and security at work Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM Maritime fishing Shellfish-farming Sea transport 2005 Le pilier social

Plus en détail

Introduction aux marchés financiers. Le marché à terme

Introduction aux marchés financiers. Le marché à terme Introduction aux marchés financiers Le marché à terme Table des matières 1. INTRODUCTION AUX CONTRATS À TERME 1 1.1 Définition du contrat à terme 1 1.2 Exemple : La production de café 1 1.3 Position courte

Plus en détail

Credit Note and Debit Note Information (GST/ HST) Regulations

Credit Note and Debit Note Information (GST/ HST) Regulations CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Credit Note and Debit Note Information (GST/ HST) Regulations Règlement sur les renseignements à inclure dans les notes de crédit et les notes de débit (TPS/ TVH) SOR/91-44

Plus en détail

L'Offre sera ouverte pendant 18 jours de bourse, à un prix par action de 152,30 EUR. BPCE International et Outre-Mer

L'Offre sera ouverte pendant 18 jours de bourse, à un prix par action de 152,30 EUR. BPCE International et Outre-Mer CORPORATE EVENT NOTICE: Offre publique d'achat simplifiée REUNION(BANQUE DE LA) PLACE: Paris AVIS N : PAR_20150402_02663_EUR DATE: 02/04/2015 MARCHE: EURONEXT PARIS Le 02/04/2015, l'autorité des marchés

Plus en détail

How to Login to Career Page

How to Login to Career Page How to Login to Career Page BASF Canada July 2013 To view this instruction manual in French, please scroll down to page 16 1 Job Postings How to Login/Create your Profile/Sign Up for Job Posting Notifications

Plus en détail

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels

Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés

Plus en détail

EU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership:

EU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership: EU- Luxemburg- WHO Universal Health Coverage Partnership: Supporting policy dialogue on national health policies, strategies and plans and universal coverage Year 2 Report Jan. 2013 - - Dec. 2013 [Version

Plus en détail

Eléments de statistique

Eléments de statistique Eléments de statistique L. Wehenkel Cours du 9/12/2014 Méthodes multivariées; applications & recherche Quelques méthodes d analyse multivariée NB: illustration sur base de la BD résultats de probas en

Plus en détail

Industrial Phd Progam

Industrial Phd Progam Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.

Plus en détail

OUVRIR UN COMPTE CLIENT PRIVÉ

OUVRIR UN COMPTE CLIENT PRIVÉ OUVRIR UN COMPTE CLIENT PRIVÉ LISTE DE VERIFICATION Pour éviter tous retards dans le traitement de votre application pour l ouverture d un compte avec Oxford Markets ( OM, l Entreprise ) Veuillez suivre

Plus en détail

FICHE D INSCRIPTION ET FICHE D INFORMATION MEDICALE POUR ELEVES LYCEE FRANÇAIS INTERNATIONAL

FICHE D INSCRIPTION ET FICHE D INFORMATION MEDICALE POUR ELEVES LYCEE FRANÇAIS INTERNATIONAL FICHE D INSCRIPTION ET FICHE D INFORMATION MEDICALE POUR ELEVES LYCEE FRANÇAIS INTERNATIONAL Information sur participant Nom de l élève Prénom Age Sexe Date de naissance J M A ID/ Numéro de passeport Nom

Plus en détail

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES)

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 1 Project Information Title: Project Number: SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 Year: 2008 Project Type: Status:

Plus en détail

FUTURES COMPRENDRE VOTRE RELEVE DE COMPTE. WH SELFINVEST Est. 1998 Luxemburg, France, Belgium, Poland, Germany, Netherlands

FUTURES COMPRENDRE VOTRE RELEVE DE COMPTE. WH SELFINVEST Est. 1998 Luxemburg, France, Belgium, Poland, Germany, Netherlands FUTURES COMPRENDRE VOTRE RELEVE DE COMPTE WH SELFINVEST Est. 1998 Luxemburg, France, Belgium, Poland, Germany, Netherlands Copyrigh 2007-2011: all rights attached to this guide are the sole property of

Plus en détail

Lean approach on production lines Oct 9, 2014

Lean approach on production lines Oct 9, 2014 Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production

Plus en détail

Disclosure on Account Opening by Telephone Request (Trust and Loan Companies) Regulations

Disclosure on Account Opening by Telephone Request (Trust and Loan Companies) Regulations CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Disclosure on Account Opening by Telephone Request (Trust and Loan Companies) Regulations Règlement sur la communication en cas de demande téléphonique d ouverture de

Plus en détail

Confirmation du titulaire de la carte en cas de contestation de transaction(s) Cardholder s Certification of Disputed Transactions

Confirmation du titulaire de la carte en cas de contestation de transaction(s) Cardholder s Certification of Disputed Transactions Confirmation du titulaire de la carte en cas de contestation de transaction(s) Cardholder s Certification of Disputed Transactions Informations personnelles Nom/Prénom Name / Firstname Numéro de la carte

Plus en détail

I / Un marché planétaire de la devise

I / Un marché planétaire de la devise I / Un marché planétaire de la devise Le marché des changes est le plus important des marchés. Pour beaucoup, il apparaît également comme le plus parfait des marchés, sur lequel l information circule vite

Plus en détail

SERVEUR DÉDIÉ DOCUMENTATION

SERVEUR DÉDIÉ DOCUMENTATION SERVEUR DÉDIÉ DOCUMENTATION Release 5.0.6.0 19 Juillet 2013 Copyright 2013 GIANTS Software GmbH, All Rights Reserved. 1/9 CHANGE LOG Correction de bug divers (5.0.6.0) Ajout d une option de relance automatique

Plus en détail

AMENDMENT TO BILL 32 AMENDEMENT AU PROJET DE LOI 32

AMENDMENT TO BILL 32 AMENDEMENT AU PROJET DE LOI 32 THAT the proposed clause 6(1), as set out in Clause 6(1) of the Bill, be replaced with the following: Trustee to respond promptly 6(1) A trustee shall respond to a request as promptly as required in the

Plus en détail

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking

Natixis Asset Management Response to the European Commission Green Paper on shadow banking European Commission DG MARKT Unit 02 Rue de Spa, 2 1049 Brussels Belgium markt-consultation-shadow-banking@ec.europa.eu 14 th June 2012 Natixis Asset Management Response to the European Commission Green

Plus en détail

We Generate. You Lead.

We Generate. You Lead. www.contact-2-lead.com We Generate. You Lead. PROMOTE CONTACT 2 LEAD 1, Place de la Libération, 73000 Chambéry, France. 17/F i3 Building Asiatown, IT Park, Apas, Cebu City 6000, Philippines. HOW WE CAN

Plus en détail

Utiliser une WebCam. Micro-ordinateurs, informations, idées, trucs et astuces

Utiliser une WebCam. Micro-ordinateurs, informations, idées, trucs et astuces Micro-ordinateurs, informations, idées, trucs et astuces Utiliser une WebCam Auteur : François CHAUSSON Date : 8 février 2008 Référence : utiliser une WebCam.doc Préambule Voici quelques informations utiles

Plus en détail

Cours 1. 3. L environnement politique. INTRODUCTION AU MARCHÉ DES CHANGES : Le marché au comptant

Cours 1. 3. L environnement politique. INTRODUCTION AU MARCHÉ DES CHANGES : Le marché au comptant Cours INTRODUCTION AU MARCHÉ DES CHANGES : Le marché au comptant I. INTRODUCTION : L ENVIRONNEMENT FINANCIER INTERNATIONAL A. Différences entre finance domestique et finance internationale. L environnement

Plus en détail

Bénédicta, l histoire d un LBO

Bénédicta, l histoire d un LBO Bénédicta, l histoire d un LBO Bénédicta est le numéro 2 français sur le marché de la mayonnaise et des sauces froides vendues en grande distribution. Cette société faisait partie du groupe Unilever. Suite

Plus en détail

UNIVERSITE DE YAOUNDE II

UNIVERSITE DE YAOUNDE II UNIVERSITE DE YAOUNDE II The UNIVERSITY OF YAOUNDE II INSTITUT DES RELATIONS INTERNATIONALES DU CAMEROUN INTERNATIONAL RELATIONS INSTITUTE OF CAMEROON B.P. 1637 YAOUNDE -CAMEROUN Tél. 22 31 03 05 Fax (237)

Plus en détail

en SCÈNE RATIONAL Rational Démonstration SDP : automatisation de la chaîne de développement Samira BATAOUCHE sbataouche@fr.ibm.com

en SCÈNE RATIONAL Rational Démonstration SDP : automatisation de la chaîne de développement Samira BATAOUCHE sbataouche@fr.ibm.com Rational Démonstration SDP : automatisation de la chaîne de développement Samira BATAOUCHE sbataouche@fr.ibm.com Fabrice GRELIER fabrice.grelier@fr.ibm.com RATIONAL en SCÈNE 2007 IBM Corporation Objectif

Plus en détail

MODERN LANGUAGES DEPARTMENT

MODERN LANGUAGES DEPARTMENT MODERN LANGUAGES DEPARTMENT Common Assessment Task 3 YEAR 9 Je m appelle Ma classe Mark 20 10 19 22 16 13 Total Effort Instructions For this extended piece of homework, you are going to learn and write

Plus en détail

Guide WHS FX options. Commencer à trader les options FX. Prevoyez la tendance sur les marchés des devises ou couvrez vos positions avec les options FX

Guide WHS FX options. Commencer à trader les options FX. Prevoyez la tendance sur les marchés des devises ou couvrez vos positions avec les options FX Commencer à trader les options FX Guide WHS FX options Prevoyez la tendance sur les marchés des devises ou couvrez vos positions avec les options FX Affinez votre style de trading et vos perspectives de

Plus en détail

AOC Insurance Broker Compare vos Assurances Santé Internationale Economisez jusqu à 40 % sur votre prime

AOC Insurance Broker Compare vos Assurances Santé Internationale Economisez jusqu à 40 % sur votre prime Compare vos Assurances Santé Internationale Economisez jusqu à 40 % sur votre prime aide les expatriés et les voyageurs à construire l assurance santé expatrié avec le meilleur prix, garantie et service

Plus en détail

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association

Plus en détail