Synthèse du rapport sur l enrichissement des aliments courants en vitamines et minéraux : quels intérêts, quels risques?
|
|
- Quentin Gilbert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Synthèse du rapport sur l enrichissement des aliments courants en vitamines et minéraux : quels intérêts, quels risques?
2 Membres du groupe de travail Experts Geneviève Potier de Courcy Michèle Garabédian Gilbert Pérès Léon Guéguen Jean-Claude Guilland Irène Margaritis Pierre Valeix Ainsi que : Serge Hercberg Monique Ferry Joëlle Goudable Jean-Louis Bresson Bruno Lesourd Bruno Melin Agence française de sécurité sanitaire des aliments Jean-Louis Berta (Afssa) Isabelle Vanrullen (Afssa) Jean-Luc Volatier(Afssa) Joëlle Maffre (Afssa) Administrations Dominique Baelde (DGCCRF) Catherine Rioux (DGCCRF) Marie Thisse (DGAL) Philippe Verger (INRA) Michel Chauliac (DGS) AFSSAPS Professions Josée Cloutier (Kellogg s/ania) Marie-Odile Gailing (Nestlé/ANIA) Catherine Mignot (Roche/Synpa) Azaïs-Braesco /Annie Loch (Danone/ANIA) Brigitte Le Révérend/ André Kozlovsky (SODIAAL) Brigitte Laurent/Anne-Marie Berthier (ANIA) Catherine Leroy (SBA-SOPARIND) Synthèse établie par Isabelle Vanrullen Agence française de sécurité sanitaire des aliments Unité d évaluation de la nutrition et des risques nutritionnels 2
3 L adjonction volontaire d éléments nutritifs dans les aliments courants est régie par des règles nationales qui varient en fonction des Etats-membres de la communauté européenne. En France, trois cadres réglementaires sont définis. D une part l enrichissement est autorisé dans les aliments destinés à une alimentation particulière 1, ce qui suppose que soit précisément identifié et mentionné sur l emballage du produit un groupe de population dont les besoins justifient un apport particulier en micro-nutriments. Il s agit de la catégorie très restreinte des aliments dits «diététiques» et des aliments pour nourrissons et enfants en bas age, dont la réglementation a été harmonisée au niveau européen et transcrite en droit français. D autre part, certaines vitamines ou minéraux ont fait l objet d autorisations spécifiques d ajout dans l alimentation courante dans des conditions d emploi définies : c est par exemple le cas de l iode et du fluor dans le sel 2, ou plus récemment, de la vitamine D dans le lait et les produits laitiers 3. Enfin, la restauration des aliments en vitamines est autorisée sous certaines conditions, cette mesure visant à pallier la perte de ces nutriments lors de la fabrication ou du stockage des denrées alimentaires. Cette mesure est indiquée sur l emballage par la mention «à teneur garantie en», suivie du nom de la ou des vitamines restaurées. La diversité des réglementations nationales est cependant susceptible d entraver la libre circulation des aliments courants additionnés de vitamines et minéraux, de créer des conditions de concurrence inégales et d avoir ainsi une incidence directe sur le fonctionnement du marché européen. L harmonisation de ces réglementations est donc actuellement discutée au niveau Communautaire dans l objectif d établir un règlement relatif à l adjonction de vitamines, de minéraux et de certaines autres substances aux aliments, à l exception des compléments alimentaires. Cette réglementation, lorsqu elle sera transcrite en droit français, viendra compléter le dispositif national. Dans son état actuel, le projet de règlement indique que l adjonction de certains nutriments, lorsqu elle n est pertinente qu au titre de certaines spécificités nationales ou régionales (c est le cas de la réglementation française pour l iodation ou la fluoration du sel par exemple), ne peut justifier l harmonisation de l adjonction obligatoire des éléments nutritifs concernés dans la Communauté (CE). Il reste que d un point de vue de Santé publique, la France estime que les questions qui doivent être posées pour établir les dispositions du futur règlement, doivent rester celles de l absence de risque de l enrichissement (c est un pré-requis à toute mise sur le marché) et de son intérêt nutritionnel. Le Comité d experts spécialisé «Nutrition humaine» de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) a donc été saisi par la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) en février 2001 afin d apporter un appui technique aux discussions européennes. Ce travail a donné lieu à un rapport, publié en octobre 2001, et disponible auprès de l Afssa. L Agence a considéré que le terme «d aliment courant» recouvre tout aliment pouvant être mis à disposition du consommateur, dans tout commerce, et pour tout type de population : - quel que soit l âge (incluant les enfants à partir de 4 ans, les adultes et les personnes âgées) ; - quelle que soit la situation physiologique (incluant, par exemple, les femmes enceintes ou encore les personnes ayant une activité physique intense) ; - quelle que soit la typologie de consommation alimentaire, y compris régionale. 1 décret du 29 août 1991 relatif aux aliments destinés à une alimentation particulière 2 arrêté du 28 mai 1997 relatif au sel alimentaire et aux substances d apport nutritionnel pouvant être utilisées pour sa supplémentation 3 arrêté du 11 octobre 2001 relatif à l emploi de vitamine D (vitamine D2 ergocalciférol ou vita mine D3 cholécalciférol) dans le lait et les produits laitiers frais (yaourts et laits fermentés, fromage frais) de consommation courante 3
4 Les aliments qui ne peuvent pas, pour des raisons pratiques ou d image, faire l objet d un enrichissement restent cependant exclus de cette définition : il s agit principalement des produits non pré-emballés, non étiquetés, et des produits ayant une image de qualité particulière ou de tradition (labels de qualité, appellation d origine ). Enfin, il a été décidé de se référer à un apport en nutriment par 100 kilocalories, ce qui exclut les produits pour lesquels la quantité d énergie est nulle mais qui permet de tenir compte de l apport en nutriment en fonction de la densité nutritionnelle. Une méthodologie dont l originalité est de prendre en compte de façon indissociée les aspects nutritionnels et sécuritaires d un tel enrichissement a été construite. Méthodologie Statut nutritionnel Le statut nutritionnel de la population française pour chaque micro-nutriment étudié a été estimé à partir des données d enquêtes nutritionnelles française récentes (1,2,3,4). Deux approches complémentaires ont été combinées. En effet, sur le plan statistique et à un niveau populationnel, la probabilité de détecter des signes cliniques de carence augmente d autant plus vite si les apports moyens sont plus bas que l apport nutritionnel conseillé (ANC). Cette approche reste cependant théorique et délicate à appliquer au niveau individuel. Elle a donc été croisée avec les données relatives à l identification de symptômes cliniques de carences et/ou de mesures biologiques de déficiences dans la population française. Les micro-nutriments ont ainsi été répartis selon qu ils relèvent de 3 catégories : (i) risque de carence ou de déficience, (ii) insuffisance d apport possible au regard des ANC mais avec une incertitude sur les risques de carence ou de déficience, et enfin (iii) insuffisance d apport non manifeste (tableau I). Tableau I. Classification des micro-nutriments selon leur degré de risque d insuffisance d apport en France Catégorie Critères Liste des micronutriments 1 Risque de carence ou de déficience pour certaines tranches d âge, certaines situations physiologiques, certaines typologies de consommation alimentaire, et/ou certaines régions vitamine D, pyridoxine (B6) (personnes âgées > 70 ans), acide folique (B9) (5), iode, calcium, fer 2 Insuffisance d apport possible mais incertitude sur les risques de carence ou de déficience: - absence ou validité discutable des marqueurs biologiques - non fiabilité des tables de composition - enquêtes épidémiologiques manquantes thiamine (B1), pyridoxine (B6) ( sauf personnes âgées), vitamine C, vitamine E, vitamine K, magnésium, cuivre, zinc, sélénium, chrome, fluor 3 Insuffisance d apport non manifeste, vitamine A totale, riboflavine (B2), niacine (B3), acide pantothénique (B5), biotine (B8), cobalamine (B12) sodium, chlore, potassium, phosphore, molybdène, manganèse Approche sécuritaire L approche sécuritaire a été fondée sur des données issues des études toxicologiques, à savoir les limites de sécurité. Ces valeurs ont été déterminées en France pour certaines vitamines et certains minéraux. Elles sont également en cours d évaluation en Europe par le Comité scientifique de l alimentation humaine. 4
5 Etudes de simulation Enfin, les études de simulation de l OCA (Observatoire des consommations alimentaires) ont permis de déterminer des teneurs prédictives d apport en micronutriments par 100 kilocalories aussi bien pour les apports actuels par l alimentation courante que pour ceux qui proviendraient d aliments enrichissables. Ces teneurs prédictives sont déclinées en tenant compte de différents niveaux d enrichissement des aliments (en pourcentage des Apports journaliers recommandés) et de la «parts de consommation» des individus, c est à dire la quantité de produits enrichis consommé sur la quantité de produit total consommé. Contrairement à la part de marché des produits enrichis dans un pays qui est généralement très faible (de l ordre de 5%), la part de consommation d un individu peut être très variable ; il est ainsi envisageable qu elle atteigne chez un individu 100% pour une catégorie de produits (lait, jus de fruits, ). Enfin, la distribution des apports a été analysée par percentile de la population : cette approche permet de considérer les apports en nutriments dans la population générale, et de prendre en considération à la fois les faibles et les forts consommateurs. Les objectifs nutritionnels et sécuritaires sont atteints si la distribution des apports chez les faibles consommateurs est rehaussée vers des valeurs d apports plus importantes et approchent les recommandations, sans décaler la distribution du coté des forts consommateurs. Résultats Une première série de résultats concerne le croisement des approches nutritionnelle et sécuritaire. Ce croisement a mis en évidence 3 catégories de micro-nutriments : (i) ceux pour lesquels un enrichissement de l alimentation courante peut présenter un intérêt en raison du risque de carence ou de déficience dans des segments particuliers de la population générale (vitamine D, B6, acide folique, calcium, fer, iode). Cependant, un risque de dépassement des limites de sécurité existe dans certaines situations ; (ii) les micro-nutriments pour lesquels l intérêt nutritionnel d un enrichissement est incertain car la mise en évidence d apports inférieurs aux ANC dans des segments de la population n est pas accompagnée de signes biologiques ou cliniques. Si un enrichissement est envisagé, il doit être précédé d études de simulation apportant une aide au choix du niveau d enrichissement. Cette étude est indispensable pour les micro-nutriments présentant un risque de dépassement des limites de sécurité (notamment vitamine E, magnésium, zinc, cuivre, sélénium, fluor) ; (iii) ceux pour lesquels il n y a pas d éléments en faveur de l intérêt nutritionnel d un enrichissement, surtout si il existe des risques de dépassement des limites de sécurité (notamment la vitamine A). En parallèle, la méthodologie basée sur les simulations de l OCA a été appliquée à la plupart de ces nutriments en recherchant l effet de l enrichissement sur le niveau d apport en nutriment chez les faibles consommateurs et les forts consommateurs. Pour certains nutriments, des doses d enrichissement qui améliorent le statut nutritionnel des faibles consommateurs sans décaler la distribution du côté des forts consommateurs ont pu être trouvées sur une échelle relativement large de parts de consommation (10%, 50%, 100%). Pour d autres nutriments, ce compromis n a pas été possible quelles que soient les conditions de la simulation : c est le cas du fer, du magnésium et de la vitamine A. Une dernière configuration intéressante est celle du calcium, pour lequel des possibilités d enrichissement n ont pu être trouvées que dans des conditions très étroites, combinant un enrichissement réduit (10% ou 20% des AJR pour 100 kilocalories) et des parts de consommation très élevées (respectivement 50% et 100%). Outre les aspects développés ci-dessus, plusieurs éléments fondamentaux doivent être pris en considération. L un de ces éléments concerne les risques liés aux interactions entre 5
6 nutriments : par exemple, est il judicieux d enrichir du jus d orange, riche en vitamine C, avec du fer, ce qui va favoriser son absorption, et potentiellement créer un risque particulier notamment pour les populations souffrant de pathologies telles que l hémochromatose? Au delà de cet exemple de couple aliment/nutriment, la question de l aliment vecteur doit être posée plus largement. En particulier, l aliment vecteur peut-il constituer un moyen d atteindre la population cible? L aliment vecteur choisi risque-t-il de déplacer les consommations vers des apports en nutriments ou en aliments qui devraient être limités d un point de vue de santé publique (Aliments riches en acides gras saturés, ou en énergie par exemple) et notamment au regard des objectifs du Programme national nutrition santé? Il apparaît donc essentiel de considérer l enrichissement des aliments courants avec vigilance, et de choisir avec réflexion les voies réglementaires les mieux appropriées pour cibler une population présentant un besoin, sans faire courir de risques au reste de la population. Dans ce contexte, se pose également toute la problématique des compléments alimentaires : un cadre réglementaire devrait être très prochainement disponible pour ces produits qui occupent une position singulière, entre médicament et aliment, et qui dans certaines conditions pourraient peut être permettre de répondre aux besoins particuliers d individus très ciblés. (1) Potier de Courcy G et les membres du groupe de travail de la CEDAP sur les substances nutritives. Estimation du statut en vitamines et minéraux de la population française, d après des enquêtes récentes. Cah Nutr Diét, 1999, 34, (2) Costa de Carvalho MJ, Guilland JC, Moreau D, Boggio V, Fuchs F. Vitamin status of healthy subjects in Burgundy (France). Ann Nutr Metab, 1996, 40, (3) Hercberg S, Preziosi P, Galan P, devanlay M, Keller H, Bourgeois C, Potier de Courcy G, Cherouvrier F. Vitamin status of a healthy french population : dietary intakes and biochemical markers. Intern. J Vit Nutr Res, 1994, 64, (4) ESVITAF : enquête sur le statut vitaminique de trois groupes d adultes français, témoins, obèses, buveurs excessifs. Rapporteurs : A Lemoine, C Le Devehat, B Herbeth. Ann Nutr Metab, 1986, 30 (S1), (5) Voutilainen S, Rissanen TH, Virtanen J, Lakka TA, Salonen JT, Low dietary folate intake is associated with an excess incidence of acute coronary events. Circulation, 2001, 103,
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailAVIS 1 / 7. Afssa Saisine n 2009-SA-0153. Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009
Maisons-Alfort, le 30 octobre 2009 AVIS LE DIRECTEUR GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments sur un projet d arrêté relatif à l emploi de la taurine et de D-glucurono-gamma-lactone
Plus en détailDextro Energy gel Liquid Apple
Dextro Energy gel Liquid Apple Un concentré glucidique pour les sportifs d endurance. Au parfum pomme. Eau, dextrose, sirop de sucre inverti, acidifiant (acide citrique), arôme, colorant (E 150c). 809
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailDéfinition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008
Définition de profils nutritionnels pour l accès aux allégations nutritionnelles et de santé : propositions et arguments Juin 2008 1/85 Coordination scientifique Monsieur Jean-Christophe Boclé, Mademoiselle
Plus en détailLes compléments alimentaires
Les compléments alimentaires Vigilance et Respect des bonnes pratiques Les cahiers du collectif Eps N 2 Olivier COSTE Médecin conseiller Direction régionale Jeunesse, Sports et Cohésion Sociale «C Définition
Plus en détailDIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ
1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailFactsheet Qu est-ce que le yogourt?
Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les
Plus en détailListe des auteurs et remerciements
Comparaison de deux enquêtes nationales de consommation alimentaire auprès des adolescents et des adultes Baromètre santé nutrition (22) et INCA (1998-99) : éléments de méthode et résultats - Juin 24 -
Plus en détailInvestir dans l avenir
Investir dans l avenir RÉSUMÉ DU RAPPORT MONDIAL 2009 BANQUE MONDIALE www.unitedcalltoaction.org La communauté mondiale devrait être choquée par les millions d enfants qui meurent ou sont rendus invalides
Plus en détail2 Service de Pharmacologie médicale et toxicologie 191, avenue du doyen Gaston Giraud 34295 Montpellier cedex 5
1 Les allégations de santé des compléments alimentaires sont désormais réglementées Décembre 2012 14 Décembre 2012, une mini révolution dans l étiquetage des denrées alimentaires : toute allégation d un
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailTeneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011
Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailMAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES
MAÎTRISER LA LECTURE DES ÉTIQUETTES NUTRITIONNELLES Par Marie-Christine Parent, stagiaire en diététique AU MENU Retour sur le sondage Vision de la saine alimentation Qu est-ce que l étiquetage nutritionnel?
Plus en détailDéveloppement d une application pilote
Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailQui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils?
Qui sont-ils? D où viennent-ils? Où sont-ils? Les glucides sont des éléments nutritifs indispensables au bon fonctionnement de l organisme. Ils sont présents dans les aliments aux côtés des protéines (viande,
Plus en détailL information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments
L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments Présenté par Micheline Séguin Bernier Le 19 mars 2007 Tiré et adapté du document de Santé Canada Le tableau de la valeur nutritive : plus facile
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailAssemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires
Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailProtéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?
Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailFiches techniques nutrition orale. Numéro 2013
Fiches techniques nutrition orale Numéro 2013 Fiches techniques nutrition orale Sommaire Introduction 5 Informations produit Alimentation Orale. Équilibrée. Comme seule source d alimentation Fortimel Compact
Plus en détail1 www.agrobiosciences.org
Intervention. 4èmes Rencontres Alimentation, Agriculture & Société. Déc 2003. «Alimentation et prévention du cancer : quelle vérité?» Par Denis Corpet (1). Directeur de l équipe "Aliment et Cancer" de
Plus en détailLivret d accompagnement du Guide nutrition des enfants et ados pour tous les parents. destiné aux professionnels de santé
En tant que professionnel de la santé, vous informez et conseillez parents, enfants et adolescents et les sensibilisez à l importance de l alimentation et de l activité physique. Ce livret a été conçu
Plus en détailInfluence de l alimentation-santé sur les tendances de marché. Paul Paquin, Ph.D. INAF, Université Laval, Québec
Influence de l alimentation-santé sur les tendances de marché Paul Paquin, Ph.D. INAF, Université Laval, Québec «Les tendances clés» «TENDANCE» Une tendance qui démontre une véritable opportunité de croissance;
Plus en détailComment bien s hydrater pendant l été?
Comment bien s hydrater pendant l été? C est bien connu, il faut boire davantage en été pour ne pas se déshydrater, notamment en cas de forte chaleur. Il faut en effet être vigilant dès que la température
Plus en détailJUIN 2012 DÉCEMBRE 2008. L étiquetage des denrées alimentaires. L information des consommateurs,
JUIN 2012 DÉCEMBRE 2008 INFO RÉGLEMENTATION info L étiquetage des denrées alimentaires L information des consommateurs, focus sur le règlement européen INCO L e règlement européen n 1169/2011 (ci-après
Plus en détailFiches techniques Alimentation par sonde Nutrison
Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison 2 Fiches techniques Alimentation par sonde Nutrison Renseignements téléphoniques : 0844 844 802 Commandes téléphoniques : 0844 844 808 Version : juillet
Plus en détailNutrition et santé : suivez le guide
Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques
Plus en détail2.1. L'évolution de l alimentation en France
2. CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET ETAT NUTRITIONNEL DE LA POPULATION VIVANT EN FRANCE 2.1. L'évolution de l alimentation en France En France, comme dans l ensemble des pays industrialisés, les habitudes alimentaires
Plus en détailOrganisation mondiale de la Santé
PRINCIPES DIRECTEURS POUR L'ALIMENTATION DES ENFANTS AGES DE 6 A 24 MOIS QUI NE SONT PAS ALLAITES AU SEIN Pour plus d'information, contacter: Département de la santé et du développement de l'enfant et
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailAVIS DU CONSEIL SUPERIEUR DE LA SANTE N 9176
AVIS DU CONSEIL SUPERIEUR DE LA SANTE N 9176 Complément alimentaire Alvityl Multivitamines firme Laboratoires Urgo In this scientific policy advisory report the Superior Health Council of Belgium provides
Plus en détailDeuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition
Octobre 2014 ICN2 2014/2 Deuxième Conférence internationale sur la nutrition Rome, 19-21 novembre 2014 Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Nous félicitant de la participation
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détail18/06/2010 DOSSIER SANTE THEME : LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES PROJET SANTE. Lauranne CARO, Céline CAYROL, Emilie DALEM, Salma ESSEGHIR
18/06/2010 PROJET SANTE DOSSIER SANTE THEME : LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES Lauranne CARO, Céline CAYROL, Emilie DALEM, Salma ESSEGHIR TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I. DE L INGREDIENT A LA COMMERCIALISATION
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailÀ L'INTENTION DE NOS CLIENTS ACHETANT DE LA CRÈME GLACÉE EN VRAC :
À L'INTENTION DE NOS CLIENTS ACHETANT DE LA CRÈME GLACÉE EN VRAC : Les réglementations gouvernementales exigent que les fabricants de crème glacée fournissent, au point de vente, les renseignements concernant
Plus en détailDes portions adaptées à vos besoins. Nous changeons nos besoins aussi! Senior
À chacun sa portion Nous changeons nos besoins aussi! Des portions adaptées à vos besoins,, adulte ou senior, nos besoins alimentaires évoluent au fil de nos vies. Ils diffèrent également entre les femmes
Plus en détailAppliquer la réglementation dans la filière
Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailIREMAS : 2 ème colloque international Paris 20-21 octobre 2005
IREMAS : 2 ème colloque international Paris 20-21 octobre 2005 Titre : Qui sont les consommateurs de compléments alimentaires et les consommateurs d aliments santé? Auteurs : Catherine GAIGNIER et Pascale
Plus en détaillire les Étiquettes et trouver les sucres cachés
lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne
Plus en détailLes nutriments dont notre corps a besoin
Chapitre 1 Les nutriments dont notre corps a besoin 1. Les nutriments Notre corps fonctionne à l énergie, comme un moteur, il a besoin de carburant D où provient cette énergie? Elle résulte de la combustion
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailComposition du groupe de travail
- Membres du Comité d'experts spécialisé Nutrition Humaine Composition du groupe de travail Mme Martine CHAMP (INRA, CRNH, Nantes) M. Christian DEMIGNÉ (INRA, Saint Genes Champanelle) M. Marc FANTINO (CHU,
Plus en détailApport hydrique et boissons
Besoin hydrique de l organisme L eau représente chez l homme adulte 60% de la masse corporelle, 50% chez la femme adulte et jusqu à 80% chez le nouveau-né. Par exemple un homme qui pèse 80 kilos est constitué
Plus en détailCe document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions
Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions DIRECTIVE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 30 juin 1994 concernant les édulcorants destinés à être
Plus en détailL analyse minérale des cheveux clarifie la situation
L analyse minérale des cheveux clarifie la situation Carence en magnésium Exposition au plomb Exposition au cadmium Carence en zinc Obtenez davantage d informations sur vos réserves en oligoéléments et
Plus en détailRECOMMANDATION NUTRITION
RECOMMANDATION NUTRITION GROUPE D ETUDE DES MARCHES DE RESTAURATION COLLECTIVE ET NUTRITION GEM-RCN Version 1.3 - Août 2013 1 LE PILOTAGE DES GROUPES D ÉTUDE DES MARCHÉS EST ASSURÉ PAR LE SERVICE DES ACHATS
Plus en détailLa Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -
La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailBien manger pour mieux vieillir. Aline Pageau Lauzière Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste
Bien manger pour mieux vieillir Dt.P., M.A. diététiste-nutritionniste Manger «Manger c est l acte social par excellence» «Non seulement nous sommes ce que nous mangeons, mais ce que nous avons mangé» (Richard
Plus en détailNutrition de la conception à l enfance : certitudes et perspectives
Nutrition de la conception à l enfance : certitudes et perspectives Symposium IFN - 5 Février 2009 en partenariat avec la Socitété française de pédiatrie et son Comité de nutrition Institut Français pour
Plus en détailTITRONIC et TitroLine. Les nouveaux titrateurs et burettes
TITRONIC et TitroLine Les nouveaux titrateurs et burettes Un pas en avant pour la titration Si vous cherchez l innovation: SI Analytics vous propose ses nouveaux TitroLine 6000 et 7000 et ses nouvelles
Plus en détailDossier de presse. L Anses lance son nouveau site Internet
Dossier de presse L Anses lance son nouveau site Internet Diffuser-Expliquer-Partager www.anses.fr Contact presse : Elena Séité 01 49 77 27 80 elena.seite@anses.fr www.anses.fr Sommaire : L Anses lance
Plus en détailLISTE DES SPECIALITÉS A BASE DE FLUOR, UTILISÉES DANS LA PREVENTION DE LA CARIE DENTAIRE
LISTE DES SPECIALITÉS A BASE DE FLUOR, UTILISÉES DANS LA PREVENTION DE LA CARIE DENTAIRE BIFLUORID, suspension pour usage dentaire 6,00 g 6,00 g Teneur en élément Fluor : 5,60mg pour 100g CALCIFLUOR, comprimé
Plus en détailPOLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION
POLES DE COMPETITIVITE et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION Plan - Qu est-ce qu un pôle de compétitivité? - Qu est-ce qu un centre d innovation technologique? - Zoom sur Valorial
Plus en détailLES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES
1 LES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES Anne Laude Professeur à l Université Paris V Les relations entre l'aliment et la santé sont étroites. Elles sont le thème prioritaire de santé publique choisi par la Présidence
Plus en détailUNE REGLEMENTATION POUR LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES : QUELLES GARANTIES POUR LE CONSOMMATEUR?
Pharmacien inspecteur de santé publique Promotion : 2008-2009 Date du Jury : Septembre 2009 UNE REGLEMENTATION POUR LES COMPLEMENTS ALIMENTAIRES : QUELLES GARANTIES POUR LE CONSOMMATEUR? Jean-Michel Barthe
Plus en détailProjet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités
Projet Français «Arrêté Plantes» Nouvelles règles, nouvelles responsabilités Karine Derouet Consultante Affaires Règlementaires RNI Conseil k.derouet@rni-conseil.com www.rni-conseil.com RAPPEL DU CADRE
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailCompléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage
Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales
Plus en détailJ'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!
J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hypertextes vers d'autres sites de l'internet ne signifient nullement que l'organisation approuve officiellement les opinions, idées, données
Plus en détailMARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailCatalogue de formations 2014
Catalogue de formations 2014 ANIA Formation en 2014 Depuis quelques années, l ANIA a fait le choix d accompagner les entreprises de l industrie alimentaire, en développant des journées de formation. Dans
Plus en détailBesoins Nutritionnel. Besoins. ANC / Besoin. 3 niveaux : Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
Besoins Nutritionnel N 110 - Besoins nutritionnels et apports alimentaires de l adulte. Évaluation de l état nutritionnel. Dénutrition. Exposer les besoins nutritionnels de l adulte, de la personne âgée,
Plus en détailwww.programmeaccord.org
LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir
Plus en détailProjet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)
Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailIndications pédagogiques B2 / 32
à la Communication Objectif général Indications pédagogiques B2 / 32 B : S INFORMER / SE DOCUMENTER Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire Objectif opérationnel Pré-requis Nombre d exercices proposés
Plus en détailAlimentation durant la grossesse et la période d allaitement
Alimentation durant la grossesse et la période d allaitement Alimentation durant la grossesse et la période d allaitement 1 Pour une alimentation optimale de la mère et de l enfant avant et pendant la
Plus en détailQUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC?
QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? Daniel LEFEBVRE, Ph.D., agronome PATLQ inc. Sainte-Anne-de-Bellevue Conférence préparée en collaboration avec : Doris PELLERIN, Ph.D., agronome Professeur en sciences
Plus en détailBurette TITRONIC Titrateurs TitroLine
Burette TITRONIC Titrateurs TitroLine 22 rue de l'hermite 33520 BRUGES Tél. 05 56 16 20 16 - Fax 05 56 57 68 07 info-devis@atlanticlabo-ics.fr - www.atlanticlabo-ics.fr Un pas en avant pour la titration
Plus en détailLe point sur les compléments alimentaires
Le point sur les compléments alimentaires Médecin du Comité Régional et Sportif d Ile-de-France, Médecin de l Antenne Médicale de Prévention du Dopage d Ile-de-France Les compléments alimentaires doivent
Plus en détailBurgerstein Micronutriments
Burgerstein Micronutriments Compléments alimentaires et aliments d appoint Produits thérapeutiques Ce Compendium contient tous les produits Burgerstein. Ces derniers sont classés en 3 groupes: 3 1. Compléments
Plus en détailLe développement durable 2010
Le développement durable 2010 Fédération internationale de laiterie (FIL-IDF Canada) mars 2010 Danone Inc. Canada Danone Plan Danone Danone au Canada Le développement durable Danone et le double-projet
Plus en détail«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»
1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du
Plus en détail1777473 - EnergyOatSnack barre Banana Bread
777473 - EnergyOatSnack barre Banana Bread Une barre de flocons d avoine avec des bananes sèches. Flocons d avoine (38%), sucre inverti liquide, bananes sèches (8%), margarine (huile de palme, huile de
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailQuelle réduction du rejet de zinc la 3-phytase microbienne permet-elle chez le porc à partir de 12 kg de poids vif?
2006. Journées Recherche Porcine, 38, 5-12. Quelle réduction du rejet de zinc la 3-phytase microbienne permet-elle chez le porc à partir de 12 kg de poids vif? Didier GAUDRÉ (1), Virginie LARRÈRE (2),
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailTRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE
TRAITEMENT DE L ANÉMIE AU COURS DE L INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE DE L ADULTE RECOMMANDATIONS Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, mai 2005 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France
Plus en détailCARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ
CARACTÉRISATION DE L OFFRE ALIMENTAIRE, PAR SECTEUR ET SEGMENT DE MARCHÉ Etude des produits transformés disponibles sur le marché français entre 2008 et 2011 ÉDITION 2015 2015 Etude du secteur des glaces
Plus en détailS. Hercberg, Key-words: Antioxidants, Vitamins, Minerals, Randomized trial, Supplementation.
2006. Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés Ann Pharm Fr 2006, 64 : 397-401 Stress oxydant L étude SU.VI.MAX, un essai contrôlé randomisé, en double aveugle, testant l effet de la supplémentation en
Plus en détailEnfant et nutrition. Guide à l usage des professionnels
Enfant et nutrition Guide à l usage des professionnels Enfant et nutrition Guide à l usage des professionnels Editeur responsable : Benoît Parmentier ONE - Chaussée de Charleroi, 95-1060 Bruxelles D/2009/74.80/11
Plus en détailLA SANTÉ VIENT EN MANGEANT ET EN BOUGEANT. Le guide nutrition. pendant et après. la grossesse
LA SANTÉ VIENT EN MANGEANT ET EN BOUGEANT Le guide nutrition pendant et après la grossesse Le fonds scientifique de ce document a été élaboré grâce aux membres du groupe de travail «Guides alimentaires
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière
Plus en détail