Campagne 2014 d information pour la protection du jeune public. Conférence de Presse du vendredi 14 novembre 2014

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1 Campagne 2014 d information pour la protection du jeune public Conférence de Presse du vendredi 14 novembre

2 Les informations clés Le maître-mot de la campagne : Le dialogue et plus particulièrement un dialogue intergénérationnel avec deux slogans : «Les images violentes on doit les éviter, sinon il faut en parler» «Les images choquantes on doit les éviter, sinon il faut en parler». Les objectifs poursuivis : Illustrer la multiplicité des écrans, ainsi que les diverses situations de consommation des médias. Inciter les adultes à utiliser les différents outils à leur disposition, afin de contrôler au mieux la consommation audiovisuelle des enfants et les encourager au dialogue. Inciter les enfants à adopter une attitude réflexive et une distance critique face aux écrans. 2 spots TV et 1 spot radio : Pour la première fois, la campagne d information pour la protection du jeune public de 2014 sera diffusée à la radio. Si l ensemble des chaînes de télévision ont pour obligation de participer à la diffusion de la campagne 1, la diffusion en radio est quant à elle basée sur le volontariat. Les dates de diffusion : Pour les télévisions et les Services de médias audiovisuels à la demande (SMAD) : du 20 novembre au 10 décembre Les éditeurs pourront, s ils le souhaitent prolonger la campagne jusqu au 31 décembre Pour les radios : diffusion d une semaine à partir du 20 novembre France Inter, France Info, France Bleu, RTL, RTL2, Fun Radio, Europe 1, RFM, Virgin Radio, NRJ, Chérie FM, Nostalgie, Rire et Chansons et RMC sont les radios ayant accepté de diffuser le spot. 1 Recommandation de juillet 2005 : «L éditeur participe à la diffusion d une campagne annuelle d'information et de sensibilisation du public sur le dispositif de protection de l'enfance et de l'adolescence à la télévision selon des objectifs définis en accord avec le CSA.» 2

3 SOMMAIRE Présentation de la nouvelle campagne Historique La campagne de 2014 avec une nouveauté : un spot radio Quel signal pour quel contenu? Les enfants et la télévision : quelle consommation et quels usages? Que regardent les enfants à la télévision? Les programmes préférés des enfants Le rôle du CSA et les conseils mis à disposition Les compétences du CSA Les conseils clés pour les parents 3

4 Présentation de la nouvelle campagne Le 20 novembre prochain, date anniversaire de la signature de la Convention Internationale des Droits de l Enfant, toutes les chaînes de télévision vont diffuser, notamment aux heures de grande écoute, la nouvelle campagne de sensibilisation à la protection du jeune public, produite par le Conseil supérieur de l audiovisuel (CSA). Cette année et pour la première fois, la campagne sera étendue aux radios, qui diffuseront elles aussi, un message en écho aux campagnes télévisuelles, afin de rappeler aux parents et aux adultes en charge d enfants et d adolescents, la nécessité d une supervision des programmes regardés par les mineurs. Historique C est en 2002, à l occasion du lancement de la nouvelle signalétique jeunesse, que le CSA a demandé aux chaînes de créer et de diffuser une campagne annuelle d information et de sensibilisation du public au dispositif de protection de l enfance et de l adolescence à la télévision, axée notamment sur la nécessité de l accompagnement parental. Les chaînes ont produit et programmé cette campagne en 2002 et Cependant, estimant que les messages retenus n étaient pas suffisamment clairs et adaptés aux objectifs poursuivis, le CSA a décidé le 15 juin 2004 de produire et de réaliser lui-même la nouvelle campagne. Le projet retenu pour cette première campagne, réalisée par le Conseil et diffusée en 2005, met en scène la relation de l enfant à la télévision dans sa famille et a pour objectif principal de responsabiliser les parents en les incitants à être attentifs à la signalétique. Le slogan choisi «A la télévision, vos enfants ne voient pas la même chose que vous. Pour les protéger, respectons ces signaux» a été modifié afin de rendre le message plus impératif et plus explicite en 2007 : «A la télévision, vos enfants ne voient pas la même chose que nous et cela peut avoir de graves conséquences : difficultés à s endormir, cauchemars, angoisses, banalisation de la violence, agressivité. Pour les protéger, vous devez faire respecter des signaux». La campagne réalisée en 2008 se décline en deux spots, et vise à promouvoir la pédagogie de la signalétique et à encourager le dialogue entre adultes et enfants. Elle souhaite faire du contrôle parental une évidence : la signalétique est un outil qui peut aider les parents à exercer 4

5 leur vigilance. Le message de ces deux spots conclut : «A la télévision aussi, des signaux sont là pour nous aider à protéger nos enfants. Respectons-les.» En 2011, partant du constat selon lequel la signalétique jeunesse est désormais bien connue du public, le CSA désire aller plus loin en sensibilisant ce dernier à la multiplication des écrans et à la solitude de l enfant devant les images. A cette fin, il produit une campagne, déclinée en deux films l un à destination des enfants et le second adressé à la famille en définissant trois objectifs. Le Conseil considère en effet que la campagne doit évoquer les différents types de supports, les médias audiovisuels traditionnels, mais aussi les nouveaux, tels qu internet, les téléphones portables et les médias audiovisuels à la demande. Il estime par ailleurs que la campagne doit inciter les parents à utiliser les différents outils de contrôle mis à leur disposition (signalétique jeunesse, contrôle d accès, dialogue). Enfin, le Conseil souhaite que cette campagne invite les jeunes à adopter une attitude plus réflexive et à avoir une distance critique face aux écrans et qu elle encourage le dialogue avec les adultes. Une étude qualitative menée en 2011 a mis en lumière que la scène utilisée dans chacun des messages a permis une réelle prise de conscience des enjeux, ainsi qu une bonne compréhension et mémorisation du message. Cependant, elle a souligné l attente de la part des parents et adultes d un espace de dialogue et d échange avec le Conseil, par le biais d outils numériques notamment. Afin de répondre à cette attente, le CSA a créé en 2012 un site consacré à la protection du jeune public, en lien avec la campagne et proposant des fonctionnalités interactives. La campagne de 2014 avec une nouveauté : un spot radio Cette année, la campagne s inscrit dans la continuité de celle réalisée en 2011 et suit les trois objectifs définis à cette époque. En effet, il a semblé important de poursuivre le travail de sensibilisation des jeunes à conserver une distance critique face aux images et aux écrans, de prendre en compte les nouveaux médias et les nouveaux usages, ainsi que de replacer la signalétique dans un ensemble plus large d outils de protection et de bons comportements. Deux films ont été réalisés à cet effet, mettant en scène des enfants et des adultes et accordant une importance particulière à l écoute et au dialogue. Ils montrent des enfants, confrontés à des images violentes sur leurs écrans et l intervention des adultes les entourant afin d échanger sur le contenu regardé. Le message est axé sur le dialogue, la compréhension et le rôle réconfortant que doivent jouer les adultes et les parents auprès de leurs enfants. Les deux films 5

6 sont clôturés par les slogans suivants : «Les images violentes on doit les éviter, sinon il faut en parler» et «Les images choquantes on doit les éviter, sinon il faut en parler». Cette année et pour la première fois, les deux spots audiovisuels sont accompagnés par un message radiophonique, qui sera diffusé aux heures de grande écoute sur la plupart des radios de France. Si depuis la recommandation de juillet 2005, tout éditeur de service de télévision doit participer à la diffusion d une campagne annuelle d information et de sensibilisation du public sur le dispositif de protection de l enfance et de l adolescence à la télévision (depuis 2011 pour les services audiovisuels à la demande), la diffusion en radio est quant à elle basée sur le volontariat. Le spot, de quatorze secondes, est un écho au message télévisuel et reprend les mêmes éléments de langage, afin de renforcer cette campagne de sensibilisation et ainsi toucher le plus grand nombre. La diffusion de cette nouvelle campagne débute le 20 novembre 2014, journée anniversaire de la signature de la Convention Internationale des Droits de l enfant et ce pour une durée de trois semaines avec une possibilité de prolongation jusqu au 31 décembre 2014 pour les éditeurs de télévision et d une durée d une semaine à partir du 20 novembre pour les radios. La diffusion des messages doit intervenir en dehors des écrans publicitaires, en privilégiant la tranche horaire 19h-23h pour les télévisions et aux heures de grande écoute pour les chaînes jeunesse et les radios. La campagne sera également diffusée à la même période sur les services médias audiovisuels à la demande. Par ailleurs, un espace interactif sera ouvert pendant la période de diffusion de la campagne et se déclinera en deux forums de discussions, l un destiné aux parents et l autre aux jeunes sur le site dédié à la protection du jeune public créé lors du lancement de la campagne signalétique en Adresse du site dédié à la protection du jeune public : 6

7 Quel signal pour quel contenu? Chaque programme fait l objet d un examen spécifique par les chaînes de télévision. Il n existe en effet pas de critère unique ni automatique pour décider qu un programme sera diffusé ou non avec un signal, mais quelques grands principes : Lorsqu un programme comporte des scènes qui risquent de choquer les plus jeunes ou lorsque le sujet abordé risque de les perturber. Ils ne peuvent être programmés à l intérieur des émissions pour la jeunesse, mais ils peuvent être diffusés durant la journée. Lorsqu un programme risque de perturber les repères d un enfant de moins de 12 ans, notamment parce qu il recourt de façon systématique et répétée à la violence ou évoque la sexualité adulte. Ces programmes sont diffusés essentiellement après 22 h, mais peuvent l être, de manière ponctuelle, après 20h30 (les chaînes cinéma et les chaînes de paiement à la séance sont soumises à un régime différent). Lorsqu un programme risque de perturber les repères des moins de 16 ans, notamment les programmes érotiques ou ceux qui présentent des scènes de violence particulièrement impressionnantes. Ces programmes sont diffusés après 22h30 (les chaînes cinéma et les chaînes de paiement à la séance sont soumises à un régime différent). Les films interdits aux moins de 18 ans, ainsi que les programmes pornographiques ou de très grande violence, réservés à un public adulte averti et qui peuvent nuire à l épanouissement physique, mental ou moral des moins de 18 ans. Seules certaines chaînes accessibles par abonnement, dont des chaînes cinéma et des chaînes de paiement à la séance, sont autorisées à diffuser ces programmes, dans la mesure notamment où elles mettent en place un système de verrouillage permettant d éviter que des mineurs y aient accès. Ils ne peuvent être diffusés qu entre minuit et 5 h du matin. 7

8 Les pictogrammes sont incrustés pendant toute la durée du programme signalisé. Ceci est également vrai pour le pictogramme «- 10 ans» depuis le 12 décembre Avant cette date, il apparaissait uniquement en début de programme. 8

9 Les enfants et la télévision : la consommation de la télévision des 4-14 ans Sur la période du 15 septembre 2014 au 26 octobre 2014, chaque jour, près de 71 % des enfants de 4 à 14 ans regardent la télévision, soit près de 6 millions d individus. Pour mémoire, sur l ensemble de l année 2011, ils étaient 78,1 %, soit près de 6,5 millions d individus, ce qui équivaut à une baisse de personnes. Durée d écoute individuelle de la télévision Les 4-14 ans sont, parmi les différentes tranches d âge, ceux qui consomment le moins la télévision. Après avoir augmenté sans discontinuer de 1996 à 2002, en gagnant 29 minutes, pour atteindre 2h18, la durée d écoute de la télévision des 4-14 ans a diminué de 12 minutes jusqu en 2006, pour remonter légèrement en 2007 et Elle reprend une descente en 2012 et 2013, anticipant celle enregistrée pour l ensemble de la population en Ainsi avec 2 heures et 9 minutes de durée d écoute de la télévision, les 4 ans et plus regardent moins la télévision qu en Durée d écoute quotidienne par individu des 4-14 ans (en heure) Source : Médiamétrie, Médiamat. Individus de 4 ans et plus équipés TV. France métropolitaine. 9

10 Cette baisse semble se poursuivre de manière nette en Les mois de juin, août et septembre 2014 atteignent ainsi les plus bas niveaux de durée d écoute enregistrée pour cette classe d âge depuis 2011, avec respectivement 1h46, 1h48 et 1h43 de durée d écoute individuelle. Durée d écoute quotidienne par individu des 4-14 ans (en heure) Source : Médiamétrie, Médiamat. Individus de 4 à 14 ans équipés TV. France métropolitaine. Audience des programmes et des chaînes de télévision Les 4-14 ans ont une consommation de la télévision qui diffère sensiblement de l ensemble de la population. Sur la période du 15 septembre au 26 octobre 2014, les enfants de 4 à 14 ans promeuvent Gulli à la deuxième place du classement avec une part d audience de 11 % (contre 1,6 % auprès des 4 ans et plus en septembre 2014) et France 4 à la 6ème place avec une part d audience de 4,4 % (contre 1,6 % également en septembre 2014). TF1 et M6 réalisent une part d audience similaire, quoique légèrement inférieure, à celle enregistrée auprès des 4 ans et plus. 10

11 Part d audience des chaînes gratuites (hors I-Télé, BFM TV et LCP) du 15 septembre au 26 octobre 2014 auprès des 4-14 ans Courbe d audience quotidienne La courbe d audience de la télévision des 4-14 ans est globalement proche de celle de l ensemble des individus de 4 ans et plus, à quelques exceptions près. Le pic matinal a lieu plus tôt (8h au lieu de 9h) et est très proche du pic observé à 13h, alors que ce dernier est beaucoup plus élevé pour l ensemble de la population. Le soir également, le pic d audience a lieu plus tôt, vers 20h25, alors qu il a lieu autour de 21h15 auprès de l ensemble de la population. C est cependant bel et bien le matin, aux alentours de 8h, que les 4-14 ans représentent la part la plus importante du public de la télévision, atteignant près de 22,5 %. 11

12 Audience minute à minute de la télévision Individus de 4-14 ans et pourcentage de l ensemble des 4 ans et + Source : Médiamétrie, Médiamat. Du 15 septembre au 26 octobre Individus de 4 ans et plus équipés TV. France métropolitaine. Sur la période du 15 septembre au 26 octobre 2014, la chaîne la plus regardée par les enfants demeure, pour la plus grande partie de la journée, TF1. Les programmes d animation du matin, les jeux de 12h et le journal de 13h, ainsi que tout au long de la soirée avec un pic dès la fin du journal de 20H émissions de Nicolas Canteloup attirent de manière très nette les 4-14 ans. Les moments de creux (milieux de matinée et milieux d après-midi) permettent à Gulli de reprendre la première place, même si l audience de la chaîne décolle peu et baisse après le pic de 19h. Il faut enfin noter que «Scènes de Ménage» sur M6, «Plus Belle La Vie» sur France 3, et le jeu «N Oubliez Pas Les Paroles» sur France 2 attirent de nombreux téléspectateurs de 4 à 14 ans. 12

13 Courbe d audience des six chaînes gratuites les plus regardées par les 4-14 ans Source : Médiamétrie, Médiamat. Du 15 septembre au 26 octobre Individus de 4 ans et plus équipés TV. France métropolitaine. 13

14 Le rôle du CSA et les conseils mis à disposition Les compétences du CSA En France, la loi pose le principe de la liberté de communication. De ce fait, le CSA ne contrôle pas les programmes avant leur diffusion à la télévision, ne censure jamais un programme et ne peut demander de coupes. Ce sont les chaînes qui choisissent leur contenu, qui décident de mettre ou non un signal et qui fixent l horaire de diffusion. La loi confie cependant au CSA, la mission de veiller à la protection des enfants à la télévision et à la radio. Pour ce faire, le Conseil vérifie après la diffusion du programme la présence du signal nécessaire, le choix de l horaire de diffusion et plus généralement, le respect des lois, des règlements et des conventions des chaînes. Ce contrôle s'exerce sur l'ensemble des chaînes autorisées par le CSA, qu'elles soient hertziennes (TF1, France 2, France 3, France 5, M6, Canal+ ainsi que les chaînes de la TNT) ou diffusées par câble ou par satellite. Lorsqu'un programme ne semble pas être adapté à tous les publics, il est soumis à une commission de visionnage consacrée au suivi de la signalétique. Ses conclusions sont discutées au sein du groupe de travail «Jeunesse et protection des mineurs», présidé par Françoise Laborde. Le Conseil examine également toutes les plaintes de téléspectateurs et d'associations adressées par courrier ou par courrier électronique, dès lors que ces plaintes mentionnent le nom de la chaîne et l'horaire de diffusion ou le titre du programme. Celles-ci peuvent l'amener à intervenir auprès de la chaîne mise en cause. Les interventions courantes du Conseil prennent la forme d'une mise en garde par simple lettre. En cas de manquement grave, le CSA peut adresser aux chaînes une mise en demeure. Si la chaîne récidive dans un domaine comparable, le Conseil peut prononcer une sanction. Les chaînes ont alors la possibilité de contester les décisions du CSA devant le Conseil d Etat, qui juge en dernier ressort. Le groupe de travail «Protection du jeune public» associe régulièrement à ses travaux un comité d experts de l enfance. Ce comité d experts a été créé en 2005 pour accompagner la réflexion du Conseil sur l ensemble des questions relatives au jeune public, et renouvelé une première fois en

15 Les conseils clés pour les parents 1. Pas d écran avant trois ans La télévision n est pas adaptée aux enfants de moins de 3 ans qui ont besoin d interagir avec les personnes et les objets qui les entourent. Entre 3 et 6 ans, il est souhaitable de privilégier des sessions courtes de visionnage de programmes, conçus pour les tout-petits. 2. Avant huit ans, seulement des programmes pour enfants Jusqu à 8 ans, seuls les programmes jeunesse sont adaptés. Il peut s agir d animation, de films pour enfants mais aussi d émissions éducatives ou de documentaires. Toutefois, il faut limiter la durée des séances de visionnage et choisir avec eux les émissions qu ils peuvent regarder afin de leur apprendre à se repérer dans une offre de programmes. Il est également conseillé d éviter de regarder le journal télévisé avec un enfant de moins de 8 ans car la violence de la réalité peut le toucher encore plus que la fiction. 3. Après huit ans, des programmes diversifiés mais adaptés Entre 8 et 10 ans, il est souhaitable de privilégier les programmes jeunesse et les programmes tous publics et pouvoir regarder et expliquer aux enfants les images qu ils regardent. A partir de l âge de 10 ans, il est possible de diversifier le contenu des programmes visionnés tout en restant vigilant au respect des différentes catégories de la signalétique jeunesse. 4. Le temps passé devant l écran à limiter De manière générale, il vaut mieux éviter que l enfant ne passe chaque jour un temps excessif devant la télévision. Il est d ailleurs préférable de regarder la télévision en sa compagnie afin de pouvoir dialoguer avec lui s il a peur ou s il s interroge. L échange permet également d aiguiser son esprit critique. La télévision dans la chambre de l enfant contribue à l isoler de la vie familiale et empêche aux parents de savoir ce qu il regarde, cette pratique est donc à éviter. 15

16 Par ailleurs, la pratique du «zapping» d un programme à l autre est déconseillée : mieux vaut choisir un moment précis pour que l enfant regarde la télévision et favoriser le visionnage d un programme en entier plutôt que de le couper. Le confort de visionnage est important et il faut en prendre soin, en faisant notamment attention à l éclairage et à la distance. Des moments en famille sans écran sont également à privilégier. 5. Une signalétique à respecter pour enfants et adolescents Il est nécessaire de faire comprendre aux enfants l importance de la signalétique jeunesse en leur expliquant qu il arrive également aux adultes d être choqués par certains programmes et qu il est préférable qu ils ne le soient pas. Cela serait en effet une erreur de leur laisser croire qu un adulte peut tout regarder sans jamais éprouver d angoisses, de peur ou de dégoût. La première chose à faire pour protéger les enfants des images violentes est donc de choisir avec lui ce qu il va regarder en fonction de son âge et de lui expliquer pourquoi. Le sensibiliser à la signalétique jeunesse permettra qu il ne regarde pas, s il est seul devant la télévision, un programme inadapté à son âge. Si l enfant a des frères et sœurs, sensibiliser les aînés à la signalétique jeunesse, permettra qu ils veillent à ce que regardent les plus petits. 6. La télévision, c est mieux quand on en parle Il est difficile de surveiller tout ce que les enfants regardent, et il est important de leur proposer des moments d échange où ils auront la possibilité de parler de ce qu ils ont vu et de ce qu ils en ont pensé. L impact des images violentes peut être minimisé lorsque l enfant peut dire ce qu il a ressenti. Mais il le fera rarement de sa propre initiative. Il peut en effet avoir peur que l on se moque de lui, il peut craindre qu on lui interdise la télévision ou, simplement, il peut s être accoutumé à la violence. C est donc aux adultes, d engager la conversation avec lui. Ce sera aussi l occasion de consolider ses repères, sa représentation du normal et de l anormal, du juste et de l injuste. 16

17 7. Devenir un parent et un téléspectateur actif Il existe plusieurs démarches simples et indispensables pour protéger les enfants. Il existe par exemple un dispositif de verrouillage automatique pour les programmes déconseillés aux moins de 18 ans. Mieux vaut personnaliser le code parental afin de bloquer l accès à ces programmes, en évitant les codes que les enfants peuvent facilement essayer. Aujourd hui d autres dispositifs de verrouillage existent : les nouveaux téléviseurs ou boîtiers ADSL permettent souvent de mettre en place des filtres ou contrôles parentaux par chaînes, horaires ou titres de programmes. Pour retrouver tous les conseils et accéder aux forums de discussions, rendez-vous sur le site du CSA consacré à la protection du jeune public : Adresse du site dédié à la protection du jeune public : 17

18 Contacts Presse : Lucile Mahé des Portes / Clara Martin service.communication@csa.fr

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