Jean-Louis Laville 21 Travail social et économie solidaire, vers un dialogue

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2 Sommaire Éditorial / Guy-Noël Pasquet 9 Lecteur et ouvrier? Préface / Laurent Courtois 13 Hybridations et considération 1 / Fondements et valeurs Jean-Louis Laville 21 Travail social et économie solidaire, vers un dialogue Patrice Braconnier et Gilles Caire 47 Quelles spécificités de compétences en économie sociale et solidaire? De l expérience à la conscience pour la performance Julien Vignet 75 Des imbrications entre l économique et le politique. Monographie d une boutique sociale 2 / Chemins de l institutionnalisation Magali Zimmer 97 Des échanges économiques au service d un changement global. Le contexte d émergence d Artisans du Monde John Lasserre 115 L économie sociale et solidaire à l épreuve du terrain Christophe Dunand et Jérôme Laederach 135 Dépasser un travail social palliatif. Réflexions à partir de deux institutions genevoises d intégration et d insertion Mélanie Pénau et Laure Servant 159 La dualité entre production et accompagnement. Le challenge permanent des Structures d insertion par l activité économique 3 / Positionnements des acteurs Stéphane Rullac 185 Quels enjeux et modalités de collaboration entre les bénévoles et les salariés dans le secteur de l économie solidaire? Le cas de l action sociale Eva Fuchsbuher 207 Volontariat d entreprise. Intérêt et défis pour les organisations du secteur social

3 Stéphanie Arsenault 235 Être, rester ou quitter. La place des immigrants dans l économie sociale à Québec Patrice Combettes, Olivier Patout et André Robinet 261 La santé animale sociale et solidaire Maxime Chaffotte 285 Former les futurs travailleurs sociaux à l économie sociale et solidaire Résumés 301

4 Lecteur et ouvrier? / 9 Guy-Noël Pasquet Lecteur et ouvrier? Le sociographe est heureux de pouvoir offrir à ses lecteurs ce numéro sur l économie sociale et solidaire. Une revue est sans doute une entreprise dont on peut se demander si elle est sociale et solidaire. Relevant d une initiative associative et d une mise en œuvre mutuelle, Le sociographe ne peut que s intéresser à cette économie sociale qui est peut-être son mode d existence, mais en tout cas, son objet d investigation. Soulevée dès la lutte des classes, entre une classe propriétaire des moyens de production et une classe n ayant pour toute richesse que sa force de travail, jusqu à nos jours où l indignation et l incertitude sociale semblent toujours opposer une partie de la population qui serait «avec» contre une autre qui serait «sans», la question sociale reste le moteur des mouvements sociaux et économiques. Tantôt l économie est florissante et permet d absorber la majeure partie de la population dans ses développements et d offrir, certes de façon inégalitaire, mais d offrir quand même à chacun une part de l enrichissement. Tantôt l économie n absorbe que peu de population et la «grogne» sociale se fait alors entendre, parfois jusqu aux «explosions». Comment passe-t-on d une économie euphorique à une économie moribonde? Ici, la réponse suppose un engagement politique, la droite pensant que c est parce que la liberté de l entreprise est entravée par la régulation sociale de l État et la gauche que la recherche incessante de profit par l entreprise la pousse à produire toujours plus avec moins de moyens, y compris

5 10/ Guy-Noël Pasquet des moyens humains. L État est alors un moyen terme : l enrichissement permet de prélever de l impôt pour permettre que ceux qui sont exclus des moyens de production puissent, malgré tout, trouver quelques subsides. La question qui se cache dans ce jeu de circulation économique est celle de la propriété. À qui appartient la richesse? Elle est parfois celle d une personne qui possède une entreprise, donc des moyens de production et des bénéfices qui pourront en être acquis, quitte à payer des impôts. Elle est parfois celle d un collectif de personnes dans le cadre des entreprises cotées en bourses et chacun des actionnaires, en tant que propriétaire, accède aux bénéfices de l entreprise. Elle est parfois celle d une mutuelle, d une coopérative ou d une association où ce sont les usagers de l entreprise qui en sont propriétaires. Ils ne peuvent pas accéder directement aux excédents financiers dégagés, mais, en fonction des statuts, touchent sous forme de dividendes ou de rémunération ces excédents. Bref, ce qu il faut retenir c est que l activité même si, sous ces formes, elle organise une inégalité des revenus permet de trouver des moyens de subsistance. Sous cette organisation, l activité doit alors être regardée de manière générale. Celui qui n a pas d activité participe en effet à diminuer les coûts de production pour dégager des marges plus importantes. Aussi le fait même de ne rien faire est-il producteur, non pas de subside pour vivre, mais d un accroissement des asymétries des subsides liées à l activité. Cette inégalité est le fruit de la question de la propriété. L économie sociale et solidaire, depuis l avènement des modèles de productivité fordiste de la fin du XIX e siècle, s oppose à cette inégalité liée à la propriété. Les coopératives, les associations, les mutuelles, les chantiers d insertion se présentent comme des modèles alternatifs tendant à montrer que d autres façons de penser l activité humaine et sa répartition sont possibles. On connaît les critiques des économistes libéraux adressés à cette économie sociale et solidaire. L accumulation de capitaux permet un accroissement des richesses qui peuvent être redistribuées sous forme de salaires et

6 Lecteur et ouvrier? / 11 de bénéfices. Vouloir faire de l entreprise autre chose qu une machine à gagner de l argent, c est appauvrir toute une population. Cette critique est en partie vraie. Comment ne pas être d accord avec le fait qu il faille produire de la richesse pour pouvoir être plus riche ensemble? Mais cette critique est à son tour critiquée parce que cette richesse ne profite pas à tout le monde de manière équitable, ce qui est vrai aussi. La question qui n est pas posée qui pourrait être la critique majeure adressée aussi bien à l économie qu à l économie sociale et solidaire est celle de la propriété. À qui appartiennent les choses? C est une question qui paraît simple et pourtant, elle ne l est pas. Concernant notre revue, nous pouvons la ramener à celle-ci : à qui appartient la revue? Plus prosaïquement, à qui appartient un texte? La question de l auteur et, derrière, celle de l identité, est celle qui alimente les tourments de la propriété. Le texte appartient-il à son auteur? Appartient-il à celui qui diffuse le texte? Appartient-il au lecteur? Que serait un texte sans ses lecteurs? Nous pourrions avoir les mêmes questions s agissant d un film, ou de toute autre création, y compris celle d une entreprise. Est-il légitime de revendiquer des droits au nom du fait d être auteur, c est-à-dire propriétaire de quelque chose? La reconnaissance d une activité est liée à la légitimité de sa rétribution. L ouvrier, comme le lecteur, ne sont pas reconnus auteurs et à ce titre, ne peuvent prétendre à une reconnaissance qui leur octroierait une rétribution. C est même l inverse. Pour dégager des marges, l ouvrier abandonne une part de son activité tout comme le lecteur abandonne une part de ses revenus pour accéder à la lecture. S il y a des coûts incontournables, celui de la production proprement dite, il n en reste pas moins que la question des marges faites par l auteur ou son distributeur reste prépondérante. Aussi Le sociographe est-il heureux de pouvoir perpétuer ces questions qui ne peuvent trouver de réponses toutes faites ou trop simplistes. Participer à remettre au débat des questions essentielles comme celles de l activité, de la reconnaissance de l activité et de la légitimité de sa rétribution me paraît fondamentale.

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