Le médicament en Islam : représentation du médicament dans la société tunisienne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Le médicament en Islam : représentation du médicament dans la société tunisienne"

Transcription

1 Le médicament en Islam : représentation du médicament dans la société tunisienne Sofiane BOUHDIBA 1 Introduction Cet article examine la représentation du médicament dans la société tunisienne. Existet-il une hiérarchie entre ces remèdes en Tunisie? L Islam, religion dominante en Tunisie, explique-t-elle le rapport particulier du tunisien au médicament? Les préceptes islamiques sont-il un élément clé pour la compréhension de la problématique pharmaceutique en Tunisie? Les réponses politiques prennent-elles suffisamment en considération l élément religieux dans les stratégies pharmaceutiques? Associent-elles la communauté religieuse, pour prévenir l usage de médicaments traditionnels dangereux, par exemple? Sous l effet de la mondialisation et des changements des comportements, ira-t-on vers un nouveau rapport au médicament en Tunisie? Telles sont les questions auxquelles je tenterai de trouver des éléments de réponse au cours de ma communication. Ma réflexion se fera en trois parties. Après un bref rappel des différentes formes de remèdes existant dans la société tunisienne, je montrerai à partir des résultats d une enquête qu il existe une hiérarchie dans le choix de ces remèdes, hiérarchie qui se traduit concrètement par un itinéraire thérapeutique particulier. La dernière partie de l article s attachera à analyser le rapport du malade au médicament dans la société tunisienne. 1. La panoplie des remèdes dans la société musulmane Selon un hadith 2, des bédouins atteints de la gale ont interrogé le prophète Mahomet sur la légitimité de suivre un traitement. Ce dernier aurait répondu : «si Dieu a fait naître le mal, Il en a aussi suscité le remède», et selon une autre version : «Soignez-vous donc en cas de maladie. Soignez-vous car il n existe point de mal sans remède» 3. Et de fait, il existe quatre types de remèdes dans la société musulmane, selon la nature du prescripteur. Le médicament peut être magique, prescrit par un ensorceleur (hejjêb), un sorcier (sahar), ou tout autre personnage réputé détenir le don de guérir (Baraka). Il peut également être délivré dans le cadre d un rituel religieux, par une confrérie (Issawiya, Chadoulya, Soulamya, Stambeli). Il peut être traditionnel (remèdes végétaux, animaux et minéraux), comme il peut être scientifique, prescrit par un médecin. 1.1 Le Coran, premier remède en islam En Islam, la maladie n est pas considérée comme une punition ou une malédiction mais plutôt comme une épreuve, une occasion d expier ses fautes 4. De ce fait, l ensemble des actions prises pour guérir est considéré comme une preuve de foi. Le soin est ainsi une affaire humaine, tandis que la guérison reste un apanage divin. Le médicament fait donc partie intégrante du cycle béni de préservation de la santé, ce qui en fait un objet sacré. 1 Professeur de démographie, Université de Tunis. 2 Récits de vie du prophète Mahomet 3 Abû-Dâwud et Ibn Mâja d après Usâma b. Churayk, Sunan 4 Vassart C., Les soins de santé face aux défis de la diversité : le cas des patients musulmans, Bruxelles, Fondation Roi Baudouin, 2005, p. 16 1

2 Le Coran est clair sur un point : même si la mort de tout être humain est décidée par Allah (Dieu), et que rien ne peut changer le Qadar (destinée), l Homme se doit de tout mettre en œuvre pour guérir. En particulier, le croyant peut avoir recours comme premier ressort à la lecture de versets du Coran et à des invocations divines pour soulager ses maux, qu ils soient physiques ou psychologiques. Les versets coraniques en ce sens sont nombreux : «Nous avons fait descendre le Coran, qui est un remède efficace et une miséricorde pour les croyants», in sourate al israa (le voyage nocturne), 82 ; «Pour ceux qui croient, Il [le Coran] est une guidée et une guérison», in sourate fousilat (les versets distincts), 44 ; «N est-ce pas Dieu qui répond à l angoissé quand il L invoque et Qui dissipe le mal, et Qui vous fait succéder les uns aux autres sur la terre?», in sourate les fourmis, 62 ; «N est-ce pas par l évocation du Coran que les coeurs se tranquillisent?», in sourate le tonnerre, 28. La lecture du Coran est ainsi recommandée pour apaiser, sinon le corps, du moins l esprit. De nombreux hadiths 5 - dont certains sont apocryphes - appuient cette thérapie. Le compagnon Muslim a rapporté que le prophète Mahomet aurait affirmé : «Il est permis de recourir à des formules incantatoires exemptes d hérésie» 6, ou encore : «Mets tes mains sur la partie de ton corps où tu sens le mal et dis trois fois : Bismillah 7, puis sept fois : je cherche refuge dans la grandeur de Dieu contre le mal que j éprouve et que je redoute». C est probablement par crainte de déviances et d utilisation abusive des lectures coraniques que le prophète semble s être par la suite rétracté. Un autre hadith, rapporté par le compagnon Al Bazzar, aurait précisé : «Celui qui consulte un devin ou un magicien, et qui croit à ce que celui-ci lui dit, aura mécru en ce qui a été révélé à Muhammad». Le Coran est ainsi considéré comme le premier médicament chez le croyant. On utilisait également l eau servant à nettoyer les tablettes portant des versets coraniques, pour fabriquer des onguents par exemple. Il faut toutefois retenir que l Islam n accorde guère de crédit à la Baraka, les vertus curatives du Coran ayant une valeur davantage symbolique. Tout au plus, la lecture de quelques versets coraniques est-elle conseillée pour apaiser le malade. 1.2 La hiérarchie des médicaments en Islam Il est recommandé aux croyants de suivre les conseils des médecins, et en particulier d observer strictement les médicaments prescrits et leur posologie. La médecine arabomusulmane a repris la théorie des quatre humeurs de Galien, selon laquelle le corps contient quatre humeurs principales : le sang, la pituite, la bile jaune et la bile noire, qui correspondent aux quatre éléments (terre, eau, air et feu). Les humeurs circulent dans le corps humain en quantités différentes, et peuvent refroidir, réchauffer, humidifier ou sécher les organes. En général, un ou deux éléments dominent et le corps peut être froid et humide ou sec et chaud. Le médicament est supposé modifier ce déséquilibre, étant lui-même chaud, froid, sec ou humide. C est le concept d Iitidal (équilibre), cher à Ibn Sina (Avicenne), pour qui «La maladie est avant tout perçue comme une rupture par rapport à une norme psychique, physiologique, somatique ou physique, laquelle norme n a rien d absolu puisque d une région 5 Citations du prophète Mahomet, qui servent de lignes de conduite au musulman 6 Muslim, Sahih, première édition, Le Caire, 1328 h. 7 Au nom de Dieu 2

3 du monde à l autre, d une ethnie à l autre elle peut varier considérablement» 8. Le médicament a donc pour fonction de contribuer au retour à un équilibre antérieur naturel, momentanément perturbé par la maladie. Malgré ce rôle fondamental dans l équilibre général du corps humain, l Islam recommande de ne pas abuser du médicament. Il est même recommandé de laisser le médicament en dernier recours. Comme l écrit al-râzî (Rhazès) «Tant que tu peux soigner à l aide d aliments, ne soigne pas avec des médicaments». Dans son œuvre La médecine prophétique, Ibn Qayyim Al Jawziyya propose une série de qualités qui font le médecin habile. Parmi celles-ci, on note la capacité de traiter la maladie au travers des thérapies les plus simples. Ainsi, le hakim (médecin) doit commencer par proposer une diète ou des aliments spécifiques (miel, huile, ), avant de prescrire un médicament. Même si un médicament est prescrit, il se doit d être simple, le dernier recours étant le médicament composé. Un médecin qui prescrit un remède inefficace peut être accusé d avidité. De nombreux versets du Coran et des hadith insistent sur les vertus curatives aux produits naturels. Le miel, par exemple, occupe une place privilégiée dans le tibb al nabawi (médecine du prophète), comme en témoigne le hadith : «Pour vous musulmans il y a deux remèdes : le Coran et le miel» 9. Moise Ibn Maimoun (Maïmonide, ), qui fut le médecin personnel de Saladin, se distinguera de ses confrères juifs en conseillant la modération dans les prescriptions, mêlant le médicament au soutien psychologique. Selon lui, «les médicaments ne servent qu'à soutenir la nature dans sa tâche, mais ne peuvent se substituer à elle. Il se dégage ainsi une hiérarchie du médicament en Islam : après un médicament spirituel, le médecin peut prescrire des aliments, des herbes ou autres produits naturels doux, et en dernier recours le croyant peut avoir recours aux médicaments composés. Après cette première réflexion générale sur la représentation du médicament en Islam, examinons de plus près le cas particulier de la Tunisie. 2. Itinéraire thérapeutique en Tunisie Pour mieux comprendre le rapport du citoyen tunisien au médicament, nous avons repris quelques résultats d une enquête menée de juin 2001 à septembre 2002 sur un échantillon de 320 ménages vivant dans des quartiers populaires à Tunis. 2.1 Itinéraire thérapeutique en milieu populaire urbain Ce travail de terrain nous avait permis de tracer l itinéraire thérapeutique suivant (voir annexe): le premier recours lorsqu on est malade en milieu populaire urbain est la santé publique, c est à dire l hôpital, et le dernier recours est le sorcier. Ainsi, après le médecin de la santé publique, c est auprès du secteur privé que l on s adresse, auprès du généraliste d abord, puis du spécialiste. Par la suite, c est vers le secteur paramédical que l on s oriente, c est à dire le pharmacien, puis l infirmier. L étape suivante est révélatrice d un changement de stratégie, une sorte de retournement sur soi, puisque le malade se tourne vers ses proches et ses voisins, puis vers lui-même (automédication). Le malade semble ensuite à nouveau s ouvrir sur l extérieur, en ayant recours au Tib arbi 10, c est à dire la médecine traditionnelle 8 Elisabeth L., Santé, médecine et société dans le monde arabe, Paris, L Harmattan, 1995, p Mohamed Ali Amir Moezzi, Dictionnaire du Coran, Paris, Robert Laffont, 2007, p Médecine arabe 3

4 puis les rituels religieux 11, pour deviner et soigner la maladie. C est à ce moment que commence la quête de la Baraka. Le dernier recours thérapeutique, enfin, est le Sihr (sorcellerie). Il s agit là encore d une thérapie marquée par la recherche de la Baraka. Le malade consulte alors un ensorceleur (hejjêb), un sorcier (sahar), ou tout autre personnage réputé avoir la Baraka, ce don sacré de deviner et guérir. Ce type de recours permettrait de guérir des maux, tels que El Ain (mauvais œil), le mal de la chouette, le placenta à l envers 12, Les Sahhar ont la réputation de devins, ils sont capables de prédire la maladie avant qu elle ne survienne, et peuvent ainsi empêcher sa survenance. Ils sont consultés régulièrement à titre préventif. Leurs noms et adresses se transmettent discrètement de bouche à oreille, et leur don de Baraka se transmet de père en fils. Notons toutefois que ces personnages agissent dans un cadre tout à fait officieux, leurs pratiques étant condamnées par les communautés tant scientifiques que religieuses. Le Coran est formel : les magiciens seront sévèrement jugés, même si leurs pratiques visent à soulager. 2.2 La place du médicament dans l itinéraire thérapeutique On le voit, le pharmacien jouit d une place particulière dans le parcours thérapeutique du citoyen tunisien du panel. Cela est du au fait que ce personnage, populaire dans les quartiers, est une sorte de «substitut de médecin de proximité». Il est le seul acteur sanitaire apte à proposer en même temps le diagnostic et le médicament (dâa wa dawâa). Sur le plan économique, il est également intéressant puisqu il permet de sauter une étape dans le processus de guérison, et d arriver d une manière plus directe à l étape finale, celle de la délivrance du médicament. Il faut reconnaître toutefois que le pharmacien reste un agent sanitaire de second ordre, dont les compétences de diagnostic restent limitées. On lui demande généralement de diagnostiquer des atteintes cutanées, des problèmes oculaires, auriculaires, et d une manière générale de diagnostiquer les affections les plus visibles. 3/ Rapport du malade au médicament dans la société tunisienne moderne Voyons à présent comment le médicament est représenté dans la société tunisienne moderne. 3.1 Les interdits alimentaires Bien que porteur de guérison, le médicament se heurte régulièrement à es interdits alimentaires. En effet, comme tout autre produit introduit dans le corps du croyant, le médicament ne doit pas contenir de substances haram (illicites), tels que la gélatine ou l insuline de porc, ou encore des dérivés d alcool. L Islam étant une religion tolérante, il est toutefois admis que ces produits soient absorbés, s il est démontré qu il n existe pas d autre alternative. Une enquête menée en Grande-Bretagne auprès d un panel composé de 50 patients et 18 médecins musulmans a donné les résultats suivants : 26% des patients ont déclaré qu ils prendraient un médicament dont ils ne sont pas certains qu il soit halal (permis), 42% ont déclaré qu ils ne prendraient pas un produit dont ils ne pas sûrs et 58% ont affirmé qu ils suspendraient un traitement s ils découvraient que celui-ci est haram. Par ailleurs, 8% des patients et 22% des généralistes ont admis qu ils prendraient un médicament haram pour traiter une affection mineure. En revanche, 36% des patients et 44% des praticiens ont affirmé qu ils prendraient un médicament haram dans le cas d une maladie grave. Enfin, 64% des 11 Les rituels religieux sont pratiqués par les différentes confréries installées dans les vieilles médinas des villes : Issawiya, Chadoulya, Soulamya, Stambeli. Ces rites, malgré leur religiosité apparente, s opposent à la lettre coranique 12 Qu on appelle aussi mal des femmes. 4

5 patients et 56% des généralistes interrogés ont affirmé qu un musulman ne doit pas prendre un médicament haram pour traiter une affection majeure 13. Cette enquête montre que les interdits alimentaires restent forts au sein d une communauté musulmane pourtant habituée à la vie moderne. Une telle attitude, qui mérite le respect, pourrait toutefois nuire aux chances de guérison du patient. C est pourquoi il faut veiller à mettre en place une institution (un conseil de sages par exemple) qui puisse fournir aux malades une interprétation correcte de la loi islamique en ce qui concerne l usage des médicaments. Il est regrettable de voir aujourd hui que des émissions radiophonique, télévisées, ou des sites internet soient entre les mains de oulama (docteurs de la loi islamique) pour le moins douteux, et dont les conseils ne font finalement que renforcer les difficultés d accès aux médicaments. La Grande Bretagne, forte d une communauté de 1.5 millions de musulmans, a d ailleurs lancé une opération de contre-information, à travers l édition d un «Guide du patient musulman», contenant la liste des médicaments contenant des ingrédients porcins et proposant des alternatives. 3.2 Le médicament face au Ramadhan Il est aujourd hui admis que l absorption par voie orale d un médicament durant la journée rompt le jeûne du Ramadhan. Face au refus en bloc du traitement, les médecins tunisiens doivent adapter les horaires des prises de médicaments. Ainsi, les patients prennent leur médicament le matin avant l aube, puis au moment de l Iftar (rupture du jeûne, au coucher du soleil) et une dernière fois au moment du coucher. S il ya un consensus autour de l interdit d absorber un médicament par voie orale pendant la période jeûne, en revanche les avis des oulama divergent concernant les autres types d absorption, telles que les injections (sérum glucosé ou vaccin) et les anesthésies gazeuses 14. C est la raison pour laquelle de nombreux traitements sont retardés par rapport au mois de Ramadhan, et en particulier les traitements dentaires, par peur d une absorption orale de résidu d anesthésiant ou d eau de gargarisme. C est aussi le cas des opérations chirurgicales, si elles ne revêtent pas un caractère d urgence. 3.3 La peur des effets secondaires Le citoyen tunisien est désormais au courant des problèmes liés aux médicaments, comme ce fut le cas récemment avec le Médiator. De nombreux tunisiens lisent le Vidal, qui mentionne les effets secondaires. Conclusion Nous avons eu l occasion de constater ici que les conduites des malades à l égard des médicaments sont fortement imprégnées des valeurs qui circulent à l intérieur des groupes culturels auxquels ils se rattachent, et que le savoir même qu ils ont sur les médicaments est construit par des logiques culturelles et symboliques qui lui donnent forme 15. La question que l on pourrait se poser, à ce stade de la réflexion, est de savoir si la représentation du médicament en Tunisie n est pas sur le point de connaître un grand bouleversement. Face à la modernisation du système sanitaire, les pratiques thérapeutiques divinatoires, sont en train de disparaître, remettant en question la vision traditionnelle musulmane du médicament. Il serait intéressant de connaître, par exemple, la position de la 13 Vassart C., Les soins de santé face aux défis de la diversité : le cas des patients musulmans, Bruxelles, Fondation Roi Baudouin, 2005 p Ibid., p Fainzang S., Transmission et circulation des savoirs sur les médicaments dans la relation médecin-malade, Montréal, Les Presses de l Université du Québec, 2006, p. 7 5

6 société tunisienne vis-à-vis «bébé médicament», pratique consistant à concevoir un enfant pour sauver un frère ou une sœur atteint d une grave maladie génétique. Références bibliographiques Ben Salem K., Njah M., Mtir N., Kacem M., Haj Frej A., Marzouki M., «Pratiques de prévention et de promotion de la santé en médecine libérale», Tunisie Médicale, vol. n 71, Tunis, janvier Bouhdiba A., Quêtes sociologiques, Tunis, Cérès, Brelet C., Médecines du monde : histoire et pratiques des médecines traditionnelles, Paris, Robert Laffont, Conrad L., Neve M., Nutton P., Roy V., Wear A., Histoire de la lutte contre les maladies, Paris, Les empêcheurs de penser en rond, Dif M., La maladie et la mort en Islam, Lyon, Tawhid, Dozon J.-P., Sindzingre N., «Pluralisme thérapeutique et médecine traditionnelle en Afrique contemporaine», Prévenir, n 12, 1986, p Fainzang S., Transmission et circulation des savoirs sur les médicaments dans la relation médecin-malade, Montréal, Les Presses de l Université du Québec, Longuenesse E., Santé, médecine et société dans le monde arabe, Paris, L Harmattan, Organisation Mondiale de la Santé, Le secteur pharmaceutique tunisien son organisation, son fonctionnement et ses performances par rapport à la disponibilité et l accessibilité financière des médicaments, Tunis, Moezzi M.-A.-A., Dictionnaire du Coran, Paris, Robert Laffont, Vassart C., Les soins de santé face aux défis de la diversité : le cas des patients musulmans, Bruxelles, Fondation Roi Baudouin,

7 Annexe : itinéraire thérapeutique en milieu populaire urbain, Tunis,

Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire?

Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire? Christen-Muslime: Was tun? Chrétiens-musulmans : que faire? Mariage entre catholiques et musulmans 1ère partie pour une pastorale du discernement aide pastorale 2 Groupe de travail «Islam» de la CES 2

Plus en détail

Sportifs et médicaments Questions et réponses

Sportifs et médicaments Questions et réponses Sportifs et médicaments Questions et réponses Que puis-je faire pour éviter d'être contrôlé positif suite à la prise d'un médicament? Il y a deux façons de se procurer des médicaments : soit sur ordonnance

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

Il existe un certain nombre d activités qui sont interdites par l Islam, ou haram en arabe.

Il existe un certain nombre d activités qui sont interdites par l Islam, ou haram en arabe. Qu est ce que la finance islamique (FI)? La Finance Islamique est l ensemble des instruments financiers qui ont été adoptés suivant les principes de l islam. La FI généralement réduite à l interdiction

Plus en détail

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches. Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit

Plus en détail

Crains Allah où que tu sois. Cheikh Oubayd Al-Jâbirî qu Allah le préserve. Mehdi Abou Abdirrahman www.spfbirmingham.com

Crains Allah où que tu sois. Cheikh Oubayd Al-Jâbirî qu Allah le préserve. Mehdi Abou Abdirrahman www.spfbirmingham.com Crains Allah où que tu sois Cheikh Oubayd Al-Jâbirî qu Allah le préserve Mehdi Abou Abdirrahman www.spfbirmingham.com 1 Crains Allah où que tu sois Toutes les louanges à Allah; " C est Lui qui a envoyé

Plus en détail

REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES

REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES REFLEXIONS POUR LE DEVELOPPEMENT D UNE PRATIQUE DE CONCERTATION PROFESSIONNELLE ENTRE MEDECINS ET PHARMACIENS DANS L INTERET DES MALADES Le médecin et le pharmacien bien que fréquentant souvent des facultés

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Mehdi Abou Abdir-Rahmân www.spfbirmingham.com 7/11/2013

Mehdi Abou Abdir-Rahmân www.spfbirmingham.com 7/11/2013 2013 Mehdi Abou Abdir-Rahmân www.spfbirmingham.com 7/11/2013 Toutes les louanges reviennent à Allah, nous Le louons et demandons Son aide et nous cherchons refuge en Lui contre nos propres maux et contre

Plus en détail

DON D ORGANES Donneur ou pas

DON D ORGANES Donneur ou pas Agence de la biomédecine L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par la loi de bioéthique du 6

Plus en détail

Le Baptême des petits enfants en 25 questions

Le Baptême des petits enfants en 25 questions Le Baptême des petits enfants en 25 questions 1. Les parents doivent-ils être baptisés pour demander le baptême de leur Non, puisque c est la personne qui va recevoir le baptême qui est concernée. Tous

Plus en détail

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services

La santé. Les établissements de l entité Mutualité Santé Services 1 solidaire Apporter une réponse concrète aux besoins de la population en matière de santé, selon des principes fondamentaux de solidarité et d entraide. Développer un important réseau d œuvres sanitaires

Plus en détail

1 Mise en garde contre Abbâs Abou Layth

1 Mise en garde contre Abbâs Abou Layth 1 Mise en garde contre Abbâs Abou Layth 1 P a g e 2 Mise en garde contre Abbâs Abou Layth Toutes les louanges reviennent à Allah; nous Le louons et demandons Son aide et nous cherchons refuge en Lui contre

Plus en détail

STAGE DE RUGBY- DOSSIER D INSCRIPTION JUILLET 2015

STAGE DE RUGBY- DOSSIER D INSCRIPTION JUILLET 2015 1/10 STAGE DE RUGBY- DOSSIER D INSCRIPTION JUILLET 2015 LE STAGIAIRE Nom :... Prénom :... Date de naissance :. /. /. Tel portable :... E-mail :... Adresse :... LE STAGE DE RUGBY (1) Dates de stage pour

Plus en détail

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au

Douleur et gestion de la douleur. Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au Douleur et gestion de la douleur Renseignez-vous sur les services de soutien et de soins sur www.palliativecare.org.au French - Pain Management Department of Health and Ageing Financé par le gouvernement

Plus en détail

Elaboration participative des programmes communaux

Elaboration participative des programmes communaux Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

Commission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS

Commission Statut et Juridique AH-HP. COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Commission Statut et Juridique AH-HP COMMENTAIRES et OBSERVATIONS sur le PROJET du CODE de DEONTOLOGIE du CONSEIL NATIONAL de l ORDRE des INFIRMIERS Février 2010 1 Origine du code de déontologie Faisant

Plus en détail

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.

Don d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007. Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation

Plus en détail

Compétences terminales de cours. philosophiques. Enseignement secondaire 3 ème degré

Compétences terminales de cours. philosophiques. Enseignement secondaire 3 ème degré Enseignant La finance islamique I Compétences terminales de cours philosophiques Enseignement secondaire 3 ème degré COMPTE D'ÉPARGNE + INTÉRÊT ALEX 230 Porte d entrée Banque Compétences Sentir, ressentir

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 118 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Enregistré à la Présidence du Sénat le 12 novembre 2012 PROPOSITION DE LOI visant à rendre obligatoire l étourdissement des animaux avant tout abattage, PRÉSENTÉE

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

RESTRICTIONS PUBLICITAIRES M6 ET W9 FENÊTRE PUBLICITAIRE SUISSE

RESTRICTIONS PUBLICITAIRES M6 ET W9 FENÊTRE PUBLICITAIRE SUISSE RESTRICTIONS PUBLICITAIRES M6 ET W9 FENÊTRE PUBLICITAIRE SUISSE Goldbach Media est tenu de respecter les restrictions publicitaires françaises. M6 Publicité se réserve le droit de refuser des spots ou

Plus en détail

Soins infirmiers et gestion des risques

Soins infirmiers et gestion des risques Soins infirmiers et gestion des risques I. Principe de précaution Hippocrate disait «soulager le malade et ne pas lui nuire» Cet adage «primun non cere» est le principe de la base de la médecine II. La

Plus en détail

2. Accords généraux concernant la prescription

2. Accords généraux concernant la prescription 2. Accords généraux concernant la prescription INTRODUCTIon La prescription doit permettre au pharmacien de délivrer de manière adéquate le bon médicament. La prescription doit satisfaire à un certain

Plus en détail

Première éducation à la route Je suis piéton

Première éducation à la route Je suis piéton séance 1 Première éducation à la route Je suis piéton Je découvre Observe attentivement ce dessin puis décris ce qui se passe dans cette rue. Est-ce que tu as repéré des situations dangereuses? Lesquelles?

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus

Plus en détail

CERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR

CERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

Les rapports du chrétien avec les autres

Les rapports du chrétien avec les autres Leçon 13 Les rapports du chrétien avec les autres C était le moment des témoignages, lors de notre rencontre du lundi matin, à la chapelle de l Ecole biblique. Une jeune fille nommée Olga se leva pour

Plus en détail

Méthode universitaire du commentaire de texte

Méthode universitaire du commentaire de texte Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent

Plus en détail

Donneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches.

Donneur ou pas... Pourquoi et comment je le dis à mes proches. L Agence de la biomédecine DON D ORGANES le guide L Agence de la biomédecine, qui a repris les missions de l Etablissement français des Greffes, est un établissement public national de l Etat créé par

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K)

Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Ce carnet a été réalisé sous la coordination de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Vous et votre traitement anticoagulant par AVK (antivitamine K) Carte à découper

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Place Vignioboul Mon Pass Loisirs Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015 Prénom : / Nom : Ma date de naissance : / / Téléphone (domicile) : / Mon portable : / Mon mail : / Cocher 1 possibilité : (OBLIGATOIRE)

Plus en détail

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1

Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)

Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) 1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans

Plus en détail

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que

Plus en détail

VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto

VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto Carnet-conseils appartenant à :.... Adresse :......................... Tel :............................ Médecin Généraliste : Adresse

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE

REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et

Plus en détail

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES

L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé

Plus en détail

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques

Nos mondes imaginaires. mes caractéristiques physiques Nos mondes imaginaires Mon personnage : mes caractéristiques physiques Objectifs : Tu vas apprendre à parler des caractéristiques physiques pour décrire le physique de ton personnage du monde imaginaire

Plus en détail

87 - SOURATE DU TRÈS-HAUT

87 - SOURATE DU TRÈS-HAUT 87 - SOURATE DU TRÈS-HAUT 19 versets Révléée tout entière à la Mecque à la suite de la sourate «Du Soleil qui s'éteint» Bismi-L-Lâhi-r-Rahmâni-r-Rahûn sabbihi-sma rabbika-l- a lâ (1) -1-ladî halaqa fasawwâ

Plus en détail

L ndétectable. Sommaire. Edito Trouver la motivation pour avaler sa pilule. L ndétectable N 3 - septembre 2013 1

L ndétectable. Sommaire. Edito Trouver la motivation pour avaler sa pilule. L ndétectable N 3 - septembre 2013 1 L ndétectable Trimestriel du CHU Saint-Pierre - Pédiatrie Sommaire Edito : Trouver la motivation pour avaler sa pilule 1 À coeur ouvert : Cher Journal 2 Entre nous : Just toooooooooooo late 3 Dossier :

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire

Pour un bronzage sage. Guide pour un utilisateur averti de banc solaire Pour un bronzage sage Guide pour un utilisateur averti de banc solaire -18 C est surtout durant les longs mois d hiver que le manque de soleil incite les amateurs de soleil à aller le chercher ailleurs

Plus en détail

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

I. Une nouvelle loi anti-discrimination

I. Une nouvelle loi anti-discrimination Extrait du Bulletin de Liaison Le Défi n 17, LHFB, Juillet 2004 Discriminations et assurances ; les apports de la Loi du 25 février 2003 et le rôle du Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre

Plus en détail

Les prérogatives du mineur sur sa santé

Les prérogatives du mineur sur sa santé 5e Rencontres médico-juridico-sociales autour de l enfant Protection de l enfance et santé Les prérogatives du mineur sur sa santé Claire Quennesson - Doctorante CERFAP Introduction Mineur Personne âgée

Plus en détail

RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT

RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT RACHETER OU REMBOURSER UN CREDIT Faites le bon choix et appréciez le bonheur d une vie sans dette C est plus simple qu il n y parait Avertissement : Toute reproduction, intégrale ou partielle, ou toute

Plus en détail

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques

Présentation du programme Éthique et culture religieuse. Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Présentation du programme Éthique et culture religieuse Par Diane Leblanc et Estelle Mercier Conseillères pédagogiques Repères historiques 1964 1995 1996 1998 1999 1999 2000 2005 Création du ministère

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

Loi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens

Loi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens Loi 41 GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens AVIS Ce guide ne se substitue pas aux lois, aux règlements ou au jugement des professionnels de la santé. Il représente l état actuel du

Plus en détail

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?

Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de

Plus en détail

Alain Souchon : Et si en plus y'a personne

Alain Souchon : Et si en plus y'a personne Alain Souchon : Et si en plus y'a personne Paroles et musique : Alain Souchon et Laurent Voulzy Virgin / Emi Thèmes La religion, La guerre, Le fanatisme religieux. Objectifs Objectifs communicatifs : Exprimer

Plus en détail

Les élèves, ta tache aujourd hui est de travailler sur ton projet de sciences humaines. J envoie de nouveau les directives.

Les élèves, ta tache aujourd hui est de travailler sur ton projet de sciences humaines. J envoie de nouveau les directives. 8 ième année science humaines Les élèves, ta tache aujourd hui est de travailler sur ton projet de sciences humaines. J envoie de nouveau les directives. Si tu n as pas ton information avec toi, tu peux

Plus en détail

Les 100 plus belles façons. François Gagol

Les 100 plus belles façons. François Gagol Les 100 plus belles façons d'aimer François Gagol Les 100 plus belles façons d Aimer François Gagol François Gagol, 2003. Toute reproduction ou publication, même partielle, de cet ouvrage est interdite

Plus en détail

POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com

POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1

Plus en détail

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

Plus en détail

L'identité de l'entreprise

L'identité de l'entreprise L'identité de l'entreprise ACT Formation 181 à 203 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon Tél. 33 00/4 72 73 48 79 Fax 33 00/4 72 73 11 20 email : info@actformation.fr www.actformation.fr ACT Formation SA 1 route

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

C est votre santé Impliquez-vous

C est votre santé Impliquez-vous C est votre santé Impliquez-vous Le financement de ce projet a été fourni par le ministère de la Santé et des Soins de longue durée de l Ontario www.oha.com 1. Impliquez-vous dans vos soins de santé. Dites-nous

Plus en détail

PROJET D ETABLISSEMENT

PROJET D ETABLISSEMENT PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter

Plus en détail

Transport. Dossier de Presse Septembre 2013

Transport. Dossier de Presse Septembre 2013 Transport Solidarité Santé Dossier de Presse Septembre 2013 1 «Ensemble favorisons l accès aux soins sur notre département.» 2 Contact presse : CPAM de Loir-et-Cher Sophie Rousselet - Responsable Communication

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 - SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES Livret d Accueil - 1 - Sommaire Contrat de soins p 3 Contrat de séjour d occupation de l appartement Règlement intérieur d occupation de l appartement p 6 Fiche sociale

Plus en détail

L univers vivant De la cellule à l être humain

L univers vivant De la cellule à l être humain L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres

Plus en détail

Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien

Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Société vaudoise de pharmacie, février 2008 Efficacité et risques des médicaments : le rôle du pharmacien Olivier Bugnon, Professeur adjoint en Pharmacie communautaire, Ecole de Pharmacie Genève-Lausanne;

Plus en détail

quoi que quoique LES EXERCICES DE FRANÇAIS DU CCDMD www.ccdmd.qc.ca

quoi que quoique LES EXERCICES DE FRANÇAIS DU CCDMD www.ccdmd.qc.ca GRAMMATICAUX DE MÊME CATÉGORIE QUOI HOMOPHONES QUE QUOIQUE 1 Homophones grammaticaux de même catégorie quoi que quoique quoi que : conjonction de subordination. Marqueur introduisant une subordonnée adjointe

Plus en détail

EXEMPLE DE QUESTION À DÉVELOPPEMENT PARTIE II : COMPRÉHENSION DE L ÉCRIT TEXTE D INFORMATION

EXEMPLE DE QUESTION À DÉVELOPPEMENT PARTIE II : COMPRÉHENSION DE L ÉCRIT TEXTE D INFORMATION FRANÇAIS LANGUE SECONDE IMMERSION 12 EXEMPLE DE QUESTION À DÉVELOPPEMENT PARTIE II : COMPRÉHENSION DE L ÉCRIT TEXTE D INFORMATION Comment le café est-il devenu une boisson très populaire? Petite histoire

Plus en détail

Charte de protection des mineurs

Charte de protection des mineurs «Mes enfants, soyez joyeux!» Charte de protection des mineurs Au sein de l Académie Musicale de Liesse Mise à jour août 2014 L ensemble des adultes intervenant au sein de l Académie Musicale de Liesse

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner

Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans. Mikalou se fait vacciner Tout savoir sur la vaccination de 0 à 6 ans Mikalou se fait vacciner Récit Mikalou n a peur de rien Dans le jardin, Mikalou s assoit sur la balançoire. Il n est pas une poule mouillée, et pourtant, il

Plus en détail

Bonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat

Bonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat Mémento pour réussir son voyage: Je m informe à temps auprès du pays de destination ou auprès de mon vétérinaire: s agit-il d un pays où la rage urbaine existe? Identification? Je prépare mon retour en

Plus en détail

HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR

HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR HISTORIQUE DES SOINS PALLIATIFS ET ENJEUX POUR LE FUTUR CHANTAL COUVREUR Sociologue, Docteur en Santé Publique Présidente de «Mediteam» Si l on s intéresse à l histoire des soins palliatifs, on constate

Plus en détail

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF

Boughanmi Hajer. JAOUA Noureddine. Membre du bureau exécutif de l OTEF Organisation Tunisienne pour L Éducation et de la Famille Elaboré par Diabète infantile Boughanmi Hajer Encadré par : Licence appliquée en Biotechnologie JAOUA Noureddine Membre du bureau exécutif de l

Plus en détail

LA SCENE MEDIATIQUE AU MOYEN-ORIENT

LA SCENE MEDIATIQUE AU MOYEN-ORIENT LA SCENE MEDIATIQUE AU MOYEN-ORIENT A LA LUMIERE DU PRINTEMPS ARABE Paloma Haschke* Le rôle «révolutionnaire» joué par les médias sociaux dans les événements du Printemps arabe semble évident. Ce phénomène

Plus en détail

NE TENTE PAS LA CHANCE

NE TENTE PAS LA CHANCE NE TENTE PAS LA CHANCE Ce que tu dois savoir au sujet de la sécurité près des barrages, des centrales hydroélectriques et des cours d eau à proximité. Énergie Yukon NE TENTE PAS LA CHANCE Le guide pour

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

Quels sont les droits des enfants?

Quels sont les droits des enfants? Quels sont les droits des enfants? L enfant devrait à tout le moins commencer par bénéficier de l amour, de l affection et de la bienveillance de ses parents, (ainsi que de ses proches et des intervenants

Plus en détail

1-Quand on va aux toilettes pour uriner ou pour faire ses besoins. 5-Quand on touche nos parties génitales avec les mains.

1-Quand on va aux toilettes pour uriner ou pour faire ses besoins. 5-Quand on touche nos parties génitales avec les mains. מ א א א מ Ce que tout Nouveau musulman doit savoir Pour débuter la Salat Al-Hamdoulillah, was-salatou was-salamou alaa Rasoulillah, wa ba d: En plus de l apprentissage du Tawhid et des fondements de la

Plus en détail

Conseil général du Lot. Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire.

Conseil général du Lot. Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire. Conseil général du Lot é t e r p o La pr chez l enfant s n a 6 à 0 de Le Conseil général, plus proche de vous, plus solidaire. La propreté, cela ne s apprend pas! Maman, je vais certainement te surprendre,

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

ACSI. Association Centre de santé Infirmier. 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17. cdspen29@wanadoo.

ACSI. Association Centre de santé Infirmier. 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17. cdspen29@wanadoo. ACSI Association Centre de santé Infirmier Penmarc h Plomeur Le Guilvinec Tréffiagat-Léchiagat 53 rue de la marine 29760 Penmarc h : 02.98.58.60.18 :02.98.58.71.17 cdspen29@wanadoo.fr SOMMAIRE Introduction

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE

PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE POSITION DU CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES INFIRMIERS Décembre 2013 POSITION DE L ORDRE NATIONAL DES INFIRMIERS «PRISE EN CHARGE DE LA FIN DE VIE» Le Président de la

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D INTÉGRATION

QUESTIONNAIRE D INTÉGRATION QUESTIONNAIRE D INTÉGRATION 2015-2016 0 Section à être complétée par les parents Nom de l élève : Degré : Date de naissance : En guise d introduction, nous aimerions avoir un bref historique de la situation

Plus en détail

INTRODUCTION. DE L IGNORANCE MUTUELLE

INTRODUCTION. DE L IGNORANCE MUTUELLE INTRODUCTION. DE L IGNORANCE MUTUELLE AU VRAI DIALOGUE Ce livre a pour objet l étude du christianisme et de l islam. Cette étude comparative a toujours été ma préoccupation, en Syrie, mon pays natal, aussi

Plus en détail

Journal de la migraine

Journal de la migraine Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité

27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité Monsieur le Maire, Eric LEJOINDRE Mesdames et Messieurs Les enseignants et représentants de l Education Nationale Mesdames et Messieurs les Présidents et représentants d associations patriotiques Mesdames

Plus en détail

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE

GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE GRILLE D ANALYSE D UNE SEQUENCE D APPRENTISSAGE 1 - LA DEFINITION DES OBJECTIFS DE LA SEQUENCE : - Ai-je bien identifié l objectif de la séquence? - Est-il clairement situé dans la progression générale

Plus en détail