Sources de photons jumeaux : des débats sur l intrication aux nouvelles technologies quantiques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Sources de photons jumeaux : des débats sur l intrication aux nouvelles technologies quantiques"

Transcription

1 Sources de photons jumeux : des déts sur l intriction ux nouvelles technologies quntiques Sr DUCCI Lortoire Mtériux et Phénomènes Quntiques, Université Pris Diderot sr.ducci@univ-pris-diderot.fr L intriction est une des propriétés les plus fscinntes de l mécnique quntique ; qund deux prticules sont intriquées, l mesure des propriétés de l une permet de connître instntnément les propriétés de s jumelle, quelle que soit l distnce les séprnt. Après voir été démontrée expérimentlement sur différents systèmes, l intriction est ujourd hui u cœur de plusieurs domines de recherche, comme les communictions, le clcul et l métrologie. En prllèle ux recherches fondmentles sur des expériences de lortoire très complexes, on ssiste à un véritle essor de technologies quntiques dns l ojectif d intégrer plusieurs composnts quntiques sur une même puce. Dns cet rticle, nous illustrons l évolution des sources de pires de photons intriqués, des expériences pionnières sur les cscdes tomiques ux derniers dispositifs ultrcompcts en mtériux semiconducteurs. Des déts sur l étrngéité de l mécnique quntique u théorème de Bell L intriction est un concept troulnt qui soulevé des déts chrnés entre les fondteurs de l mécnique quntique ; l existence de pires de prticules intriquées étit tellement contre-intuitive que Einstein, Podolski et Rosen en 1935 émirent l hypothèse que le formlisme quntique vit esoin d être complété pr un niveu de description supplémentire sous-jcent (vriles cchées). Bohr s oppos fermement à cette hypothèse, mis le dét rest ouvert jusqu en 1964, qund le mthémticien John Bell démontr un théorème permettnt de définir une quntité physique mesurle pour trncher expérimentlement l discussion. Le théorème de Bell ffirme que les théories locles des vriles cchées oéissent ux inéglités de Bell ; puisque certines prédictions de l mécnique quntique (dont les étts intriqués) violent les inéglités de Bell, l mécnique quntique n est ps comptile vec les théories locles à vriles cchées. À prtir des nnées 1970 plusieurs génértions d expériences se sont succédé pour tester l existence de prticules intriquées à des distnces de plus en plus grndes, vec un record ctuel de 300 km [1]. Les vncées technologiques de ces vingt dernières nnées dns l friction de cristux non linéires, fires optiques, mtériux semiconducteurs ont permis de démontrer des sources de photons intriqués de plus en plus efficces et compctes, dont certines sont déjà commercilisées. L violtion des inéglités de Bell est ujourd hui un test très répndu pour quntifier le degré d intriction produite pr les sources. Des cscdes tomiques ux sources prmétriques en mtériux optiques non linéires L intriction, qui peut concerner un ou plusieurs degrés de lierté (polristion, spin, impulsion, énergie, mode sptil, mode temporel ), est produite générlement pr des interctions directes entre prticules élémentires, vi différents types de processus physiques. Les expériences pionnières des nnées 70 et 80 ont porté sur l démonstrtion de l intriction entre pires de photons corrélés en polristion générées pr des cscdes rditives dns les tomes de clcium (voir encdré) ; successivement, grâce ux progrès dns l mîtrise de friction des mtériux optiques, l conversion prmétrique dns des cristux mssifs est devenue l méthode l plus répndue pour produire des photons jumeux. Dns ce processus, un fisceu lser de pompe dns un milieu optique non inéire génère des pires de photons ppelés signl et complémentire. Pour que ce processus it lieu de fçon efficce, l énergie et l impulsion des photons en jeu doivent être conservées (figure 1). Cette deuxième condition, ppelée ussi ccord de phse, n est ps toujours fcile à réliser du fit de l dispersion des mtériux ; pour y prvenir on utilise l 24 Article disponile sur le site ou

2 DOSSIER ESA Figure 1. Conversion prmétrique d un fisceu lser en pires de photons polrisés orthogonlement dns un cristl non linéire. Pour chcune des deux polristions (horizontle et verticle) les photons sont émis sur un cône. Les fréquences et les directions d émissions des photons sont gouvernées pr les reltions de conservtion de l énergie et de l impulsion. Les photons ux intersections des deux nneux verts sont intriqués en polristion. Pour voir loin il fut être précis XLIM Covesion Ltd Figure 2. () Cristux de niote de lithium polrisés périodiquement ; l tille des domines est choisie fin d inverser l phse dès que l interférence à trois ondes cesse d être constructive. Chque cristl peut contenir plusieurs pistes de périodicités différentes. (, c) Imges u microscope électronique à lyge de fires à cristl photonique produites pr le lortoire XLIM. ANALYSEUR DE FRONT D ONDE MIROIR DÉFORMABLE OPTIQUE ADAPTATIVE c iréfringence nturelle de certins cristux ou lors on renverse périodiquement l polristion ferroélectrique du mtériu fin de mintenir en phse les ondes en interction. Prmi les cristux les plus utilisés on peut mentionner le PPLN et le PPKT (figure 2). L essor de l informtion et de l communiction quntiques stimulé à son tour le développement de sources de plus en plus rillntes et simples à utiliser : l optique quntique intégrée est un domine très ctif [2]. L utilistion d une structure guidnte permet de confiner pompe, signl et complémentire sur toute l longueur du guide (typiquement quelques cm) conduisnt insi à des efficcités de conversion et de collection de photons élevées. Plusieurs procédés technologiques ont été mis u point pour intégrer Métrologie optique et optique dpttive pour lsers et microscopie imgine-optic.com 25

3 Créer l intriction vec différents processus physiques c d L intriction entre pires de photons peut être créée vi différents processus physiques, dont nous donnons quelques exemples. Dns l expérience d Aspect et l. (Phys. Rev. Lett., 1981) les tomes de clcium, pompés sélectivement dns le niveu supérieur pr l sorption non linéire de deux photons, émettent deux photons corrélés en polristion (). Une oîte quntique sous excittion optique ou électrique peut cpturer deux électrons et deux trous pour former un étt iexcitonique (). Un des électrons se recomine vec un des trous en émettnt un premier photon ; l pire électron-trou restnte se recomine ensuite en générnt un deuxième photon. Deux chemins de recominison rditive sont possiles à trvers deux étts excitoniques polrisés orthogonlement. Si l séprtion en énergie entre ces deux étts est nulle, les deux chemins sont indiscernles et les deux photons émis sont intriqués en polristion. Les processus de conversion prmétrique sont non résonnts et permettent de créer des pires de photons sur une grnde plge de longueurs d onde. Dns le mélnge à trois (qutre) ondes un (deux) photon(s) pompe(s) génère(nt) une pire de photons signl et complémentire qui se prtgent son énergie et son impulsion (c, d). des guides d onde sur des sustrts de cristux à domines non linéires périodiquement renversés jusqu à tteindre des très files tux de pertes optiques et des efficcités de conversion de 10-6 pires générées pr photon de pompe. Aujourd hui le degré d intriction tteint vec ce type de sources est presque prfit. Les progrès effectués dns les techniques d élortion des fires optiques ont ussi permis de démontrer des sources de photons intriqués ; prmi les résultts les plus mrqunts nous pouvons citer l intriction en polristion dns des fires optiques en silice, vec une nonlinérité de second ordre induite rtificiellement pr polristion thermique. Un effcement périodique de l non-linérité induite dns l direction de propgtion permet ensuite de réliser l condition de qusi ccord de phse. Une deuxième pproche ynt conduit à l génértion de photons intriqués exploite le processus de mélnge à qutre ondes dns des fires en silice à dispersion déclée ou à cristux photoniques ; ces techniques d ingénierie de l dispersion permettent d juster les longueurs d onde des photons générés vi l condition d ccord de phse fin de séprer l longueur d onde des photons générés de celle de l pompe [3]. Sources de lumière quntique en mtériux semi-conducteurs Au cours de ces dernières nnées, des vncées remrqules ont été rélisées sur les sources de pires de photons en semi-conducteurs ; ce type de mtériu, cominé à l mturité technologique de friction tteinte pour certines plteformes (Si, InP, AlGAs ), ouvre de grndes potentilités en termes d intégrtion de nouveux dispositifs optoélectroniques quntiques. Les pproches à l étude ujourd hui se foclisent sur trois types de systèmes : les oîtes quntiques, les guides d onde et les résonteurs en silicium, et les guides d onde en AlGAs. Les oîtes quntiques Les oîtes quntiques sont des nnostructures semi-conductrices qui confinent les électrons et les trous dns les trois dimensions de l espce ; ceci leur confère des propriétés proches de celles d un tome, si ien qu elles sont prfois ppelées «tomes rtificiels». Dns ces systèmes le processus de désexcittion rditive de deux pires électron-trou ppelés excitons été utilisé pour générer des photons intriqués (voir encdré) en régime de pompge optique et électrique [4]. Cette pproche permet d otenir des sources presque déterministes, compte tenu du fit qu une oîte peut émettre une pire pr impulsion d excittion vec une proilité proche de un, et des progrès récents effectués dns l efficcité d extrction des photons générés. À noter que pour exploiter ce processus il est nécessire que l énergie thermique du système soit inférieure à l énergie de l étt lié, ce qui implique un refroidissement des dispositifs à une tempérture de quelques kelvin. L photonique sur silicium Les développements récents de l photonique sur silicium ont permis de démontrer des sources de photons intriqués dns des dispositifs intégrés en différents types de géométries (guides d onde run, résonteurs à modes de glerie ) ; puisque le silicium ne présente ps de non-linérité 26

4 d ordre deux, le processus physique utilisé est le mélnge à qutre ondes [5]. Cette pproche permet d otenir des dispositifs émettnt dns l nde télécom, fonctionnnt à tempérture minte en utilisnt l plteforme SOI (silicon-on-insultor), comptile vec l technologie CMOS. Un grnd nomre de résultts ont été otenus sur l mnipultion d étts à deux ou plusieurs photons sur des circuits photoniques intégrés ; un pnorm de fits mrqunts est présenté sur le site we du projet européen QUANTIP [6]. Le prochin grnd défi pour cette plteforme est l possiilité d intégrer sur les puces photoniques des sources ctives, tâche rendue difficile pr l nde interdite photonique indirecte du silicium. L plteforme AlGAs L génértion prmétrique dns des guides semiconducteurs à gp direct est un processus qui permet de réliser des dispositifs fonctionnnt à tempérture minte, tout en grdnt l possiilité d intégrer le lser de pompe vec le milieu non linéire. Plusieurs vncées ont été rélisées récemment en utilisnt le mélnge à trois ondes sur l plteforme AlGAs qui permet de cominer des efficcités de conversion élevées (χ (2) ) du GAs 110 pm/v à nm) vec l émission de photons jumeux dns l nde l plus utilisée des télécommunictions ( nm). Puisque ce mtériu n est ps iréfringent, diverses solutions ont été proposées pour stisfire l condition d ccord de phse prmi lesquelles l iréfringence de forme (qui consiste à induire une iréfringence rtificielle en lternnt des couches de GAs et d un oxyde - AlO x ), le qusi-ccord de phse (en rélisnt des guides présentnt des domines de non-linérité inversée pr des techniques de reprise de croissnce sur des sustrts micro-structurés), l ccord de phse modl (qui consiste à fire intergir différents types de modes guidés dont l indice effectif été spécifiquement dessiné), l ccord de phse contr-propgent (vec un fisceu de pompe trnsverse pr rpport ux photons émis). À titre d exemple nous présentons deux types de dispositifs démontrés très récemment qui génèrent des pires de photons jumeux dns l nde spectrle télécom : le premier est une microcvité grvée en forme de run conçue de fçon telle qu un fisceu de pompe, incident sur l surfce du guide vec un certin ngle d incidence, génère deux fisceux guidés se propgent en directions opposées et polrisés orthogonlement (figure 3). En pompnt le dispositif vec deux ngles d incidence correspondnt à l dégénértion en fréquence des photons générés, les inéglités de Bell ont pu être violées en démontrnt que les photons émis présentent un fort niveu d intriction [7]. Cette géométrie de pompge permet pr illeurs de jouer de fçon simple vec l intriction sur un utre degré de lierté, DOSSIER IDS élrgit s gmme de cmérs USB 3.0 vec trois nouvelles fmilles IDS Imging Development Systems GmH propose trois nouvelles fmilles de cmérs USB 3.0 en plus des séries à succès USB 3 ueye CP, introduites sur le mrché en Que ce soit des cmérs à encomrement réduit ou des versions cmérs-crte, ou encore des versions à oîtier rouste et nénmoins légères! Les nouvelles fmilles sont un excellent choix pour les toutes les demndes critiques, en termes de coûts, dns les pplictions en utomtisme, en rootique, dns l emllge, l instrumenttion, le trnsport et l imgerie médicle. L mnipultion de l intégrtion et de l cmér elle-même est très simple grâce u Plug & Ply d USB et u pck logiciel IDS grtuit «Softwre Suite», sophistiqué et identique pour l ensemle des cmérs ueye. Pour les pplictions à volume, cmér prfite et rentle : version vec oîtier USB 3 ueye LE monture d ojectif C/CS Elle est non seulement très légère, en rison de son oîtier plstique, mis encore ssez rouste pour les environnements industriels. Version Cmér-crte USB 3 ueye LE monture S-Mount! 36 x 36 mm L cmér dispose d un connecteur 8 roches et une limenttion 5 V, un trigger, un flsh, 2 ports GPIO et un us I 2 C pour le déclenchement d ppreils externes. Cmér polyvlente pour l construction mécnique : USB 3 ueye ML monture d ojectif C/CS Pesnt seulement 41 g et mesurnt 47 x 46 x 28 mm, l cmér USB 3 ueye ML est prfite pour toutes les pplictions où l espce est restreint. Grâce ux deux ports GPIO, u trigger et u flsh opto-couplés, l USB 3 ueye ML est dptée à une grnde vriété d pplictions. Séries uniques en leur genre - une crctéristique commune : excellente qulité d imge Tous les modèles sont équipés des tout derniers cpteurs hute sensiilité CMOS d Aptin 5 mégpixels et e2v 1,3 et 2 Mp et NIR. Mise à niveu simplifiée! IDS fit du pssge d USB 2.0 à l technologie USB 3.0 un jeu d enfnt grâce à l suite logicielle IDS qui fonctionne sur toutes les cmérs IDS. De plus, l cmér USB 3 ueye LE est de même encomrement que les modèles USB 2.0, insi l trnsition vers l technologie USB 3.0 en est simplifiée. Contct IDS Imging Development System Gmh PUBLIRÉDACTIONNEL PHOTONIQUES

5 Figure 3. () Schém d une microcvité semi-conductrice pour l génértion de pires de photons intriqués contr-propgents : le fisceu de pompe est trnsverse pr rpport ux photons guidés dns le dispositif. () Photogrphie u microscope électronique à lyge du guide d onde ; l lrgeur du run est de 4 μm, s longueur 1 mm. C. Auteert/Pris Diderot Univ. Figure 4. () Schém de l première source de photons jumeux injectée électriquement fonctionnnt à tempérture minte. Un cournt électrique génère un fisceu lser (en rouge dns l structure) qui est converti en pires de photons à l intérieur du dispositif lui-même. () Histogrmme de coïncidences entre les instnts d rrivée de photons signl et complémentire. les corréltions entre les fréquences des deux photons de l pire, qui peuvent être contrôlées vi les propriétés sptiles et spectrles du fisceu de pompe. Le deuxième dispositif est une source de photons jumeux très compcte injectée électriquement et fonctionnnt à tempérture minte : ici le lser de pompe et le milieu non linéire sont complètement intégrés. L structure, u cœur de lquelle se trouve un puits quntique, est optimisée pour générer l émission lser et l convertir directement en pires de photons à l intérieur du même dispositif (figure 4). L condition d ccord de phse est otenue en fisnt de l ingénierie de l dispersion des modes guidés pr l structure : le mode lser, guidé pr des miroirs de Brgg, est ccordé en phse vec les modes fondmentux TE 00 et TM 00 utour de 1,55 μm. L échntillon est limenté vec des impulsions électriques de durée 60 ns à un tux de répétition de 40 khz. L démonstrtion de l émission des photons pr pires est effectuée en séprnt les deux photons de chque pire pr leur polristion et en mesurnt les corréltions temporelles entre leurs instnts d rrivée sur les détecteurs. Tous ces résultts ouvrent des perspectives vers de nouvelles génértions de dispositifs dns lesquels l production, mnipultion et mesure d étts quntiques de l lumière se font sur une même puce et constituent un ps importnt vers une lrge diffusion des technologies quntiques. Références [1] A. Aspect, Une nouvelle révolution quntique, Demin l Physique, Editions O. Jco (2004). [2] S. Tnzilli et l. Lser & Photonics Reviews 6, 115 (2012). [3] E.Y. Zhu et l. Phys. Rev. Lett. 108, (2012) ; A. R. McMilln et l. Opt. Express 17, 6156 (2009). [4] A. Dousse et l. Nture 466, (2010) ; Slter et l. Nture 465, (2010). [5] H. Tkesue et l. Opt. Express 16, 5721 (2008). [6] quntip/home.html [7] A. Orieux et l. Phys. Rev. Lett. 110, (2013) ; F. Boitier et l. Phys. Rev. Lett. 112, (2014). 28

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

Algorithmes sur les mots (séquences)

Algorithmes sur les mots (séquences) Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)

Plus en détail

INFORMATIONS TECHNIQUES

INFORMATIONS TECHNIQUES 0 INFORMATIONS TECHNIQUES tle des mtieres 06 Alimenttions et ccessoires 08 Postes extérieurs Sfer Postes extérieurs minisfer 9 Postes internes Accessoires d instlltion Centrux téléphoniques PABX Cmérs

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement. Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

Guide des bonnes pratiques

Guide des bonnes pratiques Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11 Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Portiers audio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M

Portiers audio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M Portiers udio et vidéo ABB-Welcome et ABB-Welcome M Connectivité Votre regrd vers l'extérieur et ce, où que vous soyez Flexiilité Des esoins les plus simples ux instlltions les plus complexes Gmmes ABB-Welcome

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal Clients légers IGEL et bureux virtuels : synergie idéle et coût miniml Infrstructure de bureux virtuels vec clients légers IGEL Universl Desktop : Une plus grnde liberté de conception pour vos postes de

Plus en détail

Guide de l'utilisateur

Guide de l'utilisateur Guide de l'utilisteur Symboles Utilisés Dns ce Guide Indictions de sécurité L documenttion et le projecteur utilisent des symboles grphiques qui indiquent comment utiliser l ppreil en toute sécurité. Veillez

Plus en détail

Compte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn

Compte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.

Plus en détail

Développement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale

Développement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction à un modèle rongeur de tumeur cérérle Julien Flment To cite this version: Julien Flment. Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction

Plus en détail

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W /

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

La pratique institutionnelle «à plusieurs»

La pratique institutionnelle «à plusieurs» L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE

Plus en détail

1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1.

1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1. T/TR 01-01 Pge 3 r+ 1. EQUIPMENT CONCERNE L interconnexion numerique interntionl pour le service visiophonique et de visioconf&ence necessite l stndrdistion des principux prmttres num&iques tels que d~it,

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée

Solutions IHM. Gammes Graphite et G3 Outils pour l'usine connectée Solutions IHM Gmmes Grphite et G3 Outils pour l'usine connectée Des IHM ux fonctions étendues : > Conversion de plus de 250 protocoles > Serveur Web intégré > Enregistreur de données sécurisées > Modules

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 39 nnée N 6 Juin 197 0 BULLETIN MENSUE L DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 RECONNUE D'UTILITE PUBLIQUE PAR DECRET DU 9 AOUT 193 7 des SOCIETES BOTANIQUE DE LYON, D'ANTHROPOLOGIE ET DE BIOLOGIE

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015.

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015. Ce mois-ci on vous prle de i Rpport de repérge minte : Trnsmission u Préfet obligtoire à compter du 1 er juillet 2015 Simplifiction des formlités : De bonnes nouvelles pour les entreprises de dignostic

Plus en détail

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement

Plus en détail

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area TRm «Gestion de l Toxicité en zone Rmsr» Toxicity mngement in Rmsr re Progrmme Evlution et réduction des risques liés à l utilistion des Pesticides Rpport finl- Juillet_2014 CIHEAM-IAMM 3191 Route de Mende

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition

Plus en détail

Livret de l étudiant 2015-2016

Livret de l étudiant 2015-2016 Livret de l étudint 2015-2016 Le mot du directeur Soyez les bienvenus à l IUT Pris Descrtes. L'IUT ccueille chque nnée 3000 étudints, sur le site de l'venue de Versilles et, depuis cette nnée, sur le site

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage... Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte Q U O T I D I E N Crte Mestro Comment voir tous les touts de votre crte bien en min Guide mémo + Notice d Assistnce Octobre 2010 Bloc notes À fire tout de suite Votre crte est strictement personnelle,

Plus en détail

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013 Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion

Plus en détail

Magister en : Génie Mécanique

Magister en : Génie Mécanique الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université

Plus en détail

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002 EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement

Plus en détail

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke. L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement

Plus en détail

La plateforme Next Generation Mini guide

La plateforme Next Generation Mini guide L plteforme Next Genertion Mini guie Ce guie onis été réé pour vous permettre e vous fmiliriser rpiement ve les nomreuses fontionnlités et outils isponiles sur l plteforme Next Genertion. Apprenez où trouver

Plus en détail

ÉQUIPEMENTS ATEX OUTILLAGE ANTI-ÉTINCELLES

ÉQUIPEMENTS ATEX OUTILLAGE ANTI-ÉTINCELLES Chpitre 8 OUTIAGE ANTI-ÉTINCEES TRAVAIER EN MIIEU EXPOSIF Des ppreils mobiles destinés à des zones protégées contre les explosions voir, communiquer, mesurer, trnsmettre, trviller Téléphones Smrtphones

Plus en détail

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013 L comptbilité Comprez et choisissez votre logiciel L pye Comprez et choisissez votre logiciel TABLEAUX COMPARATIFS Compt Prtic Pour les créteurs et les entrepreneurs novice en Compt Compt Clssic Pour l

Plus en détail

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions

Plus en détail

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006 Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent

Plus en détail

L éditorial. rapport d activité 2010-2012. Francis Daumas. décembre 2014 éditorial

L éditorial. rapport d activité 2010-2012. Francis Daumas. décembre 2014 éditorial déemre 2014 éditoril L éditoril Frnis Dums Direteur Conernnt l onservtion à long terme des Un premier oup d œil dns le rétroviseur nous L onstrution du nouveu «pôle énergie» données numériques, à ôté des

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

Solutions électriques VELUX

Solutions électriques VELUX Solutions életriques VELUX Les produits életriques VELUX utilisent l tehnologie io-homeontrol, protoole de ommunition sns fil séurisé, prtgé ve de grnds frints dns l univers du Bâtiment. Les téléommndes

Plus en détail

transforming tomorrow

transforming tomorrow AR006ExeBrochure24pV6:Mise en pge 1 3/03/11 10:35 Pge 1 Les pnneux isothermes trnsforming tomorrow AR006ExeBrochure24pV6:Mise en pge 1 3/03/11 10:35 Pge 2 Les pnneux isothermes Le meilleur pour toutes

Plus en détail

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 août 2015 Enoncés 1 Proailités sur un univers fini Evènements et langage ensemliste A quelle condition sur (a,, c, d) ]0, 1[ 4 existe-t-il une proailité P sur

Plus en détail

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation. Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000

Plus en détail

Chapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction

Chapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction 2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux

Plus en détail

Intégrale et primitives

Intégrale et primitives Chpitre 5 Intégrle et primitives 5. Ojetif On herhe dns e hpitre à onstruire l opérteur réiproue de l opérteur de dérivtion. Les deux uestions suivntes sont lors nturelles. Question : Soit f une pplition

Plus en détail

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8 Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction

Plus en détail

INTENTION LES PROCESSUS MATHÉMATIQUES

INTENTION LES PROCESSUS MATHÉMATIQUES INTENTION Adpttios u Cdre commu des progrmmes d études de mthémtiques M-9 telles que reflétées ds le documet Mthémtiques M-9 : Progrmme d études de l Albert (2007) Le coteu du documet Mthémtiques M-9 :

Plus en détail

RadioCommunications CDMA

RadioCommunications CDMA Conservtoire tionl es Arts et Métiers Cours u Conservtoire tionl es Arts et Métiers RioCommunitions CDMA (Version 7) Mihel Terré terre@nmfr Eletronique C4 / Conservtoire tionl es Arts et Métiers Les performnes

Plus en détail

OCR & 300 DPI AGATE TM. e-scan. Smart, intuitive lovely!

OCR & 300 DPI AGATE TM. e-scan. Smart, intuitive lovely! OCR & 300 DPI GTE TM e-scn Smart, intuitive lovely! L e-scan GTE est la deuxième génération du scanner libre-service lancé par i2s DigiBook en 2009. près plus de 300 e-scan vendus dans le monde et suite

Plus en détail

VIBRATIONS COUPLEES AVEC LE VENT

VIBRATIONS COUPLEES AVEC LE VENT VIBRATIONS OPLEES AVE LE VENT Pscl Hémon Lbortoire d Hydrodynmique, LdHyX Ecole Polytechnique, Pliseu Octobre 00 Vibrtions couplées vec le vent Si vous pense que j i révélé des secrets, je m en ecuse.

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque

Plus en détail

Modules logiques Zelio Logic 1

Modules logiques Zelio Logic 1 Présentation 1 53083 Présentation L offre communication de la gamme Zelio Logic est principalement dédiée à la surveillance ou à la télécommande de machines ou d installations fonctionnant sans personnel.

Plus en détail

Topologie dans un réseau : l exemple des points de Dirac

Topologie dans un réseau : l exemple des points de Dirac Chpitre 6 Topologie dns un réseu : l exemple des points de irc Sommire Points de irc dns une zone de Brillouin....... 2 - Reltion de dispersion linéire........... 2-2 Chirlité des points de irc............

Plus en détail

Marketing et Communication qui Améliorent significativement la Rentabilité de votre activité. la vision créative.

Marketing et Communication qui Améliorent significativement la Rentabilité de votre activité. la vision créative. la vision créative de votre réussite Marketing et Communication qui méliorent significativement la Rentailité de votre activité www.soreat.com contact@soreat.com Tél : 03 29 55 48 01 SOMMIRE Notre histoire,

Plus en détail

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique

Plus en détail

Theorie des mrches Dns ce chpitre, on etudie l'interction de l'ore et de l demnde sur un mrche d'un bien donne. On etudier, en prticulier, l'equilibre du mrche. Etnt donne qu'on s'interesse uniquement

Plus en détail

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET

Plus en détail