TECHNIQUES INNOVANTES COUTEUSES Hors champ cancérologie FICHE DE PROPOSITION D UNE INNOVATION PAR L ETABLISSEMENT
|
|
- Marie-Claire Favreau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 A renvoyer au DRCD, exclusivement par à au plus tard le 25 octobre à 12h. Le document sera ensuite envoyé à la DGOS par le DRCD. TECHNIQUES INNOVANTES COUTEUSES Hors champ cancérologie FICHE DE PROPOSITION D UNE INNOVATION PAR L ETABLISSEMENT Nom de l établissement : Assistance Publique-Hôpitaux de Paris Rang de proposition donné par l établissement à l innovation : Ce rang sera déterminé par le jury interne à l AP-HP qui se réunira le 27 ou le 28 octobre. Intitulé de l innovation proposée : Evaluation de la technologie «Reverse transcription-amplification (RT-PCR) suivie d ionisation par Electro-Spray et spectrométrie de masse (ESI-MS, PlexID Abbott molecular) ) versus «l identification microbiologique classique» pour l identification des pathogènes impliqués dans les épisodes fébriles des patients immunodéprimés ESI-MS high-throughput bioidentification system for rapid broad identification, genotyping and characterization & recognition of known and emerging organisms Caractère de l innovation : Thérapeutique Diagnostique Organisationnelle Autre Spécialités ou disciplines concernées par l innovation (3 au maximum pour la même innovation) : Microbiologie (Bactériologie- virologie-mycologie) Maladies infectieuses Immuno-Hématologie-greffes Si dispositif médical innovant, date du marquage CE ; 2009 Références d un PHRC terminé s il y a lieu (année, titre, coordination, co-investigateurs, résultats) : 0 Citer les 3 principaux articles de la littérature internationale répertoriés dans Medline validant cliniquement l innovation et attestant son importance clinique (auteurs, titre, revue, année, tome, pages) : - Ce système a permis au CDC d Atlanta d identifier le virus Influenza H1N1 de la Grippe A (H1N1) - Prix US 2009 pour l innovation en médecine et biotechnologie (award for best in category for Medicine & Biotech) - Technology Innovation Awards The Wall Street Journal. 3 principaux articles D Faix, et al. Rapid-test sensitivity for novel swine-origin influenza A (H1N1) virus in humans. N Engl J Med Aug 13;361(7): D Metzgar et al Single assay for simultaneous detection and differential identification of human and avian influenza virus types, subtypes, and emergent variants. PLoS One Feb 3;5(2):e A Endimiani et al. Rapid identification of bla KPC-possessing Enterobacteriaceae by PCR/electrospray ionization-mass spectrometry J Antimicrob Chemother Aug;65(8):1833-4
2 Affection concernée et présentation de la proposition d'innovation : ESI-MS-Plex ID, Abbott Molecular Cette nouvelle approche d identification d agents pathogènes connus ou inconnus (virus, bactéries, champignons, ) est basée sur la technologie innovante de spectrométrie de masse qui identifie les acides nucléiques amplifiés par PCR puis reporte l équation AwCxTyGz sur une base de données riche de séquences. De nombreux types d échantillons peuvent être utilisés: sang, urine, LCR, Biopsies, prélèvements gorge, lavage nasal L ensemble de la chaine diagnostique est commercialisée par les laboratoires Abbott Molecular (Des Plaines, Chicago Il). La durée totale pour un diagnostic complet des agents bactériologie-virologie-mycologie est de 6 à 8 H : Actuellement la plupart des micro-organismes ne sont en pratique pas cultivables. En cas d immunodépression les infections et surtout coinfections sont multiples. ESI-MS-Plex ID permet l identification en 6-8 h de plus de 2000 pathogènes. ESI-MS-Plex ID permet également la détection des principaux gènes de résistance aux antibiotiques. Le principe repose sur la mesure de la composition en bases des amplicons obtenus par PCR Random PCR par Spectrométrie de Masse Mass Spectrometer (ESI) (TOF) I II III IV V extraction Acides nucléiques PCR PCR ESI-TOF MS Composition en bases Identification Plus de 2000 pathogènes primer PCR primer As: 17 Gs: 30 Cs: 11 Ts: 61 Après extraction des acides nucléiques de l échantillon, une série de PCR sur des trousses standardisées et marquées CE permet d amplifier les acides nucléiques présents et correspondant aux principaux gènes bactériens (16S, 23 et 25 S) - y compris meca, kpc, vana, vanb de résistances aux antibiotiques fongiques et viraux. 3 kits seront évalués ensemble (CE ) à 50 par échantillons soit 150 par run) dans l étude : Le kit BAC : 18 paires de primers bactériens ensemble des groupes de bactéries (via 16S et 23S rrna) groupes spécifiques, différenciation des espèces proches identification des Candida (via 25S rrna) résistance aux antibiotiques meca,kpc, vana, vanb soit 231 espèces de Bactéries et Candida Le kit PLEX-ID Fungal Spectrum ( CE2011) 16 paires de primers Ascomycètes/ Basidiomycetes (via rrna) spéciation des Candida (via mtdna et autres) large spectre (via rrna) Aspergillus, Cryptococcus,: Coccidioides, Mucorales, Ajellomyces, Pneumocystis Le kit Viral IC Spectrum Patient Population - Herpesviridiae de 1 à 8, Polyomavirus, Adenovirus de A à F, Enterovirus, Parvovirus
3 Le Projet : Evaluer la pertinence médicale et économique sur les sites de microbiologie-mycologie de Paris du Groupe Hospitalier Saint Louis-Lariboisière (F Simon, Pr Derouin, Pr Cambau, Pr Pons), Lille (R Courcol) et Toulouse (J Izopet) chez les patients immunodéprimés fébriles (> 37.7 ) pendant au moins 24 H par mesure auriculaire : - des services d immuno-hématologie - des services de greffe de moelle - des services de greffes rénales sur les prélèvements - de sang - d urine - De LBA ou ANP - De LCR de la technique ESI-MS-Plex ID avec ses kits BAC+ Fungal +Viral IC Spectrum versus les techniques en cours dans le laboratoire d identification microscopique, d isolements, de cultures, d antibiogramme et de biologie moléculaire traditionnelle. Schéma de l étude - Pour toute demande des services correspondant aux critères cliniques et de fébrilité sera réalisé un test ESI-MS-Plex ID avec les 3 kits kits BAC+ Fungal +Viral IC Spectrum - Les recherches se feront avec les 3 kits pour le sang, les LBA/ANP et LCR mais avec le seul kit BAC (bactéries candica) pour les urines - Le test sera lancé le matin des jours ouvrables avec rendu le soir à partir des échantillons reçus la veille et dans la nuit. - Les résultats ESI-MS-Plex ID seront rendus après formation, aux cliniciens-référent par le biologiste - référent de chaque centre -Chaque patient recevra une fiche CRF standardisé sur les antécédents, les traitements en cours avant ESI-MS-Plex ID et les modifications au cours de l hospitalisation et le devenir. Etude multicentrique Les participants sont limités à un nombre limité de CHU représentatifs compte tenu de la lourdeur de mobilisation du matériel (la machine est évaluée à , d un poids de kg et d une sos de 15 m² à répartir sur 2 pièces séparées. Nombre de patients patients par centre permettront d équilibrer les recrutements entre les différents types d immunodépression - Ce nombre de 990 patients permettra aussi de couvrir une large gamme de pathogènes rencontrés dans les diverses situations microbiologiques Le nombre de participants au projet se base sur l expérience acquise de recherche de pathogène sur 1000 patients en réanimation médicale au CHU Saint Louis montrant la diversité et les fréquences relatives des différents agents (Le Goff J et al, ICAAC 2010) Durée - L étude devrait sur la base du recrutement Saint Louis durer 18 mois sur Les critères proposés d évaluation ECONOMIQUE pour comparer les dépenses microbiologiques en termes de réactifs et de personnel - le coût en B BHN pour un patient donné au cours de son hospitalisation rapporté à la durée du séjour - le coût du test BAC/Fungal/Virus EC et à la mobilisation salariale du technicien ingénieur dédié à la machine et de la location du système rapporté à la durée du séjour
4 Les différences seront moyennées entre les 3 sites pour réduire un effet centre. Compte tenu des promesses de performances microbiologiques du Plex ID à vérifier dans le présent protocole et de débit et donc du temps et de la mobilisation d un seul agent, les différences économiques des deux approches devraient être majeures. La question sera donc essentiellement médicale sur les performances du Plex ID, la coloration de Gram et l expérience humaine n ayant pas forcement perdue la bataille de la rapidité du rendu et du coût. MEDICALES : - établir la sensibilité de détection des différents pathogènes en comparaison aux résultats obtenus sur les techniques traditionnelles - établir la spécificité de détection des pathogènes en comparaison aux résultats obtenus sur les techniques traditionnelles - comparer les délais d obtention des résultats entre les deux approches techniques - en mettre en place un recueil observationnel des thérapeutiques antibiotiques, antifongiques et antivirales des patients inclus dans l étude. A ce stade compte de la nécessaire évaluation des techniques il est prématuré de diriger les traitements sur les résultats de Plex ID ( ie : modification des régimes antifongiques en cas de négativité Plex ID, modification des antibiothérapies de couverture ou spécifiques en cas d infection exclusivement virale ). Ce volet devra faire l objet d une étude spécifique ultérieure de type PHRC lorsque la technologie ESI-MS-Plex ID sera totalement validée. Pour mettre en place ce PHRC les données observationnelles recueillies dans ce protocole seront importantes. Budget attendu - 1 technicien 0.5 ETP dédié par centre 18 mois soit x location ESI-MS-Plex ID par centre soit 2000 x 18 mois x Envion 990 kits BAC/Fungal/Virus EC à TOTAL Ces chiffres s entendent comme un maximum sachant que le technicien dédié n est pas mobilisé à plein temps et peut être réévalué lors des informations à venir sur la maniabilité, chaque analyse représentant environ 1 h de préparation. Les réactifs et la location seront négociables. Nombre de malades pour la France entière susceptibles de bénéficier de l innovation en une année (population cible) : > /an En l absence de l innovation, technique, traitement ou méthode de référence, actuellement utilisés dans la même indication? Bactériologie et mycologie : Hémoculture + isolement + antibiogramme + virologie : PCR multiplex + mono PCR ± séquences nucléotidiques - Identification séparée des bactéries, virus ou champignons - Sous 48-72H (plus si candidose) Bénéfice attendu en termes d amélioration de l état de santé pour le patient du fait de la mise en œuvre de l innovation, en particulier par rapport à la technique, traitement ou méthode de référence : Triple bénéfice attendu de la plate forme Plex ID : - Un diagnostic de qualité rapide et à haut débit - Un diagnostic sur l ensemble des pathogènes connus d intérêt médical qu ils soient bactériens, fongiques ou viraux - Une réduction majeure du coût en personnel et éventuellement en réactif avec une réorganisation complète en transversalité des disciplines microbiologiques
5 Estimation du coût (annuel) de l innovation pour un patient : Location entretien annuelle (10% du cout de Plex ID) : Pour un épisode fébrile Réactifs : 150 Temps techniciens 02 heures : 53 Temps biologistes 0.30 heure : 33 Temps journalier de location : 66 Autres précisions sur la proposition : Actuellement selon les critères de microbiologie Pour un épisode fébrile Hémocultures bactérie / fungi 30 x 3 : 90 Isolement : 30 Antibiogramme-antifongigramme : 30 Multiplex virologie : 50 PCR virologie ; 30 Temps techniciens : 30 heures : 792 Temps biologistes 2 heures : 130 Travaux éventuels sur l innovation en cours d élaboration par des sociétés savantes françaises ou européennes. Citer les organismes concernés, les travaux et si possible les références - 1 machine au Chu de Genève uniquement, en cours d installation -1 machine de démonstration en Allemagne, Abbott Delkenheim Nom et fonction de la personne ayant rédigé la proposition : François Simon Chef du service de microbiologie CHU saint Louis Paris cedex 10 Téléphone : LD francois.simon@sls.aphp.fr Noms des responsables d équipes de l établissement AP HP possédant l expérience de l innovation Nom Fonction Spécialité Service SIMON François PU PH Virologie CHU Saint Louis Le GOFF Jérome MCU PH Virologie CHU Saint Louis CAMBAU Emmanuelle PU PH Bactériologie CHU Lariboisière PONS Jean Louis PU PH Bactériologie CHU Saint Louis DONAY Jean LUC PU PH Bactériologie CHU Saint Louis DEROUIN Francis PU PH Mycologie CHU Saint Louis PERALDI M Noelle PU PH Néphrologie CHU Saint Louis SOCIE Gérard PU PH Greffe de Moelle CHU Saint Louis OKSENHENDLER Eric PU PH Immunologie clinique CHU Saint Louis AZOULAY Elie PU PH Réanimation med CHU Saint Louis
6 Nombre de malades ayant déjà bénéficié de l innovation dans l établissement : Non disponible fin 2010 Année de début de l activité innovante : 2009 aux USA première machine en Europe au CHU de Genève en Aout 2010 Code(s) CIM 10 du diagnostic se rapportant à l innovation (s il existe) : NR Code CCAM de l acte de référence faisant l objet d une innovation (s il existe) : NR
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailMICROBIOLOGIE. 1. Strep A et Urine Slide. 2. Coloration de Gram 3. Virologie (HCV, HBV, HIV)
MICROBIOLOGIE 1. Strep A et Urine Slide (page 1) 2. Coloration de Gram (page 1) 3. Virologie (HCV, HBV, HIV) (page 1) 4. UKNEQAS Microbiology (page 2) 5. QCMD (page 4) Les programmes 1, 2 et 3 sont organisés
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailLa biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015
La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailles deux premières années du Bachelor of Science en sciences pharmaceutiques
UNIVERSITÉ DE FRIBOURG SUISSE FACULTÉ DES SCIENCES UNIVERSITÄT FREIBURG SCHWEIZ MATHEMATISCH-NATURWISSENSCHAFTLICHE FAKULTÄT Plan d'études pour les deux premières années du Bachelor of Science en sciences
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailMISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 septembre 2015
SAVE THE DATE! MISSION PARTENARIALE IMMUNOLOGIE - VACCINATION & INFECTIOLOGIE A l occasion de BIOPHARM AMERICA 2015 BOSTON, ETATS-UNIS 14 au 18 2015 BioPharm America est le plus grand événement de partenariats
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailProgramme international de formation
Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailL alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailBOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE
BOURSE DE RECHERCHE QUICK : SECURITE ET HYGIENE ALIMENTAIRE Professionnels de la restauration rapide : Perception et mise en pratique des recommandations d hygiène pour une maîtrise du risque infectieux
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailVaccinations. Actualités et perspectives
Vaccinations Actualités et perspectives Cet ouvrage présente les travaux du groupe d experts réunis par l Inserm dans le cadre de la procédure d expertise collective, pour répondre aux questions posées
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailGuide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille
Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailComment devenir référent? Comment le rester?
Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détail2009-1-FR1-LEO05-07397. http://www.adam-europe.eu/adam/project/view.htm?prj=7609
Création d'un dispositif de formation continue interactif et multilingue par Internet en Parasitologie et en Mycologie médicale destiné aux professionnels qui travaillent dans les laboratoires de biologie
Plus en détailNOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION
NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailaltona altona RealStar CMV PCR Kit 1.0 always a drop ahead. 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany
altona DIAGNOSTICS altona DIAGNOSTICS RealStar CMV PCR Kit 1.0 04/2015 altona Diagnostics GmbH Mörkenstr. 12 22767 Hamburg Germany phone +49 40 548 06 76-0 fax +49 40 548 06 76-10 e-mail info@altona-diagnostics.com
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailRESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE
RESPONSABILITÉ INDEMNITAIRE (CIVILE ET ADMINISTRATIVE) Pr Scolan Clinique de médecine légale RESPONSABILITÉ CIVILE Introduction Obligation de répondre devant la justice d un dommage et de le réparer Délictuelle
Plus en détailPanorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé
Panorama d une filière d excellence : les industries et technologies de santé D après les données du Contrat d étude prospective des Industries de Santé 2012 les chiffres clés u Près de 200 000 salariés,
Plus en détailMASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE
MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailLe financement du prélèvement et de la greffe d organes La région Centre face aux défis de la greffe
Le financement du prélèvement et de la greffe d organes La région Centre face aux défis de la greffe Abm / direction médicale et scientifique / pôle OFAS 1 2 3 Rôle et place de l Agence de la biomédecine
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailInfections nosocomiales
Infections nosocomiales NOUVELLES RECOMMANDATIONS 2001-2002 NORD-AMÉRICAINES CONCERNANT LA PRÉVENTION DES INFECTIONS SUR CATHÉTER Aux États-Unis, environ 145 millions de cathéters périphériques et 5 millions
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailBIG DATA une évolution, une révolution, une promesse pour le diagnostic
Journées One Health d Ile-de-France BIG DATA une évolution, une révolution, une promesse pour le diagnostic 27 novembre 2014 de 13h30 à 17h30 Amphithéâtre 3 du Campus Centre UPEC Le séminaire sera suivi
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détail5. TARIFS INTERPROVINCIAUX
Services internes 5.1 TARIFS DES SERVICES Les tarifs interprovinciaux des services internes sont déterminés par le Comité de coordination des ententes interprovinciales en assurance santé (CCEIAS). Le
Plus en détailPunaise de lits. Nuisance émergente. Cimex lectularius. Pascal DELAUNAY. CHU de Nice. Parasitologie-Mycologie. Pascal DELAUNAY
Punaise de lits Cimex lectularius Nuisance émergente Parasitologie-Mycologie CHU de Nice 1947 1999 2009 Ectoparasite Hématophage chez les 2 sexes Adultes et larves ressemblent à un confetti brun ou beige
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins»
CAHIER DES CHARGES Bourse «Avenir Recherche & Soins» La Bourse Mutualiste pour la Recherche Infirmière et Paramédicale LE CONTEXTE GÉNÉRAL La recherche infirmière et paramédicale - c est-à-dire l étude
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailLa prise en charge médicale des patients atteints
Presse Med 2003; 32: 299-303 2003, Masson, Paris C ONTRIBUTIONS P. Pugliese 1,L.Cuzin 2, P. Enel 3,R.Agher 4, S.Alfandari 5,E.Billaud 6, P. Druard 3,C.Duvivier 4, M. Perez 2,D. Salmi 7, C. Pradier 8 NADIS
Plus en détailProgramme des formations 2014
Bio-Rad Laboratories DIAGNOSTIC CLINIQUE Programme des formations 2014 Formation, une priorité pour Bio-Rad Les possibilités qui s offrent à vous au Centre Européen de Formation Journées à Thèmes en ligne
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailmolis result portal Description fonctionnelle La structure système Configuration système requise Architecture du système
La structure système Configuration système requise Serveur de base de données (en partenariat avec InterSystems Caché ) Serveur Windows à partir de la version 2003 x 64 Serveur Windows à partir de la version
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailNous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse
Nous avons tous un don qui peut sauver une vie D e v e n i r donneur de moelle osseuse Pourquoi s inscrire comme donneur de moelle osseuse? Pour des personnes atteintes de maladies graves du sang, la greffe
Plus en détailOUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION
OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détail«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant?
«Les antibiotiques c est pas automatique», 12 ans après, quels sont les changements laissés par ce slogan percutant? Thèse présentée et soutenue publiquement Le 17 juin 2014 Pour obtenir le Diplôme d État
Plus en détail