NOTE DES AUTORITÉS FRANÇAISES
|
|
- Heloïse Dubois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Paris, 23 mars 2016 NOTE DES AUTORITÉS FRANÇAISES Objet : Réponse au livre vert de la Commission européenne sur les services financiers de détail. Réf. : COM(2015) 630 final P. J. : Réponse des autorités françaises au questionnaire (également renseignées en ligne) Les autorités françaises accueillent favorablement l initiative de la Commission européenne qui vise à faire émerger un véritable marché unique européen des services financiers de détail en vue du développement d une offre de services transfrontières. A l appui de leur réponse au formulaire standardisé proposé par la Commission en ligne qui ne permet pas l expression libre sur les questions posées, les autorités françaises souhaitent faire part à la Commission des observations suivantes : 1. Les facteurs susceptibles d expliquer la fragmentation du marché des services financiers au niveau européen ne résultent pas d un déficit normatif, mais d éléments extérieurs à la réglementation stricto sensu des produits et services financiers A la différence de la consultation menée en 2007, le livre vert de la Commission s inscrit dans un contexte où les bases normatives nécessaires au développement d un marché unique des services financiers de détail ont été posées. En effet, la France se félicite que de nombreux textes harmonisant la réglementation applicable dans l Union européenne aient été adoptés, depuis 2007, sur l ensemble des produits couverts par la présente consultation. Adoptés très récemment, plusieurs nouveaux textes (PRIIPs, MCD, MiFID 2, IDD, PAD ) ont pour objectif de créer les conditions permettant à une offre transfrontalière de rencontrer une demande des consommateurs. Ces textes instituent un cadre juridique permettant aux entreprises de distribuer leurs produits dans l ensemble de l UE sur une base harmonisée et dans un cadre protecteur pour le consommateur, notamment par l établissement de règles protectrices au stade précontractuel. Ils n ont pas encore pleinement produit leurs effets, nombre d entre eux devant encore être transposés ou n étant entrés en vigueur que récemment. Dans ces circonstances, les autorités françaises estiment que la réponse aux interrogations de la Commission quant au développement de l offre transfrontière ne doit pas nécessairement conduire à une modification de ces règles, qui générerait une instabilité normative préjudiciable tant aux consommateurs qu aux entreprises, mais plutôt à un examen des conditions et de l environnement dans lesquelles ces règles s exercent. 1
2 A cet égard, les autorités françaises relèvent que le faible développement de l offre transfrontière peut résulter tant d une faible appétence du consommateur pour des produits proposés par des opérateurs établis hors de leur pays de résidence, que d un faible développement d une offre de services par les entreprises qui privilégient une implantation dans les marchés locaux par la voie de création de filiales. Les facteurs expliquant ce constat sont de plusieurs ordres : Les consommateurs se trouvent avant tout confrontés à des obstacles d ordre linguistique ou liés aux habitudes de consommation. Ils peuvent souvent faire preuve d un manque de confiance envers des prestataires qui ne seraient pas établis sur leurs territoires et avec lesquels seule une relation commerciale strictement dématérialisée serait envisageable. En outre, une mauvaise connaissance des offres de services et produits et un manque de comparabilité avec les services et produits équivalents nationaux sont également à prendre en considération. Les prestataires de services financiers peuvent quant à eux être confrontés à des obstacles liés aux encadrements normatifs différents entre Etat membres, principalement dans des domaines en dehors du secteur financier au sens strict, qui complexifient ou sont susceptibles de complexifier la relation commerciale, sa conclusion et sa gestion dans le temps. C est le cas : o au stade précontractuel : de la difficile appréciation du risque (au sens large) et de la moindre connaissance du client et du cadre normatif local (ex : règles fiscales, droit des cadastres, droit de la famille, procédure de surendettement etc.). o dans le cadre contractuel et sur la durée de la relation contractuelle : des disparités dans les voies de recours et d exécution régies par les droits nationaux. 2. Face à ce constat, la France est en faveur d un développement de l offre et de la demande transfrontières mené au mieux des intérêts des consommateurs. Ce développement ne pourra s opérer sans favoriser la confiance des consommateurs Au soutien d un développement de l offre et de la demande transfrontière, et afin de stimuler la concurrence et l émergence de nouveaux acteurs, la France suggère à la Commission d engager une réflexion au niveau de l Union européenne sur les pistes suivantes : Un renforcement de la capacité de mise en relation transfrontière, au sein du marché unique, entre les différents acteurs concernés. Cette mise en relation pourrait être notamment favorisée par : o l instauration, sur le modèle de crédit immobilier ou des produits d assurance, d un statut européen pour les intermédiaires en opérations financières. En effet, les différents statuts d intermédiaires pouvant exercer en libre établissement ou en libre prestation de service sont étroitement liés aux produits intermédiés. Il n existe pas, par exemple, de statut européen d intermédiaire en opérations de banque. Par voie de conséquence certains produits sont exclus d une intermédiation au niveau européen, tel le crédit à la consommation. Or l intermédiaire est l un des acteurs susceptibles de proposer une analyse des produits comparés entre Etats membres, adaptée aux besoins de son client, et partant de permettre le développement d une offre transfrontière ; o l harmonisation des approches des Etats membres de l UE en matière de financement participatif. En effet, plusieurs Etats membres, au premier rang desquels la France, ont réglementé l activité du financement participatif en créant des statuts 2
3 ad hoc pour les acteurs, au delà du statut de prestataire de service d investissement, plus exigeant, qui n est que partiellement adapté pour les plateformes qui démarrent leur activité. En particulier, il n existe pas de statut européen réglementant le financement participatif sous forme de prêt (crowdlending), voire de don et il semble nécessaire de clarifier au niveau européen la nature des services d investissement rendus par les plateformes d investissement en titres. Or le financement participatif constitue l une des sources innovantes du financement de l économie, notamment des petites et moyennes entreprises, et permet de rendre les citoyens acteurs de ce financement. En outre, cette activité, parce qu elle est basée sur un fonctionnement intégralement numérique, a vocation à s exercer dans un espace transfrontière, condition même de son développement. Une comparabilité effective des produits financiers distribués sur le marché européen : o La comparabilité doit être renforcée par le développement de sites de comparaison en ligne au niveau européen, dès lors qu ils (i) peuvent offrir une information suffisamment complète à la fois sur les prix mais également, et surtout, sur les caractéristiques des produits, et (ii) couvrent une part substantielle du marché avec des règles harmonisées de comparaison. Ces comparateurs en ligne doivent respecter l obligation d agir au mieux des intérêts des consommateurs et offrir des garanties d indépendance et d objectivité, qui pourraient être matérialisées par un label européen. o Les différents régulateurs, tant européens que nationaux, pourraient développer l accès des professionnels à des informations sur les réglementations nationales susceptibles d être applicables à leur activité dans le cadre de leur exercice en libre établissement ou en libre prestation de service. Une page dédiée, traduite dans les différentes langues européennes, pourrait être ajoutée aux sites internet des régulateurs. o En lien avec ce qui précède, il apparaît que, malgré ses avantages en termes de renforcement de la comparaison entre les produits distribués sur le marché européen et du contenu de l information fournie au client, la création de 29ème régimes, ne paraît pas une option fructueuse de façon générale pour favoriser l intégration du marché des services financiers de détail dès lors qu elle ne concerne pas également les aspects fiscaux, de procédure et de droit au recours pour le consommateur, afin de maintenir pour ce dernier lisibilité et protection. L accompagnement de la transformation numérique du secteur financier, afin de soutenir le développement de nouveaux services et acteurs financiers, nécessite : o la création d un environnement facilitant le recours effectif et encadré à ces services. A cet égard l entrée en vigueur, à partir du 1er juillet 2016, du règlement UE du 23 juillet 2014 relatif à l identification électronique devrait constituer un élément facilitateur ; o de poursuivre et accompagner l émergence d un espace européen des paiements innovant et concurrentiel en facilitant la création et le développement d outils européens de paiement et en accroissant la rapidité des opérations de paiement. Par exemple, afin de développer l utilisation du virement SEPA pour des dépenses de la vie quotidienne, il est ainsi nécessaire d en faciliter l utilisation dans un contexte de digitalisation croissante du commerce ; Des actions pourraient être développées par les prestataires de services de paiement, notamment dans trois domaines : 1. Faciliter les démarches en ligne quel que soit le canal (PC, tablette, smartphone, objet connecté) pour effectuer un virement SEPA en améliorant le parcours client ; 3
4 2. Enrichir l information associée aux virements à travers le développement des offres de virement «référencée» et leur harmonisation au niveau européen; l objectif étant de mieux identifier la facturation et de faciliter la réconciliation comptable des paiements par virements pour les professionnels ; 3. Accélérer les conditions de mise en place des paiements instantanés, dans le cadre des travaux actuellement menés au sein de l ERPB et de l EPC visant à l établissement d un scheme européen de virement instantané La France estime que les réflexions précédemment détaillées doivent s inscrire dans le double objectif d assurer la confiance et de maintenir un niveau de protection élevé des consommateurs. L atteinte de cet objectif suppose les prérequis suivants : a) Prérequis liés à l'éducation et à la protection des consommateurs : o L éducation budgétaire et financière des consommateurs est indispensable pour leur permettre une juste compréhension des informations délivrées sur les produits et services financiers de détail par le canal internet. La digitalisation ne doit pas aboutir à des phénomènes d exclusion financière pour certains consommateurs. o Le maintien du droit du pays du consommateur comme droit régissant le contrat, et non celui du distributeur, est nécessaire. La juridiction compétente en cas de litige doit également être celle du pays où réside le consommateur. A cet égard, il apparaît indispensable que les consommateurs puissent accéder, dans leur langue, à l offre transfrontière qui leur est proposée, et que leurs droits soient préservés et accessibles dans leur langue au cours de l exécution du contrat (réclamations, médiation, recours, insolvabilité). o Afin d assurer l effectivité et l efficacité des pratiques commerciales transfrontières, la France considère qu il est important d assurer la régulation des nouveaux acteurs et de renforcer la coopération entre superviseurs du pays d accueil et du pays d origine pour garantir un même niveau de protection du consommateur partout en Europe et une concurrence non faussée. S agissant des pratiques commerciales les plus risquées pour les consommateurs (cf. plateformes type forex), il conviendrait d envisager un contrôle renforcé de celles ci par la mise en place d une procédure «d urgence» ou «d alerte», susceptibles d être mises en œuvre par les régulateurs européens ou nationaux. o S agissant de la commercialisation des offres, il est nécessaire de conserver une adaptation de l offre à la situation du consommateur permettant de répondre au mieux aux demandes et besoins du consommateur. b) Prérequis liés à l'intervention directe des instances européennes : o Un autre moyen de renforcer la confiance des consommateurs dans les services financiers de détails des autres pays de l Union européenne pourrait consister dans un état des lieux, par la Commission, du degré d effectivité des mécanismes de mise en œuvre des garanties de protection des consommateurs dans l ensemble des pays de l UE. Dès lors que la Commission constaterait une effectivité et une efficacité homogènes de garanties jugées comparables, une communication à destination des consommateurs permettrait de de développer leur appétence pour les services financiers des autres pays membres. o Ainsi que les autorités françaises ont eu l occasion de le souligner dans leur réponse au livre vert de la Commission européenne «Construire l union des marchés de capitaux», il convient, en tout état de cause, que l Union européenne veille à garantir une bonne et uniforme application de la réglementation européenne en 4
5 Europe, en veillant le cas échéant à éviter une harmonisation par le moins disant réglementaire. A cet effet, les règlements sont dans la mesure du possible à privilégier sur les directives. Par ailleurs, quand les traités imposent l adoption d une directive, une meilleure coordination entre Etats membres dans les choix des options de transposition pourrait sans doute être mise en place, sans préjudice de la compétence nationale de chaque Etat membre. c) Réserve liée à la préservation de la protection sociale : o Il est important de noter que la couverture maladie complémentaire s inscrit dans une logique globale de gestion du risque maladie, la couverture maladie obligatoire de base relevant de la compétence exclusive des Etats membres. Ainsi elle constitue un des instruments essentiels de cette gestion, à travers l engagement des assureurs dans des actions notamment de prévention, de régulation de l offre de soins, de contractualisation avec les professionnels de santé pour limiter les dépassements d honoraires, ou encore la souscription de contrats solidaires et responsables. o Il est donc indispensable de veiller au respect de la législation sociale propre à chaque Etat membre et à l articulation adéquate des contrats avec chaque législation sociale nationale. 3. Dans cette perspective, la digitalisation, en ce qu elle crée de nouvelles opportunités, de nouveaux services et permet l émergence de nouveaux acteurs susceptibles d offrir des services transfrontières, est un outil majeur du développement des services transfrontières. La technologie numérique permet d offrir des services très ciblés et plus personnalisés, traitant d importants volumes de données et permettant de faire jouer un rôle clé aux consommateurs. La digitalisation contribue, par ailleurs, à une diminution des coûts de certains services grâce à l automatisation, et par voie de conséquence à une baisse des prix pour les consommateurs et à un développement de la concurrence. Le développement de nouveaux services financiers aux particuliers basés sur la technologie numérique (paiements innovants, gestion de compte, financement participatif, épargne assistée, comparateur, etc.) est à la fois favorisé et accompagné par l arrivée de nouveaux acteurs, les fintech renforçant de fait la concurrence sur certains segments du marché européen. Il s inscrit, par ailleurs, dans un contexte d évolution des mentalités et des pratiques de consommation de certains utilisateurs, qui font aujourd hui preuve d une appétence croissante pour l usage d outils numérique et de produits financiers et apparaissent davantage avertis et en mesure de négocier auprès des professionnels concernés des produits plus adaptés. Néanmoins, la technologie numérique constitue un outil et son développement un moyen de faciliter la concurrence et de développer les services, et non un objectif à atteindre. Le recours au numérique est certes susceptible de favoriser l intégration du marché européen en ce qu il peut faciliter une comparaison, une agrégation ou des transferts de flux transfrontières. Il peut ainsi contribuer pour le consommateur à une meilleure connaissance et lisibilité des produits offerts sur d autres marchés, notamment au travers de la diffusion des informations en plusieurs langues. Il peut, pour les opérateurs, contribuer à une réduction des coûts. Pour autant, il ne permet pas de lever l ensemble des obstacles à un développement des échanges transfrontières, notamment ceux d ordre culturel et réglementaire. En outre, le développement des outils numériques, doit se faire en lien avec un objectif d inclusion de toutes les populations. Cet outil ne peut donc être la seule voie de développement des services transfrontières et son développement doit en tout état de cause être accompagné par des politiques de développement de l accès au numérique (équipement et formation). 5
INTRODUCTION. I. Définition. Qu est-ce que le crowdinvesting?
INTRODUCTION I. Définition Qu est-ce que le crowdinvesting? Le crowdinvesting 1 (littéralement «investissement par la foule») ou investissement participatif ne fait l objet d aucune définition juridique.
Plus en détailRelations avec les banques et les assurances : faciliter le quotidien des consommateurs 1
Relations avec les banques et les assurances : faciliter le quotidien des consommateurs Déplacement de Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics et Carole Delga, secrétaire d État chargée
Plus en détailUne saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure
Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Ce projet est cofinancé par l Union européenne 2 Europe Une saisie européenne des avoirs bancaires Éléments de procédure Prise de position
Plus en détailComité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte
Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.
Plus en détailRecommandation sur le traitement des réclamations
Recommandation sur le traitement des réclamations 1. Contexte 2015-R-03 du 26 février 2015 L information du client sur les modalités d examen des réclamations ainsi que le traitement de ces dernières font
Plus en détailBANQUE CENTRALE EUROPÉENNE
15.7.2014 FR Journal officiel de l'union européenne C 224/1 III (Actes préparatoires) BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE AVIS DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 5 février 2014 sur une proposition de directive
Plus en détail1 A noter que le Règlement 864/2007 du 11 juillet 2007 sur la loi applicable aux obligations non contractuelle
Union des Entreprises Luxembourgeoises (UEL) 7, rue Alcide de Gasperi Boite Postale 3024 L-1030 Luxembourg Numéro d'identification au registre des représentants d intérêts : 82936193787-44 Livre vert de
Plus en détailLa protection des associés en droit congolais et en droit OHADA
Le statut des associés des sociétés commerciales La protection des associés des sociétés commerciales constitue une avancée du droit OHADA sur le droit congolais La République démocratique du Congo (RDC)
Plus en détailDéclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée
Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité
Plus en détail3. LE LIVRE BLANC SUR LE MARCHE UNIQUE
3. LE LIVRE BLANC SUR LE MARCHE UNIQUE DES FONDS D INVESTISSEMENT ET LES IMPACTS PREVISIBLES POUR LES EPARGNANTS-INVESTISSEURS FRANÇAIS ÉTUDE REALISEE PAR EUROFI POUR LE COMITE CONSULTATIF DU SECTEUR FINANCIER
Plus en détailCahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D
Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3
Plus en détailFRAIS BANCAIRES/ COMMISSIONS COMMERÇANTS
FRAIS BANCAIRES/ COMMISSIONS COMMERÇANTS POSITION DE LA CGPME Posséder un compte bancaire professionnel est aujourd hui une obligation pour les dirigeants d entreprises. En effet, l article L. 123-24 du
Plus en détailChanger plus facilement d opérateur de télécommunications. Consultation publique
Changer plus facilement d opérateur de télécommunications Consultation publique Le développement d un marché concurrentiel des services de communications électroniques suppose que les consommateurs puissent
Plus en détailSEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE TOUT COMPRENDRE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS
SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 TOUT COMPRENDRE SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS LE JEU DE QUESTIONS REPONSES A LA LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE,
Plus en détailPôle commun ACPR/AMF Rapport annuel 2013
Pôle commun ACPR/AMF Rapport annuel 2013 Natalie LEMAIRE Olivier FLICHE Conférence de presse le 13 juin 2014 1 Sommaire 1. Le point d entrée commun : Assurance Banque Épargne Info Service 2. Bilan 2013
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailRègles du concours de startups PulseContest
Règles du concours de startups PulseContest Article 1. Organisation Le présent concours est organisé par l Association La Cuisine du Web et la société Huawei France afin de soutenir l innovation et l entreprenariat
Plus en détailLes enjeux de la dématérialisation en assurance
Colloque de l'ajar 4 décembre 2012 Les enjeux de la dématérialisation en assurance Philippe POIGET, Directeur des affaires juridiques, fiscales et de la concurrence Fédération Française des Sociétés d'assurances
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. accompagnant le document:
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 22.4.2015 SWD(2015) 88 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT accompagnant le document: Rapport de la Commission au Parlement
Plus en détailNotes explicatives Règles de facturation en matière de TVA
Notes explicatives Règles de facturation en matière de TVA (directive 2010/45/UE du Conseil) Pourquoi des notes explicatives? Les notes explicatives visent à mieux faire comprendre la législation adoptée
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailLes bases de données clients dans le cadre du commerce B2B : Quelques aspects juridiques
Atelier EBG - mardi 16 mars 2010 Les bases de données clients dans le cadre du commerce B2B : Quelques aspects juridiques Cathie-Rosalie JOLY Avocat au barreau de Paris Docteur en droit Cabinet ULYS http://www.ulys.net
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailPour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé, une
Mini-guide téléchargé depuis le site www.lesclesdelabanque.com - e-mail : cles@fbf.fr Mini-guide n 25 - Nouvelle éditon - Mars 2011 La Convention AERAS (s Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de
Plus en détailPosition de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises
Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises A l occasion de l examen du projet de loi Pinel sur l artisanat, le commerce et les très
Plus en détailLancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC)
Lancement de l Association Professionnelle des Intermédiaires en Crédits (APIC) Cafpi, leader historique en matière de courtage en crédit immobilier, Meilleurtaux.com dont le développement s est appuyé
Plus en détailAVENANT CONVENTION DE COMPTE
AVENANT CONVENTION DE COMPTE Le présent avenant a notamment pour objet d élargir le périmètre actuel de votre offre Services en Ligne, figurant dans votre Convention de compte ou souscrite par acte séparé,
Plus en détailDOCUMENT DE CONSULTATION
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation
Plus en détail...... en quelques mots 1
... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3034 Convention collective nationale IDCC : 1090. SERVICES DE L AUTOMOBILE (Commerce
Plus en détailGÉREZ VOTRE RELATION CLIENT SANS QUITTER MICRO SOFT OUTLOOK
Face à l évolution rapide des marchés, les entreprises doivent continuellement reconsidérer leurs axes de développement et leurs stratégies commerciales. Les sollicitations permanentes des concurrents
Plus en détailL éco-prêt à taux zéro ou éco-ptz
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS
Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la
Plus en détailRecommandation sur la commercialisation des comptes à terme
Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme 2012-R-02 du 12 octobre 2012 1 Contexte Dans le cadre de son action de veille sur la publicité et les nouveaux produits, l ACP a constaté sur
Plus en détail3. Un crédit à la consommation responsable
3. Un crédit à la consommation responsable Comité consultatif du secteur financier Rapport 2009-2010 49 Au cours de l exercice 2009-2010, le CCSF a suivi de près l évolution du texte de loi sur la réforme
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailCoup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés
Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés BIM n - 19 février 2008 Ce BIM est réalisé en partenariat avec le Portail francophone de la microfinance : www.lamicrofinance.org.
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailSEPA L Espace unique de paiement en euro
SEPA L Espace unique de paiement en euro Introduction Le 28 janvier 2008 est la date officielle du lancement de l espace unique de paiement en euro («Single Euro Payment Area», SEPA). La migration vers
Plus en détailOpérations entre apparentés
exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012
Plus en détailbpce assurances L ESSENTIEL 2012
bpce assurances L ESSENTIEL 2012 I ÉDITO Pierre Garcin Président du conseil d administration Paul Kerangueven Directeur général Sommaire Faits marquants ÉDITO p. 1 à propos de BPCE Assurances p. 2 l assurance
Plus en détailConsultation de la CNIL. Relative au droit à l oubli numérique. Contribution du MEDEF
Consultation de la CNIL Relative au droit à l oubli numérique Contribution du MEDEF 2 Réflexions de la CNIL sur le droit à l oubli numérique Les origines du droit à l oubli numérique Réaffirmée par les
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détailParticipation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret
Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs
Plus en détailFIN-NET. La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers. Guide du consommateur
FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers Guide du consommateur FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans
Plus en détail& comportement utilisateur
Appareils mobiles & comportement utilisateur Influence des appareils mobiles sur le parcours m-commerce. Bien connaître les usages mobiles : la clé d un m-commerce efficace Les consommateurs mobiles ne
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailL ASSURANCE DE PRÊT? Les clés pour faire le bon choix
particuliers PROFESSIONNELS professionnels entreprises entreprises GÉNÉRATION RESPONSABLE Être un assureur responsable, c est donner à chacun les moyens de faire les bons choix pour protéger ce qui lui
Plus en détailRAPPORT. relatif à la commercialisation des produits financiers. Présenté par. Jacques DELMAS-MARSALET
RAPPORT relatif à la commercialisation des produits financiers Présenté par Jacques DELMAS-MARSALET Novembre 2005 SOMMAIRE RESUME DU RAPPORT... 1 INTRODUCTION... 5 I. LES RAISONS D AGIR... 7 1.1. UN BESOIN
Plus en détailTHEME : FOCUS SUR LE STATUT de l'iobsp
Compte-rendu Les rencontres de l ANACOFI-IOBSP- 22 janvier 2015 THEME : FOCUS SUR LE STATUT de l'iobsp Premier bilan deux ans après la mise en application du nouveau statut de l'intermédiation bancaire.
Plus en détailPrésentation à l Autorité des marchés financiers. Offre d assurance par Internet au Québec
Présentation à l Autorité des marchés financiers Offre d assurance par Internet au Québec Par l Association canadienne des institutions financières en assurance Mai 2012 Au sujet de l ACIFA L ACIFA a été
Plus en détailL ESPACE UNIQUE DES PAIEMENT EN EUROS (SEPA) Vers une harmonisation des moyens de paiement européens. Direction des affaires économiques de la CGPME
L ESPACE UNIQUE DES PAIEMENT EN EUROS (SEPA) Vers une harmonisation des moyens de paiement européens Direction des affaires économiques de la CGPME SEPA (Single Euro Payment Area) Harmonisation des moyens
Plus en détailMISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE
MISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE ETAPE 2.3 : PLAN D ACTIONS ET PLANNING Novembre 2014 Jean-Philippe
Plus en détailRapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts
Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude
Plus en détail«Petites assurances (assurances moyens de paiement/fuites d eau) : grosses dépenses» Questions/Réponses
«Petites assurances (assurances moyens de paiement/fuites d eau) : grosses dépenses» Questions/Réponses 1 Pourquoi l UFC-Que Choisir organise-t-elle une campagne sur les assurances accessoires? Le marché
Plus en détailPARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE
PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE CV Réf. : II-13-1-5 Pôle des services Date : 15.09.2012 services@cdg81.fr Ref : 7-9 Références : - Loi n 83-634 du 13
Plus en détailIFRS 10 États financiers consolidés
IFRS 10 États financiers consolidés PLAN DE LA PRÉSENTATION Aperçu Application Dispositions transitoires Prochaines étapes Ressources PRÉSENTATEURS Alex Fisher, CPA, CA Directeur de projets, Orientation
Plus en détailBanques ou négoces virtuels en valeurs mobilières
Michael Kunz Banques ou négoces virtuels en valeurs mobilières Création et exploitation du point de vue de la CFB [1] En Suisse, des dispositions légales spécifiques font jusqu à présent défaut pour réglementer
Plus en détailRECAPITULATIF DES PROPOSITIONS
77 RECAPITULATIF DES PROPOSITIONS PROPOSITIONS THEMATIQUES LOGEMENT 1. Mieux faire connaître aux personnes propriétaires de leur logement en France et s établissant temporairement à l étranger : 1 les
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailS informer sur. Le médiateur de l AMF
S informer sur Le médiateur de l AMF 04 Autorité des marchés financiers Le médiateur de l AMF Sommaire Quelle est la mission du médiateur de l AMF? 03 Quelles situations peuvent donner lieu à médiation?
Plus en détailEdition 2013 QUE SIGNIFIE SEPA DIRECT DEBIT (SDD) POUR LES CONSOMMATEURS?
Edition 2013 QUE SIGNIFIE SEPA DIRECT DEBIT (SDD) POUR LES CONSOMMATEURS? 1. SEPA pour les consommateurs - en bref Qu est-ce que SEPA? SEPA = Single Euro Payments Area Le Single Euro Payments Area (SEPA)
Plus en détailMANQUEMENT CONTRACTUEL DANS L INFORMATIQUE GESTION EXPERTE DES INFORMATIQUES
MANQUEMENT CONTRACTUEL DANS L INFORMATIQUE GESTION EXPERTE DES LITIGES POUR LES PRESTATAIRES INFORMATIQUES Avec plus de 15 ans d expérience et des équipes de souscription et de sinistres dédiées aux prestataires
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT 1414214 D Intitulé du texte : projet de décret relatif aux modalités de calcul du taux annuel effectif de l assurance Ministère à l origine de la
Plus en détailSOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE
SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE AVERTISSEMENT : La souscription réalisée par une personne domiciliée hors de France ou par un ressortissant d un Etat autre que la France sur le territoire national
Plus en détailINSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CRÉDIT
INSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CRÉDIT MISE À JOUR OCTOBRE 2009 Christian Gavalda Jean Stoufflet Agrégé des facultés de droit Professeur émérite de l Université de Clermont-Ferrand I Doyen honoraire de
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailLes rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance
Risk Advisory Février 2014 Les rendez-vous Risk Advisory La lettre des professionnels du risque et de la finance Des points de vue sur vos sujets de préoccupation dans les domaines de la gestion des risques,
Plus en détailCONFÉRENCE DE PRESSE
CONFÉRENCE DE PRESSE Marie-Claire Capobianco, Membre du Comité Exécutif de BNP Paribas et Directeur des Réseaux France Bernard Roy, Directeur de la Stratégie de La Banque Postale Laurent Goutard, Directeur
Plus en détailConclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients
Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,
Plus en détailSeptembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES
Septembre 2012 Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES 1 Qu elle vise à protéger nos biens ou à garantir notre santé, l assurance est aujourd hui une dépense contrainte pour la majorité des
Plus en détailLes Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières
DIRECTORATE FOR FINANCIAL AND ENTERPRISE AFFAIRS Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Principes et Bonnes Pratiques
Plus en détailIFRS 11 Retours d expérience. Laurence Rivat Jean-Pierre Mounier Eric Dard
IFRS 11 Retours d expérience Laurence Rivat Jean-Pierre Mounier Eric Dard 19 Décembre 2013 Agenda Introduction : Application du package consolidation par les groupes français et européens Implémentation
Plus en détailLe projet de système des paiements en euros
Jean-François Pons, Fédération Bancaire Française Le projet de système des paiements en euros (SEPA) =Single Euro Payment Area Conférence de l Union des banques du Maghreb sur la carte bancaire, Hammamet,
Plus en détailL assurance emprunteur en crédit immobilier
Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification
Plus en détailCOMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES LIVRE VERT. Successions et testaments {SEC(2005) 270} (présenté par la Commission)
COMMISSION DES COMMUNAUTÉS EUROPÉENNES Bruxelles, le 01.03.2005 COM(2005) 65 final LIVRE VERT Successions et testaments {SEC(2005) 270} (présenté par la Commission) FR FR 1. INTRODUCTION Le présent Livre
Plus en détailE-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL
E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication
Plus en détailJanvier 2015. Enquête CLCV Assurances et sinistres
Janvier 2015 Enquête CLCV Assurances et sinistres 1 Synthèse Au cours du deuxième semestre 2014, nous avons réalisé une enquête auprès de 442 assurés ayant subi un sinistre automobile ou habitation aux
Plus en détailCe document a pour objet : de rappeler les principes de base d information concernant les coordonnées bancaires,
Migration vers les paiements SEPA : Recommandations à l intention des donneurs d ordres pour la migration de leurs fichiers de RIB vers les couples IBAN + BIC correspondants 3 ème version - octobre 2010
Plus en détaille Fichier central des chèques (FCC) et le Fichier national des chèques irréguliers (FNCI),
Le rôle du Fichier central des chèques et du Fichier national des chèques irréguliers Note d information La Banque de France a reçu du législateur la mission de «veiller au bon fonctionnement et à la sécurité
Plus en détailPARLEMENT EUROPÉEN. Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs DOCUMENT DE TRAVAIL
PARLEMENT EUROPÉEN 2004 2009 Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs 15.2.2008 DOCUMENT DE TRAVAIL sur le rapport d initiative sur certains points concernant l assurance automobile
Plus en détailResponsabilité pénale de l association
Responsabilité pénale de l association Infractions limitativement définies : Le code pénal prévoit la responsabilité pénale des personnes morales à raison des infractions réalisées pour leur compte et
Plus en détailALERTE AIFM - 23 AVRIL 2013
ALERTE AIFM - 23 AVRIL 2013 Consultation publique sur les textes de transposition de la directive AIFM Le 17 avril 2013, la Direction du Trésor a soumis à consultation publique 1 les projets de mesures
Plus en détailFAQ. Foire aux questions. Inscription. Que propose Ethis Foundation à travers ses filiales?
Inscription Que propose Ethis Foundation à travers ses filiales? Ethis Foundation est une plateforme d investissement de Crowdfunding en ligne qui permet aux investisseurs particuliers d'investir au capital
Plus en détailAccélérer la transformation de vos nouveaux modèles assurances
Accélérer la transformation de vos nouveaux modèles assurances Enjeux critiques des systèmes de distribution Assurance Etude Accenture Assurances 2020 4 axes d amélioration : Articuler le SI Assurance
Plus en détail56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17
56 avenue de Wagram 75857 PARIS CEDEX 17 Labellisation par l UIMM de contrats d assurance groupe, ouverts à l adhésion des entreprises relevant de la branche de la métallurgie, dans le cadre de la généralisation
Plus en détailC F O N B. Comité Français d Organisation et de Normalisation Bancaires. LE VIREMENT SEPA «SEPA Credit Transfer»
C F O N B Comité Français d Organisation et de Normalisation Bancaires LE VIREMENT SEPA «SEPA Credit Transfer» Le texte intégral des Communications Adhérents émises depuis 1963 est disponible pour les
Plus en détailCentre International de Recherche et de Développement
Centre International de Recherche et de Développement Publication UNGANA 652 CIDR Tous droits de reproduction réservés Eléments de réflexion pour la contractualisation entre une mutuelle de santé et un
Plus en détail24.01.12. La décision a été prise conformément à l article 45 i du règlement interne du Bundesrat.
Bundesrat Imprimé 772/11 (Décision) 24.01.12 Décision du Bundesrat - Chambre européenne - Proposition de directive du Parlement européen et du Conseil relative au règlement extrajudiciaire des litiges
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détailBANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE. La banque des agents du secteur public. BFM, partenaire du groupe Société Générale
BANQUE FRANÇAISE MUTUALISTE La banque des agents du secteur public BFM, partenaire du groupe Société Générale BFM, LA BANQUE Plus d un million de clients en métropole et dans les DOM 190 626 prêts BFM
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailCommission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL
PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailCONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a.
CONTRAT DE CONSEILLER MAESTRIA, un concept d IBS Europe s.a. ENTRE : IBS Europe s.a., ayant son siège social au N 68 de la Route de Luxembourg à L-4972 Dippach, au Grand Duché de Luxembourg, ci-après désigné
Plus en détailVOLUME I ETUDES DE CAS RELATIFS A DES PROJETS DE PASSATION ELECTRONIQUE DE MARCHES PUBLICS
RAPPORT DE SITUATION VOLUME I ETUDES DE CAS RELATIFS A DES PROJETS DE PASSATION ELECTRONIQUE DE MARCHES PUBLICS JUILLET 2004 Original document in English available at http://europa.eu.int/idabc/eprocurement
Plus en détailCommentaires sur l Avis de consultation relative à l offre d assurance par Internet au Québec
Commentaires sur l Avis de consultation relative à l offre d assurance par Internet au Québec Commentaires présentés à l Autorité des marchés financiers Mai 2012 Union des consommateurs, la force d un
Plus en détailBientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.
www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population
Plus en détail