Forum N 4. Quel avenir pour l aide à domicile? Compte rendu : Françoise NOUHEN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Forum N 4. Quel avenir pour l aide à domicile? Compte rendu : Françoise NOUHEN"

Transcription

1 Forum N 4 Quel avenir pour l aide à domicile? Présidence et animation :, membre du bureau de l UNCCAS Intervenants : André FLAGEUL, président de l UNA Michel MARTIN, président de la Mutualité Française Bourgogne Luc BROUSSY, vice-président de la commission "Politiques sociales et familiales" de l ADF Claude PERINEL, directeur général de la CNAV Compte rendu : Les gestionnaires de services d aide à domicile éprouvent des difficultés à équilibrer leur budget. En parallèle, la société doit faire face au vieillissement de la population et à l accroissement du phénomène de dépendance. La politique de maintien à domicile, consacrée par le rapport Laroque de 1962 a été une première réponse apporté par les pouvoirs publics à la prise en charge des personnes âgées. Le récent sondage réalisé par TNS du 31 août au 2 septembre 2010 pour Le Journal du Domicile, Mondial Assistance et Le Parisien montre la préférence des français pour le maintien à domicile. Les pouvoirs publics semblent avoir pris conscience de la nécessité d agir sur l emploi : En février 2008, Valérie LETARD, alors Secrétaire d Etat chargée de la solidarité, a lancé un plan des métiers au service des personnes handicapées et personnes âgées dépendantes. Ce plan devrait permettre de créer, avant 2015, emplois et d engager des démarches de formation pour la valorisation des métiers. La caisse nationale de solidarité pour l autonomie (CNSA) au titre de sa section IV, finance des actions pour la modernisation et la professionnalisation des services d aide à domicile. En parallèle, des plans relatifs aux personnes âgées sont adoptés : Plan Solidarité Grand Age en 2006, Plan Alzheimer La difficulté s agissant de ces plans c est que les financements alloués ne sont pas à la hauteur des besoins. Il y a également un questionnement sur l APA à engager. La prise en charge par les départements est de plus en plus importante, au regard du désengagement de l Etat, dont la participation est passée de 50% lors de la création de l allocation à 30% actuellement. En parallèle, la solvabilité des familles est de plus en plus difficile à atteindre. Page 1

2 Autour de nous, nous avons des responsables gestionnaires de SSIAD et des financeurs. Quelle(s) solution(s) commune(s) pouvons-nous dégager ensemble pour l avenir de l aide à domicile? André FLAGEUL C est positif de pouvoir disposer du point de vue des opérateurs. Nous traversons actuellement une véritable crise. L histoire de l aide à domicile est marquée par des poussées et des régressions successives. Ces derniers temps, tout tendait pourtant vers une structuration du secteur (appartenance au champ médico-social, professionnalisation ). Cette crise a des conséquences fortes tant sur les structures privées de l aide à domicile que sur les structures publiques. L ensemble des intervenants est dans une situation déficitaire. Si cela perdure, plusieurs structures vont disparaître. La crise a des effets directs sur la qualité des prestations et sur la professionnalisation. Celle-ci porte un coup d arrêt aux actions de formation du personnel. Les usagers et les aidants sont les premières victimes. C est essentiellement une crise financière : il n y a pas de reconnaissance du coût économique des interventions. Les gestionnaires de service et les financeurs sont en désaccord sur ce coût, par exemple avec la CNAV mais aussi avec certains conseils généraux qui sont asphyxiés. Il y a un grand écart entre les besoins qui augmentent et la solvabilité des personnes qui diminue. Aujourd hui, le système économique est à bout de souffle. Il n est plus efficient ni économiquement, ni socialement. Au chef des premières causes, nous nous confrontons à l éternelle question de ce qui relève de la politique sociale et de ce qui relève de la politique de l emploi. Cette difficulté est issue du Plan Borloo. Les associations ont certes participé à la concertation sur ce plan. Nous y avons vu au départ un intérêt, celui de promouvoir l emploi dans ce secteur. Deux effets négatifs sont à constater aujourd hui : o La banalisation de l idée selon laquelle tout le monde peut tout faire. Or, il y a une confusion entre les prestations de confort et celles à destination de publics fragilisés. S agissant du Plan Borloo, on communique sur les chiffres pour démontrer la création d emploi sur ce secteur mais quand parlet-on d ETP? de qualité de l emploi? o Si l expérience France Domicile a révélé que les services d aide à domicile s inscrivaient dans une dynamique de proximité, elle a surtout montré que le problème de la solvabilité des personnes n est pas réglé. Ainsi, les questions posées par France Domicile restent entières : celle de l avenir des besoins et celle de l accrochage avec les grands comptes sur la question du financement de la dépendance. Face à cette crise, on assiste à la surdité de l Etat. Ce dernier a une vision différente de l ampleur du phénomène. Pour l Etat, s il y a dégâts, c est à cause des problèmes individuels de gestion. Ici, nous n entendons pas faire l économie d une analyse critique sur l efficience de gestion de certaines de nos structures. Qui dit association ne dit pas nécessairement qualité. L Etat dit ne pas avoir d argent. Or, lors des conseils de la CNSA, nous constatons que des ponctions sont réalisées sur son budget. Les pouvoirs publics nous annoncent une multitude de rapports. Tout cela s apparente à un écran de fumée. Page 2

3 Sur la question du financement du secteur et la création d un cinquième risque, doit-on avoir recours à la solidarité ou aux assureurs privés? En conclusion, je vous propose quelques pistes de solutions : 1. Refaire une distinction entre les interventions à destination du public fragile et les prestations de confort 2. Réexpliquer nos modes d intervention. Notre principal concurrent reste le particulier employeur. 3. Avoir une vision de l état critique de nos structures. Nous avons des améliorations internes à réaliser. Il faut rentrer dans le champ de la modernisation. L UNA sur ce point a d ailleurs signé une convention avec la CNSA. 4. Refaire le débat sur le 5 ème risque. Aujourd hui, on veut nous faire croire que rien n est plus possible. Il faut repopulariser le débat sur le 5 ème risque. Nous n avons pas ici beaucoup d alliés. L Etat n ouvre pas de porte. Une fenêtre s entrouvre avec les discussions engagées entre le collectif de l aide à domicile et l ADF. La question essentielle : quel type d intervention pour quel type de public? Il faut consacrer à nouveau l inscription de nos services dans le champ médico-social. Il faut revoir le champ de l autorisation. Il faut rediscuter autour de la dynamique d une nouvelle vision du mode de tarification de l aide à domicile, même s il convient d adopter une certaine retenue sur des points de complexité. Michel MARTIN La FNMF adhère tout à fait au constat qui vient d être dressé par UNA. Le titre du forum est un titre pessimiste. La création de l aide à domicile date de 1965 sur notre département, donc peu de temps après la sortie du rapport Laroque de Nous avons 800 salariés (600 ETP) et 7000 bénéficiaires. Jusqu à présent, nous n avions jamais refusé la prise en charge d une personne. Pour la première fois récemment, nous avons du dire non à quelqu un. Concernant les attentes sociales, il convient d apporter des réponses sociales. Le parcours de l aide à domicile est semé d embûches, et nous avons aujourd hui à en affronter une de taille importante : de mon expérience, nous n avons jamais connu ça. Rappelons qu avant le plan Borloo, nous faisions déjà du Borloo. Ce dispositif, en encadrant l activité, tue l emploi. Il ne permet pas d offrir des garanties sur la qualité, la formation, la rémunération. Dans notre département, nous avons monté un collectif pour la prééminence économique, sociale et solidaire dans notre secteur d activité. Ce collectif comprend 9 membres aujourd hui. Nous comptons sur notre département 120 organisations présentes dans le champ des services à domicile, ce qui montre la banalisation dans le secteur. On assiste à un nivellement par le bas. Aujourd hui, nous sommes acculés sur la question du financement. Nous avons d autres activités, c est pour cela que nous nous en sortons. Les services à domicile font partie de l histoire de la FNMF. A la mutualité, nous sommes un peu schizophrènes. Les mutuelles ont des difficultés aussi à reconnaître le juste prix. Faut-il plus de solidarité nationale ou de l assurance? Cela fait beaucoup débat chez nous. Cette question doit pouvoir s insérer dans le débat général sur le financement de la protection sociale : l aide à domicile fait partie de la santé. Le souci, c est que nous savons aujourd hui que les finances actuelles sont inférieures aux attentes et aux besoins. Page 3

4 Les CCAS/CIAS sont quant à eux davantage sur les prestations à l attention des publics en difficulté et moins sur les prestations de confort. Notre intervention reste très diffuse, nous répondons aux besoins là où les autres acteurs sont peu ou pas présents. Notre offre de service se situe essentiellement sur l aide à domicile, l aide ménagère et le portage de repas. La majeure partie de notre personnel est formé. Le public d encadrement est souvent constitué de rédacteurs territoriaux. Nous avons des contraintes liées au statut de la fonction publique. Le statut d agent social territorial ne reconnaît qu un type d intervention : l accompagnement ou les prestations à l attention de public fragile. Nous connaissons également des difficultés par rapport au transport et à la distance, dans la mesure où nos services sont situés essentiellement en zone rurale/ de montagne. Claude PERINEL La politique de la CNAV tourne autour de la logique de prévention. Nos actions s adressent à nos 13 milliards de retraités. Notre responsabilité, c est d offrir un accompagnement à l ensemble de nos retraités du régime général. Nous travaillons avec les CRAM et l INPES 1. Nous avons trois types d action : 1. Les actions d information et de conseil 2. Les actions de proximité 3. Les actions de prise en charge auprès de retraités en situation de fragilité sociale Les préoccupations de la CNAV sont les suivantes : o Nous avons une responsabilité particulière auprès du public fragile. Il faut faciliter l accès pour les populations précaires. 2/3 des personnes seules vivent avec moins de 1000 euros par mois. Il y a donc dans ces situations des prestations nécessaires à la vie quotidienne. Le défi est de déterminer un montant de prestations commun avec les gestionnaires de services. o Sur la notion de qualité : il est important de distinguer les modalités de réponse. Sur ce point, nous avons beaucoup à construire avec les gestionnaires de services. Les gestionnaires services d aide à domicile sont pris en étau entre la prévention et le travail sur les personnes âgées dépendantes (à partir du GIR 4). Le passage de l un à l autre met en exergue les difficultés liées à l évaluation. André FLAGEUL Nous avons un différent avec la CNAV. Il y a 2 arguments qui se confrontent : 1. Nous comprenons le souci de l égalité de traitement sur le territoire des ressortissants de la CNAV. 1 Institut national de prévention et d éducation pour la santé. Page 4

5 2. Dans le même temps, le tarif unique appliqué par la CNAV ne prend pas en compte les évolutions. Les structures font du travail à perte. La participation de la CNAV est aussi un tarif plafond! De notre côté, nous sommes prêts à reconnaître qu il existe des différences de nature dans les interventions. Nous sommes prêts à regarder cet aspect plus précisément. La prévention est fondamentalement nécessaire. Le débat sur la prise en charge du GIR 4 est inquiétant pour la continuité de la prise en charge des personnes âgées dépendantes. Michel MARTIN Il y a une question que nous n avons pas abordée : pourquoi l Etat français n a pas pris en compte la spécificité de la prise en charge des personnes âgées dépendantes dans le cadre de la directive services? Claude PERINEL Pour rappel et pour nuancer les propos qui viennent d être tenus, la participation de la CNAV a augmenté de 6% ces 6 dernières années. Nous montrons une politique volontariste sur le terrain, avec un travail continu et des expérimentations. Luc BROUSSY Je tiens à rappeler que le travail engagé par l ADF sur le projet de réforme de la tarification relève d une initiative collective, entre l ADF et les représentants de gestionnaires de services d aide à domicile. Nous avons une entente générale sur ce qu il faut pour demain. La crise de l aide à domicile est d abord une crise existentielle : Les gestionnaires de services ne se sentent pas soutenu par le gouvernement qui se concentre d abord sur la question des établissements. C est un paradoxe que le récent sondage réalisé par TNS met en avant. Les français expriment en effet leur préférence pour le maintien à domicile. La crise de l aide à domicile est aussi une crise organisationnelle, avec l enjeu de l adaptation aux contraintes. C est enfin une crise du modèle économique avec le problème de la solvabilité. Les gestionnaires tentent de cadrer leurs prestations dans des prix qui sont de toute façon inférieurs aux coûts. Depuis un an et demi, le secteur est en crise. Le 22 décembre dernier, une table ronde a été organisée par les pouvoirs publics. Celle-ci n a rien donné. De fait, nous nous entendons sur le peu d issue des groupes de travail menés sous l égide de la DGCS. Aujourd hui, les départements sont les plus gros financeurs de l aide à domicile. Nous montrons, avec les représentants de gestionnaires, des signes volontaristes via la conduite de nos travaux. Nos groupes de travail permettent le développement d un esprit de responsabilité. Page 5

6 Sur l aide à domicile, il convient de distinguer le moteur de l essence. Les travaux de l ADF et du collectif se situent uniquement sur le moteur. L essence, c est notamment la demande de fonds d urgence formulée par les associations du secteur. Il y a 3 éléments sur lesquels nous avons avancé : 1. La contractualisation : l autorisation serait ainsi accompagnée de la signature d un CPOM 2. Le passage d une tarification horaire à une dotation globale. La difficulté aujourd hui c est que la population souhaite une égalité de traitement sur l ensemble du territoire mais veut également du sur-mesure. Les conseils généraux, dans la nouvelle formule, pourront acheter auprès des prestataires un service global et non plus des heures. 3. La qualité avec l adoption d un décret sur les conditions techniques de fonctionnement d un SAAD (7j/7, télégestion, professionnalisation ). Il convient d insister sur les spécificités des CCAS. La mise en place d un seuil d intervention horaire n est pas pertinente pour une majorité de petits services gérés par des CCAS. Plusieurs exemples montrent que la taille et la fiabilité des services n est pas corrélée. 4. Sur la suite des évènements, le bureau de l ADF a adopté le 5 octobre le projet de texte discuté entre l ADF et le collectif. Nous proposons à présent d adresser un courrier au Ministère pour être reçu en vue de l adoption, dès le PLFSS 2011, de mesures nouvelles concernant le mode de tarification des services d aide à domicile. Le moteur serait ainsi réparé. Il reste à régler la question de l essence. Le rapport Valérie Rosso-Debord est scandaleux de ce point de vue. Celui-ci prévoit de diminuer l APA de 50% tout en rétablissant le recours sur succession. L UNCCAS est favorable à la poursuite des travaux sur la base de ces pistes. Nous sommes d accord avec la mise en place d un tarif global qui prenne en compte l ensemble des coûts de fonctionnement d un service. Notre CA, sur la question du 5 ème risque, s est positionné pour une prise en charge au titre de la solidarité. Il y a 2 zones que nous n avons pas abordées : 1. La réflexion sur les exonérations de charges 2. L inclusion ou l exclusion de la directive services selon le type de prestation que l on apporte Echanges avec la salle. Maire adjoint de la ville des MUREAUX Notre CCAS est également gestionnaire d un service d aide à domicile pour les personnes âgées. Le budget de fonctionnement s équilibre grâce à une aide financière de la ville. J ai deux questions à poser : 1. Pourquoi ne pas citer dans les axes d amélioration les difficultés/lenteurs quant à la prise en charge par la CNAV? Aujourd hui, on constate de 12 à 18 mois de délais entre le traitement du dossier et le paiement des prestations. Page 6

7 2. Face à certaines rumeurs, peut-il nous être confirmé que les départements réfléchissent aujourd hui à ne plus prendre en charge les GIR 3-4? Claude PERINEL Je suppose que les applaudissements que nous venons d entendre concerne la période passée. Je ne sous estime pas la gravité de la situation, mais je peux vous affirmer que le gros de la crise est derrière nous. Le système d information est en marche désormais avec le but affiché d une simplification administrative. Le conseil de la CNAV a décidé la mise en place d avances de trésorerie. Nous sommes preneurs de vos remontées sur les difficultés que vous rencontrez au plan local dans vos relations avec les CRAM. Nous avons ajouté des moyens supplémentaires afin d accélérer la prise en charge des dossiers en instance de traitement dans les CRAM. Luc BROUSSY Les départements sont contre la suppression de la prise en charge des GIR3-4. Le rapport Valérie Rosso-Debord préconise la suppression de la prise en charge des GIR4 uniquement. Mais même cela, c est scandaleux. Les conseils généraux sont dans une démarche de solidarité avec les publics fragiles. 45% des bénéficiaires de l APA à domicile sont classés en GIR 4. Si on supprimait la prise en charge des GIR 3-4, 1/3 seulement des bénéficiaires actuels toucheraient l APA. En outre, le rapport ne dit pas qui les prendrait en charge. Il y aurait un no man s land. A priori, il ne semble pas que ce soit la CNAV qui récupère cette prise en charge?... En conclusion, il n y a pas de risque que les conseils généraux abandonnent la prise en charge des GIR 3-4. Le seul risque majeur pour les personnes âgées, c est le rapport Valérie Rosso Debord. Directeur du CCAS de LISIEUX Les conseils généraux ne prennent pas en charge l ensemble du personnel qualifié, alors même que l on nous demande d accroître la qualification de ce dernier. Sur certains territoires, cette prise en charge est limitée à 30% des effectifs. Jean Paul CARTERET Je voudrais évoquer avec vous un article paru récemment s intitulant «la double peine de l aide à domicile». Une personne âgée est devenue dépendante suite à un AVC. Cette dépendance a rendu nécessaire l acquisition d un élévateur. Sur euros de coût d appareillage, le montant des aides n est au total que de 10%. A quand la création d un cinquième risque? Luc BROUSSY Vous avez citez un exemple de disfonctionnement touchant la formation du personnel de l aide à domicile. Il y en a et il importe de les relever. Page 7

8 Le paradoxe de la décentralisation, c est que l on souhaite les mêmes règles pour tous mais au plus près du terrain. Le décret sur les conditions techniques de fonctionnement d un service d aide à domicile permettra de solutionner ce type de disfonctionnement, en tentant une harmonisation entre les pratiques. Il conviendra ainsi de déterminer le bon niveau de dotation, les heures nécessaires, la formation du personnel Quant à la question de savoir si l APA sera un jour au même niveau que la PCH, je réponds non. Il faudrait 8 milliards d euros et personne ne les a aujourd hui. Sur la question de la solvabilité, les aides techniques doivent trouver leur place à côté des aides humaines. Nous en sommes sur ce point à la préhistoire. Je souhaite clôturer ce forum sur le volet complémentaire des SSIAD. Le CA et l AG de l UNCCAS se sont prononcés pour une position d attente par rapport aux questionnaires qui vous ont été transmis par les ARS. Nous vous invitons à différer le remplissage de ces questionnaires tant que nous ne disposons pas, au niveau national, des réponses à nos questions comme celle de la garantie de financement ou de l adoption du décret après les résultats de l enquête. La FNMF et l UNA se prononcent également en ce sens. Page 8

LES SERVICES D AIDE À LA PERSONNE EN FRANCE, PAR

LES SERVICES D AIDE À LA PERSONNE EN FRANCE, PAR LES SERVICES D AIDE À LA PERSONNE EN FRANCE, PAR L UNA (UNION NATIONALE DE L AIDE, DES SOINS ET DES SERVICES AUX DOMICILES) Les services à la personne sont définis en France par le Plan de développement

Plus en détail

Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement

Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute

La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004. Recrute La Caisse nationale de solidarité pour l autonomie, Etablissement public administratif créé par la loi du 30 juin 2004 Recrute Le/la directeur(trice) adjoint(e) de l établissement I. Les missions et l

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

Union Nationale des Centres Communaux d Action Sociale Tél. : 03 20 28 07 50 / Fax. : 03 20 28 07 51 www.unccas.org

Union Nationale des Centres Communaux d Action Sociale Tél. : 03 20 28 07 50 / Fax. : 03 20 28 07 51 www.unccas.org Propositions d amendements de l Union Nationale des Centres Communaux et intercommunaux d Action Sociale (UNCCAS) dans le cadre de l examen du projet de loi portant réforme de l hôpital et relatif aux

Plus en détail

Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication

Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Avenir des retraites : l Assurance retraite lance une grand campagne de communication Alors que les concertations sur la réforme des retraites sont actuellement en cours, l Assurance retraite, premier

Plus en détail

...... en quelques mots 1

...... en quelques mots 1 ... en quelques mots 1 Un nouveau Projet d'entreprise pourquoi faire? Le Projet d'entreprise 2006-2009 a porté l ambition de faire de l Assurance Maladie un assureur solidaire en santé reconnu en tant

Plus en détail

Le pacte de responsabilité et de solidarité

Le pacte de responsabilité et de solidarité Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité

Plus en détail

PROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement

PROJET DE FUSION. Introduction : Une volonté de rapprochement PROJET DE FUSION Introduction : Une volonté de rapprochement Historique Anjou Soins Services, Santé Loire Vallée de l Authion et UNA du Saumurois sont trois associations expérimentées dans le soutien à

Plus en détail

9 Référentiel de missions de l agence du service civique

9 Référentiel de missions de l agence du service civique BINOME 21 PROJET ASSOCIATIF 2011-2013 Pour une solidarité intergénérationnelle Erard Marie-Françoise Sommaire 1 Objectifs 2 Chartes 3 Fonctionnement de l association 4 Etude préalable 5 Projet actuel 6

Plus en détail

SOCIALES ENQUÊTES & OBSERVATIONS. Sommaire. www.unccas.org. Les services d aide à domicile gérés par les CCAS/CIAS FEVRIER 2012 N 3

SOCIALES ENQUÊTES & OBSERVATIONS. Sommaire. www.unccas.org. Les services d aide à domicile gérés par les CCAS/CIAS FEVRIER 2012 N 3 www.unccas.org ENQUÊTES & OBSERVATIONS SOCIALES Les enquêtes de l UNCCAS FEVRIER 2012 N 3 Sommaire Page 2 Précisions méthodologiques Page 3 Principaux résultats I - Données générales Page 8 II - Données

Plus en détail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail

L obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,

Plus en détail

+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009.

+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009. Chiffres clés 21 Créée en 24, la CNSA contribue au financement des politiques d aide à l autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle consacre en particulier une grande part de son

Plus en détail

D o s s i e r D e P r e s s e

D o s s i e r D e P r e s s e D o s s i e r D e P r e s s e Ouverture à Lyon de la première Maison des Emplois de la Famille La Maison des Emplois de la Famille Le Groupe IRCEM La FEPEM IPERIA, l Institut Maison des Emplois de la Famille

Plus en détail

La Mutualité en chiffres Édition 2011

La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.

Rendez-vous de l ESS régionale. Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch. Rendez-vous de l ESS régionale Chambre Régionale de l Économie Sociale Poitou-Charentes 60-68 rue Carnot 86000 POITIERS www.cres-pch.org %! "! $!!" # % " Les entreprises d économie sociale et solidaire

Plus en détail

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle

Plus en détail

UN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE

UN MARCHE DU RECRUTEMENT DU MARCHE COMPTABLE UN MARCHE DU RECRUTEMENT EN PHASE AVEC l EVOLUTION DU MARCHE COMPTABLE RECRUTEMENT 74% DES EMPLOYEURS ONT RECRUTE SUR L ANNEE 2013/2014 Raisons des recrutements quelles évolutions depuis 3 ans? Le recrutement

Plus en détail

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française

Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?

Plus en détail

Rhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr

Rhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr Rhône Développement Initiative 1993-2013 Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité www.rdi.asso.fr Jean-Jacques MARTIN, Président de RDI Membre des réseaux nationaux RDI Edito

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL CCAS. des services à la personne. CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière. + d infos : www.ville-laverriere.

LIVRET D ACCUEIL CCAS. des services à la personne. CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière. + d infos : www.ville-laverriere. LIVRET D ACCUEIL des services à la personne + d infos : www.ville-laverriere.com CCAS CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de La Verrière Agrément qualité Service d Aide à la Personne : 267802783 Délivré

Plus en détail

Toute personne résidant en France de façon régulière peut, si. La couverture maladie universelle ATELIER 2

Toute personne résidant en France de façon régulière peut, si. La couverture maladie universelle ATELIER 2 ATELIER 2 21 OCTOBRE 2000 La couverture maladie universelle Instaurée depuis le 1 er janvier 2000, la couverture maladie universelle (Cmu) concerne 6 millions de personnes en France (soit 10 % de la population).

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION

EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Séance du mardi 17 décembre 2013 à 9h00 présidée par Monsieur Christian BATY, Vice-Président DATE DE CONVOCATION 12 DECEMBRE 2013 NOMBRE

Plus en détail

PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE PROTECTION SOCIALE Note d information N 2012-22 du 6 avril 2012 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE REFERENCES Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires (Journal officiel

Plus en détail

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME

FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION

Plus en détail

LA DÉPENDANCE DES PERSONNES ÂGÉES

LA DÉPENDANCE DES PERSONNES ÂGÉES RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AVIS ET RAPPORTS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE, SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL LA DÉPENDANCE DES PERSONNES ÂGÉES 2011 Avis présenté par Mme Monique Weber et M. Yves Vérollet Année 2011. - N 3

Plus en détail

Forum n 5 : «Réflexion sur les besoins des seniors aujourd hui : comment les identifier, comment y répondre?» Jeudi 11 octobre 2012

Forum n 5 : «Réflexion sur les besoins des seniors aujourd hui : comment les identifier, comment y répondre?» Jeudi 11 octobre 2012 Forum n 5 : «Réflexion sur les besoins des seniors aujourd hui : comment les identifier, comment y répondre?» Jeudi 11 octobre 2012 Intervenants : - Freddy GRZEZIZCAK, vice président du CCAS de Saint Quentin

Plus en détail

CIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

CIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE CIRCULAIRE CDG90 07-13 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, article 22 bis. Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions

Plus en détail

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)

Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre

Plus en détail

NEGOCIATIONS EN COURS...2 EVOLUTIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES...2 A RETENIR...3 CONTACTS...4 SITE CFTC...5

NEGOCIATIONS EN COURS...2 EVOLUTIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES...2 A RETENIR...3 CONTACTS...4 SITE CFTC...5 Tous les mois, l actualité en bref de la Confédération sur l emploi et le chômage SOMMAIRE NEGOCIATIONS EN COURS...2 Signature Convention tripartite triennale 2012/2014: abstention de la CFTC... 2 Auditions

Plus en détail

La dépendance des personnes âgées

La dépendance des personnes âgées Les avis du conseil économique social et environnemental La dépendance des personnes âgées Mme Monique Weber et M. Yves Vérollet, rapporteurs Juin 2011 Les éditions des JOURNAUX OFFICIELS 2011-03 NOR :

Plus en détail

PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE

PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE PARTICIPATION DES EMPLOYEURS AU FINANCEMENT DE LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE CV Réf. : II-13-1-5 Pôle des services Date : 15.09.2012 services@cdg81.fr Ref : 7-9 Références : - Loi n 83-634 du 13

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE

UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE DOSSIER DE PRESSE 24 OCTOBRE 2014 UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE «Le régime étudiant comme pilier d une politique de santé des jeunes» CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr

Plus en détail

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions

CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,

Plus en détail

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer

L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel

Plus en détail

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées

NOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations

Plus en détail

ENQUETE ACCES AUX SOINS

ENQUETE ACCES AUX SOINS ENQUETE ACCES AUX SOINS Attention!! Cette liste des questions posées dans l enquête est présentée à titre d information : la saisie doit se faire en ligne sur le site de l UNCCAS (www.unccas.org) PAGE

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Votre épargne s épanouit dans une mutuelle qui n oublie pas d être une mutuelle, elle

Votre épargne s épanouit dans une mutuelle qui n oublie pas d être une mutuelle, elle Votre épargne s épanouit dans une mutu qui n oublie pas d être une mutu, Votre épargne a tout à gagner des valeurs qui nous animent, Éditorial Fondée à l origine par et pour les anciens combattants, la

Plus en détail

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique.

dernier avis d imposition du foyer ; justificatifs des ressources des 3 derniers mois du foyer ; factures acquittées. Aide unique. Placement en établissement médicalisé ou spécialisé Cette aide permet de faire face à la charge financière importante que représente le placement en établissement spécialisé de l adhérent ou de l ayant

Plus en détail

Références. Conditions d admission (en plus des conditions générales d admission à l aide sociale) :

Références. Conditions d admission (en plus des conditions générales d admission à l aide sociale) : C14 Allocation compensatrice tierce personne (ACTP) Depuis la mise en œuvre au 01/01/2006 de la loi du 11 février 2005 instaurant la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) remplaçant l Allocation

Plus en détail

Titre Cesu La Banque Postale

Titre Cesu La Banque Postale Titre Cesu La Banque Postale Les deux déclinaisons du Cesu Titre de Travail Simplifié (TTS) permet de rémunérer et de déclarer un salarié employé à domicile, s adresse aux entreprises, ainsi qu aux particuliers

Plus en détail

Mots clés : ACTION SOCIALE / AIDES INDIVIDUELLES/AIDE AUX RETRAITES EN SITUATION DE RUPTURE

Mots clés : ACTION SOCIALE / AIDES INDIVIDUELLES/AIDE AUX RETRAITES EN SITUATION DE RUPTURE CAISSE NATIONALE D ASSURANCE VIEILLESSE 75951 PARIS cedex 19 Tél. 08 21 10 75 00 (0,09 euro/mn) Direction nationale de l action sociale Dossier suivi par : Julie Feroldi Document consultable dans la base

Plus en détail

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger

Le point sur la couverture du risque maladie au Niger REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

Projet de loi de cohésion sociale / Propositions d amendements

Projet de loi de cohésion sociale / Propositions d amendements Projet de loi de cohésion sociale / Propositions d amendements Pourquoi encourager la création de Centres Intercommunaux d Action Sociale est une réponse pertinente aux difficultés sociales auxquelles

Plus en détail

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret

Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire. L analyse de la MNT sur le projet de décret Participation des employeurs publics au financement de la protection sociale complémentaire L analyse de la MNT sur le projet de décret Patrick DOS Vice-Président de la MNT Participation des employeurs

Plus en détail

26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général

26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général 26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-1531 du 17 décembre 2014 relatif au taux des cotisations d allocations familiales et d assurance

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion

1. Consolider l emploi dans les entreprises d insertion ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE SOUTIEN AUX EMPLOIS DE L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE ECONOMIE 17.12 DESCRIPTIF DE L'INTERVENTION OBJECTIFS Consolider l emploi des entreprises de l économie sociale et solidaire

Plus en détail

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1

LE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1 LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»

Plus en détail

PROGRAMME D INTERET GENERAL ADAPTATION DES LOGEMENTS AU VIEILLISSEMENT ET AUX HANDICAPS. Bilan DECEMBRE 2010

PROGRAMME D INTERET GENERAL ADAPTATION DES LOGEMENTS AU VIEILLISSEMENT ET AUX HANDICAPS. Bilan DECEMBRE 2010 Syndicat mixte du Pays des Vallées des Gaves PROGRAMME D INTERET GENERAL ADAPTATION DES LOGEMENTS AU VIEILLISSEMENT ET AUX HANDICAPS Bilan DECEMBRE 2010 QU EST CE QUE LE PIG ADAPTATION DU LOGEMENT AU VIEILLISSEMENT

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

Dossier de presse. C o l l e c t i f d e l a i d e, d e s s o i n s à d o m i c i l e

Dossier de presse. C o l l e c t i f d e l a i d e, d e s s o i n s à d o m i c i l e ADESSA A DOMICILE - ADMR - AD-PA - Aînés Ruraux - APF - CFPSAA - Croix-Rouge française - Familles rurales FNAAFP-CSF - FNADEPA - FNAPAEF FNAQPA- Mutualité Française - UNA - UNCCAS - Uniopss - USB-Domicile

Plus en détail

PROPOSITION DE LOI N 2 (2009-2010) RELATIVE AUX CONTRATS D ASSURANCE SUR LA VIE. Examen en commission : Mercredi 31 mars 2010 A M E N D E M E N T

PROPOSITION DE LOI N 2 (2009-2010) RELATIVE AUX CONTRATS D ASSURANCE SUR LA VIE. Examen en commission : Mercredi 31 mars 2010 A M E N D E M E N T N 1 Rédiger ainsi cet article : ARTICLE 1ER I. Le I de l article L. 132-9-3 du code des assurances est complété par une phrase ainsi rédigée : «Elles s informent selon une périodicité au moins annuelle

Plus en détail

Adapter le parc de logements à l âge et au handicap

Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Jeudi 15 novembre 2007 Landivisiau Participants : CAROFF Marie-Françoise Délégué PLH Adjointe à Plounévez-Lochrist GUERNIC Françoise Armorique Habitat

Plus en détail

Les aides pour l adaptation du véhicule au handicap

Les aides pour l adaptation du véhicule au handicap Fiche technique n 96 créée en avril 2013 Les aides pour l adaptation du véhicule au handicap La conduite d un véhicule n est pas incompatible avec le handicap. Cependant, des aménagements sont parfois

Plus en détail

GERANCE MINORITAIRE OU MAJORITAIRE : QUEL EST LE MEILLEUR STATUT?

GERANCE MINORITAIRE OU MAJORITAIRE : QUEL EST LE MEILLEUR STATUT? Réf. :DEV/O/FC/015/06-06/OC 1/9 Pendant longtemps, le statut de gérant majoritaire de SARL a été le plus défavorable des statuts de dirigeant, tant au niveau fiscal que social. A contrario, le statut de

Plus en détail

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer

Plus en détail

Bilan de la concertation sur le PEDT

Bilan de la concertation sur le PEDT les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

auremar - Fotolia.com

auremar - Fotolia.com auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses

Plus en détail

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche

Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche ÉDITORIAL Pour la Corse et pour la France, une démocratie politique et sociale vraiment neuve Dans ce nouveau siècle, aussi inégalitaire que le précédent mais aussi riche de réalisations possibles, la

Plus en détail

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations»

Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Avenir de la Fonction publique «parcours professionnels, carrières, rémunérations» Point d étape de la négociation PPCR 10 Mars 2015 Discours d ouverture de Marylise LEBRANCHU Mesdames et Messieurs, Nous

Plus en détail

Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA

Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Bonjour à toutes et à tous, Merci d être présents nombreux pour cette 20 ème assemblée générale. Créée en 1994, par des militants

Plus en détail

Groupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services»

Groupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services» Groupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services» PROGRAMME LEADER 2007-2013 2013 LEADER 2007-2013 : une terre d accueil, des montagnes de services 1 Présentation

Plus en détail

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION

- Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION - Document d analyse - MARS 2012 OBSERVATOIRE DES SERVICES À LA PERSONNE DES CHIFFRES-CLÉS SUR L EMPLOI ET LA FORMATION PRÉAMBULE Le secteur des services à la personne a connu une croissance très rapide

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE

REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D'AIDE A DOMICILE Le présent document définit les règles générales d organisation et de fonctionnement du Service prestataire d Aide à Domicile de Ramonville-Saint-Agne

Plus en détail

Politique de communication de l A.R.F.P.

Politique de communication de l A.R.F.P. 27 septembre 2001 AL/GC Politique de communication de l A.R.F.P. 1. Ses raisons d être La communication est un des moyens qui contribue à la réalisation de notre projet associatif. Celui-ci affirme dans

Plus en détail

Cahier des charges APPEL À PROJETS 2015 ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES

Cahier des charges APPEL À PROJETS 2015 ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES APPEL À PROJETS 2015 Cahier des charges ACTIONS DE SOUTIEN À DESTINATION DE PERSONNES DÉFICIENTES AUDITIVES Fondation Harmonie Solidarités, 143 rue Blomet - 75015 Paris - Autorisation administrative de

Plus en détail

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité

Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité www.ades-grenoble.org www.lesverts38.org www.alternatifs.org/38 Conférence de presse du mercredi 10 décembre 2008 Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la

Plus en détail

CE QUI CHANGE EN 2014!

CE QUI CHANGE EN 2014! Paris, le 13 janvier 2014 CE QUI CHANGE EN 2014! Loi de Financement de la Sécurité sociale pour 2014 Loi de Finances pour 2014 Cher partenaire, Après un parcours agité, le budget 2014 de la Sécurité sociale

Plus en détail

7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles

7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles CHAPITRE 7 Les accidents et les maladies professionnelles 7.2 - Le traitement administratif des accidents de service, de travail et des maladies professionnelles 7.2.1 Méthodologie Définitions L accident

Plus en détail

VILLE DE SCEAUX N 12-f. Séance du 6 décembre 2012 NOTE DE PRESENTATION

VILLE DE SCEAUX N 12-f. Séance du 6 décembre 2012 NOTE DE PRESENTATION NOTE DE PRESENTATION OBJET : Participation à la protection sociale des agents municipaux Rapporteur : Philippe Laurent Suite à la loi du 2 février 2007 de modernisation de la fonction publique, le décret

Plus en détail

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008

CODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008 du mercredi 8 octobre 2008 Etaient présents : Mme BEAUCHEMIN M. DEFOSSEZ M. HUTIN M. OURCEYRE M. SAPIN. Absents : M. KRASNOPOLSKI. Mise au point sur le rapport qui sera lu au cours de la Séance Plénière

Plus en détail

Quels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations

Quels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations Quels apports de la loi ESS de juillet 2014 pour les associations Associations (artistiques et culturelles), quels liens avec l ESS Les associations font donc automatiquement partie du périmètre de l ESS

Plus en détail

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013 Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes

Plus en détail

Passer du pilote à l industrialisation des offres

Passer du pilote à l industrialisation des offres Passer du pilote à l industrialisation des offres Standardisation, interopérabilité, évolutivité des systèmes, coordination des acteurs, pilotage et portage des offres, etc. Comment faire pour unifier

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle

Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle Le constat Des études de plus en plus nombreuses (1) (2) montrent que les déterminants socioéconomiques ont

Plus en détail

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique

Plus en détail

Michel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER

Michel Magras. compte-rendu PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE L OUTRE-MER Michel Magras Sénateur de Saint-Barthélemy Président de la Délégation sénatoriale à l outre-mer compte-rendu (suite) Séance du vendredi 26 juin 2015 PROJET DE LOI RELATIF À LA MODERNISATION DU DROIT DE

Plus en détail

Juridictions spécialisées du domaine social et organismes de Protection sociale : constats et enjeux

Juridictions spécialisées du domaine social et organismes de Protection sociale : constats et enjeux Juridictions spécialisées du domaine social et organismes de Protection sociale : constats et enjeux Par Raymonde TAILLEUR, Ancienne Directrice de projet à la Direction de la Sécurité sociale. T raditionnellement,

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS PROTECTION SOCIALE PROTECTION SOCIALE ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ, DÉCÈS MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION

Plus en détail

Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013

Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013 INVENTONS ENSEMBLE LA SANTÉ DE DEMAIN Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013 Quels impacts anticiper sur le marché de l assurance de personnes? 21 février 2013 ANI 2013 Quels impacts prévisibles

Plus en détail

DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE

DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE DIRECTION GENERALE DE LA COHESION SOCIALE RAPPORT RELATIF AUX AGREMENTS DES CONVENTIONS ET ACCORDS APPLICABLES AUX SALARIES DES ETABLISSEMENTS SOCIAUX ET MEDICO-SOCIAUX PRIVES A BUT NON LUCRATIF POUR 2010

Plus en détail

Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes

Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Place des mutuelles dans le système de santé français Poids des services de soins et d accompagnement mutualistes Nathalie CHATILLON FNMF Direction des Affaires Publiques Département International Sommaire

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE TOUT COMPRENDRE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS

SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE TOUT COMPRENDRE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS SEA SUN & ESS LES CAHIERS DE VACANCES DU CJDES CAHIER #1 TOUT COMPRENDRE SUR LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE #SME #EUROPE #MUTUELLES #ESS LE JEU DE QUESTIONS REPONSES A LA LE STATUT DE MUTUELLE EUROPEENNE,

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE 10 mai 2011. 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire

COMMUNIQUÉ DE PRESSE 10 mai 2011. 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire 5 mutuelles créent le groupe Istya, premier groupe mutualiste français de protection sociale complémentaire Le 6 mai 2011, le groupe MGEN, le groupe MNH, la MNT, la MGET et la MAEE se sont réunis en assemblée

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,

vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale, Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou

Plus en détail