Enseigner/Apprendre plusieurs langues : enjeux et défis sociodidactiques
|
|
- Jean-Marc Lemieux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Enseigner/Apprendre plusieurs langues : enjeux et défis sociodidactiques Sophie Bailly To cite this version: Sophie Bailly. Enseigner/Apprendre plusieurs langues : enjeux et défis sociodidactiques. Journées scientifiques du Réseau régional de recherche Centre régional francophone d Asie-Pacifique - Organisation Internationale de la francophonie, Jul 2010, Hué, Viêt Nam. <hal > HAL Id: hal Submitted on 13 Oct 2010 HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
2 Enseigner/Apprendreplusieurslangues:enjeuxetdéfissociodidactiques ParSophieBailly,Pr.UMR7118ATIF/CRAPELCNRSUNIVERSITENancy2 REMARQUELIMINAIRE.Letextesuivantestconstituédesnotespourlaconférence donnéeaujournéesscientifiquesdehué,le26juillet2010. Introduction Leplurilinguismeestdanslemondeplusunerèglequ uneexception:partoutoùilya, ouilyaeumigration,colonisation,etmiseencontactdelangues. Lesenjeuxdupluri/multinguismesontcollectifsetindividuels.Danscemondeglobalisé etfondésurleséchangeséconomiquesmêmeleslanguessontencompétition. Aujourd huil anglaisdominelemarché:c estlalanguelaplusenseignéecommelangue étrangèredanslemondeetelleestlalinguafrancalaplususitéedanslesrelations internationalesprofessionnelles.c estpourquoiilpeutêtreutiledelaconsidérer commeunappuiaudéveloppementdupluri/multilinguismeplutôtquecommeun obstacle.ainsi,vuedepuisdeslanguesmorphologiquementpluséloignées(deslangues noneuropéennes),l anglaisestunelangueromane:elleressemblebeaucoupau français,quiluiressemblebeaucoupàl italien,l espagnol,leportugais.maisl anglaisest aussiunelanguegermanique,quirapprochelelocuteurd unelangueéloignéedes languesallemandes,flamandesetscandinaves. Danslacompétitionéconomiqueinternationalelamaîtrisedeplusieurslanguesestun atout,voireuneobligationpourcertainsmétiersoudomaines.dansbiendescasde recrutementdepersonnel,lamaîtrisedel anglaislangueétrangèrenesuffitplus,iln est plusdistinctifetlamaîtrisededeuxlanguesétrangèresestunatoutpoursedistinguer surunmarchédel emploicompétitif. Enseignantsetapprenantsdelanguesesituentàlacroiséedecesenjeuxindividuelset collectifs.onattenddespremiersqu ilsdéveloppentchezlessecondslescapacités individuellesenlanguesattenduesparlasociété. I.Multilinguismesociétalversusplurilinguismeindividuel I.1.Distinguonstoutd aborddiverstypesdemultilinguismesociétal.ilexistedes pays/régions/sociétés/culturesoùlesindividussontplurilingues(communiquentau moinsendeuxlanguesouvarités/dialectes).maisl endroitoùceshabitantsviventet échangentn estpasforcémentmultilingue.etilexisteparailleursdes pays/régions/sociétés/cultures/espacesquisontconsidéréscommemultilinguesdont leshabitantpeuventêtrebi/trilinguesoumonolingues. Danslesrégionsmultilingues,règnesouventladiglossie(Ferguson)ouledéséquilibre fonctionneletidéologiqueentredeuxlangues. I.2.D autrepartplusieurstypesdeplurilinguismesindividuelspeuventêtreenvisagés. Lesétudessurlebilinguismeetlacommunicationexolingue(N/NNetNN/NN): partiel,fonctionnelàéquilinguisme(idéologique,idéalbilingue,imaginairecollectif)ont 1
3 misenévidenceladiversitédesmanièresd êtrebilingueouplurilingue.leschercheurs ontdéterminédestypologiesdubilinguismeselondescritèreslinguistiqueset communicatifsquiprennentencomptelescirconstancedanslesquellesleslocuteurs pratiquentetapprennentdeslangues. I.2.1.Qu est cequ unbilingue? Lesétudesscientifiquesdubilinguismeontcommencédanslesannées1960.Parmiles questionsposées,celledelavaleursocialedubilinguisme,autrementdit,lebilinguisme est ilunhandicapouunatout?aquellesconditions? Ilyademultiplesapprochespourévaluer,etéventuellementcomparer,les compétencesdesmonolingues,desbilinguesetdesplurilingues.l uned elleest l approcheparaptitude,quiconsisteàcomparerlescompétencesdutrilinguessurla basedesessavoir fairesociolangagiers. Quelquesexemplesdetypesdebilinguesdanslestableauxci dessous. CO EO CE EE L1 x x L2 x x x x 1.Casd unepersonnen ayantpasétéscolariséedanssal1,maisdansunel2 CO EO CE EE L1 x x x x L2 x x 2.Casd unepersonneayantapprisunel2seulementàl écrit(typiquedespublics scolairesfrançaisparexemple) CO EO CE EE L1 x x L2 x x L3 x x 3.Casd untrilinguequi: a)estlocuteurdelanguesoralesuniquement; b)aappristroislanguesseulementsousleurformeorale:casd illettrisme; c)unenfantquicommuniquedanstroislanguesmaisn apascommencédeles apprendresousleurformeécrite; CO EO CE EE L1 x x x x L2 x x x 4.Casd unélèvefrançaisàquil onn apasapprisàcomprendreunelanguesoussa formeorale. 2
4 I.2.2.Lesanalysesd interactionsexolingues:quelleréalitélinguistique? Unpanplusrécentdelarecherchesurlebilinguismes intéresseauxperformancesdes bilingueseninteractionréelleetanalyseleursstratégiesdecommunicationetleurs effets.cesétudesontmisenévidencel importanceducode switching,oualternance codique,etdesappuismutuelssurlescompétences(supposées)del autre.lecascidessousillustrecetteidée(porquieretpy2004:101). Cesdiversesétudes,etd autresquejen aipasletempsdecitericiontpermisd aboutir d unepartàl usagededeuxtermes(multietplurilinguisme)quiontpourintérêtde 3
5 leverl ambigüitéquecontientlemotbilingue(sociétaletindividuel).d autrepart,elles participentdelaconstructiond unedéfinitionadoptéeparl Europe:lacompétence plurilingue. Nous définissons la compétence plurilingue avec Coste, Moore et Zarate (1998 : 12) comme : une compétence plurielle, complexe, voire composite et hétérogène qui inclut des compétences singulières, voire partielles, mais qui est une en tant que répertoire disponible pour l acteur social concerné. Cette définition met l accent sur l individu responsable de son répertoire et donc médiateur des différentes langues possédées. SelonleCadreEuropéenCommundeRéférencespourlesLangues,«L approche plurilingue met l accent sur le fait que, au fur et à mesure que l expérience langagière d un individu dans son contexte culturel s étend de la langue familiale à celle du groupe social puis à celle d autres groupes (que ce soit par apprentissage scolaire ou sur le tas), il/elle ne classe pas ces langues et ces cultures dans des compartiments séparés mais construit plutôt une compétence communicative à laquelle contribuent toute connaissance et toute expérience des langues et dans laquelle les langues sont en corrélation et interagissent. Dans des situations différentes un locuteur peut faire appel avec souplesse aux différentes parties de cette compétence pour entrer efficacement en communication avec un interlocuteur donné. Des partenaires peuvent, par exemple, passer d une langue ou d un dialecte à l autre, chacun exploitant la capacité de l un et de l autre pour s exprimer dans une langue et comprendre l autre.» (Conseil de l Europe, 2001 : p. 11). Ils agitd unecompétenceàlafoisplurielle(notionderépertoireindividuel)et singulière(propreausujet,différentechezchaquesujet).c estaussiunecompétence fluctuante,évoluantaugrédelatrajectoiredusujet. I.2.3.Emergencedenouvellesconceptionsdulocuteurpluriculturelcompétent Cettedéfinitions opposeàl idéequelebilinguisme(oupluri)équivautàdeux monolinguismes«miroirs»l undel autre(idéed équilinguisme).ellemetenlumière d autrescasplusordinairesdeplurilinguismeetoffredenouvellesreprésentationsdu bi/plurilinguequipeuventavoird utilesretombéespourledomainedel enseignementapprentissagedeslangues. Unpremiermodèleestceluidel étrangercompétentproposéparphilipriley. L étrangercompétentestceluiquipeutcommuniquerdansunelanguequin estpassa languematernelletoutenrespectantlesrèglessociolangagièresdelacommunauté cible,etquisaitjouerlesrôlesverbauxattendusdeluienvertudesesidentitésetde cellesdesesinterlocuteursdanslessituationsdanslesquellesilévolue. Unesecondereprésentationémergentedubilingueetcettedel apprenantbilingue.les étudessurl interactionn/nn(commecelledepyetporquiercitéeci dessusvoiraussi Kramsh,Bange)permettentdematérialiserl apprenantdelanguescommeunbilingue enconstruction,dontlacompétencecommencedèsledébutdel apprentissage,peut croitreous interrompre,demanièredéfinitiveoutemporaire. Or,commenousl écrivionsen2005pourlecongrèsdel AssociationofLanguage Awareness,«Ilexisteunhiatusentrecesnormesindividuellesdecommunication (misesaujourparlesrecherchessurlesinteractionsexolinguesetl acquisitionen 4
6 milieunaturel)etdegestiondeslanguesetlesnormescollectivesformatives.cehiatus estrévélateurdereprésentationsvariéesvoireopposéesdecequesignifieapprendreet communiquerenlanguesétrangèrespourles«apprenants pratiquantsindividuels»de lacompétenceplurilingueetpluriculturelleetpourles«enseignantséduquantsprofessionnels»àcettecompétence».notrerechercheamontré«une divergenceentredesnormesindividuellesfortementinfluencéespardesexpériences personnelles(fortemobilité,vécudansunmilieuplurilingue)etsocioculturelles(le contexteplurilingueduluxembourg,lieudeviedesapprenants),etdesnormes formativesquipréconisentplutôtlaséparationentrelesapprentissagesdelangues. (BaillyetCiekanski2006/2008). Pourmettreencohérencelesreprésentationsetpratiquesindividuellesavecles pratiqueséducatives,castellottipréconisedemettrelacompétenceplurilingueau centredesdispositifsformatifsetdel appréhendercommeunetrajectoire: «Ils agiraitderepenserl ensembledel itinérairedeformationpourl élaborer selonuneperspectived ensemblequiplaceraitleplurilinguismenonseulement commeunobjectifmaiscommeunprincipemêmedeformation.»(castellotti2001: 369) III.Ladidactiqueduplurilinguisme Leplurilinguismeestunobjetd apprentissagecomplexequidemandedenouvelles représentationschezlesacteurspourlamiseenplacedepratiques d enseignement/apprentissageadéquates.cesnouvellespratiquescontribuentàla transformationdesrôlesdel apprenantetdel enseignant. Ilfautbienexpliquericiqu ilnes agitpasdefairelapromotiondel enseignementde pidgins,delangues«déformées»ou«appauvries»,maisdeprendreencomptedans l enseignementetlapédagogique,unedimensiondynamiquedescompétences langagières,sanscesseenreconstruction,évolutive,soumiseauxconditionsextérieures. III.1.L offreactuelle Danslessystèmeséducatifsleslanguessontgénéralementenseignéesséparément.Ilya séparationnonseulementdansl espacemaisaussidansletemps.al écolefrançaise,on commenceparunele(écoleprimaire)puisaprèsuncertaintempsonpeuten apprendreuneautre(collège),puisencoreplustard(lycée),selonlessectionsaulycée, unetroisième. Ilyaégalementséparationdesenseignants(ladoublecompétenceoupolyvalenceest peurépandueenfrance)etdesenseignements(contenu,méthodologies).lenombre d heuresconsacréeschaqueannéeàl étudeetlapratiquedelalangueestinsuffisant pourunelangueétrangère Résultat:l apprentissagescolairedelacompétenceplurilingueestpeurentable.il impliquesurchargecognitive,surcoûtsfinanciers,investissementtemporelimportant. 5
7 C estunfreinaudéveloppementdescompétencesnécessairesàlaconstructionde compétencesplurilingues. D autresfreinsauxapprentissagesplurilinguesontétéobservésparbaillyetciekanski (2006/2008)quejereprendsci dessous: Freins et leviers pour la mise en place d'un cadre didactique plurilingue. Freins spécialisation en une seule langue compartimentation didactique amour pour la langue enseignée ou apprise Leviers centration sur des pratiques épilinguistiques plutôt que sur la langue portfolio en langues ouverture aux langues : mise en lien des langues et des cultures Nature des freins et leviers au développement de la compétence plurilingue III.1.1. Compartimentation linguistique et didactique Bien que le système éducatif français prévoie l'apprentissage d'au moins deux langues au collège, et bien que les enseignants de langues aient souvent appris deux langues au cours de leur scolarité, ils n'enseignent qu'une seule langue, celle dans laquelle ils se sont spécialisés à l'université, puis à l'iufm après avoir réussi un CAPES propre à chaque langue enseignée à l'école. Il en résulte une double spécialisation linguistique, mais aussi didactique, dont rendent compte les pratiques des enseignants : l'enseignement de l'anglais en France est davantage centré sur la communication (actes de parole) tandis que l'enseignement de l'espagnol est souvent centré sur le cours magistral dialogué à partir de textes (Normand 2005). De plus, il est fréquent de voir les enseignants de langue considérer les phénomènes d'alternance entre les langues des apprenants comme des problèmes plutôt que comme des occasions de mettre en lien des phénomènes de langue, d'apprentissage et d'acquisition. III.1.2. Amour/rejet d une langue Plusieurs exemples tirés du corpus illustrent le rôle de l'affect dans la mise en place d'un cadre didactique plurilingue ou dans le développement d'une compétence plurilingue. L'enquête auprès des PLC2 montre que l'amour pour la langue fait partie des facteurs qui ont mené ceux-ci à choisir la carrière d'enseignant de langue. La majorité d'entre eux ne se voit pas enseigner d'autres langues que celle qu'ils ont choisie comme spécialité. À Berlin, l'un des enseignants d'anglais, d'origine américaine et compétent en français, langue qu'il a commencé à apprendre dès le collège mais qu'il n'aime pas pratiquer, ne se voit pas intégrer cette langue à son répertoire professionnel, par exemple pour communiquer dans la salle de classe avec des étudiants francophones. Certains apprenants du cours bilangue ont favorisé consciemment ou inconsciemment la langue pour laquelle ils disent éprouver le plus d'intérêt ou d'attirance et délaissé la langue moins aimée. III.2.Lesoffresalternativespouruneéducationauplurilinguismedel écoleàla formationd adultes:nouveauxobjectifsetnouvellesnormesàpromouvoir:nouvelles pratiques,nouvellesapproches. Changerd objectifsprioritaires. Sil onplacel objectifdelacommunicationavantl objectifdelagrammaire,ilneserapas nécessairededoubler,triplerouquadruplerletempsconsacréàl étudedeslangues dansl emploidutempsdesélèvesetétudiants.accepterl idéedecompétences partiellesc estaccepterl idéed unécartformelentrelalanguedunonnatifetcelledu natif.cequiimporteraaupédagogueseraquecetécartepuisseseréduireet l intercompréhensibilités élargir. 6
8 Lechangementd objectifspédagogiquespourladidactiqueduplurilinguismeimplique unchangementdenormessocioculturelles: «Lapromotionduplurilinguismepasseparlapromotionauniveaudel institutionde nouvellesnormes,quel ontrouvedéjàdanslesusagesindividuels,etquiimpliquentde nouvellesconceptionsdelacompétenceenlanguesetdenouvellesconceptionsdes rôlesd'enseignantetd'apprenantdelangues.»(baillyetciekanski2006/2008) Nouvellesnormesàviser: 1.d unpointdevueindividuel LacapacitéàatteindresesobjectifscommunicatifsenL2etL3,quellequ ensoitla nature:survivre,visiter,s intégrer,sefairepasserpour. Lasurvievaried unindividuàunautre:senourrir,trouverunemploi,avoirdesamis Lavisitepeutêtrepurementtouristiqueoupurementprofessionnelle;ellepeutsefaire dansuncadreformelouinformel;lebesoindelal2peutvarierselonlegenredevisite. S intégrer,cepeutêtrefairedifférenteschosesenl2:réussirdesétudes,sesocialiser (sefairedesamis,desrelations),travailler,semarier Sefairepasserpour,c ests identifieràl autre,devenirautre,passerinaperçu,nepas êtredifférentouremarquable. Pouratteindrecesobjectifsilfautacquérirdescompétenceslinguistiques(àl oraletà l écrit),socioculturelles(connaissancedesnormesdugroupeethnolinguistiquecible pourappropriationdudiscoursauxsituations),identitaires(alignemententreles compétences/performancesensituationetlesidentitésindividuelleetgroupale).dans touslescas,lecodeestunmoyenpourparvenirauxobjectifsetnonunobjectifensoi. Auxcompétenceslinguistiquess ajoutentdescompétencescognitives(deproduction, d organisationetdemiseenrelationdeconnaissances):laréflexivité,ladistanciation, l analyse,latoléranceàl erreuretautâtonnement;laconstructiond unrépertoirevarié depratiquesd apprentissages;lacapacitéàs organiser,às évaluerpourl apprentissage deslangues. 2.D unpointdevuesocialetinstitutionnel acceptationdedifférencesetd écartsentrelesproductionsdenatifsetnonnatifs(ilyadetoutesfaçonsdéjàdegrandsécartsdeproductionentrelesnatifsd une même«langue»:variationsocialeetrégionalesurtout) reconnaîtredescompétenceslàoùonvoyaitdesmanques,oudesdéfauts. Lecadreeuropéencommunderéférencesfaitunpasverslareconnaissancede nouvellesnormes:compétencespartiellesmaisfonctionnelles Leportfoliofavoriselacompréhensionetlamiseencohérenceparl apprenantdesa compétenceplurilingueetpluriculturelleetsonévolutiondansletemps. 3.Changementsd approchespédagogiquesetdeméthodologies. 7
9 Approchesfondéessurl immersionetl immersionsimulée: DNL(Coyle2004) Tandems(Helmling2002) Centresdelanguespourapprentissagesindépendantsavecousanssoutien Approchesfondéessurlaréflexivitéetl acquisitiond unecompétencetransversale d apprentissagedelangues: «Parce que la compétence plurilingue est une compétence plurielle, composite et hétérogène, il semble important que les apprenants en saisissent la cohérence. Celle-ci intervient à deux niveaux : au niveau individuel et biographique - ce dont rend compte le Portfolio centré sur l apprenant- et au niveau institutionnel où il semble pertinent de coordonner les divers apprentissages de langues tout au long du parcours scolaire, de l'école primaire jusqu'au lycée, par la mise en place de pratiques partenariales entre les enseignants de langues et par l accompagnement d un apprentissage plurilingue individualisé» (Bailly et Ciekanski 2006/2008) : Ce concept d accompagnement est un des éléments clefs du changement de paradigme éducatif [ ] qui fait passer d un modèle centré sur l enseignement avec prédominance du mode transmissif, présentiel, collectif autorisant l individualisme des formateurs, à un mode centré sur l apprenant construisant ses savoirs en lien avec son propre projet impliquant un travail collectif et partenarial des personnes-ressources (Poisson, 2003 : 90). Apprentissageautodirigé:apprendreàapprendreetaccèsfacilitéàdes ressourcesnumériquesouautres(bailly2010). Approchesfondéessurlamiseenrelationdeslanguesetdesfaçonsdelesapprendre: Eveilauxlangues(Candelier2003,Perregaux1998); Intercompréhensiondeplusieurslanguesparfamilles:accentsurlestraits communsetsurlesstratégiesdecompensationetdecompréhension(debaisieux2001, 2004); Enseignementintégrédedeuxlanguesétrangères:deuxlanguesdansunmême coursaveclamêmeméthodologie(bailly2001). Conclusions Nousémettionsen2006l hypothèsequeledéveloppementdecompétencesplurilingues seraitsujetàvariationselonlacapacitédesapprenants(etdesinstitutions)àétablir desliensentreleslanguesetlesfaçonsdelesapprendre.nouspostulionségalementque l existenced unecultureprofessionnellecommuneauseindesétablissementsde formationfavoriseraitlacohérencedesdispositifspédagogiquesmisenplace. Aujourd huicesjournéesscientifiquesvoients inaugurerunenouvelleséried étudessur l approcheplurilingueetladidactiqueduplurilinguismedanslarégiondusud est asiatique.nuldoutequecelles ciaurontdesretombéessurl identificationdes conditionsquirendraientpossibleuneréelledémocratisationdel accèsaux compétencesplurilingues. 8
10 Bibliographieetréférences BAILLY Sophie, (2005), «La compétence d apprentissage: clé d accès à une compétence plurilingue», 13 ème Congrès RANACLES (Rassemblement National des Centres de Langues de l'enseignement Supérieur) Compétences, Caen, novembre vidéo: langues.unicaen.fr/ranacles/videos/bailly_internet.rm BAILLYSophie(2001),«Commenceràapprendredeuxlanguesétrangèresenmêmetemps»,JOHNSTON, R. et SALINS, G D. de (Rap.), L enseignement des langues aux adultes,actes du colloque "Quelles pédagogies pour l enseignement des langues aux adultes aujourd hui?" septembre 2001, UniversitéJeanMonnet,SaintEtienne,Publicationsdel UniversitédeSaintEtienne,p BAILLYSophieetCIEKANSKIMaud,2008,"L ouvertureauxlangues":l émergenced'unereprésentation clefpourladidactiqueduplurilinguisme»,actesducongrèsala/edilic2006, BAILLYSophieetCIEKANSKIMaud(2003),«Enseigneretapprendredeuxlanguesétrangèresenunseul cours»,lefrançaisdanslemonderecherchesetapplications,n spécial,juillet2003,p CANDELIER Michel (2003), Janua Linguarum La porte des langues. L'introduction de l'éveil aux langues danslecurriculum,strasbourg,centreeuropéenpourleslanguesvivantes/conseildel Europe CASTELLOTTIVéronique(2001),«Retoursurlaformationdesenseignantsdelangues:quelleplacepour leplurilinguisme?»,etudesdelinguistiqueappliquée,n ,p CIEKANSKI Maud, DUDA Richard et HORWINSKI Katherine(2003),«Apprenants plurilingues au Centre de langues du Luxembourg», Le Français dans le Monde Recherches et Applications, N spécial, Juillet2003,p [Conseildel Europe],2001,Cadreeuropéencommunderéférencepourl apprentissageetl enseignement deslangues.strasbourg,conseildel Europe,1eed.1996;2eed.corr.1998.Paris,Didier9. COSTEDaniel,MOOREDanièle,ZARATEGeneviève(1998),«Compétenceplurilingueetpluriculturelle», LeFrançaisdansleMondeRecherchesetApplications,N spécial,p COYLEDo(2004),«Lacontributiond EMILEauplurilinguismeeEuropeouCommenttransformerdes problèmeslangagiersenpotentiellangagier»mélanges27,universiténancy2,p. DEBAISIEUXJeanne Marie(2001),«Lireenlanguesromanes»,JOHNSTON,R.etSALINS,G D.de(Rap.). L'enseignementdeslanguesauxadultes.Unepratiquedelapédagogiepourunepédagogiedela pratique:actesducolloque"quellespédagogiespourl'enseignementdeslanguesauxadultes aujourd'hui"du29 30septembre2001.UniversitéJeanMonnet,Saint Etienne:Publicationsde l'universitédesaint Etienne,p DEBAISIEUXJeanne Marie(2004),«Uneexpériencedelectureenlanguesromanes»,MélangesCRAPEL, N 27,p , nancy2.fr/melangescrapel/article_melange.php3?id_article=276 HELMLINGBrigitteetals(2002),L apprentissageautonomedeslanguesétrangères,paris,didier MOOREDanièle(1996),«Bouéestranscodiquesensituationimmersiveoucommentinteragiravecdeux languesquandonapprendunelangueétrangèreàl école»,aile,n 7,p PERREGAUXChristiane(1998),Esquissed'unnouveaumonde,Billiez,J.(dir.)Deladidactiquedeslanguesà ladidactiqueduplurilinguisme:hommageàlouisedabène.grenoble:csl Lidilem,Universitéde Stendhal GrenobleIII PORQUIERRémyetPYBernard,(2004),Apprentissaged'unelangueétrangère:contextesetdiscours,Paris, Didier RILEYPhilip(2003),«Le"linguisme" multi poly pluri?pointsderepèreterminologiqueset sociolinguistiques»,lefrançaisdanslemonderecherchesetapplications,n spécial,juillet2003,p
La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale
La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale Stéphanie Perriere To cite this version: Stéphanie Perriere. La voix en images : comment l
Plus en détailSystème de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales
Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Natacha Gondran To cite this version: Natacha Gondran. Système de diffusion d information
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailL indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne
L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité
Plus en détailCompte-rendu de Hamma B., La préposition en français
Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,
Plus en détailDessin assisté par ordinateur en lycée professionnel
Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel Bernard Dauga To cite this version: Bernard Dauga. Dessin assisté par ordinateur en lycée professionnel. Bulletin de l EPI (Enseignement Public et Informatique),
Plus en détailJean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique.
Sensibilisation à la sécurité informatique Jean-Luc Archimbaud To cite this version: Jean-Luc Archimbaud. Sensibilisation à la sécurité informatique. lieux en France, 1997, pp.17. École
Plus en détailstatique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017
Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique J. Bertrand To cite this version: J. Bertrand. Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique. J. Phys. Theor. Appl., 1874,
Plus en détailSur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile
Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement
Plus en détailÉtude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire
Étude des formes de pratiques de la gymnastique sportive enseignées en EPS à l école primaire Stéphanie Demonchaux To cite this version: Stéphanie Demonchaux. Étude des formes de pratiques de la gymnastique
Plus en détailAGROBASE : un système de gestion de données expérimentales
AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER To cite this version: Daniel Wallach, Jean-Pierre RELLIER. AGROBASE : un système de gestion de données expérimentales.
Plus en détailLes intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI
Les intermédiaires privés dans les finances royales espagnoles sous Philippe V et Ferdinand VI Jean-Pierre Dedieu To cite this version: Jean-Pierre Dedieu. Les intermédiaires privés dans les finances royales
Plus en détailPeut-on perdre sa dignité?
Peut-on perdre sa dignité? Eric Delassus To cite this version: Eric Delassus. Peut-on perdre sa dignité?. 2013. HAL Id: hal-00796705 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00796705 Submitted
Plus en détailComptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque
Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Grégory Wegmann, Stephen Nozile To cite this version: Grégory
Plus en détailBudget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud
Budget Constrained Resource Allocation for Non-Deterministic Workflows on a IaaS Cloud Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian Muresan, Frédéric Suter To cite this version: Eddy Caron, Frédéric Desprez, Adrian
Plus en détailProgram Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal Languages
Program Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal Languages Albert Cohen To cite this version: Albert Cohen. Program Analysis and Transformation: From the Polytope Model to Formal
Plus en détailLa complémentaire santé : une généralisation qui
La complémentaire santé : une généralisation qui n efface pas les inégalités Thibaut De Saint Pol, François Marical To cite this version: Thibaut De Saint Pol, François Marical. La complémentaire santé
Plus en détailLes Champs Magnétiques
Les Champs Magnétiques Guillaume Laurent To cite this version: Guillaume Laurent. Les Champs Magnétiques. École thématique. Assistants de prévention, Paris, France. 2014, pp.31. HAL Id:
Plus en détailUn SIG collaboratif pour la recherche historique Partie. Partie 1 : Naissance et conception d un système d information géo-historique collaboratif.
Un SIG collaboratif pour la recherche historique Partie 1 : Naissance et conception d un système d information géo-historique collaboratif Claire-Charlotte Butez, Francesco Beretta To cite this version:
Plus en détailLes déterminants du volume d aide professionnelle pour. reste-à-charge
Les déterminants du volume d aide professionnelle pour les bénéficiaires de l APA à domicile : le rôle du reste-à-charge Cécile Bourreau-Dubois, Agnès Gramain, Helen Lim, Jingyue Xing, Quitterie Roquebert
Plus en détailGuide de formation à l assurance qualité (QualiTraining)
Guide de formation à l assurance qualité (QualiTraining) Description de projet Mise à jour le 18 mai 2006 Coordinatrice: Equipe de projet: Laura Muresan, EAQUALS / PROSPER-ASE, Roumanie Frank Heyworth,
Plus en détailSylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure.
Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa microstructure Sylvain Meille To cite this version: Sylvain Meille. Étude du comportement mécanique du plâtre pris en relation avec sa
Plus en détailSur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique
Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique E. Bichat To cite this version: E. Bichat. Sur la transformation de l électricité statique en électricité dynamique. J. Phys. Theor.
Plus en détailCalculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder?
Calculer les coûts ou bénéfices de pratiques sylvicoles favorables à la biodiversité : comment procéder? H. Chevalier, M. Gosselin, Sebastian Costa, Y. Paillet, M. Bruciamacchie To cite this version: H.
Plus en détailFamille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes
Famille continue de courbes terminales du spiral réglant pouvant être construites par points et par tangentes M. Aubert To cite this version: M. Aubert. Famille continue de courbes terminales du spiral
Plus en détailJessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545
Mesures de la charge électrique de gouttelettes d eau ou de solutions salines au cours de processus d évaporation, ou de condensation de vapeur d eau sur elles Jessica Dubois To cite this version: Jessica
Plus en détailEnseignement au cycle primaire (première partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de
Plus en détailUn exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage
Un exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage Béatrice Parguel To cite this version: Béatrice Parguel. Un exemple spécifique de collaboration : Le produit-partage. 50 fiches sur le marketing
Plus en détailModèle d évaluation quantitative des risques liés au transport routier de marchandises dangereuses
Modèle d évaluation quantitative des risques liés au transport routier de marchandises dangereuses Raphaël Defert To cite this version: Raphaël Defert. Modèle d évaluation quantitative des risques liés
Plus en détailLIVRAISON DE COLIS ET LOGISTIQUE URBAINE : QUELLES RECOMPOSITIONS DE LA MESSAGERIE EN MILIEU URBAIN?
LIVRAISON DE COLIS ET LOGISTIQUE URBAINE : QUELLES RECOMPOSITIONS DE LA MESSAGERIE EN MILIEU URBAIN? Raphaëlle Ducret To cite this version: Raphaëlle Ducret. LIVRAISON DE COLIS ET LOGISTIQUE URBAINE :
Plus en détailJean Sykes Nereus, la collaboration européenne, et le libre accès
Jean Sykes Nereus, la collaboration européenne, et le libre accès Keynote Item Original citation: Originally presented at UNESCO DKN project steering group meeting, 29 June 2006, Paris, France [Name of
Plus en détailFormation des formateurs en entreprise
en entreprise Le (CQFA) du Cégep de Chicoutimi et le Service de formation continue de l'université du Québec à Chicoutimi (UQAC) unissent leurs efforts et leur expertise respective pour offrir aux organisations
Plus en détailL analyse des pratiques : une démarche facilitatrice pour la construction et l évolution de l identité professionnelle... 4
FICHES TECHNIQUES La carrière de l'enseignant : comment durer dans le métier? Comment optimiser les ressources des professeurs expérimentés? Usure, adaptation, épreuves et ressources.... 3 L analyse des
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailJusqu à trois prix seront décernés annuellement et ce dans les deux catégories suivantes.
Directives de mise en candidature Association des universités de l Atlantique Prix d enseignement distingué et de leadership en éducation, 2015 Objectif Le but de ce programme de prix est d encourager
Plus en détailFORMATIONS D'INITIATIVE DEPARTEMENTALE. hors R3
FORMATIONS D'INITIATIVE DEPARTEMENTALE hors R3 Dispositifs avec candidature individuelle 7 DISPOSITIF : 09D0640014 - SCOLARISER UN ELEVE EN SITUATION DE HANDICAP EN MILIEU ORDINAIRE - BEARN Module : 1031
Plus en détailDECLARATION DE BRUXELLES
DECLARATION DE BRUXELLES Susciter une plus grande motivation dans l apprentissage des langues au moyen de politiques institutionnelles, de stratégies spécifiques et de pratiques innovantes MOLAN European
Plus en détailFICHE DE POSTE. Date de rédaction : 20/02/15. Argumentaire général
UNIVERSITE LYON 2 (LUMIERE) Référence GALAXIE : 4217 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : F002 Corps : Maître de conférences Article : 26-I-1 Chaire : Non Section 1 : 71-Sciences de l'information
Plus en détailLes liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans
Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans l infrarouge à 3µ G. Bosschieter, J. Errera To cite this version: G. Bosschieter, J. Errera. Les liaisons intermoléculaires de l eau étudiées dans
Plus en détailRéseaux sociaux virtuels et création de valeur
Réseaux sociaux virtuels et création de valeur Olivier Hueber To cite this version: Olivier Hueber. Réseaux sociaux virtuels et création de valeur. 2010. HAL Id: hal-00487695 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00487695
Plus en détailDÉPARTEMENT DE LETTRES ET LANGUES. Master Didactique des Langues Français Langue Etrangère, Technologies Educatives. 1 ère année 2013-2014
DÉPARTEMENT DE LETTRES ET LANGUES Master Didactique des Langues Français Langue Etrangère, Technologies Educatives Master à distance 1 ère année 2013-2014 ORGANISATION DES ENSEIGNEMENTS MODALITES DE CONTROLE
Plus en détailPROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION
PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COGNITIVES DANS UNE TÂCHE DE SYNCHRONISATION Catherine Auxiette, C. Gerard To cite this version: Catherine Auxiette, C. Gerard. PROGRAMMATION MOTRICE ET STRATÉGIES COG-
Plus en détailProtection de la vie privée basée sur des ontologies dans un système Android
Protection de la vie privée basée sur des ontologies dans un système Android Johann Vincent, Tom Dubin, Christine Porquet To cite this version: Johann Vincent, Tom Dubin, Christine Porquet. Protection
Plus en détaile-science : perspectives et opportunités pour de nouvelles pratiques de la recherche en informatique et mathématiques appliquées
Emilie MANON, Joanna JANIK, Gabrielle FELTIN e-science : perspectives et opportunités pour de nouvelles pratiques de la recherche en informatique et mathématiques appliquées 1 Introduction : La recherche
Plus en détailLa perspective actionnelle: Didactique et pédagogie par l action en Interlangue. 1. Paola Bagnoli, Eduardo Dotti, Rosina Praderi et Véronique Ruel
La perspective actionnelle: Didactique et pédagogie par l action en Interlangue. 1 Paola Bagnoli, Eduardo Dotti, Rosina Praderi et Véronique Ruel veroniqueruel@yahoo.fr Introduction : La perspective actionnelle
Plus en détailLe Cadre Européen Commun de Références pour les Langues
Le Cadre Européen Commun de Références pour les Langues (CECRL) = un cadre européen pour apprendre, enseigner, évaluer 1 Le Cadre européen commun de référence pour les langues (souvent appelé le CERCL
Plus en détailDIFFICULTES D'APPRENTISSAGE, ECHEC SCOLAIRE, RÉUSSITE... MAIS AU FOND, A QUOI CELA EST-IL DU?
DIFFICULTES D'APPRENTISSAGE, ECHEC SCOLAIRE, RÉUSSITE... MAIS AU FOND, A QUOI CELA EST-IL DU? Marie-Louise ZIMMERMANN Docteure ès Sciences de l Éducation École Jean Piaget, LDES, Université de Genève MOTS-CLEFS
Plus en détailAteliers du Bureau des dossiers professionnels et sociaux ***
Ateliers du Bureau des dossiers professionnels et sociaux *** 2015 16 Fédération des enseignant(e)s de la C.-B. 1 Introduction La FECB a pour fière tradition de soutenir les membres et les syndicats locaux
Plus en détailLa Relation Client : Quand l Analyse du Discours rencontre le Marketing
La Relation Client : Quand l Analyse du Discours rencontre le Marketing Séverine Equoy Hutin To cite this version: Séverine Equoy Hutin. La Relation Client : Quand l Analyse du Discours rencontre le Marketing.
Plus en détailLa cité des métiers de la Villette : un outil d insertion professionnelle au sein d une bibliothèque
La cité des métiers de la Villette : un outil d insertion professionnelle au sein d une bibliothèque Olivier Las Vergnas, Catherine Prokhoroff To cite this version: Olivier Las Vergnas, Catherine Prokhoroff.
Plus en détailL IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE
N 198 PETREIN Olivier L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE Introduction L'emploi des Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication
Plus en détailSynergie du triptyque : Knowledge Management, Intelligence Economique & Business Intelligence
Synergie du triptyque : Knowledge Management, Intelligence Economique & Business Intelligence Abdelkader Baaziz To cite this version: Abdelkader Baaziz. Synergie du triptyque : Knowledge Management, Intelligence
Plus en détailENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR ET E.A.O. ET LANGUES ÉTRANGÈRES À L'UNIVERSITÉ
192 ENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR ET LANGUES ÉTRANGÈRES À L'UNIVERSITÉ 1. APPLICATIONS PÉDAGOGIQUES DE L'INFORMATIQUE ET ENSEIGNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR (EAOI. 1.1 Différents niveaux d'intervention
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détailLes 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada
Formation et Coaching en Leadership inclusif et en Management interculturel Les 7 Facteurs clés de Succès pour s'épanouir sur le plan personnel, familial et professionnel au Canada Une approche holistique
Plus en détailL apprentissage tout au long de la vie, une perspective européenne.
L apprentissage tout au long de la vie, une perspective européenne. Erasmus + : enjeux et opportunités pour l Enseignement supérieur en Bretagne Brest, Rennes, 27 novembre 2013 Jean-Marie Filloque Vice-président
Plus en détailINTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE - INFLUENCE DU DIFFUSEUR
INTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE - INFLUENCE DU DIFFUSEUR A. Randrianarison, C. Legros To cite this version: A. Randrianarison, C. Legros. INTELLIGIBILITÉ DE LA PAROLE EN CHAMBRE SOURDE -
Plus en détail1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS
1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS Parallèlement aux activités d échange et d organisation des rencontres et du séminaire thématique, nous avons réalisé durant les premières phases
Plus en détailBalanced Scorecard et Pilotage de la Performance : Cas de la Division Forage
Balanced Scorecard et Pilotage de la Performance : Cas de la Division Forage Abdelkader Baaziz, Mustapha Khelil To cite this version: Abdelkader Baaziz, Mustapha Khelil. Balanced Scorecard et Pilotage
Plus en détailAICp. Vincent Vandewalle. To cite this version: HAL Id: inria-00386678 https://hal.inria.fr/inria-00386678
Sélection prédictive d un modèle génératif par le critère AICp Vincent Vandewalle To cite this version: Vincent Vandewalle. Sélection prédictive d un modèle génératif par le critère AICp. 41èmes Journées
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailSERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE
SERVICE D ACCOMPAGNEMENT PEDAGOGIQUE DE L UNIVERSITE SORBONNE PARIS CITE CATALOGUE DE FORMATION POUR LES ENSEIGNANTS DE USPC 2014-2015 Le service SAPIENS créé en janvier 2014 propose durant l année 2014-2015
Plus en détailCompte rendu de la formation
Compte rendu de la formation «Expertise de vos pratiques en Méthode Naturelle de la Lecture et de l Ecriture (MNLE)» Animée par Sybille Grandamy Le 10 mars 2015 BILAN QUALITATIF ET QUANTITATIF 9 participant(e)s
Plus en détailLa diversification de la mise en valeur traditionnelle des bas-fonds en zone de savane humide du Togo et les conséquences sur l environnement
La diversification de la mise en valeur traditionnelle des bas-fonds en zone de savane humide du Togo et les conséquences sur l environnement Soklou Worou To cite this version: Soklou Worou. La diversification
Plus en détailLa régulation du réseau Internet
La régulation du réseau Internet Philippe Barbet To cite this version: Philippe Barbet. La régulation du réseau Internet. Société de l information: Approche économique et juridique, l harmattan, pp.6,
Plus en détailContrôle d Admission Basé sur un Plan de Connaissance
Contrôle d Admission Basé sur un Plan de Connaissance Doreid Ammar, Thomas Begin, Isabelle Guérin-Lassous, Ludovic Noirie To cite this version: Doreid Ammar, Thomas Begin, Isabelle Guérin-Lassous, Ludovic
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailS'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire
S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire Nathalie Gettliffe, Université de Strasbourg Hortense Rengade-Bouchard, Académie
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailDossier d autorisation à mettre en oeuvre le C2i2e
Extrait du Dossier d autorisation à mettre en oeuvre le C2i2e déposé auprès de la Mission Numérique pour l'enseignement Supérieur par l Institut Catholique de Paris (ICP) - Mars 2011 Au cours du semestre,
Plus en détail3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)
3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la
Plus en détailContexte Point de départ/analyse de besoins des
Diversité linguistique et culturelle à l'école primaire et formation professionnelle : regards croisés entre expériences des praticiens et recherches scientifiques Journéed étude, Universitéde Franche-Comté
Plus en détailArchives ouvertes : les enjeux dans les politiques d établissement et les projets internationaux
Archives ouvertes : les enjeux dans les politiques d établissement et les projets internationaux Bruno BOISSAVIT, Anne SLOMOVICI Séminaire MSH : Les archives ouvertes et HAL-SHS 13 Mars 2014 MSH Val de
Plus en détailLa communication sociétale : entre opportunités et risques d opportunisme
La communication sociétale : entre opportunités et risques d opportunisme Florence Benoît-Moreau, Fabrice Larceneux, Béatrice Parguel To cite this version: Florence Benoît-Moreau, Fabrice Larceneux, Béatrice
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailA propos de la désirabilité et de la faisabilité entrepreneuriales perçues pour les jeunes femmes libanaises: une enquête exploratoire.
A propos de la désirabilité et de la faisabilité entrepreneuriales perçues pour les jeunes femmes libanaises: une enquête exploratoire. Sarah Sawma, Thierry Levy-Tadjine To cite this version: Sarah Sawma,
Plus en détailPréparer la formation
Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte
Plus en détailLES CLAUSES DES CONTRATS DE DETTE DES PETITES ENTREPRISES : CAS DES ENTREPRISES CANADIENNES
LES CLAUSES DES CONTRATS DE DETTE DES PETITES ENTREPRISES : CAS DES ENTREPRISES CANADIENNES Julien Bilodeau, Franck Missonier-Piera, Igor Oliveira Dos Santos To cite this version: Julien Bilodeau, Franck
Plus en détailinter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen
inter Valoriser le plurilinguisme et l interculturalité en contexte éducatif européen Qu est-ce qu inter +? Présenté et sélectionné comme projet de partenariat stratégique scolaire dans le cadre de l appel
Plus en détailEXTRANET STUDENT. Qu'est ce que Claroline?
EXTRANET STUDENT http://extranet.arts2.be http://extranet.artsaucarre.be Les bases de l'utilisation de la plateforme Claroline, l'extranet d'arts² Qu'est ce que Claroline?... 1 Débuter... 2 Créer un compte...
Plus en détailInstitut des langues secondes Université d Ottawa
NOUVELLES PERSPECTIVES CANADIENNES PROPOSITION D UN CADRE COMMUN DE RÉFÉRENCE POUR LES LANGUES POUR LE CANADA Mai 2006 Laurens Vandergrift, PhD Institut des langues secondes Université d Ottawa Proposition
Plus en détailBABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS
Quatrième colloque hypermédias et apprentissages 275 BABEL LEXIS : UN SYSTÈME ÉVOLUTIF PERMETTANT LA CRÉATION, LE STOCKAGE ET LA CONSULTATION D OBJETS HYPERMÉDIAS Anne-Olivia LE CORNEC, Jean-Marc FARINONE,
Plus en détailPerspectives du développement de l énergie solaire en U.R.S.S. : conversion thermodynamique en électricité
Perspectives du développement de l énergie solaire en U.R.S.S. : conversion thermodynamique en électricité P.P. Aparissi, I.A. Malevsky, B.V. Tarnijevsky, V.K. Goucev, A.M. Karpenko To cite this version:
Plus en détailEditorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique?
Formation et pratiques d enseignement en questions Editorial : Le mémoire, un moyen pour penser sa pratique? Abdel-Jalil AKKARI 1, (HEP-BEJUNE) et Sylvain RUDAZ (IFMES) Elément structurel des nouvelles
Plus en détailLa vidéosurveillance à l école : du maintien de l ordre à l autodiscipline
La vidéosurveillance à l école : du maintien de l ordre à l autodiscipline Eric Heilmann To cite this version: Eric Heilmann. La vidéosurveillance à l école : du maintien de l ordre à l autodiscipline.
Plus en détailContenu disciplinaire (CK)
Compilation des suggestions apportées par les participants aux ateliers du Rendez-vous des conseillers pédagogiques Colloque de l AQPC 2013 Application technologique Trouver les causes, la biologie derrière
Plus en détailJRES 2005 : La mémorisation des mots de passe dans les navigateurs web modernes
JRES 2005 : La mémorisation des mots de passe dans les navigateurs web modernes Didier Chassignol, Frédéric Giquel To cite this version: Didier Chassignol, Frédéric Giquel. JRES 2005 : La mémorisation
Plus en détailUNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140
UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : 0202 Corps : Professeur des universités Article : 51 Chaire : Non Section 1 : 01-Droit privé et sciences
Plus en détailL'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:
L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent
Plus en détailUne discipline scolaire
Les éléments constitutifs d une discipline scolaire Selon Michel Develay, De l apprentissage à l enseignement, Paris ESF éditeur, 1992, 2004 6, p. 32, «une discipline scolaire peut être définie par objets
Plus en détailRapport : Base de données. Anthony Larcher 1
Rapport : Base de données Anthony Larcher 1 1 : Laboratoire d Informatique d Avignon - Université d Avignon Tél : +33 (0) 4 90 84 35 55 - Fax : + 33 (0) 4 90 84 35 01 anthony.larcher@univ-avignon.fr 14
Plus en détailDevenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation
Plus en détailPOLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE
POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE (Adoptée par le Conseil d administration lors de son assemblée régulière du 2 juin 2004) 1. PRINCIPE DIRECTEUR LE COLLÈGE, UN MILIEU
Plus en détailStages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France
Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement
Plus en détail