Journée de l industrie du 21 juin 2012, «Messezentrum» Zurich

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1 Embargo: , 15h00 Le texte prononcé fait foi. Journée de l industrie du 21 juin 2012, «Messezentrum» Zurich «Nouveaux marchés nouvelles chances» Discours d ouverture de Hans Hess, président de Swissmem Mesdames, Messieurs, Bienvenue à la Journée de l industrie 2012 intitulée «Nouveaux marchés nouvelles chances». En raison de la force du franc et de la situation conjoncturelle faible dans le monde entier, la situation de l industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux reste difficile. Nous en sommes tous biens conscients. La capacité de toujours pouvoir tirer le meilleur de la situation, de pouvoir s adapter aux conditions-cadres changeantes et de s orienter avec conséquence vers l avenir, est une des particularités de notre branche. Voici certainement les raisons principales qui permettent à l industrie MEM de toujours pouvoir s imposer avec succès en Suisse, également en période de crise actuelle. Contrairement au secteur secondaire dans de nombreux pays industrialisés traditionnels, l industrie MEM suisse reste un des piliers importants de l économie suisse. Elle génère pratiquement 10% du PIB, exporte 35% du total des produits vendus à l étranger et occupe plus de 330'000 personnes dans notre pays. J ai toujours plaisir à révéler ces faits. Ils soulignent l importance de l industrie. Il me semble que le public oublie parfois que la Suisse doit une grande partie de sa prospérité à l industrie d exportation. En même temps, ce succès oblige et n est pas du tout évident. Nous devons constamment lutter pour l obtenir. Je suis profondément persuadé que la Suisse a besoin d une industrie performante orientée vers l étranger. Le marché suisse n est pas assez grand pour nous contenter d y concentrer tous nos efforts. Nos entreprises dépendent du marché global. Ce marché global change constamment. La globalisation est un phénomène irrémédiable qui ne va pas s arrêter. Les Chinois m ont appris: «Fraternise avec ce que tu ne peux pas changer». Je suis donc de l avis que nos entreprises et notre pays doivent profiter des chances offertes par la globalisation et non essayer de l éviter. Nous ne devons à aucun prix être naïfs, mais faire preuve d intelligence. La globalisation est devenue le moteur de croissance le plus performant de notre époque. Vous le constatez, je suis un homme optimiste et m oriente de préférence vers les occasions apportées par les changements. Pour moi, les nouveaux marchés des pays BRIC et d autres pays émergents représentent en premier lieu des nouvelles chances. L objectif de cet après-midi consiste à éclairer ces

2 chances. Cependant, je n ai pas l intention de voir les choses en rose. Les chances ne sont pas sans risques non plus. Nous allons également parler aujourd hui de ces risques. Il est évident que les succès de l avenir dépendent tout d abord de l engagement des entreprises. Nous avons toutefois aussi besoin de la conscience de la politique et des partenaires sociaux que l industrie a besoin de bonnes conditions-cadres et de leur volonté à vouloir les rendre possibles. Ce n est qu à l aide de bonnes conditions-cadres que l industrie pourra s imposer avec succès dans cette concurrence globale fortement disputée, qu elle pourra assumer son rôle de pilier important pour l économie suisse. Fondamentalement, les conditions et perspectives pour l industrie MEM sont bonnes. La branche est bien positionnée et engagée dans des secteurs prometteurs. Bien des entreprises sont des leaders mondiaux dans leur segment du marché. Et pourtant, la branche doit constamment lutter face à une concurrence globale toujours plus performante. De plus, nous devons nous attendre à ce qu à court et moyen termes les marchés européens, destination de près de deux tiers des exportations, ne vont croître que faiblement, voire pas du tout. Sachant que les conditions sur le marché principal se détériorent, un entrepreneur doit tout faire pour trouver des solutions. Celles-ci peuvent être des solutions de nature interne obtenues grâce à une diversification de la gamme de produits. Une autre possibilité consiste à évaluer des possibilités d engagements dans des débouchés d autres régions. La Journée de l industrie d aujourd hui nous donne l occasion de nous orienter vers l extérieur. Je me réjouis que nous ayons réussi à inviter des orateurs et interlocuteurs renommés qui vont échanger avec nous dans les prochaines heures leurs idées sur un sujet intéressant intitulé «Nouveaux marchés nouvelles chances». Permettez-moi de parler en quelques minutes de certaines chances et des risques qui accompagnent un engagement dans des nouveaux marchés. Je commence par les chances: «Chance n 1: potentiels de croissance dans les marchés émergents» Pas besoin de réfléchir trop pour trouver des nouveaux marchés de croissance. La dynamique de croissance énorme en Chine et en Inde est bien connue. Un jour ou l autre, la Chine va prendre la tête dans le classement des économies les plus puissantes du monde. Avec un léger retard, l Inde aspire également à une position de pointe dans ce classement. D autres pays comme le Brésil, la Russie, l Afrique du Sud, la Turquie, le Vietnam, l Indonésie, la Malaisie sont également sur cette voie. Toujours plus de personnes dans ces pays appartiennent à la classe moyenne et deviennent par conséquent des consommateurs toujours plus importants de produits ou services locaux ou internationaux. La statistique sur les exportations des dix dernières années prouve que ceci n est pas nouveau pour l industrie MEM. Les exportations vers les pays BRIC affichent une croissance remarquable. Elles ont augmenté de 75% vers le Brésil, de 88% vers l Afrique du Sud, de 141% vers l Inde, de 172% vers la Russie et même d incroyables 284% vers la Chine. Par rapport à cela, le total des exportations de la branche n a progressé que de 18,3%. La part des exportations de l industrie MEM vers les pays BRIC a passé dans une décennie de 4,5% à 11,5%. Bien entendu, cette progression ne s est pas faite de manière linéaire. Nous avons enregistré un véritable écroulement en Les Pays BRIC et de nombreux autres marchés de croissance possèdent un énorme potentiel économique qui n est encore de loin pas exploité. Il va de soi que ce potentiel contient d énormes chances pour l industrie MEM suisse. Si nous voulons participer à cette croissance, alors nous devons nous aventurer vers ces marchés émergents. Page 2

3 «Chance n 2 : présence locale dans les marchés de croissance» Pendant de nombreuses décennies, les entreprises industrielles suisses ont exporté avec succès leurs produits et services dans ces marchés de croissance. L image traditionnelle d une entreprise qui fabrique ses produits en Suisse et les exporte, ne correspond souvent plus à la réalité. De nombreuses entreprises sont présentes sur ces marchés non seulement par le biais d organisations de vente et de service, mais également par l intermédiaire de filiales d achats ou de sites de production. La compétitivité d une entreprise et d un pays est toujours plus mesurée dans un contexte global. Dans un monde toujours plus globalisé, les entreprises doivent profiter, outre du débouché, également des avantages de l emplacement dans ces pays. Ceux-ci sont l achat de matières premières et de produits semi-finis, les faibles charges salariales et la disponibilité élevée de la main-d œuvre. Aujourd hui, ce ne sont plus exclusivement les grands groupes qui investissent directement dans leurs marchés d exportation, mais également des entreprises de taille moyenne et des PME plus importantes. Elles sont présentes sur place au moyen de différentes fonctions commerciales. Mais ce ne sont pas seulement les avantages de l emplacement qui justifient de tels investissements dans les marchés d exportation. Beaucoup de clients s attendent à ce que leurs fournisseurs se trouvent à proximité afin de pouvoir suivre le rythme élevé imposé dans ces pays. La vitesse d évolution dans ces marchés est ahurissante. Il faut s en rendre compte sur place pour en être véritablement conscient. De plus, de nombreuses autorités locales s attendent à ce qu une part de la valeur ajoutée ait lieu dans le pays même, afin de donner du travail et un salaire à leurs habitants. Donc, la globalisation croissante a entraîné aussi une bataille globale pour ne pas parler de guerre pour les places économiques. Compte tenu de cette évolution, il ne sert à rien de s isoler. Si elles tiennent à rester compétitives à long terme, les entreprises suisses doivent apprendre à profiter des avantages des marchés à l extérieur de la Suisse. Nous devons être conscients que les chiffres d exportation suisses ne reflètent aujourd hui plus qu une partie de la vérité industrielle de notre branche. Les activités des entreprises suisses à l étranger sont toutes aussi importantes pour le succès que celles en Suisse. «Chance n 3: ouverture de la Suisse» L ouverture est une qualité extraordinaire des Suisses. Cette ouverture a plusieurs dimensions. L ouverture d esprit permet des découvertes, ce qui est une condition fondamentale pour la force innovatrice de la Suisse. Cette ouverture d esprit nous permet de nous adapter à des nouvelles cultures, mentalités et conditions-cadres. Les entreprises suisses possèdent une longue tradition d exportation. Et leur expérience est riche lorsqu il est question de prendre pied sur un nouveau marché. Cette expérience est une grande chance pour les entreprises qui n ont pas encore eu le courage de faire ce pas. Elles peuvent en profiter. Outre l ouverture d esprit, l ouverture institutionnelle joue un rôle important. Tous les efforts des entreprises de vouloir apprendre et s adapter ne servent à rien si l accès au marché est bloqué. Le libre accès aux marchés d acquisition et d exportation est une condition fondamentale institutionnelle. Il existe aujourd hui encore beaucoup trop de barrières douanières et autres obstacles au commerce perturbant le commerce avec ces pays émergents. Ils perturbent directement les chances commerciales des exportateurs suisses. Etant donné que les négociations avec l OMC ne progressent pas, la ratification de nouveaux accords sur le libre-échange justement avec les pays BRIC est de très grande importance Page 3

4 pour l industrie suisse. Ce n est qu à l aide de tels accords que nos entreprises ont la possibilité de concurrencer à armes égales les marchés cibles. En résumé, les trois chances que je viens d exposer offrent d excellentes conditions pour des activités de l industrie suisse couronnées de succès dans les nouveaux marchés de croissance. Voici le côté brillant de la médaille. Tournons maintenant cette médaille et consacrons quelques minutes aux risques d un tel engagement. Ils ne sont pas insignifiants. «Risque n 1: sous-estimation de la complexité de la tâche» Bien des entreprises ont déjà fait l expérience de ce que signifie prendre pied dans des marchés comme la Brésil, la Russie, l Inde, la Chine ou l Afrique du Sud. Souvent le chemin est plus long, plus difficile et plus coûteux qu attendu. Une partie des entreprises a échoué et s est à nouveau retirée de ces marchés. Il ne faut pas sous-estimer les risques et difficultés d une expansion dans de nouveaux marchés. Ceci débute déjà avec la mentalité des gens. Les habitudes commerciales dans les «Emerging Markets» sont souvent complètement différentes et plus compliquées qu en Europe. Des accords ou même des contrats n ont par exemple pas toujours le même caractère impératif que chez nous. Mais également les besoins des clients dans les marchés de croissance sont souvent différents que dans les pays industrialisés. Beaucoup trop d entreprises pensent pouvoir vendre les mêmes produits ou services dans les marchés de croissance et les pays industrialisés. Ceci est souvent la raison pour laquelle elles n arrivent à s imposer que dans une petite partie de ces marchés. Dans de nombreux secteurs, il est important d adapter la fonctionnalité, le service et le prix aux conditions des marchés de croissance. Les grands groupes internationaux l ont reconnu depuis longtemps déjà. Mais des entreprises suisses de taille moyenne ont également la possibilité de suivre cette voie avec succès. Je ne veux cependant pas cacher que les PME ont bien plus de difficultés et prennent des risques bien plus élevés que des grandes entreprises. Je recommande à une PME qui envisage de faire un premier pas dans un de ces marchés de croissance de se laisser conseiller avant de se lancer dans le bain. Swissmem offre ce genre de premier conseil. La Confédération soutient également les PME via l OSEC. Sans oublier la SERV. Elle aide à porter les risques liés aux affaires d exportation. La question qui se pose est de savoir si les offres d encouragement à l exportation et de couverture des crédits ne devraient pas à l avenir être transformées en un «encouragement de l internationalisation» général. Je pense personnellement que ceci va être indispensable à l avenir étant donné que les entreprises doivent faire toujours plus que simplement exporter. Il en est de même pour les PME. «Risque n 2: perte de savoir-faire» Si une entreprise transfère une partie de son développement de produits et de sa production dans un pays BRIC, elle transfère automatiquement aussi les technologies et le savoir-faire correspondants. Souvent, ce transfert de savoir-faire fait partie de la stratégie politique des pays récepteurs étant donné qu ils en ont un besoin urgent pour trouver des solutions à leurs problèmes. Songez seulement aux thèmes de l énergie, de l environnement, de l eau, du trafic et des denrées alimentaires. Tout le monde le sait : une partie du savoir-faire transféré est copié sans scrupules dans ces pays. Le danger de perdre sa propriété intellectuelle à un concurrent est donc réel, un facteur dont il faut toujours être conscient. Il ne faut pas nier que la globalisation a également généré une concurrence intellectuelle globale. Page 4

5 Bien que la protection juridique de la propriété intellectuelle ne cesse de s améliorer dans ces pays, elle se situe encore à un niveau nettement inférieur à celle des pays industrialisés. Il s agit donc, à cet égard, d être attentif et malin! «Risque n 3: les pays BRIC sont également en voie d expansion» Nous devons savoir que les hommes et entreprises des pays émergents sont tout aussi intelligents que nous. Et ils apprennent rapidement. Tôt ou tard, la différence technologique et infrastructurelle va disparaitre. Les entreprises des pays BRIC vont toujours plus être en mesure de fabriquer des produits tout aussi performants que nous, voire meilleurs. Ces fabricants locaux ne vont pas se contenter de desservir uniquement leur pays. Ils vont également tenter de prendre pied dans des nouveaux marchés également en Europe et en Suisse. Donc, pour nos entreprises s ouvrent non seulement des marchés de croissance intéressants, mais la concurrence va encore augmenter à l avenir tant à l étranger qu en Suisse. Si l on met dans la balance les chances et les risques, alors nous constatons qu il en résulte certaines tensions desquelles j aimerais encore brièvement parler. Il est évident que l accès à des nouveaux marchés ne va pas seulement dans un sens qui garantit le succès. Le succès économique dans les pays BRIC a son prix. «Tension n 1: places de travail» La question des places de travail provoque la première tension. Les annonces de délocalisation d emplois entraînent toujours des protestations dans le pays concerné. Ceci est compréhensible. La décision d une délocalisation n est facile pour personne. Une telle mesure est en règle générale préparée avec beaucoup de soins. Finalement, ce ne sont que les entreprises saines et compétitives qui peuvent garantir et créer des emplois. Si des entreprises transfèrent de la valeur ajoutée générée majoritairement avec du travail manuel, elles augmentent leur compétitivité. Plus elles sont compétitives, plus elles peuvent croître, plus elles peuvent investir et donc créer des emplois également en Suisse. Le fait de s établir dans un nouveau marché ne signifie pas a priori une perte d emplois en Suisse. Les sites principaux en Suisse en profitent également. Il suffit de consulter les chiffres pour s en convaincre. Au total, l industrie MEM suisse occupe dans le monde entier quelque 830'000 personnes dont presque 500'000 à l étranger et 330'000 en Suisse. La création de places de travail à l étranger n a rien à voir avec une élimination d emplois en Suisse. Au cours des dix dernières années, le nombre de salariés a même légèrement augmenté en Suisse. Les emplois à l étranger ne concurrencent donc que de manière relative les 330'000 emplois en Suisse. Au contraire, ils assurent le maintien de places de travail en Suisse. «Tension n 2: transfert de savoir-faire» Le transfert de savoir-faire constitue une tension supplémentaire. Dès que les entreprises transfèrent des capacités de production à l étranger, elles transfèrent également du savoir-faire dans un nouvel emplacement. Il est important que les entreprises gèrent soigneusement leur savoir qui leur permet d avoir des avantages face à leur concurrence. Un autre élément est que toujours plus d investisseurs venant de marchés émergents achètent des entreprises en Suisse dans le but de s assurer leur savoirfaire. Ceci est la conséquence de la concurrence globalisée dont la Suisse a jusqu à présent beaucoup Page 5

6 profité grâce à son économie ouverte. Nous devrions faire preuve d ouverture non seulement face à la reprise d entreprises à l étranger par des sociétés suisses, mais également face à la reprise d entreprises suisses par des investisseurs étrangers. «Tension n 3 : le libre-échange» Les accords de libre-échange permettent aux exportateurs suisses de concurrencer les acteurs locaux à armes égales sur les marchés étrangers. Les accords de libre-échange nous permettent d améliorer d un coup notre position commerciale et d ouvrir des nouvelles possibilités de croissance en particulier si nous réussissons à conclure de tels accords avant l UE ou d autres concurrents. Il ne faut cependant pas oublier que ceci est un double jeu. Nous devons octroyer le même libre-accès à nos partenaires contractuels également sur notre marché. Ceci serait aussi la fin du protectionnisme. Bien des gens en Suisse le craignent. Actuellement, nous construisons nous-mêmes l obstacle le plus important pour le libre-échange. La protection de l agriculture en Suisse empêche la ratification de nouveaux ou meilleurs accords de libre-échange. Les coûts économiques de la politique agricole actuelle sous forme d occasions manquées, de places de travail non créées et donc de prospérité perdue, sont énormes. Les expériences faites dans le cadre des accords bilatéraux avec l UE, garantissant le libre accès aux marchés européens, ont clairement démontré que les avantages du libre-échange dominent. Une peur exagérée n est pas adéquate. En effet, pour de nombreuses entreprises des pays BRIC, la Suisse ne représente qu un marché insignifiant, tout juste de la taille d une ville chinoise moyenne. Au contraire, les marchés des pays BRIC offrent aux entreprises suisses d énormes possibilités de croissance. Ceci permet de créer des emplois également en Suisse. «Conclusion» J aimerais terminer par les conclusions suivantes : si nous exploitons nos qualités avec adresse concrètement en exploitant l esprit d entreprise suisse cosmopolite, notre excellente force innovatrice, la présence de spécialistes hautement qualifiés et les bonnes conditions-cadres alors les chances offertes par les marchés de croissance sont bien plus nombreuses que les risques. L isolement ne peut en aucun cas être la réponse aux risques. La voie du protectionnisme chasserait définitivement les places de travail de l industrie à l étranger. La reconnaissance de l ouverture et l accès à des nouveaux marchés obligent les entreprises à conserver leurs qualités d adaptation, d innovation et donc à rester compétitives. Ceci implique de devoir suivre l évolution structurelle permanente qui peut aussi demander beaucoup de sacrifices. Mais en fin de compte, ce ne sont que les entreprises compétitives qui peuvent créer des emplois et donc de la prospérité. Sur cette voie, l industrie a besoin du soutien de la politique et des partenaires sociaux. Un grand nombre de décisions qui vont influencer directement ou indirectement la compétitivité de l industrie MEM suisse se trouvent sur l agenda de la législature Afin de ne pas compromettre les perspectives fondamentalement bonnes pour l industrie MEM, il est impératif d éviter toutes nouvelles réglementations ou charges supplémentaires pour l industrie. Je pense par exemple à l augmentation artificielle et simpliste des prix de l énergie ou du report des coûts insupportables des assurances sociales sur les entreprises et la population active. Page 6

7 L accès aux marchés mondiaux les plus importants, des relations ordonnées avec l Union européenne, un soutien optimal des activités d innovation permanentes, des bonnes possibilités de financement pour notre économie de taille moyenne ainsi que la stabilité sociale à des coûts raisonnables pour la Suisse, sont les conditions indispensables pour une économie prospère et qui soutient l industrie d exportation. Dans l intérêt de l industrie, qui devra à l avenir encore générer de la valeur ajoutée au bénéfice de la Suisse, créer des places de travail et exporter avec succès ses produits, il est hors de question de dégrader les conditions-cadres actuelles. Si cela reste garanti, alors je reste un homme optimiste. Je me réjouis d écouter les exposés suivants consacrés à notre thème «Nouveaux marchés nouvelles chances». Je vous remercie de votre attention. Zurich, le 21 juin 2012 Informations supplémentaires: Communication Swissmem Kirchenweg 4 CH-8032 Zurich Tél. 044 / Fax 044 / presse@swissmem.ch Page 7

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