Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi
|
|
- Melanie Beaupré
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi l i 1
2 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire interaction entre molécules complémentaires - médiateurs solubles (hormones, neurotransmetteurs, médiateurs lipidiques, cytokines, ) Les cytokines : - glycoprotéines de faible poids moléculaire (8 à 70 kda) produites par de très nombreux types cellulaires - elles permettent un dialogue entre cellules, régulant des fonctions biologiques extrêmement variées (prolifération, différenciation, activation, survie ou mort cellulaire) - elles sont impliquées dans : l inflammation la réponse immunitaire (innée et spécifique) l hématopoïèse
3 Dénomination des cytokines Cytokines = ensemble hétérogène de molécules Interleukines : IL-1, IL-35 Interférons : IFN-, IFN-, IFN, Tumor Necrosis Factor : TNF- TNF- Facteurs de croissance de transformation : TGF-, TGF- Facteur de croissance hématopoïétique : CSF Chimiokines : CCL ou CXCL
4 Propriétés générales des cytokines inhibition stimulant Les cytokines sont synthétisées par une cellule activée et se lient à des récepteurs membranaires spécifiques. inhibition inhibition cytokines Nécessité é d un contrôle efficace de l activité biologique des cytokines afin de limiter leurs effets dans le temps et dans l espace. inhibition récepteur Une même cytokine peut être produite par plusieurs types cellulaires Une même cellule l peut produire différentes cytokines Activité comprise entre le nanomole et le picomole. Effets biologiques
5 Propriétés générales des cytokines Signal activateur Action AUTOCRINE Signal activateur Action PARACRINE Cellule voisine Signal activateur vaisseau sanguin Ati Action ENDOCRINE Cellule distante
6 Propriétés générales des cytokines Pléiotropie Une même cytokine peut avoir plusieurs effets. Expl : IL 4 cellule B activation prolifération différenciation T cellule T activée thymocyte mastocyte t prolifération prolifération Cellules cibles Effets
7 Propriétés générales des cytokines Redondance Un même effet peut être obtenu par différentes cytokines se fixant chacune sur leur récepteur spécifique. IL 2 IL 4 Prolifération IL 5 cellule B
8 Propriétés générales des cytokines Antagonisme Expl : IL 4 T IgE cellule T activée IFN cellule B L IFN inhibe la production d IgE induite par l IL 4.
9 Propriétés générales des cytokines Activité en cascade La plupart des cytokines entrainent des réactions en cascade en induisant la production d une autre cytokine par les cellules cibles. Expl : IFN IL 12 T cellule T activée macrophage cellule cible
10 Propriétés générales des cytokines Activité en cascade et en réseau. TGF IL 10 IL 4 IL 13 LPS TNF IL 3 GM CSF IFN IFN PDGF IL 1 IL 6
11 Récepteurs des cytokines Les récepteurs de cytokines peuvent être classés en famille selon la présence de motifs communs dans leur structure primaire. G-CSF-R gp130 IL-6-R IL-2-R IL-2-R IL-4-R IL-3-R IL-5-R GM-CSF EPO-R TNF-R NGF-R CD40 CD27 IFN -R IFN / -R IL-1-R M-CSF-R PDGF-R CCR Récepteurs des Récepteurs Récepteurs des Récepteurs de la Récepteurs des hématopoïétines des TNF interférons superfamille des Ig chimiokines
12 Récepteurs des hématopoïétines Famille comprenant le plus grand nombre de membres. Structure : La partie extra-cellulaire comprend deux domaines : - l un avec 4 résidus Cys dont la position est très conservée, - l autre avec un motif W-S-X-W-S. W S La partie intra-cytoplasmique est de longueur variable sans activité tyrosine kinase intrinsèque. (100 AA) (100 AA) (13 à 577 AA) Nter 4 Cystéines Motif tifwsxws (Trp Ser X Trp Ser) pas d activité tyrosine kinase intrinsèque
13 Signalisation des récepteurs des hématopoïétines 1. Fixation de la cytokine Jak Jak 2. Oligomérisation des récepteurs et association avec les tyrosines kinases cytoplasmiques JAK P Jak Jak P 3. Phosphorylation des JAK SOCS P Jak P STAT STAT P STAT P Jak P P STAT 4. Phosphorylation des protéines STAT cytoplasmiques par les JAK activées 5. Homodimérisation ou hétérodimérisation des STAT Régulation possible de le transmission du signal par contrôle retroactif négatif : les STAT peuvent induire l expression lexpression de protéines SOCS qui vont rentrer en compétition avec les STAT et avoir un effet régulateur négatif. 6. Translocation dans le noyau et activation de la transcription ti JAK = Janus Kinase (4 membres JAK1, JAK2, JAK3 et Tyk2) STAT = Signal Transducers and Activators of Transcription (6membres : STAT1 à STAT6) SOCS = Suppressor Of Cytokine Signaling
14 Composition multimérique des récepteurs des hématopoïétines A l exception de certains récepteurs formant des homodimères, les récepteurs de cytokines sontcomposés de 2 ou 3 chaînes distinctes : une chaîne qui assure la spécificité vis à vis du ligand, une ou deux chaînes ( et ) ) qui s associent au complexe chaine + cytokine pour former un récepteur de haute affinité et transmettre le signal. chaîne (CD25) membrane cellulaire IL-2 Chaîne extérieur intérieur chaîne Transduction du signal
15 Composition multimérique des récepteurs des hématopoïétines Différents récepteurs peuvent partager une chaîne commune (expliquant ainsi la redondance fonctionnelle des cytokines). Expl : Les récepteurs de l IL 2, IL 4, IL 7, IL 7, IL 9 et IL 15 partagent une ou deux chaînes. Pour tous ces récepteurs, la chaîne, spécifique de la cytokine, est associée à la chaîne du récepteur de l IL 2, appelée «chaine commune ( c)». IL-2 IL-4 IL-7 Extérieur Intérieur IL-2-R IL-2-R IL-2-R IL-4-R IL-2-R IL-7-R IL-2-R Des mutation du gène codant la chaîne c sont responsables de déficits immunitaires sévères X SCID (X linked Severe Combined ImmunoDeficiency) caractérisés par une absence de cellule T (IL 7), de cellules NK matures (IL 15), et la présence de B déficients fonctionnellement (IL 4) IL-15 IL-15-R IL-2-R IL-2-R
16 Composition multimérique des récepteurs des hématopoïétines Un moyen de réguler la réponse à une cytokine est de réguler l expression d au moins une chaîne du récepteur fonctionnel. Récepteur de faible affinité de l IL 2 IL 2R T4 IL 2R IL 2 Récepteur de haute affinité de l IL 2 IL 2R L activation du LT par l Ag entraîne : T4 l expression de la chaîne du récepteur de l IL 2 lil2 à la membrane qui s associe alors aux chaînes et pour former le récepteur de haute affinité de l IL 2, TCR CD4 Au repos, les lymphocytes T (LT) n expriment que ele récepteur de faible affinité de l IL 2 (formé des chaînes et ) peptide antigénique CHM classe II Cellule dendritique la synthèse d IL 2 qui induit la prolifération uniquement des LT activés.
17 RECEPTEURS SOLUBLES Des formes solubles ont été mises en évidence pour la majorité des récepteurs de cytokine, permettant alors une régulation des activités ités biologiques i de leurs ligands. Elles résultent : - soit d un clivage protéolytique des formes membranaires, - soit d épissage alternatif des ARNm. Elles conservent la capacité de se lier spécifiquement à leur cytokine, avec cependant une affinité légèrement inférieure à celle de la forme membranaire. Pas de consensus général sur leur rôle physiologique : - fonction antagoniste du récepteur : empêche la cytokine de se fixer sur le récepteur membranaire, - rôle «carrier», protecteur : protège la cytokine d une dégradation protéolytique.
18 quelques exemples de régulation de l action des cytokines : IL 1 IL 1ra stnf R IL 1 R IL 1Ra : antagoniste de l IL 1R L IL 1Ra se lie eu récepteur de l IL 1 sans induire de transduction du signal. Il bloque ainsi, par compétition pour le même récepteur, l action de l IL 1. macrophage TNF TNF R stnf R : récepteur soluble du TNF A faible concentration, le stfn R protège la cytokine de la dégradation. A forte concentration, le stnf R à un effet antagoniste avec le récepteur membranaire, limitant l action de la cytokine dans le temps et dans l espace. IL 6R (chaîne ) gp130 IL 6 IL 6Rs Activation i Activation i Blocage gp130 s sil 6R : récepteur de l IL 6 soluble 1 Le récepteur fonctionnel de l IL 6 est composé d une chaîne (spécificité) associée à deux chaînes gp130 (signalisation). 2 En se combinant à son ligand, le sil 6R peut induire un signal à toutes cellules exprimant des gp130 membranaires. 3 Rôle antagoniste du complexe sil 6R + gp130 soluble qui entre en compétition avec le récepteur membranaire.
19 Récepteurs des TNF (Tumor necrosis factor) Famille comprenant plus d une 20aine de récepteurs, mais également un certain nombre de molécule comme le CD40 TNF TNF Structure : récepteurs homotrimériques membranaires ou solubles TNF R1 CD120a TNF R2 CD120b Sous groupe : o les Récepteurs de Mort (Death Receptor) : 6 membres dont les récepteurs du FasL, du TNF (TNF RI), de TRAIL peuvent induire l apoptose des cellules après fixation de leur ligand spécifique : leur partie intra cellulaire comprend un FADD DD TRAF2 motif appelé Death Domaine (DD) permettant la transduction du signal conduisant à l activation de caspases. o D autres récepteurs (expl : TNF RII) possèdent dans leur partie intra cellulaire un motif permettant le recrutement des protéines adaptatrices de type TRAF permettant la transduction du signalconduisant à l activation du facteur de transcription NF B. caspase 8 Apoptose NF B Activation
20 Les chimiokines Les chiomokines sont de petites molécules : 8 à 12 kda Structure des chimiokines La famille des chimiokines se subdivisent en sous groupes ayant des caractéristiques communes : locus 4q21 21 structurales (nombres de cystéines conservées (C), nombre d acides aminées (X) compris entre la 1 ère et la 2 ème cystéine), locus 17q locus 1q23 génomique (localisation chromosomique). NH2 COOH feuillet feuillet feuillet hélice locus 16q13
21 Les chimiokines et leurs récepteurs Une chimiokine donnée peut lier différents récepteurs. Différentes chimiokines peuvent lier un même récepteur («récepteur partagé»). chimiokines CC Les «récepteurs spécifiques» ne lient qu une seule cytokine (seuls 4 récepteurs décrits à ce jour). chimiokines CXXXC chimiokines CXC
22 Les récepteurs de chimiokines Les récepteurs de chimiokines sont des RCPG : NH2 7 hélices trans membranaires G G G Récepteurs p à 7 domaines transmembranaires Couplés à une Protéine G pour la transduction du signal. COOH Un rôle important des chimiokines est leur capacité à induire le chimiotactisme de leucocytes (migration des cellules selon un gradient de chimiokines). Les chimiokines sont également impliquées pq dans : exocytose des granules intracytoplasmiques (dégranulation) production de cytokines, prolifération maturation et différentiation T organogénèse angiogénèse chimiokine chimiotactisme
23 Modulation de l expression du récepteur de chimiokine : Internalisation du récepteur après interaction avec son ligand : diminution de son expression à la surface des cellules («desensibilisation») ce mécanisme joue notamment un rôle dans la rétention des cellules du système immunitaire au sein des organes lymphoïdes ou des sites d inflammation. L activation cellulaire ou encore l interaction des cellules avec certaines cytokines peuvent augmenter ou diminuer l expression des récepteurs à la membrane. chimiokine internalisation recyclage vésicule endosomale neosynthèse activation cellulaire dégradationd
24 Les cytokines sont une famille de messagers intercellulaires impliqués dans : - l inflammation (cf. cours immunité innée) - la réponse immunitaire (plusieurs expl seront donnés dans les cours sur la coopération cellulaire et les réponses effectrices humorales et cellulaires, ) - l hématopoïèse.
25 Cytokines et différenciation des progéniteurs hématopoïétiques Hématopoïèse : maintient de la formule sanguine, répondre rapidement et de façon contrôlée aux situations d urgence, telle qu une infection sévère au cours de laquelle le nombre de globules blancs peut augmenter de façon significative. Ce phénomène résulte de l effet de cytokines produites par les lymphocytes T activées (IL 3, GM CSF, IL 5, IL 6 ) ou encore par les macrophages, les cellules endothéliales ou les fibroblastes (G SCF, M SCF, IL 6 ). IL 7 Lymphocyte Mégacaryocyte IL 3 IL 6 EPO GM CSF Plaquette Erythroblaste IL 3 EPO Erythrocyte Cellule souche Promyélocyte Monoblaste IL 1, IL 3 IL 4, IL 6 GM CSF G CSF IL 3, IL 4 M CSF GM CSF IL 6 IL 5 IL 3 GM CSF G CSF Eosinophile Basophile Neutrophile hl Monocyte
PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II
Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailCOUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux
COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES. MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT
MINISTERE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la vie et de la terre MEMOIRE Présenté par Caroline FLAMENT Pour l obtention du diplôme de l Ecole Pratique des Hautes Etudes
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailSéquence 10. Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire. Sommaire
Séquence 10 Le maintien de l intégrité de l organisme : quelques aspects de la réaction immunitaire Sommaire Chapitre 1. Pré-requis Chapitre 2. La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée Chapitre
Plus en détailObserver : l'absence de noyau des hématies la petite taille des plaquettes la forme et la taille des noyaux (leucocytes) ACTIVITES ELEVES TS
4.1 La réaction inflammatoire, un exemple de réponse innée 4.1.1 Les cellules de défense au microscope optique : Par l'observation d'une goutte de sang humain au microscope, repérer chaque type de cellule
Plus en détailLA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte
LA MALADIE DE WALDENSTRÖM expliquée au néophyte Comment comprendre sa maladie de Waldenström lorsque l'on est ni médecin, ni biologiste? Bernard Cornillon, biochimiste à l'inserm, a rédigé ce document
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailUniversité Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de
Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects
Plus en détailinterféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques
Le mécanisme m d action d et les effets de l interfl interféron ron β 1a dans le traitement des formes rémittentes de sclérose en plaques Présentation du domaine de terminologie Fanny Jarnet Le 13 avril
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailImpact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique
Université de Montréal Impact de la maladie du greffon contre l hôte sur la reconstitution immunitaire suite à une greffe de moelle osseuse allogénique par Simon-David Gauthier Département de Microbiologie
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailContact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr
AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle
Plus en détailMINISTERE DE LA JEUNESSE, DE L'EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE. ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la Vie et de la Terre MEMOIRE
MINISTERE DE LA JEUNESSE, DE L'EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE ECOLE PRATIQUE DES HAUTES ETUDES Science de la Vie et de la Terre MEMOIRE Présenté par Aurélie CHALON Pour l obtention du diplôme de
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailM. Fabrice SCHNEIDER
THÈSE DE DOCTORAT ECOLE DOCTORALE SCIENCES DE LA VIE ET DE LA SANTE Spécialité PHARMACOLOGIE ET BIOTHÉRAPIES Présentée par M. Fabrice SCHNEIDER NÉ LE 24 JUIN 1971 à La Ferté-Bernard Soutenue le Novembre
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailIdentification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I
Identification de mécanismes de régulation des fonctions des interférons: Rôle de la palmitoylation du récepteur de l interféron de type I Julie Claudinon To cite this version: Julie Claudinon. Identification
Plus en détailContrôle et modulation de la réponse immunitaire par Brucella abortus
AIX-MARSEILLE UNIVERSITE Faculté des sciences de Luminy Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE DE DOCTORAT Biologie - Spécialité : Immunologie En vue d'obtenir le titre de DOCTEUR
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailLES CORTICOÏDES EN MEDECINE VETERINAIRE
1 ECOLE NATIONALE DE MEDECINE VETERINAIRE SIDI THABET Année 2014-2015 LES CORTICOÏDES EN MEDECINE VETERINAIRE PHARMACIE & TOXICOLOGIE Pr Agrégé Samir BEN YOUSSEF Dr Jamel BELGUITH Dr Rim HADIJI 2 LES CORTICOIDES
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailCellules souches hématopoïétiques
Cellules souches hématopoïétiques Pr Bernard Klein INSERM-UM1 U1040: BIOTHERAPY OF NORMAL AND CANCER STEM CELLS INSTITUTE FOR RESEARCH IN BIOTHERAPY http://irb.chu-montpellier.fr Hématopoïèse! Plaquettes
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailTARIK FAREZ FACULTE DE MEDECINE UNIVERSITÉ LAVAL QUÉBEC DÉPARTEMENT DES SCIENCES HUMAINES UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI SAGUENAY
TARIK FAREZ IMPACT DE L'INTERFERON GAMMA SUR LA PRODUCTION DE LA KÉRATINE 15 DANS LES KÉRATINOCYTES ISOLÉS DE LA PEAU DE PATIENTS ATTEINTS D'ÉPIDERMOLYSE BULLEUSE SIMPLEX Mémoire présenté à la Faculté
Plus en détailSIDA, limites et perspectives de la trithérapie.
PSIR SEPA (2014) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) SIDA, limites et perspectives de la trithérapie. E. Bouissière, A. Lesebos, A. Rouillé, M. Sanson, M. Collette* Groupe esaip 18 rue
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLes interférons de type I et leur fonction antivirale
Manuscrit déposé le 09/01/2006 Ann. Méd. Vét., 2006, 150, 73-107 formation continue - articles de synthèse Les interférons de type I et leur fonction antivirale LEROY M., DESMECHT D. Département de Morphologie
Plus en détailTHÈSE. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Leïla Périé. le 14/10/2009
THÈSE pour obtenir le grade de Docteur de l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (Agro Paris Tech) Spécialité : Immunologie présentée et soutenue publiquement par Leïla Périé
Plus en détailTransplantation de cellules souches du sang
Transplantation de cellules souches du sang Rapport d Immersion en communauté NICOLAS BRANDT-DIT-GRIEURIN DAMIEN POLET PHILIPPE REYMOND EHTESHAM SHAMSHER Sous la supervision de : Mme L. Soguel Prof. C.
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailEnseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours
Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2009-2010 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailOptimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels
Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Mokhtar GHARBI Professeur encadrant : Vincent RODIN CERV : Centre Européen de Réalité Virtuelle EA 3883 EBV Ecosystémique et Biologie Virtuelles
Plus en détailLE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer
LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent
Plus en détailLA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE
ANNEE 2006 THESE : 06 TOU 3 4103 LA STOMATITE LYMPHOPLASMOCYTAIRE FELINE MECANISMES IMMUNOPATHOLOGIQUES ET APPLICATIONS THERAPEUTIQUES THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailUniversite de Montreal. Par. Daniel Rajotte. Programme de biologie moleculaire. Faculte des etudes superieures
Universite de Montreal ETUDE SUR LA SIGNALISATION INTRACELLULAIRE ET LA RELATION STRUCTURE FONCTION DU RECEPTEUR POUR LE GM-CSF Par Daniel Rajotte Programme de biologie moleculaire Faculte des etudes superieures
Plus en détailTHERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011
THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailMODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES
MODULE DE VIROLOGIE 2010 IMMUNITE INNEE ANTIVIRALE CHEZ LES VERTEBRES Marc DALOD CIML Téléphone 04-91-26-94-51 email: dalod@ciml.univ-mrs.fr INTRODUCTION BRAINSTORMING PAR PETITS GROUPES (10 MIN) 1) Qu
Plus en détailGlossaire de la LMC et abréviations
Glossaire de la LMC et abréviations Richard Rockefeller, MD. Updated in 2008 by the CML Society of Canada. INTRODUCTION: Vous trouverez dans ce document des termes liés spécifiquement à la LMC, ainsi que
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailContrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles
Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le
Plus en détailLES INHIBITEURS DE KINASES
LES INHIBITEURS DE KINASES Alain SARAUX Objectifs pédagogiques Comprendre les mécanismes essentiels de l'activation cellulaire Savoir ce qu est une kinase et connaître la notion de kinome Savoir les indications
Plus en détailPsoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique
Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique Printemps médical de Bourgogne 21 mars 2015 Jean Friedel dermatologie-vénéréologie Chalon-sur-Saône Observation n 1 Un homme de 44 ans 23/12/2014 : psoriasis
Plus en détailCAHIER DE N 35 2005. L'inflammation
CAHIER DE N 35 2005 Biologie médicale L'inflammation Chère Consœur, Cher Confrère, Il est important aujourd hui pour moi de rendre un hommage particulier aux auteurs de ces Cahiers de formation que nous
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailI. L asthme atopique
L allergie est la manifestation clinique d une réponse immune exagérée, impliquant la production d immunoglobulines de type E (IgE), à l encontre d un antigène normalement inoffensif {Cohn, 2004 #1}. En
Plus en détailLe Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.
MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,
Plus en détailLES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT
ÉCOLE NATIONALE VETERINAIRE D ALFORT Année 2010 LES LEUCEMIES DU CHAT ET DU CHIEN : CLASSIFICATION, DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT THESE Pour le DOCTORAT VETERINAIRE Présentée et soutenue publiquement devant
Plus en détailStress, système immunitaire et maladies infectieuses
Stress, système immunitaire et maladies infectieuses 1 TABLE DES MATIERES 1 LE STRESS... 4 HISTORIQUE... 4 DEFINITION... 4 DIFFERENTIATIONS... 5 Stress aigu, stress chronique... 5 Stress chronique et maladie...
Plus en détailStéphanie Thiant. To cite this version: HAL Id: tel-00625482 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00625482
Les cytokines homéostatiques, IL-7 et IL-15, au cours de l allogreffe de CSH : leurs évolutions selon le conditionnement et leurs valeurs prédictives de la GVH aiguë et de la rechute Stéphanie Thiant To
Plus en détailSTRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE
STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE d'après le cours de Jean-Louis VIRELIZIER, Unité d'immunologie Virale, Institut Pasteur, Paris. INTRODUCTION L'étude des moyens de défense de l'organisme
Plus en détail82 collaborateurs 52 millions
Édito Chiffre d affaires à fin Septembre 2007 Assemblée générale du 26 juin 2007 Réponses aux questions des actionnaires * Actualité R&D et produits I 2 : la science d Innate * Innate Pharma et ses actionnaires
Plus en détailLes Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales
Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»
Plus en détailvoies de signalisation
Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailRôle de l'acétylation du facteur de transcription IRF3
Université de Montréal Rôle de l'acétylation du facteur de transcription IRF3 par Tasheen Wissanji Département de Pharmacie Faculté de Pharmacie Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en
Plus en détailMécanismes de Subversion de l Immunité Innée par le Virus de l Hépatite C (VHC)
Université de Montréal Mécanismes de Subversion de l Immunité Innée par le Virus de l Hépatite C (VHC) par Loubna Jouan Département de sciences biomédicales Faculté de médecine Thèse présentée à la Faculté
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détail