Vers un Outil d aide à la gestion des risques dans les chaînes logistiques : les bases conceptuelles
|
|
- Ange Desroches
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Vers un Outil d aide à la gestion des risques dans les chaînes logistiques : les bases conceptuelles PIERRE DAVID 1, GÜLGÜN ALPAN 1,DELARA SALEH EBRAHIMI 1 1 Grenoble-INP / UJF-Grenoble 1 / CNRS, G-SCOP UMR5272 Grenoble F-38031, France pierre.david@grenoble-inp.fr Gulgun.alpan-gaujal@grenoble-inp.fr Résumé Dans le contexte actuel d internationalisation des entreprises et des relations clients-fournisseurs, la maîtrise de la chaîne logistique devient un enjeu primordial pour la performance globale de l entreprise. Les variations, bien souvent imprévisibles, de l environnement des relations commerciales entre partenaires font naître un besoin croissant d analyse et de maîtrise des risques relatifs à ces systèmes complexes. Dans le cadre d un projet de mise en place d un outil d aide à l analyse de risque dans les chaînes logistiques, nous proposons une classification et une modélisation des risques présents dans les chaînes logistiques. Ce travail permet de fournir des bases conceptuelles solides pour la création du futur outil et de ses méthodes associées. Nous proposons dans cet article une classification des acteurs de la chaîne logistique, accompagnée d un focus sur les relations entre partenaires. Une classification des risques potentiels de la chaîne logistique est également proposée à partir des résultats d une analyse bibliographique poussée. Le lien entre la modélisation des acteurs et celle des risques potentiels est alors proposé. Ceci permet de fournir un métamodèle cohérent des concepts nécessaires à la représentation des risques dans les chaines logistiques, pouvant fournir une base solide à la mise en place d un outil de simulation et d analyse. Abstract In the current highly globalized context, the relationship and dependencies between companies tend to be even more complex. The efficient management of the supply chain becomes a key factor of the global performance of companies. The unexpected variations and threats existing in such environments require deeper analysis. To the best of our knowledge, no "handy" risk analysis tools exist for supply chain managers. The aim of this article is to provide a meta-model of such a tool. We provide in this article a classification of the actors of supply chains with a focus on the flows exchanged between partners. A classification of potential risks is the connected to this first metamodel. Both classifications are built on a strong literature study based on articles covering supply chain modeling and risk management in supply chains. The obtained metamodel proposes in a coherent manner all the concepts needed to develop a tool for risk analysis and simulation in supply chains. Mots clés Analyse des risques, chaînes logistiques, métamodélisation, SysML. Keywords Risk Analysis, Supply Chain, Metamodel, SysML. 1 INTRODUCTION Un des principaux problèmes auquel sont actuellement confrontés les organisations industrielles sont la gestion des ruptures dans leur chaîne logistique [Stock, 2009]. La plupart des secteurs sont confrontés à une intensification de la concurrence et à une intensification de la mondialisation de leurs activités, qui combinés à un raccourcissement des temps de mise sur le marché conduisent à une exposition plus importante de la chaîne logistique (CL) aux risques. Ces risques ne sont pas cantonnés aux seules ruptures induites par les accidents ou autres catastrophes naturelles. Les perturbations journalières que peuvent subir ou induire les clients, les fournisseurs ou les infrastructures du réseaux peuvent avoir des conséquences très importantes sur l équilibre de la CL [Thun and Hoenig, 2011]. Une étude conduite par the Economist Intelligence Unit en 2009 indique que 62% des entreprises interrogées estiment que la non fiabilité des futures commandes est une des causes les plus importantes de perturbation de leur CL. 59% des sondés estiment avoir déjà été impactés par des fluctuations des taux de changes et plus de la moitié ont rapporté avoir eu des difficultés suite à des augmentations brutales des coûts de leurs fournisseurs ou par des variations brusques des coûts de l énergie. Enfin un tiers des interrogés s est déclaré avoir été victime de défauts de paiement d un de leur client [The Economist Intelligence Unit, 2009]. Ces études soulignent le caractère fortement hétérogène des éléments à prendre en compte en termes d analyse des risques dans la CL. De ce fait, le management des risques dans la CL est considéré comme une analyse complexe où les risques individuels sont très souvent interconnectés et pour lesquels les mesures de contrôle d un point peu souvent impacter négativement un autre aspect de l équilibre [Chopra and Sodhi, 2004]. De plus, comme les CL tendent à se complexifier en intégrants de plus nombreux partenaires, la vulnérabilité de l ensemble du réseau devient plus sujette aux effets domino toujours plus difficiles à analyser [Pfohl et al., 2010]. Les mêmes auteurs ont montré le consensus des chercheurs sur le fait que l analyse systématique des risques aussi bien interne qu externe devient un enjeu de réussite important nécessitant un management partagé entre tous les acteurs du réseau. De plus, [Mason-jones and Towill, 1998, 2000] ont mis en évidence le besoin de comprendre le comportement global du
2 système CL. Ils ont proposé comme moyen de réduire les «zones d incertitude», le développement de moyens d obtention de données fiables sur l ensemble du marché et la réalisation de Système d Aide à la Décision (SAD). Le but de nos travaux est de répondre à ce besoin d aide à l analyse et la décision dans les chaînes logistiques complexes, exposées structurellement à de multiples risques. Le but est de fournir un soutient lors des différentes phases de l analyse du risque, du recensement des menaces, jusqu à la quantification des scénarios retenus. Pour cela il faudra apporter des solutions en termes d élicitation des connaissances sur la chaîne, en termes de proposition et d évaluation de politiques de gestion et de mise en évidence et quantification d un ensemble très variés de risque. Pour réaliser cela, les principes que nous utilisons sont le développement de modèles de simulation de chaînes logistiques, s appuyant sur les techniques de l Ingénierie Basée sur les Modèles et notamment la définition de taxonomies saines et extensibles du domaine des chaînes logistiques et de leurs risques associés. C est sur ce dernier point que nous souhaitons nous concentrer dans cet article. La première étape dans la constitution d un SAD performant est l établissement de différentes taxonomies et classifications des notions à manipuler dans l ensemble de ce problème. Le but de ce travail sera de formaliser et de mettre en cohérence le corpus de notions et éléments qui prendront part à la modélisation des chaînes logistiques. Ceci comprendra en particulier l ensemble des éléments nécessaires à la modélisation de la chaîne logistiques comme les acteurs et leurs liens structurels, mais également l ensemble des politiques de gestion de ce réseau (gestion des stocks, des itinéraires, des livraisons ). La description des acteurs et de leurs liens sera détaillée à la partie 2. Le métamodèle des acteurs est ensuite augmenté de l ensemble des risques ou menaces à étudier ainsi que de la description de leurs effets au sein de la chaîne. Cette proposition de modélisation des risques faisant suite à une large étude bibliographique sur les risques existant dans les CL (détaillée dans [Saleh Ebrahimi et al., 2012]) est présenté dans la partie 3. 2 MODELISATION DES ACTEURS ET DE LEURS RELATIONS Comme nous l avons montré dans une précédente étude de littérature [Saleh Ebrahimi, 2012; Saleh Ebrahimi et al., 2012], il existe de multiples méthodes et types de classification utilisées pour la gestion des risques dans les CL. Dans nos travaux, nous souhaitons proposer et nous appuyer sur un corpus commun de ces notions, reprenant les éléments nécessaires à la description de la chaîne que sont : les acteurs, leurs processus associés et plus tard les risques inhérents au réseau, afin de permettre le développement d un SAD pour l analyse des risques dans les CL. Comme l ont soulignés [Biswas and Narahari, 2004] le temps pour développer un modèle de CL à base d objet peut être grandement diminuer si l on dispose d une base d objets génériques. Cet technique nous semble la plus appropriée pour répondre à la contrainte de la maîtrise de la complexité dans la modélisation des CL mentionnée par [Chandra and Kumar, 2006]. C est pourquoi nous proposons une décomposition des entités participant au CL avec leur modèle associé pour permettre au manager de CL de décrire rapidement et de façon cohérente l environnement d étude. En adoptant une approche similaire à [Harland et al., 2003; Chandra and Kumar, 2006; Marquès et al., 2009], la description des CL est d abord basée sur la définition du mappage du réseau. Les partenaires de la CL ainsi que leurs relations réalisées à travers l échange de divers flux (physiques et informationnels) sont donc les premiers éléments de modélisation que nous décrirons. Le but est de suivre la suggestion de [Biswas and Narahari, 2004] et de fournir des éléments simples, standards et compositionnels reflétant la décomposition des processus, fonctions et activités standards des partenaires de la CL. 2.1 Les acteurs de la CL et leurs processus Pour commencer à définir le réseau de la CL il faut en décrire les premiers types d acteurs. La classification que nous avons retenue a été conçue pour effectuer une synthèse des points de vue rencontrés dans la littérature. Nous avons conservé les acteurs principaux définis par [Lambert and Cooper, 2000], que nous avons adaptés pour intégrer les notions de CL directe et entendue de [Mentzer et al., 2001]. Le but étant d obtenir un ensemble de définitions d acteur de base suffisamment générique pour pouvoir adapter facilement la définition du réseau de partenaires aux éléments nécessaires à l analyse. Il doit ainsi être simple d étendre ou restreindre le réseau étudié. Ceci nous conduit à ne conserver que 4 types d acteurs permettant de balayer l ensemble des rôles importants dans une CL (la notation sera conservée en anglais pour correspondre aux diagrammes du métamodèle développé): Suppliers (fournisseurs) Manufacturers (l entreprise au coeur de l étude et ses sites de production) Customers (clients) Logistics providers (distributeurs/sociétés de transport) Techniquement, les fournisseurs et clients peuvent être des sites de production. La distinction faite ici permet d adopter le bon niveau de détail dans la modélisation de la CL. Il ne parait par exemple pas pertinent de chercher à modéliser la politique de production d un fournisseur, pour lequel la possibilité de mettre à disposition une commande est le seul élément important du point de vue de l entreprise au cœur de la CL. La réelle différence qu il existera entre acteurs de la CL, sera l ensemble des processus utilisés par l acteur en question. En effet, les acteurs sont définis par leur comportement au sein de la CL, ce comportement est décrit par le type de fonctions et processus mis en œuvre par l acteur. Pour compléter notre classification des acteurs, il convient donc de leur ajouter les processus réalisés par chacun d entre eux. Cette projection des processus standards existant dans une CL sur les différents types d acteurs rencontrés permet d obtenir une classification plus fine de ces processus. [Chandra and Kumar, 2006] ont soulignés l importance de définir une telle classification pour permettre une modélisation efficace des CL. Cette seconde classification au niveau processus est pour nous nécessaire puisque la classification d acteurs que nous avons retenue est basée sur le type de relation entretenue avec l entreprise à l étude et non sur un point de vue opérationnel comme ont pu le faire [Herrmann et al., 2003]. En s appuyant sur les acteurs choisis destinés à couvrir une multitude de cas, les processus que nous décrivons doivent être aussi génériques que possible de façon à s adapter aux différentes configurations à modéliser. C est pourquoi nous nous sommes largement appuyés sur le modèle SCOR (Supply Chain Operation Refence model) [Supply Chain Council, 2010] pour lister les processus utilisables dans les CL. Les processus sont ainsi organisés suivant les catégories principales du modèle SCOR: planification, approvisionnement, fabrication, livraison et retour (plan, source, make, deliver and return). Les processus sont alors
3 dérivés sous chacune des ces catégories. Une étude des processus relatifs aux différents acteurs tels que nous les avons définis a alors été conduite pour compléter notre métamodèle. La modélisation (ici la métamodélisation) a été réalisée en utilisant le langage SysML [Object Management Group, 2010], qui en tant que langage dérivé d UML permet d organiser facilement un ensemble de concepts à même de décrire les notions manipulées au sein d un domaine donné. Le choix du passage à SysML est ici motivé par sa sémantique tournée vers l expression de systèmes physiques et non purement logiciels comme c est le cas avec UML. Les diagrammes proposés dans cet article ont été réalisés avec le logiciel Artisan Studio d Atego 7.3. L utilisation de SysML nous permet de disposer des moyens d expressions nécessaires à la définition des relations existants entre acteurs de la CL. Nous pouvons ainsi indiquer des notions d héritage, généralisation, spécialisation et autres possession ou partage. La figure 1 montre le métamodèle des acteurs de la CL. Chaque acteur est décrit par un block SysML assimilable à une classe UML. Nous avons rendu visible sur la figure 1 les operations que peuvent réaliser ces acteurs, ce sont directement les processus que nous avons identifiés, notamment dans le modèle SCOR. L organisation de ces actions est réalisée grâce au préfixe donné au nom de chaque action, par exemple Source_ ou Plan_. Cette métamodélisation nous a également permis d identifier les processus communs aux différents acteurs et ceux spécifiques à chacun d eux. En utilisant la notation de généralisation (flèche à extrémité blanche), nous avons déclaré le nouveau block SCActor (Acteur de la CL) qui modélise le point commun dans les activités réalisées par les clients, fabricants et fournisseurs. Ce mécanisme peut permettre par exemple de modéliser un acteur de façon générique dans une première analyse de la CL avant d indiquer sa spécialisation quand de nouvelles informations sont connues ou lorsque qu une analyse spécifique doit être menée. On peut également souligner que le «LogisticsProvider» en tant que tierce partie logistique a été cantonné dans ses actions (operations), à ses fonctions logistiques pour ainsi clarifier le rôle de cet acteur dans les CL modélisées. Au-delà des seules operations exécutables, les acteurs sont également définis par différents attributs tels que leur nom, localisation ou devise qui seraient trop nombreux à mentionner sur un seul diagramme. Les acteurs sont aussi définis par les éléments qu ils peuvent créer et échanger. Comme nous l avons vu précédemment ce sont ces échanges informationnels, financiers ou matériels qui forment la complexité de la CL, une partie primordiale du métamodèle décrit est donc dévolue à la définition de ces échanges. 2.2 Les flux de la CL Cette vision des flux de la CL à travers 3 différents types que sont les flux informationnels, matériels et financiers est partagée par de nombreux auteurs [Mentzer et al., 2001; Herrmann et al., 2003; Tang, 2006; Tang and Nurmaya Musa, 2011]. En étudiant les processus affectés aux différents acteurs et Figure 1. Les acteurs de la CL
4 listés à la figure 1, nous avons pu identifier les operations manipulant ces flux. Ceci dans le but de définir les concepts à modéliser pour les représenter. Ces principaux processus sont les suivants: Collecter des données sur les stocks et ressources disponibles, Stocker des produits, préparer et emballer des commandes, Fabriquer ou retravailler un produit, Emettre une commande, recevoir une commande, valider une commande, Traiter les retours, Transporter et livrer des commandes, ainsi que valider et réceptionner une livraison, Envoyer, recevoir et payer une facture, Demander et organiser un transport (route, transporteur, douane). Pour modéliser ces échanges, les objets nécessaires ont été recensés et leurs attributs modélisés dans notre métamodèle. Nous avons ainsi décrit les commandes (Orders), les demandes de transport (Shipping orders), les cargaisons (Shipments), les factures (Invoices) et les paiements (Payments). Ces différents objets sont présentés à la figure 2. Les informations nécessaires au traitement de ces flux sont listés par des values SysML qui permettent de modéliser les attributs des objets en question. Ces values sont généralement assignées par l émetteur de l objet. Les flux possèdent également des references qui indiquent d autres éléments du modèle en relation avec le flux décrit. Ce sont par exemple l émetteur et le destinataire du flux, ou le contenu auquel se réfère par exemple une facture. Pour une raison de cohérence dans le métamodèle, une classe de partenaire commercial («CommercialPartner») a été ajoutée afin que chaque acteur de la CL puisse être impliqué dans les échanges de flux financiers. Ensuite certain flux sont rattachés à une seule classe particulière comme par exemple les demandes de transport qui ne peuvent être reçues que par un opérateur logistique («LogisticsProvider»). Cette première partie du métamodèle (Figure 1 et 2) est complétée par la définition d interactions complémentaires entres les acteurs de la CL et ces divers flux. C est le cas par exemple de l affectation de route aux différentes cargaisons effectuée par l opérateur logistique. Les différentes activités sont décrites de façon générique dans divers diagrammes d activité. Ces éléments complétant le métamodèle ne sont pas présentés ici pour des raisons de concision. Cet ensemble de modèles constitue la partie «fonctionnelle» de la description de la CL. La seconde partie du métamodèle est destinée à décrire les risques et événements redoutés pouvant venir perturber la CL. C est cette partie que nous allons maintenant présenter. 3 LES RISQUES DANS LA CL ET LEUR MODELISATION La création d un métamodèle des risques dans les CL est d abord basée sur une étude bibliographique recensant les risques évoqués dans la littérature. Un des défis de la classification dressée à travers cette étude était d être capable de regrouper des risques très divers et très diversement exprimés par les auteurs. En effet, les risques existant dans les CL sont extrêmement hétérogènes. Ils peuvent être décrits à des échelles très variées, de la CL dans son ensemble à l atelier de fabrication d un des partenaires et ils ont des effets sur des processus ou des flux très différents. Les catégorisations rencontrées dans la littérature étaient construites autour des acteurs de la CL, de la localisation de la source ou de l effet du risque, de l échelle de l impact du risque ou des flux touchés. Après l étude de plus de 50 articles sur ces risques nous avons choisis de bâtir notre classification atour de la localisation des risques dans la CL, comme ont pu le faire [Christopher and Peck, 2004; Pfohl et al., 2010; Thun and Hoenig, 2011]. Les risques recensés apparaissent ainsi sous les catégories suivantes : Risques sur le Process (Process Risks) Risques sur le contrôle/planification (Control Risks) Risques liés à la demande (Demand-related Risks) Risques liés à l approvisionnement (Supply-related Risks) Risques liés à environnement (Environmental Risks) Ces catégories regroupent ainsi 33 risques génériques pour les CL. L ensemble des risques recensés ainsi que les détails sur l étude bibliographique sont disponibles dans [Saleh Ebrahimi, 2012; Saleh Ebrahimi et al., 2012]. Cette classification nous donne un premier axe de modélisation des risques dans notre métamodèle. C est ensuite l analyse de leurs effets qui nous permet de les intégrer au métamodèle des acteurs et flux. Cette étude nous donne ainsi des informations sur le comportement du risque (son développement) et les caractéristiques du réseau qu ils affectent. Nous avons ainsi pu mettre en évidence 3 types d effets donnant lieux à 3 types de modélisations différentes. Les risques recensés sont ainsi modélisés dans le métamodèle par une des 3 solutions suivantes : Redéfinitions dans le modèle de l acteur affecté (cette redéfinition au sens SysML, possède des operations dysfonctionnelles remplaçant les operations perturbées chez l acteur touché). Définition d un nouvel objet dans le modèle, avec la capacité de modifier les attributs (values) des autres objets. Définition d un nouvel objet ayant la capacité de détruire d autres objets ou associations (ex : liens indiquant une route). L intégration des risques dans le métamodèle est donc réalisée à travers divers éléments de modélisation. Dans le cas de la redéfinition d acteur, le risque est classifié de 3 manières, on détermine son périmètre (par exemple Risque lié à l approvisionnement), son type d effet (redéfinition d acteur) et l acteur modifié (par exemple le «Manufacturer»). L ensemble des risques de type redéfinition est ainsi reclassifié par le type d acteur modifié. Les classes adéquates ont ainsi été crées comme le montre la figure 3. On remarque dans cette dernière que les risques héritent d un block «Hazard» montrant ainsi la définition d un risque. Ils héritent également d un block définissant un acteur de la CL. Ce second héritage permet au risque ainsi définit de disposer de tous les attributs de l objet remplacé par une version défaillante. L ensemble des risques est ensuite organisé dans différentes parties du métamodèle par l intermédiaire de différents diagrammes reprenant les catégories initiales des risques (Risques liés à la demande, à l approvisionnement etc.). Un exemple est donné à la figure 4, il montre la section des risques liés à l approvisionnement. En plus des risques de type redéfinition, on peut y remarquer deux risques définissant de nouveaux type d objet. Chacun d eux possède une operation permettant d agir dans le modèle soit en modifiant un attribut (par exemple modifier un prix pour «MaterialCostIncrease»), soit en modifiant un objet (par exemple supprimer un fournisseur pour «SupplierBankruptcy»).
5 Figure 2. Les flux entre acteurs de la CL
6 Figure 3. Déclaration de classes de risque Figure 4. Les Risques liés à l approvisionnement
7 4 CONCLUSION Nous avons ainsi présenté les éléments d une classification et métamodélisation des éléments nécessaires à la description des risques dans les CL. Les éléments décrits ici ne montrent qu une partie du métamodèle qui est complété de diagramme décrivant le déroulement des operations que possèdent les différents block. Cette seconde partie couvre l aspect comportemental du métamodèle, les éléments qui y sont définis permettent de décrire également les impacts dynamiques des risques. Le métamodèle comportemental doit encore être développé plus en détail dans la suite de nos travaux, cependant les premier éléments de modélisation que nous avons pu mettre en place nous conforte dans l utilisation d un langage tel que SysML pour sa réalisation. L idée est ici d affecter différents diagrammes d activité aux operations du modèle afin de décrire les différentes alternatives dans la réalisation des processus de chaque acteur. A terme, nous souhaitons également déclarer ces différentes alternatives comme des possibilités de gestions des différents risques du modèle. Le lien avec une solution de simulation sera alors primordial. L ensemble des éléments proposés ici, que se soient les éléments de métamodèle ou les choix de classification nous paraissent tout de même constituer une base importante pour la création d un outil ou de méthode d analyse des risques dans les CL. Les notions présentées ici peuvent ainsi être reprises facilement pour le développement de travaux plus spécifiques. Le choix de SysML pour la réalisation du métamodèle nous permet de fournir des résultats exploitables sous diverses formes. En effet, il est possible de continuer à utiliser ce langage pour bénéficier de son pouvoir de description de système complexe en instanciant le métamodèle à un problème particulier d étude d une CL. Il est aussi possible de compléter ou modifier ce modèle générique pour l adapter à un nouveau champ d étude ou à un domaine d application particulier (ex : domaine pharmaceutique, militaire). Enfin, ce métamodèle peut aussi être exploité pour créer le modèle de donnée sousjacent à un outil de management des risques dont l interface graphique ne reprendra pas nécessairement la syntaxe SysML. 5 REFERENCES Biswas, S., Narahari, Y., (2004). Object oriented modeling and decision support for supply chains. European Journal of Operational Research, 153, pp Chandra, C., Kumar, S., (2006). Supply chain design curriculum : models and methods development. International Journal on Information and Operations Management Education, 1, pp Chopra, S., Sodhi, M.S., (2004). Managing Risk To Avoid Supply-Chain Breakdown. MIT Sloan Management Review, 46. Christopher, M., Peck, H., (2004). Building the Resilient Supply Chain. International Journal of Logistics Management, 15, pp Harland, C., Brenchley, R., Walker, H., (2003). Risk in supply networks. Journal of Purchasing and Supply Management, 9, pp Herrmann, J.W., Lin, E., Pundoor, G., (2003). Supply Chain Simulation Using the Supply Chain Operations Reference Model, in: Proceedings of DETC 03. Chicago, pp Lambert, D.M., Cooper, M.C., (2000). Issues in Supply Chain Management. Industrial Marketing Management, 29, pp Marquès, G., Lamothe, J., Thierry, C., Gourc, D., (2009). A supply chain performance analysis of a pull inspired supply strategy faced to demand uncertainties. Journal of Intelligent Manufacturing, 23, pp Mason-jones, R., Towill, D.R., (1998). Shrinking the supply chain uncertainty circle. IOM Control Magazine, 24, pp Mason-jones, R., Towill, D.R., (2000). Coping with Uncertainty: Reducing Bullwhip Behaviour in Global Supply Chains. Supply Chain Forum an International Journal, 1, pp Mentzer, J.T., DeWitt, W., Keebler, J.S., Min, S., Nix, N.W., Smith, C.D., Zacharia, Z.G., (2001). Defining Supply Chain Management. Journal of Business Logistics, 22, pp Object Management Group, (2010). OMG Systems Modeling Language ( OMG SysML TM ). OMG publishing. Pfohl, H.-C., Köhler, H., Thomas, D., (2010). State of the art in supply chain risk management research: empirical and conceptual findings and a roadmap for the implementation in practice. Logistics Research, 2, pp Saleh Ebrahimi, D., (2012). Setting Up a Taxonomy in Modeling for Supply Chain Risk Management. Master Thesis, INP de Grenoble, KTH Institute of Technology. Saleh Ebrahimi, D., David, P., Alpan, G., (2012). A Model- Based Specification for a Decision Support Tool for Supply Chain Risk Management, in: CIE42 Proceedings, July 2012, Cape Town, South Africa. Stock, J.R., (2009). A research view of supply chain management : Developments and topics for exploration. ORiON, 25, pp Supply Chain Council, (2010). Supply Chain Operations Reference (SCOR ) model. Suppy chain council, inc., Version 10, pp. 23. Tang, C., (2006). Perspectives in supply chain risk management. International Journal of Production Economics, 103, pp Tang, O., Nurmaya Musa, S., (2011). Identifying risk issues and research advancements in supply chain risk management. International Journal of Production Economics, 133, pp The Economist Intelligence Unit, (2009). Managing supplychain risk for reward. The Economist Intelligence Unit, Thun, J.-H., Hoenig, D., (2011). An empirical analysis of supply chain risk management in the German automotive industry. International Journal of Production Economics, 131, pp
Vers un outil d aide à la gestion des risques dans les chaînes logistiques : les bases conceptuelles
Vers un outil d aide à la gestion des risques dans les chaînes logistiques : les bases conceptuelles Pierre DAVID, Gülgün ALPAN, Delara SALEH EBRAHIMI & Saleh Eddine BEN JBARA Laboratoire G-SCOP 46, av
Plus en détailREMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION
REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION THÈSE N O 2388 (2001) PRÉSENTÉE AU DÉPARTEMENT D'INFORMATIQUE ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE
Plus en détailImpact de l intégration des systèmes de production sur les performances de la fonction logistique
Impact de l intégration des systèmes de production sur les performances de la fonction logistique Impact of the integration production systems on the performances of the logistical function Badr DAKKAK
Plus en détail- Couches - Éléments - Domaines - ArchiMate et les techniques du BABOK
ArchiMate et l architecture d entreprise Par Julien Allaire Ordre du jour Présentation du langage ArchiMate - Couches - Éléments - Domaines - ArchiMate et les techniques du BABOK Présentation du modèle
Plus en détailMise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012
Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien 10 Septembre 2012 Les défis de la chaine de la logistique du transport maritime Danielle T.Y WONG Director Logistics Performance
Plus en détailConception, architecture et urbanisation des systèmes d information
Conception, architecture et urbanisation des systèmes d information S. Servigne Maître de Conférences, LIRIS, INSA-Lyon, F-69621 Villeurbanne Cedex e-mail: sylvie.servigne@insa-lyon.fr 1. Introduction
Plus en détailL animation de la performance d une Supply Chain
L animation de la performance d une Supply Chain Pré-soutenance de Mémoire Thématique Master Recherche OSIL Ecole Centrale Paris Etudiante : Samira Jaï Encadrant : Alain Chapdaniel Plan de la présentation
Plus en détailSynergies entre Artisan Studio et outils PLM
SysML France 13 Novembre 2012 William Boyer-Vidal Regional Sales Manager Southern Europe Synergies entre Artisan Studio et outils PLM 2012 2012 Atego. Atego. 1 Challenges & Tendances Complexité des produits
Plus en détailUne méthode d apprentissage pour la composition de services web
Une méthode d apprentissage pour la composition de services web Soufiene Lajmi * Chirine Ghedira ** Khaled Ghedira * * Laboratoire SOIE (ENSI) University of Manouba, Manouba 2010, Tunisia Soufiene.lajmi@ensi.rnu.tn,
Plus en détailTHÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.
École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par
Plus en détailNOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan
Document : Plan Qualité Spécifique du Projet Project Specific Quality Plan Référence Reference : QP-3130-Rev 01 Date Date : 12022008 Nombre de Pages Number of Pages : 6 Projet Project : JR 100 Rédacteur
Plus en détailQuatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes
Le Centre d Innovation des Technologies sans Contact-EuraRFID (CITC EuraRFID) est un acteur clé en matière de l Internet des Objets et de l Intelligence Ambiante. C est un centre de ressources, d expérimentations
Plus en détailConcevoir des supply chains résilientes
Concevoir des supply chains résilientes Karine Evrard Samuel CERAG UMR 5820 Université de Grenoble, France Définition de la résilience appliquée aux supply chains La résilience est la capacité à revenir
Plus en détailAnalyse,, Conception des Systèmes Informatiques
Analyse,, Conception des Systèmes Informatiques Méthode Analyse Conception Introduction à UML Génie logiciel Définition «Ensemble de méthodes, techniques et outils pour la production et la maintenance
Plus en détailIFT2255 : Génie logiciel
IFT2255 : Génie logiciel Chapitre 6 - Analyse orientée objets Section 1. Introduction à UML Julie Vachon et Houari Sahraoui 6.1. Introduction à UML 1. Vers une approche orientée objet 2. Introduction ti
Plus en détailCONCLUSION. 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg
CONCLUSION 31 mars 2015 Laurène Chochois Helpdesk REACH&CLP Luxembourg REACH ET CLP Informations complémentaires (1/5) European chemicals agency : http://echa.europa.eu/ Guide d application : http://guidance.echa.europa.eu/
Plus en détailTier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing?
Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing? Alexandre Loire A.L.F.A Project Manager July, 5th 2007 1. Changes to roles in customer/supplier relations a - Distribution Channels Activities End customer
Plus en détailRetour d expériences avec UML
Retour d expériences avec UML UML pour les systèmes biologiques Marie-Hélène Moirez-Charron, UMR AGIR, équipe MAGE INRA Toulouse mailto:marie-helene.charron@toulouse.inra.fr PLAN Contexte de travail UML,
Plus en détailADHEFILM : tronçonnage. ADHEFILM : cutting off. ADHECAL : fabrication. ADHECAL : manufacturing.
LA MAÎTRISE D UN MÉTIER Depuis plus de 20 ans, ADHETEC construit sa réputation sur la qualité de ses films adhésifs. Par la maîtrise de notre métier, nous apportons à vos applications la force d une offre
Plus en détailRÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile
RÉSUMÉ DE THÈSE L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile avec des estimations de deux projets sur trois peinent à donner un résultat satisfaisant (Nelson,
Plus en détailComment concevoir une Supply Chain robuste et flexible à l échelle mondiale?
Comment concevoir une Supply Chain robuste et flexible à l échelle mondiale? Forum d été Supply Chain Magazine 10 Juillet 2012 Transform to the power of digital Les impacts de la globalisation sur la Supply
Plus en détailForum AMOA ADN Ouest. Présentation du BABOK. 31 Mars 2013 Nadia Nadah
Forum AMOA ADN Ouest Présentation du BABOK 31 Mars 2013 Nadia Nadah Ce qu est le BABOK Ce que n est pas le BABOK Définition de la BA - BABOK version 2 Le processus de Business Analysis La structure du
Plus en détailEditing and managing Systems engineering processes at Snecma
Editing and managing Systems engineering processes at Snecma Atego workshop 2014-04-03 Ce document et les informations qu il contient sont la propriété de Ils ne doivent pas être copiés ni communiqués
Plus en détailStratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise
Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise Business Continuity Convention Tunis 27 Novembre 2012 Sommaire Sections 1 Ernst & Young : Qui sommes-nous? 2 Stratégie IT : au cœur des enjeux de l entreprise
Plus en détailCycle de vie du logiciel. Unified Modeling Language UML. UML: définition. Développement Logiciel. Salima Hassas. Unified Modeling Language
Unified Modeling Language UML Salima Hassas Version Cycle de vie du logiciel Client Besoins Déploiement Analyse Test Conception Cours sur la base des transparents de : Gioavanna Di Marzo Serugendo et Frédéric
Plus en détailESC Programme CORE COURSES (Master level) 2011/2012
CORE COURSES (Master level) 2011/2012 Language (F : French - E : English) Semester (1 : Fall - 2 : Spring) M-ESC-4-06-99-10-E M-ESC-4-06-99-10-F M-ESC-4-05-99-05-F M-ESC-4-05-99-05-E M-ESC-4-02-99-03-E
Plus en détailManagement stratégique d affaires à l international
Master of Science labellisé par la Conférence des Grandes Ecoles Management stratégique d affaires à l international International Business Project Manager en partenariat avec l'idrac Objectifs Se préparer
Plus en détailLa solution idéale de personnalisation interactive sur internet
FACTORY121 Product Configurator (summary) La solution idéale de personnalisation interactive sur internet FACTORY121 cité comme référence en «Mass Customization» au MIT et sur «mass-customization.de» Specifications
Plus en détailMacroscope et l'analyse d'affaires. Dave Couture Architecte principal Solutions Macroscope
Macroscope et l'analyse d'affaires Dave Couture Architecte principal Solutions Macroscope Avis Avis d intention Ce document a pour but de partager des éléments de vision et d intentions de Fujitsu quant
Plus en détailSujet de thèse CIFRE RESULIS / LGI2P
Ecole des Mines d Alès Laboratoire de Génie Informatique et d Ingénierie de Production LGI2P Nîmes Sujet de thèse CIFRE RESULIS / LGI2P Titre Domaine De l ingénierie des besoins à l ingénierie des exigences
Plus en détailDémarches de réduction des risques technologiques lors de la conception des terminaux GNL
Journées Annuelles du Pétrole Démarches de réduction des risques technologiques lors de la conception des terminaux GNL Mathieu Bertrane Bureau Veritas Mathieu.Bertrane@fr.bureauveritas.com Sommaire Quels
Plus en détailLivre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie
Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement
Plus en détailINF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES. Guide d étude
INF 1250 INTRODUCTION AUX BASES DE DONNÉES Guide d étude Sous la direction de Olga Mariño Télé-université Montréal (Québec) 2011 INF 1250 Introduction aux bases de données 2 INTRODUCTION Le Guide d étude
Plus en détailForthcoming Database
DISS.ETH NO. 15802 Forthcoming Database A Framework Approach for Data Visualization Applications A dissertation submitted to the SWISS FEDERAL INSTITUTE OF TECHNOLOGY ZURICH for the degree of Doctor of
Plus en détailMéthodes d évolution de modèle produit dans les systèmes du type PLM
Résumé de thèse étendu Méthodes d évolution de modèle produit dans les systèmes du type PLM Seyed Hamedreza IZADPANAH Table des matières 1. Introduction...2 2. Approche «Ingénierie Dirigée par les Modèles»
Plus en détailStructuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe
Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe Karima Dhouib, Sylvie Després Faiez Gargouri ISET - Sfax Tunisie, BP : 88A Elbustan ; Sfax karima.dhouib@isets.rnu.tn,
Plus en détailChapitre I : le langage UML et le processus unifié
I. Introduction Les méthodes d analyse orientées objet sont initialement issues des milieux industriels. La préoccupation dominante de leurs auteurs est le génie logiciel, c est-àdire les principes et
Plus en détailManagement des processus opérationnels
Ecole Nationale Supérieure de Management Master Management des organisations Management des processus opérationnels Dr TOUMI Djamila Cours n 2: la modélisation des processus opérationnels INTRODUCTION
Plus en détailPrésentation livre Simulation for Supply Chain Management. Chapitre 1 - Supply Chain simulation: An Overview
Présentation livre Simulation for Supply Chain Management Chapitre 1 - Supply Chain simulation: An Overview G. Bel, C. Thierry et A. Thomas 1 Plan Gestion de chaînes logistiques et simulation Points de
Plus en détailQualité de la conception de tests logiciels : plate-forme de conception et processus de test
Ecole Doctorale en Sciences de l Ingénieur de l ECP Formation doctorale en Génie Industriel Qualité de la conception de tests logiciels : plate-forme de conception et processus de test Quality of the design
Plus en détailBusiness Process Management
Alain Darmon Responsable Avant-Vente BPM, IBM 1 er mars 2011 Business Process Management Améliorez l agilité de l entreprise avec la gestion des processus métier Les processus sont partout! Ouverture de
Plus en détailGuide de recherche documentaire à l usage des doctorants. Partie 1 : Exploiter les bases de données académiques
Guide de recherche documentaire à l usage des doctorants Partie : Exploiter les bases de données académiques Sylvia Cheminel Dernière mise à jour : décembre 04 PANORAMA DES SOURCES DOCUMENTAIRES ACADEMIQUES...
Plus en détailAuto-explication des Chorégraphies de Services
Mario Cortes Cornax Sophie Dupuy-Chessa Dominique Rieu Université de Grenoble, LIG Auto-explication des Chorégraphies de Services 1 Problématique Chorégraphie de services Vision globale des processus distribués
Plus en détailFondation Mérieux 22 avril 2009. Un projet Fondateur. J. Breton Thésame
Fondation Mérieux 22 avril 2009 Un projet Fondateur J. Breton Thésame MA.. Le Dain - GSCOP Un projet novateur sur Un projet novateur le montage / la gouvernance / les objectifs / les finalités 2 Un projet
Plus en détailGénérer du code à partir d une description de haut niveau
Cedric Dumoulin Générer du code à partir d une description de haut niveau Ce projet vise à fournir un environnement de développement permettant de modéliser des UI Android à un haut niveau d abstraction,
Plus en détailUn modèle d'évaluation de l'agilité des chaînes logistiques
Aurélie Charles Doctorante Université Toulouse Mines Albi CGI / INSEAD Encadrants Matthieu Lauras, Lionel Dupont, Luk Van Wassenhove GDR MACS 2009 Annecy Un modèle d'évaluation de l'agilité des chaînes
Plus en détailLOGISTIQUE DE PRODUCTION
BROCHURE LOGISTIQUE DE PRODUCTION Tél. : 024 423 96 50 1 INTRODUCTION Plus que jamais, les fonctions logistiques doivent évoluer et se développer afin d accroître la performance industrielle, par une meilleure
Plus en détailLa Poste choisit l'erp Open Source Compiere
La Poste choisit l'erp Open Source Compiere Redwood Shores, Calif. Compiere, Inc, leader mondial dans les progiciels de gestion Open Source annonce que La Poste, l'opérateur postal français, a choisi l'erp
Plus en détailSystème d'information et de connaissances et pratiques collaboratives dans les réseaux logistiques. El hassan Megder
Système d'information et de connaissances et pratiques collaboratives dans les réseaux logistiques El hassan Megder ENCG Agadir, Département ITQG, Equipes SIC & EDMP, Laboratoires IRF-SIC, LaRGe, megderel@yahoo.fr
Plus en détailViser une démarche de recherche organisée
Etat de l art sur les travaux portant sur les audits en Management des connaissances Ecole Centrale Paris Le 2 décembre 2009 Audit KM - Rapport intermédaire d'avancement 1 Viser une démarche de recherche
Plus en détailIntégration de produits mécatroniques au sein d un système PLM
Intégration de produits mécatroniques au sein d un système PLM HOUSSEM ABID 1, MADY GUILLEMOT 1, DIDIER NOTERMAN 1, PHILIPPE PERNELLE 2 1 Laboratoire DISP, INSA Lyon 69100, France {houssem.abid,mady.guillmot,didier.noterman}@insa-lyon.fr
Plus en détailAgile&:&de&quoi&s agit0il&?&
Association Nationale des Directeurs des Systèmes d Information &:&de&quoi&s agit0il&?& Pierre Delort, Président, Association Nationale des DSI http://www.andsi.fr/tag/delort/ Document confidentiel Ne
Plus en détailProjet de réorganisation des activités de T-Systems France
Informations aux medias Saint-Denis, France, 13 Février 2013 Projet de réorganisation des activités de T-Systems France T-Systems France a présenté à ses instances représentatives du personnel un projet
Plus en détailLe métier de Supply Chain Manager
Le métier de Supply Chain Manager Etude 2004 réalisée par : Vincent BOSSU, David GRESET, François MICAUD, Alexandre PAVIE Etudiants ISLI Bordeaux Ecole de Management Dirigée par : Michel FAVRE BERTIN Professeur
Plus en détailLADIES IN MOBILITY. LIVE TWEET Innovative City
LIVE TWEET Innovative City 1. LadiesinMobility @LadiesMobility19 Juin In Smart Cities, we should create a collaborative model #smartcity #icc2013 2. LadiesinMobility @LadiesMobility19 Juin Cities like
Plus en détailUn environnement de déploiement automatique pour les applications à base de composants
ICSSEA 2002-7 Lestideau Un environnement de déploiement automatique pour les applications à base de composants Vincent Lestideau Adele Team Bat C LSR-IMAG, 220 rue de la chimie Domaine Universitaire, BP
Plus en détailLe pilotage des collaborations et l interopérabilité des systèmes d information Vers une démarche intégrée
Colloque : Systèmes Complexes d Information et Gestion des Risques pour l Aide à la Décision Le pilotage des collaborations et l interopérabilité des systèmes d information Vers une démarche intégrée BELKADI
Plus en détailL ERP mobile répond aux challenges des entreprises! RP mobile. challenges
L ERP mobile répond aux challenges des entreprises! RP mobile challenges L ERP mobile répond aux challenges des entreprises! Pour les moyennes et grandes entreprises, avoir un accès rapide, sécurisé et
Plus en détailERA-Net Call Smart Cities. CREM, Martigny, 4 décembre 2014 Andreas Eckmanns, Responsable de la recherche, Office Fédéral de l énergie OFEN
ERA-Net Call Smart Cities CREM, Martigny, 4 décembre 2014 Andreas Eckmanns, Responsable de la recherche, Office Fédéral de l énergie OFEN Une Smart City, c est quoi? «Une Smart City offre à ses habitants
Plus en détailRAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données
RAPID 3.34 - Prenez le contrôle sur vos données Parmi les fonctions les plus demandées par nos utilisateurs, la navigation au clavier et la possibilité de disposer de champs supplémentaires arrivent aux
Plus en détailSolutions Exploitation de contenus
Solutions Exploitation de contenus Company profile Start in 2006 : 5 engineers + experimented business angels 5 years of profitable double digit growth Listed on Euronext in Nov 2009 (MLMGL FR0010827741)
Plus en détailLa fonction Achats hospitalière : Cloisonnements hier Multi-transversalités aujourd hui Création de valeur demain
La fonction Achats hospitalière : Cloisonnements hier Multi-transversalités aujourd hui Création de valeur demain Natacha TREHAN Docteur en Sciences de Gestion (PhD) Maître de Conférences IAE de Grenoble
Plus en détailJe découvre Lina Maintenance
Je découvre Lina Maintenance Une interface simple et ergonomique pour optimiser la maintenance de vos équipements 1 Sommaire Présentation 4 La plateforme Lina 5 Référentiel 6 Agenda et données personnelles
Plus en détailLa démarche Supply Chain Management vue par les salariés d une multinationale de la haute technologie
La démarche Supply Chain Management vue par les salariés d une multinationale de la haute technologie Joëlle MORANA Maître de Conférences, Université de Lyon II, LET, CNRS jmorana@yahoo.fr Déterminer et
Plus en détailIngénierie des Modèles. Méta-modélisation
Ingénierie des Modèles Méta-modélisation Eric Cariou Master Technologies de l'internet 2 ème année Université de Pau et des Pays de l'adour UFR Sciences Pau Département Informatique Eric.Cariou@univ-pau.fr
Plus en détailProgramme Bachelor Semestre d automne 2015
Programme Bachelor Semestre d automne 2015 Catalogue de cours Droit International p. 2 International Marketing p. 3 Business Development Strategy p. 4 Analyse & Gestion Financière p. 5 Business Games I
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailIngénierie et gestion des connaissances
Master Web Intelligence ICM Option Informatique Ingénierie et gestion des connaissances Philippe BEAUNE Philippe.Beaune@emse.fr 18 novembre 2008 Passer en revue quelques idées fondatrices de l ingénierie
Plus en détailScénarios économiques en assurance
Motivation et plan du cours Galea & Associés ISFA - Université Lyon 1 ptherond@galea-associes.eu pierre@therond.fr 18 octobre 2013 Motivation Les nouveaux référentiels prudentiel et d'information nancière
Plus en détailSAP SNC (Supply Network Collaboration) Web Package. (Français / English) language. Edition 2013 Mars
SAP SNC (Supply Network Collaboration) Web Package (Français / English) language Edition 2013 Mars Direction des Achats Philippe.longuet@sagemcom.com Date: 28/03/13 Sagemcom portal Content of presentation
Plus en détailSimulation D une Chaîne Logistique À Echelle Réelle
Simulation D une Chaîne Logistique À Echelle Réelle sous Arena A. Bensmaine 1, L. Benyoucef 2 et Z. Sari 1 1 Laboratoire d Automatique, Université de Tlemcen, Algérie ({a_bensmaine, z_sari}@mail.univ-tlemcen.dz)
Plus en détailProposition de modèles conceptuels basés sur le PLM (Product Life cycle Management) pour l optimisation de la chaîne logistique
Proposition de modèles conceptuels basés sur le PLM (Product Life cycle Management) pour l optimisation de la chaîne logistique Imane Bouhaddou (*), Abdellatif Benabdelhafid (**) (* ) : Laboratoire Mathématique,
Plus en détailbasée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML
basée sur le cours de Bertrand Legal, maître de conférences à l ENSEIRB www.enseirb.fr/~legal Olivier Augereau Formation UML http://olivier-augereau.com Sommaire Introduction I) Les bases II) Les diagrammes
Plus en détailL OBSERVATOIRE DE LA BIOLOGIE DE SYNTHESE SYNTHETIC BIOLOGY OBSERVATORY
L OBSERVATOIRE DE LA BIOLOGIE DE SYNTHESE Un outil au service du dialogue entre sciences et société SYNTHETIC BIOLOGY OBSERVATORY A resource to foster dialogue between sciences and society Solène Margerit,
Plus en détailL ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES. European Economic and Social Committee Comité économique et social européen
L ESPACE À TRAVERS LE REGARD DES FEMMES 13 European Economic and Social Committee Comité économique et social européen 13 This publication is part of a series of catalogues published in the context of
Plus en détailLa Supply Chain. vers un seul objectif... la productivité. Guy ELIEN
La Supply Chain vers un seul objectif... la productivité Guy ELIEN juin 2007 Sommaire Le contexte... 3 le concept de «chaîne de valeur»... 3 Le concept de la Supply Chain... 5 Conclusion... 7 2 La Supply
Plus en détailLean approach on production lines Oct 9, 2014
Oct 9, 2014 Dassault Mérignac 1 Emmanuel Théret Since sept. 2013 : Falcon 5X FAL production engineer 2011-2013 : chief project of 1st lean integration in Merignac plant 2010 : Falcon 7X FAL production
Plus en détailREVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA
REVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA Contents 1 2 3 4 GENERAL FRAMEWORK THE AFRICAN CONTINENT: SOME LANDMARKS AFRICAN NETWORKS: STATE OF PLAY STRATEGY: DESTINATION 2040 Contents 1 2 3 4 GENERAL FRAMEWORK
Plus en détailLa formation continue Supply Chain & Achats Centrale Paris Executive Education. Ecole Centrale Paris Executive Education
La formation continue Supply Chain & Achats Centrale Paris Executive Education qui est recruté? qui est formé? Les offres d emplois (200 par mois) représentent la partie visible du marché: tous les autres
Plus en détailGLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER
GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION
Plus en détailMaster Data Management Données, ROI et Méthodologie
Master Data Management Données, ROI et Méthodologie Paris, 27 octobre 2005 Laurent Cornu - Partner CRM/BI Leader 2005 IBM Corporation Agenda : Les questions à se poser dans le cadre d un projet Master
Plus en détailUML (Diagramme de classes) Unified Modeling Language
UML (Diagramme de classes) Unified Modeling Language Sommaire Introduction Objectifs Diagramme de classes Classe (Nom, attribut, opération) Visibilité et portée des constituants d une classe Association
Plus en détailLa gestion des Connaissances pour l amélioration des performances des modèles
La gestion des Connaissances pour l amélioration des performances des modèles Présenté par: Abir Fathallah doctorante, Laboratoire Génie Industriel Ecole Centrale Paris Sous la direction de: Julie Le Cardinal
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailLa globalisation des Supply Chains : Quelle place pour le Risk Management?
La globalisation des Supply Chains : Quelle place pour le Risk Management? Mohammed Amine Balambo, Mohamed Haouari To cite this version: Mohammed Amine Balambo, Mohamed Haouari. La globalisation des Supply
Plus en détailARIS : Des Processus de gestion au Système Intégré d Applications
ARIS : Des Processus de gestion au Système Intégré d Applications Présentation de IDS Scheer IDS Scheer propose des solutions dédiées au management de l'entreprise par les processus. Avec la solution ARIS,
Plus en détailMODELISATION UN ATELIER DE MODELISATION «RATIONAL ROSE»
MODELISATION UN ATELIER DE MODELISATION «RATIONAL ROSE» Du cours Modélisation Semi -Formelle de Système d Information Du Professeur Jean-Pierre GIRAUDIN Décembre. 2002 1 Table de matière Partie 1...2 1.1
Plus en détailStage Ingénieur en développement logiciel/modélisation 3D
Ingénieur en développement logiciel/modélisation 3D Schlumberger recrute un(e) stagiaire ingénieur en modélisation 3D pour la plate-forme Petrel. Vous serez intégré(e) au sein d une équipe innovante, Petrel
Plus en détailThales Services, des systèmes d information plus sûrs, plus intelligents www.thalesgroup.com
, des systèmes d information plus sûrs, plus intelligents www.thalesgroup.com Thales, leader mondial des hautes technologies Systèmes de transport, Espace, Avionique, Opérations aériennes, Défense terrestre,
Plus en détailVers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services
69 Vers une approche Adaptative pour la Découverte et la Composition Dynamique des Services M. Bakhouya, J. Gaber et A. Koukam Laboratoire Systèmes et Transports SeT Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailLe tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique.
Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique. Introduction Face à l évolution constante des besoins fonctionnels et des outils informatiques, il est devenu essentiel pour
Plus en détailFrequently Asked Questions
GS1 Canada-1WorldSync Partnership Frequently Asked Questions 1. What is the nature of the GS1 Canada-1WorldSync partnership? GS1 Canada has entered into a partnership agreement with 1WorldSync for the
Plus en détailFOUNDATIONS OF SYSTEMS AND PROPERTIES: METHODOLOGICAL SUPPORT FOR MODELING PROPERTIES OF SOFTWARE-INTENSIVE SYSTEMS
FOUNDATIONS OF SYSTEMS AND PROPERTIES: METHODOLOGICAL SUPPORT FOR MODELING PROPERTIES OF SOFTWARE-INTENSIVE SYSTEMS THÈSE N O 3013 (2004) PRÉSENTÉE À LA FACULTÉ INFORMATIQUE ET COMMUNICATIONS Institut
Plus en détailBienvenue. au Pôle. de l ENSAMl
Bienvenue au Pôle Méditerranéen en de l Innovationl de l ENSAMl 2007 Le réseau r ENSAM Design Prototypage rapide Réalité virtuelle Laval Qualité Hygiène Sécurité, Environnement Innovation Mimet La CPA
Plus en détailThe UNITECH Advantage. Copyright UNITECH International Society 2011. All rights reserved. Page 1
The UNITECH Advantage Copyright UNITECH International Society 2011. All rights reserved. Page 1 Two key aspects of UNITECH Distinctive by being selective Standing out while fitting in The Wide and Varied
Plus en détailVERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION SUPERIEUR DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT TITRE DU PROJET
PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TITRE DU PROJET VERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION ETABLISSEMENT GESTIONNAIRE DU PROJET ISET DE NABEUL JUILLET 2009
Plus en détailAtelier C08. How to monitor Supply Chain Risks? Cartographie de la Supply Chain et des (inter)dépendances 9/2 2012 2:30 PM
Atelier C08 How to monitor Supply Chain Risks? Cartographie de la Supply Chain et des (inter)dépendances 9/2 2012 2:30 PM 1 Atelier C08 Intervenants Céline Le Bars Guillaume Monville Christian Kert Patrick
Plus en détailPORTNET Guichet Unique Marocain du Commerce Extérieur
Multi-year Expert Meeting on Transport, Trade Logistics and Trade Facilitation Second Session Trade facilitation rules as a trade enabler: options and requirements Geneva, 1 3 July 2014 PORTNET Guichet
Plus en détailLes simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R
Les simulations dans l enseignement des sondages Avec le logiciel GENESIS sous SAS et la bibliothèque Sondages sous R Yves Aragon, David Haziza & Anne Ruiz-Gazen GREMAQ, UMR CNRS 5604, Université des Sciences
Plus en détailSolutions industrielles pour l ingénierie des systèmes complexes
Solutions industrielles pour l ingénierie des systèmes complexes Atego Seminar Paris, 03.04.2014 Copyright Copyright 2014 2014 Atego. Atego. 1 Solutions industrielles pour l ingénierie des systèmes complexes
Plus en détail