Des pratiques hors école de lycéens et lycéennes : des spécificités selon les territoires

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1 Des pratiques hors école de lycéens et lycéennes : des spécificités selon les territoires Résumé Aurélie Seznec Doctorante en Sociologie, Université de Bretagne Occidentale Laboratoire LABERS Le présent article s appuie sur un travail de thèse qui porte sur les pratiques et stratégies éducatives familiales mises en place en dehors de l école. Il va s agir ici d exposer brièvement et d analyser nos données quantitatives (2653 questionnaires recueillis auprès de lycéens et lycéennes) au regard de la problématique des enjeux et des influences de la variable territoriale. Les pratiques hors école comme la prise de cours particuliers et les activités extrascolaires restent dépendantes du territoire et plus précisément des lieux de scolarisation et d habitation des jeunes. Des corrélations entre pratiques «hors école» et espaces de vie confirment l impact de la dimension spatiale dans le parcours scolaire et éducatif des lycéens. Mots clés : Lycée / cours particuliers / activité extrascolaire / commune de résidence A côté de l école, une part du travail scolaire s effectue en dehors de ses murs et ces activités sont de plus en plus une condition à la réussite scolaire. La place prise par les biens et services «scolaires» est un indicateur de l importance de l enjeu scolaire. Certaines familles mettent ainsi en place une véritable «pédagogisation de la vie quotidienne». On peut relever également le terme de parentocratie 1 employé notamment par Agnès Van Zanten (2007), qui signifie le développement d un suivi plus intense de la scolarité des enfants, un système dans lequel les désirs mais aussi les moyens que déploient les parents jouent un rôle central. Il importe d observer ces transformations qui ont suscité la mise en place des pratiques et stratégies reliant le «hors école» et ce qui se joue au sein des établissements scolaires. Les études menées depuis les années 1980 ont confirmé l ampleur des mobilisations des familles en matière scolaire. Dominique Glasman relève à ce sujet ce qu il appelle «l envahissement du scolaire», phénomène qui ne cesse de se développe largement depuis plus de 30 ans, sous forme entre autres de dispositifs d accompagnement destinés aux élèves. L objectif global de ma thèse est de saisir ce que les familles mettent en œuvre vis-à-vis de l école, ceux qu elles y investissent et de discerner la diversité et les spécificités des pratiques éducatives familiales. Analyse des pratiques et mobilisations des élèves au regard du territoire De nombreuses recherches en sociologie se sont intéressées à l importance que prend le caractère spatial des pratiques et des stratégies éducatives, dès lors qu elles s inscrivent dans des espaces résidentiels et scolaires différenciés. On peut se référer ici notamment aux travaux de François Poupeau (2008), Agnès Van Zanten (2004) ou encore Marc Oberti (2007). Pour notre part, il va s agir de mesurer l impact du territoire, et plus précisément d observer l influence des lieux de scolarisation et d habitation des lycéens sur les pratiques mises en place et les choix effectués, comme la prise de cours particuliers ou encore la pratique d activités extrascolaires. L ombre portée par l école s étend régulièrement sur les activités pratiquées en dehors, on parle de temps «semi scolaire» pour reprendre les termes de Joël Zaffran, d où notre intérêt de s intéresser au temps libre des lycéens et lycéennes et 1 Van Zanten A. (2007). La montée de la parentocratie, XYzep, numéro 27. 1

2 donc de prendre en compte les «effets de contexte» et les offres éducatives étant susceptibles de donner sens aux pratiques hors école mises en place. Terrain et méthodologie Pour ce qui concerne le terrain de notre étude, il nous faut préciser brièvement les caractéristiques de la région bretonne et de l académie de Rennes, souvent présentée comme l académie de «toutes les réussites» 2. Le terme «Excellence Scolaire» accolé par Bernard Pouliquen dans le titre de son ouvrage sur le sujet rappelle le caractère particulier du territoire. Il faut souligner l importance des deux réseaux, public et privé, et donc l existence d une offre scolaire plurielle, également un attachement assez singulier de la population au système scolaire et à ses promesses. Au sein de cet «idéal scolaire breton» des disparités sociales et territoriales existent bel et bien, d où l intérêt de questionner les pratiques des familles bretonnes. Nous avons réalisé une enquête quantitative dans onze établissements scolaires bretons. Les noms des lycées utilisés sont fictifs, ceux commençant par le nom d un saint correspondent à des établissements privés. L échantillon des lycées a été construit suivant plusieurs critères tels que la localisation géographique et la taille de la commune où il est situé, le statut de l établissement (privé ou public), la composition sociale de son public lycéen 3 (Figure 1). La représentativité recherchée renvoyait à l intérêt d obtenir une photographie de la population lycéenne bretonne. Chaque élève, de la seconde à la terminale, a été invité à répondre à un questionnaire en ligne. Nous avons fait le choix de partir d un échantillon des lycées et non des lycéens : ce choix a été guidé dans l idée d actualiser en partie les données de l enquête effectuée il y a plus de 20 ans par Dominique Glasman et Georges Collonges (1994), menée en région Rhônes-Alpes 4 sur la question des cours particuliers. Grille de lecture spatialisée des données collectées Si des spécificités spatiales dans la pratique ou non d activités extrascolaires ont été mises en avant dans un certain nombre de recherches, avec des précisions apportées sur la différence de nature et de structure de ces activités, les résultats du questionnaire ne nous permettent pas de préciser autant les choses. Les variables mobilisées ici sont l établissement fréquenté et la commune de résidence, mais pour autant nous avons utilisé cette variable «territoire» en tant que variable potentiellement explicative des différences dans les pratiques du «hors école». A partir des résultats portant sur les 2653 jeunes enquêtés, un premier élément que l on peut relever est le fait que les élèves ayant répondu aux questionnaires sont scolarisés en majorité dans le public (74,6%) et que près de 80% d entre eux suivent une section générale. On peut noter aussi une sur représentation des lycéens du Finistère et une sous représentation dans le département de l Ile et Vilaine ; ces chiffres renvoient évidemment au nombre et à la localisation des établissements qui ont accepté de participer à notre enquête. Au niveau du lieu de résidence, 306 communes différentes ont été relevées. Les communes urbaines sont numériquement plus importantes (notamment celles correspondant à la catégorie 111 et 112 définies par l INSEE ; grands pôles et couronnes des grands pôles). 26.7% des élèves interrogés ont déjà pris des cours particuliers au cours de l enseignement secondaire et 20.9% l ont déjà envisagé. Lorsque nous leur avons demandé s ils avaient des activités extrascolaires, sans préciser, le cadre formel ou non, 71.1% ont répondu positivement. Reste à s interroger sur le fait que ces pratiques sont ou non susceptibles de se différencier suivant l établissement scolaire fréquenté. Quel est par exemple l impact du lieu de résidence sur les pratiques 2 Rapport : Evaluation de l enseignement dans l académie de Rennes, septembre Données recueillies auprès du Service études, prospective, pilotage et performance du rectorat de l académie de Rennes (chiffres ). 2

3 des uns et des autres? Les choix hors école comme la prise de cours particuliers ou le fait de faire des activités sur son temps libre sont-ils localement différenciées? Analyse des résultats et quelques pistes d interprétation Le lieu de scolarisation influence-t-il les pratiques hors école? Les pratiques apparaissent assez spécifiques suivant les établissements scolaires où les un(e)s et les autres émargent. Le croisement de la variable «établissement fréquenté» avec celle se rapportant à la prise de cours particuliers aboutit à une dépendance très significative. La proportion d élèves ayant pris des cours varient sensiblement d un établissement à l autre, de 21,7% dans un lycée public à 47.3% scolarisés dans un établissement privé ; les élèves scolarisés dans l enseignement privé ont un recours plus massif aux cours particuliers (Tableau 1). On peut avancer l hypothèse que les familles scolarisant leur enfant dans l enseignement privé sont plus disposées à s appuyer sur leurs propres ressources en ce qui concerne la scolarité. Pour autant la composition sociale de l établissement est un facteur important à prendre en compte, on remarque d ailleurs une sur représentation de «preneurs de cours» dans un lycée public qui compte 48% d enfants issus de catégories sociales très favorisées. La taille de la ville où est situé le lycée semble peser beaucoup moins dans la pratique ou non des cours particuliers. Au sein de notre échantillon, figurent deux établissements situés dans des petites villes : les pourcentages les moins élevés d élèves inscrits dans des cours particuliers renvoient à dans des lycées de ville de taille moyenne. A présent, si nous nous penchons sur la pratique ou non d activités extrascolaires, la dépendance, est là aussi très significative. On peut noter par exemple, chez les «non pratiquants», une sur représentation renvoyant à un lycée public, comptant 27% d élèves de catégories sociales défavorisées. Un des établissements comptant le plus fort taux d élèves se déclarant pratiquer une activité en dehors des cours est un lycée privé (plus de 80%). Cependant, au vu des profils sociaux de ses élèves (moins de 20% d entre eux ont des parents appartenant à des milieux très favorisés - taux le plus bas par rapport aux autres lycées publics et privés -), d autres facteurs doivent être pris en compte que la seule origine sociale pour expliquer ces différences de pratiques. Étant donné que les pratiques extra scolaires se déroulent sur le temps libre, hors les murs de l école, nous allons à présent nous arrêter sur l influence que peut avoir la commune de résidence des lycéens et lycéennes interrogés. Y a-t-il une corrélation entre le lieu d habitation et les pratiques des lycéens en dehors des cours? Résider dans une ville plutôt que dans une autre peut avoir un impact sur les choix et les pratiques compte tenu de l offre locale. De nombreux travaux ont mis en avant l existence de fortes inégalités au niveau du temps libre des jeunes selon le sexe, l âge mais aussi au niveau de la dimension spatiale. Nous avons noté d ailleurs, pour ce qui concerne le genre, une sur représentation féminine dans la non pratique : près de 34% des lycéennes déclarent ne pas pratiquer d activités en dehors du lycée alors que les lycéens sont près de 80% à pratiquer une ou des activités sportives, artistiques ou culturelles en dehors des heures de cours (Tableau 2). Ceci fait écho à des recherches montrant le poids des différences de sexe dans la structuration et gestion du temps libre (Boyer 1991, Zaffran 2000). Avant de traiter du lieu d habitation, il faut revenir sur les choix opérés ici au niveau du découpage et de la catégorisation des espaces. Le nombre d habitants des communes renseigne en partie mais masque l aspect plus ou moins isolé de certaines communes, l analyse s appuie sur différents découpages et l idée est de pouvoir distinguer les communes à dominante rurale et celle plus urbaine. Au-delà de la taille de la commune, les modalités mises en œuvre par l INSEE pour catégoriser le zonage en aires et également le caractère urbain, périurbain ou rural (ou plutôt «hors influence urbaine» pour reprendre la terminologie utilisée par l INSEE) sont à prendre en compte. En effet nous pouvons noter que dans les communes de résidences des lycéens qui comptent moins de 2000 habitants, existe une sur représentation de la non pratique d activités extrascolaires, mais 3

4 pourtant il existe une sorte d «effet de seuil» puisque la proportion d élèves pratiquant une ou des activités n augmente pas parallèlement à la taille de la commune. En effet nous pouvons voir une sous représentation en ce qui concerne les communes de plus de habitants. Pour affiner ces observations, il est intéressant de regarder l influence des catégories de communes telles qu elles sont utilisées par l INSEE, et plus spécifiquement les proportions de communes isolées hors influence des pôles (modalité 400). Les élèves résidant dans ces communes se démarquent nettement des autres, nous pouvons noter une sur représentation d élèves qui disent ne pas pratiquer d activités extrascolaires. Au regard du découpage, commune urbaine - périurbaine et rurale, les disparités spatiales sont une fois de plus mises en avant : 36.9% des jeunes ruraux déclarent ne pas pratiquer d activités contre 27.6% des jeunes urbains, soit une différence de près de 10 points. Qu en est-il du côté des cours particuliers? Est ce que cette singularité des espaces ruraux se retrouve dans la prise de cours ou son absence? De fait, ici, la taille des communes de résidence ne semble pas avoir d influence, du moins pour ce qui est de la population que nous avons mobilisée, contrairement aux propos mis en avant dans un article (Collas, 2013) portant sur la prise de cours particuliers. Il faut préciser que le travail de Thomas Collas s appuie sur une partie des données de l «Enquête permanente sur les conditions de vie des ménages» (EPCV, Insee, octobre 2003), l auteur note que le taux de recours aux cours particuliers augmente avec la taille de l agglomération. Evidemment le champ de l enquête EPCV est différent du nôtre compte tenu notamment du poids de l agglomération parisienne et des communes de plus habitants. Lorsque la variable «type de commune» est utilisée, la prise de cours particuliers est moins présente chez les enquêtés habitant dans des espaces ruraux par rapport à ceux habitant dans des aires urbaines. Nous avons observé par ailleurs une nette sur représentation des «preneurs de cours» dans les communes péri-urbaines, sensibles aux changements de composition sociale ces dernières années. Plusieurs recherches ont montré en quoi la densité de l offre locale de cours particuliers est à prendre en compte, on peut relever toutefois que, au sein de notre échantillon, les deux établissements où les «preneurs de cours» sont sur représentés sont situés dans des villes qui n ont pas de formations postbacs (or on pourrait avancer l idée que cela peut être un vivier potentiel d étudiants «donneurs de cours»), et assez étonnamment, les lycéens sous représentés dans la prise de cours particuliers sont scolarisés dans une ville possédant des entreprises de cours particuliers et des formations post-bacs. Une des explications possibles à ce constat est que le marché des cours particuliers semble s être assez profondément modifié au cours du temps : le poids des petites annonces publiées notamment sur le site Internet «Le Bon coin» 5 peut rendre compte, du moins en partie, de cette évolution. Les enquêtés sont passés pour la plupart par le système des petites annonces lorsqu ils ont pris des cours et ont donc moins fait appel aux structures, aux entreprises qui ont pignon sur rue. On peut avancer alors le fait que, la prise de cours particuliers n est plus l apanage des seuls élèves urbains et que les élèves des zones péri-urbaines y font appel autant voire davantage. Les «donneurs de cours» se déplaçant très aisément au domicile de l élève, les problèmes et contraintes liés à la mobilité des jeunes sont alors en partie levés. Reste que les difficultés de déplacement peuvent expliquer les différences au niveau des pratiques d activités extrascolaires qui se déroulent le plus souvent en dehors du domicile, surtout pour les jeunes ruraux. Conclusion : l empreinte du territoire L'objectif de cet exposé était d observer l influence de la dimension spatiale, d une part sur la prise de cours particuliers ou son absence et d autre part sur la pratique ou non d activités extrascolaires. Les premiers éléments énoncés ici viennent plutôt confirmer l idée que résider ou être scolarisé dans telle 5 Le site Internet de petites annonces : 4

5 commune plutôt que dans telle autre peut avoir un impact sur le parcours éducatif et scolaire. Le fait de faire appel à des cours particuliers ou de pratiquer une activité extrascolaire semble être un choix moins aisé pour les lycéens résidant dans des communes rurales, l empreinte du rural pèse plus lourdement sur les pratiques hors école. Il est intéressant de noter d ailleurs que ces deux pratiques, l une immédiatement reliée à l univers scolaire et l autre pensée comme plus «libérée» semblent s articuler, puisque l on a noté que les élèves déclarant aucune activité extrascolaire sont aussi sous représentés parmi les preneurs de cours particuliers (Tableau 3). Dans tous les cas, le champ éducatif est bien structuré localement, cela tient à l histoire de la scolarisation dans la ville, dans la région, cela tient à l offre locale, mais aussi aux contraintes de déplacements et de transports. L espace peut être identifié comme un «capital» dans ce jeu des pratiques du hors école. Tableaux et figures Figure 1 : Composition sociale des établissements échantillonnés Saint Lambert Stendhal Corneille Verlaine Saint Louvent Montaigne Saint Quentin Queneau Saint Landry Saint Landin Balzac % Catégorie défavorisée % Catégorie moyenne % Catégorie favorisée % Catégorie très favorisée 0% 20% 40% 60% 80% 100% Tableau 1 : Prise de cours particuliers selon le type d enseignement du lycée Prise de cours particuliers Non Oui Total Lycée enseignement Privé 66,7% 33,6% 100% Public 75,6% 24,4% 100% Total 73,3% 26,7% 100% Champ : 2653 lycéens et lycéennes interrogés par un questionnaire en ligne en 2014 Tableau 2 : Pratique d activité(s) extrascolaire(s) selon le sexe Pratique d activité(s) extrascolaires Non Oui Total sexe Homme 21,7% 78,3% 100% Femme 33,4% 66,6% 100% Total 28,3% 71,1% 100% Champ : 2653 lycéens et lycéennes interrogés par un questionnaire en ligne en

6 Tableau 3 : Prise de cours particuliers selon la pratique ou non d activité(s) extrascolaire(s) Pratique d activité(s) extrascolaire(s) Non Oui Total Prise de cours particuliers Non 29,9% (582) 70,1% (1362) 100% (1944) Oui 26% (184) 74% (525) 100% (709) Total 28,9% (766) 71,1% (1887) 100% (2653) Champ : 2653 lycéens et lycéennes interrogés par un questionnaire en ligne en 2014 Bibliographie : Barrère A. (1997). Les lycéens au travail, Paris, Presses Universitaires de France. Boyer R., Bounoure A., Delclaux M. (1991). Paroles de lycéens. Les études, les loisirs, l'avenir Collas T. (2013). Le public du soutien scolaire privé. Cours particuliers et façonnement familial de la scolarité, Revue française de sociologie, Vol. 54. David O. (2014) Le temps libre des jeunes à l'épreuve des contextes territoriaux : pratiques de loisirs et mobilités. In Labadie F. (Dir.), Parcours de jeunes et territoires, Rapport de l'observatoire de la jeunesse 2014, La documentation française. Glasman D., Collonges G. (1994). Cours particuliers et construction sociale de la scolarité, Paris, Centre national de documentation pédagogique (CNDP), Oberti M. (2007). L école dans la ville. Ségrégation mixité - carte scolaire, Paris : Les Presses de Sciences Po. Pouliquen B. (2010). Construire l'excellence scolaire. L'exemple de la Bretagne, CRDP de Bretagne Poupeau F., François J-C. (2008) Le sens du placement. Ségrégation résidentielle et ségrégation scolaire, Paris : Liber, Raisons d agir. Pronovost G. (2009). Le rapport au temps des adolescents : une quête de soi par-delà les contraintes institutionnelles et familiales. Informations sociales, n 153. Van Zanten A (2004). Les classes moyennes, l école et la ville : la reproduction renouvelée, Education et Sociétés, n 14, Bruxelles : De Boeck. Van Zanten A. (2007). La montée de la parentocratie, XYzep, numéro 27. Zaffran J. (2000). Les collégiens, l école et le temps libre, Paris, La Découverte-Syros. 6

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