«PROFIL ÉNERGIE» du territoire de la communauté de communes de Belle-Ile-en-Mer. Situation Janvier 2014
|
|
- Victorien Charbonneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 «PROFIL ÉNERGIE» du territoire de la communauté de communes de Belle-Ile-en-Mer Situation 2010 Janvier 2014 Conseil général du Direction générale des territoires, de l économie et de l innovation Service développement durable Hôtel du département 2 rue de Saint-Tropez CS VANNES CEDEX 9 Tél
2 «PROFILS ÉNERGIE» 1- Présentation de la démarche Considérons deux éléments à titre d exemples : - Le Grenelle de l environnement fixe pour objectifs d ici 2020 de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre (GES), d améliorer de 20 % l efficacité énergétique et d atteindre une part de 23 % d énergies renouvelables dans la consommation d énergie finale. Quelle déclinaison peut-on faire à un niveau local de ces objectifs alors que la consommation globale d énergie du tend à augmenter? (+ 6 % d énergie finale entre 2005 et 2010 Source OREGES) - Le Résidentiel est le premier secteur consommateur d énergie en Bretagne et dans le. La part du revenu moyen des foyers morbihannais destinée à la dépense énergétique augmente. La proportion des familles atteignant le seuil de précarité énergétique va-t-il évoluer avec l augmentation du prix des énergies fossiles et de l électricité? Ces constats ainsi que les interrogations qu ils induisent illustrent l importance des enjeux de l énergie sur nos territoires. Pour mieux maîtriser ces enjeux et construire des réponses à la mesure des défis du changement climatique, le Conseil général du conduit une démarche territoriale à destination des EPCI et des morbihannais. Il met au service des collectivités territoriales toutes les informations et les outils dont dispose le département. Les EPCI sont compétents sur plusieurs sujets relatifs à la maîtrise de l énergie et au développement des énergies renouvelables (habitat, transports, développement économique, ZDE ). L objectif est de proposer à ces collectivités un «Profil» énergétique de leur territoire, c'est-à-dire une information synthétique sur les consommations d énergies, les émissions de gaz à effet de serre et les potentiels de production de quatre ressources d énergies renouvelables. Ce profil s attache au domaine de l énergie ; il n a pas vocation à se substituer au «Diagnostic» d un plan climat énergie territorial (PCET) dans les EPCI soumis à l obligation règlementaire (l étude n intègre pas notamment le volet vulnérabilité des territoires). L outil propose une analyse globale des consommations énergétiques et des émissions de GES mais aussi les tendances détaillées par secteur d activité (résidentiel, transports, agriculture...) et par nature d énergie. Il permet également la lecture d un territoire dans le contexte départemental. Cette contribution est destinée aux élus et aux acteurs locaux pour leur permettre d identifier les problématiques territoriales, de mesurer les priorités et les axes d intervention possibles. Les informations présentées sur les consommations énergétiques ont été estimées à l année Pourquoi cette actualisation des données? 1- La volonté de transmettre une information récente aux élus, qui prend en compte les tendances régionales et départementales sur la consommation durant ces dernières années. 2- Le choix d une analyse suivant des données rapportées à des indicateurs datés de 2010 et qui paraissent pertinents pour caractériser un territoire : l habitant, les surfaces de bâtiments (résidentiel et tertiaire), le nombre d emplois par secteur d activité, le prix de l énergie Mais aussi pour donner une estimation plus juste de la part que peut représenter le potentiel d énergies renouvelables d un territoire par rapport à sa consommation énergétique. La méthodologie et les sources de données employées pour la réalisation d un «Profil Énergie» sont présentées dans le document général «Profil Energie : éléments méthodologiques». 2
3 DONNÉES GLOBALES - CONSOMMATIONS ÉNERGÉTIQUES Énergie : un coût d environ 16 millions d euros sur le territoire de Bilan des consommations d'énergie primaire par secteur (en tep) Près de tep consommées en 2010 La consommation d'énergie primaire sur le territoire de s élève à tep en 2010 soit 1 % de la consommation totale du. La dépense énergétique globale ramenée à l habitant est d environ euros, coût supérieur de 400 euros à la moyenne morbihannaise. Les 3/4 de l énergie consommée par les bâtiments L'habitat mobilise 57 % des consommations d'énergie primaire. Le parc résidentiel est très consommateur d énergie, il représente une part énergétique supérieure de 17 points à la moyenne départementale. Les consommations énergétiques des bâtiments hébergeant les activités tertiaires représentent environ 17 % de la consommation globale. Fret et transports de voyageurs représentent 20 % des consommations énergétiques. En tep (EP) Electricité GPL Produits pétroliers Bois Charbon Total Total (en tep) Parts Résidentiel % Tertiaire % Total bâtiment % Fret % Transport de voyageurs % Total transport % Industrie % Agriculture % Pêche % Total % Consommation en tep ramenée à l habitant Résidentiel 2,11 1,30 Tertiaire 0,64 0,48 Total bâtiment 2,75 1,78 Fret 0,07 0,23 Transport de voyageurs 0,68 0,46 Total transport 0,75 0,70 Industrie 0,07 0,63 Agriculture 0,08 0,11 Pêche 0,06 0,01 Consommation d'énergie primaire globale (2010) Consommation d'énergie primaire globale (2005) 3,71 3,22 3,56 3,13 (Sources : EnerGES-OREGES Cf. méthodologie / Insee) La population de est de habitants en 2010 soit environ 1 % de la population morbihannaise. L estimation 2010 indique que le ratio des consommations par habitant augmente légèrement depuis 2005 (de 3,56 tep en 2005 à 3,71 tep en 2010) et reste supérieure à la moyenne morbihannaise. L activité touristique de l île et l augmentation ponctuelle de la population augmente les ratios de consommation par habitant. Outre l activité touristique, le secteur économique (industrie, agriculture, pêche) présente un faible impact sur les consommations énergétiques. L électricité représente plus de la moitié de l énergie consommée L'électricité ( tep, soit 55 % de la consommation) et les produits pétroliers (6 000 tep, soit 31 % de la consommation) sont les deux énergies les plus consommées devant le bois (12 %). Cette répartition s explique par l absence d approvisionnement en gaz sur le territoire. L électricité est principalement utilisée pour l habitat (70 %) et les activités tertiaires (25 %). Deuxième source énergétique, les produits pétroliers sont employés majoritairement pour les transports de voyageurs (60 %). Estimation de la dépense énergétique ramenée à l habitant Population (2010) Consommation totale en tep (2010) Dépense énergétique totale en euros Dépense énergétique totale en euros / habitant (Sources : EnerGES-OREGES Cf. méthodologie / Insee / Ministère EEDDM) (Source : EnerGES-OREGES Cf. méthodologie) 3
4 DONNÉES GLOBALES ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE Le transport principal secteur émetteur de GES Répartition des émissions de Gaz à Effet de Serre par secteur Pêche 3% Déchets 11% Transport 33% Un faible impact carbone sur le teq CO2 sur représentent 1 % des émissions de gaz à effet de serre du. Excepté les émissions dues à l'activité agricole et aux déchets, les émissions de GES sont principalement d'origine énergétique pour tous les secteurs d'activités. Un tiers des GES émis par le secteur des transports Émissions de GES en teq CO2 En teq CO2 énergétiques Émissions en teq CO2 par habitant nonénergétiques Total Total Parts Résidentiel % Tertiaire % Total bâtiment % Fret % Transport de voyageurs Agriculture 23% Tertiaire 10% % Total transport % Industrie % Agriculture % Déchets % Pêche % Total (hors UTCF) % Part (%) 69 % 31 % 100 % UTCF Résidentiel 1,20 1,45 Tertiaire 0,65 0,54 Total bâtiment 1,85 1,99 Fret 1,0 0,77 Résidentiel 17% Fret 3% Le secteur Transport représente environ 35 % des émissions de GES de ce territoire avec teq CO2 émises. La part des émissions relatives aux transports est supérieure à la moyenne du (30 % sur l ensemble du département). Elle s explique en partie par les flux liés à l activité touristique, aux excursions et déplacements exceptionnels effectués le week-end. L agriculture (23 %) représente le second secteur d émission de GES devant l habitat (17 %). Cependant, la part des émissions liées à l'activité agricole reste relativement limitée sur le territoire : 23 % seulement contre 31 % sur le département. Ces émissions sont d origine non-énergétique à 85 % et résultent principalement des activités d élevage. Le secteur tertiaire est à l origine de 10 % des émissions de GES notamment les activités de commerces, hôtels et restaurants. Avec près de teq CO2 d émissions non-énergétiques, les déchets sont à l origine de 11 % de gaz à effet de serre soit une estimation bien supérieure à la moyenne départementale. C est en partie la conséquence de l enfouissement sans valorisation des ordures ménagères et autres déchets non dangereux sur l île. Malgré la pression de l activité touristique sur le territoire, le bilan des émissions de GES par habitant (6,9 teq CO2/hab) est inférieur à celui du département (7,7 teq CO2/hab). Une compensation des UTCF inférieure à la moyenne morbihannaise Les UTCF (utilisations des terres, leurs changements d utilisation et la forêt) sont une estimation du potentiel d absorption de gaz à effet de serre par les surfaces inchangées (forêts, prairies permanentes ) moins les émissions dues aux changements d affectation des terres (défrichements, retournement de prairie...). Pour la communauté de communes de, les UTCF compensent seulement 3 % des gaz à effet de serre émis sur le territoire. Par comparaison, la part des UTCF du compense 17 % des gaz à effet de serre émis sur le département. Transport de voyageurs 1,49 1,56 Total transport 2,49 2,33 Industrie 0,05 0,69 Agriculture 1,56 2,37 Déchets 0,75 0,27 Pêche 0,20 0,03 Total des émissions 6,90 7,68 (Sources : EnerGES / Insee) 4
5 LES TRANSPORTS Un budget carburant moyen d environ euros par famille Émissions de GES en teq CO2 Part sur totales l'ensemble des (en teq CO2) émissions totales (en teq CO2) Part sur l'ensemble des émissions Transport global % % Transports de voyageurs Mobilité quotidienne (déplacements réguliers des personnes) Mobilité exceptionnelle (tourisme et excursion) Total transport de voyageurs Transport de marchandises % % % % % % % % La consommation d énergie liée aux transports en 2010 est d environ tep, soit : - 20 % de la consommation énergétique totale du territoire. - environ 1 % de la consommation totale des transports sur le. Comparaison des émissions de GES en teq CO2 par habitant et distances moyennes Parts Distances en teq moyennes CO2/hab en Km Parts Transports de marchandises en teq CO2/hab Consommations d'énergie et émissions de GES par mode de transport Distances moyennes en Km Travail 12% 0, % 0,38 14 Scolaire 4% 0, % 0,06 13 Loisirs 30% 0, % 0,22 6 Achats 16% 0, % 0,12 6 Autres 38% 0, % 0,39 8 Total 100% 1, % 1,17 47 Consommations (tep) Parts (teq CO2) Parts Fer 8 2 % 2 0,2 % Route % % Voies Navigables 2 1 % 7 0,8 % Air % % Mer % % Total % % Influence de la mobilité exceptionnelle et touristique La situation des transports sur est un cas particulier. En effet, les déplacements exceptionnels de personnes liés au tourisme, aux excursions et aux activités de week-end sont la principale source de consommations énergétiques et d émissions de GES. est un pôle touristique qui génère un trafic important en période estivale mais aussi un afflux de visiteurs résidants des agglomérations et du département. 8 % du bilan énergétique des transports sont attribués à des déplacements multiples qui intègrent la part des traversées en bateau. Contrairement à la situation départementale, la mobilité quotidienne des îliens sur les courtes distances n est pas prépondérante. Les déplacements réguliers dédiés au travail ont ainsi un impact plus faible sur le bilan des émissions de GES, la distance moyenne domicile-travail étant très inférieure à celle du département. À noter que 90 % des actifs travaillent sur l île (64 % sur leur commune de résidence). Pour cette catégorie des déplacements réguliers, 30 % des émissions de GES sont attribués aux loisirs et 38 % à la catégorie «autres» pour l accès aux services (soins médicaux, déchets, administrations ) et les distances effectuées pour les visites privées (famille, amis ). La voiture demeure cependant le mode de transport le plus utilisé par les citoyens (plus de 80 %). L offre et l organisation en transports collectifs sont donc un enjeu important pour l île. Cette offre serait à proposer pour les activités du quotidien mais aussi pour minimiser l impact des véhicules touristiques sur zone. Impact du fret relativement négligeable La base de données EnerGES pour le fret présentent des incertitudes à l échelle de l île. Des mesures complémentaires de terrain pour affiner les données sont nécessaires pour permettre une analyse du secteur. Suivant les estimations obtenues, le transport de marchandises représente seulement 9 % des consommations et des émissions de GES du transport. L'impact de cette activité est très inférieur à la moyenne départementale (33 %). Les transports de produits agricoles et alimentaires et de produits manufacturés représentent la majorité des activités de fret. Le bilan énergétique effectué pour le fret inclut l ensemble des transports nécessaires à l acheminement d un produit. Dans ce cas, les transports routiers affichent la part énergétique la plus importante (58 %) et l influence des transports maritimes de marchandises reste dans la moyenne départementale (un tiers des consommations et des émissions). Une réduction globale des émissions de GES de 20 % sur le territoire, signifierait une baisse de teq CO2. Cette valeur est équivalente à 60 % des gaz à effet de serre émis par les déplacements de personnes en voiture individuelle. Les tep consommées par les transports de voyageurs correspondent à un coût global d environ 5 millions d euros sur le territoire de, soit euros par foyer. 5
6 LE RÉSIDENTIEL Un impact énergétique fort malgré des constructions récentes et performantes Consommations énergétiques de l ensemble du parc résidentiel. Consommation énergétique totale du parc résidentiel en 2005 (somme des surfaces habitables en 2005) Consommation énergétique totale du parc résidentiel en 2010 (somme des surfaces habitables en 2010) en en MWh KWh/m²/an en en MWh KWh/m²/an Résidences principales Les 3/4 des énergies consommées pour le chauffage Le secteur résidentiel représente 57 % des consommations totales (avec 130 GWh par an) et 17 % des émissions de GES (6 000 teq CO2 environ). Cette part est bien supérieure à la moyenne des consommations énergétiques établie sur le (40 %). La dépense énergétique du logement ramenée à l habitant est 40 % supérieure à celle du département. 75 % de l'énergie primaire consommée dans l habitat sont consacrés au chauffage des foyers. L'électricité est la première source énergétique utilisée (65 % environ) devant le bois (20 %) et le fioul (11 %). Un parc relativement récent, centré sur l'électricité Un logement moyen de l île consomme une quantité d énergie de 260 KWh/m²/an soit environ KWh/an sur la base d une habitation de 85 m² (surface moyenne estimée d un logement de ). Ce niveau de consommation apparaît élevé au regard des nouvelles réglementations thermiques (objectifs RT 2012 pour la construction : 55 KWh/m²/an et objectifs RT 2012 pour la rénovation : 88 KWh/m²/an). Il est cependant inférieur à la moyenne du (292 KWh/m²/an) en Ce résultat s explique par la part importante de résidences secondaires sur le territoire (50 % des habitations) qui nécessitent moins d énergie de chauffage. Cette estimation traduit aussi une amélioration de l efficacité énergétique de l ensemble des nouvelles constructions. profite en effet d un parc immobilier récent avec notamment 32 % des résidences principales construites après 1990 (et environ 25 % après 1975, année de la première réglementation thermique). 60 % de ces nouvelles constructions utilisent l énergie électrique plutôt que le fioul ou le bois. Il reste un effort important à réaliser sur la totalité des anciennes constructions (avant 1975) qui présentent en majorité un diagnostic de performance énergétique classé G (> 450 KWh/m²/an). Un des objectifs du Grenelle de l environnement est de réduire la consommation énergétique globale de 20 %, soit une baisse d environ MWh pour le territoire de. Appliqué au seul secteur résidentiel, l effet d un tel changement serait significatif : suivant l objectif fixé par la RT 2012 (BBC pour la rénovation : 88 KWh/m²/an), l effort d efficacité énergétique de MWh porterait sur 55 % du parc de logements pour un coût global estimé à environ 65 millions d euros. Estimation de la dépense énergétique du logement Dépense énergétique du logement (énergie finale) Dépense énergétique du logement par habitant Revenu net moyen déclaré d'un foyer fiscal (en euros) Part de la dépense énergétique du logement sur le revenu moyen 10 % 8 % Dans le cas simplifié d une évolution du coût de l énergie sur une échéance de 5 à 10 ans : - Une augmentation de 30 % du prix de l énergie se traduirait par un surcoût annuel de l ordre de 300 et une part de la dépense énergétique à hauteur de 13 % du revenu moyen. - Une augmentation de 50 % se traduirait par un surcoût annuel de l ordre de 500 et une part de la dépense énergétique à 15 % du revenu moyen. Pour rappel, le seuil de précarité énergétique est fixé à 10 % des ressources consacrées au paiement des factures énergétiques. 6
7 L AGRICULTURE Une contribution au bilan énergétique limitée sur un territoire insulaire Consommations énergétiques et émissions de GES Comparaisons CC /. Consommations d'énergies de GES Répartitions des consommations énergétiques Répartition des émissions de GES par activité tep / emploi agricole 2,9 5,8 Part des consommations totales 2 % 3 % teq CO2 / emploi agricole Part des émissions totales 23 % 31 % (Sources : EnerGES-OREGES Cf. méthodologie / Insee) Total en MWh Part (%) Total en MWh Part (%) Engins agricoles % % Serres % % Bâtiments d'élevage % % Bâtiments bovins % % Bâtiments porcins % % Bâtiments volailles % % Consommation totale % % En teq CO2 énergétiques nonénergétiques Total Part (%) par habitant Elevage % 0,92 Cultures % 0,63 Total % Part (%) 14 % 86 % 100 % Une part des émissions de GES moins importante que sur le département Le secteur agricole représente 23 % des émissions de GES sur le territoire (contre 30 % sur le ) et 2 % de la consommation totale d'énergie. Cette contribution marginale traduit une moins forte implantation de l activité sur le territoire. Ainsi, la part de la surface agricole utile s élève à 33 % de la superficie totale de contre 56 % pour la moyenne morbihannaise. Dans le, les émissions de GES agricoles proviennent à 75 % de l élevage, principalement les vaches laitières et autres bovins (émissions non-énergétiques à 95 %, résultant de la fermentation entérique des animaux). Sur, l orientation des exploitations agricoles vers les pratiques culturales limite le poids de l agriculture dans les émissions de GES du territoire. Les engins agricoles, premiers consommateurs d énergie Les engins agricoles consomment environ MWh ou 206 tep. Cette valeur équivaut à environ litres de carburant soit un coût global de euros sur une année. Les cultures sous serres représentent 34 % des consommations d énergie et des émissions de GES. Elles utilisent principalement le fioul et le GPL comme source d énergie. Des réflexions sont donc à mener pour optimiser l approvisionnement énergétique des serres par des énergies renouvelables. Même si leur impact est limité, les activités d élevage (bovins notamment) représentent encore 60 % des émissions de GES du secteur agricole. Si la réduction des émissions de GES non-énergétiques est peu envisageable, des pistes existent pour compenser ce niveau d émissions : - La méthanisation des effluents d élevage. - La substitution des énergies fossiles par des ressources locales d énergie renouvelable pour chauffer les bâtiments d élevage. - L optimisation des parcellaires et systèmes agricoles pour réduire les consommations de carburants agricoles. - Le développement des agro-carburants. 7
8 L INDUSTRIE ET LE TERTIAIRE Une activité économique entièrement dédié au tourisme NB : Les résultats obtenus pour l industrie et le tertiaire présentent des incertitudes à l échelle réduite d un territoire comme celui de. INDUSTRIE Consommations énergétiques et émissions de GES Comparaisons CC /. Consommations d'énergies de GES tep / emploi industriel 3 10 Part des consommations totales Consommations par secteur d activité 2 % 19 % teq CO2 / emploi industriel 6 11 Part des émissions totales 1 % 9 % (Sources : EnerGES-OREGES Cf. méthodologie / Insee) Total en MWh Part (%) Agro-Alimentaire % Mécanique-Automobile % Minerais % L agroalimentaire principal secteur industriel de l île La consommation du secteur industriel en 2010 est de MWh d'énergie primaire, soit 2 % des consommations totales de. L activité est très faible comparée à la moyenne du département. La ressource la plus utilisée de cette branche est l électricité (87 %) devant les produits pétroliers (9 %). L industrie agroalimentaire concentre 80 % des consommations énergétiques (3 700 MWh en 2010). Cette activité industrielle émet également environ 80 % des GES du secteur. Dans le domaine industriel et notamment les IAA, les pistes d économies d énergie sont à étudier pour réduire les coûts de production et optimiser la compétitivité des entreprises. De même, la substitution de l approvisionnement électrique du continent par des énergies locales renouvelables peut être examinée à l image des études territoriales en cours sur les potentiels "solaire photovoltaïque", "Bois-Énergie" et "méthanisation". Divers % Total % Émissions par secteur d activité Total en teq Part (%) Part (%) CO2 Agro-Alimentaire % 59 % Mécanique-Automobile % 15 % Minerais 15 6 % 4 % Divers 13 4 % 23 % Total % 100 % TERTIAIRE Influence des activités de commerces et d hôtellerie Le secteur tertiaire est à l origine de 10 % des émissions totales de GES et de 17 % de la consommation énergétique du territoire. Malgré des efforts d efficacité énergétique réalisés, les bâtiments du secteur tertiaire consomment encore en moyenne plus d énergie que l habitat (environ 500 KWh/m²/an contre 260 KWh/m²/an). Émissions de GES du secteur tertiaire En teq CO2 Part (%) Part (%) Administration / Bureaux % 12 % Café - Hôtel - Restaurant % 10 % Commerces % 24 % Enseignement % 19 % Habitat Communautaire % 8 % Santé % 16 % Sport - Loisir % 9 % Transport 45 1 % 2 % Total % 100 % L activité touristique est à l origine des plus gros postes de consommation énergétique des activités tertiaires : - Le secteur de l hôtellerie et de la restauration, pour lequel les énergies de cuisson et de chauffage représentent un poste plus élevé, représente 32 % de l énergie consommée. - Les activités commerciales pèsent environ 30 % des consommations et des émissions de GES du secteur tertiaire. Le froid alimentaire représente un enjeu important de ce secteur. Évolution des consommations d énergie du secteur tertiaire Consommation énergétique totale du tertiaire en 2005 Consommation énergétique totale du tertiaire en 2010 En MWh EP En KWh/m2/an En MWh EP En KWh/m2/an (Sources : EnerGES-OREGES Cf. méthodologie / Sit@del2) 8
9 LES ÉNERGIES RENOUVELABLES Un potentiel de production équivalent à 15 % de la consommation d énergie finale Potentiel de production d énergie renouvelable - Estimations globales Types d'enr primaire Ressources Puissance en MW EnR Electrique EnR Thermique Potentiel solaire photovoltaïque et thermique Nature de la ressource Potentiel à l'échelle Bois-énergie du Pays d Auray Potentiel méthanisation Potentiel Nature Méthanisation de la Tonnage recensé ressource disponible Potentiel solaire photovoltaïque et thermique Production potentielle totale en MWh PV toitures bâtiments agricoles Non défini Non défini PV toitures bâtiments publics Méthanisation 0, Eolien 0 0 sous-total 1, Thermique toitures bâtiments agricoles Non défini Non défini Thermique toitures bâtiments publics Méthanisation 0, Bois-Energie (hors bois-bûche) Bois bûche (estimation OREGES 2010) Sous-total (hors solaire thermique) 10, TOTAL (hors solaire thermique) 11, Tonnage brut annuel Equivalent production énergie thermique (MWh) Equivalent nombre de logements (moyenne conso Dpt) Equivalent nombre de logements RT2012 Bois forestier Haie bocagère 1/10è du total de Ml/ha Collectes en déchetterie (déchets verts et rebuts) Déchets de bois industriels Total CC Belle_Île-en- Mer Connexes de scierie Déclinaison EPCI / Pays d Auray (86 km²/ 606 km²) + connexes de scierie Produits et sousproduits Agricoles Produits et déchets industriels Energie totale potentielle (85% de rendement) en KWh par an Production potentielle d'électricité (35%) en KWh et Puissance associée Production potentielle de chaleur (55%) en KWh et Puissance associée Total Puissance en KW La consommation d énergie primaire sur est estimée à 228 GWh pour l année Après conversion, l énergie finale consommée sur le territoire est de 152 GWh. La production actuelle d énergies renouvelables sur ce territoire est évaluée à 20 GWh (Source 2010 GIP Environnement), soit environ 13 % de la consommation finale. Cette valeur représente uniquement la production de Bois-bûche destinée au chauffage des foyers. Le potentiel de production d une partie de la ressource existante sur le territoire est estimé à 45 GWh sur une année. Cette estimation est calculée en ajoutant le potentiel de quatre sources d'énergies renouvelables (éolien, solaire photovoltaïque sur toiture, méthanisation et Bois-Énergie cf. page 3) avec la production de Bois-bûche estimée en 2010 (même si l utilisation de cette ressource énergétique est difficilement quantifiable). Le potentiel éolien est considéré comme inexistant dans la mesure où aucune zone de développement éolien (ZDE) n est à l étude et que la perspective d éoliennes terrestres sur un site comme semble improbable. Ce potentiel de production couvre environ 20 % de la consommation d énergie primaire globale et 30 % de la consommation d énergie finale du territoire. Cette estimation pourrait être affinée par des études plus complètes de terrain, notamment sur le potentiel biomasse (Bois-Énergie et méthanisation) du territoire. Pour un recensement plus exhaustif de la part d EnR mobilisable, il faudrait considérer toutes les sources d énergie renouvelable et étudier le potentiel solaire sur les toitures d habitat. Pour comparaison, la même étude réalisée à l échelle du donne les estimations suivantes : -Consommation énergétique finale estimée du en 2010 : GWh -Production totale d EnR en 2010 (Source GIP Environnement) : GWh soit environ 6% de la consommation totale. -Total du potentiel de production d EnR estimé : (solaire photovoltaïque, Bois-Énergie, méthanisation) +ZDE + (hydraulique, UIOM, Bois-bûche, pour 2010) = = GWh GWh représentent environ 30 % de la consommation totale du. Territoire Nombre de bâtiment Surface utile de toiture en m² ressource Potentiel puissance en KW Production potentielle d électricité en KWh par an Production potentielle de chaleur en KWh par an Toitures Bâtiment publics Photovoltaïque Thermique Total GWh d EnR devraient être produits chaque année pour atteindre l objectif de 23% de la consommation d énergie finale fixé par le Grenelle de l environnement. Cet objectif pourrait être atteint à condition de mobiliser toutes les ressources disponibles sur le territoire. Pour traduire concrètement cet objectif du Grenelle de l environnement sur : produire 35 GWh par an signifierait l installation de 9 éoliennes de 2 MW de puissance, ou la mise en place de panneaux solaires photovoltaïques sur une surface au sol équivalente à 50 terrains de football, ou la mobilisation de tonnes de ressource Bois-Énergie. Dans l hypothèse d une diminution de 20% des consommations énergétiques, l objectif de production d EnR s élèverait à 28 GWh par an et réduirait d 1/4 l estimation des moyens de production présentée ci-dessus. 9
DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES
DIAGNOSTIC GAZ A EFFET DE SERRE DE TERRITOIRE DU PARC NATUREL REGIONAL DES PYRENEES ARIEGEOISES Sommaire INTRODUCTION...5 I. CONSOMMATIONS ENERGETIQUES...6 Industrie...6 Agricole...7 Transports...7 Résidentiel
Plus en détailLa filière bois énergie en Bretagne
La filière bois énergie en Bretagne 2012 En Bretagne, une ressource àla fois abondante et limitée Total : 3.8 millions de tep la ressource en bois couvre entre 5 et 10% des besoins actuels en énergie :
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailLe biogaz en France et en Allemagne Une comparaison. Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry
Le biogaz en France et en Allemagne Une comparaison Journées méthanisation, 4 novembre 2014, Chambéry L OFAEnR Origines & Objectifs Crée en 2006 par les gouvernements français & allemand Bureau au ministère
Plus en détailSynthèse du bilan carbone
Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailLe bois, la première des énergies renouvelables
Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détail«ÉCO-SOLIDAIRE» LE DISPOSITIF LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
LA RÉUNION, ILE SOLAIRE ET TERRE D INNOVATION La Réunion île solaire, terre d'innovation Reunion island, innovation land LE DISPOSITIF «ÉCO-SOLIDAIRE» PLUS D UN MILLIER DE FOYERS RÉUNIONNAIS BÉNÉFICIAIRES
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailL ÉNERGIE EN MAYENNE. Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers. Acteurs. de la transition énergétique. en Mayenne
Citoyens Responsables associatifs Élus locaux Usagers Acteurs de la transition énergétique en Mayenne Les dépenses énergétiques en Mayenne sont de 1.5 million d euros par jour ou 550 millions d euros par
Plus en détailPRÉSERVEr L ENVIRONNEMENT. bois-énergie Dynamiser L économie LOCALe
PRÉSERVEr L ENVIRONNEMENT bois-énergie Dynamiser L économie LOCALe Le développement de la filière bois-énergie, s il est réalisé en harmonie avec les autres utilisations du bois, est une opportunité pour
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailObjectif. La capacité de l appareil de production à répondre à la demande. La demande client en matière d éco-rénovation.
CERA Février 2011 Objectif Définir les stratégies les plus adéquates pour dynamiser rapidement le marché de l éco-rénovation au regard de : la demande client en matière d éco-rénovation l état du parc
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailLes réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014
Les réseaux de chaleur en Île-de-France Marguerite MUHLHAUS DRIEE/SECV 13/06/2014 Direction Régionale et Interdépartementale de l'environnement et de l'énergie d'île-de-france www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailRéseau de chaleur de Beauvais
Réseau de chaleur de Beauvais Témoignage d un d abonné Gabriel CANTEINS Chargé de mission développement durable 22/11/2010 (v2) 1/13 Réseau de chaleur de Beauvais (témoignage) Rendez-vous de l ADEME 25
Plus en détailJ O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E
J O U R N E E S G EOT H E R M I E EN R E G I O N C E N T R E De l estimation des besoins / critères et exemple Février 2012 Présentation : Jérôme DIOT Directeur Technique EGIS Centre Ouest 1 Sommaire Conception
Plus en détailEvolution du mix électrique en France - Qui paiera?
Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailT. BONNARDOT 17/12/2010
CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT
Plus en détailDiagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS)
Diagnostic Gaz à effet de serre de l Institut National de Recherche en Sécurité (INRS) 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : INRS, Association loi 1901 Code NAF : 7219Z Code SIREN
Plus en détailCap sur la croissance!
Cap sur la croissance! EDORA Qui sommes-nous? Fédération de producteurs ER Plus de 85 Membres: Toutes les filières ER (éolien, biomasse, hydro, solaire) De la (très) grande et la (toute) petite entreprises
Plus en détailEn MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies
En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailTransition énergétique Les enjeux pour les entreprises
Transition énergétique Les enjeux pour les entreprises Alain Grandjean Le 26 novembre 2014 Contact : alain.grandjean@carbone4.com Le menu du jour L énergie dans l économie : quelques rappels Les scénarios
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailPar: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL.
Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Pierre Lefrancois, B.ing., consultant en gestion d énergie. Plan de la présentation La commission
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA
Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont
Plus en détailSupporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions
Supporting deployment of low-carbon technologies in the ETC and SEMED regions Mohamed Amine NAHALI Ministry of Industry, Energy and Mining - TUNISIA Istanbul, 15-16 juin 2015 Consommation M tep Croissance
Plus en détailEvaluation des émissions
Evaluation des émissions de gaz à effet de serre générées par les activités de la Bourse de l Immobilier 28 Avenue thiers 33100 BORDEAUX Tél : 05 57 77 17 77 - Fax : 05 56 40 58 63 www.bourse-immobilier.fr
Plus en détailLa transition énergétique en France et en Allemagne
La transition énergétique en France et en Allemagne Regards croisés sur les politiques nationales de transition énergétique 19/03/2013 A. Rüdinger - IDDRI / Dr. C. Hey - SRU 1 Conseil d Experts pour l
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détail17 Mai 2011. Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie
Commission régionale de l économie agricole et du monde rural 17 Mai 2011 Volet agricole et forestier du Schéma Régional Climat Air Energie Ordre du jour COREAM 17 mai 2011 Volet agricole et forestier
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailBiogaz et méthanisation
Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN
TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la
Plus en détailUn projet Bois Energie Citoyen?
Un projet Bois Energie Citoyen? Filière bois énergie : les attendus les entrants Filière usuelle : circuit long Filière d avenir : circuit court Chaîne de production d énergie thermique HQE : Analyse systèmique
Plus en détailMaison Modèle BIG BOX Altersmith
Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.
Plus en détailENQUÊTE. Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011. Série Économique RCE 15. Février 2013
ENQUÊTE Comparatif des modes de chauffage & Prix de vente de la chaleur en 2011 Série Économique Réalisé avec le soutien technique et financier de RCE 15 Février 2013 AMORCE/ADEME SOMMAIRE Prix de vente
Plus en détailDÉFIS CLIMATIQUES NOUVEAUX ENJEUX ÉLECTRIQUES
Union Française de l'électricité DÉFIS CLIMATIQUES NOUVEAUX ENJEUX ÉLECTRIQUES Synthèse des propositions de l UFE pour mettre l électricité au service de la croissance verte et de la réduction des émissions
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailVendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE
2011 Vendredi 18 mars 2011 ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES DE DEVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES FOCUS SUR L ELECTRICITE TABLE DES MATIÈRES Le cas de la France... 3 Le mix électrique en 2010... 3
Plus en détailGérard COLLOMB et ses équipes sont à l écoute de vos sollicitations et de vos demandes, car la Ville de demain se construit évidemment avec vous.
Madame, Monsieur, Dans un courrier électronique en date du 10 février 2014, vous nous avez interrogés en matière de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique. Nous vous prions
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailQuelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec :
Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? UN OUTIL pour la maîtrise des charges locatives
Plus en détailPour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques. de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie
Pour une harmonisation des méthodes et des paramètres économiques de comparaison entre les filières de production ou d économie d énergie Benjamin Dessus 13 mars 2013 www.global-chance.org 13 mars 2013
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailU N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques
U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques par 78310 Maurepas michel.meallet@orange.fr RÉSUMÉ Pourquoi se poser des questions sur les voitures
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailOléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière
L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement
Plus en détailStockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène
Stockage de l énergie renouvelable et de production d hydrogène HYBSEN - HYdrogène en Bretagne pour le Stockage d ENergie Renouvelable Le stockage de l énergie: 2 ème pilier de la troisième révolution
Plus en détailMerci de retourner ce document complété par courrier, fax ou mail (Joindre un plan de situation des bâtiments)
15, rue Gustave Eiffel, ZI Jarny-Giraumont 54800 JARNY Votre référence / Intervenant: N : Diagnostic MENAO N : Notre référence / Intervenant: M. / Mme : M. / Mme : Téléphone : Téléphone : 03 82 20 39 70
Plus en détailLe comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012
Le comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012 Les articles 23 et 31 de la RT L article 23 la RT 2012: Les dispositifs de comptage concernent les maisons individuelles et les bâtiments collectifs
Plus en détailLa transition énergétique en France et en Allemagne
La transition énergétique en France et en Allemagne Regards croisés sur les politiques nationales de transition énergétique Institute for Sustainable Development and International Relations 41 rue du Four
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailBilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton
Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation
Plus en détailLA RENOVATION ENERGETIQUE. atelier o
LA RENOVATION ENERGETIQUE LA RENOVATION ENERGETIQUE 1. DIAGNOSTIC Pourquoi rénover? Que faut-il rénover? Comment s y prendre? 2. SOLUTIONS Remplacement du chauffage Capteurs solaires Isolation de l enveloppe
Plus en détail«Commission énergie» SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE. 01 avril 2011 SOREDE
«Commission énergie» SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE 01 avril 2011 SOREDE Le Pays Pyrénées-Méditerranée La commission énergie Pour RESTITUER, INFORMER et CONSULTER les habitants du territoire Octobre
Plus en détailLA TRANSITION ENERGETIQUE Vendredi 20 juin 2014 De la part de Stéphane Le Foll
LA TRANSITION ENERGETIQUE Vendredi 20 juin 2014 De la part de Stéphane Le Foll Le projet de loi de programmation pour la transition énergétique, dont les grands axes ont été présentés mercredi 18 juin
Plus en détailAnalyse des coûts d investissement en méthanisation agricole. Comparaison France et Allemagne
Analyse des coûts d investissement en méthanisation agricole Comparaison France et Allemagne Février 2013 1 Le développement de la méthanisation en Bourgogne dans le Programme Energie Climat Bourgogne
Plus en détailsixième communication nationale de la france
Octobre 2013 sixième communication nationale de la france à la convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques Ministère de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie www.developpement-durable.gouv.fr
Plus en détailEnjeux du stockage de l énergie
Enjeux du stockage de l énergie S. PINCEMIN Doc/Ing Etudes & Recherche - Pôle Energies Renouvelables CleanTuesday -Nice 7 juin 2011 Plan de la présentation 1- Le CSTB en bref 2- Le contexte énergétique
Plus en détailComment? chez le particulier ou en collectivité
Actions Citoyennes pour une Transition Energétique Solidaire par René CHAYLA Président d AC ACTEnergieS Comment? chez le particulier ou en collectivité 1 LA TRANSITION ENERGETIQUE EN PRATIQUE DIMINUER
Plus en détailGUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU
GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport
Plus en détailles chiffres clés de l énergie en Guadeloupe Publication 2013
OBSERVATOIRE régional de l énergie et du climat Publication 2013 les chiffres clés de l énergie en Guadeloupe bilan 2012 En Bref. Après une très forte progression entre 2000 et 2010 (plus de 40 %), les
Plus en détailFrance Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012
France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires
Plus en détailBILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement
Services Technologies Industries Pour l Environnement BILAN CARBONE 2011 avril 13 STIPE SARL SIEGE SOCIAL : 842 RUE JEAN GIONO 83600 FREJUS TEL FAX 04 94 53 55 74 AGENCE IDF : 22 RUE SADI CARNOT 92000
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailUn Schéma pour engager la région dans la transition énergétique
2020 2030 2050 Un Schéma pour engager la région dans la transition énergétique Schéma Régional Climat Air Énergie Introduction Introduction La raréfaction programmée des énergies fossiles, le coût de l'énergie,
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détailL éolien en Allemagne, une réalité industrielle. Retour d expérience
L éolien en Allemagne, une réalité industrielle Retour d expérience L éolien en Allemagne Développement 1990-2010 30000 25000 20000 15000 10000 5000 0 Etat des lieux du parc éolien allemand au 30.6.2011:!
Plus en détailLe miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014
Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques
Plus en détail3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet
3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet Table des matières 07 3CB : une centrale nouvelle génération développée et exploitée par Alpiq 09 Historique du projet 11 Le cycle combiné : une technologie moderne,
Plus en détailBILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP
BILAN D ÉMISSIONS DE GAZ À EFFET DE SERRE 2011 DU SIAAP Sommaire 1/ DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE CONCERNÉE 2 2/ ANNÉE DE REPORTING DE L EXERCICE ET L ANNÉE DE RÉFÉRENCE 3 Utilisation d énergie sur
Plus en détailLa méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives
Les dossiers de l AREC La méthanisation en Poitou- Charentes - Enjeux et perspectives Définition La méthanisation est un procédé biologique permettant de valoriser la matière organique, notamment les sous-produits
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailDrôme Service Nettoyage (DSN)
Drôme Service Nettoyage (DSN) Bilan des émissions des Gaz 1/25 à Effet de Serre Conformément à L article 75 de la loi n -788 du 12 juillet portant engagement national pour l environnement (ENE) *** 21/12/2012
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailFiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats. d économie d énergie
Octobre 2006 Fiche informative du Réseau Action Climat-France sur les certificats d économie d énergie 1) Origine et objectif : C est en Angleterre, puis en Italie que le dispositif des certificats d économie
Plus en détailLE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE:
LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: État de situation et opportunités Michel Lachance CQVB 7 décembre 2012 East Angus PLAN Contexte la biomasse : une source d énergie pour le Québec Systèmes de chauffage Chauffage
Plus en détailFiscalité environnementale
Secrétariat général Fiscalité environnementale Février 2009 La réforme de la fiscalité environnementale, adoptée dans la loi de finances pour 2009 et la loi de finances rectificative pour 2008, concrétise
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre. Année 2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre Année 2011 P a g e 2 Sommaire 1. Description de la personne morale concernée... 3 2. Année de reporting et année de référence... 5 3. Résultats consolidés...
Plus en détailFondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone
Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détail