REGARD DES SCIENCES HUMAINES SUR L ALIMENTATION DES PERSONNES EN SITUATION DE PRECARITE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "REGARD DES SCIENCES HUMAINES SUR L ALIMENTATION DES PERSONNES EN SITUATION DE PRECARITE"

Transcription

1 REGARD DES SCIENCES HUMAINES SUR L ALIMENTATION DES PERSONNES EN SITUATION DE PRECARITE DOSSIER DOCUMENTAIRE Contacts : Christelle ARCHER Chargée de projet christelle.archer@educationsante-pch.org Sébastien LODEIRO Directeur adjoint sebastien.lodeiro@educationsante-pch.org Laurence RAMBLIERE Documentaliste laurence.rambliere@educationsante-pch.org 1 juillet 2015

2 Sommaire Introduction p. 2 Les différents Articles p. 3 Article 1 : La perception des messages de santé par les populations défavorisées Article 2 Représentations et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité Article 3 L'alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel Article 4 Les comportements alimentaires. Quels en sont les déterminants? Quelles actions, pour quels effets? Article 5 Alimentation et précarité. Considérer la complexité des situations Article 6 L alimentation des populations modestes et défavorisées Etat des lieux dans un contexte de pouvoir d achat difficile Bibliographie p. 9 1

3 Introduction Dans le cadre de la convention entre l Agence régionale de santé (ARS) et l Instance régionale d éducation et de promotion de la santé (IREPS) Poitou-Charentes, et pour la plateforme «Nutrition - maladies chroniques - obésité - activité physique» Axe précarité, l IREPS Poitou- Charentes a réalisé un dossier documentaire à destination de l ensemble des acteurs nutrition / précarité de la région Poitou Charentes. Cette production documentaire sur les enjeux de la nutrition et de la précarité a pour but de renforcer la réflexion et les pratiques des acteurs en proposant : un regard des sciences humaines sur l alimentation et la précarité. Ce dossier est constitué de plusieurs articles de fonds, publiés dans des revues de référence. Ils ont été sélectionnés et étudiés et vous sont proposés aujourd hui. Ils sont disponibles soit en lecture directe car libres de droit, soit avec autorisations des auteurs, soit en prêt dans les centres de documentation de l IREPS Poitou-Charentes. Les travaux récents de l IREPS Poitou-Charentes (Le Diagnostic Nutrition Précarité 79, le projet «Tout le monde à table») ont montré une forte concentration de la prévention nutrition autour des enjeux diététiques et de l équilibre alimentaire visant le changement des comportements individuels. Cette approche, peu différenciée, montre ses limites au contact des populations en situation de précarité (voir articles 2 et 3). Les sources des différents rapports sociologiques et anthropologiques présentés dans ce dossier, démontrent que les facteurs influençant les choix alimentaires ne reposent pas uniquement sur les préférences individuelles des personnes en situation de précarité (voir article 2), mais dépendent des situations sociales, culturelles et économiques (voir articles 4 et 5) ainsi que des différences de perception de la notion «d alimentation saine» et de l image des corps (voir article 1) qu il convient de prendre en compte dans les actions d éducation et de promotion de la santé menées par les différents intervenants. Mettre en lumière les contraintes, le vécu des publics et leur stratégie d adaptation nous semble être une priorité en matière de prévention et peut contribuer à faire évoluer les pratiques et nourrir les projets menés sur la région. Développer une approche promotion de la santé permet d envisager des actions tentant d intervenir sur d autres leviers : les réseaux de soutien social, les conditions socio-économiques, culturelles et environnementales, le niveau d éducation, l offre alimentaire, Cette sélection d articles n est pas exhaustive, aussi le service de documentation de l IREPS Poitou-Charentes reste disponible pour donner des compléments d informations ou approfondir la recherche si nécessaire. Si vous le souhaitez, notre fonds documentaire est disponible sur une base de données : 1 en ligne, ou cliquez ici. 1 ( 2

4 Article 1 REGNIER, Faustine / La perception des messages de santé par les populations défavorisées in Cahiers de nutrition et de diététique, vol. 46, n 4, pp Dans un contexte de diffusion des messages de santé portant sur l alimentation et de mise en place du Programme national nutrition santé (PNNS), l article examine la perception des recommandations par les ménages modestes, dans leur comparaison avec les ménages aisés. Il met en évidence l existence d importantes inégalités sociales. Ainsi, l injonction, au nom de la santé, à une consommation accrue en fruits et légumes et moindre en aliments gras et sucrés, ou l incitation à la pratique régulière d une activité physique se heurtent dans les milieux populaires aux contraintes économiques, mais aussi aux représentations d une «bonne alimentation» et de la corpulence idéale des membres de cette catégorie sociale. Dès lors, les enjeux se situent désormais du côté de ces populations modestes dans leur ensemble, pour lesquelles les recommandations apparaissent plus souvent comme des injonctions extérieures. Ne s agit-il pas dès lors de mener une politique de santé publique à l attention de l ensemble de ces catégories modestes, en tenant compte de leurs contraintes, de leurs pratiques et de leurs représentations? Disponible en prêt à l IREPS Poitou-Charentes 3

5 Article 2 MASULLO, Ana, DUPUY, Anne / Représentations et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité in Lettre scientifique, n 4, février p Ce dossier reprend deux interventions présentées lors de la Conférence du 14 février 2012 organisée par le Fonds français Alimentation & santé, autour du thème du comportement alimentaire des personnes en situation de précarité. La première intervention, intitulée : «L alimentation des personnes en situation de précarité : modes de gestion et de transmission» est centrée sur les stratégies et représentations alimentaires des femmes et des mères de familles en milieu précaire ; la deuxième intervention intitulée «Paroles de femmes et de mères» compare les modes de gestion et de transmission, au niveau du budget, de l'approvisionnement, du choix des produits, des techniques de préparation et de consommation, de personnes en situation de "pauvreté installée" et de personnes basculant dans la pauvreté. Disponible en plein texte à l adresse suivante : fev-2012.pdf La conférence se décompose en 2 parties : une première partie laisse la parole à Ana Masullo et Anne Dupuy qui exposent leurs recherches respectives «Paroles de femmes et de mères : ce que «nourrir» signifie en milieu précaire» et «L alimentation des personnes en situation de précarité : modes de gestion et de transmission». Cet exposé est suivi dans un deuxième temps d un échange de questions/réponses avec la salle. Vous pouvez consulter l intervention dans son intégralité à l adresse suivante : 4

6 Article 3 CAILLAVET, France, DARMON, Nicole, LHUISSIER, Anne, et al. / L'alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel in Les travaux de l'observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale Paris : La Documentation française, pp L'alimentation et le statut nutritionnel font partie du diagnostic des formes de pauvreté et des populations à risques. Cette synthèse des travaux français montre que cette question a davantage été abordée par la nutrition que par les sciences sociales. Pourtant, l'effet du revenu est avéré dans de nombreux aspects de la consommation alimentaire : part supérieure de l'alimentation dans le budget des plus pauvres (22% dans le premier décile de revenu contre 15% dans le dernier), plus faible variété de produits consommés, plus grande résistance à l'information nutritionnelle,... On sait que la population monétairement pauvre privilégie la consommation au domicile (85% des dépenses alimentaires contre 70%), a davantage recours à l'autoconsommation (8% de la valeur de la consommation alimentaire contre moins de 2%), consomme des quantités moindres de fruits et légumes et de poisson. Les rares études économétriques réalisées sur la consommation d'aliments particuliers suggèrent une plus forte sensibilité aux variations de prix et une moindre flexibilité dans les substitutions entre produits. Dans le cas français, les achats de fruits et légumes frais varieraient moins face aux variations de prix et de revenu pour la population monétairement pauvre. Pour les corps gras, l'effet de l'éducation peut s'opposer à celui du revenu. Les travaux sociologiques mettent en évidence l'hétérogénéité de la population défavorisée et des stratégies alimentaires, notamment dans les logiques d'approvisionnement, convergeant pourtant vers une monotonie alimentaire. Face à de fortes contraintes, l'alimentation peut devenir un facteur d'isolement. Le statut socioéconomique apparaît comme un déterminant majeur des différences au niveau des quantités consommées par type d'aliments, des micronutriments, et du statut vitaminique et minéral. L'épidémiologie s'est penchée depuis longtemps sur le lien entre nutrition et inégalités de santé et s'est focalisée récemment sur l'obésité. Les études épidémiologiques devancent les travaux sociologiques sur ce thème, encore embryonnaires en France, comparés aux travaux anglosaxons. Ces recherches sociologiques s'intéressent d'une part aux déterminants sociaux de l'obésité (sur-représentation de l'obésité dans les milieux défavorisés) et d'autre part à ses conséquences. La convergence de ces études amène à élargir le champ des critères d'appréciation de la pauvreté et devrait permettre d'élaborer des politiques publiques contre la pauvreté incluant la dimension sociale de l'alimentation et la prévention nutritionnelle. [Résumé d auteur] Disponible en plein texte à l adresse suivante : 5

7 Article 4 ETIEVANT, Patrick, BELLISLE, France, DALLONGEVILLE, Jean, et al. / Les comportements alimentaires. Quels en sont les déterminants? Quelles actions, pour quels effets?.- Paris : INRA, juillet p..- Collection «Expertise scientifique collective». Alors que les consommateurs reçoivent un flux constant et rapide d'informations sur les relations entre l'alimentation et la santé, le besoin de disposer d'un état des connaissances validées scientifiquement a conduit le Ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la Pêche à demander à l'inra, une expertise scientifique collective (ESCo) sur les comportements alimentaires. L'objectif était d'éclairer l'ensemble des déterminants du comportement, la manière dont il se forme et évolue, au niveau de l'individu, en fonction de son milieu social et de son âge, mais aussi dans les pratiques collectives à une échelle de temps plus longue. Ce rapport présente, dans un premier chapitre, les traits saillants de l'histoire de la consommation alimentaire en France et aborde la question des relations entre les évolutions des pratiques alimentaires et celles des indicateurs de santé. Le deuxième chapitre fait état des déterminants (génétiques, sensoriels, sociologiques, psychologiques...) qui interagissent pour former les comportements alimentaires qu'ils soient liés à l'individu ou aux composantes de son environnement. Le troisième chapitre analyse les interventions publiques ou privées qui visent à modifier les comportements alimentaires. Les conclusions mettent en exergue les principales réflexions des experts. Disponible en plein texte à l adresse suivante : Résumé de l expertise : ETIEVANT, Patrick - Docteur en biologie BELLISLE, France Docteur en sciences du système nerveux et du comportement DALLONGEVILLE, Jean - médecin chercheur (épidémiologie et santé publique) 6

8 Article 5 POULAIN, Jean-Pierre, TIBERE, Laurence / Alimentation et précarité. Considérer la complexité des situations [en ligne] in Anthropology of Food, n 6, novembre {Consulté le 16 novembre 2015] La précarité entraîne des modifications des pratiques alimentaires quotidiennes, avec de possibles conséquences sur l état de santé. Si certains travaux mettent l accent sur les risques de dénutrition, d autres insistent sur l augmentation des cas d obésité. Cet article, qui s appuie sur des données empiriques collectées dans le cadre d une recherche conduite en 2002 sur l alimentation des Français et la corpulence, met en évidence l intérêt de distinguer différents niveaux de précarité, pour comprendre leur impact sur les pratiques et représentations alimentaires d une part et sur la prévalence de l obésité d autre part. [Résumé de la revue] Disponible à l adresse suivante : tibere@univ-tlse2.fr 7

9 Article 6 POISSON, Dominique / L alimentation des populations modestes et défavorisées Etat des lieux dans un contexte de pouvoir d achat difficile [en ligne] in site OCHA (Observatoire des Habitudes Alimentaires de l Interprofession laitière), mis en ligne le 19 novembre 2008, [consulté le 23 juin 2015] Comment vivre et se nourrir en France avec 1000 euros par mois pour deux? Peut-on parler d un modèle alimentaire propre aux foyers les plus modestes? Les pauvres sont-ils en moins bonne santé que les riches du fait de choix alimentaires moins appropriés? Quelle est la part de la population immigrée dans les groupes sociaux défavorisés? Qu est-ce que l aide alimentaire? A l heure où la hausse des prix alimentaires et la baisse du pouvoir d achat sont au cœur des débats, l auteur, responsable du programme Alimentation, Santé et Budget au CERIN (Centre de Recherche et d Information Nutritionnel) dresse un état des lieux assez complet des comportements alimentaires des groupes sociaux défavorisés et de leur évolution. Il étudie notamment les liens complexes et interactifs entre alimentation, revenus, santé et vie sociale. Son travail inclut les classes moyennes inférieures.. Disponible en consultation à l adresse suivante : 8

10 Bibliographie CAILLAVET, France, DARMON, Nicole, LHUISSIER, Anne, et al. / L'alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel in Les travaux de l'observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale Paris : La Documentation française, pp ETIEVANT, Patrick, BELLISLE, France, DALLONGEVILLE, Jean, et al. / Les comportements alimentaires. Quels en sont les déterminants? Quelles actions, pour quels effets?.- Paris : INRA, p. Collection «Expertise scientifique collective» MASULLO, Ana, DUPUY, Anne / Représentations et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité in Lettre scientifique, n 4, février p MASULLO, Ana, DUPUY, Anne / Conférence du Fond Français Alimentation & Santé du 14 février 2012 : Représentations et stratégies alimentaires des personnes en situation de précarité [diaporama, vidéo].- 63 vues, 107 mn POISSON, Dominique / L alimentation des populations modestes et défavorisées Etat des lieux dans un contexte de pouvoir d achat difficile [en ligne] in site OCHA (Observatoire des Habitudes Alimentaires de l Interprofession laitière), mis en ligne le 19 novembre 2008, [consulté le 23 juin 2015] POULAIN, Jean-Pierre, TIBERE, Laurence / Alimentation et précarité. Considérer la complexité des situations [en ligne] in Anthropology of Food, n 6, novembre {Consulté le 23 juin 2015] REGNIER, Faustine / La perception des messages de santé par les populations défavorisées in Cahiers de nutrition et de diététique, vol. 46, n 4, pp

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Plus en détail

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?

LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles

Plus en détail

J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!

J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hypertextes vers d'autres sites de l'internet ne signifient nullement que l'organisation approuve officiellement les opinions, idées, données

Plus en détail

L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments

L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments L information nutritionnelle sur les étiquettes des aliments Présenté par Micheline Séguin Bernier Le 19 mars 2007 Tiré et adapté du document de Santé Canada Le tableau de la valeur nutritive : plus facile

Plus en détail

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER

LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER LIGNE MÉTIER RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET BIOTECHNOLOGIE DES SERVICES POUR RÉPONDRE À VOS ENJEUX MÉTIER Le secteur de la Recherche scientifique et de la biotechnologie connaît un fort dynamisme, attesté par

Plus en détail

Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012

Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de

Plus en détail

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires

ANNUAIRE SANTE. Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires ANNUAIRE SANTE Structures Missions Site Internet Téléphone Domaines Secteurs Informations complémentaires IREPS : Instance Régionale d Education et de Promotion de la Santé Poitou-Charentes (4 antennes

Plus en détail

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB

PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique

Plus en détail

Développement d une application pilote

Développement d une application pilote Développement d une application pilote Nutri-TIC Flora Massanella Principes Cette seconde phase vise à mettre en pratique les conclusions obtenues lors de la phase A. L application web Nutri- TIC a donc

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire?

Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire? Quel impact du vieillissement de la population sur l'innovation technologique dans le domaine de l'agro-alimentaire? Sophie Reboud (Ceren, Groupe ESC Dijon Bourgogne) Corinne Tanguy (Cesaer, UMR INRA-Agrosup

Plus en détail

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires

Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME. La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Assemblée Générale ASSOCIATION DES MAIRES RURAUX DU PUY-de-DÔME Vendredi 9 Décembre 2011 Pontaumur La nouvelle règlementation Nutrition pour les cantines scolaires Emilie CHANSEAUME Lucile AUMOINE Céline

Plus en détail

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,

Plus en détail

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Au cours d'un cycle de production, les semaines qui entourent la mise-bas sont capitales : elles conditionnent

Plus en détail

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire

Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais

Plus en détail

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours

Plus en détail

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi

vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner

Plus en détail

DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES

DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DEVELOPPEMENT DES PREFERENCES ALIMENTAIRES DURANT L ENFANCE ET L ADOLESCENCE PROFESSEUR N. RIGAL MAITRE DE CONFERENCES EN PSYCHOLOGIE DU DEVELOPPEMENT, UNIVERSITE DE PARIS 10, FRANCE rigal.n@free.fr Rôle

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ

DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ 1 CAC/GL 23-1997 DIRECTIVES POUR L EMPLOI DES ALLÉGATIONS RELATIVES À LA NUTRITION ET À LA SANTÉ CAC/GL 23-1997 Les allégations relatives à la nutrition devraient être compatibles avec la politique nationale

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation

La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation L O U I S E P O T V I N, P h D C H A I R E D E R E C H E R C H E D U C A N A D A A P P R O C H E S C O M M U N A U T A I R

Plus en détail

Les politiques fiscales d incitation à donner

Les politiques fiscales d incitation à donner Pourquoi donne t-on? Les politiques fiscales d incitation àdonner Gabrielle Fack Universitat Pompeu Fabra, Barcelone, Affiliée àl Ecole d Economie de Paris et àl Institut des Politiques Publiques La philanthropie

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20

Plus en détail

L alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel 1

L alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel 1 L alimentation des populations défavorisées en France. Synthèse des travaux dans les domaines économique, sociologique et nutritionnel 1 France Caillavet (Corela-Inra), Nicole Darmon (Uren-Istna - Cnam),

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION

ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance

Plus en détail

OBSERVATOIRE DE LA m-santé

OBSERVATOIRE DE LA m-santé OBSERVATOIRE DE LA m-santé La m-santé, de nouvelles perspectives pour le bien-être et la santé Qu il s agisse de surveiller son poids ou son alimentation, d arrêter de fumer, de mesurer son activité physique

Plus en détail

Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants

Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes

Plus en détail

Le Programme National pour l Alimentation en Limousin Comité Régional de l ALIMentation du 09/12/2011

Le Programme National pour l Alimentation en Limousin Comité Régional de l ALIMentation du 09/12/2011 Le Programme National pour l Alimentation en Limousin Comité Régional de l ALIMentation du 09/12/2011 1 09/12/2011 1 Ordre du jour - Le Programme national de l alimentation : bref rappel - Gouvernance

Plus en détail

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la

Plus en détail

Focus méthodologique sur la mise en place d'une veille partenariale L expérience du CD P. Bartoli

Focus méthodologique sur la mise en place d'une veille partenariale L expérience du CD P. Bartoli Focus méthodologique sur la mise en place d'une veille partenariale L expérience du CD P. Bartoli Intervention lors des Rencontres IST 2014 - Montpellier Alexandra Coppolino 16/12/2014 Sommaire Présentation

Plus en détail

Résolution de conflits, coaching et formation

Résolution de conflits, coaching et formation Résolution de conflits, coaching et formation Fabienne Alfandari 16 chemin des Clochettes 1206 Genève fabienne@image-imagination.com www. image-imagination.com tél. 079 540 65 44 Un besoin dans les entreprises

Plus en détail

Deuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition

Deuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Octobre 2014 ICN2 2014/2 Deuxième Conférence internationale sur la nutrition Rome, 19-21 novembre 2014 Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Nous félicitant de la participation

Plus en détail

CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan

CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan 2 Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan Depuis le début des années 2000 3 domaines d actions : Les hébergements

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

Ce sondage est un outil qui cherche à inciter une réflexion individuelle ou de groupe à propos des priorités futures du RLISS de Mississauga Halton.

Ce sondage est un outil qui cherche à inciter une réflexion individuelle ou de groupe à propos des priorités futures du RLISS de Mississauga Halton. INTRODUCTION Le RLISS de Mississauga Halton s engage à recevoir l opinion de ses résidents. Vos commentaires seront utilisés par le RLISS de Mississauga Halton pour mettre à jour le plan d intégration

Plus en détail

Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)

Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d

Plus en détail

Le build-up est-il la solution?

Le build-up est-il la solution? Développement des Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) en France Le build-up est-il la solution? Paris - 10 janvier 2012 Oliver Gottschalg Pierre Mestchersky Stéphane Gilet Dominique Degand Observatoire

Plus en détail

L assurance-emprunteur

L assurance-emprunteur 26 ème rapport annuel L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES L assurance-emprunteur présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université Paris Ouest - Vendredi 24 janvier 214-1 L Observatoire

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011

Teneur en glucides des produits de la Réunion. 15 décembre 2011 Teneur en glucides 15 décembre 2011 Objectif Avoir des éléments de comparaison de l offre sur : - les produits laitiers frais (PLF) - les boissons rafraichissantes sans alcool (BRSA) entre la Réunion et

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 1 er Trimestre 2013 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de

Plus en détail

Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique?

Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique? Les incitants à l'épargne sont-ils équitables en Belgique? Fiscalité de l'épargne (1/2) Le Belge est, d'après les statistiques disponibles, un des meilleurs épargnants d'europe. Pourtant, plus d'un quart

Plus en détail

Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1

Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Les approches globales et intégrées en promotion de la santé et du bien-être : les conditions nécessaires à leur développement 1 Marthe Deschesnes, Ph.D. Catherine Martin, M.Sc. Adèle Jomphe Hill, Ph.D

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

La carte d'achat dans les organisations françaises

La carte d'achat dans les organisations françaises CHAPITRE 2 La carte d'achat dans les organisations françaises Pour bien appréhender l'usage efficace de la carte d'achat, il est important de toujours la considérer comme un moyen d'exécution de la commande.

Plus en détail

Qui fait quoi sur internet?

Qui fait quoi sur internet? Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet

Plus en détail

Liste des auteurs et remerciements

Liste des auteurs et remerciements Comparaison de deux enquêtes nationales de consommation alimentaire auprès des adolescents et des adultes Baromètre santé nutrition (22) et INCA (1998-99) : éléments de méthode et résultats - Juin 24 -

Plus en détail

LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA

LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA LES INTERVENANTS DE LA BOURSE DES VALEURS DE CASABLANCA Plan INTRODUCTION 1 / LA SOCIÉTÉ DE BOURSE DE CASABLANCA 2 / L AUTORITE DE SURVEILLANCE (CDVM) 3 / LES SOCIETES DE BOURSE 4 / LES ORGANISMES DE PLACEMENT

Plus en détail

Nutri-Débat 2014. Le mardi 14 janvier 2014 à Paris. La Nutrition mise à nu : dessous chics ou chocs? Participez au débat nutritionnel de l année!

Nutri-Débat 2014. Le mardi 14 janvier 2014 à Paris. La Nutrition mise à nu : dessous chics ou chocs? Participez au débat nutritionnel de l année! Nutri-Débat 2014 Le mardi 14 janvier 2014 à Paris La Nutrition mise à nu : dessous chics ou chocs? Participez au débat nutritionnel de l année! Grâce à l accueil de : Avec le soutien de : En partenariat

Plus en détail

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Institut Ludwig Boltzmann de sociologie de la santé et de la médecine Avril 2001 Introduction

Plus en détail

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006

La rémunération des concepteurs. en théâtre au Québec. de 2004 à 2006 La rémunération des concepteurs en théâtre au Québec de 2004 à 2006 Conseil québécois du théâtre - novembre 2007 Dans le cadre des travaux préparatoires des SECONDS ÉTATS GÉNÉRAUX DU THÉÂTRE PROFESSIONNEL

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Néo-ruralité et embourgeoisement des campagnes québécoises : un regard nuancé

Néo-ruralité et embourgeoisement des campagnes québécoises : un regard nuancé Néo-ruralité et embourgeoisement des campagnes québécoises : un regard nuancé Laurie Guimond Coordonnatrice de recherche, INRS Doctorante en géographie, U. d Ottawa Myriam Simard Professeure, INRS Atelier

Plus en détail

POLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION

POLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION POLES DE COMPETITIVITE et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION Plan - Qu est-ce qu un pôle de compétitivité? - Qu est-ce qu un centre d innovation technologique? - Zoom sur Valorial

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

M a s t e r Mention «Information et communication dans les organisations»

M a s t e r Mention «Information et communication dans les organisations» Diplôme Bac + 5 Autres spécialités Communication des entreprises : Recherche : Professionnel Contacts UFR des sciences de la communication tél. : 01 49 40 32 72 master.comrhfi@sic.univ-paris13.fr master.comrhap@sic.univ-paris13.fr

Plus en détail

Cintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015

Cintech 360. Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Cintech 360 Présenté par Guillaume Boisvert Dans le cadre de la Semaine horticole 2015 Centre collégial de transfert technologique Cégep de Saint-Hyacinthe Mission: Accroître l innovation et à la compétitivité

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ SCIENCES DES ORGANISATIONS ET DES INSTITUTIONS À FINALITÉS RECHERCHE ET PROFESSIONNELLE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master Domaine

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Le BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA)

Le BTS Sciences et Technologies des Aliments (STA) BTS Le BTS Sciences et Technologies s Aliments (STA) Qu est ce que l agroalimentaire? Définition: L'agroalimentaire désigne l'ensemble s activités transformation s produits l'agriculture stinés à l'alimentation

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version

Plus en détail

Préparer la formation

Préparer la formation Préparer Profédus propose des exemples variés de contenus d enseignement en éducation à la santé. Les fiches ne sont pas conçues en «prêt à penser» ; elles restent largement enracinées dans le contexte

Plus en détail

Énergie et Mondialisation

Énergie et Mondialisation Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau

Plus en détail

GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen

GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen Crisis management Crisis management and cooperation in a European group Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 7, Numéro

Plus en détail

Cuisine ( Niveau 2 ).

Cuisine ( Niveau 2 ). INFORMATION GÉNÉRALE Titre : Auto-contrôle fondé sur l'haccp en restauration Description : Le processus de production réel est représenté dans une scène virtuelle qui reproduit une entreprise dans le domaine

Plus en détail

Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse

Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Universität Zürich Institut für Politikwissenschaft Forschungsbereich Policy-Analyse & Evaluation Evaluation du Réseau Santé Psychique Suisse Sur mandat de l Office fédéral de la santé publique Thomas

Plus en détail

Le test s'est déroulé en trois étapes successives

Le test s'est déroulé en trois étapes successives TEST SUR LES BASES BIBLIOGRAPHIQUES Rapport* du bureau Marcel van Dijk L'étude qui suit présente les résultats du test quantitatif et qualitatif de 5 bases bibliographiques disponibles en France : BNOPALE

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à

Plus en détail

Septembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES

Septembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES Septembre 2012 Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES 1 Qu elle vise à protéger nos biens ou à garantir notre santé, l assurance est aujourd hui une dépense contrainte pour la majorité des

Plus en détail

FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX

FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie

Plus en détail

Business Process Change:

Business Process Change: Business Process Change: A Study of Methodologies, Techniques, and Tools par: W. Kettinger, J. Teng & S. Guha 1 Plan de la présentation Situer l article Relever son contenu Apprécier l article Appliquer

Plus en détail

TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS

TNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières

DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de

Plus en détail

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN)

Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) 1 TERMS OF REFERENCE Pour l Evaluations Externe d ACF Transfert Monétaire par téléphone mobile (programme en partenariat avec le PAM et MTN) Programme Financé par PAM Référence du Contrat CI D4C 20 septembre

Plus en détail

Le développement durable 2010

Le développement durable 2010 Le développement durable 2010 Fédération internationale de laiterie (FIL-IDF Canada) mars 2010 Danone Inc. Canada Danone Plan Danone Danone au Canada Le développement durable Danone et le double-projet

Plus en détail

ESPRICO Complément alimentaire. pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant

ESPRICO Complément alimentaire. pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant ESPRICO Complément alimentaire pour la stimulation de la concentration et de l attention chez l enfant ESPRICO Composition Capsules à mâcher 60 pce Capsules à mâcher 120 pce seulement 2 x 2 capsules par

Plus en détail

Communiqué 8 novembre 2012

Communiqué 8 novembre 2012 Communiqué 8 novembre 2012 Les conditions du déploiement de l Internet à très haut débit en France et en Europe Coe-Rexecode mène depuis plusieurs années un programme de recherche approfondi sur l impact

Plus en détail

B Comment se déterminent la consommation et l épargne?

B Comment se déterminent la consommation et l épargne? B Comment se déterminent la consommation et l épargne? 1 Le partage entre consommation et épargne 1 - L'utilisation du revenu disponible brut (en milliards d'euros et en %) 2003 2005 2007 2009 Revenu disponible

Plus en détail

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique

Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc

Plus en détail

Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée

Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant

Plus en détail

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion

La santé des jeunes Rhônalpins en insertion La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012

Plus en détail

Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire

Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire Initiation d une base de donnée documentaire et réglementaire Rapport Septembre 2007 Sommaire Chapitre 1 : Présentation de l outil «Base de donnée» du Pays Marennes Oléron.. p.5 1. Définition et principe...

Plus en détail

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Personnes présentes : M. le Maire, Guillaume MATHELIER, M. Quentin MAYERAT, Adjoint à l'éducation et à la

Plus en détail

Observation des modalités et performances d'accès à Internet

Observation des modalités et performances d'accès à Internet Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

CREDIT D'IMPOT RECHERCHE MODELE DE DEMANDE D'AVIS PREALABLE

CREDIT D'IMPOT RECHERCHE MODELE DE DEMANDE D'AVIS PREALABLE CREDIT D'IMPOT RECHERCHE MODELE DE DEMANDE D'AVIS PREALABLE QUESTIONNAIRE RELATIF A LA MISE EN ŒUVRE DE LA GARANTIE PREVUE AU 3 DE L'ARTICLE L 80 B DU LIVRE DES PROCEDURES FISCALES Vous voudrez bien apporter

Plus en détail