LES ECOLES COMMUNAUTAIRES AU TOGO. Contribution du Programme Togo au Forum International sur les Ecoles Communautaires Niamey, juillet 04
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- Jean Croteau
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1 LES ECOLES COMMUNAUTAIRES AU TOGO Contribution du Programme Togo au Forum International sur les Ecoles Communautaires Niamey, juillet 04 1
2 Introduction A côté des écoles publiques, des écoles privées laïques et des écoles confessionnelles reconnues par l'etat, se sont développées, surtout depuis 1991, de nombreuses écoles initiées localement par les parents. Ces écoles qui aujourd hui sont appelées Ecoles d Initiative Locale (EDIL) ont fini par s imposer en tant qu une alternative à la forte demande éducative des communautés. Dans d autres pays de la sous région, ces écoles ont pris des dénominations variées : écoles communautaires au Burkina et au Mali, écoles communautaires de base au Sénégal La particularité de ces écoles au Togo, est qu elles sont restées dans l ombre pendant plus de 5 ans avant de connaître une réhabilitation progressive avec l aide de quelques ONG comme Aide et Action. Dans le cheminement de son appui à ces écoles en vue de scolariser plus d enfants surtout les filles, l idée de mettre en place un projet innovant émerge auprès de cette ONG en Ce projet a été baptisé «projet écoles communautaires» pour les enfants de 6 à 11 ans et comportant un volet «Ecoles relais» pour les enfants exclus du système scolaire du fait de l âge. Dans quel contexte social, politique et économique, ces deux types d écoles ont ils évolué? Quelle est leur situation actuelle? Quels en sont aujourd hui les acquis? Et quelles leçons tirons-nous? Voici les quelques points que nous aborderons dans les lignes qui suivent. I. Contexte et origine des Ecoles communautaires Le Togo, pays de l Afrique de l Ouest est situé dans le Golfe de Guinée et couvre une superficie de km². Il est limité à l Est par le Bénin, au Nord par le Burkina Faso et à l Ouest par le Ghana. L indice de pauvreté national se situe à 79% en milieu rural. Environ 38,3% de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté. Le contexte de la crise sociopolitique et du ralentissement des activités économiques ont tendance à accentuer la paupérisation de la population. L éducation primaire Elle demeure l enseignement le plus répandu au Togo. Depuis 1975 déjà, les autorités avaient affiché une volonté clairement définie pour son universalisation et sa démocratisation. Cette volonté a été réaffirmée à la suite de la conférence de l EPT de Jomtien en L accès Au cours de la période 2000/ /2002, les taux d'accroissement moyens (TAM) de la population scolarisée (4,6%) et de la population scolarisable (3,2%) se sont accrus à un rythme supérieur au taux d'accroissement de la population (2,4%). Le TAM de la dernière décennie a même atteint 7,6% (Cf tableau ci-dessous). Ce qui présente une situation favorable de l accès brut à la scolarisation primaire. 2
3 Tableau n 1 : Evolution de la population scolarisable et des effectifs d élèves du premier degré au niveau national Population scolarisable Population 6-11 ans ND Population ans Population ans Sous Total(6-18 ans) D Population scolarisée au premier degré Source : Le système éducatif togolais éléments pour une revitalisation Mais de nos jours, environ 30% de la population scolarisable n'a pas encore accès à l'éducation de base. Cela est suffisamment révélateur de l'ampleur des efforts à fournir par les principaux partenaires de l'éducation si l'on désire offrir une chance de scolarisation effective aux enfants en âge de scolarisation d ici une décennie dans le cadre de l EPT. Les efforts consentis par tous les acteurs (gouvernement, partenaires au développement, ONG, associations de développement) de l'éducation ont été très importants pour assurer la couverture des besoins en éducation de la tranche d'âge scolarisable. Ceci a permis de noter des avancées quantitatives. La couverture quantitative des besoins éducatifs s est nettement améliorée depuis 1993 ce que confirme l appréciation factuelle de l accroissement des effectifs scolarisés du secteur primaire avec la forte progression impulsée par : - le développement de l enseignement privé (laïc et confessionnel) ; - l implication des parents dans l ouverture des écoles en milieu rural surtout (EDIL) et le développement des écoles communautaires. Analysant l évolution de la situation de ces EDIL dans le temps, on peut dire qu elles ont gagné du terrain dans le système éducatif en 10 ans. - le recrutement de maîtres contractuels ; - la prise en charge des rémunérations des enseignants par les communautés à l initiative desquelles certaines écoles ont été construites. N 3
4 Tableau n 2 : Disparités régionales dans l offre scolaire dans le premier degré d enseignement (2001/2002) Région Lomé Maritime Plateaux Centrale Kara Savanes % d EDIL parmi les écoles de la région % d élèves de la région scolarisés dans EDIL 0,35 0,41 14,48 8,15 24,63 12,91 22,27 12,91 21,48 8,63 42,59 24,03 Nombre d EDIL* Effectif dans les EDIL* % d élèves dans écoles n offrant pas les 6 niveaux du 1 er degré % d élèves de CP1 dans écoles n offrant pas les 6 niveaux du 1 er degré 4,5 0,3 12,4 16,7 12,3 20,3 13,3 18,7 11,8 20,0 24,1 37,3 Source : Le système éducatif togolais éléments pour une revitalisation * Données issues de l Annuaire des Statistiques Scolaires 2001/2002 La paupérisation des populations, l exclusion sociale, la non adaptation des systèmes éducatifs aux réalités des bénéficiaires, sont de nos jours des situations inquiétantes. A partir des années 1990, sous l effet de l ajustement structurel, les dépenses de l Etat dans le domaine de l éducation se sont affaiblies entraînant : le gel du recrutement des enseignants les disparités dans l accès à la scolarisation entre populations rurales et populations urbaines d une part, et d autre part, entre filles et garçons l absence d une carte scolaire la prolifération d écoles créées par les communautés abusivement appelées écoles clandestines. Ainsi, pour faire face à cette situation, des stratégies ont été développées en faveur de l éducation des exclus du système éducatif formel. Le programme Aide et Action Togo s est engagé dans le domaine à travers trois initiatives : les EDIL, les Ecoles Communautaires et les Ecoles Relais. II. Situation des Ecoles communautaires au Togo Une école communautaire est une école spontanément créée par une communauté pour pallier à l absence d offre éducative proposée par l Etat. D initiative collective et endogène, l école communautaire est gérée par la communauté, organisée et représentée par les Associations des Parents d Elèves (APE). Le recrutement et la prise en charge des enseignants, l inscription des élèves, l achat du matériel didactique et pédagogique, l organisation de l école sont à la charge de la communauté. Les Ecoles d Initiatives Locales (EDIL) sont présentes sur toute l étendue du territoire national. En dehors de ces EDIL, d autres formes d Ecoles communautaires sont expérimentées par des ONG. C est le cas du projet «Ecoles Relais» mis en œuvre par Aide et Action au Togo. 4
5 II.1 Ecoles d Initiative Locale (EDIL) II.1.1 Origine et évolution Avant 1994, les écoles communautaires n étaient pas reconnues par l Etat et étaient désignées sous l appellation d écoles clandestines. Un plaidoyer réalisé par Aide et Action Togo en 1994, a permis la désignation «EDIL», l autorisation d intervention pour accompagner cette dynamique endogène, et l envoi parfois de Directeurs formés pour assurer l encadrement pédagogique des autres enseignants recrutés sur le tas par l APE. Avec la crise socio politique du Togo depuis plus de 10 ans, le nombre des EDIL s est considérablement accru passant de 409 en 1994 à 1070 en Elles représentent aujourd hui 19% de l ensemble des établissements scolaires du 1 er degré (voir tableau n 3). Tableau n 3 : Evolution des EDIL au Togo Sources : Annuaires nationaux des statistiques scolaires En 1997, Aide et Action a décidé d accompagner ces dynamiques endogènes en initiant un projet expérimental dénommé «Ecoles Communautaires» en direction de 24 EDIL en y intégrant des éléments innovants. II.1.2 Politique nationale d appui aux EDIL La politique du Ministère des Enseignements Primaire et Secondaire (MEPS) à l égard des EDIL est fondée sur leur intégration dans le système national d éducation, le maintien de leur mode de gestion communautaire et sur le principe de complémentarité EPP et EDIL. Cela se traduit par plusieurs mesures prises en leur faveur : - reconnaissance des EDIL par l Etat (sur la base de critère) - recensement et intégration de ces écoles dans le dispositif statistique national - affectation d enseignants titulaires dans les EDIL les plus importantes (Directeur) - invitation des enseignants des EDIL aux journées pédagogiques et aux examens professionnels - intégration des EDIL dans le plan national de distribution de manuels scolaires - attribution d une aide financière aux comités de gestion des EDIL. Cette dernière disposition n est plus en cours depuis la fin du Programme d Appui à la Gestion du Secteur de l Education (PAGED) financé par la Banque Mondiale. 5
6 II 2 Expériences du Programme Aide et Action Togo II 2 1 Le Projet «Ecoles Communautaires» En tant qu ONG de développement à la base par l éducation, Aide et Action plus proche des réalités des communautés, a accompagné cette dynamique. Le «projet Ecole Communautaire» a été initié à cet effet. Caractéristiques des écoles communautaires 1. Ecoles créées et gérées par la communauté (identifiées par Aide et Action dans le cadre de la réalisation de son projet expérimental) 2. Enseignants recrutés et rémunérés par les communautés (employeurs), mais avec un appui formatif en pédagogie par Aide et Action 3. Ecoles suivies par Aide et Action avec une faible implication des Inspections de l enseignement 4. Programme d enseignement : programme conçu dans le cadre du projet en conformité avec le programme officiel, validé par l institutionnel. 5. Ce programme spécifique comprend : - Le programme officiel de l Etat - L utilisation de la langue maternelle comme langue d enseignement - La pédagogie : axée sur les méthodes actives 6. Calendrier scolaire adapté au milieu (horaires et jours) de septembre à Mai 7. Effectifs : 40 élèves par classe avec une parité filles/garçons recherchée 8. Age d entrée au CP1 : 6-7 ans de rigueur 9. Système de classe unique (un enseignant une classe) 10. Cursus : cycle limité à 3 ans. 11. Ecole = pôle de développement (activités autour de l école) Stratégie de mise en œuvre du projet Ecom Deux composantes essentielles constituent la stratégie de mise en œuvre : L animation villageoise Pour faire des écoles communautaires des écoles pôle de développement, des écoles intégrées au milieu et où les parents sont actifs et responsables, une stratégie d animation participative a été mise en place. Cette animation participative se fait en trois grandes phases à savoir : - Le diagnostic participatif : pour identifier les atouts et contraintes, les opportunités et risques, les ressources locales, les problèmes de développement et les besoins fondamentaux du milieu particulièrement en matière d éducation. - L élaboration du Plan d Actions Villageois (PAV) où les communautés identifient les solutions à leurs problèmes et les actions pertinentes en vue de résoudre ces problèmes. Ces actions sont planifiées pour une période d au moins 3 ans. 6
7 - La mise en œuvre du PAV. C est l étape où la communauté s organise autour des actions identifiées et planifiées et mobilisent les ressources nécessaires à leur réalisation. Ces PAV comprennent entre autres les activités d allègement de tâches, les activités génératrices de revenus et les activités de valorisation de l image de la jeune fille (Volley Ball féminin). La formation pédagogique La plupart des enseignants recrutés dans les écoles communautaires sont sans formation initiale. Former, recycler et encadrer ces enseignants volontaires était alors un préalable pour une éducation de qualité. L opérationnalisation de cette stratégie a nécessité : D une part la mise en place d équipes d animation qui avaient pour rôle ; - La mobilisation sociale, - La formation - L appui conseil. D autre part la création du Centre de Formation à la Pédagogie Active (CFPA). Ce qui a requis ; - La construction d un local, le «CFPA» avec pour mission de former prioritairement les enseignants des ECOM aux méthodes actives. - Le recrutement et la formation des formateurs pédagogiques. L appui technique du Groupe des Retraités Educateurs sans Frontière (GREF) procède de cette volonté de renforcer les capacités des enseignants. Les difficultés rencontrées La stratégie de mise en œuvre a rencontré un certain nombre de difficultés à savoir : Sur le plan de l animation : - Une faible capacité financière des communautés pour prendre en charge les coûts de l école - L efficacité relative de la stratégie de subvention des Activités Génératrices de Revenus (AGR) en vue du financement de l école - Une faible capacité technique des Comités de Parents d Elèves (CPE) à gérer efficacement l école - Le non fonctionnement de la cellule Ecole-milieu, prévue initialement dans le projet et devant assurer les fonctions intégratrices entre l école et le milieu. - Une lecture insuffisante du milieu socio-culturel pour prendre en compte les savoirs locaux. Sur le plan pédagogique : - Le niveau académique initial de certains éducateurs relativement bas ne permettant pas une bonne assimilation des formations aux méthodes actives et leur réinvestissement efficace. - Des effectifs de certaines classes supérieures à 40 élèves, rendent difficile la pratique des méthodes actives - Des irrégularités des éducateurs dues au non paiement des salaires - Une faible implication de l institutionnel 7
8 - Une absence de cadre de concertation avec les différents acteurs de l éducation. Les résultats du projet Les résultats quantitatifs Pour le projet ECOM les résultats suivants ont été obtenus : - Evolution des TNS et TBS des filles qui sont supérieurs à la moyenne régionale (66% contre 58% régionale de TBS et 63% contre 42 de TNS en 2000). - création de 24 écoles fonctionnelles à nos jours enfants inscrits en 6 ans (septembre 1997 en septembre 2002) éducateurs formés - 06 formateurs nationaux formés par le GREF et Aide et Action - 24 CPE/APE mis en place et formés - 13 moulins installés entre 1997 et groupements FR/AGR 1 financés et formés - 15 cantines scolaires équipées et construites - 20 groupements de transport animal équipés et formés - 09 citernes d eau construite enfants subventionnés en fournitures et écolage - 92 éducateurs formés admis aux différents concours professionnels - Deux (2) élèves issus des ECOM ont été premiers de leur centre d écrit au CEPD 2 - Divers outils pédagogiques produits (calcul, lecture, chant, éducation physique et sportive). - 6 bibliothèques itinérantes - 25 bibliothèques créées dans les écoles Les résultats qualitatifs - l engagement de l Etat à ouvrir les examens professionnels aux éducateurs des écoles communautaires - Réinvestissement multiforme des enseignants/éducateurs formés dans leurs localités (Pratiques de classes, recensement, participation aux opérations électorales, rédaction des procès verbaux des réunions communautaires) Les acquis et leçons tirées Les acquis Les acquis tels que révélés en 2002 suite à l évaluation à mi parcours sont : - Un projet pertinent car répondant aux attentes des communautés et de l Etat - Une expansion de la pratique des méthodes actives dans la région des Savanes suite à l intervention du projet - Un essor important impulsé en matière de scolarisation surtout des filles - Relatif essor d autres EDIL dans la région - L utilisation de la langue maternelle met en confiance les enfants - Le CFPA au delà des Ecomm comble un vide en matière de formation d enseignants Quelques leçons 1 Fonds rotatifs/activités génératrices de revenus 2 Certificat de Fin d Etudes du Premier degré 8
9 a- Travailler à renforcer la dynamique communautaire autour de l école communautaire La modification que Aide et Action a apporté dans la gestion des écoles communautaires par le rehaussement du salaire de l éducateur (de 5000 à fcfa), la décision de déployer un éducateur pour un niveau d étude, a entraîné des surcoûts que ne peuvent supporter les parents. Cette pratique a plutôt démobilisé la communauté. Comme le dit l adage «on ne fait pas grandir un arbre en le tirant vers le haut» b- Tenir compte des capacités contributives des acteurs dans tout projet de développement : «si le porc n avale pas les fruits du rônier c est qu il n a pas confiance en son anus, l inverse est vraie dans l autre sens pour l éléphant» c- Orienter le renforcement des capacités des acteurs locaux (APE, groupements AGR et les autres structures organisées) vers le pilotage et la gestion du système éducatif pour plus d impacts sur l accès, le maintien et la réussite des enfants. d- Dans le montage des projets, il devient indispensable de respecter la rigueur du cadre logique afin de se donner les chances de prendre en considération les suppositions importantes et les risques. e- Renforcer le partenariat institutionnel : Nous avons toujours le devoir de mémoire que l éducation relève du domaine de souveraineté de l Etat. Si quelque part l Etat n a pas encore imaginé ses plans, nous avons le devoir d aider à les bâtir. Et si nous ne pouvons pas nous inscrire dans les plans de développement définis par le pouvoir central, nous devons construire les nôtres avec lui et ses différentes représentations. La faible implication de l institutionnel a fortement hypothéqué le projet. II 2 2 Le Projet «Ecoles Relais» La mise en œuvre de cette stratégie a consisté, pour le Programme, à développer des écoles pour les enfants exclus du fait de leur âge, désignées par «Ecoles relais» et à appuyer l apprentissage de métier exprimé par des déscolarisés avec pour objectifs de leur offrir une éducation appropriée en dehors du système formel. Groupes cibles: enfants de 8 a 15 ans pour les écoles relais Démarche de mise en œuvre des écoles relais Etape 1: Etude de faisabilité Instruction et analyse de la fiche de projet par AeA et CPE Restitution des résultats de l analyse aux parents Inscription des enfants par les parents Etape 2: Appui organisationnel Mobilisation de l effort propre des parents 9
10 Identification des moniteurs par Inspection Enseignement du Premier Degré (IEPD), AeA et APE Contractualisation AeA/APE et APE/moniteurs Etape 3: Ouverture et exploitation Appui en équipements, fournitures et subvention pour la rétribution des moniteurs par AeA Formation pédagogique des moniteurs par AeA et IEPD Suivi pédagogique des enseignants et élèves Cycle et évolution - 3 ans de formation - 6 mois dans l année(début décembre à fin mai) - 5 jours par semaine - au moins 3 heures par jour A la fin des 3 ans : - apprentissage de métier - passerelle pour le formel - autres Contenu de formation des élèves - Lecture/écriture - Calcul - Expression écrite - Expression orale - Education sportive - Education pour la santé - Activités Pratiques et Productives(APP) - Activités artistiques et culturelles - Formations spécifiques en : 1. techniques agricoles 2. techniques d élevage 3. compta-simplifiée 4. IST/SIDA/maladies courantes Acquis - 15 écoles crées et fonctionnelles - plus de 384 enfants scolarisés enfants ont achevé le cycle de trois ans et apprennent un métier dont 43 appuyés en 2003 et 22 en enfants ont intégré le système formel dont une fille en 6 ème Lien avec le Formel - Participation des Inspecteurs et des Conseillers pédagogiques à l instruction de la fiche-projet - Formation des moniteurs en collaboration avec les Inspections - Suivi et encadrement des moniteurs par les directeurs d écoles publiques - Admission des élèves ER dans le formel 10
11 Difficultés - Faible revenu des parents pour mobiliser l effort propre et pour prendre en charge le fonctionnement et l équipement des écoles - Faible niveau d instruction des moniteurs - Taux d abandon élevé dû à l exode rural, au mariage précoce, au trafic et travail des enfants CONCLUSION L évaluation à mi parcours des projets «Ecoles Communautaires et Ecoles Relais» réalisée en 2002, a permis d interroger les pratiques, d apprécier les résultats. Si par rapport aux «ER», on a enregistré de très bonnes performances, dans les ECOM, on assiste à la perte progressive de leur statut communautaire par l introduction d éléments exogènes déstructurant dans le système de gestion des écoles. Certaines EDIL au lieu d augmenter leur efficacité ont dû fermer les portes sapant par là le rêve d une école attrayante et intégrée au milieu. A ce jour, il faut signaler que les communautés villageoises ne se sont pas encore réellement appropriées le projet. Confrontées aux difficultés de financement des ECOM, elles envisagent, désormais soit de modifier le projet (classes jumelées, augmentation des effectifs par classe, etc.), soit de rechercher l aide d autres bailleurs de fonds pour le cas où Aide et Action se retirerait, ou bien elles aspirent à voir leur école reconnue officiellement grâce à l affectation d un directeur nommé par l État, comme cela a déjà été le cas pour certaines d entre elles. Auquel cas, l école n est plus à proprement parler communautaire et le projet n a plus de raison d être. Une évaluation finale du projet en 2005, donnera les éléments significatifs de partage de l expérience, d amélioration des acquis et de réorientation des actions d appui que nous pourrons apporter, avec d autres partenaires pour la promotion de l éducation de base au TOGO. 11
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