PEUT ON DEPISTER LE CANCER DU PANCREAS? Dr P. GRANDVAL Hôpital de Timone Marseille
|
|
- Anatole Landry
- il y a 1 ans
- Total affichages :
Transcription
1 PEUT ON DEPISTER LE CANCER DU PANCREAS? Dr P. GRANDVAL Hôpital de Timone Marseille
2 OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES Connaitre les lésions pré cancéreuses et les populations àrisque d adénocarcinome pancréatique A qui proposer le dépistage? Par quels moyens diagnostique peut on dépister le cancer du pancréas et avec quel rythme?
3 CONFLITS D INTÉRÊT Le Docteur Philippe GRANDVAL déclare ne pas être en situation de conflits d intérêt
4 ADENOCARCINOME DU PANCREAS 4 cause de décès par cancer en France et aux USA Incidence en augmentation (2 3%) Mortalité supérieure à l incidence annuelle Proportion de survivants à5 ans: 5, 8% Survie à5 ans après chirurgie curative: 25% Projection de l incidence et de la mortalité par cancer en France en Rapport INVS/INCA
5
6 INTÉRÊT D UN DÉPISTAGE PRÉCOCE? Survies après pancréatectomie pour TIPMP: Sohn T. et al.: 136 TIPMP opérées 62% bénins 38% cancers invasifs Takahashi H et al: 20 TIPMP opérées 13 bénins 7 mini invasifs (CIS) 55% CIS Ann Surg 2004; 239: Annals of Surgical Oncology 2006;13(7):
7 CYSTADENOME MUCINEUX Kystes muco secrétant, souvent > 5 cm Prédominance féminine, ans Risque de transformation maligne: 6 36% Reddy RP. Clin Gastroenterol Hepatol. 2004;2: Suspectée devant: Van der Waaij L. GIE 2005;62:383 9 Symptômes Localisation céphalique Taille > 6 cm Parois épaisses Proliférations intra kystiques ACE intra kystique > 800 ng/ml Cytologie positive Ep. mucineux Stroma ovarien Indication chirurgicale
8 Tumeurs Intra canalaires Papillaires Mucineuses Pancréatiques (TIPMP) Métaplasie des canaux pancréatiques Production de mucine Dilatations kystiques du canal principal et/ou des canaux secondaires Séquence adénome dysplasie CIS Cancer 4 types histologiques: Gastrique Pancréato biliaire Oncocytique Intestinal (meilleur pronostic)
9 Tumeurs Intra canalaires Papillaires Mucineuses Pancréatiques (TIPMP) Le risque de cancer est fonction du type d atteinte canalaire Prévalence de cancer dans les TIPMP opérées: Canal principal: 60% Schnelldorfer T. Arch Surg 2008;143: Salvia R. Ann Surg 2004;239: Canaux secondaires: 18 22% Rodriguez JR. Gastroenterol 2007;135:72 9 Risque d apparition d un cancer au cours du suivi d une TIPMP des canaux secondaires: 6,9 à 15% à5 ans Uehara H. Gut 2008;57:1161 5; Lévy P. Clin Gastroenterol Hepatol ;4:460 8
10 SURVEILLANCE DES TIPMP Atteinte canal principal ou mixte Chirurgie Atteinte canaux secondaires: critères suspects («worrysome feature») Taille kyste > 3 cm Nodule mural (éliminer mucus) Parois épaisses Canal principal : 5 9 mm Modification brutale du calibre du Wirsung avec atrophie pancréatique distale Atypies de haut grade àla cytologie Augmentation rapide de taille d un kyste Tanaka M. International consensus guidelines 2012 for the management of IPMN and MCN of the pancreas. Pancreatology 2012;12:183 97
11 PanIN («pancreatic intra epithelial neoplasia») Lésions microscopiques (<5mm), non visibles en imagerie (IRM/CT) Touche les canaux secondaires (tête) Caractérisées par un épithélium cylindrique, plan ou papillaire Fréquentes: Pancréas normal:82% Andea A. Mod Pathol 2003;16: Pancréatite chronique: 60% Cancer pancréatique: 16% 3 types de PanIN en fonction du degré d atypie cellulaires I II III Hruban RH. Am J Surg Pathol 2001;25: Hruban RH. Int J Clin Exp Pathol 2008;1: Pancréas normal Panc. chronique Cancer
12 Moléculaires: PanIN: autres particularités similitude d évènements avec le cancer du pancréas Activation/ Extinction successive de gènes (KRAS2, SMAD4/DPC4, TP53, p16/cdkn2a) Pas d expression de MUC2 en immunohistochimie ( TIPMP) PanIN et formes familiales de cancer du pancréas Histologie: atrophie centro lobulaire Multifocalité des lésions Echo endoscopie: aspect de pancréatite chronique focal Foyers échogènes Bandes échogènes Lobularité, Dilatation Wirsung Branches II aires visibles Parois échogènes Irrégularités canalaires Kystes Calcifications Brune K. am J Surg Pathol. 2006;30: ) Canto MI. Clin Gastroenterol Hepatol 2006;4:766 81
13 Syndromes héréditaires à risque de cancer pancréatique Syndrome de Peutz Jeghers Gène Risque de cancer pancréatique à70 ans (%) STK11 36 FAMMM (mélanome) CDKN2A, CDK4 17 Syndrome Sein Ovaire BRCA1, BRCA2 3 8 Syndrome de Lynch MLH1, MSH2 <5 PAF APC <5 Si au moins un apparenté ayant un cancer pancréatique (1 er degré)
14 PANCRÉATITE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE Rare (mais 30% des pancréatites idiopathiques?) Responsable de pancréatites chroniques symptomatiques débutant dans l enfance Penetrance élevée (80%) Génétique: Mutation (R122H, N29I..) du trypsinogène cationique (PRRS1): Auto activation permanente du trypsinogène intra pancréatique Inflammation chronique Risque de cancer: 11% à50 ans, 40% à70 ans Risque majoré si branche paternelle (75%) et TABAC WHITCOMB DC. Nat Genet 1996;14: LOWENFELS AB. J Nat Cancer Instit 1997; 89: REBOURS V. Dig Liv Dis 2012;44:8 15)
15 CANCER PANCRÉATIQUE FAMILIAL Définition: 2 apparentés au 1 er degré (3 apparentés quelque soit le degré) En l absence de tout syndrome héréditaire Génétique: Eberle MA et al: famille «X» TAD, forte penetrance (> 80%) Locus 4q32 34 (Lodscore 5,36) Gènes candidats: BRCA2 (muté dans 20%) Pallidine, PALB2, ATM Brand RE. Gut 2007;56: Eberle MA. Am j Hum Genet 2002; 70: Murphy KM. Cancer Res 2002;62:
16 RISQUE DE CANCER PANCRÉATIQUE DANS LES FORMES FAMILIALES 17 33% de cancers dans les familles de CaPaFa Risque fonction du nombre d apparentés: 32 ( 3 apparentés); 6,4 (2 app.); 4,5 (1 app.) Age moyen 61 ans Diminue avec les générations (G1=70 a G2=64 a G3= 49 a) Facteurs de risques: TABAC: OR 4 19,2 Genre: OR plus élevé si sexe masculin Rulyak S. Gastroenterol 2203;124: Klein A. Cancer Res 2004;64: Mc Faul CD. Pancreas. Gut 2006;55:252 58
17 Canto MI et al 2012 Consortium CAPS suivi de 216 patients àhaut risque EUS/MRI Résultats: 42,6% de lésions: Kystiques (38,9%) Multiples Multifocales Performance des examens: EUS>MRI>CT 5 pancréatectomies TIPMP ou PanIN dans tous les cas DHG chez 3 patients/ 5 Résultats observés chez les patients asymptomatiques dépistés Langer et al 2009 Registre allemand «FaPaCa» Suivi de 76 patients àhaut risque EUS/MRI Résultats: EUS anormale dans 33% des cas (68% signes de PCC) MRI anormale dans 28% 7 pancréatectomies Pas de cancer 1 TIPMP Pan IN 1 2 Gastroenterology 2012;142: Gut 2009;58:
18 Modalités de surveillance (Canto MI. Gut 2013;62: ) A qui s adresse le dépistage? Cancer pancréatique familial: 3 ou + apparentés dont 1 au premier degré 2 apparentés au premier degré Porteurs de mutations: STK11/BRCA2/PALB2/p16/PRSS1/MMR A quel âge dépister? Pas de consensus (50 pour CaPaFa?, 40 PCC héréditaire et Peutz Jeghers?)
19 Comment dépister? Bilan initial: EUS/MRI (par operateurs expérimentés attention au risque de surévaluation) CT si masse solide (et PCC héréditaire calcifiée) Surveillance: EUS/MRI Intervalle d un an suggéré Réévaluation à6 12 mois si modifications (kyste)
20 CONCLUSIONS Trois lésions pré cancéreuses: le cystadénome mucineux, les TIPMP et les PanIN. Situations àrisque: syndromes héréditaires prédisposant aux tumeurs (syndrome de Peutz Jeghers, mélanome multiple familial FAMMM, syndrome sein ovaire) pancréatite chronique héréditaire cancer pancréatique familial Le cancer pancréatique familial: au moins 2 apparentés au 1 er degré, atteints de cancer du pancréas. Surveillance des personnes asymptomatiques à risques: 46% de lésions pancréatiques (écho endoscopies et IRM)
21 CONCLUSIONS But des programmes de dépistage du cancer du pancréas dans les situations familiales àrisque Diminuer la mortalité par cancer du pancréas Dépister principalement: lésions en dysplasie de haut grade cancers T1N0. Faible incidence + lourdeur des examens (opérateurs dépendants) + morbi mortalité chirurgicale: dépistages et suivi en centre expert
22 POINTS FORTS Trois types de lésions pré cancéreuses: le cystadénome mucineux, les TIPMP et les PanIN. Situations àrisque de cancer du pancréas: les syndromes héréditaires prédisposant aux tumeurs (syndrome de Peutz Jeghers, syndrome seinovaire, mélanome multiple familial FAMMM ), la pancréatite chronique héréditaire, et le cancer pancréatique familial. Le cancer pancréatique familial est évoqué devant la présence d au moins 2 apparentés au 1 er degré, atteints de cancer du pancréas. Des lésions pancréatiques sont retrouvées dans 46% des écho endoscopies et IRM réalisées chez les patients inclus dans un programme de dépistage du cancer pancréatique familial. Le but des programmes de dépistage du cancer du pancréas dans les situations familiales àrisque est de dépister des lésions en dysplasie de haut grade et des cancers T1N0. Leur relative faible fréquence implique de réaliser ces dépistages en centre expert et de réactualiser les modalités en fonction des connaissances.
Les TIPMP ; place de l'imagerie dans le diagnostic et la surveillance
Les TIPMP ; place de l'imagerie dans le diagnostic et la surveillance canal pancréatique principal (main duct) D. Régent et coll. CHU Nancy-Brabois Radiologie Adultes "prolifération anormale de type papillaire
Cohorte TEAM-P Suivi des TIPMP des canaux secondaires PROTOCOLE www.teamp.org
Cohorte TEAM-P Suivi des TIPMP des canaux secondaires PROTOCOLE www.teamp.org Personne responsable de l étude Dr Vinciane Rebours Praticien Hospitalier Universitaire Hôpital Beaujon, service de Gastroentérologie-Pancréatologie
Bruxelles 16.10.2010 Cancers pancréatiques familiaux
Bruxelles 16.10.2010 Cancers pancréatiques familiaux P r Pascal Hammel Service de Gastroentérologie-Pancréatologie, Pôle des Maladies de l Appareil Digestif Hôpital Beaujon, 92110 CLICHY, France Cancer
Cancer pancréatique familial : place du dépistage?
Cancer pancréatique familial : place du dépistage? Club Francophone d Echoendoscopie 27-1-2012 Pascal Hammel Service de Gastroentérologie-Pancréatologie Hôpital Beaujon, 92110 Clichy pascal.hammel@bjn.aphp.fr
Etude TEAM-P www.teamp.org
Etude TEAM-P www.teamp.org Rationnel Risque de carcinome invasif à 5 ans CPP: 50% Canaux secondaires: 15% Attention risque ADK associé!! Difficulté de prise en charge des TIPMP-CS - Quel schéma de surveillance
Oncogénétique : où en sommes nous?
Oncogénétique : où en sommes nous? Docteur Elisabeth LUPORSI Centre d Investigation Clinique de Cancérologie (CICC) CHU- CAV Vandoeuvre les Nancy Nancy 24 octobre 2009 Centre d investigation Clinique Pierre
Aspect en IRM des lésions kystiques du pancréas
Aspect en IRM des lésions kystiques du pancréas G.Piana (1), O.Turrini (2), M.Giovannini (3), J-R.Delpero (2), A.Sarran (1) (1) Service d imagerie médicale (2) Service de chirurgie digestive (3) Service
peut-on dépister le cancer du pancréas
Post U (2013) 249-256 Peut-on dépister le cancer du pancréas? Objectifs pédagogiques Connaître les lésions précancéreuses et quelles sont les populations à risque d adénocarcinome pancréatique? À qui proposer
Cholangite Sclérosante Primitive
Cholangite Sclérosante Primitive C. Corpechot Centre de Référence des Maladies Inflammatoires des Voies Biliaires Hôpital Saint- Antoine, APHP, Paris Evaluer la progression de l hépatopathie Dépister les
Surveillance. Éléments de la surveillance. Principe : alternance. Examen d imagerie. Examen clinique. Le suivi post thérapeutique en ville
Le suivi post thérapeutique en ville Surveillance Docteur Elisabeth LUPORSI Centre Alexis Vautrin-CHU 25 mai 2012 Strasbourg CNGOF Quelle indications? Quel rythme? Que surveiller? Quand changer l hormonothérapie?
IRM mammaire : quelles indications?
JIM.fr 05 mars 2015 IRM mammaire : quelles indications? Centre d imagerie médicale JURAS, Paris Service de radiodiagnosic, Hôpital René Huguenin, Institut CURIE L'IRM améliore la détection des tumeurs
Tumeurs kystiques du pancréas (TKP)
Tumeurs kystiques du pancréas (TKP) P r Pascal HAMMEL Pôle des Maladies de l Appareil Digestif, Gastroentérologie-Pancréatologie Hôpital Beaujon, Clichy Un problème qui ne fait qu émerger. 539 patients
ECHOENDOSCOPIE ET PATHOLOGIE BILIO-PANCREATIQUE
ECHOENDOSCOPIE ET PATHOLOGIE BILIO-PANCREATIQUE Dr M Le Rhun IMAD Nantes SCVO 13/01/2006 Il existe plusieurs échoendoscopies 1985 : EE mécanique radiale diagnostique 1995 : EE linéaire (Ponction) Minisondes
Indications de l IRM préopératoire. Dr. A. Coessens CHU St. Pierre Clinique du Sein ISALA
Indications de l IRM préopératoire. Dr. A. Coessens CHU St. Pierre Clinique du Sein ISALA 1 IRM du sein: généralités Sensibilité - spécificité bilan sénologique classique : mammographie, échographie indications
Voies biliaires. Olivier Lucidarme
Voies biliaires Olivier Lucidarme VB intrahépatiques VB Principale Sgt hilaire Sgt épiploique Sgt rétro duodénopancréatique Sgt intrapariétal VB accessoire Vésicule Canal cystique Lithiase biliaire et
TIPMP. Service de Radiologie, Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph, Paris
TIPMP Apports de l IRM 3D et revue iconographique Service de Radiologie, Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph, Paris C. Cotereau Denoiseux, S. Sfeir, L. Huwart, M Louvet, I. Boulay Coletta, MC. Jullès,
ONCOGENETIQUE ET JEUNES ADULTES. Unité d Oncogénétique TD Nguyen, AM Savoye, P Guilbert, C Delvincourt, O Beaudoux
ONCOGENETIQUE ET JEUNES ADULTES Unité d Oncogénétique TD Nguyen, AM Savoye, P Guilbert, C Delvincourt, O Beaudoux Les problématiques Adulte jeune atteint : le cas index Quel type de consultation? Quelle
Comment je traite un cancer infiltrant du sein?
Comment je traite un cancer infiltrant du sein? Pr Carole Mathelin Unité de sénologie, hôpital de Hautepierre CHRU Strasbourg Strasbourg le 15 Novembre 2014 Qu est ce qu un cancer infiltrant? Canaux galactophores
Lésions séreuses de l ovaire M A S T E R C L A S S 25 F O R P A T H M F D E H O U, G J A C O M E N 2 1 0 3 2 0 1 3
Lésions séreuses de l ovaire M A S T E R C L A S S 25 F O R P A T H M F D E H O U, G J A C O M E N 2 1 0 3 2 0 1 3 Classification OMS des tumeurs ovariennes Tumeurs épithéliales (90%) Tumeurs séreuses
Cancers gynécologiques (endomètre ovaire) d origine génétique
Cancers gynécologiques (endomètre ovaire) d origine génétique Anne Fajac Service Histologie-Biologie Tumorale, Hôpital Tenon Prédisposition héréditaire au cancer Mutation constitutionnelle Cancer héréditaire
Prédisposition aux cancers mammaires Indications de la chirurgie prophylactique
. Prédisposition aux cancers mammaires Indications de la chirurgie prophylactique G. Body Centre Olympe de Gouges Pôle de Gynécologie Obstétrique, Médecine Fœtale Médecine et Biologie de la Reproduction.
Incidentalome pancréatique Quelle conduite à tenir?
1 er fevrier 2013 Incidentalome pancréatique Quelle conduite à tenir? Sébastien GAUJOUX Incidentalome pancréatique Lésion asymptomatique de découverte fortuite diagnostic radiologique de plus en plus fréquent
La génétique en cancérologie: une démarche progressive
La génétique en cancérologie: une démarche progressive UCP: A partir d observations cliniques et/ou biologiques (âge, ATCDs) émettre une hypothèse diagnostique poser l indication d une consultation d oncogénétique
Prévention des cancers. Pr GANRY
Prévention des cancers Pr GANRY Pourquoi mettre en place une politique de prévention? Cancers de mauvais pronostic: ORL, œsophage, estomac. effet connu de l arrêt du tabagisme, de l alcoolisme Efficacité
Les petites tumeurs infiltrantes ( 10mm) : prescrire ou non un traitement systémique? Dominique Mille Médipôle de Savoie 07/10/2014
Les petites tumeurs infiltrantes ( 10mm) : prescrire ou non un traitement systémique? Dominique Mille Médipôle de Savoie 07/10/2014 Un peu de considération historique On a commencé, et c est dommage, à
Cellules souches cancéreuses : exemple du cancer gastrique
Cellules souches cancéreuses : exemple du cancer gastrique Christine Varon, MCF INSERM U853 Laboratoire de Bactériologie du Pr. F. Mégraud Université Bordeaux Segalen christine.varon@u-bordeaux2.fr Le
Classification histologique- voies de cancérogénèse. Marie-Aude Le Frère-Belda Anatomopathologiste Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris
Classification histologique- voies de cancérogénèse Marie-Aude Le Frère-Belda Anatomopathologiste Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris Cancers de l endomètre Epidémiologie Cancer gynécologique le plus
Sarcomes des tissus mous Liposarcome Pr. Philippe PELISSIER
Liposarcome Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Cellule adipeuse Source de cellules souches Source de facteurs de croissance Possibilité
Histoire naturelle des cancers de l ovaire
Histoire naturelle des cancers de l ovaire A Rafii E Mery Journée Régionale de Cancérologie Gynécologique et Sénologique 08/06/07 Tissu normal Prédisposition génétique Facteurs environnementaux PREVENTION
Cliquez pour modifier le style des soustitres. Patiente 37 ans qui consulte pour un suivi de contraceptif oral
Cliquez pour modifier le style des soustitres du masque Patiente 37 ans qui consulte pour un suivi de contraceptif oral Antécédents PR a 13 ans 2 accouchements normaux à terme Chir=0 Med=0 Fam= 2 sœurs
Recommandations de suivi pour les polyposes adénomateuses. Dr POIRSIER, CCA, Service de Génétique CHU de Reims A. Lannoy, conseillère en génétique
Recommandations de suivi pour les polyposes adénomateuses Dr POIRSIER, CCA, Service de Génétique CHU de Reims A. Lannoy, conseillère en génétique Polyposes adénomateuses familiales 1% des cancers colo-rectaux
MICI et cancers. Dr Sarah Leblanc Service de Gastroentérologie Hôpital Cochin
MICI et cancers Dr Sarah Leblanc Service de Gastroentérologie Hôpital Cochin Généralités Espérance de vie Non différente de celle de la population générale Un peu réduite dans la MC Incidence globale et
LE DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL. Dre S. Lefebvre CHVO- Gatineau
LE DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL Dre S. Lefebvre CHVO- Gatineau Dépistage du cancer colorectal (CCR) Reconnaître l importance du dépistage du CCR. Comprendre la progression des lésions pré-néoplasiques
Dépistage du cancer colorectal. Paul Wiesel gastroentérologue FMH Lausanne www.drpaulwiesel.ch
Dépistage du cancer colorectal Paul Wiesel gastroentérologue FMH Lausanne www.drpaulwiesel.ch Des rectorragies hémorroïdaires? découverte de 5 minuscules polypes à 32 ans 16 ans plus tard quelques polypes
Atelier 1: Oncogénétique. O. Cohen-Haguenauer, M. Albiter, N. Espié, L. Cahen-Doidy
Atelier 1: Oncogénétique O. Cohen-Haguenauer, M. Albiter, N. Espié, L. Cahen-Doidy 2 Cas clinique Mme L C Historique Patiente âgée de 61 ans 1998 -Traitement conservateur d un CLI (carcinome lobulaire
Cancer broncho-pulmonaire : le poids de l hérédité. A. FAJAC Histologie-Biologie Tumorale Hôpital Tenon
Cancer broncho-pulmonaire : le poids de l hérédité A. FAJAC Histologie-Biologie Tumorale Hôpital Tenon Tabac +++ Facteurs de risque Amiante Radiations Métaux lourds (arsenic, chrome, nickel) Hydrocarbures
Surveillance radiologique : centralisée ou en réseau?
Personnalisation des traitements et du suivi des femmes mutées Surveillance radiologique : centralisée ou en réseau? Viviane Feillel Institut Claudius Regaud 1 Mutations BRCA1/2: Quels risques? Risque
Recherche et médecine personnalisée : le point de vue de l oncogénéticien. Dr Dugast catherine
Recherche et médecine personnalisée : le point de vue de l oncogénéticien Dr Dugast catherine cc Dépistage de masse K sein chez mère 60 ans, nulliparité? Antécédent de hodgkin à 15 ans???? Quel est mon
Le dépistage organisé du cancer colorectal. Présentation aux médecins généralistes
Le dépistage organisé du cancer colorectal Présentation aux médecins généralistes Sommaire Pourquoi cette réunion? Les conditions de la généralisation La dynamique en France Les acteurs du dépistage organisé
SUIVI DES FEMMES AYANT EU UN CANCER DU SEIN Dr Jocelyne Chiquette 26 septembre 2008 1 SUIVI DES CANCERS POURQUOI????? 2 3 Suivi Cancers: infiltrants - 80% DCIS (CCIS) - 20% 4 CCIS et cancer infiltrant
ONCOGENETIQUE ET CANCERS SEINS/OVAIRES Recommandations pour le suivi des personnes à haut risque: cas index et femmes apparentées
ONCOGENETIQUE ET CANCERS SEINS/OVAIRES Recommandations pour le suivi des personnes à haut risque: cas index et femmes apparentées Dr F. CARRE-PIGEON Groupe Courlancy Dr M. MOZELLE-NIVOIX Centre hospitalier
Sémiologie en imagerie
Sémiologie en imagerie gynécologique et obstétricale Pr Alain Le Blanche Université de Picardie Jules Verne le_blanche.alain@chu-amiens.fr 03 22 66 84 07 Amphithéâtres Sylvius_Riolan lundi 28 septembre
8 ièmes journées de cancérologie digestive PACA-CORSE. Dr. P. GRANDVAL Hôpital de la Timone
8 ièmes journées de cancérologie digestive PACA-CORSE Dr. P. GRANDVAL Hôpital de la Timone Cancers digestifs accessibles à un dépistage et une surveillance Cancer colo rectal Cancer de l œsophage: Adénocarcinome
L IRM dans le. cancer du sein
L IRM dans le cancer du sein J.P. BRETTES Hôpitaux Universitaires de Strasbourg FAFEM Alger 2009 IRM généralités Apport diagnostique de l IRM dynamique - injection d un produit de contraste le gadolinium
Pascal Hammel, Frédérique Maire
ENQUETE GENETIQUE AU COURS DES AFFECTIONS PANCREATIQUES : POUR QUI ET COMMENT? Pascal Hammel, Frédérique Maire Pôle des Maladies de l Appareil Digestif Hôpital Beaujon 100 boulevard du général Leclerc
REFERENTIEL REGIONAL DE PRISE EN CHARGE DES TUMEURS DE L OVAIRE
REFERENTIEL REGIONAL DE PRISE EN CHARGE DES TUMEURS DE L OVAIRE Validé le 23/02/2012 Réseau Onco-Poitou-Charentes 2 rue de la Milétrie - BP 577-86021 POITIERS cedex Tel : 05.49.44.37.70 Fax : 05.49.44.37.73
TRAITEMENT ET DEPISTAGE DES POLYPES DU COLON
MILLE Sara Ronéo de Module 5 LABERGERIE Laura Cours de Mr LECOMTE Le 21/02/11 Le cours est disponible sur l'ent TRAITEMENT ET DEPISTAGE DES POLYPES DU COLON Épidémiologie du Cancer Colo-rectal (CCR): Le
Nodule Thyroïdien en ville. Conduite à Tenir devant la découverte d'un nodule thyroidien en ville
Nodule Thyroïdien en ville Conduite à Tenir devant la découverte d'un nodule thyroidien en ville Introduction Définition: hypertrophie localisée s'individualisant au sein de la glande thyroïde 95% des
TUMEURS DU COLON ET DU RECTUM NIVEAUX DE RISQUE ET ANATOMIE
FICHE 61 TUMEURS DU COLON ET DU RECTUM NIVEAUX DE RISQUE ET ANATOMIE Risque moyen Sujet de plus de 50 ans CCR rare avant 50% (6%). Puis augmente H e m o c c u l t / 2 ans. Coloscopie si possible Risque
DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT DES SARCOMES DES TISSUS MOUS CHEZ L ADULTE. R. MAZA SACOT Décembre 2010
DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT DES SARCOMES DES TISSUS MOUS CHEZ L ADULTE R. MAZA SACOT Décembre 2010 INTRODUCTION Tumeurs malignes développées aux dépens du tissu conjonctif extra squelettique (adipeux musculaire
Masses kystiques compliquées et complexes du sein de l image échographique à l histologie S.Kechaou, M.Jrad, A.Ayedi,M.Chaabane Ayedi Service de radiologie de l hôpital de l Ariana. Tunis.Tunisie INTRODUCTION
Syndrome de Lynch : les risques tumoraux
Lille - 22/03/2013 Syndrome de Lynch : les risques tumoraux Valérie Bonadona, MD, PhD Centre Léon Bérard & CNRS UMR 5558 Lyon Le Syndrome de Lynch = Syndrome HNPCC (Hereditary Nonpolyposis Colorectal Cancer)
Cancer du pancréas (155) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Cancer du pancréas (155) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Rapports anatomiques du pancréas Voie de drainage lymphatique. Sémiologie de la douleur pancréatique. Syndrome cholestatique.
Surveillance par imagerie des seins et des ovaires
GENEPY Réseau de prise en charge des personnes à risque GENEtique de Cancer en Midi-Pyrénées Référentiel Régional Syndrome Seins - Ovaires Surveillance par imagerie des seins et des ovaires Janvier 2016
Docteur Brigitte Seradour
Dépistage du cancer du sein Docteur Brigitte Seradour Pourquoi dépister le cancer du sein? (Selon 10 principes OMS) Il s agit d une maladie grave, fréquente, détectable (phase latente) L examen de dépistage
Traitement du cancer colique gauche en occlusion. Mahaut Leconte Service de Chirurgie Digestive Hépatobiliaire et Endocrinienne Hôpital Cochin
Traitement du cancer colique gauche en occlusion Mahaut Leconte Service de Chirurgie Digestive Hépatobiliaire et Endocrinienne Hôpital Cochin Incidence 70 % des occlusions coliques sont d origine tumorale
Cancers Digestifs : Philippe Soyer. Service de Radiologie. ti Hôpital Lariboisière GRIVIL
Cancers Digestifs : Quelle Imagerie? Philippe Soyer Service de Radiologie Viscérale et Interventionnelle ti Hôpital Lariboisière GRIVIL Détection ti tumorale Extension locale Extension à distance Surveillance
Enfant 15 ans, toux chronique, diarrhée persistante, troubles de la régulation glycémique
Enfant 15 ans, toux chronique, diarrhée persistante, troubles de la régulation glycémique Quelles hypothèses diagnostiques pouvez vous émettre, dans ce contexte, devant ces images kystiques de la région
Chimiothérapie adjuvante des cancers colorectaux : peut on se baser sur la biologie moléculaire pour proposer un traitement adjuvant en 2012?
Toulouse le 5 avril 2013 Chimiothérapie adjuvante des cancers colorectaux : peut on se baser sur la biologie moléculaire pour proposer un traitement adjuvant en 2012? Thierry Lecomte Service d Hépatogastroentérologie
Item 308 (Item 158) Cancer du rein Jean-Philippe Couapel, Karim Bensalah Coordination et relecture : Morgan Rouprêt
CHAPITRE Item 308 (Item 158) Cancer du rein Jean-Philippe Couapel, Karim Bensalah Coordination et relecture : Morgan Rouprêt I. Pour comprendre 4 II. Épidémiologie 5 III. Anatomopathologie 5 IV. Diagnostic
Autres tumeurs de la paroi digestive. Polype fibroïde inflammatoire Leiomyome Leiomyosarcome Schwannome Tumeur maligne des gaines nerveuses
Autres tumeurs de la paroi digestive Polype fibroïde inflammatoire Leiomyome Leiomyosarcome Schwannome Tumeur maligne des gaines nerveuses Leiomyome du tube digestif Beaucoup plus rare que les GIST Localisations
INSTITUT CLAUDIUS REGAUD TOULOUSE
DIAGNOSTIC DES RECIDIVES LOCOREGIONALES GENERALITES VIVIANE FEILLEL INSTITUT CLAUDIUS REGAUD TOULOUSE OBJECTIFS DE LA SURVEILLANCE Evaluation des séquelles post-thérapeutiques Diagnostic précoce des récidives
L. Sbihi, L. Glas, R. Boutier, N. Girouin, A. Bencheikh, A. Gelet, D. Lyonnet, O. Rouvière Hôpital Ed. Herriot, Lyon - France
L. Sbihi, L. Glas, R. Boutier, N. Girouin, A. Bencheikh, A. Gelet, D. Lyonnet, O. Rouvière Hôpital Ed. Herriot, Lyon - France Pré-requis Principe des ultrasons focalisés ou HIFU (High Intensity Focal Ultrasound)
Problématiques de recherche en chirurgie du sein. Problématiques de recherche en chirurgie du sein. Incidence et mortalités des cancers féminins
Problématiques de recherche en chirurgie du sein Problématiques de recherche en chirurgie du sein C MATHELIN 1, MF BRETZ-GRENIER 2, S CROCE 3, D BRASSE 4, A GANGI 2 1. Pôle de gynécologie-obstétrique,
LESIONS ACR3 EN MAMMOGRAPHIE ET ECHOGRAPHIE: définition, conduite àtenir. Dr M GAYET, Dr M FONSECA, Dr V CALMELS CHU Bicêtre
LESIONS ACR3 EN MAMMOGRAPHIE ET ECHOGRAPHIE: définition, conduite àtenir Dr M GAYET, Dr M FONSECA, Dr V CALMELS CHU Bicêtre Définition ACR 3: Anomalie probablement bénigne Risque de malignité inférieur
Prof. Olivier CHAZOUILLERES
Prof. Olivier CHAZOUILLERES Cholangite sclérosante Savoir évoquer une cholangite sclérosante Savoir évoquer le diagnostic Connaître les différents traitements et les modalités de surveillance Conflits
Bénéfices du sevrage tabagique L exemple de la greffe hépatique. A Abergel Médecine digestive CHU Estaing Clermont Ferrand. SFT, 25 Octobre 2013
Bénéfices du sevrage tabagique L exemple de la greffe hépatique A Abergel Médecine digestive CHU Estaing Clermont Ferrand SFT, 25 Octobre 2013 Les principales maladies hépatiques -Hépatopathies dues au
Tumeur du Sein. Service de Pathologie Hôtel-Dieu de France Beyrouth- Liban Juillet 2007 Julien DAHDAH
Tumeur du Sein Service de Pathologie Hôtel-Dieu de France Beyrouth- Liban Juillet 2007 Julien DAHDAH Cas Clinique En Juillet 2006, Patiente de 34 ans, mariée, mère d un enfant de 5 ans, se plaint depuis
Formes histologiques des cancers du sein
Formes histologiques des cancers du sein DESC Régional Rennes 24/01/2013 Giretti Giovanni Tours Plan Introduction Histologie du tissu mammaire Carcinome in situ (intra-canalaire et intra-lobulaire) Carcinomes
Y a-t-il du bénin dans le tube?
Les tumeurs bénignes de l abdomen Journée de printemps de la SIAD 28.03.14 Y a-t-il du bénin dans le tube? C. Ridereau-Zins CHU ANGERS Y a-t-il des tumeurs bénignes dans le tube digestif? OUI Lésions rares
Indications thérapeutiques et traitement du kyste de l ovaire
Indications thérapeutiques et traitement du kyste de l ovaire François RODAT - DESC-SCVO Poitiers Juin 2007 - La pathologie annexielle est le motif le plus fréquent de consultation gynécologique: 5-7 %
Le cancer du pancréas exocrine est la plus fréquente et la plus grave des tumeurs pancréatiques.
Tumeurs du pancréas (155) Professeur B. CHAUFFERT (Département d Oncologie. Centre Georges François Leclerc. Dijon), Professeur F. MORNEX (Département de Radiothérapie. Centre Hospitalier Lyon Sud), Professeur
Item 308 (Item 158) Cancer du rein Collège Universitaire des Urologues
Item 308 (Item 158) Cancer du rein Collège Universitaire des Urologues 2014 1 Table des matières 1. Pour Comprendre... 3 2. Épidémiologie... 3 2.1. Quelques chiffres... 3 2.2. Les facteurs de risque...
Imagerie mammaire: et après le cancer? S.Dechoux, A. Morel, I.Thomassin-Naggara, J.Chopier
Imagerie mammaire: et après le cancer? S.Dechoux, A. Morel, I.Thomassin-Naggara, J.Chopier Les problématiques rencontrées Détection de reliquat tumoral Detection récidive Patiente asymptomatique Patiente
cancers du sein et de l ovairel
Prédispositions héréditaires h aux cancers du sein et de l ovairel 1ère Journée Médicale Calédonienne E.Camus JUIN 2012 17q21 2cM BRCA1 King, 1990 BCLC, 1993 Skolnick, 1994 13q12 BRCA2 Stratton, 1994 Stratton,
Chimiothérapie première des cancers du sein et expérience de l hôpital Saint Louis
Chimiothérapie première des cancers du sein et expérience de l hôpital Saint Louis M. Espié, J Lehman Che, A de Roquancourt, C. Cuvier, E. Bourstyn, L. Cahen-Doidy, C. de Bazelaire,M. Maylin, M. Marty,
TRAITEMENT NEO ADJUVANT DE L ADENOCARCINOME PANCREATIQUE. Laetitia DAHAN CHU Timone Marseille
TRAITEMENT NEO ADJUVANT DE L ADENOCARCINOME PANCREATIQUE Laetitia DAHAN CHU Timone Marseille Aucun CONFLITS D INTÉRÊT Objectifs pédagogiques Savoir définir un cancer du pancréas localement avancé et border
Les lésions kystiques du pancréas (LKP): Démarche diagnostique et surveillance
Les lésions kystiques du pancréas (LKP): Démarche diagnostique et surveillance Maxime Palazzo Service d endoscopie digestive Hôpital Beaujon, Clichy, France Université Paris 7-Denis Diderot Néant Conflits
Faculté des sciences de Tunis Laboratoire de génétique, immunologie et pathologie humaine Institut Salah Azaiez Le Cancer Du Sein Héréditaire En Tunisie Génétique & Éthique TROUDI Wafa C est Quoi Le Cancer?
TUMEURS ENDOCRINES DU SEIN EXPERIENCE DU CPMC
TUMEURS ENDOCRINES DU SEIN EXPERIENCE DU CPMC N. BENACHENHOU, CHETIBI,O.GHEDOUARI, A.BENDIB Service d imagerie de l HCA : * Service de sénologie du CPMC : ** Ensemble de tumeurs dispersées dans l ensemble
CONCEPT DU GANGLION SENTINELLE
1 CONCEPT DU GANGLION SENTINELLE En 1994, GIULIANO (Annal of Surgery) applique le concept du ganglion sentinelle dans la prise en charge chirurgicale du cancer du sein. Les bénéfices attendus sont : -
Traitement néoadjuvant: Évaluation précoce de la réponse par TEP-FDG : Performances et limites
Traitement néoadjuvant: Évaluation précoce de la réponse par TEP-FDG : Performances et limites Contexte Tumeurs larges ou localement avancées Pas de bénéfice en survie par rapport au traitement adjuvant,
Carcinome hépatocellulaire prise en charge en 2013
Carcinome hépatocellulaire prise en charge en 2013 Isabelle Morard Service d hépato-gastroentérologie Service de transplantation Juin 2013 J hepatol 2012 Hepatology 2011 CHC: épidémiologie Cibler les populations
Les pancréatites chroniques alcooliques (269) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Les pancréatites chroniques alcooliques (269) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Physiologie de la sécrétion pancréatique Métabolisme de l'alcool Sémiologie des douleurs pancréatiques Résumé
Lithiase de la voie biliaire principale
Lithiase de la voie biliaire principale Diagnostic et prise en charge RATONE Jean-Philippe, juin 2013 Hôpital La Conception, Gastroentérologie Plusieurs possibilités thérapeutiques Chirurgie coelioscopique
Cancer du sein chez l homme: aspects écographiques
Cancer du sein chez l homme: aspects écographiques F. Sarquis (1), M. Castro Barba (1), B. Miller (1), P. Cobos Bombardiere (1), R. Garcia Monaco (1) (1) Service d Imagerie, Hospital Italiano, Buenos Aires,
Les examens de laboratoire : comment les interpreter? Exemple : les marqueurs tumoraux. Michèle BERTHIER : SCOR GLOBAL LIFE
Les examens de laboratoire : comment les interpreter? Exemple : les marqueurs tumoraux Michèle BERTHIER : SCOR GLOBAL LIFE Présentation faite en collaboration avec le Dr Gabriela BUFFET, Médecin-Conseil
Dr Laure Foessel Radiologie 1 Hôpital de Hautepierre Strasbourg CAS CLINIQUES SENOLOGIE ÉCHOGRAPHIE ET IRM LES JEUDIS DE LA RADIOLOGIE
Dr Laure Foessel Radiologie 1 Hôpital de Hautepierre Strasbourg CAS CLINIQUES SENOLOGIE ÉCHOGRAPHIE ET IRM LES JEUDIS DE LA RADIOLOGIE Cas 1 Béatrice, femme de 47 ans, consulte suite à la palpation d une
FACTEURS PRONOSTIQUES DU CANCER DU SEIN
FACTEURS PRONOSTIQUES DU CANCER DU SEIN DESC de chirurgie viscérale Poitiers 2004 Katy WELSCHBILLIG CHU d Angers Intérêt d identifier les facteurs pronostiques Définition des populations à haut risque
Centre de génétique, CHU Dijon
Centre de génétique, CHU Dijon Premier test familial: toujours chez une personne symptoma6que Diagnos6c chez les apparentés: diagnos6c présymptoma6que 1 ère consulta6on d informa6on et prélèvement
Principes du traitement des cancers Consultation oncologique multidisciplinaire G. JERUSALEM. Oncologie médicale CHU Sart Tilman - Liège
Principes du traitement des cancers Consultation oncologique multidisciplinaire G. JERUSALEM Oncologie médicale CHU Sart Tilman - Liège Principes généraux Importance du diagnostic d un cancer au stade
Dépistage du Cancer du sein
Dépistage du Cancer du sein Dr M Si Hocine Département de Médecine M Interne Hôpital St Camille (Bry sur Marne) Données de base 42 000 nouveaux cancers diagnostiqués /an Taux brut : 38,5 /100 000 11 700
De pistage et suivi des nodules pulmonaires. Dr Catherine LAMBLIN, pneumologue, Lille Dr Dominique BLANC, me decin nucle aire, Lille
De pistage et suivi des nodules pulmonaires Dr Catherine LAMBLIN, pneumologue, Lille Dr Dominique BLANC, me decin nucle aire, Lille Inte re t du de pistage Cancer du poumon = 1e re cause de mortalite par
Le parcours sein DR VÉRONIQUE LORGIS DR ISABELLE DESMOULINS
Le parcours sein DR VÉRONIQUE LORGIS DR ISABELLE DESMOULINS La première consultation Patiente adressée par le médecin traitant Par le radiologue Venue d elle-même Adressée par un service Par le chirurgien
Pancréatite de l enfant. Dr THOMASSIN Journée DES 28/01/2011
Pancréatite de l enfant Dr THOMASSIN Journée DES 28/01/2011 Clinique pancréatite aigue Y penser à tout âge SR à 1,1 Douleur abdominale aigue +++ ( > 75% cas), souvent épigastrique, brutale, d intensité
Statut génétique constitutionnel et traitements médicaux des cancers du sein Actualités et perspectives. S Delaloge, Gustave Roussy, Villejuif
Statut génétique constitutionnel et traitements médicaux des cancers du sein Actualités et perspectives S Delaloge, Gustave Roussy, Villejuif «Confits» d intérêt Consulting / expert Conferences/ formations
Présentation du programme de dépistage du Cancer Colo-Rectal CREDEP. par le Dr Jean-Louis DUJARDIN. FMC La Châtre. Mardi 06 octobre 2009
Présentation du programme de dépistage du Cancer Colo-Rectal CREDEP par le Dr Jean-Louis DUJARDIN FMC La Châtre Mardi 06 octobre 2009 Programme de dépistage du Cancer Colo Rectal (CCR) CREDEP La Châtre
RAPPELS DES CRITERES MOTIVANT UNE CONSULTATION D ONCOGENETIQUE. Pr Y.-J. BIGNON Département d'oncogénétique Centre Jean Perrin 63000 CLERMONT-FERRAND
RAPPELS DES CRITERES MOTIVANT UNE CONSULTATION D ONCOGENETIQUE Pr Y.-J. BIGNON Département d'oncogénétique Centre Jean Perrin 63000 CLERMONT-FERRAND Le cancer du sein 1 000 000 nouveaux cas par an dans
Aspects radiologiques des cancers du sein de phénotype triple négatif
Aspects radiologiques des cancers du sein de phénotype triple négatif M Boisserie-Lacroix, G Hurtevent-Labrot, M Asad-Syed, S Ferron Institut Bergonié Bordeaux Assez abondante littérature en biologie moléculaire
Dispositifs Médicaux Implantables Endoscopie Digestive
Dispositifs Médicaux Implantables Endoscopie Digestive Dr Romain GERARD Cliquez Service pour des modifier Maladies le style des l Appareil sous-titres du Digestif masque Hôpital Huriez CHU Lille FOGD Endoscopie