Utilisation de la méthode de contrôle continu des terrassements sur la bretelle Est du Mans

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1 Utilisation de la méthode de contrôle continu des terrassements sur la bretelle Est du Mans Yves ROBICHON, Ingénieur des TPE - Jean LAMBERT, Conducteur des TPE Direction départementale de l'equipement de la Sarthe M. JOUBAULT, Chef d'agence - B. RENARD, Conducteur de travaux - T. COLLIN, Laborantin Société HEULIN Hervé HAVARD, Ingénieur - Pierre FRAQUET, Technicien supérieur Laboratoire régional d'angers R La méthode de contrôle continu des terrassements s'appuie sur la Recommandation pour les terrasse- E ments routiers éditée par le SÉTRA et le LCPC en janvier IJ Cette méthode a été utilisée sur plusieurs chantiers de la région mancelle où elle a donné satisfaction. M La présentation de cet article est destinée à replacer l'utilisation de cette méthode dans le cadre de É préoccupations d'abord budgétaires. Le point de vue du maître d'œuvre permet d'apprécier la façon dont la méthode a été utilisée et ressentie par lui au cours du chantier et, en particulier, le fait qu'il s'est trouvé très concerné. Le point de vue de l'entreprise fait apparaître un prix de revient intéressant pour elle ainsi que l'appréciation d'objectifs clairement définis. Le point de vue du laboratoire montre la façon dont celui-ci s'est organisé pour mener cette tâche à bien et, en particulier, laisser au maître d'œuvre la maîtrise des contrôles tout en s'assurant du respect des spécifications. Malgré quelques critiques, le bilan apparaît très positif. MOTS CLES: 51 Contrôle Continu Terrassement Remblai Compactage Méthode Volume Surface /Rapport QIS.. Introduction technique La méthode de contrôle continu de la mise en œuvre des remblais (seule envisagée ici, à l'exclusion des plates-formes) s'appuie sur les trois fascicules de la Recommandation pour les terrassements routiers (RTR). Connaissant au démarrage du chantier : - la nature des sols (classification de nature du fascicule 2 de la Recommandation) fournie par l'étude géotechnique, - le (ou les) compacteur(s) utilisé(s) par l'entreprise, déterminant au cours de la réalisation du chantier : - l'état du sol (teneurs en eau généralement effectuées tous les matins et comparées à des seuils définis au niveau de l'étude géotechnique), - la météorologie, on peut connaître, par la Recommandation pour les terrassements routiers, à chaque instant du chantier, suivant le degré de compactage souhaité (faible, moyen ou intense) : la valeur de l'épaisseur maximale des couches élémentaires compactées à respecter,. la valeur du rapport QIS (Q volume compacté mis en œuvre durant un temps donné, S surface balayée par le compacteur durant le même temps) à ne pas dépasser. L'épaisseur des couches et la répartition du compactage sont surveillées par l'administration, le rapport QIS est calculé à partir du volume mis en œuvre (qui peut être connu de différentes façons) et de la surface 5 balayée par le compacteur, connue grâce à un tachygraphe monté sur le compacteur. Ce tachygraphe donne la distance parcourue que l'on peut multiplier par la largeur du compacteur pour connaître S ; il indique en outre les horaires de fonctionnement, la vitesse de translation, etc. Le contrôle continu consiste donc, connaissant les sols et la météorologie, à imposer moyens et méthodes de mise en œuvre pour obtenir un résultat qui sera considéré alors comme bon. 67 Bull. Maison Labo. P. et Ch sept.-oct Réf. 2294

2 PRÉSENTATION Joseph IFERGAN Ingénieur Chef du service opérationnel Direction départementale de l'equipement de la Sarthe En octobre 1976, le SÉTRA adressait à tous les maîtres d'oeuvre la Recommandation SÉTRA-LCPC pour les terrassements routiers se rapportant à : 1. l'établissement des projets et la conduite des travaux de terrassement ; 2. l'utilisation des sols en remblai et en couche de forme ; 3. le compactage des remblais et des couches de forme. Les travaux de terrassement qui se sont déroulés dans la Sarthe entre les mois de mai 1977 et juin 1978 nous ont fourni, comme au Laboratoire d'angers et aux entreprises locales, l'occasion d'utiliser ce nouvel outil pour contrôler et diriger l'exécution de ces travaux. Le maître d'œuvre, le Laboratoire d'angers, ainsi que l'entreprise chargée de l'exécution des terrassements de la bretelle est, formulent ici leur avis sur l'efficacité de la méthode au regard de leurs préoccupations respectives, en se référant au chantier de terrassement de la bretelle est du Mans. Je présenterai quant à moi de manière plus globale : - les trois opérations dans le cadre desquelles la méthode de contrôle continu des terrassements a été appliquée ; - mon avis personnel sur le déroulement des travaux. Présentation des travaux de terrassement Le département de la Sarthe a été, ces deux dernières années, particulièrement favorisé dans le domaine des investissements routiers. Là ou ailleurs, dans l'ouest de la France, les entreprises de travaux publics ont ainsi marqué le pas; celles, mieux loties, de la Sarthe, ont pu en effet bénéficier d'une situation qui leur a été favorable. A l'origine des crédits débloqués en 1977 et en 1978 sur la Sarthe : l'arrivée de l'autoroute A i l (Paris - Le Mans) aux portes de l'agglomération mancelle, programmée pour le mois de juin Devant cette perspective, les responsables tant politiques, financiers qu'administratifs ont su saisir l'opportunité qui leur était présentée de renforcer le réseau routier local en dotant l'agglomération mancelle d'itinéraires parfaitement adaptés à la nouvelle vocation que lui conférait l'autoroute A 11. L'inscription au budget des années 1977 et 1978 d'un volant de crédits supérieur à 100 MF a ainsi permis : - à l'etat, de raccorder l'autoroute A 11 au réseau des routes nationales existant à l'est de l'agglomération mancelle (RN 23-CD 92), fonction actuellement assurée par la bretelle est; - au département de la Sarthe, de doter l'agglomération mancelle d'un réseau routier permettant le contournement du Mans de manière satisfaisante, fonction actuellement assurée par la déviation sud-est, deuxième tranche, et par la rocade nord-ouest du Mans. Les travaux d'exécution de ces trois opérations, dont les mises en service étaient programmées pour le mois de juin 1978, date d'arrivée au Mans de l'autoroute Ail, débutèrent quasi simultanément. La construction des ouvrages d'art qu'elles comportaient (bretelle est : 12, déviation sud-est : 4, rocade nord-ouest : 4) commença en septembre 1976 pour la bretelle est et en mars 1977 pour les deux autres opérations, alors que les travaux de terrassements furent lancés dès les mois de juin 1977 pour la bretelle est, août 1977 pour la rocade nord-ouest et septembre 1978 pour la déviation sud-est, deuxième tranche. Les travaux de chaussées se déroulèrent, quant à eux, à partir des mois de novembre 1977 pour la bretelle est, avril 1978 pour la déviation sud-est, deuxième tranche, et mai 1978 pour la rocade nord-ouest. * Service chargé de la réalisation des grands travaux routiers neufs de l'équipement dans le département. 68

3 Les échéances de mise en service de ces opérations furent respectées grâce à la mobilisation des entreprises locales. Elles eurent effectivement lieu : - le 8 juin pour la déviation sud-est deuxième tranche, soit deux jours avant le déroulement des Vingt-quatre Heures du Mans 1978, qui représentent toujours pour l'agglomération mancelle une échéance fatidique, - le 30 juin pour la bretelle est, - et le 21 juillet pour la rocade nord-ouest, - alors que la mise en service de l'autoroute A 11 eut lieu le 12 juillet pour la section comprise entre la Ferté- Bernard et la bretelle est, et le 15 août pour celle comprise entre la bretelle est et la route de Laval. L'importance de ces échéances justifia, comme on peut s'en douter, le maintien du déroulement des travaux tout au long de l'hiver, et de surcroît au-delà, malgré les intempéries exceptionnelles qui marquèrent le premier semestre de l'année Au cours des travaux de terrassement auxquels ces aménagements ont donné lieu, les dernières Recommandations du SETRA, parues en novembre 1976, sur l'établissement des projets et la conduite des travaux de terrassement ont été appliquées. La diversité des sols rencontrés ainsi que l'importance globale de ces chantiers (tableau I) nous ont permis d'apprécier la validité et l'efficacité de ces Recommandations. TABLEAU I Nature des sols rencontrés déblais Volume (m 3 ) remblais Bretelle est Déviation sud-est 2 tranche e Rocade nord-ouest alluvions (sable argileux) argiles ± plastiques sable ± argileux Avis du chef du service opérationnel sur la nouvelle méthode Sans entrer dans le détail des modalités pratiques adoptées au cours du chantier, je formule ici mon avis sur les avantagés et les inconvénients de la méthode de contrôle continu vis-à-vis de la qualité des ouvrages et de leur coût. Impact de la méthode sur la qualité des prestations contrôlées Nous avons noté tout d'abord que la sélection rigoureuse des matériaux de déblais réutilisables en remblais, telle qu'elle est préconisée par les Recommandations SÉTRA-LCPC, a permis d'obtenir un mouvement des terres optimal pour la réalisation des plates-formes avec les meilleurs matériaux du chantier. La qualité de la réalisation des remblais a semblé bonne, et le contrôle pratiqué a priori garantit cette qualité. L'exemple de la bretelle est, dont les terrassements de la première section comprise entre l'autoroute A 11 et la RN 23 se sont déroulés entre les mois de mai et octobre 1977, l'a parfaitement démontré. Sensibilité de la méthode de contrôle continu aux mauvaises conditions atmosphériques Si nous avons pu apprécier les résultats bénéfiques de la méthode de contrôle continu sur le chantier de la bretelle est (section comprise entre l'autoroute A 11 et la RN 23), qui s'est déroulé dans des conditions favorables (mai à octobre 1977), nous avons cependant pu également constater sur les autres chantiers combien les intempéries pouvaient réduire les avantages de la sélection rigoureuse des matériaux réutilisables en remblais de surface. Malgré cette sélection, nous avons en effet été amenés à traiter au ciment les plates-formes dressées à leurs cotes définitives : - tant pour nous assurer la maîtrise des délais, malgré les intempéries qui n'ont cessé de s'abattre sur les chantiers jusqu'au mois de juillet 1978, - que pour améliorer la qualité du support afin de permettre une bonne mise en œuvre du sable-laitier en couche de fondation de chaussées par les entreprises routières. Cette observation ne constitue bien évidemment pas en elle-même une critique de la méthode utilisée car, quelles que soient les dispositions prises, les intempéries exceptionnelles viendront toujours contrecarrer la volonté du maître d'œuvre, inspiré en cela par de seules considérations d'économie budgétaire, de n'entreprendre qu'en dernière extrémité le traitement des plates-formes sensibles à l'eau, au ciment, au moment où il considère que cette décision conditionne le respect des objectifs de délais à atteindre. 69

4 Cependant, le déroulement des travaux de terrassement de la déviation sud-est, deuxième tranche, où la diversité des matériaux était plus importante que celle de la bretelle est de la rocade nord-ouest, a révélé une certaine rigidité de la nouvelle méthode. Nous avons eu effectivement le sentiment que les Recommandations, trop exigeantes, péchaient par excès de perfectionnisme. En effet, à plusieurs reprises, des pluies fines ont gêné la mise en remblai de sables peu pollués sur le chantier de la déviation sud-est du Mans. La Recommandation pour les terrassements routiers préconisait l'arrêt du chantier qui aurait permis une imbibition de la dernière couche de terrassement conduisant alors à un arrêt prolongé du chantier. Il a semblé préférable, malgré la Recommandation, d'accélérer la mise en remblai pour éviter une exposition prolongée des matériaux aux intempéries. La qualité obtenue semble nous avoir donné raison. Des matériaux médiocres ont été rencontrés en déblai sur la déviation sud-est également, et nous avons pu les réutiliser par une mise en sandwich avec des sables assez propres. Cette méthode est apparue peu compatible avec la Recommandation pour les terrassements routiers. On gagnerait donc en assouplissant la méthode Q/S pour certaines natures de matériaux mis en œuvre en période pluvieuse. Impact de la méthode sur le plan financier La troisième observation découle de la précédente : si tous les maîtres d'œuvre ne peuvent que se féliciter de disposer, grâce à la méthode de contrôle continu, d'un outil particulièrement efficace dans le contrôle et le suivi des chantiers de terrassement, il n'en demeure pas moins qu'ils doivent rester vigilants et ne pas tomber dans un excès de perfectionnisme qui peut être la source de dépenses excessives. Or, en étant quelquefois trop exigeantes, les contraintes imposées parles nouvelles Recommandations peuvent engendrer des surcoûts, ne serait-ce que par la mise en dépôt provisoire (ou définitive) des matériaux de déblais déclarés de manière trop abusive non utilisables, ni en couche de forme ni en remblai. C'est pourquoi il me paraît, là aussi, indispensable d'adopter pour certaines natures de matériaux des spécifications techniques moins contraignantes, en fonction du déroulement du chantier (météo, etc.). Malgré les critiques formulées précédemment, je considère, en tant que maître d'œuvre, que l'application des nouvelles recommandations sur les chantiers de terrassement qui se sont déroulés dans la Sarthe ces deux dernières années nous a permis de satisfaire aux exigences de qualité que nous nous étions naturellement imposées. Je tiens, de plus, à souligner que si la nouvelle méthode a pu être expérimentée dans d'excellentes conditions, c'est grâce en grande partie à la parfaite entente qui a pu s'instaurer entre le maître d'œuvre, le Laboratoire d'angers et les entreprises chargées des travaux d'exécution. POINT DE VUE DU MAÎTRE D'ŒUVRE RESPONSABLE DE LA CONDUITE DES TRAVAUX Présentation Yves ROBICHON Ingénieur TPE Direction départementale de l'equipement de la Sarthe La bretelle de raccordement est du Mans (RN 224) dessert, à partir de l'autoroute Océane Paris-Le Mans (A 11), le centre et les quartiers est et sud de l'agglomération mancelle et assure l'acheminement, avec la déviation sud-est du Mans, du trafic à destination d'angers et Nantes, en attendant le prolongement de l'autoroute vers ces villes (fig. 1). D'une longueur d'environ 6 km, cette voie classée route express est constituée d'une chaussée bidirectionnelle de 7 m, non élargissable. Elle comporte trois échangeurs : avec l'autoroute Océane, la RN 23 Chartres-Nantes et la RN 223, déviation sud-est du Mans. L'occupation du sol a largement conditionné la recherche du tracé et les caractéristiques géométriques en plan et en profil en long de la route car, si le tracé se développe dans une zone à vocation agricole, nous avons dû tenir compte de nombreux obstacles, tels que des exploitations maraîchères, la rivière l'huisne, la ligne SNCF Paris-Le Mans, la gare d'yvré-l'evêque et un embranchement particulier, une zone semi-urbanisée le long de la RN 23 et les deux routes nationales au trafic intense (RN 23: v/j; RN 223: v/j en 1977). Les études se sont déroulées de 1973 à 1976, et les travaux de septembre 1976 à juin 1978, date impérative prévue pour la mise en service de l'autoroute. Les terrassements ont été réalisés en deux phases, la première entre la ligne SNCF et l'autoroute, de juin à septembre 1977, la seconde entre la ligne SNCF et la RN 223, d'octobre à mai

5 Fig. 1 - Situation de la bretelle est du Mans. Le montant global de l'opération est ressorti à 32 MF, dont 3 MF pour les acquisitions foncières et 1,8 MF pour les études et la surveillance des travaux. Les études géologiques Les reconnaissances géologiques effectuées pendant l'élaboration du projet par un laboratoire privé ont permis d'identifier des matériaux relativement hétérogènes dans les déblais où l'on rencontrait des sables propres mal gradués, des sables argileux, des argiles et limons et des sables grésifîés (roussards). Cette étude, relativement incomplète et insuffisante en ce qui concerne les modalités de réemploi des matériaux, a été complétée en août 1976 par une étude spécifique des déblais réalisée par le Laboratoire d'angers. Cette étude confirmait la nature des sols rencontrés et précisait sur une coupe leur localisation, ainsi que les conditions de réemploi en remblais ou de mise en dépôt, résumées dans le tableau II, et préconisait en outre un travail à la décapeuse. TABLEAU II Formation géologique Description Classification Conditions de réutilisation Alluvions de terrasses sable propre mal gradué B1 -B2 W < 8 % mauvaise traficabilité sable argileux à grains fins B2 - B6 W < 13 % argile très plastique finement sableuse A3 W < 18 % pas de grands remblais Cénomanien sable argileux à matrice d'ap. B6 W < 16 % sable mal gradué limoneux parfois grès compact B2 W < 8 % 71

6 Les travaux Le rapport du Laboratoire d'angers nous est parvenu au moment où le SÉTRA et le LCPC diffusaient les brochures relatives à la Recommandation pour les terrassements routiers et il a été décidé d'établir un dossier de consultation des entreprises en prenant en compte la méthode de contrôle des terrassements préconisée par la Recommandation. Les parties spécifiques à ce mode de contrôle, en particulier le tableau de correspondance et les modalités d'exécution des remblais, furent rédigées avec le concours du Laboratoire d'angers, le CCTP (Cahier des clauses techniques particulières) étant toutefois établi de manière à revenir aux anciennes méthodes de contrôle si le déroulement des travaux le justifiait. La grille de décision qui permet, en fonction des matériaux, de la météorologie et des engins de compactage, de déterminer les modalités de réalisation des remblais a été établie par le Laboratoire d'angers. Les travaux confiés à la SAE Heulin se sont déroulés dans de bonnes conditions pendant la première phase, avec une météorologie favorable, et dans d'assez mauvaises conditions pour la deuxième phase, puisque le chantier a subi pendant toute sa durée des intempéries assez inhabituelles, alors même que la date de mise en service de l'autoroute ne permettait pas d'interrompre les travaux. Le bilan des terrassements dans ces conditions a été le suivant pour chacune des phases (tableau III). TABLEAU III Déblais --> remblais Déblais --5* dépôts Remblais d'emprunt prévisions exécution prévisions exécution prévisions exécution 1 re phase * e phase * Une partie des remblais de la 2 e phase a été réalisée avec des déblais de la première phase. Les contrôles L'ensemble des contrôles de compactage a été réalisé par la méthode de contrôle continu préconisée par la Recommandation pour les terrassements routiers. Au démarrage des travaux, l'entreprise a manifesté une légère réticence devant cette nouvelle méthode, dans la mesure où elle s'était récemment équipée d'un gammadensimètre pour contrôler son travail. Elle a toutefois rapidement équipé ses compacteurs d'un tachygraphe à enregistrement journalier comme l'exige la méthode. Chaque jour de travail, une fiche de contrôle des terrassements, conforme à celle de la figure 2, a été établie résumant le processus du contrôle. Le disque de tachygraphe du jour était joint à cette feuille. Le matin, le conducteur des TPE définit, à l'aide de la grille de décision, les conditions de mise en œuvre des remblais en fonction des matériaux utilisés, du temps et des prévisions météorologiques. Le soir, en fonction des cubes mis en œuvre et des surfaces de travail du compacteur, il calcule l'énergie de compactage Q/S et la communique à l'entreprise qui peut ainsi rapidement ajuster le matériel du chantier. Un document de synthèse (fig. 3) est en outre tenu à jour sur le profil en long du projet, précisant et localisant les matériaux rencontrés réellement dans les déblais, ceux mis en remblai et les différentes opérations particulières réalisées (décapage, déboisage, purges, mise en place de drains, de textile non tissé, traitement de plate-forme, etc.). L'entreprise est étroitement associée aux contrôles puisqu'elle réalise avec son laboratoire les essais d'identification définis au CCTP (granulométries, équivalents de sable, limites d'atterberg et teneurs en eau), fournit au conducteur les disques d'enregistrement des tachygraphes pour le calcul des surfaces balayées par les compacteurs, et le cubage des matériaux mis en œuvre dans la journée par le pointage des engins de transport des matériaux (décapeuses ou camions). Le Laboratoire de l'equipement (régional ou départemental) se borne à vérifier périodiquement, dans le cas présent une fois par semaine environ, que les identifications sont bonnes et que la grille de décision est correctement appliquée. Le résultat des contrôles journaliers a montré que le compactage était bien réalisé : plus de 90 % des mesures correspondent aux spécifications exigées. Les quelques résultats insuffisants enregistrés proviennent d'un changement de classification des matériaux mis en œuvre, entraînant une modification du QIS à obtenir. Une correction a toujours été rapidement apportée au mode de travail pour satisfaire aux spécifications demandées, et le compactage des zones où les résultats étaient insuffisants était repris dès le lendemain. Après achèvement des terrassements de la première phase, représentant une longueur d'environ 4 km, les déformations de la plate-forme ont été mesurées au déflectographe. Les mesures faites, sans couche de forme, ont donné des résultats de 50/100 en moyenne, quelques points isolés, soit environ 5 % des mesures, atteignant 200 à 350/100. Les fortes précipitations ne nous ont malheureusement pas permis de poursuivre les travaux de chaussée sur cette plate-forme qui, devenue rapidement très humide et intraficable, a du être traitée localement à la chaux et globalement au ciment sur une épaisseur moyenne de 0,30 m de manière à lui redonner une portance satisfaisante, une bonne résistance aux intempéries et à assurer le trafic de chantier pour la mise en œuvre des chaussées pendant l'hiver

7 DIRECTION DEPARTEMENTALE DE L'EQUIPEMENT DE LA SARTHE Fig. 2 - Feuille journalière du contrôle des terrassements. SERVICE OPÉRATIONNEL S,E,T. 3 BRETELLE DE RACCORDEMENT EST DU MANS CONTROLE DES TERRASSEMENTS MÉTÉOROLOGIE : Beau DATE 9/ 9 / 1977 FICHE N 59 TEMPS DE TRAVAIL 8 Heures NATURE DES MATÉRIAUX CLASSIFICATION SËEËSS^istigues : sable fin T en eau 18% P B6 Sable argileux P B6m A3 m B2 m bl\ A3 Argile limon P A4 Profils 7.15 Ordures ménagères SPÉCIFICATIONS DE MISE EN OEUVRE CQRPS_QE_R.EMB.IAI : TÊTE DE R.EM.BLAI : e- 0,30 m ^-= 0,03 e - m 0_ 5 QUANTITÉS RÉALISÉES ENGINS DE CHANTIER -Déblai mis en remblai : 840 P16... m 3 -Déblai mis en stock : u.445 Ail... m 3 -Déblai mis en dépôt : 600 Ail... m 3 -Stock mis en remblai : B82.P7 à 20 m 3 3 scrapers 3 pelles mécaniques 3 bulls 2 graders 2 cy. ïramac 10 camions SURFACE COMPACTÉE ÉPAISSEUR DES COUCHES RCV 7 ; » m m OBSERVATIONS : Purges P 15.8 déblais P remblais P Q obtenu : 0.02 COMPACTAGE : suffisant insuffisant Visa du CTPE : Lambert 73

8 Bilan de la méthode Si la méthode peut paraître complexe au premier abord, au vu des multiples tableaux qui illustrent les brochures et qui doivent partiellement se retrouver dans le CCTP, elle s'avère en réalité très simple et peu onéreuse dans son application sur le chantier : les essais de laboratoire sont faciles et rapides avec un matériel peu sophistiqué, la détermination des quantités mises en œuvre, des surfaces balayées par les compacteurs et des épaisseurs des couches est également facile, en particulier le pointage des engins de transport qui offre une précision dans la détermination des volumes de remblais (0 tout à fait satisfaisante pour l'application des contrôles. La rapidité avec laquelle les résultats sont obtenus permet de suivre la qualité du travail au jour le jour et d'adapter dans les plus brefs délais l'atelier de compactage aux matériaux et aux cadences, ce qui est fondamental pour une bonne organisation du chantier et l'obtention d'un travail de qualité. La méthode ne nécessite pas le concours de spécialistes de haute technicité et permet de confier la responsabilité des conditions de mise en œuvre et du contrôle au maître d'œuvre, en particulier sur le chantier, au conducteur des TPE et à l'entreprise qui fournit les éléments nécessaires et se trouve ainsi directement concernée par cette tâche. Elle exige de tous les intervenants une bonne connaissance du dossier géotechnique et une surveillance constante des matériaux mis en œuvre. Bien qu'elle repose en grande partie sur le conducteur des TPE, elle ne constitue pas pour lui un surcroît de travail important. Sur ce chantier, dont les travaux se sont échelonnés sur moins de deux ans, un seul conducteur a pu constamment suivre les quatre entreprises présentes plus ou moins simultanément sur le chantier. La fiabilité des contrôles exige enfin une très bonne expérience de la part des conducteurs de compacteurs qui doivent être capables d'utiliser au mieux leur matériel et de compacter d'une manière homogène les matériaux mis en œuvre dans la journée. L'application de la méthode fut toutefois incomplète sur le chantier puisque l'aspect météorologique n'y a été abordé qu'au jour le jour. Grâce à l'exploitation des statistiques existantes, des progrès peuvent être réalisés dans l'élaboration des projets et la consultation des entreprises. L'étude météorologique devrait fournir des informations sur le bilan hydrique (différence entre les précipitations et l'évaporation) à une échelle de temps suffisamment fine, telle que la journée, pour permettre d'apprécier les conditions météorologiques dans lesquelles le chantier se déroulera probablement, de définir ainsi au préalable la technique susceptible d'être la mieux adaptée à la période choisie (réutilisation des déblais avec ou sans traitement, recours aux emprunts, etc.) et d'apprécier plus précisément les coûts et les délais d'exécution. Les travaux de la bretelle est furent un excellent test pour la méthode de contrôle des terrassements préconisée par la Recommandation pour les terrassements routiers; je ne puis toutefois la comparer à d'autres puisque c'était là mon premier chantier de terrassement. J'ai pu apprécier les qualités de la méthode qui sont la simplicité, la rapidité et le coût. Son mode opératoire à l'avantage de bien intégrer l'entreprise au processus de contrôle, et de nécessiter une bonne connaissance du dossier géotechnique pour identifier les matériaux mis en œuvre. Elle rend vraiment le maître d'œuvre et l'entreprise responsables du contrôle. Je pense que la mise au point d'un dossier météorologique devrait encore améliorer le déroulement des chantiers de terrassement, en limitant au maximum les risques techniques et économiques qu'ils comportent, par une meilleure information des décideurs sur les conséquences de leurs choix. POINT DE VUE DE L'ENTREPRISE M. JOUBAULT Chef d'agence SAE Heulin Sur plusieurs chantiers de terrassement, notre entreprise a pratiqué l'autocontrôlé au moyen de la méthode des essais proctors et densité en place (densitomètre et gammadensimètre). C'est pour la première fois sur le chantier de terrassement de la bretelle est que l'entreprise a pratiqué le contrôle continu des terrassements. Cette dernière méthode s'avère plus efficace et présente des avantages par rapport à la précédente, én^ce qui concerne les terrassements : - les coûts en moyenne sont inférieurs ; l'équipement en tachygraphes des engins de compactage s'élève de à francs environ suivant les modèles, plus facilement amortissable que l'achat d'un gammadensimètre et sa maintenance ; - allégement du travail du laborantin et de son prix de revient; un technicien suffit à assurer la surveillance du chantier, ce qui n'était pas toujours le cas précédemment; - autre avantage de cette méthode : le contrôle a priori est continu. Si les éléments de décision (nature du matériau, teneur en eau, météorologie et moyens de mise en œuvre) sont requis, il n'y a pas de surprise à avoir au niveau des résultats. Il s'ensuit une plus grande sûreté de la méthode; 74

9 - cette méthode de contrôle continu est moins contraignante, supprimant les essais de densité en place sur le chantier qui, très souvent, entravaient la marche des engins. Elle n'impose plus les mesures de sécurité importantes que nécessitait sur le chantier l'emploi du gammadensimètre. Elle supprime les attentes de résultats, facilitant l'avancement du chantier. Deux points revêtent une importance particulière : - une bonne étude géologique initiale dans le but de faciliter la reconnaissance et la classification des matériaux pendant les travaux, et aussi d'anticiper sur leur emploi en remblai ou décharge ; - importance des prévisions météorologiques pour répondre aux exigences de la grille de décision fournie par le laboratoire régional qui, selon le matériau et sa teneur en eau initiale, exige un type de temps pour son utilisation en remblai. La méthode du Q/S laisse une plus grande initiative à l'entreprise. Les rapports entre entreprise et administration se trouvent également simplifiés et facilités par la clarté de cette méthode et le contrôle permanent qu'elle procure. POINT DE VUE DU LABORATOIRE Hervé HAVARD Ingénieur Laboratoire régional d'angers L'intervention du Laboratoire d'angers sur la bretelle est du Mans a commencé en août 1976 par l'élaboration d'un dossier géotechnique. Des études antérieures avaient été réalisées par un bureau d'études privé, et le laboratoire régional s'était contenté de l'étude spécifique des déblais en utilisant les critères introduits par la Recommandation pour les terrassements routiers. Au moment de l'appel d'offres, le laboratoire a été consulté sur le contenu du CCTP (Cahier des clauses techniques particulières) en ce qui concerne la réalisation des terrassements. Au démarrage du chantier de terrassement (mai 1977), le laboratoire a fait un exposé pratique de la méthode au maître d'œuvre et à son conducteur ainsi qu'au personnel de l'entreprise concernée (conducteur de travaux et laborantin). Une grille de décision {cf. description plus bas) a été établie par le laboratoire pour faciliter la détermination des paramètres de compactage à utiliser chaque jour, dès que les compacteurs devant être utilisés ont été connus. Le contrôle du chantier a été assuré par le maître d'œuvre, le rôle du laboratoire se bornant à veiller à ce que les documents contractuels soient bien appliqués par des interventions discontinues du type contrôle d'autocontrôlé. En revanche, le laboratoire a assuré une assistance technique tout au long du chantier (mai 1977 à avril 1978). Étude géotechnique Cette étude n'a concerné que les déblais. Des sondages à la tarière mécanique ont été réalisés et les sols rencontrés ont été identifiés de façon à pouvoir les classer dans la nouvelle classification (fascicule 2 de la Recommandation pour les terrassements routiers). Les résultats ont été présentés dans un dossier dont la pièce essentielle est le profil en long géotechnique (fig 4) qui a servi de référence principale tout au long du chantier. Sols rencontrés : - Alluvions anciennes constituées de sables plus ou moins argileux, où nous avons distingué la formation 1 (sable propre B1-B2) et la formation 2 (sable argileux B2-B6). Les alluvions en placages sur les déblais pouvaient atteindre 4 m d'épaisseur. - Cénomanien, très hétérogène dans la région mancelle. Il est constitué d'argile très plastique humide A3, voire A4 (formation 3 du chantier) le plus souvent non réutilisable, en lentilles plus ou moins importantes (quelques décimètres à plusieurs mètres d'épaisseur sur des longueurs généralement importantes) dans un sable mal gradué tantôt argileux (formation 4 du chantier), tantôt propre et peu trafiquable (formation 5 du chantier). La reconnaissance du Cénomanien est souvent délicate à cause de la distribution imprévisible des lentilles argileuses que l'on risque d'ignorer entre deux sondages très éloignés l'un de l'autre. Par ailleurs, les sables sont parfois cimentés en blocs très durs de grandes dimensions, appelés roussards dans la région. Ces blocs peuvent rarement être situés par les sondages dont le maillage est inadapté. Le CCTP (Cahier des clauses techniques particulières) Ce document a été rédigé en citant les différents sols rencontrés lors de l'étude et en définissant leurs conditions de mises en œuvre suivant leur état, la météorologie et le type du compacteur utilisé au moment de la mise en œuvre, ces conditions étant extraites des fascicules 2 et 3 de la Recommandation pour les terrassements routiers. La grille de décision La figure 5 donne un exemple de feuille de la grille de décision établie par le laboratoire à l'usage du chantier. Il s'agit en fait d'un résumé pratique du CCTP. En première colonne de cette grille, le sol est classé et sommairement décrit. En deuxième colonne sont donnés le numéro de la formation et sa position sur le profil en long géotechnique (où des 75

10 Sondages- Flg. 4 - Exemple de profil en long. Un cartouche détaillé sous le profil en long précise pour les formations ' (D- d) et la nature géologique et géotechnique des sols, leur état, les possibilités de réutilisation suivant les teneurs en eau, etc. SA à grain fin %<à 80 U (très important) At très finement sableuse 6,20 SA proche d'at à grain fin %>à 80 U (important) SL à grain moyen à assez fin At finement sableuse avec grains de glauconie et débris coquilliers o / u Grès siliceux, glauconieux 8,80 wf" à ciment calcaire Refus 9,30 -. Sm 0/8 10,00*! 7, C.E.T.E. de NANTES Réf. : L.R. d'angers Bretelle Est du MANS Grille de décision avec compacteur Vlb ou Via (Tramac 400) Section : Terrassements Géophysique Position Critère Éléments de décision sur étude géotechnique Identification Corps de remblai Tête de remblai (3) dans ZDne I (un peu sableux) (3) dans zone il (lentilles sableuses, peu importantes! (4) dans zone IV Ip : 25 à 40 faible consistance Ip : 24 à 26 engin ne convenant pas A4 limon très plastique (3) dans zone II Ip >40 BZ IB1I sable propre mal gradué parfois limoneux parfois graveleux (Il et (5) danszone I 11) dans zone II (1) dans zone III W N >WQPN i 2 assécher le matériau avant utilisation ou mise en stock pluie même légère pluie moyenne mise en stock ou arrêt chantier Q/S : 0.08 e : 0.30 Q/S : 0,035 e : 0,20 WN<WQPN - 1 faible pluie Q/S : 0,08 e : 0,30 (Il et (51 danszone IV pas de pluie O/S : 0,04 e : 0,20 d - arrosage éventuel B6- (B2) sable argileux localement graveleux (21 dans zone I 12)dans zone M WN»10 6 <Wn <10 légère pluie pas de pluie Q/S : 0,05 e : 0,30 10 <% F <20 % temps sec Q/S : 0,02 e : 0,20 (2)dans zone IV pluie moyenne pluie légère Q/S :0,05 e : 0,30 Fig. 5 - Grille de décision pour compacteur Tramac 400. W N<6 pas de pluie evaporation importante Q/S : 0,02 e : 0,20 terre végétale utilisé en revêtement de talus 76

11 zones ont été définies pour se repérer plus aisément). En troisième colonne sont fournis les critères discriminants d'identification au cas où un doute sur la nature du matériau nécessiterait l'exécution d'identifications sur chantier. Les colonnes suivantes donnent les conditions de mise en œuvre avec le compacteur concerné, fonction de la teneur en eau et de la météorologie du moment. Contrôle de la qualité La grille de décision était complétée par le document du tableau IV définissant les opérations de contrôle. L'entreprise Heulin était chargée de l'exécution de teneurs en eau sur la zone de déblai, le matin avant le démarrage du chantier, ainsi que de l'évaluation de la météorologie (l'entreprise contactait régulièrement la Météorologie nationale pour connaître les prévisions météorologiques, ce qui lui permettait en outre d'organiser son chantier pour le lendemain). Ces deux critères, alliés à la définition de la formation (formation n du profil en long géotechnique), permettaient l'utilisation de la grille de décision et la définition des conditions de mise en œuvre. Un changement en cours de journée dans les paramètres définis le matin (sol, météo, compacteur, etc.) nécessitait une remise à jour des conditions de mise en œuvre au cours de la journée (cela n'est pratiquement jamais arrivé, sauf pour les sols dans lesquels la présence de lentilles compliquait la tâche) avec évaluation du rapport QIS au changement de conditions de mise en œuvre. Au cours de la journée, le conducteur de l'administration pouvait s'assurer du bon emploi de la grille de décision, du respect de l'épaisseur des couches (qui n'a pas soulevé de problème, entre autres, probablement du fait de l'utilisation de décapeuses par l'entreprise) et approximativement d'une bonne répartition du compactage (compacteurs* aux lieux de mise en œuvre et non sur les pistes ou autres...), en particulier sur les endroits les moins circules par les engins de chantier. En fin de journée, le disque du tachygraphe était relevé et dépouillé par le conducteur de l'administration qui établissait le rapport QIS (Q volume compacté estimé par l'entreprise, S surface compactée calculée sur la base de la distance utile parcourue multipliée par la largeur des compacteurs), notait des remarques éventuelles sur l'épaisseur de couches et la répartition du compactage, sur la météorologie, etc. Par ailleurs, il est aisé de vérifier sur ces disques de tachygraphe que la vitesse maximale imposée aux différentes sortes de compacteurs est respectée et que les horaires de fonctionnement des compacteurs correspondent aux horaires du chantier (sans être nécessairement les mêmes). TABLEAU IV Opérations de suivi de la mise en œuvre Opérations journalières Opérations hebdomadaires (ÏA)- Surveillance sur chantier Identification des sols et affectation à une catégorie de la grille de décision Teneurs en eau au démarrage Evaluation météo (AS)- Dépouillement des résultats T Relevé du disque par DDE fj]evaluation de 0 [5] Vérification du respect du rapport OIS (si possible, vérifier en cours de journée, chercher les causes, etc.). Bilan des opérations(ab) Confrontation éventuelle avec les résultats du Laboratoire régional [TJRéutilisation impossible en dépôt mise [ Compte rendu des épaisseurs observées fj] Réutilisation possible suivant W N 2.1. Teneurs en eau trop élevée trafic sur chantier possible - mise en dépôts (si autorisée) ou- mise en stock sinon \ - recherche d'une autre aire d'extraction {ci. 2.2.) sinon ' - arrêt de chantier trafic sur chantier impossible 2.2 Teneurs en eau admissibles OU Compte rendu de la répartition du compactage météo impossible (cf ) météto => possible - rechercher QIS et e prescrits dans le cas de figure - vérifications périodiques (périodes dépendant du temps, mais < 24 h) de l'identification et de la teneur en eau - si état change fcf.fflete]) - si nature change Cc/.ITJetEl) * Les tachygraphes peuvent imprimer à chaque instant des index correspondant à des affectations différentes, par exemple une croix correspond compactage des remblais, un carré à celui des pistes, etc. 77

12 i- L Intervention du laboratoire Un technicien du laboratoire régional était envoyé de temps en temps sur le chantier (suivant cadences et problèmes supposés) pour vérifier que les essais de laboratoire étaient réalisés correctement, que la grille de décision était bien interprétée et qu'enfin les conditions de mise en œuvre étaient satisfaisantes en calculant en particulier le rapport QIS sur de faibles laps de temps. Une feuille (cf. exemple de la fig. 6) était alors remplie. Pour l'ensemble du chantier ces contrôles de réutilisation ont représenté huit jours de technicien. Bien que peu nombreuses, ces interventions semblent avoir suffi, sans doute grâce au travail supplémentaire exigé du conducteur de l'administration, et à la coopération de l'entreprise, qui ont permis d'alléger l'intervention du laboratoire régional. Ces conditions sont rarement atteintes, ce qui justifie généralement une intervention plus lourde du laboratoire régional. Par ailleurs, le laboratoire régional assurait la présence d'un ingénieur ou d'un technicien supérieur au moins à chaque rendez-vous de chantier (une fois par semaine), ce qui a représenté 31 demi-journées de présence pour l'assistance technique dont l'intérêt paraît évident. CETE de NANTES LABORATOIRE RÉGIONAL D'ANGERS LES PONTS DE CE Tel «1) N'Dossier,_02_77_72 _03_ Section Terrassements -Géophysique Responsable. M HAVARD Techniciens._M. HUET Nature el classification du matériau Sable argileux avec localement blocs de grés B 6 Destination remblai Eï. dépôt O Date: 6 juillet 1977 chantier. Bretelle Est du Mans ois demande': _ 0,08. 0/ S obtenu-. 0, (demandée' 0,30 Epaisseur des couches }, n? A jmesurée :_U,JU_ conditions climatiques' temps beau et sec Extraction ;.2 bull caterpillar. -D9H. Cote du déblai:».8,0m Profilt- Mate'riel de transport-. Distance de transport: État de la piste, 6 de'capeuses _ 2500m bon Demandeur M ROBICHON Destinataires- M id LAMBERT Transmis le: 7 _ juillet 1977 '64 Formation 4(Z0ne2).631 B Fig. 6 - Compte rendu de visite de chantier contrôlé en continu. Compacteur Tamping CA &25 Tramac 400 Vitesse, Classe PD2 Via Mise en oeuvre._ Tramac 400_ Cote du remblai.. Matériel de régalage. Aspect de surface, cûte finie-1,5 p r 0fii:P163à L'Huisne. Tamping CA 825. bon observations, 4 de'capeuses mettent sol B6 en remblai et 2 décapeuses mettent argile très plastique (du profil 70) en de'pôt. Les blocs de grés dont D> 50 cm sont mis en dépôt soit au départ du déblai, soit enlevés du remblai par le tamping. Fonctionnement correct du chantier. isticit a S ~ c AG RA MM E [ )E PL/ kst en It es i fftu* ) tj 1 - mesure antérieure X 2 - mesure antérieure À 3 - mesure antérieure At $ o u) il _i Ap» Lt Lp 0 Ot Lin lite c e liq uidit too DIAGRAMME DE FRAGILITE Essai (s) réaliséls) Enveloppe des essais antérieurs 10 (mm) 20 0! Teneurs en eau mesurées f*~) Teneurs en eau antérieures ' Teneur en eau optimale - mis en remblai OPN HISTOGRAMME DES TENEURS EN EAU " mis en - _ dépôt. too g 90 $ 80 3 E 3 70 S 60 S y (rr m) VA , , ,2 0,1 0, S 40 *" 30 Granulometrie mesurée antérieures GRANULOMETRIE 78

13 Conclusion L'organisation du contrôle continu pratiqué sur le chantier de la bretelle est du Mans ne saurait être considérée comme idéale, d'autant qu'il s'agit de l'un des premiers chantiers réalisés par cette méthode dans les pays de Loire et que des progrès seront donc faits. Il semble cependant que cette organisation ait donné satisfaction sur les points suivants : - Echantillonnage des contrôles : par rapport aux contrôles par densité (mesures de densité au gammadensimètre se référant aux 95 % de la densité sèche du proctor normal), l'échantillonnage paraît beaucoup plus intéressant. En effet, le contrôle est intégré sur une journée en général et permet donc d'affirmer si, globalement, la mise en œuvre a été satisfaisante à cette échelle. Les mesures de densité sont généralement en nombre insuffisant pour garantir la qualité de l'ensemble d'un remblai, ou alors ce travail mobilise beaucoup de personnel de laboratoire. - Mouvement des terres : la réutilisation des déblais correspond à des mesures chiffrées et actualisées (par des mesures de teneurs en eau) pour décider de la destination des déblais et de leurs conditions de mise en œuvre. Auparavant, ce travail n'était généralement pas réalisé mais laissé soit au flair de l'entreprise entre deux rendez-vous de chantier, soit à une interprétation le plus souvent non actualisée de l'étude géotechnique par le maître d'œuvre à un rendez-vous de chantier, étant entendu que cette interprétation était parfois remise en cause par des variations météorologiques entre les deux rendez-vous de chantier... La grille de décision peut être considérée comme le tableau de décision imposé par le maître d'œuvre à l'entreprise pour le mouvement des terres, ce qui limite peut-être l'initiative de l'entreprise mais donne aussi à celle-ci une vision claire du travail à réaliser et laisse au maître d'œuvre le pouvoir d'imposer la qualité qu'il souhaite pour son ouvrage. - Prescriptions réalistes : la grille de décision n'a pas soulevé de problèmes d'application, c'est-à-dire que les conditions de mise en œuvre prescrites n'ont pas paru excessives. On peut donc considérer que cette méthode ne rénove pas la technique des terrassements mais impose seulement des limites précises.qui n'étaient généralement pas franchies auparavant lorsque le travail était bien fait, mais qui étaient plus ou moins laissées au savoir-faire de l'entreprise. - Allégement de l'intervention du laboratoire : bien que ce point demeure discutable, il semble que l'organisation retenue pour réaliser les contrôles sur ce chantier ait permis une diminution importante des opérations de mesures à la charge du laboratoire régional. Par ailleurs, cette organisation a permis de rendre le maître d'œuvre responsable de la qualité du chantier, alors que les contrôles par densité laissaient beaucoup plus cette responsabilité au laboratoire régional, qui pourtant n'avait que les moyens de mesure et non de décision. - Ambiance du chantier : lorsque le marché de terrassement est conclu à des prix raisonnables, cette méthode a l'avantage de clarifier les rapports entre les partenaires du chantier (entreprise, maître d'œuvre et laboratoire), car les décisions peuvent se référer à des documents concrets. Il en résulte que l'objectif étant bien défini, l'activité de chacun peut s'organiser correctement et, après des mises au point inévitables au début du chantier, une confiance réciproque peut s'établir et concourir à la bonne fin des travaux à réaliser, ce qui est bien le but poursuivi. Signalons que la prise en compte de la météorologie, au stade des prévisions et de la réalisation, gagnerait à être améliorée. COMMENTAIRES Marc SCHAEFFNER Chargé de mission Département de géotechnique du LCPC Etienne LEFLAIVE Chargé de mission Département des chaussées du LCPC Bien qu'il ne s'agisse pas de la première publication relatant l'opinion d'ingénieurs ayant mis en pratique la méthode d'étude, de conduite et de contrôle des travaux de terrassement qui découle de l'application de la Recommandation pour les terrassements routiers, l'article précédent nous a paru particulièrement bienvenu pour proposer quelques commentaires et mises au point, compte tenu du fait qu'il y est présenté très distinctement l'avis de chacun des différents partenaires : maître d'œuvre, entrepreneur, laboratoire. Tout d'abord, l'avis du chef du service opérationnel de la Sarthe. A première lecture, on pourrait conclure à une réelle réserve du responsable de la gestion du projet vis-à-vis de la nouvelle méthode, si l'on s'attardait sur certaines expressions telles que : certaine rigidité de la méthode, recommandations trop exigeantes, excès de perfectionnisme, dépenses excessives, etc. Cette position traduit la prudence d'un responsable ayant le souci de la gestion d'un ouvrage et de l'économie des deniers publics vis-à-vis de tout texte réglementaire dont l'application brutale, et sans la compétence nécessaire, risquerait effectivement de 79

14 conduire à des surcoûts. Une telle position est donc parfaitement explicable, mais elle nous donne l'occasion de réexprimer deux idées déjà maintes fois développées : - La première idée est que l'ensemble des règles figurant dans la Recommandation constitue un guide général de bonne pratique ; elles ne seront jamais des Directives ; leur grand intérêt à notre avis est d'avoir, pour la première fois, été écrites de manière à constituer une référence à partir de laquelle des interprétations pourront toujours être envisagées. Dans le cas de chantier décrit dans l'article, il est indéniable que la décision prise par le maître d'œuvre d'accélérer la mise en remblai constituait la bonne interprétation qu'il convenait de faire, alors que l'application brutale de la Recommandation aurait conduit à l'arrêt du chantier dès l'apparition d'une pluie. Nous sommes cependant persuadés que, connaissant au départ la règle générale, il lui a été plus facile d'évaluer le risque qu'il encourait en prenant cette décision, ce qui lui a permis de bien discerner les véritables séquences de la mise en œuvre où toute sa vigilance devait être requise. Nous pensons donc que l'utilité de la Recommandation, dans ce cas, a été de sensibiliser le maître d'œuvre sur le fait qu'il interprétait assez largement une règle générale et qu'il lui convenait de bien mesurer jusqu'où il lui était possible d'aller dans cette voie. A contrario, il n'est pas certain qu'en l'absence d'une formulation écrite de la règle générale, il ait décidé de procéder à la mise en œuvre de cette manière aussi rapidement, et peut-être même n'aurait-il été amené à réfléchir au problème que lorsque des difficultés plus ou moins graves seraient apparues, dont les remèdes auraient alors pu effectivement conduire à des surcoûts sensibles. - La seconde idée apparaît comme un corollaire de la première; c'est que, pour pouvoir donner des règles qui soient applicables de manière stricte, il aurait fallu prendre en compte une multitude de paramètres permettant une représentation de tous les cas de chantiers pouvant se présenter. Cela est évidemment impossible et la Recommandation s'est limitée à ceux, et encore de manière assez qualitative, que l'on rencontrera toujours sur n'importe quel chantier, à savoir : nature et état des sols, situation météorologique, techniques de mise en œuvre les plus couramment pratiquées. Dans ces conditions, il est obligatoire que les règles proposées soient empreintes d'une certaine rigidité et d'une relative prudence, comme cela est développé dans l'avis du chef du service opérationnel. Cette constatation constitue à notre avis la preuve que la Recommandation n'est pas un document trop complexe d'utilisation comme cela a été si souvent exprimé depuis sa publication ; il apparaît même à l'appui du présent article que les ingénieurs qui l'ont utilisée souhaiteraient maintenant que le compromis actuel évolue vers davantage de complexité, notamment en prenant en compte d'une manière quantitative les différentes situations météorologiques pouvant se présenter au moment des travaux. Enfin, il faut rappeler que si la Recommandation pour les terrassements routiers peut apparaître à certains comme prudente dans la phase exécution des travaux, c'est parce qu'elle intègre des garanties de bonne tenue des ouvrages à long terme dont la nécessité n'apparaît pas toujours directement au cours du chantier mais dont l'absence conduit, on l'a constaté maintes fois, à des désordres très coûteux à réparer, la chaussée étant construite et en service. L'avis du maître d'œuvre, responsable de la conduite des travaux, se situe sur un plan plus pratique. Nous avons constaté avec satisfaction que nombre des objectifs assignés à la Recommandation figuraient dans le bilan qu'il présente de l'application de la méthode, et en particulier nous avons relevé parmi les appréciations portées : - «très simple et peu onéreuse dans son application... ; - permet de suivre la qualité au jour le jour... ; - exige une bonne connaissance du dossier géotechnique... ; - ne constitue pas un surcroît de travail pour le conducteur des TPE...» Toutefois, parmi les différents points développés, deux nous paraissent appeler un commentaire : - Le premier point concerne l'appréciation portée sur le coût de la méthode de contrôle dite en continu. Tout en étant conscients que le coût absolu de toute opération élémentaire entrant dans la constitution d'un ouvrage est directement perçu par le maître d'œuvre, nous pensons cependant qu'en matière de contrôle, ce coût n'a de véritable signification que rapporté à l'information obtenue sur la qualité de l'ouvrage. En conséquence, un maître d'œuvre ne peut vraiment dire que la méthode de contrôle en continu est peu onéreuse que dans la mesure où il est convaincu qu'elle lui apporte une information sur la qualité de l'ouvrage au moins égale à celle que lui aurait donnée la méthode traditionnelle du contrôle a posteriori. Nous sommes persuadés que c'est en général le cas, mais il peut se trouver des circonstances (celles-ci sont analysées dans le fascicule 4 de la Recommandation, consacré au contrôle des travaux, en instance de publication) où la méthode traditionnelle garde tout son intérêt. 80

15 - Le second point concerne l'identification des matériaux mis en œuvre. Comme il a été dit dans l'article, l'application de la méthode de contrôle en continu suppose une connaissance permanente de la nature et de l'état des sols mis en œuvre, et il convient de s'attarder un peu sur cette opération d'identification qui constitue à notre avis le volet le plus délicat mais aussi le plus passionnant de la méthode. Sur le chantier décrit dans l'article, cette tâche était dévolue contractuellement à l'entreprise avec possibilité pour le maître d'œuvre de contrôler les résultats de l'entreprise par des contrôles occasionnels du Laboratoire régional des Ponts et Chaussées. Notre propos ici n'est pas de porter un jugement sur le choix fait sur ce chantier, qui peut d'ailleurs être tout à fait justifié (entreprise disposant de laborantins de grande expérience, rompus aux essais de sols et à leur interprétation, matériaux relativement homogènes et faciles à identifier, etc.); nous souhaitons seulement attirer l'attention pour que ce choix ne soit pas érigé en règle générale. En effet, nous pensons que le maître d'œuvre étant le responsable de la qualité de l'ouvrage vis-à-vis du maître de l'ouvrage, il se doit de connaître en permanence les matériaux utilisés dans ses remblais et ses couches de forme. Il lui appartient donc de confier la tâche délicate de l'identification à celui qu'il juge le plus apte à tous points de vue à lui donner la meilleure information, mais, pour cela, il doit être conscient que dans les terrassements routiers, encore plus que les autres parce que linéaires, il s'agit d'une tâche souvent difficile qui requiert à la fois du personnel compétent et expérimenté et des moyens d'essais suffisants. Le point de vue de l'entrepreneur est, quant à lui, parfaitement clair. Il exprime sans équivoque possible que l'application de la Recommandation clarifie considérablement les obligations de l'entreprise, tout en supprimant nombre de contraintes inhérentes à la méthode du contrôle u posteriori, qui nuisent à sa productivité. Il convient par ailleurs de dire que nous avons pu constater que ce point de vue est partagé par l'ensemble de la Profession. Quant au point de vue du Laboratoire régional, il apparaît moins nettement, peut-être parce qu'étant l'incitateur et l'initiateur de l'application de la Recommandation auprès du maître d'œuvre et de l'entrepreneur, il lui est difficile d'être juge et partie. Nous pensons cependant qu'il ne serait venu à l'esprit de personne de l'accuser de partialité s'il avait développé plus longuement l'intérêt qu'il a trouvé dans l'allégement de son intervention et souligné l'accroissement de l'intérêt du travail des techniciens dans leurs nouvelles tâches d'assistance et de conseil technique par rapport aux mesures routinières de densité. Voilà donc les quelques commentaires que cet article nous a inspirés; nous espérons qu'ils n'en alourdiront pas la lecture mais contribueront à une meilleure prise de conscience de l'esprit de la Recommandation pour les terrassements routiers et à améliorer ainsi l'utilisation pratique des éléments techniques qui y sont contenus. 81

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