ETUDE SUR L HARMONISATION DU CADRE INSTITUTIONNEL ET REGLEMENTAIRE DU FINANCEMENT PRIVE DES INFRASTRUCTURES DANS LES PAYS DE L UEMOA
|
|
- Thibaut Lépine
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ETUDE SUR L HARMONISATION DU CADRE INSTITUTIONNEL ET REGLEMENTAIRE DU FINANCEMENT PRIVE DES INFRASTRUCTURES DANS LES PAYS DE L UEMOA 24/01/2014 Résumé exécutif
2 A. RESUME EXECUTIF A.1. RAPPEL DU CONTEXTE ET DES OBJECTIFS La présente étude s inscrit dans une réflexion globale et coordonnée des institutions de l UEMOA sur les voies à suivre et moyens à mettre en œuvre pour s assurer d une plus grande participation du secteur privé au financement des infrastructures. Les infrastructures visées dans la présente étude, sont celles qui participent à la réalisation d un service public ou d intérêt général. Par ailleurs, cette étude est concomitante et peut être regardée comme complémentaire à une étude menée par le Consultant, sur la mise en place d un fonds d amorçage dédié au financement des projets privés d infrastructures. Les objectifs de l étude sont les suivants : dresser un diagnostic du cadre institutionnel et juridique dans les pays de la zone UEMOA ; décrire le rôle des différents acteurs participant au financement privé des infrastructures ; proposer des axes concrets d'harmonisation du cadre institutionnel, juridique et règlementaire dans les pays de l'union. Le présent rapport final fait suite au diagnostic établi par le Consultant dans son rapport d étape, lequel a été commenté par les institutions, ainsi qu aux échanges de l atelier de restitution en date du 17 décembre 2013 au cours duquel ont été présentées les recommandations du Consultant. Il a pour objet: d identifier les disparités et les points de convergence entre les législations nationales ; d analyser de manière précise le secteur de l énergie ; d identifier les freins au financement privé des infrastructures, dans le secteur de l énergie en particulier ; de fournir un aperçu sur l offre de financement des infrastructures existantes dans la zone UEMOA de proposer des axes d harmonisation de la législation et /ou de réformes. Page 1
3 A.2. A.2.1. ANALYSE DES CADRES REGLEMENTAIRES Approche méthodologique Le diagnostic institutionnel et juridique a été effectué sur la base de l analyse comparée de la législation des pays constituant le socle juridique direct des financements privés des infrastructures concourant à la réalisation des services publics et services d intérêt général des pays membres de l UEMOA, la priorité étant donnée au secteur de l énergie électrique. Cette analyse constitue une photographie à ce jour de l état des législations directement concernées ou ayant un impact sur le thème du financement des infrastructures par le secteur privé. Elle a également pour objectif de mettre en évidence les points de convergence et de divergence entre ces législations et d identifier les dispositions devant être clarifiées, précisées ou encore apportées pour favoriser la participation du secteur privé et sécuriser les investissements privés. En conséquence l analyse comparative porte, s agissant des textes de portée générale sous revue dans le cadre de la présente étude, sur : la commande publique et plus spécialement sur la participation du secteur privé ayant trait à l exploitation et aux financements des infrastructures de services publics et services d intérêt général ; le régime des biens applicables à des infrastructures relatives au secteur de l électricité; les dispositions d incitation à l investissement ; Et enfin les dispositions relatives à la protection de l environnement ; D autre part et s agissant de l approche sectorielle, une analyse comparative a été réalisée sur le secteur de l électricité. A.2.2. Synthèse des analyses Cadres réglementaires généraux Commande publique et participation du secteur privé Les Etats de l UEMOA, à l exception de la Guinée Bissau, ont transposé les directives de l UEMOA relatives aux marchés publics et délégations de service public et le cadre régissant les modalités d attribution des délégations de service public est harmonisé. Toutefois, ce cadre demeure incomplet et imprécis, notamment sur l organisation institutionnelle qui encadre ces délégations, les modalités de suivi, de révision et de contrôle ainsi que sur les autres formes de PPP. Seuls le Niger et le Sénégal ont élaboré une réglementation spécifique en matière de PPP. Mais l application de ces textes se heurte à un problème d interface avec les codes des marchés publics et délégations de service public en vigueur et l imbrication des textes est source de confusion pour un opérateur privé et mériterait clarification. Page 2
4 Régime des biens applicable aux infrastructures d électricité Dans l ensemble des pays de l UEMOA, les ouvrages déclarés d utilité publique et destinés à la production hydroélectrique et au transport d énergie électrique relèvent du domaine public de l Etat. Sauf au Mali, la réglementation actuelle ne permet ni de constituer des droits réels, ni d accorder des sûretés réelles sur les biens du domaine public en l état, limitant ainsi le recours à certaines garanties. De même, les législations domaniales examinées sont ambigües sur le principe de l occupation du domaine public par un délégataire de service public et a fortiori, par un titulaire d un contrat constitutif d une autre forme de PPP. Dispositions d incitation à l investissement Les Codes des Investissements des pays de l UEMOA sont relativement homogènes sur les dispositions concernant les garanties et obligations des investisseurs. En revanche, on note une grande disparité des régimes privilégiés (durée et avantages) entre les pays, avec des critères et des seuils très différents d un pays à un autre. Les délais d instruction et d octroi des agréments sont également très variables d un pays à un autre. Concernant plus spécifiquement les investissements dans les infrastructures d énergie, il existe une grande disparité entre les Codes excluant de facto ce secteur, le limitant à certaines infrastructures d énergie ou nécessitant une clarification et les autres Codes. Dispositions relatives à la protection de l environnement L ensemble des pays de la zone UEMOA a adopté des dispositions relatives aux études d impact environnemental. Toutefois, on observe une grande hétérogénéité dans la dénomination de ces études, le périmètre de projets soumis à ces études, leur contenu ainsi que les procédures applicables (délais, institutions impliquées, modalités de consultation du public, etc.). Cadres réglementaires du secteur de l énergie électrique Les engagements souscrits par les Etats au plan régional afin de permettre le développement d un marché concurrentiel de l énergie sont en pratique diversement répercutés dans les législations sectorielles nationales. En effet, si le segment de la production a été libéralisé dans tous les Etats de la zone, le droit d accès des tiers au réseau de transport sous monopole des sociétés d électricité nationale fait défaut ou est embryonnaire, aucune législation ne permet aux clients éligibles ou grands comptes de s approvisionner librement, le modèle de l acheteur unique prédomine et rien ne facilite le transit et l exportation. Dans la majorité des pays (excepté le Sénégal et la Côte d Ivoire), la production étant une activité de service public, la production indépendante relève donc du service public et les producteurs indépendants sont considérés comme des délégataires de service public. Ce statut de délégataire de service public est spécifique aux pays de la zone et ne rejoint pas l acception Page 3
5 internationale de l IPP, ce qui est parfois source de confusion pour les investisseurs/développeurs éventuels. Dans tous les Etats de l UEMOA, le transport et la distribution sont des activités de service public avec des monopoles de droit dans la plupart des pays et des exclusivités accordées aux sociétés nationales historiques sur leur périmètre concédé. Le cadre juridique sectoriel résulte de l application combinée outre des codes nationaux de l électricité, des codes des marchés publics et des codes des domaines, voire des législations spéciales sur les PPP (Sénégal et Niger), ce qui ne facilite pas la lisibilité de ce cadre par les investisseurs. Le mode de sélection des opérateurs est en principe concurrentiel mais on relève la coexistence de ce mode avec celui des demandes spontanées qui tend à devenir prédominant. A l exception du Mali, le régime de domanialité publique applicable aux ouvrages hydroélectriques et de transport de l énergie ne permet pas de conférer de droits réels. Toujours au plan sectoriel, les Etats se sont dotés d autorités de régulation nationales, disposant de compétences uni ou pluri sectorielles qui, compte tenu du caractère récent de leur création, n ont pas forcement acquis une pleine légitimité à l égard des parties prenantes. Enfin au niveau régional l ARREC, l autorité de régulation régionale complète le dispositif de régulation sur les aspects d harmonisation des pratiques, techniques et procédures et la régulation des activités liées à des infrastructures à vocation régionale. L ensemble des législations nationales doit être refondu pour tenir compte de la directive CEDEAO sur l organisation du marché régional de l électricité du 21 juin Page 4
6 Le tableau ci-après présente la répartition des fonctions du secteur de l électricité dans les Etats de l UEMOA. Bénin Togo Burkina Faso Côte d Ivoire Guinée Bissau Mali Niger Sénégal Pilotage Avis Non requis Non requis Non requis Proposition Elaboration Financement Financement des investissements - - Société de patrimoine* Société de patrimoine - - Avis CEB : Haute Autorité CEB : Haute Autorité Avis simple Non requis Non requis Non requis Non requis Planification Elaboration CEB : Haut Conseil Interétatique CEB : Haut Conseil Interétatique Pas d infos dans les textes sectoriels Tarification Avis Avis conforme Proposition Non requis Approbation Proposition Avis conforme Proposition Page 5
7 Bénin Togo Burkina Faso Côte d Ivoire Guinée Bissau Mali Niger Sénégal Approbation Sélection des opérateurs par AO Evaluation Contrôle Evaluation Contrôle Pas d infos dans les textes sectoriels Pas d infos dans les textes sectoriels Avis conforme Contrôle Evaluation Autorisation d exercice Avis Avis conforme Avis conforme Pas d infos dans les textes sectoriels Avis conforme Proposition Avis conforme Proposition Octroi Contrôle et suivi des opérateurs Contrôle des opérateurs Page 6
8 Bénin Togo Burkina Faso Côte d Ivoire Guinée Bissau Mali Niger Sénégal Sanction des opérateurs Règlement des différends Normes Avis Non requis Proposition Non requis Non requis Non requis Non requis Proposition Approbation Page 7
9 A.3. A.3.1. ANALYSE DE L OFFRE DE FINANCEMENT Approche méthodologique Afin d établir un panorama de l offre de financement des infrastructures dans la zone UEMOA, le Consultant s est entretenu avec un certains nombres d acteurs (banques commerciales, institutions financières internationales et de développement), lors d une mission à Dakar. Il a ensuite adressé aux institutions financières internationales et de développement un questionnaire, afin de recueillir des données chiffrées sur leur contribution au financement (public et privé) des infrastructures dans la zone. Afin de tenter de combler la rareté des d informations fournies, il s est efforcé de compléter son analyse en consultant les bases de données officielles du Comité d Aide au Développement (CAD) de l OCDE afin de dégager les grandes tendances du financement des infrastructures dans la zone UEMOA. A.3.2. Synthèse des analyses Contributions au financement des infrastructures 5,7 1 milliards de dollars US ont été engagés sur la période pour financer les infrastructures dans la zone UEMOA et les montants décaissés atteignent 4,4 milliards de dollars US. Ces montants correspondent à des financements publics. La moitié de ces montants bénéficient au secteur des transports (routes principalement) alors que l énergie représente moins d un quart des financements engagés. Toutefois, ces montants ne prennent pas en compte les financements du secteur privés qui sont principalement réalisés dans le secteur de l énergie. Les principaux pays bénéficiaires des financements publics sont le Sénégal, le Mali et le Burkina Faso alors que le Togo et la Guinée Bissau ne représentent qu une part réduite des financements. La Côte d Ivoire est le pays qui attire le plus d investissements privés. Enfin la majeure partie des financements publics (tous secteurs confondus) proviennent des bailleurs multilatéraux, principalement la Banque Mondiale, l Union Européenne et la Banque Africaine de Développement. Les principaux bailleurs bilatéraux sont les Etats- Unis, la France et l Allemagne. Principaux freins au financement privé des infrastructures dans les Etats de l UEMOA Les acteurs rencontrés ont souligné les principaux freins suivants : le faible nombre de projets viables et bien structurés ; 1 Ce montant ne prend pas en compte les financements de la BOAD. Page 8
10 les déficiences des Etats en matière de capacité de planification et de négociation ; le manque de diffusion de l information et des bonnes pratiques ; les règles prudentielles très strictes imposées par la BCEAO qui représentent une contrainte pour les banques commerciales ; la question du risque de change qui se traduit in fine par un coût de sortie élevé pour l emprunteur ; la réglementation des changes contraignante pour les investisseurs privés qui ne leur permet ni de détenir des devises que sous réserve de rapatriement du solde des opérations, ni d ouvrir des comptes dans des banques étrangères ; Plus spécifiquement dans le secteur de l énergie électrique, on peut relever les contraintes suivantes, même si celles-ci ne concernent pas directement l offre de financement : l état de déstructuration financière avancé des opérateurs historiques dans un bon nombre de pays ; les systèmes de tarification qui ne permettent pas d assurer la pérennité financière du secteur, malgré la mise en place, notamment pour les infrastructures de production, de dispositifs de préservation de la rentabilité des investissements. A.4. RECOMMANDATIONS L analyse détaillée des cadres réglementaires et institutionnels des pays de l UEMOA a mis en évidence tout à la fois, l hétérogénéité et la disparité des textes réglementaires et le manque de clarté et de lisibilité subsistant malgré les efforts d harmonisation engagés par les Etats. Les recommandations proposées par le Consultant visent à harmoniser et dans le même temps à clarifier et préciser les cadres réglementaires nationaux afin de sécuriser et promouvoir les investissements privés. Les axes d harmonisations envisagés s appuient sur une analyse du plus grand dénominateur commun entre les Etats et doivent s articuler avec les initiatives régionales engagées dans le secteur de l énergie. A.4.1. Cadres réglementaires généraux Commande publique et participation du secteur privé Le Consultant préconise l adoption d une directive spécifique aux PPP/DSP en effectuant une migration des dispositions relatives aux s DSP des codes des marchés publics vers la Page 9
11 législation PPP/DSP. Cette directive préciserait les conditions de passation et d exécution des PPP (modalités de sélection des opérateurs, le contenu des contrats et des droits et obligations des parties, les dispositifs de contrôle et de suivi, les conditions de règlement des litiges et les sanctions). La clarification suppose que les législations sectorielles renvoient explicitement aux modalités et procédures applicables aux PPP prises en application d un nouveau cadre harmonisé par la directive PPP. Cette démarche pourrait s accompagner au plan institutionnel par la mise en place d une structure régionale de promotion, d appui et de suivi des PPP. La régulation des PPP s effectuerait au niveau national dans un cadre d intervention harmonisé renvoyant au contrôle d institutions spécialisées (régulateurs sectoriels, autorité de régulation PPP à créer, etc.). Le tableau ci-après synthétise les constats et les recommandations sur la participation du secteur privé. Constats Directives UEMOA transposées par l ensemble des pays à l exception de la Guinée Bissau PPP (à l exception de la concession) non couverts par le champ d application du code des marchés publics et des DSP Manque de précision des termes et conditions des contrats de DSP et de leurs modalités de suivi et contrôle Absence de réglementation spécifique en matière de PPP à l exception du Niger et du Sénégal Problème de chevauchement de champ d application avec les textes sectoriels sur le traitement du recours au secteur privé Imbrication des textes source de confusion pour un opérateur privé Recommandations Exclure les DSP du champ d application du code des marchés publics Adopter une directive spécifique aux PPP / DSP précisant les conditions de passation et d exécution des PPP Concept et définitions Modalités de sélection des opérateurs Contenu des contrats (droits et obligations) Dispositif de suivi et contrôle Règlement des litiges et sanctions Faire en sorte que les législations sectorielles renvoient à cette directive PPP Mettre en place une structure régionale de promotion, d appui et de suivi des PPP Assurer la fonction de régulation au niveau national, soit par les autorités de régulation sectorielles, soit par une autorité de régulation des PPP Régime des biens applicable aux infrastructures de service public Une directive pourrait être élaborée à l effet d uniformiser le régime des droits accordés aux titulaires de contrats de PPP dans les législations domaniales. Cette directive autoriserait une occupation du domaine public constitutive de droits réels (quasi-droits de propriété) pour les titulaires d un contrat de PPP (possibilité de Page 10
12 cession à une personne agréée par l autorité publique et possibilité de constitution d hypothèque). Le tableau ci-après synthétise les constats et les recommandations sur le régime des biens applicables aux infrastructures de service public. Constats Ouvrages de production hydroélectrique et de transport d énergie relèvent du domaine public de l Etat dans l ensemble des pays Impossibilité de constituer des droits réels et d accorder des sûretés réelles sur les biens du domaine public (sauf au Mali) Manque de précision sur les autorisations d occupation du domaine public à l exception du Niger (le contrat de PPP vaut autorisation d'occupation de ce domaine pour sa durée) Recommandations Autoriser une occupation du domaine public constitutive de droits réels (quasidroits de propriété) pour les titulaires d un contrat de PPP Possibilité de cession à une personne agréée par l autorité publique Possibilité de constitution d hypothèque Adopter une directive afin d uniformiser le régime des droits accordés aux titulaires de contrats de PPP dans les législations domaniales Intégrer rapidement cette directive dans les législations sectorielles et celles relatives aux PPP Dispositions d incitation à l investissement Eu égard aux difficultés rencontrées pour harmoniser les codes des investissements nationaux (projet de code communautaire UEMOA-CEDEAO toujours en discussion) et dans l attente d un régime uniforme dans la zone, il est recommandé de faire valoir le principe applicable en matière douanière. Ce principe consiste à accorder aux investisseurs régionaux les dispositions nationales les plus avantageuses Cette prérogative pourrait être prévue dans la directive PPP précédemment évoquée. Le tableau ci-après synthétise les constats et les recommandations sur les dispositions d incitation à l investissement. Constats Homogénéité des dispositions concernant les garanties et obligations des investisseurs Grande disparité des régimes privilégiés (critères, seuils, durées, avantages) Procédures opaques et délais d instruction longs pour un certain nombre de pays Grande disparité entre les codes Recommandations Nécessité de faire la synthèse de l état des travaux relatifs au projet de code communautaire des investissements UEMOA CEDEAO et d analyser son contenu afin de formuler des recommandations Accorder aux investisseurs régionaux les dispositions nationales les plus avantageuses Page 11
13 Constats excluant de facto le secteur de l énergie, ceux le limitant à certaines infrastructures et ceux l incluant totalement Existence d un avant-projet de règlement UEMOA-CEDEAO portant code communautaire des investissements Recommandations Dispositions relatives à la protection de l environnement Une directive sur les études d impact socio-culturel et environnemental pourrait être élaborée qui préciserait le champ d application de cette obligation, le contenu des études, les modalités de consultation du public et les procédures applicables. Le tableau ci-après synthétise les constats et les recommandations sur les dispositions relatives à la protection de l environnement. Constats Dispositions relatives aux études d impact environnemental adoptées dans la majorité des pays Hétérogénéité dans la dénomination et le contenu des études Variabilité du périmètre des projets soumis aux études Hétérogénéité dans la dénomination des autorisations et les procédures applicables Recommandations Tenir compte de l acte additionnel A/SA.3/12/08 de la CEDEAO portant adoption des règles communautaires en matière d investissements qui exige la réalisation d une étude des impacts socioculturels et environnementaux préalable (article 12) Elaborer une directive sur les études d impact socio-culturel et environnemental précisant Le champ d application Le contenu Les modalités de consultation du public Les procédures applicables A.4.2. Cadres réglementaires et organisation du secteur énergie Afin de faciliter la mise en œuvre de la directive CEDEAO adoptée en juin 2013 dans les pays membres de l UEMOA, le Consultant recommande l adoption d un Règlement portant Code communautaire de l électricité. Afin d aller plus loin dans l émergence d un marché régional de l énergie, le Consultant préconise la mise en place d un statut d opérateur régional qui serait défini dans le Code communautaire de l électricité (champ d application, types d opérateurs régionaux, Page 12
14 conditions d accès au statut, règles et normes techniques, procédures d octroi de l agrément, droits et obligations, modalités de régulation). La définition et la mise en œuvre d une fonction de régulation au niveau régional est indispensable pour les opérateurs et l intervention des régulateurs nationaux pourrait être harmonisée au niveau de l UEMOA, en relation étroite avec l ARREC. Par ailleurs, il est préférable de déconnecter la production indépendante du service public et de clarifier les conditions de sélection des opérateurs en renvoyant aux dispositions applicables aux PPP lorsque le cadre aura été uniformisé. Une procédure capable d accueillir les demandes spontanées tout en s assurant de leur intégration dans la programmation sectorielle pourra également être mise en place. Le tableau ci-après synthétise les constats et les recommandations sur le cadre réglementaire et l organisation du secteur de l énergie. Constats Engagements régionaux souscrits par les Etats diversement répercutés dans les législations sectorielles nationales Production libéralisée dans tous les Etats Droit d accès des tiers au réseau de transport monopolisé, absent ou embryonnaire Impossibilité pour les clients éligibles ou grands comptes de s approvisionner librement Prédominance du modèle de l acheteur unique par les opérateurs historiques non dégroupés Transit et exportation d énergie non libéralisés Interférences politiques dans la fixation des tarifs Production indépendante assimilée à un service public (à l exception du Sénégal et de la Côte d Ivoire) Manque de lisibilité du cadre juridique sectoriel résultant de l application combinée des codes nationaux de l électricité, des codes des marchés publics et des codes des domaines, voire des législations spéciales sur les PPP Autorités de régulation uni ou pluri sectorielles récemment créées mais manque encore de légitimité de ces Recommandations Faciliter la mise en œuvre de la Directive CEDEAO sur le marché régional de juin 2013 par l adoption d un règlement portant code de l électricité en concertation étroite avec l ARREC et les Etats membres : Obligation de dégroupage comptable Libre accès au réseau régional de transport Conditions d éligibilité des grands consommateurs Libre transit Simplification des procédures d octroi des licences aux producteurs indépendants Pouvoirs des régulateurs nationaux en matière de surveillance du marché et de tarification Pour accélérer au niveau de l UEMOA la mise en place d un marché régional, mettre en place le statut d opérateur régional (cf. Annexe 6) Déconnecter la production indépendante du service public Clarifier les conditions de sélection des opérateurs en renvoyant aux dispositions applicables aux PPP lorsque le cadre aura été uniformisé Mettre en place une procédure capable d accueillir les demandes spontanées tout en s assurant de leur intégration dans la programmation sectorielle Page 13
15 autorités Constats Grande disparité entre les pays dans la répartition des fonctions et plus particulièrement dans les attributions des autorités de régulation sectorielle Déficit de planification Tarification approuvée par les Ministères de l énergie dans tous les pays, à l exception du Mali, avec avis non nécessairement conforme de l autorité de régulation Recommandations Accélérer le dégroupage juridique En application de la Directive CEDEAO sur le marché régional, revoir les attributions des autorités de régulation sectorielle et déconnecter la fixation des tarifs du politique Appuyer les Ministères dans leurs fonctions de planification et négociation A.4.3. Accès aux financements Afin de faciliter l accès aux financements des investisseurs privés dans la zone UEMOA, ceux-ci pourraient bénéficier, de manière privilégiée des mécanismes de financement proposés dans la zone UEMOA (notamment le futur fonds d amorçage UEMOA) avec des procédures d octroi simplifiées et des conditions attractives. Des procédures de labélisation financière des opérateurs régionaux pourraient également être proposées. Celles-ci leur permettraient un accès simplifié aux services bancaires et des conditions d octroi de financement plus avantageuses. Page 14
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
GUIDE PRATIQUE des opérateurs privés Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD - Guide pratique GUIDE PRATIQUE DESTINE AUX OPERATEURS ECONOMIQUES PRIVES 1. PRESENTATION La Banque Ouest
Plus en détailHarmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc
Commission juridique et fiscale Harmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc Réunion du 3 février 2010 au Cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre CEMAC = 40,11 millions habitants UEMOA = 92,087 millions
Plus en détailBOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT
BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE
Plus en détailFiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA
Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque
Plus en détailETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR
BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE
Plus en détailOBJECTIFS. Objectif général
Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailSELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailTERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES
TERMES DE REFERENCE SELECTION D UNE SOCIETE DE MAINTENANCE ELECTRIQUE & PRESTATAIRE DE MOYENS TECHNIQUES Avril 2015 «GIM-UEMOA» GIE au capital de 9 528 790 000 F CFA RCCM : SN-DKR-2004-B-8649 NINEA : 24209832
Plus en détailINCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST
4 INCITATIONS FISCALES EN AFRIQUE DE L'OUEST Cette partie du rapport procède à une brève analyse d'une autre opportunité manquée d'accroître la base fiscale dans l'espace CEDEAO : les avantages fiscaux.
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailSélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA)
TERMES DE REFERENCE Sélection d un Consultant chargé d accompagner le GIM-UEMOA dans le processus de mise en place d un Plan de Continuité de l Activité (PCA) TDR_Plan de Continuité de l Activité (PCA)
Plus en détailSommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Plus en détailrapport annuel D activites 2011
73 OBJECTIF OPÉRATIONNEL 3 ASSURER EFFICACEMENT LE SUIVI DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS INTERNATIONALES ET ORGANISMES DE COOPÉRATION A CARACTÈRE ÉCONOMIQUE ET FINANCIER & & & Le dispositif de suivi
Plus en détailLOI N 023-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT LOI D ORIENTATION DE L INVESTISSEMENT AU BURKINA FASO
BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 023-2013/AN PORTANT LOI D ORIENTATION DE L INVESTISSEMENT AU BURKINA
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailLes Rencontres de Performances
Les Rencontres de Performances Maturité des Entreprises africaines en matière de Gouvernance des Systèmes d Information GOUVERNANCE SI 06 février 2009 EDITO Doléle SYLLA Information Analyst Banque Mondiale
Plus en détailL Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI)
L Initiative pour la Réduction de la Pauvreté et la Gestion de l Environnement (PREMI) Un partenariat en appui aux politiques environnementales en Afrique de l Ouest PROGRAMME AFRIQUE CENTRALE ET OCCIDENTALE
Plus en détailPrésenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
PERSPECTIVES DES MARCHES D ASSURANCES AFRICAINS Présenté par Jean Claude Ngbwa, Secrétaire Général de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème qui nous a été confié porte sur les
Plus en détailVI - REALISATION DE LA CENTRALE DES BILANS DES ENTREPRISES DE L UMOA (CBE/UMOA)
VI - REALISATION DE LA CENTRALE DES BILANS DES ENTREPRISES DE L UMOA (CBE/UMOA) Dans le cadre de la mise en oeuvre de la réforme des Directives Générales de la Monnaie et du Crédit, adoptée en septembre
Plus en détailSélection d un Qualified Security Assessor (QSA), chargé d évaluer la conformité du GIM-UEMOA. à la norme PCI-DSS, level 1
POUR L EVALUATION DE LA CONFORMITE DU GIM-UEMOA A LA NORME PCI-DSS, LEVEL 1 TERMES DE REFERENCE Sélection d un Qualified Security Assessor (QSA), chargé d évaluer la conformité du GIM-UEMOA à la norme
Plus en détailChoc de simplification
Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation
Plus en détaildes sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl.
Le nouveau droit OHADA des sûretés Jean-Jacques LECAT Avocat Associé E-mail : jean-jacques.lecat@cms-bfl.com Pierre Marly Avocat Associé E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com Juin 2011 Sommaire Introduction
Plus en détailProfils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014
Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES
TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,
Plus en détailSecrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel
Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel Traduction non officielle du texte diffusé fin avril 2014 par le Conseil du Développement Durable (Allemagne) dans le cadre de la consultation
Plus en détailFONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF)
FONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF) 1. MISSION DE FEFISOL Appui financier et technique aux structures en développement ou en consolidation, en Afrique, et qui
Plus en détailConseil économique et social
Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des
Plus en détailRESUME DE L ETUDE RELATIVE A LA PROMOTION DE LA GARANTIE HYPOTHECAIRE DANS LES PAYS DE L UEMOA Desjardins Développement International, Décembre 2012 1
RESUME DE L ETUDE RELATIVE A LA PROMOTION DE LA GARANTIE HYPOTHECAIRE DANS LES PAYS DE L UEMOA Desjardins Développement International, Décembre 2012 1 1 Le présent résumé, tout en donnant un très bon aperçu
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES.
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CONSULTANT / INFORMATICIEN EN CONCEPTION DE BASE DE DONNEES. Recruté par la Banque de Développement Autrichienne (OeEB) mai 2014 CONTEXTE / JUSTIFICATION La
Plus en détailQU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC?
QU'EST-CE QUE LA ZONE FRANC? BURKINA FASO MALI NIGER TCHAD SENEGAL GUINEE-BISSAU RCA COTE-D'IVOIRE TOGO BENIN CAMEROUN GUINEE EQUAT. GABON CONGO Comores Les pays de la Zone Franc UEMOA CEMAC Comores France
Plus en détailAVIS DE RECRUTEMENT UN(E) ASSISTANT(E) TRESORIER(E) GROUPEMENT INTERBANCAIRE MONETIQUE DE TERMES DE REFERENCE
Lot P 10, Ouest Foire, Route de l Aéroport - BP : 8853 Dakar Yoff Tél : (221) 33 869 95 95 Fax : (221) 33 820 54 65 Email: gim-uemoa@gim-uemoa.org - Site Web: www.gim-uemoa.org AVIS DE RECRUTEMENT UN(E)
Plus en détailVu la directive 2004/49/CE du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 concernant la sécurité des chemins de fer communautaires modifiée ;
Avis n 2015-006 du 3 mars 2015 sur le projet d arrêté relatif aux tâches essentielles pour la sécurité ferroviaire autres que la conduite de trains, pris en application des articles 6 et 26 du décret n
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailSITUATION DES SERVICES FINANCIERS VIA LA TELEPHONIE MOBILE DANS L UEMOA
SITUATION DES SERVICES FINANCIERS VIA LA TELEPHONIE MOBILE DANS L UEMOA Année 2014 DIRECTION GENERALE DES OPERATIONS ET DES ACTIVITES FIDUCIAIRES Direction des Systèmes et Moyens de Paiement SITUATION
Plus en détailDécision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE L Autorité de la concurrence, Vu le dossier
Plus en détailMémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario
Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le
Plus en détailAtelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie
Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,
Plus en détailCahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D
Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3
Plus en détailManuel de référence Options sur devises
Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à
Plus en détailCURRICULUM VITAE. 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) Directeur Général de GMC www.gmcconseils.com
CURRICULUM VITAE NOM GAYE PRENOM Magaye NE LE 26 mai 1963 à Diourbel (Sénégal) NATIONALITE Sénégalaise SITUATION DE FAMILLE Marié ADRESSE Cices foire n 232 Dakar Sénégal TELEPHONE Bureau 221 77 245 07
Plus en détailLa Banque européenne d investissement en bref
La Banque européenne d investissement en bref En tant que banque de l Union européenne (UE), la Banque européenne d investissement (BEI) apporte ses financements et son savoir-faire à l appui de projets
Plus en détailRéforme du crédit à la consommation Position de la CCIP
Rapports et études Les prises de position de la Chambre de commerce et d industrie de Paris Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapport de Monsieur Philippe HOUZÉ avec la collaboration
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailProgramme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO
COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre
Plus en détailMAQUETTE GENERALE MASTER DIDL.
MAQUETTE GENERALE MASTER DIDL. PROGRAMME DE FORMATION AU MASTER EN «DECENTRALISATION ET INGENIERIE DU DEVELOPPEMENT LOCAL» DE BAMAKO 2009-2010 Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Plus en détailMaster en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable
Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)
Plus en détailMécanisme de Fonds Commissionnés pour la Recherche Agricole Appel à Propositions de Projets (PP)
Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles West and Central African Council for Agricultural Research and Development Mécanisme de Fonds Commissionnés pour la Recherche
Plus en détailPLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE
1 PLAN D'ACTION POUR UNE GESTION APAISEE DE LA TRANSHUMANCE TRANSFRONTALIERE ENTRE LE SAHEL ET LA COTE 1. LE RENFORCEMENT DE LA COMPLEMENTARITE DES ACTIVITES AGRICOLES ET D'ELEVAGE, UN LEVIER VITAL POUR
Plus en détailAttijariwafa bank Présentation. Conseil d administration. Chiffres-clés Consolidés / IFRS. Réseau et effectifs Décembre 2014
Février 2015 Attijariwafa bank Présentation Attijariwafa bank est le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et de l UEMOA (Union Économique et Monétaire Ouest Africaine) et acteur de référence
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailM. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso
UNE EXPERIENCE D APPUI AUX PME/PMI AU BURKINA FASO M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso 1 Le Burkina Faso PME/PMI - Burkina Faso 3 Le Burkina
Plus en détailLe régime juridique qui est contractuellement attaché aux
La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques
Plus en détailLa Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer
La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque
Plus en détailPour les interventions des régions : article L.4211-1 du Code général des collectivités territoriales
Régime cadre exempté de notification N X59/2008 relatif aux aides sous forme de capital-investissement en faveur des PME Les autorités françaises ont informé la Commission de la mise en œuvre d un régime
Plus en détailDr. Gabriele Gagliani - Dakar Mai 2014
- Dakar Mai 2014 2013 AlleyWatch Dakar - Mai 2014 2013 Under30CEO Objectifs du Séminaire Comprendre comment utiliser la gestion comptable des actifs de propriété intellectuelle pour la stratégie commerciale
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailAmeth Saloum NDIAYE. Colloque régional UEMOA-CRDI 2009 1
Ameth Saloum NDIAYE CEPOD, Ministère de l Economie et des Finances, Sénégal Colloque régional UEMOA-CRDI, Ouagadougou, Burkina Faso, 8-10 décembre 2009 1 Problématique et justification Objectifs du papier
Plus en détailRecommandation sur le traitement des réclamations
Recommandation sur le traitement des réclamations 1. Contexte 2015-R-03 du 26 février 2015 L information du client sur les modalités d examen des réclamations ainsi que le traitement de ces dernières font
Plus en détailQuel contrôle de gestion pour les ONG 1?
Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détailwww.iavs-energie.org
Notes de recherche de l IAVS www.iavs-energie.org ---------------- administration@iavs-energie.org iavsmail@gmail.com ---------------- Cadre de référence indicatif pour la promotion de l efficacité énergétique
Plus en détailS engager à agir pour le développement durable dans une période de changement
Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015
Plus en détailRéponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base
Novembre 2010 Réponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base La France partage pleinement le souci de la Commission européenne
Plus en détailOrganisation africaine de la Propriété Intellectuelle ***************
Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle *************** 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 I PRESENTATION DE L OAPI... 4 II TERRITOIRE OAPI... 4 III - GENERALITES... 5 IV - DE LA CONSTITUTION
Plus en détailENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services
Plus en détail(en millions d euros) 2013-2014 2012-2013
supplémentaires.. POLITIQUE D INVESTISSEMENTS (en millions d euros) 01-01 01-01 Investissements corporels et incorporels et investissements chez les clients 9 1 Acquisitions de titres de participations
Plus en détailUne nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits
Une nouvelle norme mondiale sur la comptabilisation des produits Les répercussions pour le secteur des logiciels et des services infonuagiques Novembre 2014 L International Accounting Standards Board (IASB)
Plus en détailLa gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies
La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale
Plus en détailTurquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations
Turquie Traduction non officielle 1 de la Loi n o 5710 2 relative à la construction et à l exploitation de centrales nucléaires et à la vente de l énergie produite par ces centrales Date d adoption de
Plus en détailTERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144
TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144 I. Informations générales Intitulé de la mission Composante Thématique(s) Bénéficiaire(s) Pays Durée totale des jours prévus 64 Revue documentaire des formes juridiques
Plus en détailLes effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA
Les effets d une contrainte de crédit sur la convergence économique : Le cas des pays de l UEMOA Auteurs : Abdoulaye DIAGNE et Abdou-Aziz NIANG Introduction Ceci devrait contribuer à réduire l écart entre
Plus en détailFiche n o 1. Souscrire au capital d une petite et moyenne entreprise
Fiche n o 1. Souscrire au capital d une petite et moyenne entreprise 1 Une réduction d impôt sur le revenu est applicable en cas de souscription, avant le 31 décembre 2012, au capital d une petite et moyenne
Plus en détailLe cycle de projet à la Banque Africaine de Développement
Fiche Technique n 3 Le cycle de projet à la Banque Africaine de Développement Cycle du projet De manière générale, depuis l identification jusqu à l approbation d un projet, il existe un dialogue constant
Plus en détailSébastien Thouvenot. Avocat - Eversheds LLP
Sébastien Thouvenot Avocat - Eversheds LLP 1. Nom de famille : Thouvenot 2. Prénoms: Sébastien 3. Date de naissance : 22 mars 1975 4. Nationalité : française 5. Etat civil : marié, 3 enfants 6. Diplômes
Plus en détailLE CONSEIL DES MINISTRES DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA)
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- Le Conseil des Ministres DIRECTIVE N 07/2008/CM/UEMOA RELATIVE A LA LIBRE CIRCULATION ET A L ETABLISSEMENT DES CHIRURGIENS-DENTISTES
Plus en détailFiche technique du projet DACEFI-2
technique du projet DACEFI-2 La superposition des permis forestiers, des permis miniers et des futures forêts communautaires technique N 2 Contexte Au Gabon, le domaine forestier national (DFN) est divisé
Plus en détailTogo. Loi relative aux entreprises d investissement à capital fixe
Loi relative aux entreprises d investissement à capital fixe Loi uniforme n 2009-23 du 14 octobre 2009 [NB - Loi uniforme n 2009-23 du 14 octobre 2009 relative aux entreprises d investissement à capital
Plus en détailAGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT. Commission de l UEMOA
NCO NOTE DE COMMUNICATION PUBLIQUE D OPERATION AGENCE FRANCAISE DE DEVELOPPEMENT Commission de l UEMOA Projet d appui à l extension de la couverture du risque maladie dans les États membres de l UEMOA
Plus en détailAccréditation Certification Normalisation-Métrologie Promotion de la qualité
pour une meilleure intégration au commerce international pour une meilleure intégration au commerce international initiative pour le renforcement des capacités commerciales Programme qualité UEMOA Accréditation
Plus en détailL activité financière des sociétes d assurances
L activité financière des sociétes d assurances L année 2002 est de nouveau marquée par une forte baisse des marchés financiers. Celle-ci entraîne une diminution des plus-values latentes et des produits
Plus en détailAIC N 10/A/15GO 19 MARS 2015
AGENCE POUR LA SÉCURITÉ DE LA NAVIGATION AÉRIENNE EN AFRIQUE ET A MADAGASCAR Phone : +(221) 33.869.23.32 +(221) 33.869.23.46 Fax : +(221) 33.820.06.00 AFTN : GOOOYNYX E-mail : dakarbni@asecna.org Web :
Plus en détailIntroduction à la comptabilité financière
PARTIE 1 Introduction à la comptabilité financière Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3 Chapitre 4 D une approche patrimoniale et juridique à une approche économique et financière... 3 Les tableaux de synthèse
Plus en détail(Bangui, les 30 et 31 mars 2007) EMISSION OBLIGATAIRE EN ZONE UEMOA : EXPERIENCE DE LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT
Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) Atelier régional - Zone CEMAC sur «l émission des titres publics par appel public à l épargne» (Bangui, les 30 et 31 mars 2007) EMISSION OBLIGATAIRE EN ZONE
Plus en détailINTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------
INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,
Plus en détailLes économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique
Les économies de l Afrique de l Ouest : un portrait statistique Ce bref portrait statistique porte sur l Afrique de l Ouest, région qui regroupe ici les quinze pays membres de la CEDEAO (Communauté Economique
Plus en détailRapport de fin du Programme
Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement
Plus en détailContrat de partenariat et domaine public
Contrat de partenariat et domaine public Le titulaire d un contrat de partenariat est souvent dans la situation d un occupant du domaine public, ce qui conduit à s interroger sur l articulation des régimes
Plus en détailConférence de presse. Jeudi 23 avril 2009 LIVRE BLANC. pour développer les enchères électroniques et protéger le consommateur
Conférence de presse Jeudi 23 avril 2009 LIVRE BLANC pour développer les enchères électroniques et protéger le consommateur Les enchères électroniques : de vrais enjeux économiques Selon une étude du BIPE,
Plus en détailMarquage CE. pour structures en acier
Marquage CE pour structures en acier guide pratique - édition 2013 Marquage CE pour structures en acier Guide pratique Avant-propos La première édition de cette publication a été rédigée en 2010 et éditée
Plus en détailL ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE
L ACCOMPAGNEMENT BANCAIRE DES ENTREPRISES CANADIENNES DANS LEUR EXPANSION EN EUROPE CARREFOUR EUROPE 6 NOVEMBRE 2013 Présenté par: Équipe internationale, Banque Nationale du Canada 1 Contexte Situation
Plus en détailméthodologiquem Quelques précautions
Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts
Plus en détailLE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailAnalyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7
LIVRE BLANC SUR LES PRATIQUES ITIL Analyse structurée de solutions pour BMC Remedy IT Service Management v 7 Exploiter le potentiel des pratiques ITIL grâce aux ateliers d analyse de solutions organisés
Plus en détail