HISTORICAL ARCHIVES of the EUROPEAN UNION. Emile Noël fonds FONDS CODE EN-2376 DATE 10/1983 TITLE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "HISTORICAL ARCHIVES of the EUROPEAN UNION. Emile Noël fonds FONDS CODE EN-2376 DATE 10/1983 TITLE"

Transcription

1 HISTORICAL ARCHIVES of the EUROPEAN UNION Emile Noël fonds FONDS CODE EN-2376 DATE 10/1983 TITLE [P/840/83] à [P/915/83] THESE DOCUMENTS ARE FURNISHED FOR STUDY PURPOSES ONLY. WRITTEN AUTHORIZATION MUST BE OBTAINED FOR ALL OTHER USES

2 u u Oblet NOTE POUR ~JONSIEUR NOEL Interve~tion de 1a Commission sur 1e rapport et la ::'esolution du Perlement "La promotion du cinema des pe.ys de la Corr'"'~u.naute"; ~,-.. J..v._ lq.c-3 Je vous serais tres oblige de me retourner le projet joint si vous desirez que j'~ apporte des modifications au de ~:..c:r: \rc;.:loi::' le tre.ns.ttiettre a Philip LOW si vous 1 'e.pprouvez..:::. 12'. Le te=ns de parole de le CoL~ission a ete fixe T J,.. -. 't. -.,, ~e ~reslaen~ e an~ empec~e, c'est probablement R=c~~~D q~i le rerr.placere. 1L-er l ~~\- ~ t. (" r;, "-1\r '::'l ~,..~ Gs 1--~~~ c t-., Robert GREGOI::ill

3 COMMISSION DES ;QMMUNAUTES EUROPEENNES - so aruxe.lle.s.. 1e oct.obr.e SGC83)D/12058 Objet Note a l 1 attention de Madame NONON Chef du Bureau de Presse et d'informaticn Demandes du Conseil regional Languedoc/Roussillon 1 - J'ai etudie tres attentivement votre lettre du 21 septembre et j'ai egalement consulte les Cabinets du President Ortoli et de Monsieur Pisani. Mon avis sur les demandes du Conseil regional Languedoc/Roussillon est Le suivant 2- En ce qui concerne La visite d'une delegation du Conseil regional, je partage votre sentiment sur son tres grand interet politique. Cela devrait se traduire dans la participation effective de plusieurs Commissair~et dans le choix des conferenciers. Je deconseillerais toutefois de prevoir un entretien avec le President Thorn. Outre des difficultes objectives pour La periode envisagee, il n'a pas ete d'usage, jusqu'ici, de faire appel au President pour des visites analogues (Conseils regionaux fran~ais ou Autorites regionales italiennes). Creer un precedent ne manquerait pas de poser de nombreux problemes. Des a present, Monsieur Pisani est pret a consacrer tout le temps necessaire a La delegation. Les contacts appropries pourrent etre pris avec les Cabinets de Messieurs Natali, Giolitti et Oalsager, des que les dates seront precisees (a noter que Messieurs Dalsager et Giolitti seront mobilises pour Le Conseil special d'athenes a partir du 8 hovembre (depart de Bruxelles en fin de matinee) et jusqu'a La fih de La semaine). Un programme etabli sur cette base aurait Le niveau politique et l'eclat que vous souhaitez. 1.~s. - Televnone Aelresse lelegrapn.quo= '"COME JA Br,uehcs- '* l.omeu '

4 - 2 - e Messieurs FROSCHMAIER di CARPEGNA de BOISSIEU BLANC Les entretiens avec les autres fonctionnaires de La maison seront organises avec le meme souci d'un niveau eleve. 3 - En ce qui concerne La conference des regions mediterraneennes, mon sent'1 ment" personnel (part age par les Cabinets fran~ai s) est de deconseiller fortement au President Capdeville de tenir une semblable reunion a une date aussi rapprochee (avant le Sammet d'athenes). Une telle manifestation necessite une preparation tant politique que technique extremement precise pour etre un succes. En outre, l'incertitude qui subsiste sur les perspectives et les resultats du Conseil europeen d'athenes et qui subsistera sans doute jusqu'a son ouverture pesera sur La preparation et Le deroulement de La conference, et risque d'en fausser les resultats. Une reunion en 1984 serait plus raisonnable. La preparation pourrait etre complete sur une matiere ou tout faux pas peut avoir Les consequences les plus graves. L'interlocuteur de La ~egion ne peut etre que le President Natali et son Cabinet. Je comprends que Le Conseil regional a une conception differente des PMI que celle de La Commission, mais s'il s'adresse ala Commission il ne peut le faire que dans le cadre defini par celle-ci. Il appartient au President Natali de e prononcer sur sa participation eventuelle et sur La nature et ampleur de l'aide qui pourrait etre apportee a La conference. Sa dou e qualite de Commissaire charge des programmes mediterraneens de Commissaire charge de l'information fait qu'il a tous Les mo ens d'appreciation a ce titre. E. NOEL:

5 eruxelles 5 octobre 1983 SG(83)D/12134 Ngte a l'attention d!_!qosieur BRACKENIE!! Objet : Re he d'un souvenir a la co.. ission par un ancien fonctionnaire. Nada.e Clara Neijers, ancien fooctionnaire de La co.. ission <1958/1973>, aujourd'hui a la retraite, a voulu aanifester son attache nt a la C~isston en offrant un cadeau celle-ci. Il s'agit d'une pendule 6leetrique que ~ Neijers ' re ise a t'occas~on d'un dtner d'adieu organise le 21 septe.bre. Elle a.arque le souhait que cette pendule soit placte dans le hall d'entr~e du blti.ent 8erlay.ont ou elle pourrait ltre utile au fonctionna;res et aux visiteurs. J'esp re que vous serez d'accord avec.oi pour reconnattre qu'il n'y a pas d'inconvenient a accepter ce don.adeste offert si spontane.ent aux se~es de la Caa.ission. Je precise que cette pendule est actuelle.ent deposee au secretariat de Monsieur Santarelli, Porte-Parole de la Coeaission. opie : "" LOWE, Cabinet de M. le President SANTARELLI, Porte-Parole de la co-iss ion E. NOEL

6 COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES Secreto\fldl general Bruxelles... te c?~~qbr~.. ~9S P/840/83 Objet NOTE DE DOSSIER Groupe Unique de Preparation. Dejeuners de travail du 3 et du 4 octobre La Presidence a organise des dejeuners de travail les 3 et 4 octobre, avec la seule participation des Chefs de delegation au GUP et du Secretaire General du Conseil. Ces reunions, bien moins articulees que les dejeuners de travail du COREPER, n'ont toutefois pas apporte beaucoup d'elements nouveaux. 2..Lors du dejeuner du 3 octobre, la discussion a porte sur la meilleure ~resentation du dossier agricole lors du Conseil d'athenes. Il ne s'en est pas degage d'indications tres util~s pour la Presidence. H. CHA!IDERNAGOR a explicitement refuse que la Presidence privil~gie dans son rapport les propositions qui ont l'appui du plus grand nombre de delegations, motif pris que tel ne sera pas le cas poar d'autres dossiers (par exemple, montants compensatoires monetaires, ressources propres) ou d'autres de~egations (respectivement Allemagne, Royaume-Uni) entendent que leur propre positivn soit presentee sur pied d'egalite. Il a egalement refuse de donner une place privilegiee a la proposition de la Commission du 1ait que les conclusions de Stuttgart font etat tant des contributions des Etats membres que des propositions de la Commission comme base des travaux. La possibilite de reunir des groupes d 1 experts a ~the~es en marge des travaux du Conseil pour approfondir certains dossiers a ete evoquee sans conclusion precise.... /... AdresS<: pro so~re Rue de 1oil Lc ruxel!es - Tele;Jhune 23511! 1 - Adresse telegraphtque ""COMEUR 9r'"'~~:,es Telex: comeu B 21877""

7 - 2 - }. Lors du dejeun~r du 4 octobre, la discussion a porte, d'une part sur les politiques nouvelles, d'autre part sur le financement de la Communaute. Sur les politiques nouvelles, plusieurs Chefs de delegation (Sir Michael BUTLER, M. LAUTENSCHLAG:SR, M. R~TTEN) ont mis en evidence la surabondance des sujets evoques au cours de la discussion du matin et la necessite d'un ce~tain tri (nota~ment repa~tition des t~ches entre les Conseils specialises et le Conseil special). On a demar.de que la Presidenca remette rapidement uue note decrivant cette repartition des t~ches pour que le Conseil d'athines se prononce sur elles~ L'Ambassadeur RUTTEN a suggere que pour les "politiques nouvelles" on vise une "enveloppe" de mesures plut5t qu'un "paquetn, cette enveloppe devant ~tre suffisarnment garnie, sans que tous les elements de son contenu scient des a present precises._f. CHAN.JERNAGOR a repris les questions de poli tique commerciale exterieure qu'il souhaite voir traitees par le Conseil special et ensuit-e le Conseil europeen (definition du "produit europeen", investissement des pays tiers, bu~e~-- ~uropeen des norrnes). Il a evoque les probli~es poses par les accords entre firmes ja~onaises et britanniquesehutomobiles. 4. En ce qui concerne le financement communautaire, la discussion a repete les positions classiques sur les demandes britanniques et allt~andes. Il y a eu des echanges de propos P?rfois extreme:nent vifs, notamment au sujet du"safety Ne~' et de l'actioa personnelle du Premier Ministre britannique dans le Conseil europee~. M. LAUTENSCHLAGER a indique avec beaucoup de moderation qu'il y avait un probleme politique a resoudre et qu'il fallait lui trouve= une solution politique flexible et raisonnable. Les suggest ~ns fa~:~ la veille par le representant de la Commission (travailler conjoi~:ement sur la correction des recettes et 1~ correction des epenses) lui semblaient la bonne voie. Il fallait en me~e temps 'viter que dans l'avenir des politiqu~s nouvelles ou des actions ouvell~s so~ent entrep~ises uniquement pour donner une satisf tion financiere a tel ou tel Etat, indepenjamment de leurs me ites propres (meme remarque que H. TIETHEYER la veille). La mo ration de M. LAUTENSCHLAGER contrastait (comme dans les se1 ces plenieres du G?) avec l'extreme raideur de l'ambassadeur br" annique ainsi qu~ de 1 'Ambassadeur danois. ' AHUE HAEU AHUE binet du bin~; de binet de binet de "::inet de President M. ORTOLI!-f. DAVIGNON M. ':" ~GSNDHAT M. DALSAGER HAEU

8 Bruxelles 5 ootobre 198.} P/841/8} '-~onsieur PERSONNEL Cher Jean-Claude, Merci de ta lettre du 28 septembre et de l'effort que tu as entrepris pour tenir compte de mea preoccupations dans le rapport que tu prepares sur la politique en matiere de discipline. La nouvell.e redaction des J 4.6 et 4.7 que PAULIU et VAL.S,nA ont bien voulu etablir evite en effet lea risques de ~auvaise interpretation que le texte precedent me eemblait coaporter. Je te renvoie oette redaction avec un petit nombre d'amendementa que je souhaiterais y voir introduire. lls visent~ comma tu pourras le constat@r, a respecter l'independance du rapporteur dans sa demarche (done pas de consignes imperatives), tout en donnant un conseil ou une incitation. J'eapere que tu pourras retenir cee modifications. Herci aussi de la suite que tu veux bien donner a mee re!l!arques sur lee '* 8 et 4.1. p.j. J.c. :~OREL ;-,;irecteur G{~neral du Personnel et de l'adrninistration Avec tous mes remerciements, Tres amicalement a toi, ~. tmel

9 COMMISSION DES COMMUNAUTES EUROPEENNES..Bruxelle.s... le octobre Secrcta11al general CONFID~NTIEL P/853/83 NOTE POUR MONSIEUR LE P~ESIDENT Objet Conseil special des 10/12 octobre La preparation du Conseil d'athemes par le Groupe Unique de Preparation a ete extremement limitee, eu egard a la dure~ de l; reunion, au nombre eleve de Ministres qui seront presents, sans parler de l'a~pleur des matieres a discuter. Le GUP ne s'est pas interesse au dossier des fonds structurels. Il n'etait pas dispose a discuter serieusement de la rationalisation de la PAC. C'est seulement sur les questions financieres et institutionnelles (ressource propres et ''Financial Guidelines" de la PAC) que ses travaux ont e~ une certaine utilite et une certaine portee. I- ~onne tenue des discussions sur les actions nouvelles ne doit pas c~eer troo d'illusions. Je crains fort qu'au moment ou il faudra pass~~ aes bonn~~ intentions a la preparation de decisions de substance, 1 1 on ne se heurte aux memes difficultes que sur les deux autres dossiers techniques (PAC et fonds). 2. La structure du GUP ne lui ~armet pas d'executer le travail modeste mais util~ de decantation des proble~es,de fa~on a isoler les problemes politiques justiciables duniveau ninisterie:. travail o~ e celle le Comite des Representants Pe~~anents. Comme les choix ou les arbitrages ne sont pas inter7enus jusqu'ici dans plusieurs capitales, il n'y a pas vraie possibili~e de dialogue politique en supposant que le cadre du GUP s'y soit pr~te. 3n Italie, les Ministres competents du Gouve~nement C~AXI sont bien pl 1s reserves sur tout l'exercice que l'etait H. CO:i:.OMBO. Alors... /...,. I Adte5se proviso11e Rue c:c Ia LO 200. B-10~9 Bruxelles- Telephone Adresse t.?legrapho~ue Telex. ""COMEU B 21877"-

10 - 2 - que celui-ci avait une autorite quasi exclusive su~ les dossiers europeens, son successeur tend a s'en distancer et a laisse~ le champ libre a ses collegues (H. GJRIA, M. PAN:JOL?I, ~1. FO~'!'E) En France, il ne se~ble pas qu'il y ait eu jusqu'ici une directive precise du President de la Republique et les positions s'alignent sur le niveau le plus eleve de resistance. L'in!luence positive d~ Chancelier se fait sentir dans la position allem3nde, mrtis l'on se rend compte egalement de la marge de manoeuvre etroite qui est laissee au Secretaire d'etat LAUrENSCHLAGER. Seule la position britannique est claire et nette, mais elle conjuit a une oppositio= frontale avec la quasi totalite des autres delegations sur les affaires les plus sensibles. Rien ne pe~met d'indiquer qu'il y ait eu un effort de revision significatif de ces positions diverses en vue de la prochaine reunion d'athenes. 3. En ce qui concerne la politique agricole commune, la discussion dans le GUP le 3 octob~e dernier a cor~espondu a un recul dans le rapprochement des positions par rapport aux travaux du groupe ad hoc agriculture les deux serr.aines p~ecedentes. Le Ministre CHANDER~ASOR a rejet& cat~goriquement pou~ les produits laitiers le r~gi~e propose par la Commission, alors que M. ROCARD avait laisse esp~rer une ouverture le 20 se~tembre. Cela correspo~i i un durcissement interne fran~ais, probableme~~!i& aux pressions des organisation3 agricoles. Les a~tres delegations oct ca~pe su~ lp-ur position anterieure. Quant aux autres prod~its~ lr J~scussion est res~ee tres superficielle. Cela vaut aussi pour l'eli~ination des montants compensatoires monetaires au les reactions a la prise de position alle~ande ont ete sommaires et limitees. 4. Sur les fonds structurels, la discussion a ete breve et sommai~e. Les fiches explicatives fournies par la Co~mission ant eu un accueil plut5t favorable, mais les delegations etaient ~anifestement peu il"teressees par les co~mentaires techniques supplementaires de rios representants. Le depat rapide d'une p~oposition complete sur le "nouveau?ed3r 11 devrait permettre une ~elance des travaux (large::'lent dans le groupe ad hoc), qui bene ficierai t de la pression poli tiq:.1e liee a 1 ''effet Stuttgart'!... /...

11 ' En ce qui concerne les politiques ou actions nouvelles, la derni~re proposition de la Commission a &t~ ~:ile en permettant d'articuler les discussions, meme si elle n'a pas suffi pour contenir l'afflux des suggestions nouvelles. Le dossier de l'~nergie reste le mal airne de l'operation : d'unp- part, 1~ delegation fran ~aise s'oppose categoriquement a sa prise en coxpte, d'autre part, les autres delegations ne trouvent pas un tres grand appui dans l~s suggestions (relativement generales) que leur so~et la Com~issio~. Nous avons pu constater une prise de conscience croissante de l'utilite, voir~ de la n&cessite de fai~e appel aux Conseils specialises pour obtenir des resultats co~crets avant Athenes sur certains dossiers. ~n progres par ra~~ort aux reactio~3 dans le Conseil special du 20 septembre ~tait ma~ifeste. Il est regrettable que la Presidence n'ait pas profit~ ie cette ouverture pour proposer im~ediatement que des mandats precis scient donn~s, par exemple aux pro chains Conseils 11 Harche in t eri eu~' et ''Recherche". L'affaire peut etre cependant rattrapee a Athenes. 6. Sur le financement, l'element le plus interessant est l~ lente evolution de la d~l~gation allemande ~ui p~enj progressiveme~: ses distances par rapport au "Safety Net!t bri tan~i oue ( le texte c.-:..1 rappo~t etabli par le Secretariat du Conseil ig~ore toutes ces nuances). La formule qui s'esquisse du cote all~~a~d est,~ c~~binaison ~ un reequilibrage des recettes (modulatioa de la TVA dont l'allemagne pourrait quelque peu benefici;r) et d'un correctif sur les depense~ essentiellement oriente vers la Grande-Bretagne. Les Allemands esq"issent en outre l'idee d'une sorte de clause gene-ral:: 1 S8UVega_rde II pe~me t tan t de fa ire face a Une det erio::-a tion excessi V8 de leur situation (ou de la situation ::itannique) si le fonctionnement des nouveaux mecanismes se revelait insuffisant. Cette ide~ suscite quelque interet dans les conversations privees avec les Ambassadeurs 3enelux, mais ses contours restent extreme~ent flous. Je reste tres sceptique sur les chances du dernier "papier" fran9ais qui se presente comrne un effort de synthese base sur la formule danoise. Il ne reste de l'idee dan~ise que le ti+re, car le mecanisme propose de financernent par la recette est fonrlamentalement contraire au schema danois.... /...

12 Il n'est pas certain que sur ces bases une discussion ministerielle puisse ~tre extr~mement fructueuse et surtout qu'ell~ puisse se prolonger utilement pendant trois jours pleins. Pour la plupart des dossiers, nous en semmes toujours a la periode des explications et des pressions et nous sommes fort eloignes de la recherche des compromis. 8. Tel est certainement le cas pour la politique agricole commune (sous reserve d'une meilleure appreciation de mon collegue Claude VILLAIN). Sur les produits laitiers, dossier cle, la proposition de la Commission (quota et super taxe) a l'appui de princi~~ d'une majorite des delegatio~s. Celles des delegations qui ont present& des centre-propositions n'ont pas pu faire la preuve de leur efficacite ou de leur credibilite. Toutefois elles n'ont pas en~o~~ admis qu'il faudra finale~e:1t que le Conseil fonde ses travau:< sur la seule proposition de la Co~rnission et ce serait opti~iste d'esperer que ce pas sera franchi le 11 octobre. Il serait don~ tout a fait pre~ature d'evoquer a Athenes des possibilites d'amenage8e~t ou d'inflexion qui seront probablernent necessaires.pour obtenir la decision finale rnais qui, esquissees ~aintenant, n'aboutiraient ~u i affaiblir la force d'attractio~ vers le texte de la Co~~ission. Les possibilites d'entente sont plus grandes sur les cereales (toujours a partir de la position de la Co~missio~) et u~~ conclusion raisonnable pourrait tre une demande ~ la Comoission d3 fo~rnir des propositions precises sur lrt base juridique et le contenu d'un ~ventuel mandat de negociation sur la limitation des importations de substituts de cereales. Il sera probablernent necessaire d'avoir une discussion politique sur la taxe sur les matieres grasses, mais sans espoir de conclusion. C'est le dossier des rnontants compensatoires ~onetaires qui justifierait d'un effort particulier. La proposition de la Commission dernande probablement trop de sacrifices a l'allena~~. La recente proposition allemande tend au contraire a dispenser ~ l'allemagne de tout effort et est particulierement decevante nour les MCM existants. Un debut de dialogue a quelques-uns, a l'ecart des vastes audiences du Conseil, pourrait permettre de comcencer a cerner ce qui est indispensable et ce qui est possible. La Cornnission serait ensuite en mesure d'apprecier le contenu d'un co~oromis possible et de determiner a quel moment de nouvelles idees se~aier.: a avancer.... /...

13 ' La q~estion des "Financial Guidelines" est traitee cidessous avec les problemes du financement de la Communaute ( 12). La Presidence n'a pas clairement indique jusqu'ici dans quel contexte elle comptait traiter ce dossier au Conseil (PAC ou financement). Dans le GUP, il a fait l'objet de discussions ad hoc. 9. Sur les fonds structurels, nos theses sur une coordination plus etroite des instruments financiers, sur une liaison plus intime entre fonds et politiques communes, progressent lentement. L'effort d'explication, tres utilement commence le 20 septembre, doit se poursuivre (contrats de prosrammes, programmes integres et les assouplissements corollaires dans la gestion des fonds). Il est important que la Commission fasse clairement apparattre la cohere~ce et la cohesion de son action dans sa double qualite, d'une part, de concepteur et de rnoteur de politiques communes (y compris le developpement structurel), d'autre part, de gestionnaire de fonds et autres instruments financiers. 10. Sur les actions nouvelles, la proposition adoptee par la Commission le 28 septembre est la meilleure chance pour un progres du Conseil : mettre au travail les Conseils specialises sur quelques dossiers avec obligation de faire rappo~t a la session de nove~bre du Conseil special, faire preparer par le Conseil spe~ial et le GU? un certain nornbre d'engagements precis a prendre par le Conseil europeen. Si la Presidence n'a pas fourni d'ici l'ouverture du Conseil les elements necessaires a ces d&cicions, la Commission devra s'y substituer. U~e premiere reflexion a deja ete faite sur ce que pourrait etre un sch&ma de decision. 11. Le renforcement des moyens financiers de la Communaute n'est plus, quant a son principe, au centre de la controverse. Mis a part la reserve eenerale britannique, il y a un large cons_~sus sur la necessite de ce renforce~ent a plus ou mains breve echeance, sur le fait qu'il resultera d'une extension des moyens TVA et sur la necessite de fixer un nouveau plafond (et non pas de deplafonner purement et simplement). Plusieurs delegations cherchent a combiner... /...

14 - 5 - l'idie de tranches (pr~sent~e par la Co~mission dans la perspectiv~ du deplafonnement) et celle de plafond. Si le debat porte la-dess~s. il faudra s'opposer vigoureusement a cette deformation des idees initiales du College. 12. Restent les deux dossiers sensibles plus ou mains connexes pour certaines delegations, celui des "Financial Guidelin~s et celui des desequilibres budgetaires. Le "document de travail" que nous avons renlis au GUP a vise a preciser les orientations proposees en juillet et a en fai~= mieux apprecier la portee en le rapprochant d'autres prises de position de la Co~mission et en rappelant les disciplines que la Co~mission suit deja (par exemple, n'introduire un budget supplementaire qu'en dernier recours). Les premieres r~actions donnent a penser q~e ce document aidera la delegation allerrande a se rapprocher de nos idees et probable~ent aussi la delegation n&erlandaise, quand elle aura constate l'echec de sa rece~te proposition. Les delegations c~: avaient accepte notre idee de "code de bonne conduite" n'ont pas ~:-:: decouragees par ces compl~ments. L'action a entreprendre cans le Conseil visera, d'ur.e part a renforcer l'argumentation centre un systeme contraignar.t (fcrmule britannique et, dans une moindre mesure, neerlandaise) qui peut paralyser la gestion de la PAC, d'autre part, a convaincre les delegations reticentes (surtout France et Danemark) que tot ou tard elles devront accepter un "co=.e de bonne conduite" dans un "paquet" final. 13. Quant au desequilibre budgetaire, la del~gation frar.;a ise continue a poursuivre la chimere qu'il lui sera possible de "faire bonne chere avec peu d'argent 11, malgre les deconvenues que _ette tactique lui a values pendant les deux dernieres annees. Cette attitude contribue a donner un caractere irreel a la discussion. Il =e semble raisonnable de ooursuivre l'effort d'exoloration sur les grandes lignes de la future decision (sans entrer dans les details techniques), une combinaison d'un reequilibrage du systeme :~ recettes (modulation de la TVA) et d'un correctif sur les depenses fonde sur un indicateur objectif et un mecanisme de calcul (cf. rapport mandat de juin 1981 ) paraissant aujour~'hui la meilleu~e piste possible, sous reserve d'un complement politique a rechercher ~ -... /...

15 - 7 - (clause de revision periodique, mandat de surveillance don~e a la Commission ) qui donnerait une ass~rance raisonnabl~ ala Granje-Bretagne et a l'allemagne qu'elles ne risquent pas une "et~rioration massive de leur situation. La delegation britanniq e r~s:~ categoriquement opposee a ces idees et un long effort sera saire ava:tt de la convaincre que le "Safety Net" n'est pn. panacee universelle. Le seul espoir (timide) des autres elegations est de pouvoir evi ter que l~ Conseil e'lropeen d 1 thene.::; ne soit l'occasion d'un"blaci-::mail" au "Safety Net" de 1 part du Pre~ier Ministre britannique. CoEie a. H. D:JRI. ::UX H. de 30ISSIEU H PAEX3N..! a LEVZR M. PERISSICH M. J RG~NSEN E. NOEL

16 Bruxellea? octobre 1983 t~erci P/854/8} NO':'E A L'A'I'TENTIOH DE gonsizur BRACKi:;~ll?.:RS de vos notes du 29 septembre et du 6 octobre. En ce qui cjncerne lee nominations A/} susceptibles d'etre faites a l'exterieur d'ici a la tin 198l, je orains que les chiffres ne soient pas exacts. ~~ur la poriode de deux ans, 44 nominations A/} JevrRient ouvrir un "credit de 9 nominations externea, dont 4 sont dij~ intervenues. Il resterait done 5 nominations externes possibles, dont 2 sont deja "Yraisemblables (Xi Vet JG.A'VIII). Le "solde" s~rait de 3 nominations. 0n ce qui concerne la DG VIII, si!'intention de M. PI-A~I est bien de nom~er un fonctionnaire actuellement affecte au Comite Econornique et 0oc1Al, il ne s'agira pas, a mon avis, d'une nomin~tion exterieure. 3 nominations exterieures pour 1984 me paraiseent donner des possibilites su~fisantes a la Commission. Vous voua souviendrez que, ~ la fin de la Commission JENKINS, il n'y a eu que 2 nominations en A/3 d'anciens membres de cabinet. Sn ce qui concerne la nomination A/3 a la 1~ XX~ j'espere qu'il sera possible de convaincre M. FACINI de changer son point de vue. Une nomination a la DG VI ne ~e paratt pas une solution de re111pl.acement. D'une part, M. N,i.TALI a conditionne son accord a 1' operation!i./\.rcu:-::;bn/!-':lli\no a ce que M. HI:...r,NO soi t rer.~plac[~ par un fonctionnaire ;\/3 dans la DG VI, d' autre part,... ; ~

17 ,,., r-~. VILLAIN a deja, a m~t connaissance, des YUes tree precises sur oette nomination A/3 dana eon service et ne sera probablament pas prlt i lee modifier. :-ur lee questions qui ont ete traiteee au petit dejeuner des Directeurs g~neraux, je me reserve de voue talephoner pour avoir quelques informations suppl~mentaires dee que je serai eorti du Conseil special d'athenes. b. NOEL

18 Bruxellas 7 octobre 198} P/855/8:;) NOTE f, L ATTENTION ije HON.:~I 0U :i DU iueux Chef de Cabinet du President Objet : Preparation du Gonseil europeen Je me r6fire i la note de K. JENKINS datia du 5 octobre sur le df.jeuner du CORSP~R, et notm.'1ment sur la suggestion faite par le President qu'une partie de la reunion officieuse des Ministres Jes -~ffaires Etrangerea, le 2;? octobre, aoit consa~ree a la preparation du Consail europ~en d'athenes. ~. 'larfh> avait ete informf de cette suggestion par l'ftmbassadeur DIMADIS et il en etait preoccupi. En effet, le t-'inistre HARALMnOPOULQ:;, qui presidera. la reunion du 22 o;-;tobre, ne participe pas au Conseil special ni a la preparation de sea travaux sur le plan interne grec. Il ne sera dono pab facile pour lui ie diriger une discussion sur la preparation du Conseil european ct ;th~nes (tout au moin~ sur les dossiers communautaires). ~>ns doute des arrangements prrtiques eeraient-ils imaginablea pour resoudre cette difficulte, mais je crois comprendre qu'ils se heurteront a un certain nombre de problemes internes a l'equipe ministerielle grecque. Pourriez-vous signaler cet element au President THORN afin qu'il l'ait a l'esprit s'il s'entretient de cette question avec lee ranistres grecs pendant son eejour a r,thenes. ~o;. NOEL '--~ ~ ~----~ ~

19 Bruxellee? octobre 198} NOTE A L'ATTENTION JE : - HONSIEUR DUHISUX - ~~ONSIF..U~ de B' :ISSIEU Objet : Conseil special d'athenes M. VARFIS m a indiqui que le Premier Ministre P~PANDREOU inviterait lea membres du Conaeil special (Miniatres et Commission) a UD diner SOUB sa presidence le lundi 11 octobre (Janes un restaurant prla de Vougliameni). Ce diner commencer& vraisemblablement vers 21 h.}o ou 22 h. Peut-~tre cette information anticipe~ aera-t-elle utile au President THORN et au President ORTOLI...:... NOEL

20 7 octobre 198} Cher Monsieur, P/859/8} Par votre lettre du 9 Keptembre, vous avez bien voulu ~ppeler mon nttention sur le choix d'une societe d'audit que notre Jirection ~&nhrale du Cr4dit et dee InveetiAsements a eftectue pour la revision et ln certification de sea comptes. Je ~uis vous assurer que ce ohoix s eta fait de maniere objective et au terme d'une analyse detaillee des otfres presentees ~t particuliirement de cellae de votre sociite. Noa services n'ont pas le sentiment que l'otrre faite par la firme americaine retenue avait un caractere de''dumping". r. l'atenir, comme cela a d'ailleurs /?tp. le cas jusqu'a present, ce8 offres continueront d'stre btudiees avec une attention particuliere. nei~leurs : onaieur Jean FLZURY >rt.si.ient de Concorde ~uropeenne :,udi t-france.:::1 his, rue.i:.ord Byron 75008?A!U3 Veuillea agr&er, cher Monsieur, l'expreeaion de mes sentiments. t~. HO:::L

21 -- Bruxelles 7 octobre 198} P/865/8} NOTE DE DOSSIER Objet : Conseil special d'athenes. Financement communautaire 1. Le President VARFIS suggere dans sa lettre aux Membres du Conseil special que celui~ renyoie a novemgre la discussion sur lea modalites et le calendrier des ressources nouvelles et se concentre sur la question des desequilibres budgetaires. Cette approche me semble raisonnable. Ce sont en effet lea desequilibres budgetaires qui torment le coeur du probleme. 2. La necessite d'une correction budgetaire n'est evidemment pas contes\ee depuis Stuttgart. Par contre, l'ampleur de cette correction a ete discretement laissee dans l'o bre depuis le debut des discussions du Conseil special. Celui-ci n'est d'ailleurs pas un cadre approprie pour aborder le probleme. Par contre, il pourrait 3tre utile que dans les entretiens prives avec lea Minietres le President ou M. ORTOLI essaie d 1 ayoir quelques reactions. Jusqu'ici seule la delegation britannique a laisse entendre ce qu etaient ses ambitions, mais d'une maniere indirecte. La simulation qu'elle a demandee a la Commission sur son systeme de "Safety Net" fait en effet apparattre que la correction pour 1982 aurait ete de l'ordre de 8o% c est aussi l'ordre de grandeur que l'aabassadeur BUTLER juge approprie dans des conversations privees. Personna n'a jusqu'ici reagi sur de telles demandes et sans doute est-ce heureux pour la bonne harmonia interne du Conseil special et de son Groupe de preparation.... ;...

DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96

DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 CONFERENCE DES REPRESENTANTS DES GOUVERNEMENTS DES ETATS MEMBRES Secrétariat CONF 3980/96 Bruxelles, l (OR.dk) LIMITE NOTE DE TRANSMISSION Objet : Protection des consommateurs Les délégations trouveront

Plus en détail

COMITE DU COMMERCE DES AERONEFS CIVILS. Projet. Compte rendu de la réunion du Comité tenue le 14 mars 1988

COMITE DU COMMERCE DES AERONEFS CIVILS. Projet. Compte rendu de la réunion du Comité tenue le 14 mars 1988 "STRICTED '*9 988 Déciale COMITE DU COMMERCE DES AERONEFS CIVILS Projet Compte rendu de la réunion du Comité tenue le 14 mars 1988 Les délégations sont invitées à faire parvenir au secrétariat, d'ici au

Plus en détail

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28 CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 30 mars 2009 (OR. en) 7522/09 Dossier interinstitutionnel: 2009/0020 (CNS) VISA 96 AMLAT 28 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: Décision du Conseil

Plus en détail

AVIS RENDU EN VERTU DE L'ARTICLE 228 DU TRAITÉ CE. Prise de position de la Cour

AVIS RENDU EN VERTU DE L'ARTICLE 228 DU TRAITÉ CE. Prise de position de la Cour AVIS RENDU EN VERTU DE L'ARTICLE 228 DU TRAITÉ CE Prise de position de la Cour Sur l'admissibilité de la demande d'avis 1 Les gouvernements irlandais et du Royaume-Uni, mais aussi les gouvernements danois

Plus en détail

La mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014

La mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014 La mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014 Les mesures préparatoires et procédurales entre 2010 et 2013 10.2010 Communication

Plus en détail

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles.

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles. COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIÈRES Assurance MARKT/2519/02 FR Orig. EN Bruxelles, le 27 septembre 2002 MARKT/C2/MAAT D(2002) NOTE AUX MEMBRES DU SOUS-COMITE SOLVABILITE

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 28 mai 2010 (OR. en) 9633/10 Dossier interinstitutionnel: 2010/0096 (NLE)

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 28 mai 2010 (OR. en) 9633/10 Dossier interinstitutionnel: 2010/0096 (NLE) CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 28 mai 2010 (OR. en) 9633/10 Dossier interinstitutionnel: 2010/0096 (NLE) ACP 140 COAFR 181 PESC 619 RELEX 415 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet:

Plus en détail

L'Agence européenne de l'armement : le temps suspendu

L'Agence européenne de l'armement : le temps suspendu L'Agence européenne de l'armement : le temps suspendu Le projet de création d'une Agence européenne de l'armement est ancien. Dès 1991, il y est fait explicitement référence en annexe du Traité de Maastricht.

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72. PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet:

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72. PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet: CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72 PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet: 3290 e session du Conseil de l'union européenne (AFFAIRES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

Traité établissant une Constitution pour l'europe

Traité établissant une Constitution pour l'europe CONFÉRENCE DES REPRÉSENTANTS DES GOUVERNEMENTS DES ÉTATS MEMBRES Bruxelles, le 29 octobre 2004 CIG 87/2/04 REV 2 Objet: Traité établissant une Constitution pour l'europe CIG 87/2/04 REV 2 FR TABLE DES

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés

NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés NC 35 Norme comptable relative aux états financiers consolidés Champ d'application 1. La présente norme doit être appliquée à la préparation et à la présentation des états financiers consolidés d'un groupe

Plus en détail

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ;

- à la forme des délibérations et des contrats d'emprunt (montant, durée, annuité,...) ; BULLETIN OFFICIEL DU MINISTERE DE L'INTERIEUR Circulaire du 22 FEVRIER 1989. --------------------------------------------------------------------------------- Concours financiers à court terme offerts

Plus en détail

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987

lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 lj~ion DE L'EUROPE_OCCIDENT ALE Plate-forme sur les interets europeens en matiere de securite La Haye, 27 octobre 1987 I. Soulignant I'attachement de nos pays aux principes qui fondent nos democraties

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

ACCORD D'ENTREPRISE A DUREE INDETERMINEEINSTITUANTUN SYSTEME DE GARANTIES COLLECTIVES «REMBOURSEMENT DE FRAIS MEDICAUX»

ACCORD D'ENTREPRISE A DUREE INDETERMINEEINSTITUANTUN SYSTEME DE GARANTIES COLLECTIVES «REMBOURSEMENT DE FRAIS MEDICAUX» ACCORD D'ENTREPRISE A DUREE INDETERMINEEINSTITUANTUN SYSTEME DE GARANTIES COLLECTIVES «REMBOURSEMENT DE FRAIS MEDICAUX» ENTRE LES SOUSSIGNES: société MONOPRIX SA agissant tant pour son compte que celui

Plus en détail

RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE

RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE L 82/56 2.6.204 RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE LE CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

La fiscalité des revenus de l épargne

La fiscalité des revenus de l épargne CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Réunion plénière du 12 septembre 2002 «Retraite par répartition et compléments de retraite» Document n 9 La fiscalité des revenus de l épargne Conclusion du rapport

Plus en détail

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011

Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour 2011 Cote du document: EB 2010/101/R.41 Point de l'ordre du jour: 17 b) Date: 9 novembre 2010 Distribution: Publique Original: Anglais F Plan de travail du Bureau de l audit et de la surveillance du FIDA pour

Plus en détail

STATUTS. DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse)

STATUTS. DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse) STATUTS DE L UNION SUISSE DES PROFESSIONNELS DE L IMMOBILIER (USPI Suisse) Chapitre premier: Nature et buts Article 1: Dénomination et siège Les associations cantonales de gérants, courtiers et experts

Plus en détail

La contrefaçon par équivalence en France

La contrefaçon par équivalence en France BREVETS La contrefaçon par équivalence en France I. Introduction Si l'on considère une revendication de brevet qui remplit les conditions de validité au regard de l'art antérieur, le cas de contrefaçon

Plus en détail

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46

CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46 CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 2 juillet 2002 (OR. da/en) 10307/02 EUROPOL 46 ACTES LÉGISLATIFS ET AUTRES INSTRUMENTS Objet: Initiative du Royaume du Danemark en vue de l'adoption d'un acte

Plus en détail

PROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION

PROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION 1 20 juin 2013 PROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION Adoption en première lecture par le Sénat le 22 mars 2013.

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Projet d'accord relatif à l'aide pour la défense mutuelle entre les États-Unis et la CED (Mai 1954)

Projet d'accord relatif à l'aide pour la défense mutuelle entre les États-Unis et la CED (Mai 1954) Projet d'accord relatif à l'aide pour la défense mutuelle entre les États-Unis et la CED (Mai 1954) Source: Archives Nationales du Luxembourg, Luxembourg. Affaires étrangères. Communauté européenne de

Plus en détail

N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992

N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI

Plus en détail

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES

COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES COMMUNICATION DE LA COMMISSION RELATIVE A LA METHODOLOGIE D ANALYSE DES AIDES D ETAT LIEES A DES COUTS ECHOUES 1. INTRODUCTION La directive 96/92/CE du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 1996

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

Association pour l Expérimentation de Nouvelles Structures d Accueil Pour Exclus (E.N.S.A.P.E.)

Association pour l Expérimentation de Nouvelles Structures d Accueil Pour Exclus (E.N.S.A.P.E.) TRIBUNAL INTERREGIONAL DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE DE PARIS REPUBLIQUE FRANÇAISE CONTENTIEUX N 07.041 PRESIDENT/RAPPORTEUR : Monsieur LEVY COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT : Madame LARSONNIER SEANCE

Plus en détail

LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS

LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS I - PREAMBULE Jusqu à présent, la majorité des achats d équipements effectués par les services échappaient à la réglementation relative aux marchés

Plus en détail

Le Conseil des Ministres

Le Conseil des Ministres UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE -------------- Le Conseil des Ministres UEMOA DIRECTIVE N 0 2 / 07 /CM/UEMOA PORTANT CREATION D'UN ORDRE NATIONA DES EXPERTS-COMPTABLE ET DES COMPTABLES AGREES

Plus en détail

GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES

GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES GUIDE GÉNÉRAL SUR LE CCSP ET LA PRÉSENTATION DE L I N F O R M ATION FINANCIÈRE DES CONSEILS SCOLAIRES Ministère de l Éducation TA B L E D E S M AT I È R E S 2 I N T RO D UC TI ON E T C O N T EX T E Q

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale

Plus en détail

Avis de consultation

Avis de consultation Avis de consultation Introduction Conformément aux traités de l UE, les décisions relatives à la politique commerciale sont prises au niveau de l UE. Les représentants des gouvernements des États membres

Plus en détail

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE

ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT DU CANADA ET LE GOUVERNEMENT DE L'ESPAGNE Madrid, le 14 janvier 1985 ACCORD SUR LES RELATIONS CINÉMATOGRAPHIQUES ENTRE LE GOUVERNEMENT

Plus en détail

Lignes directrices européennes (1998)

Lignes directrices européennes (1998) Lignes directrices européennes (1998) Légende: Lignes directrices européennes, présentées en 1998, concernant l'application des normes de contrôle de l'organisation internationale des institutions supérieures

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document

DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT. Accompagnant le document COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 19.12.2011 SEC(2011) 1611 final DOCUMENT DE TRAVAIL DES SERVICES DE LA COMMISSION RÉSUMÉ DE L'ANALYSE D'IMPACT Accompagnant le document Proposition de règlement du Parlement

Plus en détail

PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais

PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais PC 60/10 24 mars 2010 Original : anglais F Décisions et Résolutions adoptées par le Comité de promotion à sa 17 e réunion 1. Le Comité de promotion, présidé par M. Mick Wheeler (Papouasie-Nouvelle-Guinée),

Plus en détail

Les fusées Ariane. Par Jennifer MOULLET, 3 3

Les fusées Ariane. Par Jennifer MOULLET, 3 3 Les fusées Ariane Par Jennifer MOULLET, 3 3 Sommaire: I) le contexte A: recommencer après un échec B: de nombreux enjeux internationaux et un grand succès II) présentation des fusées A: Généralités B:

Plus en détail

Les mesures en faveur de

Les mesures en faveur de Les mesures en faveur de l attractivité Invest in France La France est une destination de premier ordre pour les investissements directs étrangers. Elle accueille sur son sol plus de 0 000 entreprises

Plus en détail

Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy. CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA

Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy. CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA Politique d'exécution des ordres (Politique de meilleure exécution) Best Execution Policy CapitalatWork SA CapitalatWork Foyer Group SA Novembre 2014 Le présent document est rendu accessible aux clients

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)

REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) MARCHÉ DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) Constitution des dossiers d accessibilité Ad AP des ERP et IOP du territoire de la communauté de communes des Portes de l Ile de

Plus en détail

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite

Plus en détail

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014

Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre

Plus en détail

CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ. 1.4 - Remplacement d instruments

CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ. 1.4 - Remplacement d instruments CONSEIL NATIONAL DE LA COMPTABILITÉ Réponse aux questions pratiques liées à l application du règlement CRC n 2002-09 relatif à la comptabilisation des instruments financiers à terme par les entreprises

Plus en détail

A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 -------------------------------------------

A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 ------------------------------------------- A V I S N 1.680 ---------------------- Séance du mercredi 1er avril 2009 ------------------------------------------- Utilisation de titres-repas électroniques : projet d'arrêté royal adapté modifiant l'article

Plus en détail

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette

Plus en détail

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?

QUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT? Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995)

Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995) Déclaration d'assurance (budget général) relative à l'exercice 1994 (25-26 octobre 1995) Légende: Première déclaration d'assurance relative aux activités relevant du budget général. Depuis l'entrée en

Plus en détail

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne

Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît

Plus en détail

CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (87) 15 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES

CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (87) 15 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES CONSEIL DE L'EUROPE COMITÉ DES MINISTRES RECOMMANDATION N R (87) 15 DU COMITÉ DES MINISTRES AUX ÉTATS MEMBRES VISANT À RÉGLEMENTER L'UTILISATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL DANS LE SECTEUR DE LA POLICE

Plus en détail

Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009

Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009 Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL Etablissant des exigences techniques pour les virements et les prélèvements en euros et modifiant le règlement (CE) n 924/2009 Position du BEUC

Plus en détail

NOTE Secrétariat général délégations Feuilles de route concernant la stabilité des marchés financiers

NOTE Secrétariat général délégations Feuilles de route concernant la stabilité des marchés financiers CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 15 mai 2008 (20.05) (OR. en) 9056/1/08 REV 1 TRADUCTION NON RÉVISÉE EF 27 ECOFIN 158 NOTE du: aux: Objet: Secrétariat général délégations Feuilles de route concernant

Plus en détail

JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique

JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique Thème de la journée contributive : Transformation numérique

Plus en détail

COMMUNIQUE RELATIF AU PROJET D OFFRE PUBLIQUE D ACHAT SIMPLIFIEE VISANT LES ACTIONS ET LES BSAAR DE LA SOCIETE

COMMUNIQUE RELATIF AU PROJET D OFFRE PUBLIQUE D ACHAT SIMPLIFIEE VISANT LES ACTIONS ET LES BSAAR DE LA SOCIETE COMMUNIQUE RELATIF AU PROJET D OFFRE PUBLIQUE D ACHAT SIMPLIFIEE VISANT LES ACTIONS ET LES BSAAR DE LA SOCIETE INITIEE PAR BATIPART INVEST ET FINANCIERE OG ET PRESENTEE PAR Termes de l Offre : Prix de

Plus en détail

Notes explicatives concernant le formulaire d opposition

Notes explicatives concernant le formulaire d opposition OFFICE DE L HARMONISATION DANS LE MARCHÉ INTÉRIEUR (OHMI) (marques, dessins et modèles) Notes explicatives concernant le formulaire d opposition 1. Remarques générales 1.1 Utilisation du formulaire Le

Plus en détail

L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0

L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47.0 L Europe des consommateurs : Contexte international Rapport Eurobaromètre 47. Résumé La question de la position des consommateurs vis-à-vis du commerce international a été abordée en particulier par deux

Plus en détail

COMMENT LA PENSION DE RETRAITE EST-ELLE CALCULÉE ACTUELLEMENT?

COMMENT LA PENSION DE RETRAITE EST-ELLE CALCULÉE ACTUELLEMENT? Introduction : Le 17 décembre 2002, la Commission européenne a adopté un «rapport d'évaluation des stratégies nationales en matière de pensions adéquates et viables» (1). Ce rapport indique que «Le rythme

Plus en détail

Politique des Taux de Change dans le Cadre l UEM

Politique des Taux de Change dans le Cadre l UEM Task-force Union économique et monétaire Briefing 29 Politique des Taux de Change dans le Cadre l UEM Préparée par la Direction générale des études Division des affaires économiques Les avis exprimés dans

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL

Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 12.9.2012 COM(2012) 512 final 2012/0244 (COD) Proposition de RÈGLEMENT DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL modifiant le règlement (UE) n 1093/2010 instituant une Autorité

Plus en détail

SANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX

SANTÉ ET PRÉVOYANCE DES AGENTS TERRITORIAUX Circulaire n 23/2012 Cl. C 451 / C 456 Colmar, le 05 juin 2012 CENTRE de GESTION du HAUT-RHIN FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE 22, rue Wilson - 68027 COLMAR CEDEX 03 89 20 36 00-03 89 20 36 29 - cdg68@calixo.net

Plus en détail

Guide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans

Guide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Guide SEPA Paramétrage Axe Informatique Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Installation Paramétrage Développement Formation Support Téléphonique Maintenance SEPA Vérification du paramétrage des applications

Plus en détail

Convention de Portage d Entrepreneurs

Convention de Portage d Entrepreneurs Groupe LABELVIE Siège social : 8, rue de la Justice, 68100, Mulhouse R.C.S. Mulhouse 420 137 747 Convention de Portage d Entrepreneurs ENTRE LES SOUSIGNES : La société Labelvie, Sarl au capital de 50 000,

Plus en détail

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit

Plus en détail

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable

devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable VERSION DÉFINITIVE Allocution prononcée par Anthony Ariganello, CGA Président-directeur général CGA-Canada devant le Conseil de surveillance de la normalisation comptable Toronto (Ontario) Le 20 octobre

Plus en détail

Précisions à propos des services de placement. Ordres et politique d'exécution des ordres

Précisions à propos des services de placement. Ordres et politique d'exécution des ordres Précisions à propos des services de placement Ordres et politique d'exécution des ordres Introduction Dans les Précisions à propos des services de placement, DEGIRO donne le contenu détaillé des accords

Plus en détail

Déclaration de la Commission sur les conséquences de cet été caniculaire

Déclaration de la Commission sur les conséquences de cet été caniculaire SPEECH/03/379 Michel Barnier Commissaire européen responsable de la politique régionale et de la réforme des institutions Déclaration de la Commission sur les conséquences de cet été caniculaire Parlement

Plus en détail

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet

Plus en détail

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 3

Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 3 Les Cahiers du Conseil constitutionnel Cahier n 3 Commentaire de la décision n 97-388 DC du 20 mars 1997 Loi créant les plans d'épargne retraite Le Conseil constitutionnel a été saisi par soixante-dix-huit

Plus en détail

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.

Plus en détail

REPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007

REPUBLIQUE FRANCAISE. Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 REPUBLIQUE FRANCAISE 1 COUR NATIONALE DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n A.2009.002 et A.2009.007 Président : M. DURAND-VIEL Rapporteur : Mme WOLF Commissaire du gouvernement : Mme PICARD

Plus en détail

N 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994. Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION

N 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994. Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION N 63 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1993-1994 Annexe au procès-verbal de la séance du 27 octobre 1993. PROPOSITION DE RÉSOLUTION PRÉSENTÉE EN APPLICATION DE L'ARTICLE 73 BIS DU RÈGLEMENT, sur la proposition

Plus en détail

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché

Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la

Plus en détail

Travaux de nettoyage des bâtiments intercommunaux Marché public n 04-2008

Travaux de nettoyage des bâtiments intercommunaux Marché public n 04-2008 1 Département de Seine et Marne Marché public n 04-2008 Date limite de dépôt des offres : 16/06/08 à 12 heures REGLEMENT DE CONSULTATION (R.C.) 2 SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DE LA CONSULTATION 2 ARTICLE 2

Plus en détail

1 - LE COMPTE EPARGNE-TEMPS... 2

1 - LE COMPTE EPARGNE-TEMPS... 2 Fiche d information Page 1 sur 12 OBJET Le présent document a pour objet de vous présenter les grands principes du compte épargne-temps (CET) mis en place au sein de notre ministère depuis 2003. Il aborde

Plus en détail

B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1

B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1 1 B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1 Objectif : Acquérir une expérience professionnelle en réalisant un stage en entreprise de 3 mois à temps plein à l étranger

Plus en détail

N de convention Audencia/MAE à rappeler pour toute candidature : 97/08

N de convention Audencia/MAE à rappeler pour toute candidature : 97/08 N de convention Audencia/MAE à rappeler pour toute candidature : 97/08 CONVENTION D'ACCUEIL D'ETUDIANTS AU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES DANS LE CADRE DES STAGES D'ETUDES I. CONDITIONS GENERALES DE

Plus en détail

Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat

Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Le commissaire aux comptes et le premier exercice d un nouveau mandat Objectifs de la conférence n Préciser les modalités pratiques de mise en œuvre de la NEP 510 - Contrôle du bilan d ouverture du premier

Plus en détail

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»

Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443. M. Olivier Yeznikian Rapporteur

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443. M. Olivier Yeznikian Rapporteur TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE LILLE N 0903439, 0903440, 0903441, 0903442, 0903443 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS M. Olivier Yeznikian Rapporteur M. Charles-Edouard Minet Rapporteur 4ublic Le

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

Convention européenne sur l'arbitrage commercial international. Genève, 21 avril 1961

Convention européenne sur l'arbitrage commercial international. Genève, 21 avril 1961 Convention européenne sur l'arbitrage commercial international Genève, 21 avril 1961 Texte : Nations Unies, Recueil des Traités, vol. 484, p. 349. Entrée en vigueur: 7 janvier 1964, conformément au paragraphe

Plus en détail

Madame la présidente, j aimerai aborder, avec votre accord, un point de méthodologie avant d évoquer nos travaux.

Madame la présidente, j aimerai aborder, avec votre accord, un point de méthodologie avant d évoquer nos travaux. Madame la présidente, Mesdames, messieurs, J ai l honneur de vous présenter les rapports des 18 ème et 19 ème sessions du Comité du budget et des finances qui est l organe subsidiaire de l Assemblée des

Plus en détail

ACCORD DE PRÊT. Membre ou Conseil de (ci-après appelé «l'emprunteur»)

ACCORD DE PRÊT. Membre ou Conseil de (ci-après appelé «l'emprunteur») ACCORD DE PRÊT INTERVENU CE jour du mois de 20. N o de prêt du Prêteur : ENTRE : La Société canadienne d'hypothèques et de logement ou Un prêteur approuvé par la Société canadienne d'hypothèques et de

Plus en détail

Cadre Stratégique Commun 2014-2020

Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des Régions d Europe Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Contribution de l ARE au document de travail des services de la Commission Juillet 2012 Cadre Stratégique Commun 2014-2020 Assemblée des

Plus en détail

Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement

Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement (Les renvois à des diapositives sont en référence au PPT présenté lors du CA et de la réunion des directeurs de composantes)

Plus en détail

PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. relatif au statut de la Banque de France et à l'activité et au contrôle des établissements de crédit.

PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT. relatif au statut de la Banque de France et à l'activité et au contrôle des établissements de crédit. PROJET DE LOI adopté le 2 juillet 1993 N 113 SENAT DEUXIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1992-1993 PROJET DE LOI MODIFIÉ PAR LE SÉNAT relatif au statut de la Banque de France et à l'activité et au contrôle

Plus en détail

Observation des modalités et performances d'accès à Internet

Observation des modalités et performances d'accès à Internet Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents

Plus en détail