RASSEMBLEMENT DES REPUBLICAINS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RASSEMBLEMENT DES REPUBLICAINS"

Transcription

1 RASSEMBLEMENT DES REPUBLICAINS Carburants : La Côte d Ivoire peut éviter l augmentation des prix UNE COMMISSION D ENQUETE EST NECESSAIRE Les prix des produits pétroliers distribués aux différents types de consommateurs (automobilistes, industriels, ménages ) font l objet de beaucoup de discours et de spéculations, depuis que le prix du baril de pétrole connaît une envolée spectaculaire sur le marché international. Il est important de noter que certains pays (c est le cas de la plupart des pays de l Afrique de l Ouest, dont la Côte d Ivoire), ont fait le choix de réguler le prix des produits finis (Super, Gasoil, Pétrole, Fuel ) sur leur marché local. Dans ces pays, le prix à la pompe et les revenus de chaque intervenant dans la chaîne de distribution (sociétés pétrolières, transporteurs, gérants de station service ) sont fixés par l Etat. Il est habituel de constater que les taxes fiscales et parafiscales représentent la partie la plus importante dans la structure des prix. Dans ce groupe de pays, certains font des ajustements relativement fréquents (chaque mois) des prix de vente, selon la variation des cours du baril sur le marché international. Cette pratique présente la caractéristique des répercussions automatiques (à la hausse ou à la baisse) de ces variations sur le prix à la pompe. D autres comme la Côte d Ivoire ont traditionnellement choisi un système d amortissement qui consiste à accumuler des réserves lorsque les cours du baril sont bas, de sorte à pouvoir maintenir les prix à la pompe lorsque les cours du baril remontent et cela, à la limite des fonds de stabilisation disponibles. Un tel système présente l avantage d éviter aux consommateurs des changements de prix trop fréquents, et permet aux opérateurs du secteur, une certaine stabilité et une certaine prévisibilité de leurs exploitations. La difficulté réside dans le manque de transparence dans la gestion "du fond de stabilisation", et donc l impossibilité de juger de la pertinence des augmentations de prix lorsque l état en décide. Dans d autres pays (en général en Europe, en Asie et aux Amériques ), les prix de vente aux consommateurs sont libres. Bien que l état fixe et prélève des taxes, les prix de vente sont régulés par le marché et par la compétition. La transparence et le respect par tous des standards et règles du marché font que lorsque le prix du baril monte ou baisse, un ajustement subséquent des prix de distribution des produits finis en aval se fait, sans qu il n y ait la moindre suspicion. Le point mailcommun à ces deux (02) modes de fonctionnement (environnement régulé ou libéralisé) réside dans les prélèvements étatiques sous forme de taxes diverses (Douane, TVA, autres prélèvements). Ces prélèvements dont le niveau est très élevé en Côte d Ivoire (44%), devraient constituer un levier de stabilisation des prix lorsque le «fonds» de réserve s épuise, par ajustement du niveau de prélèvements, au profit des populations et des entreprises. Page / 5 1

2 1) Le prélèvement étatique, payé par le consommateur : A titre de comparaison (voir tableau ci-dessous), la composante du prélèvement étatique sur le prix du litre que paie le consommateur, demeure l une des plus élevées en Afrique de l Ouest : Burkina-Faso Côte d Ivoire Ghana Mali Sénégal Achat+Transport 61% 44% 65% 78% 59% Prélèvement direct 28% 44% 26% 14% 34% Etat Distribution / Vente 11% 12% 9% 11% 7% Pour ce qui est de la Côte d Ivoire, en plus des prélèvements étatiques exorbitants (44% contre une moyenne de 30% dans la sous région), il existe d autres types de prélèvement tels que celui relatif au Stock de sécurité. La réduction du niveau de ces différents prélèvements aiderait à maintenir les prix actuels des hydrocarbures, le bon dimensionnement ou la suppression pure et simple d autres types de prélèvements (Stock de sécurité) y contribueront de façon plus significative. 2) La péréquation transport : En côte d Ivoire, ce système instauré depuis de nombreuses années (sous l ère du Président Houphouët Boigny) permet de maintenir le niveau du prix du carburant sur l ensemble du territoire national (que l on soit proche ou éloigné des dépôts pétroliers : Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Man, Odienné, Tengrela ). Pour ce faire, une dotation de 17,50 CFA (environ 2% du prix à la pompe) par litre de produit distribué est versée au fond de péréquation. Cependant, Les transporteurs sont eux, effectivement rémunérés sur la base d un barème établi selon la distance réelle entre le point de livraison et le dépôt pétrolier. La réalité des comptes montre que ce fond de péréquation est largement excédentaire depuis l an 2002, au regard des versements faits par les pétroliers et des paiements effectifs faits aux transporteurs. Les estimations indiquent qu environ 12,5 CFA devraient pouvoir équilibrer ce fond, là où 17,50 CFA sont demandés aux consommateurs. Où passent donc ces 5 FCFA d excédent au litre? Ceci amène à poser la problématique de la transparence de la gestion des fonds constitués. Une gestion équitable et transparente ne devrait-elle pas conduire : - soit à baisser de 5 FCA le prix à la pompe? - soit à augmenter la rémunération des transporteurs où celle des sociétés pétrolières? 3) Le prélèvement pour le stock de sécurité : Il est important de noter que dans le prix que paie le consommateur, 6 FCFA sont destinés à constituer un stock de sécurité, en cas de sinistre ou difficultés majeures dans l approvisionnement en produits finis par la SIR. Ce stock devrait en théorie représenter environ 3 mois de consommation de la Côte d Ivoire. Page / 5 2

3 Compte tenu des capacités de stockage de la GESTOCI ( m 3 ), ce stock devrait pouvoir se constituer en une seule année, et donc ces 6 FCFA additionnels devraient disparaître de la structure des prix. Or force est de reconnaître que le consommateur ivoirien paie ces 6 FCFA additionnels depuis près de 10 ans. Où passent ces 6 FCFA par litre, vu que ce stock de sécurité est déjà constitué depuis de longue date? De ces 2 derniers points, il ressort que le consommateur paie environ 11 FCFA plus cher le litre de carburant, qu il ne devrait payer en réalité, et ce depuis une dizaine d années. Depuis Septembre 2002, début de la crise armée, ce sont donc environ 45 milliards de FCFA (sur la base d environ 650 millions de litres distribués par an) de réserve qui devraient pouvoir aider à stabiliser les prix. 4) Observations : S il est vrai que le prix du baril augmente très significativement sur le marché international, plusieurs facteurs devraient conduire les pays comme la côte d ivoire à éviter une augmentation des prix des produits finis, ou tout au moins à minimiser sa tendance à la hausse. 4.1 Effet du Dollar : La hausse du prix du baril s accompagne de la baisse du Dollar ou vice-versa. De sorte qu en Franc constant (correction faite de la baisse du Dollar et de l inflation), la hausse réelle du cours du Baril se situe autours de 60% depuis la dernière augmentation en Niveau des prélèvements étatiques : Certes la baisse des prélèvements aura, dans une certaine mesure, un impact sur le budget de l Etat. Toutefois, il est important de réviser le niveau de prélèvement (44%) à la baisse en vue de protéger les populations ainsi que les entreprises, quitte à l Etat de réduire son train de vie, déjà trop insultant pour ces populations. 4.3 Péréquation transport: Toutes choses étant égales par ailleurs, la péréquation transport doit être ramenée de 17,50 à 12,50 CFA par litre, permettant ainsi un gain automatique de 5 FCFA sur le prix que paie le consommateur final. 4.4 Stock de sécurité: Ce stock ayant déjà été constitué depuis de longue date, ces 6 FCFA supplémentaires payés par les consommateurs n ont aucune raison d être. Ce prélèvement doit être immédiatement supprimé, permettant ainsi une baisse du prix à la pompe de ces 6 FCFA. 4.5 Mise en œuvre des excédents constitués depuis de longues années : Il est évident que jusqu en 2005, lorsque le prix du baril était relativement bas, la Côte d Ivoire a constitué d importants excédents, compte tenu du fait que le prix des produits pétroliers n a jamais connu de baisse (même lorsque le prix du baril baissait sur le marché international). Aujourd hui, l on est en droit de se poser des questions sur l utilisation faite de ces excédents. Depuis que la côte d Ivoire est coupée en deux (les points les plus éloignés du pays n étant donc plus désservis), le consommateur a payé un montant total d environ 45 Page / 5 3

4 milliards de CFA (excédent de péréquation+stock de sécurité), ce qui aurait pu être évité. Depuis 2002, cet excédent, s il n a pas été utilisé à d autres fins, devrait pouvoir aider à stabiliser les prix à leur niveau actuel sur plusieurs mois encore. CONCLUSION En effet nous pensons donc que la mise en œuvre de ces excédents, combinée à un ajustement adéquat des prélèvements peut conduire à une stabilisation des produits pétroliers à la pompe en vue d alléger la souffrance des populations et celle des entreprises fortement éprouvées depuis plus de dix (10) ans que dure la crise sociopolitique en Côte d Ivoire. Rappelons par ailleurs que notre pays est producteur et exportateur net de brut de pétrole ( bbl/j vendus sur le marché international au coût moyen de 140 dollars le bbl). Ce qui permet à l Etat, par l intermédiaire de la Petroci, d engranger d énormes ressources financières. L utilisation efficiente de ces ressources devrait mettre le consommateur ivoirien à l abri de toute augmentation du prix à la pompe. Il est donc inadmissible et inimaginable, dans cette situation d embellie financière du secteur pétrolier de notre pays, de soumettre la peuple ivoirien à une quelconque augmentation. Mieux, à l instar des autres pays, si l Etat ivoirien se contentait d un niveau moyen de prélèvement de 30% au lieu de 44%, le différentiel (14%), augmenté des 4% que représentent les gains sur la péréquation et le stock de sécurité, le niveau de prix moyen à la pompe serait plutôt minoré de 18% soit environ 100 frs en moins pour le gas-oil. A la lumière de ce qui précède, le prix du gas-oil serait donc de 445 frs au lieu de 545 frs/litre actuellement. Enfin, il nous paraît indiqué en cette période de flambée généralisée des prix, d interpeller le Gouvernement sur le cas spécifique du carburant dont chacun de nous sait, qu il est source d inflation à cause de son impact sur les prix des autres produits de consommation. A cet effet, une commission d enquête sur la production du pétrole et la distribution de ses produits dérivés en Côte d Ivoire serait la bienvenue pour élucider la question. Fait à Abidjan le 24 Juin 2008 Pour la Commission Technique Mine et Energie La Présidente Mme Touré Maférima Page / 5 4

5 Structure des prix en vigueur en Côte d Ivoire Super Sans Pétrole Plomb Gasoil Prix d'achat à la SIR 251, , ,333 Base Non Taxable 51, , ,333 Base Taxable 200, , ,000 TOTAL CORDON DOUANIER TTC 245,575 53, ,198 Total Cordon Douanier HT 177,606 14,777 59,490 TVA Sur Cordon Douanier 67,969 38,660 46,708 TOTAL DIVERS TTC 29,441 29,441 29,441 Total Divers HT 24,950 24,950 24,950 TVA Sur Divers 4,491 4,491 4,491 PRIX DE REVIENT Prix de revient HT 454, , ,773 Prix de revient TTC 526, , ,972 MARGE DISTRIBUTEUR Marge unitaire HT 58,924 41,597 48,879 Marge unitaire TTC 69,530 49,085 57,677 PRIX DE CESSION REVENDEUR Prix de cession revendeur HT 513, , ,652 Prix de cession revendeur TTC 596, , ,650 MARGE REVENDEUR Marge Unitaire HT 15,890 14,534 14,703 Marge Unitaire TTC 18,750 17,150 17,350 PRIX A LA POMPE Prix de Vente HT 529, , ,355 Prix de Vente FCFA TTC / litre 615, , ,000 * Dans ce que paie le consommateur pour le Super : - 44,1% vont directement dans les caisses de l état - 41,1% vont à la SIR (par ailleurs société d état) - 9,6% vont à la Société Pétrolière qui dispose de la station service - 2,6% vont au gérant de la station service - 2,7% vont au transporteur (propriétaire de camion citerne) * Dans ce que paie le consommateur pour le Gasoil : - 23,8% vont directement dans les caisses de l état - 61,3 % vont à la SIR (par ailleurs société d état) - 9,0% vont à la Société Pétrolière qui dispose de la station service - 2,7% vont au gérant de la station service - 3,2% vont au transporteur (propriétaire de camion citerne) Page / 5 5

Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI

Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL UNCTAD RECORD APPROVISIONNEMENT ET DISTRIBUTION DES PRODUITS PETROLIERS AU MALI Email : onapmali@afribone.net.ml Site Web : www.onapmali.co napmali.com Ministère de l Economie, de l Industrie et du Commerce ******** Office National des Produits Pétroliers ******** NOT AN OFFICIAL

Plus en détail

ANNEXES 207 LISTE 208 Politiques ANNEXES 209 ETAT 210 Politiques de réduction des coûts du camionnage en Afrique sub-saharienne FICHE VEHICULE TYPE PE VEHICULE! NOMBRE ANNEXES 211 PRIX ET TAXATION DES

Plus en détail

Examen décembre 1994

Examen décembre 1994 Examen décembre 1994 QUESTION REDIGEE Temps conseillé: 2 heure 30 minutes noté sur 100 points ENONCE: FRANCOTRANS SA, entreprise de transport public de marchandises, ayant l usage de 15 ensembles identiques

Plus en détail

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1

Évolution du budget automobile des ménages français depuis 1990 1 N 14 Avril 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Évolution du budget automobile des ménages

Plus en détail

MINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE

MINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE MINISTERE DES MINES ET DE L ENERGIE LES CARBURANTS (AUTOMOBILES) EN CÔTE D IVOIRE Présenté par GNAMBA A. Claude Sous-directeur de l Approvisionnement et du Raffinage Direction Générale des Hydrocarbures

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente?

Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Quelles sont les principales formules utiles pour l étude de cas de vente? Approvisionnement et gestion des stocks : des quantités vendues dans un Du stock initial, final et des livraisons, des commandes

Plus en détail

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux»)

Exercices & cours de Gestion en vidéo - BTS MUC. Liste des formules. (Consultez également «Liste des tableaux») Liste des formules (Consultez également «Liste des tableaux») Table des matières LES CALCULS COMMERCIAUX... 4 Le coefficient multiplicateur... 4 Montant de TVA... 4 TVA collectée... 4 TVA déductible...

Plus en détail

www.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.

www.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère

Plus en détail

Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014

Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE. Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Profils-pays de la fiscalité des produits du tabac dans la CEDEAO : SYNTHÈSE RÉGIONALE Abidjan, Côte d Ivoire, 12 Février 2014 Objectifs et Enjeux Objectifs Décrire et analyser les fondements, la pratique

Plus en détail

PRODUITS D EXPLOITATION

PRODUITS D EXPLOITATION RESULTATS FINANCIERS Les principaux résultats financiers de l exercice 2012 ont enregistré une nette augmentation par rapport à l année 2011 due essentiellement à la hausse du prix de vente moyen du brut

Plus en détail

Sommaire. BilanStat manuel de présentation et d utilisation Page 2

Sommaire. BilanStat manuel de présentation et d utilisation Page 2 BilanStat-Audit Sommaire Présentation... 3 Chapitre 0 : Gestion des bases de données... 5 Chapitre 0 : Gestion des missions... 12 Chapitre 1 : Eléments généraux... 17 Chapitre 2 : Capitaux propres... 28

Plus en détail

Argumentaires Contre

Argumentaires Contre Parlamentsdienste Services du Parlement Servizi 13.095 del Parlamento Servetschs dal parlament Argumentaires Contre Remplacer la taxe sur la valeur ajoutée par une taxe sur l énergie. Initiative populaire

Plus en détail

Rencontres Gouvernement Secteur Privé 2013 Actualité Juridique 2012-2013

Rencontres Gouvernement Secteur Privé 2013 Actualité Juridique 2012-2013 Présenté par : Pierre ABADIE Auteur d ouvrages juridiques Expert comptable Conseil juridique pierre@abadie.bf 1 Impôt sur les sociétés (IS) : suppression de la limite de déductibilité des rémunérations

Plus en détail

La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises?

La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises? La consolidation de l industrie aérienne entraîne-t-elle une hausse des prix pour les entreprises? L industrie du transport aérien est connue pour la volatilité du prix des billets. Ce phénomène peut rendre

Plus en détail

Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009

Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Les Flux Financiers Illicites et la Question des Transferts nets de Ressources en Provenance de l Afrique, 1980-2009 Rapport Conjoint Banque Africaine de Développement ET Global Financial Integrity Mai

Plus en détail

Initiation à la Comptabilité

Initiation à la Comptabilité Bertrand LEMAIRE http://www.bertrandlemaire.com Initiation à la Comptabilité Document sous licence Creative Commons L auteur autorise l impression et l utilisation gratuites de ce document dans un cadre

Plus en détail

méthodologiquem Quelques précautions

méthodologiquem Quelques précautions Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts

Plus en détail

LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011

LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011 LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE DE FINANCEMENT

DOSSIER DE DEMANDE DE FINANCEMENT Nom Prénom : Activité : Ecrivez dans les cases grises DOSSIER DE DEMANDE DE FINANCEMENT LA DEMANDE Prêt NACRE : Quel Montant? Quelle durée? Affectation? Prêt d honneur : Quel Montant? Quelle durée? Quel

Plus en détail

réforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14

réforme fiscalité indirecte de la Avant-projet Avril 06 1/14 réforme La fiscalité de la indirecte Avant-projet Avril 06 1/14 LA RÉFORME DE LA FISCALITÉ INDIRECTE I. UNE FISCALITÉ INDIRECTE A BOUT DE SOUFFLE 1.1. Le constat : une fiscalité archaïque et inadaptée

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL Exercice 2006

RAPPORT ANNUEL Exercice 2006 RAPPORT ANNUEL Exercice 2006 1 MESSAGE DE LA PRESIDENTE Chers Membres, Honorables délégués régionaux, Ce jour marque la tenue de la 13 ème Assemblée Générale de notre Mutuelle d Epargne et de Crédit depuis

Plus en détail

Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA

Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Fiscalité des médicaments, consommables et équipements médicaux dans les pays membres de l UEMOA Dr Amadou Moctar MBAYE & Gérard FOULON Direction santé - Département du Développement Social 2ème Colloque

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE

TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE TERMES DE REFERENCE DE L AUDIT DU PROGRAMME DE VENTES ANTICIPEES A LA MOYENNE 1. CONTEXTE ET JUSTIFICATION Depuis la campagne 2012-2013, l Etat de Côte d Ivoire a engagé une réforme de la filière café-cacao

Plus en détail

LES OPÉRATIONS EXCEPTIONNELLES

LES OPÉRATIONS EXCEPTIONNELLES LES OPÉRATIONS EXCEPTIONNELLES I. Les achats d immobilisations Les immobilisations sont des biens matériels et immatériels qui sont achetés par l entreprise afin de servir de façon durable à son exploitation

Plus en détail

Diane KOUADIO-N ZI, Architecte Organique ( CNTIG) 19 novembre 2014

Diane KOUADIO-N ZI, Architecte Organique ( CNTIG) 19 novembre 2014 Diane KOUADIO-N ZI, Architecte Organique ( CNTIG) 19 novembre 2014 CNTIG Rue des Jasmins. lot N 10 bis, Cocody Danga BP V 324 Abidjan - COTE D'IVOIRE Tél.: (225) 22 48 30 30 Fax: (225) 22 44 20 84 www.cntig.net

Plus en détail

AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts

AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3 Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts 1 PLAN DE LA LEÇON : 1.De la comptabilité générale à la comptabilité

Plus en détail

L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU)

L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU) L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU) Audit l Conseil l Contentieux l Opérateur Economique Agréé l Dédouanement l Régimes douaniers l Accises l Exportateur Agréé l Entrepôt

Plus en détail

Evolution de la fiscalité des carburants

Evolution de la fiscalité des carburants Evolution de la fiscalité des carburants Comité pour la fiscalité écologique 16 mai 2013 Scénarios étudiés Scénario 1 : alignement complet de la TICPE gazole sur le super (18 c /l) sur 9 ans (2 c /l/an),

Plus en détail

ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR

ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR BANQUE CENTRALE DES ETATS DE L AFRIQUE DE L OUEST (BCEAO) Avenue Abdoulaye FADIGA BP 3108 Dakar - Sénégal ETUDE SUR LA FISCALITÉ SUPPORTÉE PAR LES SYSTÈMES FINANCIERS DÉCENTRALISÉS DE L UEMOA RAPPORT DE

Plus en détail

672ZA Auxiliaires d'assurances

672ZA Auxiliaires d'assurances STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,

Plus en détail

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES

TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =

Plus en détail

Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse

Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse Nanterre, le 24 juillet 2015 Faurecia : un premier semestre 2015 en très forte progression ; guidance annuelle révisée à la hausse Chiffre d affaires total en hausse de 12,6% à 10,51 milliards d euros

Plus en détail

Marco Wagener. Prix de l énergie et impôts indirects. Dialogue social

Marco Wagener. Prix de l énergie et impôts indirects. Dialogue social Marco Wagener Prix de l énergie et impôts indirects Dialogue social N 1/ 2009 Marco Wagener est conseiller économique à la Chambre des salariés. Il est détenteur d une maîtrise en sciences économiques

Plus en détail

COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE

COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.

Plus en détail

Première partie : Les travaux d inventaire. Fiches Mr Cisternino : Les travaux d inventaire 1 / 24

Première partie : Les travaux d inventaire. Fiches Mr Cisternino : Les travaux d inventaire 1 / 24 Première partie : Les travaux d inventaire Fiches Mr Cisternino : Les travaux d inventaire 1 / 24 Premier dossier : Les activités liées aux immobilisations et à leurs amortissements Chapitre 1 : Les travaux

Plus en détail

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq

Plus en détail

Juriste d'entreprise

Juriste d'entreprise Service des formations professionnalisées Licence Juriste d'entreprise UE4 Fiscal des affaires (Cours de M. Lamailloux) 23 mars 2015 9h à 12h -------------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière

Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Carrefour : Résultats annuels 2012 Hausse du chiffre d affaires et du résultat net part du Groupe Renforcement de la structure financière Chiffres clés 2012 Croissance des ventes du Groupe : +0,9% à 76,8

Plus en détail

Exercices en comptabilité générale

Exercices en comptabilité générale Exercices en comptabilité générale Exercice 1 : Cas Eval : immobilisation acquise par voie d échange Au mois de mars, le président d Eval a déjeuné avec le dirigeant de la société Moineau, entreprise voisine

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

Exposé d étude : Sage 100 gestion commerciale

Exposé d étude : Sage 100 gestion commerciale Exposé d étude : Sage 100 gestion commerciale Présenté par : Demb Cheickysoul 1 INTRODUCTION Parfaitement adapté à l organisation de l entreprise par sa puissance de paramétrage, Sage 100 Gestion Commerciale

Plus en détail

Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara

Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Discours d ouverture de Sem Alassane Ouattara Monsieur Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre de la République de Côte d Ivoire, Madame Hélène Conway, Ministre des Français de l Etranger de la République

Plus en détail

Stockage et distribution de Liquides inflammables

Stockage et distribution de Liquides inflammables Contrôles périodiques des installations soumises à DC Stockage et distribution de Liquides inflammables 2009 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire a été établie à partir des textes réglementaires

Plus en détail

GE Capital. Principaux faits nouveaux. Perspectives sectorielles. Survol des tendances de l industrie : Automobile

GE Capital. Principaux faits nouveaux. Perspectives sectorielles. Survol des tendances de l industrie : Automobile Principal indicateur de la rentabilité du secteur Survol des tendances de l industrie : Automobile Principaux faits nouveaux En février, les ventes de véhicules légers au Canada ont été fortes, soit 18

Plus en détail

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE 600 550 500 450 400 350 300 En euros constants indice base 100 en 1973 PRIX DES ÉNERGIES Prix du pétrole

Plus en détail

Population : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)

Population : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013) Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle

Plus en détail

Les achats et les ventes

Les achats et les ventes La réalisation de l'objet de toute entreprise passe par les opérations d'achats et de ventes. Section 1. Généralités Sous-section 1. Définitions Les achats : Au sens comptable, les achats représentent

Plus en détail

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS

ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS ÉTATS FINANCIERS CONSOLIDÉS PERIODE DU 1 ER AVRIL AU 31 DECEMBRE 2004-1 - COMPTE DE RÉSULTAT CONSOLIDÉ Période du 1 er avril au 31 décembre 2004 2003 2003 Exercice clos le Notes Pro forma 31 mars 2004

Plus en détail

L assurance française : le bilan de l année 2012

L assurance française : le bilan de l année 2012 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 L assurance française : le bilan de l année 2012 1 2 L environnement économique et financier : accalmie et incertitude Le bilan d activité : résistance

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

COMPTE RENDU Conseil Municipal Du 11 Octobre 2010 à 18 heures

COMPTE RENDU Conseil Municipal Du 11 Octobre 2010 à 18 heures COMPTE RENDU Conseil Municipal Du Octobre 200 à 8 heures Présents : DURAND, SALTET, PATRINOS, GRELLIER, THION, CRISTIANI, ABRIC, BLANC, MARTIN, ISZEZUK Absents excuses : CABRILLAC (procuration à SALTET),

Plus en détail

Actions et fiscalité :

Actions et fiscalité : Actions et fiscalité : nous vous guidons dans votre déclaration de revenus Paris, Espace Actionnaires 15/04/2014 l Webconférence En cas de difficultés techniques, n hésitez pas à joindre l un des 2 numéros

Plus en détail

Les pièges de la TVA intracommunautaire

Les pièges de la TVA intracommunautaire Les pièges de la TVA intracommunautaire Ordre des Experts-comptables Paris Ile de France Commission Europe 28 novembre 2006 Olivier BOURDEAU Avocat à la Cour Hervé KRUGER Expert-comptable PRESENTATION

Plus en détail

Prix et marges dans la distribution des carburants

Prix et marges dans la distribution des carburants Prix et marges dans la distribution des carburants Rapport d étape au Ministre de l Économie et des Finances (24 août 2012) Anne BOLLIET Inspectrice générale des Finances Boris RAVIGNON Inspecteur des

Plus en détail

Communiqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012.

Communiqué de presse. Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014. Pour le semestre clos au 31 mars 2012. Communiqué de presse Lille, le 29 juin 2012 Tereos Europe 500 000 000 d emprunt obligataire à 6 3/8 % dus à 2014 Pour le semestre clos au 31 mars 2012. L Entreprise organise une conférence téléphonique

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES APPLICABLES AUX PRINCIPALES OPERATIONS DE BGFIBank CONGO

CONDITIONS GENERALES APPLICABLES AUX PRINCIPALES OPERATIONS DE BGFIBank CONGO CONDITIONS GENERALES APPLICABLES AUX PRINCIPALES OPERATIONS DE BGFIBank CONGO Ce document présente les principaux tarifs standards de nos produits et services. Il annule et remplace le document d Avril

Plus en détail

Elaboration et Suivi des Budgets

Elaboration et Suivi des Budgets Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire

Plus en détail

DOSSIER DE CANDIDATURE PARTIE A : PRESENTATION DU PROJET ET DU(ES) CREATEUR(S)

DOSSIER DE CANDIDATURE PARTIE A : PRESENTATION DU PROJET ET DU(ES) CREATEUR(S) DOSSIER DE CANDIDATURE PARTIE A : PRESENTATION DU PROJET ET DU(ES) CREATEUR(S) Entreprise/Projet Nom CA Année 1 CA Année 2 CA Année 3 Effectif Année 1 Effectif Année 2 Effectif Année 3 Secteur d activité

Plus en détail

CONDITIONS GENERALES APPLICABLES AUX PRINCIPALES OPERATIONS DE BGFIBank CONGO

CONDITIONS GENERALES APPLICABLES AUX PRINCIPALES OPERATIONS DE BGFIBank CONGO CONDITIONS GENERALES APPLICABLES AUX PRINCIPALES OPERATIONS DE BGFIBank CONGO Ce document présente les principaux tarifs standards de nos produits et services applicables en l absence d un accord particulier

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17

TABLE DES MATIÈRES. I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 Histoire, définition et rôle de la comptabilité... 17 I. La comptabilité : une invention ancienne toujours en évolution... 17 A. Les origines antiques de la comptabilité...

Plus en détail

SCPI Fructipierre EN BREF

SCPI Fructipierre EN BREF SCPI Fructipierre Investissez indirectement dans l immobilier d entreprise et diversifiez votre patrimoine EN BREF FRUCTIPIERRE est une SCPI de taille importante détenant des actifs immobiliers représentant

Plus en détail

Efficience énergétique et électricité solaire

Efficience énergétique et électricité solaire Efficience énergétique et électricité solaire Pictet-Clean Energy investit dans des entreprises innovantes Juin 2015 Désormais compétitive, la production d énergie solaire croît fortement. Face au réchauffement

Plus en détail

CARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN :

CARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN : Niamey, le Affaire suivie par : Kamayé Amadou CARACTERISTIQUES DU SYSTEME FISCAL NIGERIEN : Le système fiscal nigérien est fondamentalement déclaratif. Il est constitué d impôts de diverses natures que

Plus en détail

QUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE

QUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE QUATRIEME SESSION PLENIERE DE LA PLATEFORME DE PARTENARIAT PUBLIC-PARTENARIAT 30 mars - 1 er avril 2015 ESPACE LATRILLE EVENTS, ABIDJAN RAPPORT DE SYNTHESE DE LA SESSION PLENIERE La 4 ème session plénière

Plus en détail

GTT annonce un excellent premier semestre 2014 avec un résultat net en hausse de 18 % Confirmation des objectifs 2014

GTT annonce un excellent premier semestre 2014 avec un résultat net en hausse de 18 % Confirmation des objectifs 2014 GTT annonce un excellent premier semestre 2014 avec un résultat net en hausse de 18 % Confirmation des objectifs 2014 Forte croissance du chiffre d affaires semestriel qui reflète les prises de commandes

Plus en détail

WILOG ERP Terroir. Gestion commerciale. Solution Cloud Solution Réseau Solution Monoposte. 136 boulevard de Finlande - 54340 Pompey - France

WILOG ERP Terroir. Gestion commerciale. Solution Cloud Solution Réseau Solution Monoposte. 136 boulevard de Finlande - 54340 Pompey - France Wilog ERP Terroir v1.2 25 Février 2014 WILOG ERP Terroir Gestion commerciale Solution Cloud Solution Réseau Solution Monoposte 136 boulevard de Finlande - 54340 Pompey - France Téléphone : +33 (0)3 83

Plus en détail

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?

Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de

Plus en détail

Dérivés Financiers Contrats à terme

Dérivés Financiers Contrats à terme Dérivés Financiers Contrats à terme Mécanique des marchés à terme 1) Supposons que vous prenez une position courte sur un contrat à terme, pour vendre de l argent en juillet à 10,20 par once, sur le New

Plus en détail

Pérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion

Pérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique

Plus en détail

MOOBLES Groupe CIOA - Le Nobel Avenue de l Université 83 160 La Valette-du-Var France Tel : 04 94 14 12 40 Fax : 04 94 14 12 41

MOOBLES Groupe CIOA - Le Nobel Avenue de l Université 83 160 La Valette-du-Var France Tel : 04 94 14 12 40 Fax : 04 94 14 12 41 Notre objectif : Diminuer vos prix d achats Accédez au commerce international et devenez plus compétitifs Comment? L'analyse du marché du meuble en 2008 montre que les grandes enseignes se partagent le

Plus en détail

PREPARATION DES COMPTES ANNUELS. Contrôler et justifier le solde des comptes suivants :

PREPARATION DES COMPTES ANNUELS. Contrôler et justifier le solde des comptes suivants : 1 http://www.boutique.afnor.org/livre/la-comptabilite-en-pratique-des-ecritures-comptables-a-l-interpretation-des-comptes-annuels/article/674901/fa092236 PREPARATION DES COMPTES ANNUELS Contrôler et justifier

Plus en détail

Appel à concurrence dans le cadre d une procédure adaptée N 65. Fourniture d azote liquide et de matériels de transport et de stockage d azote liquide

Appel à concurrence dans le cadre d une procédure adaptée N 65. Fourniture d azote liquide et de matériels de transport et de stockage d azote liquide Appel à concurrence dans le cadre d une procédure N 65 Fourniture d azote et de matériels de transport et de stockage d azote Année 2010 N 65 Page : 2/12 S O M M A I R E 1. L objet de l appel à concurrence...

Plus en détail

Note commune N 3 / 2014

Note commune N 3 / 2014 REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DES FINANCES DIRECTION GENERALE DES ETUDES ET DE LA LEGISLATION FISCALES Note commune N 3 / 2014 Objet : Commentaire des dispositions de l article 77 de la loi n 2013-54

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

allianceautopropane.com

allianceautopropane.com allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente

Plus en détail

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et

Plus en détail

LE 16 FÉVRIER 2015 Mémoire présenté au Conseil d experts sur les contributions d assurance automobile dans le cadre de la consultation publique

LE 16 FÉVRIER 2015 Mémoire présenté au Conseil d experts sur les contributions d assurance automobile dans le cadre de la consultation publique LE 16 FÉVRIER 2015 Mémoire présenté au Conseil d experts sur les contributions d assurance automobile dans le cadre de la consultation publique sur les contributions d assurances automobiles PAR LE TABLE

Plus en détail

SERVICE D OPTIMISATION POUR LA LOGISTIQUE EXPRESS DE BOUTEILLES DE VINS

SERVICE D OPTIMISATION POUR LA LOGISTIQUE EXPRESS DE BOUTEILLES DE VINS SERVICE D OPTIMISATION POUR LA LOGISTIQUE EXPRESS DE BOUTEILLES DE VINS - ZONE 1 : USA et CANADA ZONE 2 : ASIE et AFRIQUE DU SUD (Hong-Kong, Singapour, Taïwan, Japon, Corée du Sud) www.exposeo.fr Rubrique

Plus en détail

Une implantation nationale Grâce à un réseau de 3 agences (Caen, Tours, Lyon), vous bénéficiez ou conservez un interlocuteur de proximité.

Une implantation nationale Grâce à un réseau de 3 agences (Caen, Tours, Lyon), vous bénéficiez ou conservez un interlocuteur de proximité. Logiciel de Gestion DL NÉGOCE Le spécialiste du Négoce Une expérience de plus 20 ans DL NÉGOCE, forte d une expérience de plus de 20 ans (issue des sociétés historiques du groupe), a conçu et développé

Plus en détail

FORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA

FORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA FORMULES DE CALCUL Le prix : Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA Ex : PV TTC = 250 x 1,196 = 299. TVA = 250 x 19,6 % = 49. PV HT = 299 = 250.

Plus en détail

Analyse Financière Les ratios

Analyse Financière Les ratios Analyse Financière Les ratios Présenté par ACSBE Traduit de l anglais par André Chamberland andre.cham@sympatico.ca L analyse financière Les grandes lignes Qu est-ce que l analyse financière? Que peuvent

Plus en détail

GHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le

GHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La

Plus en détail

T.D. N 1. 2 : Déterminer les deux côtés du cours de USD/EUR pour une marge sur le cours d équilibre, de : 21 : 4%; 22 : 320 points.

T.D. N 1. 2 : Déterminer les deux côtés du cours de USD/EUR pour une marge sur le cours d équilibre, de : 21 : 4%; 22 : 320 points. UNIVERSITE FELIX HOUPHOUET-BOIGNY D ABIDJAN ANNEE UNIVERSITAIRE T.D. N 1 EXERCICE 1 : Lors d une séance de cotation au fixing, une salle des marchés a enregistré les ordres d achat et de vente suivants

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC

Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Développement du numérique LA REMUNERATION POUR COPIE PRIVEE POSITION DE LA FIEEC Novembre 2012 La FIEEC est une Fédération de l'industrie qui rassemble 29 syndicats professionnels dans les secteurs de

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO).

La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). La situation générale des opérations de transport sur les corridors de la Communauté Economique Des Etats de l Afrique de l Ouest (CEDEAO). La CEDEAO La CEDEAO est un sous groupement qui avait en son sein

Plus en détail

Rapport sur. Le système de compensation au Maroc. Diagnostic et propositions de réforme

Rapport sur. Le système de compensation au Maroc. Diagnostic et propositions de réforme Rapport sur Le système de compensation au Maroc Diagnostic et propositions de réforme Janvier 2014 Royaume du Maroc Cour des comptes Rapport sur Le système de compensation au Maroc Diagnostic et propositions

Plus en détail

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014

Rapport financier du premier trimestre de 2013-2014 Rapport financier du premier trimestre de -2014 Pour la période terminée le Financement agricole Canada Financement agricole Canada (FAC), dont le siège social se trouve à Regina, en Saskatchewan, est

Plus en détail

MANUEL DE PROCEDURES DES DOUANES SOUS-MANUEL 7 : LE DEDOUANEMENT DES VEHICULES

MANUEL DE PROCEDURES DES DOUANES SOUS-MANUEL 7 : LE DEDOUANEMENT DES VEHICULES SOUS - MANUEL 7 : LE DEDOUANEMENT DES VEHICULES Sénégalaise de Conseil Septembre 2003-111 GENERALITES I. INTERVENANTS OU ACTEURS II. PRESENTATION DU CALCUL DES DROITS ET TAXES ET DE LA DETERMINATION DES

Plus en détail

GStock 2.00.0. La gestion commerciale, stock et facturation qui vous correspond. Les apports de GStock 2.00.0 pour votre entreprise :

GStock 2.00.0. La gestion commerciale, stock et facturation qui vous correspond. Les apports de GStock 2.00.0 pour votre entreprise : GStock 2.00.0 La gestion commerciale, stock et facturation qui vous correspond GStock 2.00.0 se veut résolument simple et complet, pour s adapter facilement à votre métier, en maintenant votre inventaire

Plus en détail

HOTEL IBIS VENDREDI 24 JANVIER 2014 AUDITEC- FOIRIER CONSULTING SA. Membre BKR INTERNATIONAL

HOTEL IBIS VENDREDI 24 JANVIER 2014 AUDITEC- FOIRIER CONSULTING SA. Membre BKR INTERNATIONAL HOTEL IBIS VENDREDI 24 JANVIER 2014 AUDITEC- FOIRIER CONSULTING SA Membre BKR INTERNATIONAL Introduction Contexte Objectifs Présentation de la loi N 2013/017 du 16 décembre 2013 portant loi de finances

Plus en détail

L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal

L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l

Plus en détail

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech

Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à

Plus en détail

SOFI Gestion+ Version 5.4. Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements. SOFI Informatique. Actualisé le 10.09.

SOFI Gestion+ Version 5.4. Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements. SOFI Informatique. Actualisé le 10.09. SOFI Gestion+ SOFI Informatique Version 5.4 Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements Actualisé le 10.09.2004 Table des matières 1. Catalogue et tarifs... 4 1.1 Définition EDI...

Plus en détail