eau service Le calcaire Les cahiers vers une solution de décarbonatation collective p. 2 Le calcaire : une fatalité? la situation et les enjeux
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- Jean-Louis Ledoux
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1 Les cahiers supplément technique du magazine eau service N 7 / Novembre 2010 eau service Le calcaire vers une solution de décarbonatation collective p. 2 Le calcaire : une fatalité? la situation et les enjeux p. 3 comment choisir La technique La mieux adaptée? état des lieux p. 4-7 quelle technique dans quel contexte? quatre techniques possibles p.8 questions-réponses
2 2 Le contexte le calcaire : une Fatalité? Considéré comme une fatalité, il y a encore une décennie, le calcaire dans l eau du robinet est désormais source d insatisfaction des ménages. Une solution collective permet de distribuer aux habitants une eau moins calcaire à un prix «optimisé». 1. La situation La dureté d une eau est fonction des quantités de calcium et de magnésium qu elle contient. Le calcaire, carbonate de calcium, précipite sous forme de tartre sous certaines conditions. Il peut provoquer des inconvénients dans les canalisations publiques comme privées en réduisant les diamètres de passage de l eau, en bloquant les robinets et en limitant la durée de vie des appareils électroménagers. Une eau dure laisse aussi des traces blanches (dépôts de tartre) sur la vaisselle, sur le carrelage et sur les pare-douches en verre. Tous ces désagréments sont à l origine d un mécontentement des usagers. La lutte anticalcaire individuelle est coûteuse. Pour un foyer de 4 personnes, elle peut aller, par an, de pour des produits anticalcaires, souvent nuisibles pour l environnement, à pour un adoucisseur. En l absence d adoucisseur individuel, au-delà des coûts visibles liés à la surconsommation d énergie et au vieillissement prématuré des appareils ménagers, d autres coûts cachés potentiels peuvent aller de 125 à 170 par an. Les consommateurs seraient prêts à dépenser,en moyenne, jusqu à 4 par mois en plus sur leur facture d eau pour avoir une eau moins entartrante. * 2. des chiffres 83 % 75 % des consommateurs d eau dure sont insatisfaits de la présence de calcaire dans l eau du robinet. * des consommateurs d eau dure déclarent lutter contre le calcaire le considérant comme une mauvaise chose. * À titre d exemple** : 1 mm d épaisseur de tartre = kwh/an soit + 25 /an 3 mm d épaisseur de tartre = kwh/an soit + 70 /an. 3. Les enjeux Ayant tous un aspect économique, les enjeux d une décarbonatation collective sont au nombre de trois : social : pour permettre à tous les consommateurs de bénéficier, à un coût acceptable, d une eau moins entartrante et agréable à boire. environnemental : grâce à une eau adoucie, les rejets de nutriments potentiels dans les milieux naturels sont diminués (réduction de la consommation de produits anticalcaire à base de phosphates et de détergents), des surconsommations d énergie et des renouvellements de canalisations prématurés peuvent être évités ; technique : par un traitement ciblé en fonction des spécificités de chaque collectivité. * Enquête menée par le CSA auprès de 700 personnes dont 400 personnes, habitant le nord de la France, alimentées par une eau très dure (TH > 40 F) et 300 personnes, réparties sur la France entière, alimentées par une eau plus douce (TH entre 15 et 20 F). ** Source : fabricants et revendeurs d appareils électroménagers.
3 3 état des lieux Pour choisir la technique la mieux adaptée au contexte, le diagnostic technique préalable est un passage essentiel. 1. diagnostic L état des lieux doit prendre en compte les différents éléments suivants : les enquêtes de satisfaction clients, la qualité de l eau à traiter et les objectifs de réduction de dureté à atteindre : 5 bilans qualité complets de la ressource (type contrôle sanitaire), les volumes d eau à traiter, les contraintes du site : accès, évacuation au réseau d assainissement, l historique des incidents du réseau de distribution : nature des branchements, motifs des plaintes, pression Lors de ce diagnostic, pour qualifier le pouvoir entartrant des eaux brutes et des mêmes eaux décarbonatées simulées à différents seuils de dureté TH, des tests peuvent être menés : tests d électrodéposition par chronoampérométrie ; tests de Précipitation Contrôlée Rapide ou PCR. Ces tests permettent de définir le niveau optimum de décarbonatation à mettre en œuvre. À savoir Le calcaire est exprimé en Titre Hydrotimétrique (TH) et se mesure en degré français. L eau est plus ou moins dure en fonction de la zone de captage et varie selon les régions. En France, on distingue 4 catégories de dureté. CARTE DE LA DURETÉ DE L EAU EN FRANCE* TH*<15 F = faible 15 F<TH<25 F = moyenne 25 F<TH<35 F = élevée TH> 35 F = très élevée * 2. La décarbonatation La décarbonatation consiste à réduire la teneur en calcium (Ca) et/ou en magnésium (Mg) par précipitation des carbonates ou par principe d échange d ions pour réduire les effets du calcaire, aussi appelé tartre. 3. des techniques adaptées À l issue du diagnostic, 4 procédés de traitement peuvent être proposés pour s adapter au mieux au contexte local : décarbonatation en décanteur à recirculation des boues, décarbonatation catalytique en réacteur fluidisé, décarbonatation électrique, adoucissement par résines échangeuses d ions. En fonction des résultats du diagnostic, le meilleur procédé est proposé en prenant en compte les aspects techniques et environnementaux. L étude de l empreinte environnementale et du procédé de décarbonatation préconisé comparé à un adoucisseur individuel est aussi prise en compte. Les 4 procédés ont fait l objet de réalisations dans différentes collectivités qui peuvent être visitées. DES TECHNIQUES ADAPTÉES AUX BESOINS DES COLLECTIVITÉS m3/h m3/h > 300 m3 /h Décarbonatation en décanteur à recirculation de boues + filtration + traitement des boues Décarbonatation catalytique + filtration Décarbonatation électrique Adoucissement par résines échangeuses d ions * TH : Titre Hydrotimétrique mesuré en degré français.
4 4 Les techniques décarbonatation en décanteur À recirculation de boues Cette technique permet de précipiter le calcaire, à l aide d un réactif, pour le faire ensuite décanter. 1. La technique Il s agit de précipiter le calcaire à l aide d un réactif (chaux ou soude) introduit en amont d un réacteur décanteur. En augmentant le ph de l eau avec le réactif, le calcaire se forme et décante au fond de l ouvrage. L eau claire est alors récupérée en partie supérieure pour être filtrée. Un décanteur est donc toujours associé à une filtration. Les boues décantent et sont recirculées pour optimiser la réaction de précipitation du carbonate de calcium. La quantité de chaux ou de soude utilisée est déterminée en fonction de l objectif fixé de dureté de l eau. Ce procédé est destiné aux installations supérieures à 100 m 3 /h. COAGULANT CHAUX OU SOUDE POLYMÈRE DÉCANTATION À RECIRCULATION DE BOUES EAUX LAVAGE FILTRES ACIDE DÉSHYDRATATION DE BOUES FILTRATION 2. avantage La décarbonatation en décanteur à recirculation de boues est un traitement complet qui permet de traiter des eaux présentant également d autres problèmes de qualité (turbidité en cas de pluies, fer, manganèse, matières organiques, métaux). Ce procédé accepte des arrêts de fonctionnement sous réserve de précautions d exploitation. 3. valorisation des déchets Le carbonate de calcium, produit par précipitation, se présente sous la forme de boues liquides. Pour réduire la quantité de boues transportées, elles doivent être déshydratées. Une fois déshydratées, les boues peuvent être directement valorisées en agriculture en tant qu amendement calcique. Elles peuvent également être compostées avec des boues organiques de stations d épuration pour fournir un compost complet spécifique. EXEMPLES Site Nb Volume Dureté de la Dureté d habitants annuel ressource ( F) finale ( F) produits (m 3 /an) Cassan (95) Yutz (57)
5 5 décarbonatation catalytique en réacteur Fluidisé Ce procédé permet l élimination du calcaire sous forme de billes de carbonate de calcium. 1. La technique GYraZur Cette technique permet, par l ajout d un réactif (chaux ou soude), la précipitation du carbonate de calcium sous forme de billes autour des germes de silice (sable) introduits dans le réacteur. L eau décarbonatée doit ensuite être filtrée pour garantir la qualité de l eau produite. Ce procédé est destiné aux installations supérieures à 100 m 3 /h. CHAUX OU SOUDE RÉACTEUR CATALYTIQUE ACIDE FILTRATION TRAITEMENT EAUX DE LAVAGE DES FILTRES (épaississementdéshydratationévacuation/ revalorisation) STOCKAGE DES BILLES (rejets) 2. avantage Ce procédé s applique soit en affinage aux eaux de surface préalablement traitées soit sur des eaux souterraines peu turbides. Il est généralement adapté à un fonctionnement en continu et nécessite donc la mise en place de variateurs de vitesse sur les pompes d alimentation. 3. valorisation des déchets Les billes sont extraites régulièrement par le fond du réacteur sans interrompre le système. Elles sont directement transportables n ayant pas besoin d être déshydratées. Différentes valorisations ont été expérimentées comme, par exemple, en co-produit de remblais routiers. EXEMPLES Site Nb Volume Dureté de la Dureté d habitants annuel ressource ( F) finale ( F) produits (m 3 /an) Villeneuve la-garenne (92) Lille (59)
6 6 Les techniques décarbonatation électrique La décarbonatation électrique réduit la dureté de l eau. 1. La technique L eau est introduite dans une cuve en inox équipée d électrodes (anodes-cathodes). Ce procédé consiste à faire précipiter le carbonate de calcium par électrolyse de l eau. Le courant électrique très faible provoque la germination instantanée puis la cristallisation du calcaire d une grande pureté. Les cristaux formés tombent sous forme de poudre blanche au fond des cuves pour être extraits régulièrement (tous les trois mois, par exemple). Ce procédé, plutôt adapté aux installations de 50 à 300 m 3 /h peut potentiellement s étendre jusqu à une capacité de 500 m 3 /h. EAU BRUTE POLY ÉLECTRODES ÉLIMINATION DE L EXCÈS DE CO2 NAOH EAU TRAITÉE EXTRACTION DU CARBONATE DE CALCIUM DÉSHYDRATÉ 2. avantage Ce procédé fonctionne sans l utilisation de réactif chimique. Les arrêts et les variations de débits sont relativement simples à gérer sans entraîner de perturbations du process. Très adapté au traitement des eaux claires, il doit être précédé d un traitement en cas de ressources turbides. 3. valorisation des déchets Cette technique entraîne peu de rejets : une poudre blanche humide qui n a pas besoin d être déshydratée. Différentes valorisations ont été expérimentées comme, par exemple, en co-produit de remblais routiers. Le calcaire extrait présente un potentiel de revalorisation important du fait de la pureté du CaCO3 produit. EXEMPLES Site Nb Volume Dureté de la Dureté d habitants annuel ressource ( F) finale ( F) produits (m 3 /an) Champfleur (72) Hérouville- Saint-Clair (14) La Palus (34) Saint-Berthevin (53)
7 adoucissement par résines échangeuses d ions Pour atteindre le niveau optimal de dureté de l eau, une résine chargée en ions positifs capte les ions calcium de l eau La technique Ce procédé s apparente à un adoucisseur ménager. Il consiste à échanger des ions calcium en ions hydrogène qui vont se combiner avec les anions de l eau. Lorsque la résine est saturée en calcium, il est nécessaire d inverser le système en régénérant la résine par une solution d acide chlorhydrique une fois par jour. Ce procédé est plutôt réservé aux petites installations inférieures à 300 m 3 /h. EAU BRUTE ÉCHANGEUR CARBOXYLIQUE (résines) ÉLIMINATEUR DE CO2 ÉLIMINATION DE L EXCÈS DE CO2 CORRECTION DE PH NAOH EAU DÉCARBONATÉE EAU TRAITÉE 2. avantage Les installations équipées de ce procédé sont compactes. Elles fonctionnent automatiquement et sans réactif de précipitation. Les arrêts et les variations de débits sont relativement simples à gérer sans entraîner de perturbations du process. Cette solution est idéale pour filtrer les eaux claires sans matière en suspension. 3. valorisation des déchets Le principal rejet de ce procédé est une solution de chlorure de calcium. Elle peut être évacuée par le réseau d assainissement après avoir contrôlé l impact des concentrations en chlorures sur le fonctionnement de la station d épuration. EXEMPLES Site Nb Volume Dureté de la Dureté d habitants annuel ressource ( F) finale ( F) produits (m 3 /an) Varennes (60)
8 questions réponses 1. La décarbonatation permet-elle d obtenir une eau «zéro calcaire»? La décarbonatation réduit les risques liés à la formation de calcaire mais ne supprime pas totalement le calcium de l eau. Elle permet d atteindre le niveau optimum de dureté permettant l obtention d un compromis entre le bon équilibre minéral de l eau et la satisfaction du client. 2. L eau du robinet décarbonatée à la soude (NaOH) est-elle à prendre en compte dans les apports journaliers de sels (NaCl) dans l alimentation? En cas de décarbonatation à la soude, l augmentation de la teneur en sodium (Na) de l eau du robinet reste marginale par rapport aux apports journaliers, même en cas de régime pauvre en sel. Pour information, la consommation quotidienne d 1/2 baguette de pain apporte 6 fois plus de sodium (Na) que celle de 2 litres d eau traitée à la soude selon une étude INCA. 3. Qu est-ce qui provoque la formation du calcaire sur les appareils électroménagers? Plusieurs facteurs interviennent dans la formation du calcaire sur les appareils électroménagers : l élévation de température de l eau, l aération de l eau (brise-jets, chutes, ) et l élévation de ph. 4. Quel est le prix de la lutte anticalcaire? Pour une famille de 3-4 personnes, le traitement anticalcaire à l échelle collective coûte environ 4 fois moins cher qu un adoucisseur individuel. 5. Quel est l impact du calcaire sur la durée de vie des appareils électroménagers? Une eau dure et entartrante réduit la durée de vie des appareils électroménagers de 25 à 30 %. Pour plus d information ou pour commander des exemplaires de la collection des Cahiers techniques d Eau Service, contacter : virginie.guth@lyonnaise-des-eaux.fr Liste des contacts régionaux : Les cahiers Eau service est un supplément du magazine Eau service n 26.Ê Le journal de Lyonnaise des Eaux pour les collectivités locales. Trimestriel édité par Lyonnaise des Eaux, 16, place de l Iris, Paris-La Défense Directeur de la publication et de la rédaction : Dominique Ogeron Rédactrice Ê en chef : Vanessa Filhol Conception graphique et réalisation : 52, rue Camille Desmoulins, Issy-les-Moulineaux cedex Imprimerie : Clément Ê ISSN : X Crédits photos : S.Hitau. Illustrations : Chantal Rivière.
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