NOTE DE CONJONCTURE SEPTEMBRE 2015

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1 NOTE DE CONJONCTURE Sommaire internationale Page 1 nationale Page 3 internationale Selon l OCDE, la croissance mondiale reculera, passant de 3,3% réalisé en 2014, à 3% estimé pour 2015, suite au recul des pays émergents. 1. Une évolution mitigée de la croissance mondiale L OCDE a publié le 16 Septembre ses prévisions économiques mondiales qui confirment l évolution divergente des économies des pays avancés (USA, Zone Euro) qui se renforcent, et celle des pays émergents qui ralentissent (Chine) ou régressent (Brésil, Russie) : C est ce qui a amené la Banque Fédérale à reporter l augmentation du taux d intérêt de base lors de sa dernière réunion du 17 Septembre. Ce report permettra de renforcer la demande et favoriser la relance de la production. La situation économique dans la zone euro s améliore, le taux de croissance du PIB attendu cette année est de 1,6% contre 0,9% réalisé en L Allemagne et l Espagne réalisent les meilleures performances, la France se rapproche de 1% contre 0,2% l année dernière. La politique monétaire expansionniste de la Banque Centrale Européenne explique cette performance par le maintien de taux d intérêt bas et la dépréciation de l euro. La baisse du prix de pétrole a aussi aidé à réaliser ce résultat. C est le cas aussi d autres pays dépendants des exportations de produits de base dont le prix a baissé et en particulier la Russie, le Brésil qui enregistrent cette année des taux de croissance du PIB négatifs estimés à -2,8% pour le Brésil et -4,5% pour la Russie. De ce fait, la croissance mondiale reculera, passant de 3,3% réalisé en 2014 à 3% estimé pour C est la 5è année consécutive de baisse de la croissance mondiale par tête selon l OCDE. Ceci explique la baisse des prix mondiaux des produits de base. La croissance économique aux USA est solide : le taux attendu pour le PIB est de 2,4% cette année et de 2,6% prévu en Le taux de chômage a baissé à 5% sans répercussions sur le taux d inflation qui se maintient à 0,2% grâce à la baisse des prix de l énergie et des matières premières. Par contre, plusieurs pays émergents accusent une baisse de performance en termes de taux de croissance du PIB : c est le cas de la Chine qui tourne définitivement le dos aux taux de croissance élevés du PIB et devra se contenter d une croissance en dessous de 7% par an. 1

2 La récente stagnation du commerce mondial ralentit la croissance du PIB mondial Cependant, la reprise constatée aux USA et dans la zone euro devrait continuer en 2016, ce qui devrait améliorer la croissance mondiale qui passerait de 3% en 2015 à 3,6% en 2016, malgré le ralentissement économique attendu en Chine. Certes, l OCDE attire l attention sur l incertitude des perspectives économiques en Chine, dont le taux de croissance du PIB a reculé de 7,4% en 2014 à 6,7% en 2015 et devrait se stabiliser à 6,5% en La deuxième incertitude est liée à l évolution des prix de produits de base dont dépendent les économies de plusieurs pays exportateurs (Canada, Australie, Brésil, Russie, pays africains et autres latino-américains). Si la baisse de ces prix continue, les effets négatifs de cette baisse sur la croissance mondiale dépasseraient les gains tirés par d autres pays. Enfin, l OCDE s inquiète de la stagnation du commerce mondial qui ralentit la croissance du PIB mondial. The Economist du 19 Septembre partage cet avis et note que le commerce mondial a augmenté de 1,7% au 1é semestre de 2015 par rapport à la même période de 2014 alors que le PIB mondial a augmenté de 3%. C est une nouvelle situation qui diffère du modèle adopté depuis la libéralisation de commerce extérieur et la création de l OMC où le commerce mondial a constitué un facteur de développement par une croissance moyenne de 5% par an, soit un essor plus rapide que celui du PIB mondial. 2. Chine, une situation préoccupante. La situation économique en Chine est préoccupante car le ralentissement de la croissance chinoise a eu les effets suivants : Le ralentissement du commerce mondial et de la production de plusieurs pays exportateurs vers la Chine comme l Australie. La baisse des prix des produits de base suite à la stagnation de la demande chinoise. Les flux de capitaux changent d orientation : les sorties de capitaux de Chine ont atteint le volume d entrées en 2014, ce mouvement s est amplifié en 2015 suite à la crise boursière de l été La dépréciation du yuan a entraîné une série de dépréciation de monnaies asiatiques. Ces nouvelles données affectent différemment les pays selon la situation de chacun. Ainsi, la Tunisie pourrait tirer profit de la baisse des prix des produits de base car c est un pays importateur net de produits de base, mais la dépréciation des monnaies asiatiques l affecte négativement car la Tunisie perd en compétitivité. Il est donc conseillé d introduire le yuan comme devise de référence dans la politique de taux de change du dinar. 3. Un environnement économique mondial favorable à une reprise économique en Tunisie L environnement économique mondial est favorable à une reprise économique en Tunisie pour plusieurs raisons : La baisse des prix des produits de base et la croissance du PIB dans la zone euro sont favorables à une reprise économique en Tunisie La baisse des prix des hydrocarbures qui réduit le déficit budgétaire tunisien car ces produits sont encore subventionnés (1,3 milliard D prévus en 2015 pour l énergie, et 0,6 milliards D en 2016). Cette baisse n a cependant pas amélioré le déficit extérieur suite à la régression de la production nationale d hydrocarbures comme indiqué ci-dessous. La baisse des prix des produits de base réduit la valeur des importations de céréales et d autres matières premières (soufre, fer, cuivre ) mais réduit aussi la valeur des exportations de phosphate. Cependant, les engrais phosphatés exportés par la Tunisie n ont pas connu de baisse de prix en 2015 suite à la baisse de l offre tunisienne comme indiqué par l INS dans sa note de commerce extérieur en volume (Septembre 2015). La reprise économique dans la zone euro se traduit par une demande plus élevée pour les exportations industrielles tunisiennes si elles gardent leur compétitivité. La nouvelle orientation de l économie chinoise vers la demande intérieure peut laisser plus d espace pour les exportations textiles tunisiennes dans la zone euro. La désinflation mondiale, le taux d inflation proche de zéro actuellement dans les pays avancés, contribue à la réduction du taux d inflation en Tunisie car la moitié de la demande en Tunisie (consommation et investissement) est satisfaite par les importations. 2

3 Le maintien des taux d intérêt à un niveau très bas dans les pays avancés réduit le coût de l endettement extérieur tunisien malgré la prime de risque exigée. La dernière sortie sur le marché financier international a été à 5,75%, soit moins que le coût moyen des emprunts passés malgré la prime de risque plus élevée suite à la baisse importante des taux de base dans les grandes places financières. La disponibilité de liquidités internationales facilite le financement extérieur de l économie tunisienne. C est la conséquence des politiques monétaires expansionnistes adoptées dans les pays avancés (USA, Japon, Zone Euro) et de la nouvelle orientation des IDE suite à la nouvelle situation en Chine comme indiqué ci-dessus. Dans une région instable, la démocratie instaurée en Tunisie est favorable aux flux d IDE et d aides internationales. Reste à assurer la sécurité et une plus grande paix sociale. La Tunisie peut servir comme tête de pont vers l Afrique, le continent qui attirera beaucoup d initiatives, pourvu que l infrastructure adéquate soit offerte. La baisse du prix de pétrole réduit beaucoup les coûts de transport et de déplacements, cela pourra relancer les activités de services dont le tourisme et le commerce. nationale 1. Des performance économiques inquiétantes en 2015: La baisse enregistrée au niveau des recettes touristiques est de 1 milliard D environ à fin septembre Le déficit énergétique extérieur augmente malgré la baisse du prix de pétrole. Les performances économiques de la Tunisie en 2015 sont inquiétantes : Le secteur touristique : La baisse enregistrée au niveau des recettes touristiques est de 1 milliard D, environ, à fin septembre soit une baisse du tiers, mais qui s aggravera compte tenu de la mauvaise fin de saison sans atteindre les prévisions de Christine Lagarde d une baisse de moitié soit 1,8 Md D. La baisse des recettes serait proche de 1,5 Md D comme nous l avons prévu dans une note précédente (juillet 2015). La baisse des revenus du travail provenant des tunisiens à l étranger de 4,3% s explique par la baisse de l euro par rapport à l année dernière de l ordre de 4% en moyenne par rapport au dinar. Le secteur énergétique : La baisse de la production d hydrocarbures et l augmentation de la demande malgré le recul de la croissance du PIB ont fait que le déficit énergétique extérieur augmente malgré la baisse du prix de pétrole. En effet, les exportations d hydrocarbures durant 8 mois ont baissé de 50% de 2593 MD en 2014 à 1303 MD en 2015 suite à la baisse des prix de 26% et à la baisse des quantités exportées de 32% selon l INS (Statistiques du commerce extérieur à prix constants paru en Septembre 2015). Par contre les importations d hydrocarbures n ont baissé que de 21% sur 8 mois de 5139 MD à 4072 MD suite à la baisse des prix car le volume importé est resté constant. De ce fait, le déficit énergétique a augmenté de 2546 MD à 2769 MD en 8 mois par rapport à l année dernière, malgré la baisse des prix mondiaux. Il représente le tiers environ du déficit commercial. Cette grave situation est due essentiellement à la baisse de la production d hydrocarbures mais aussi à la formule de calcul du prix du gaz importé qui ne répercute la baisse des prix du pétrole qu après un décalage de quelques mois, pour cela l INS indique une baisse des prix moyens à l importation sur les 8 mois de 21% seulement par rapport à l année dernière alors que le niveau de prix du pétrole de juillet-août 2015 est de moitié celui de la même période l année dernière (50 contre 100 $/b pour le Brent). Heureusement que les IDE ont repris récemment dans le secteur de l énergie avec une augmentation de 35% sur 8 mois par rapport à l année dernière, ce qui relancerait la production, et que le prix du gaz continuera à baisser compte de la formule de calcul sur 8 mois et du maintien du prix du pétrole à un niveau bas. Le secteur minier : La baisse des exportations de phosphates et dérivés en volume a été de 56% en 8 mois par rapport à l année dernière selon l INS, privant la Tunisie de l augmentation des prix moyens à l exportation de 29%. 3

4 Heureusement que la production de phosphate a repris ce dernier mois. Les exportations en volume ont baissé pour les textiles (7%) et les Industries mécaniques et électriques (1%) Le secteur textile: Le secteur textile connaît un repli inattendu. Les exportations ont baissé de 7% en volume par rapport à l année dernière confirmant l effet des actions terroristes du Bardo et de Sousse sur l activité de certains industriels étrangers. D ailleurs, les exportations des industries mécaniques et électriques ont baissé aussi en volume de 1% alors que ce secteur était en croissance continue. Le taux d inflation: Le taux d inflation s est stabilisé à 4,2% pour le 2é mois consécutif suite à l accalmie des prix des produits alimentaires (+3,7%). Il faut espérer que ce phénomène ne soit pas saisonnier. 2. La politique monétaire et budgétaire La politique monétaire et budgétaire adoptée en 2014 et 2015 a été assez rigoureuse comme l affirmé le Gouverneur de la BCT en présence de La Directrice Générale du FMI : «grâce à l Accord de 2013 (avec le FMI), les autorités économiques, financières et monétaires tunisiennes auront été exposées, plus que par le passé, aux contraintes de la bonne gouvernance financière, budgétaire et monétaire à l ère de l échange global et de la mondialisation des marchés. Les contraintes de terrain qui militent en faveur d une plus grande flexibilité dans la gestion des réformes requises, ont pesé souvent lourdement sur les débats et les négociations avec le Fonds. Toutefois, de pareilles difficultés ont toujours trouvé solution.» Il a enfin appelé le FMI à mettre en place un nouveau programme dans le cadre du financement du Plan de Développement Comme résultat, le déficit budgétaire a été maintenu à moins de 5% du PIB après les dépassements de 2012 (5,5%) et de 2013 (6,8%). Les taux d intérêt ont connu une tendance à la hausse et les crédits ralentis à la fois à l Etat, qui a dû recourir aux emprunts extérieurs, et à l économie. TOPIC / Market / Date 3. Maintient du classement de la Tunisie par Fitch: Fitch a maintenu en Septembre le classement BB- pour la Tunisie avec perspectives «stables» malgré les faibles performances économiques de 2015 en raison du consensus politique intérieur et de l appui des créanciers extérieurs et en particulier du FMI. Fitch attire l attention sur la dette publique qui a atteint 52,3% du PIB soit un niveau plus élevé que la moyenne des pays comparables. De même, le déficit extérieur se situe à 8,5% du PIB soit plus que la moyenne des pays comparables qui est de 7%. Cela élève la dette extérieure du pays à 42,4% du PIB et réduirait les réserves en devises à trois d importations seulement fin Enfin, l agence attire l attention sur le report de certaines réformes économiques dont le projet de société de gestion d actifs qui permettrait d assainir les impayés bancaires du secteur public évalués à 24% des crédits accordés. Le classement futur de la Tunisie, selon l agence pourrait s améliorer si : - Le taux de croissance du PIB s améliore suite à une meilleure sécurité et à une amélioration de l environnement des affaires - Le déficit courant extérieur baisse suite aux réformes structurelles. Par contre, ce classement peut se détériorer si : - La situation sécuritaire et sociale se détériore. - Le déficit budgétaire (5%) augmente et le déficit courant extérieur (8,5%) ne baisse pas. - Le taux de croissance du PIB (1%) ne s améliore pas.. Le Forum de Davos classe la Tunisie 92è sur 140 pays perdant ainsi 9 places en deux ans. Le Forum économique de Davos a quant à lui publié fin septembre son classement mondial de la compétitivité ( ) selon lequel la Tunisie est classée 92è sur 140 pays. Elle était classée 83è en 2013 et 87è en 2014 perdant ainsi 9 places en deux ans. La Tunisie se classe ainsi derrière le Maroc (72è) et l Algérie (87è). Ce mauvais classement par le Forum économique Mondial est dû d abord aux inefficacités sur les marchés du travail, des biens et des services financiers, ensuite aux faibles performances macroéconomiques. 4. Des facteurs externes favorables à une croissance plus élevée: Christine Lagarde dans son discours du 9 septembre à Tunis a d abord mentionné les facteurs extérieurs favorables à une croissance plus élevée et à une réduction des déficits en Tunisie et qui sont : -la reprise économique dans la zone euro - la baisse prolongée des prix mondiaux des matières premières. Mais elle a averti que le succès économique ne sera pas aisé car il passe par les réformes économiques suivantes, qui sont nécessaires et urgentes : - un budget de l Etat pro-croissance: réorienter les dépenses vers l investissement et accroître les recettes par une réforme de la fiscalité, qui permettra d améliorer l équité et l efficacité de l appareil fiscal en le simplifiant, en le rendant plus progressif et en réduisant l écart entre les taux d imposition des secteurs locaux et offshore. 4

5 - un système financier robuste et efficace: recapitaliser les banques publiques et restructurer les banques privées. - un climat des affaires de premier ordre : réduire les restrictions qui freinent l investissement (nouveau code des investissements) et alléger les procédures administratives. Elle a enfin assuré la Tunisie du soutien du FMI : soutien des finances publiques par le programme de juin 2013 (1,75 milliard $) et promesse de soutien futur dans le cadre du programme établi et adapté pour tenir compte des contraintes politiques et sociales. Elle a apprécié les pas franchis dans le programme de réformes (recapitalisation des banques publiques, révision de la loi sur la concurrence et les prix) mais demande de poursuivre le chemin. Selon C. Lagarde, la loi sur la concurrence et les prix récemment adoptée permettra d ouvrir de nouveaux débouchés et d éliminer les pratiques discrétionnaires Il est intéressant de noter son commentaire sur la loi sur la concurrence et les prix, approuvée par le Parlement le 1é septembre : «elle permettra d ouvrir de nouveaux débouchés et d éliminer les pratiques discrétionnaires». 4. Loi sur la concurrence et les prix La loi sur la concurrence et les prix a été adoptée en juillet 1991comme dernière étape du plan d ajustement structurel de juillet 1986 suite au recours au FMI. Elle avait pour but essentiel d instaurer la liberté des prix comme principe de base et le contrôle des prix comme exception, contrairement à la situation qui prévalait auparavant basée sur l homologation des prix par l Administration. Elle a aussi délégué une partie des pouvoirs de l administration à un Conseil de la Concurrence indépendant nouvellement créé. Cette loi a été amendée 6 fois : en 1993 (loi 93-83), en 1995 (loi 95-42), en1999 (loi 99-41), en 2003 (loi ), en 2005 (loi ) et récemment le 1é Septembre 2015 (loi en cours de publication). Les révisions précédentes avaient notamment pour but d introduire le contrôle de la concentration économique, de lutter contre les pratiques monopolistiques (collusions, manipulations de prix), de réglementer l affichage des prix et la publicité et de réviser la composition et le fonctionnement du Conseil de la Concurrence. La nouvelle révision a pour but de reprendre l ensemble du texte et de le réécrire de façon claire en tenant compte de tous les amendements passés et nouveaux. Les nouvelles mesures portent sur : - une extension des délais à 2 mois au lieu d un pour la réponse des opérateurs aux rapports d enquêtes les concernant sur les pratiques anti concurrentielles. - Une réduction du délai de réponse du Ministère pour les demandes de fusions acquisitions de 6 à 3 mois. - La possibilité pour le Ministère d opérer des transactions à l amiable allant jusqu à 50% des demandes initiales de l Administration en cas d infractions économiques. - Le conseil de la concurrence a été élargi en incluant 4 au lieu de 2 personnalités indépendantes et ses prérogatives consultatives élargies aux projets de lois. Ces mesures ont pur but de réconforter les investisseurs. Par contre les sanctions ont été renforcées en doublant le montant de la plupart des amendes car elles datent de 1991 et des peines de privation de liberté ont été alourdies notamment contre le commerce parallèle. 5. Note d orientation du plan de développement La synthèse de la note d orientation du Plan de Développement publiée le 8 septembre a révisé certains points importants de la note précédente et en particulier : - le taux d investissement qui a été revu à la hausse soit 25% du PIB en fin de période au lieu de 22% avec un engagement de l Etat de réaliser 35% de l enveloppe globale, une prévision de financement par les IDE à hauteur de 15% et les 50% restants à réaliser par les privés locaux. Cette répartition dénote un plus grand appel aux IDE qui représentaient 13% des investissements avec 2 milliards D par an en moyenne et qui devraient passer à 3,6 Mds D par an au cours du prochain Plan. - le taux de croissance des exportations qui a été revu à 6% par an au lieu de 5% marquant une plus grande intégration de la Tunisie dans l économie mondiale. La Tunisie devra donc engager des réformes structurelles pour réaliser ce choix d une plus grande ouverture extérieure et faciliter l accès aux investissements extérieurs dans certains secteurs de l économie et en particulier les secteurs primaire et tertiaire. Contact us Moncef Boussannouga Zammouri Senior Partner T: E: mzammouri@kpmg.com Dhia Bouzayen International Contact Partner T: E: dbouzayen@kpmg.com TOPIC / Market / Date 5

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