Thérapeutiques du VIH ciblant les réservoirs. Pierre DELOBEL Service des Maladies Infectieuses et Tropicales & INSERM UMR1043 CHU de Toulouse
|
|
- Flore Barrette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Thérapeutiques du VIH ciblant les réservoirs Pierre DELOBEL Service des Maladies Infectieuses et Tropicales & INSERM UMR1043 CHU de Toulouse
2 Guérir l infection VIH : l espoir initial
3 Guérir l infection VIH 1999: l espoir déçu
4 Guérir l infection VIH 2009: l espoir relancé
5 Deux stratégies pour guérir l infection VIH! Guérison complète: éradication totale du VIH de l organisme " Purge complète des réservoirs latents! Guérison fonctionnelle: Virémie indétectable en l absence de traitement ARV Taux de lymphocytes T CD4 + normal et stable Absence de progression clinique " Persistance de réservoirs latents sans réplication virale significative
6 Guérison complète: éradication totale du VIH de l organisme Un obstacle majeur: Le VIH comme les autres rétrovirus persiste sous forme de provirus intégré dans l ADN génomique des cellules hôtes! Réservoir latent: L T CD4 + mémoires centrales/transitionnelles Durée de vie longue et renouvellement par prolifération homéostatique " Stabilité du réservoir latent
7 Rôle de la prolifération homéostatique des L T CD4 + dans le maintien du réservoir latent Chomont et al. Nat Med 2009! La pente de décroissance du réservoir est négativement corrélée à l intensité de la prolifération homéostatique des L T CD4 +
8 Etablissement de la latence virale dans les lymphocytes T CD4 + quiescents Lewin et al.j IAS 2011! Provirus latents intégrés dans l ADN génomique
9 Etablissement de la latence virale: répression transcriptionnelle! Deacetylation des histones et methylation de l ADN Karn Curr Opin HIV AIDS 2011
10 Etablissement de la latence virale: répression transcriptionnelle! Nucléosomes «fermés» Histones deacetylés Chromatine stable, compacte, peu accessible aux facteurs de transcription "Transcription réprimée! Nucléosomes «ouverts» Histones acetylés Chromatine décompactée, accessible aux facteurs de transcription "Transcription possible
11 Etablissement de la latence virale: répression transcriptionnelle Condensation de la chromatine Séquestration de facteurs de transcription Richman et al. Science 2009
12 Comment réactiver les provirus latents? Trichostatin A Acide valproïque Vorinostat (SAHA) LBH589 BX1294 Hexamethylbisacetamide Prostratin PMA TNF-α PTEF-b PKC 5-aza-dC IL-7 IL-15 Adapté de Trono et al. Science 2010
13 ! acide valproïque Inhibiteurs de HDACs
14 Inhibiteurs de HDACs! Acide SuberoylAnilide Hydroxamic (SAHA): Vorinostat Margolis et al. CROI 2012 abs 157LB Quantification de l ARN VIH-1 cellulaire! Induction de la transcription des provirus ex vivo
15 Inhibiteurs de HDACs! Acide SuberoylAnilide Hydroxamic (SAHA): Vorinostat Dose unique de Vorinostat: induction moyenne transcription x 4.8 Margolis et al. CROI 2012 abs 157LB! Induction de la transcription des provirus in vivo
16 Inhibiteurs de HDACs! Autres molécules en développement: Panobinostat (LBH589) Rasmussen et al. CROI 2012 abs 370
17 Inhibiteurs de HDACs! Les inhibiteurs d HDACs induisent la transcription des provirus latents ex vivo et in vivo dans les L T CD4 + quiescents! Intérêt de nouvelles molécules plus puissantes et plus sélectives: vorinostat, panobinostat! Quel rythme d administration optimal? cures séquentielles?! Quelle efficacité sur la décroissance du réservoir?! Quelle toxicité?
18 Dérivés de la 8-hydroxyquinoline Xing et al. JAC 2012! Induction de la transcription des provirus in vitro
19 Induction de la transcription des provirus et purge des réservoirs Conséquences attendues de l induction de la transcription des provirus latents:! Expression d antigènes viraux! Effet cytopathogène? " Mort des L T CD4 + réservoirs? Richman et al. Science 2009
20 Induction de la transcription des provirus et purge des réservoirs! L induction de la transcription virale par SAHA ne suffit pas à induire la destruction des cellules réservoirs Shan et al. Immunity 2012
21 Purge des réservoirs: rôle des lymphocytes T CD8 + cytotoxiques anti-vih Shan et al. Immunity 2012
22 Purge des réservoirs: rôle des lymphocytes T CD8 + cytotoxiques anti-vih Shan et al. Immunity 2012
23 Induction de la transcription des provirus et purge des réservoirs! L induction de la transcription des provirus n est pas suffisante pour entraîner la destruction des cellules infectées de façon latente! Pas d effet cytopathogène significatif après induction de la transcription des provirus par un traitement par SAHA! La destruction des ces cellules nécessite après induction de la transcription des provirus une réponse CTL spécifique efficace " La purge des réservoirs latents nécessitera des approches thérapeutiques combinées associant induction de la transcription des provirus et immunothérapie
24 Immunothérapies ciblant les réservoirs! Optimisation de la réponse CTL spécifique anti-vih " Destruction des cellules exprimant des Ag viraux Vaccination thérapeutique Blocage de PD-1 (Programmed Death 1) # Stratégies d éradication # Stratégies de guérison fonctionnelle
25 Immunothérapies ciblant les réservoirs # Intérêt du blocage de PD-1 Freeman et al. J Exp Med 2006
26 Immunothérapies ciblant les réservoirs # Intérêt du blocage de PD-1 Freeman et al. J Exp Med 2006
27 Immunothérapies ciblant les réservoirs # Intérêt du blocage de PD-1! Restauration d une réponse CTL anti-virale efficace Velu et al. Nature 2009
28 Guérison fonctionnelle! Virémie indétectable en l absence de traitement ARV! Taux de lymphocytes T CD4 + normal et stable! Absence de progression clinique " Persistance de réservoirs latents sans réplication virale significative Modèle des «Elite Controllers» Vaccination thérapeutique / blocage de PD-1 Traitement en primo-infection et interruption thérapeutique Thérapie génique anti-ccr5
29 Guérison fonctionnelle par thérapie génique de CCR5! Le patient de Berlin a été guéri par allogreffe de moelle osseuse avec un donneur homozygote CCR5 Δ32/Δ32! Comment rendre les cellules résistantes à l infection VIH? Cellules souches ou L T CD4 + périphériques d un patient VIH+ R5 $ Thérapie génique pour déléter CCR5 $ Expansion et sélection des cellules CCR5 - résistantes à l infection
30 Guérison fonctionnelle par thérapie génique de CCR5 Zinc Finger Nucleases spécifiques de CCR5 Vecteur adénoviral Traitement ex vivo des cellules cibles Réinfusion des cellules CCR5 - Adapté de June et al. CROI 2012 abs 155
31 Guérison fonctionnelle par thérapie génique de CCR5! Essais cliniques en cours chez des patients VIH+ (n=21) Thérapie génique ex vivo des L T CD4 + périphériques Expansion in vivo des L T CD4 + CCR5 - post-réinfusion Localisation dans les muqueuses digestives Augmentation du nombre de T CD4 + et normalisation du ratio CD4/CD8! Limites de la thérapie génique de CCR5 des L T CD4 + périphériques: Faible fraction de cellules génétiquement modifiées (16-36%) Durée de persistance inconnue à long terme Traitement limité aux L T CD4 + " Thérapie génétique des cellules souches hématopoïétiques
32 Guérison fonctionnelle: L exemple des patients «VISCONTI»! «Post-treatment controllers» Traitement précoce en primo-infection Traitement prolongé avant interruption thérapeutique 21/32 «Non controllers»: rebond < 6 mois 6/32 «Transient controllers»: rebond > 6 mois (médiane 10 mois, IQR [9-21]) 5/32 «Post-treatment controllers»: pas de rebond sur une durée médiane de 75 mois (IQR [71-82]) Hocqueloux et al. AIDS 2010
33 Guérison fonctionnelle: L exemple des patients «VISCONTI» Hocqueloux et al. AIDS 2010
34 From bench to bedside! Quelle stratégie choisir? Approches combinées: vaccination thérapeutique +/- blocage PD-1 et cycles de purge?! Quels patients seront les meilleurs candidats aux essais: # de guérison complète par purge des réservoirs? # de guérison fonctionnelle? par immunothérapie? par thérapie génique?! Sur quels critères sélectionner ces patients?
35 From bench to bedside Sur quels critères sélectionner ces patients?! Un prérequis probablement indispensable un bas niveau de réservoir cellulaire Traitement en phase chronique Traitement en primo-infection Hocqueloux et al. CROI 2009 abs 515! Intérêt d un traitement précoce en primo-infection! Nécessité d outils virologiques pour monitorer les réservoirs
36 From bench to bedside! Quel endpoint dans les essais de guérison du VIH? # diminution/négativation de l ADN VIH dans les PBMCs, les muqueuses # in fine absence de rebond après interruption du traitement! Quelle toxicité acceptable pour les patients?! Dans l hypothèse de la mise au point d une stratégie efficace Difficultés du passage à grande échelle Problèmes liés au coût et au fossé technologique nord/sud
Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailSeuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien
14 15 octobre 2010 Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien Bruno Hoen 1 Plan de la discussion Quelle(s) définition(s)? Quelle réalité épidémiologique? Quelle
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailVincent CALVEZ. Collaborative HIV and Anti-HIV Drug Resistance Network CHAIN
Vincent CALVEZ Virologie - CHU Pitié-Salpêtrière Paris Faculté de Médecine Pierre et Marie Curie UMRS UPMC INSERM U943 ANRS AC11 ANRS AC5 Institut Universitaire de Cancérologie Collaborative HIV and Anti-HIV
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailProduction d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy
Production d effecteurs immuns Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Conditionnement Receveur Allogreffe de CSH Non prise et rejet de la greffe Donneur Immunosuppression
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailPr Vincent CALVEZ CHU Pitié-Salpêtrière INSERM U 943 ANRS AC11 Resistance
Réplication résiduelle Pr Vincent CALVEZ CHU Pitié-Salpêtrière INSERM U 943 ANRS AC11 Resistance ART bloque la réplication virale avec persistance de ADN viral intégré Taille du réservoir est établie avant
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailService de Biothérapies
AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailINAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE
INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailEVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN
REHAL : actualités et perspectives; 10 ème journée 22 novembre 2012 EVOLUTION DE CESSIONS DES PSL ET OBJECTIFS 2013 EN AQUITAINE-LIMOUSIN Dr Azzedine ASSAL Directeur EFS-AQLI LA RÉGION AQUITAINE-LIMOUSIN
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailL INSUFFISANCE CARDIAQUE
L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailAnalyse de la dynamique de l infection VIH Sensibilité aux traitements
71 Prépublication n 16 Fascicule n 2 Analyse de la dynamique de l infection VIH Sensibilité aux traitements Marie-José Mhawej IRCCyN Institut de recherche en communication et cybernétique de Nantes, UMR-CNRS
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailTraitement et questions connexes
Traitement et questions connexes L essentiel du congrès sur le sida AIDS 2012 (et des ateliers du congrès 14 th International Workshops on Comorbidities and Adverse Drug Reactions in HIV, juillet 2012)
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge des leucémies aiguës de l adulte Mars 2012 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour faciliter la discussion sur
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailTEST GENOTYPIQUE DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE L INTEGRASE
TEST GENOTYPIQUE DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE L INTEGRASE RAPPORT D EVALUATION Avril 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél.
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailLES 10 ANS DU REGISTRE FRANCE GREFFE DE MOELLE A L AGENCE DE LA BIOMEDECINE
LES 10 ANS DU REGISTRE FRANCE GREFFE DE MOELLE A L AGENCE DE LA BIOMEDECINE Dr Evelyne MARRY Directrice DIRECTION PRELEVEMENT GREFFE - CSH Agence de la biomédecine 1 LE REGISTRE FRANCE GREFFE DE MOELLE
Plus en détailMALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux
ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)
Plus en détailVue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies
Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailQuantiFERON TB Gold in tube
Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailLes facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims
Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailComment mesurer la résistance aux antiviraux???
Comment mesurer la résistance aux antiviraux??? Dr Marie-Laure Chaix Laboratoire de Virologie Hôpital Necker DIU de physiopathologie et thérapeutique des maladies infectieuses et tropicales (Module 1)
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLundi 4 et mardi 5 décembre 2006 Monday 4th et tuesday 5th december 2006
XIXes Entretiens du Centre Jacques Cartier XIXth Jacques Cartier Symposium NOUVELLES PANDEMIES, LES COMPRENDRE, LES COMBATTRE Les virus HIV et le SIDA, et HCV et les hépatites chroniques On HIV and AIDS,
Plus en détailMyron S. Cohen, MD (Président) Ouverture de la séance
Myron S. Cohen, MD (Président) Ouverture de la séance Bienvenue à tous, je m appelle Myron (Mike) Cohen; je suis le directeur du centre des maladies infectieuses à l Université de Caroline du Nord à Chapel
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailSang, plasma, plaquettes...
Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détaill'institut Paoli-Calmettes (IPC) réunit à la Villa Méditerranée les 29 et 30 mai 2015
ANNONCE PRESSE Un donneur pour chaque patient en attente d'une greffe de moelle osseuse, de la chimère à la réalité grâce à la révolution de la greffe haplo mismatch Marseille, le 26 mai 2015. L'Institut
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailà Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale
à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détail- Greffes de moelle osseuse et VIH une histoire longue et difficile
Nouvelles-CATIE - Greffes de moelle osseuse et VIH une histoire longue et difficile Facilement accessibles dans la plupart des pays à revenu élevé, les multithérapies antirétrovirales sont capables d'entraîner
Plus en détail