INFOCIMENTS la revue annuelle de l industrie cimentière PRODUIRE CONSTRUIRE VIVRE LE BÉTON, NATURELLEMENT UNE CAMPAGNE QUI MOBILISE LA FILIÈRE

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1 PRODUIRE LE GRAND ENTRETIEN EN CIMENTERIE CONSTRUIRE LE PONT DE TÉRÉNEZ UN OUVRAGE D ART EXCEPTIONNEL EN BÉTON VIVRE LE BÉTON, NATURELLEMENT UNE CAMPAGNE QUI MOBILISE LA FILIÈRE INFOCIMENTS 2011 la reve annelle de l indstrie cimentière

2 Sommaire MESSAGE DU PRÉSIDENT 3 CHIFFRES-CLÉS FAITS MARQUANTS 6-7 PRODUIRE LE GRAND ENTRETIEN EN CIMENTERIE 8 VALORISATION ÉNERGÉTIQUE DES DÉCHETS EN CIMENTERIE 9 LE CALCAIRE, UNE ROCHE ISSUE DU VIVANT 10 BIODIVERSITÉ : LA PLUS GRANDE ENTREPRISE DE LA PLANÈTE 11 CONSTRUIRE LE RETOUR EN FORCE DE LA DENSITÉ URBAINE 12 FAIRE DU GRAND PARIS UNE VILLE-MONDE 13 DU BBC VERS DES LOGEMENTS PASSIFS 14 L INERTIE THERMIQUE, QU EST-CE QUE C EST? 15 LE PONT DE TÉRÉNEZ, UN OUVRAGE D ART EXCEPTIONNEL EN BÉTON 16 LE MONT SAINT-MICHEL, UN RETOUR À LA MER 17 VIVRE LE BÉTON, NATURELLEMENT UNE CAMPAGNE QUI MOBILISE LA FILIÈRE 18 UN TROPHÉE BÉTON POUR LES JEUNES DIPLÔMÉS DES ÉCOLES D ARCHITECTURE 19 HUGO MOTOR ET SES VARIATIONS BÉTON 19 LA QUALITÉ DE L AIR INTÉRIEUR POUR DEMAIN 20 SOLS EN BÉTON CIRÉ 21 CIMBÉTON PARTENAIRE DE LA FONDATION POUR UN HABITAT SOLIDAIRE 22 PUBLICATIONS FORMATIONS 2010/ Directer de la pblication : Anne Bernard-Gély, Directers de la rédaction : Catherine Alcocer, Alexia Battistin. Conception et réalisation : Marie Mancel Commnication. Rédaction : Michel Chevalet, Pierre Pinelli, Dr Odile Massot, Charlotte Hirschfeld, Marie Mancel, (assistants : Anaïs Mahiex, Clément Bora). Por tot renseignement concernant cette pblication, écrire à pblications@cimbeton.net La reve annelle de l indstrie cimentière INFOCIMENTS 2011 est consltable sr En covertre : Des hypnons 2006 Molage en béton atoplaçant teinté dans la masse - Hgo MoToR.

3 MESSAGE DU PRÉSIDENT Conjonctre : des indicaters stabilisés A vec ne prodction de 18 millions de tonnes de ciment en 2010 contre 18, 3 millions de tonnes en 2009, soit moins de 2%, la profession connaît, por la troisième fois conséctive, ne année de baisse. Cette décroissance s expliqe par le ralentissement économiqe qi a impacté le secter d bâtiment drant les six premiers mois de l année. Entre 2009 et 2010, le nombre de mises en chantier est repassé jste en dessos de la barre symboliqe des , loin de l objectif sohaité de noveax logements par an. Totefois, n certain nombre d indicaters laisse espérer n retor à ne sitation pls stable. La fin de l année 2010 a témoigné d ne activité en progression. Les permis de constrire s installent dans ne hasse réglière et, sr les trois derniers mois de 2010, le nombre de mises en chantier atteint , en hasse de 15%. A final, le nombre de mises en chantier de logements nefs a agmenté de 3,3% en 2010 en France et le nombre de permis de constrire por des logements nefs a gagné 14,7%, selon le Ministère d Logement. Le nombre de logements nefs dont la constrction a débté en 2010 s est élevé à Cette tendance s est confirmée dans les premiers mois de Des inqiétdes persistent cependant por l avenir en raison d faible nombre de biens à vendre et de la hasse importante des prix, près de 4 fois spériere à l inflation. Une indstrie de proximité a service de la constrction drable. L indstrie cimentière, acter majer de la filière béton est ne indstrie de proximité a service de la constrction drable. Son recors à ne ressorce natrelle locale et sa contribtion à l économie des territoires li permettent d offrir des soltions a pls près de ses clients et de lers besoins por répondre ax enjex d Grenelle Environnement. Principale application d ciment, le béton, sos totes ses formes, offre de nombreses soltions constrctives en faver de bâtiments et infrastrctres respecteses de l environnement. Matéria d qotidien, il accompagne le développement de notre société avec ne offre économiqe, disponible partot sr le territoire et dont la mise en œvre est parfaitement maîtrisée. Grâce à ses qalités intrinsèqes de résistance et d inertie thermiqe, le béton procre confort et sécrité tot en offrant ne analyse de cycle de vie comparable à celle de tot atre matéria vis-à-vis des impacts sr l environnement comme en témoigne l étde Qalité Environnementale des Bâtiments menée par la profession. 3 Enfin, la filière béton dans son ensemble reste mobilisée sr ne politiqe d innovation volontariste por faire émerger tojors pls de soltions en faver de la constrction drable en France et dans le monde. Acter à la fois de l économie régionale et mondiale, à l here où l indstrie redevient ne valer d avenir face à la financiarisation à otrance et à la société d tot service, l indstrie d ciment et d béton affirme ses avantages concrrentiels, sa proximité et son ancrage vernaclaire dans la société. Rachid BENYAKHLEF Président d SFIC photothèqe CIMBETON. DR. Rachid Benyakhlef est, depis mai 2011, Président d Syndicat Français de l Indstrie Cimentière. Il est Directer général de Lafarge Ciments. Né en 1957, il est diplômé de l École Polytechniqe, l École des Mines et titlaire d n doctorat d ingénier.

4 CHIFFRES-CLÉS 2010 PRODUCTION-CONSOMMATION (en milliers de tonnes) La prodction et la consommation de ciment en France devraient agmenter d environ 4% en Cette estimation est liée à la croissance attende d secter d logement (+5% à 6% por l ensemble de l année grâce à la hasse des mises en chantier) alors qe le non-résidentiel et les travax pblics devraient demerer pratiqement stables Prodction de clinker Prodction de ciment Consommation de ciment Consommation de Liants géotechniqes Consommation par habitant France métropolitaine (kg) (ciment + liants géotechniqes) Statistiqes receillies par le SFIC dans le cadre d'n agrément d ministère de l Économie, des Finances et de l Indstrie. 4 DUNKERQUE SITES INDUSTRIELS SAINT-PIERRE-LA-COUR 1 DUNKERQUE 2 LUMBRES DANNES LE HAVRE-SAINT-VIGOR RANVILLE GRAND-COURONNE VILLIERS-AU-BOUIN AIRVAULT MONTOIR-DE-BRETAGNE GARGENVILLE COUVROT BEFFES FRANGEY ÉBANGE ROMBAS ROCHEFORT-SUR-NENON CRÉCHY LACOURONNE VAL D AZERGUES BUSSAC LA PÉRELLE HÉMING XEUILLEY ALTKIRCH MONTALIEU SAINT-ÉGRÈVE-VOREPPE BASSENS CRUAS LETEIL 1 LETEIL 2 CONTES BEAUCAIRE LA GRAVE- DE-PEILLE LA MALLE MARTRES SÈTE FOS-SUR-MER 1 PORT-LA-NOUVELLE FOS-SUR-MER 2 MACRO-RÉGIONS ( en milliers de tonnes) Zones Prodction Consommation % d total de la consommation 4 Nord-Oest ,0 Nord-Est ,1 Sd-Est ,8 Sd-Oest ,1 TOTAL ,0 Nord-Oest : Basse-Normandie, Bretagne, Centre, Hate-Normandie, Île-de-France, Nord-Pas-de-Calais, Pays de la Loire, Picardie, Poito-Charentes. Nord-Est : Alsace, Borgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Lorraine. Sd-Oest : Aqitaine, Avergne, Langedoc-Rossillon, Limosin, Midi-Pyrénées. Sd-Est : Corse, Provence-Alpes-Côte d Azr, Rhône-Alpes.

5 photothèqe CIMBETON. DR. MARCHÉ- CONSOMMATION PAR OUVRAGE ( porcentage de la consommation) BÂTIMENT Logements nefs 30,5 Bâtiments d enseignement et hospitaliers 3,0 Bâtiments indstriels 5,5 Atres bâtiments (1) 11,0 Entretien de bâtiments 12,5 DONNÉES ÉCONOMIQUES (en millions d'eros) Chiffre d'affaires HT (1) Investissements (1) Y compris clinker exporté et liants géotechniqes Les importations ne sont pas comptées. * Estimation. Sos-total Bâtiment 62,5 TRAVAUX PUBLICS Ovrages d art, maritimes, flviax et éqipements indstriels 8,5 Voiries, rotes et annexes 13,0 Ea, assainissement, réseax 10,0 Divers 6,0 Sos-total Travax Pblics 37,5 TOTAL 100,0 (1) Bâtiments agricoles, de brea, de commerce... CONSOMMATION DES SECTEURS INTERMÉDIAIRES (2010) Tonnage (en kt) % de la consom. Béton prêt à l emploi ,2 Béton indstriel ,9 Vrac entreprises 501 2,8 Négociants sacs ,6 Négociants vrac 243 1,4 GSB 325 1,8 Divers sacs 95 0,5 Divers vrac 317 1,8 TOTAL ,0 EMPLOIS DIRECTS SOCIÉTÉS CIMENTIÈRES (a 31 décembre de l'année) Nombre de salariés * 4 892* * Y compris les associations professionnelles SFIC, ATILH, CIMbéton COMBUSTIBLES Répartition de la consommation (en porcentage) Combstibles solides : - charbon 16,8 13,9 14,0 15,4 - coke de pétrole 44,8 44,8 41,9 41,7 Fel lord 1,6 1,3 0,9 1,0 Gaz 0,6 0,5 0,4 0,5 Combstibles de sbstittion 26,0 26,9 28,7 29,1 Brais et divers 10,2 12,6 14,1 12,2 TOTAL 100,0 100,0 100,0 100,0 5 Tos les chiffres de l indstrie cimentière sont consltables sr AGILIS INFOCIMENTS 2011

6 FAITS MARQUANTS 20 Jornées techniqes BÉTONS AUTOPLAÇANTS. PRÉSENTATION DES RECOMMANDATIONS AFGC/PN BAP 6 Concors BATISSIEL 2010 Iss d n partenariat entre l École Française d Béton, Cimbéton, la Fédération Française d Bâtiment, la Fédération Nationale des Travax Pblics et le Ministère de l Édcation Nationale, le concors Batissiel a attiré por sa 6 e édition élèves de 59 classes. Ce concors s inscrit dans le programme de technologie des classes de 5 e et de 3 e de collège, des EREA, de 3 e DP6 des lycées professionnels o de CFA o de collège. Il a por objectif de faire décovrir ax élèves les techniqes et les métiers de la constrction de façon originale et motivante. Les élèves se sont mobilisés tot a long de l année por concevoir et développer collectivement n o plsiers objets techniqes liés a secter de la constrction. Après ne première sélection par n jry régional, les meilleres éqipes ont participé à la finale nationale le 2 jin 2010 à la Fédération Française d Bâtiment. Cimbéton, en partenariat avec le SNBPE, le SNPB, le SYNAD et l AFGC, a organisé des jornées techniqes sr les bétons atoplaçants : en 2010 à Lyon et Marseille, et en 2011 à Lille, Bordeax et Tolose. Ces jornées qi ont rassemblé à chaqe fois ne centaine d acters clés d monde de la constrction ont été l occasion d échanges frctex. A programme : présentation des recommandations por la formlation et la prescription, préparation des chantiers et mise en œvre des BAP, visite d n chantier de référence réalisé en BAP. Premier employer de France, avec emplois à porvoir chaqe année, le bâtiment porsit avec le concors Batissiel sa stratégie de sédction des jenes en ler montrant, de façon originale, les attraits de métiers sovent méconns d grand pblic. A. VAVEL Festival Fimbacte UNE BELLE MENTION POUR LE FILM BÉTON ART.7. CONCEPTION OCTOBRE 2010 Le film réalisé por Cimbéton / Monbeabéton ator de l'exposition Béton Art.7 a reç ne mention dans la catégorie Événementiel, a Festival Fimbacte. Une récompense qi sale à la fois ne démarche de commnication originale et l'approche de la matière très poétiqe donnée par la réalisatrice Natacha Samel. À voir sr FRANCESCO PASSANITI

7 10 Jornée techniqe IMMEUBLE DE GRANDE HAUTEUR. RÈGLEMENTATION INCENDIE, PRÉVENTION, PROTECTION, CONSTRUCTION, RETOUR D EXPÉRIENCE. 17 NOVEMBRE PARIS. La prise en compte des retors d'expérience de ces dernières années a permis d'adapter la réglementation et de tirer des enseignements tiles por la constrction en France d'immebles de pls en pls élevés, sociex de l'environnement et respectex des principes de sécrité. Cette jornée techniqe organisée en partenariat par Cimbéton, la FFB/GIMSSI, UMGO, EGF-BTP a permis de faire le point sr la constrction des IGH en abordant tos les thèmes clés qi y sont liés. Jornées techniqes LES LIANTS HYDRAULIQUES POUR LA VALORISATION DES MATÉRIAUX EN PLACE. ÉCONOMIE, ÉCOLOGIE ET CONTRIBUTION AU DÉVELOPPEMENT DURABLE. Séminaire DALLAGES EN BÉTON : APPLICATIONS HQE ET INNOVATIONS Traitement des matériax natrels en place o en centrale, retraitement en place à froid des anciennes chassées, ces jornées organisées par Cimbéton et ses partenaires, permettent de donner n éclairage complet sr ces dex filières en abordant les aspects techniqes, réglementaires, économiqes et environnementax. Qatre jornées ont e lie en 2010 à Orléans, Montpellier, Poitiers et Roissy-Ville. Ce séminaire animé par Cimbéton en partenariat avec l'unesi (Union Nationale des Entrepreners de Sols Indstriels), le SYNAD (Syndicat National des Adjvants por Bétons et Mortiers) et le SNBPE (Syndicat National d Béton Prêt à l Emploi), permet ax prescripters de faire le point sr différentes thématiqes liées ax sols et dallages en béton, et en particlier, l information de chantier, les innovations, le rapport à l environnement. En 2010, les séminaires ont e lie à Tolose, Lille et Strasborg. 7 Salon INTEROUTE & VILLE OCTOBRE METZ Cimbéton était présent sr le salon Interote & Ville por présenter les techniqes rotières béton les pls en pointe notamment por le transport mltimodal et ses aménagements o le retraitement des chassées en place. Avec 236 exposants et visiters professionnels, cette édition était placée sos le signe de la mobilité, des technologies de l information et de l innovation. Salon POLLUTEC 30 NOV. - 3 DÉC LYON Cimbéton en partenariat avec la FIB et le CERIB a présenté totes les soltions béton por l assainissement collectif et non collectif. INFOCIMENTS 2011

8 PRODUIRE LE GRAND ENTRETIEN EN CIMENTERIE 8 Dans l indstrie d ciment, les éqipements, d moindre capter a gigantesqe for rotatif, sont somis à des conditions d exploitation extrêmes. C est porqoi ne maintenance doit être menée chaqe année, mobilisant les personnels spécialisés des cimenteries et de la sos-traitance. Dans le jargon d métier, cette remise à nivea complète des installations porte n nom : le Grand Entretien. CIMENTS CALCIA Déterminer avec précision qelles tâches de maintenance sont à effecter, sr qel éqipement et à qel moment, est n point crcial por optimiser la fiabilité et l efficience des installations. C'est encore pls vrai dans les environnements indstriels lords tels qe les cimenteries somises à des exigences de qalité et de prodctivité accres. Compte ten de l tilisation contine des fors, de la ligne de cisson et des installations annexes, n arrêt d entretien annel est nécessaire. Cette maintenance à grande échelle permet de pallier l sre des éqipements et de remplacer certaines pièces. Le Grand Entretien o GE comme on l appelle dans la profession cimentière a tojors lie drant les mois de janvier et de février, période drant laqelle le froid et la forte consommation nationale en électricité incitent les cimentiers à ralentir la prodction. Il dre de 3 à 4 semaines et mobilise des dizaines de techniciens à plein temps. Drant ce Grand Entretien, la prodction de ciment est assrée grâce ax stocks de clinker. Les interventions effectées lors de ces arrêts sont planifiées longtemps à l avance, dex ans et pls por ce qi concerne les gros investissements et d ne année sr l atre por les tâches pls corantes. Tos les secters de l amont à l aval de la ligne de cisson sont concernés par le GE. On vérifie notamment les moters et le blindage des broyers à bolets. On effecte n nettoyage en profonder des aéroglissières qi transportent le ciment vers les silos. Les convoyers sont également passés a crible, de même qe les élévaters à godets (changement de la chaîne et des godets ) et les séparaters (entretien de la trbine centrifgese). Á cela s ajotent totes les réparations mineres mises à jor lors des opérations de maintenance. Le plat de résistance demere le remplacement des garnissages réfractaires de la tor de préchaffage et d for rotatif, q'il s agisse de revêtements en béton o en briqes réfractaires voire en prodits fibrex, mis à mal par n an de contraintes thermiqes extrêmes. Un for de cimenterie est n otil indstriel lord qi ne s arrête pas d n simple claqement de doigts ; 48 heres sont nécessaires por ramener la températre de C à la normale et permettre les interventions internes. De 30 à 60% d briqetage réfractaire d for pevent alors être changés. En pls d traitement cratif, on effecte de nombrex contrôles préventifs por s assrer qe totes les machines sont aptes à spporter la prochaine campagne. C est assi le moment opportn por installer les noveax matériels. Totes les éqipes internes d experts en maintenance sont mobilisées ax côtés des entreprises sos-traitantes spécialisées dans la maintenance et la réalisation de travax nefs. L effectif pet alors varier d simple a qintple! L ensemble des corps de métiers est impliqé, d spécialiste en chadronnerie a mécanicien et à l électricien, en passant par l atomatiste, le fmiste, le monter, etc. Un sivi méticlex des chantiers est effecté matin et soir pendant tote la drée d GE. On réajste le planning initial en fonction des aléas rencontrés lors des travax. Atant dire qe si les Grands Entretiens se sccèdent, la rotine, elle, n existe pas. Nos sommes romps à ce type de missions mais la pression est intense et le rythme soten, confie ce responsable de cimenterie. C est tojors n chalenge de povoir réaliser le GE dans le respect des délais qi sont tojors extrêmement corts. C est classiqement ne période où tos les paramètres sans exception sont pris en compte por atteindre le degré optimal de fiabilité et de sécrité. Le personnel externe est tot atant concerné par les consignes de sécrité permanentes (port d casqe, gants, masqe de protection, plans de circlation, etc.) qe celi de l sine. En effet, ne riger et ne mobilisation de tos les instants conditionnent la phase de redémarrage. Il fat alors prévoir de 24h à 36h de préchaffage nécessaire por remettre en températre l ensemble de la ligne de cisson. A terme d Grand Entretien annel, tot est paré por maintenir le meiller nivea de prodction 24h/24 et garantir ax clients ne qalité de ciments optimale et d ne parfaite réglarité tot a long de l année.

9 VALORISATION ÉNERGÉTIQUE DES DÉCHETS CIMENTS CALCIA EN CIMENTERIE Certains déchets sont valorisés en cimenterie en remplacement des combstibles fossiles. L indstrie cimentière participe à l effort collectif por la préservation des combstibles fossiles en valorisant dans ses sines des qantités importantes de déchets à potentiel caloriqe intéressant. On parle notamment de Combstibles Solides de Récpération. Ces CSR sont constités de déchets textiles, d emballages ménagers, de farines animales, de pnematiqes non recyclables, de résids de broyage atomobile o de boes de station d épration séchées. L tilisation de ces CSR sélectionnés por ler compatibilité avec le procédé cimentier n a pas d impact sr le maintien de la qalité des ciments qi sont tos des prodits normalisés. s opère dans n cadre réglementaire très strict : l ADEME valide l'aptitde d procédé cimentier à détrire chaqe type de déchet agréé en tote sécrité, tandis qe des mesres en contin des rejets atmosphériqes des fors sont effectées sos le contrôle de l État (DREAL). Tojors dans ne logiqe de développement drable, la valorisation énergétiqe des CSR est ne soltion por traiter les résids d atres indstries, de préférence sitées à proximité des cimenteries. La valorisation énergétiqe totale des déchets permet, par exemple, d éliminer près de 30% d total des pnes sagés en France. Parallèlement, l tilisation de ces combstibles de sbstittion génère ne rédction de la consommation de combstibles fossiles traditionnels (charbon, fiol) tilisés por la prodction de ciments. On estime ainsi q en 2010, 27% de l'énergie calorifiqe nécessaire à ler fabrication provenait de la valorisation des déchets. A final, celle-ci s inscrit dans ne économie circlaire qi s efforce, à la différence d modèle linéaire, de ne pas épiser les ressorces tot en permettant de contrôler les déchets et les rejets. Un exemple très concret d écologie indstrielle. * L Etat de l art de la valorisation énergétiqe des déchets non dangerex en cimenterie, décembre La valorisation énergétiqe des CSR est ne logiqe gagnante à plsiers titres. Tot d abord, comme le soligne ne récente étde de l Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Énergie (ADEME)*, elle apporte n bénéfice environnemental en diminant d environ t/an les émissions de CO 2 résltant de la consommation énergétiqe des cimenteries françaises (2008). Il fat noter qe ce type de recyclage SFIC Développer ne économie circlaire Il fat absolment développer ne économie circlaire, et s y mettre tot de site, en valorisant nos déchets et les rétilisant dans notre processs économiqe. L économie circlaire s inspire d fonctionnement qasi cycliqe des écosystèmes natrels. Elle vise à convertir les déchets de certains indstriels en ressorces por d atres et pls globalement, à systématiser la valorisation des biens à la fin de ler sage. Dominiqe Borg, directer de l'ipteh (Institt de politiqes territoriales et d environnement hmain à l niversité de Lasanne-Unil), Interrogé par Agathe Remoé de l'usine Novelle in Le développement drable, Dominiqe Borg, Gilles-Larent Rayssac, Ed. Gallimard, POUR ALLER PLUS LOIN L'indstrie cimentière inscrit sa prodction dans le cadre d'n développement responsable. De la carrière a prodit fini... Une docmentation spécifiqe est éditée à ce sjet. Vos povez la conslter sr infociments.fr La valorisation des déchets en cimenterie Préserver les ressorces natrelles. Depis 1996, l indstrie cimentière s est engagée à rédire sa consommation d énergie fossile. À qels combstibles de sbstittion a-t-elle recors et qel rôle joe-t-elle ajord hi dans le traitement des déchets, cet enje majer por notre société? Ce docment fait le point sr les avantages de la valorisation énergétiqe dans le cadre d n procédé zéro déchet. - Collection Comprendre le ciment, 6 pages. Rédction des émissions de gaz à effet de serre La contribtion de l'indstrie cimentière. D où vient le CO 2 prodit lors de la fabrication d ciment? Qelles sont les soltions mises en œvre par l indstrie cimentière por rédire ses émissions de CO 2? Cette brochre fait le point sr n engagement concret en faver de l écologie indstrielle. - Collection Comprendre le ciment, 6 pages. INFOCIMENTS 2011

10 PRODUIRE LE CALCAIRE UNE ROCHE ISSUE DU VIVANT Patrick De Wever, géologe et professer a Msém National d Histoire Natrelle, évoqe le rôle q ont joé les fossiles dans la formation des roches calcaires, matéria de base por la fabrication d ciment. 10 Infociments : Le calcaire a-t-il por origine le vivant? Patrick De Wever : On a longtemps opposé le monde minéral a monde vivant alors qe cette séparation était tot simplement de à l ignorance de ce q est le calcaire : l accmlation de sqelettes et de micro animax a cors des milliards d années écolées. S étant formé sos l ea, celi-ci contient des témoins de la vie qi s y trovait : les fossiles. Ces restes d organismes marqent précisément lers époqes et ils permettent la datation des roches. Par exemple, les ammonites, mollsqes céphalopodes, sont d excellents marqers de temps. Des ensembles de coches correspondent à des périodes de l échelle des temps géologiqes. C est ainsi qe sos nos pieds, sr mètres de profonder, il n y a qe d calcaire et de l argile ; c est n volme considérable. IC : Porqoi les géologes s intéressent-ils ax carrières? PDW : Avant tote exploitation les carriers font appel ax géologes por déterminer le cbage exploitable et la composition de la roche. Depis 1993, l'overtre, l'exploitation et la fermetre des carrières sont somises à la loi sr les installations classées por la protection de l'environnement. La loi impose en particlier qe les sites soient remis en état en fin d'exploitation por être rends à lers propriétaires o confiés à ne société de gestion, selon les activités préves. Les géologes comprennent cette loi qi met en scène la biodiversité. Cependant, afin de préserver le patrimoine géologiqe, tant historiqe qe scientifiqe, ils sohaitent ne concertation entre les acters impliqés, afin qe certaines carrières restent accessibles car elles sont des fenêtres overtes sr notre Histoire!

11 BIODIVERSITÉ LA PLUS GRANDE ENTREPRISE DE LA PLANÈTE THIERRY MAMBERTI Le professer Robert Barbalt*, Président d Comité français d programme de l Unesco sr L homme et la biosphère,fait le point sr la biodiversité, la limitation des impacts liés ax activités hmaines et pls particlièrement sr la contribtion des carrières et de l indstrie cimentière à la protection de l environnement. Infociments : Comment définissez-vos la biodiversité? Robert Barbalt : C est la machine à prodire le tiss vivant planétaire dont nos avons besoin. Un tiss de milliards de vies entremêlées, interconnectées, qi ne cessent de fabriqer de la matière vivante, de régler ses déchets, de faire circler ea, azote, carbone et oxygène. On pet dire qe la biodiversité est le tiss vivant d phénomène qe l on appelle la vie. IC : D après vos, comment totes les espèces vont povoir vivre ensemble? RB : A XXI e siècle, n éqilibre est à trover entre la légitimité de l'espèce hmaine à vivre sr terre et l'exploitation des ressorces, même si elle pet nire à d'atres espèces. Derrière les menaces actelles contre la biodiversité, il y a ajord hi n mode de développement économiqe governé par ne espèce qi s est développée de façon exponentielle et a sans cesse besoin de pls d espace, de pls de ressorces : en n demi-siècle, la poplation hmaine a doblé et, dans le même temps, la plpart des consommations ont été mltipliées par six : ea, bois, combstibles fossiles, etc. Por atant, le soci de la biodiversité n'est pas novea. Les programmes initiés il y a 40 ans par des écologes scientifiqes isss de 109 pays ont aboti à ce jor à l'élaboration de pls de 500 réserves de biosphère à travers le monde. Le Comité français de l'unesco sr L'homme et la biosphère est à l'origine des 10 réserves de biosphères présentes à ce jor en France. Enfin, le Grenelle Environnement, basé sr ne consltation de différents acters de la société, dans ne approche plridisciplinaire, permet ajord hi l'élaboration de nombrex projets. IC : Qel doit-être notre rôle a cœr de la biodiversité? RB : La biodiversité, c'est ma natre, est n sjet de philosophie à méditer. Elle indit n comportement vertex et attentif de l'homme avec le monde d vivant por perdrer et s'adapter. Une meillere gestion de l'espace par notre espèce est primordiale. IC : Comment les hommes pevent-ils réfléchir à lers activités et lers impacts sr la biodiversité? RB : Por vivre, il est impératif qe l'espèce hmaine change de comportement par rapport à la biodiversité. Tot d abord, les fonctions de la biodiversité tiles ax activités hmaines, comme l épration des eax, la décomposition des déchets o encore la pollinisation des cltres commencent à être reconnes et mises en valer. À cet égard, l exemple des carrières est très probant : non selement lers responsables s efforcent de respecter les écosystèmes lors de totes les phases d'exploitation mais les carrières, et c est ne véritable opportnité, rajenissent les miliex natrels. Lorsqe s achève l exploitation d n site, la pression hmaine tombe qasiment à zéro : il n y a ni labors, ni pesticides, ni fréqentation, ni exploitation d bois. Si les carrières provoqent des pertrbations qi prodisent des rptres dans l environnement : création de falaises, apparition de parois sableses, mises à n d sbstrat minéral, elles créent d même cop n habitat acceillant por certaines espèces animales. Par aillers, por rédire les impacts des activités hmaines, l évoltion vers ne écologie indstrielle est ne priorité. L'indstrie cimentière a été pionnière en associant la performance économiqe à la protection de l'environnement. Le concept d écodéveloppement, prônant la valorisation des déchets indstriels, les résids d ne entreprise étant rétilisés dans le processs de prodction d ne atre, participe d respect de la biodiversité. L engagement des cimentiers por le développement drable est ainsi ne approche responsable et pertinente. * Robert Barbalt, est assi Vice-Président d Conseil Scientifiqe d Patrimoine Natrel et de la Biodiversité après d ministre en charge de l Écologie. La Stratégie nationale por la biodiversité (SNB) répond ax engagements d Grenelle Environnement En réponse a protocole de Nagoya d octobre 2010 sr la diversité biologiqe, le Ministère en charge de l Écologie a lancé le 19 mai 2011 la Stratégie nationale por la biodiversité (SNB) Pls de 150 organismes y ont adhéré, dont de nombrex acters de la filière cimentière. L État a lancé des appels à projets visant à la restaration des sites dégradés. Le SFIC prendra part à la SNB démontrant ainsi son engagement en faver de la biodiversité par des actions concrètes dans les domaines de la restaration des écosystèmes et de la protection des espèces et des habitats. INFOCIMENTS

12 CONSTRUIRE LE RETOUR EN FORCE DE LA DENSITÉ URBAINE SAMOA/MAVILLE.COM Avec les importants besoins de logement qe connaît la France, les villes devront se densifier et maîtriser ler étalement. Un défi qi ne porra être relevé sans la filière béton. 12 Après des décennies de discrédit, la densité rbaine fait n retor en force dans le discors des éls après d grand pblic. A point qe la loi Grenelle 2 demande de fixer des objectifs de modération de la consommation de l espace et de ltte contre l étalement rbain. En même temps, la demande de logement des Français n est pas satisfaite. La constrction de logements par an sr ne longe période comblerait la demande précise Christian Lois-Victor, Président de l Union des Maisons Françaises. La ville sr la ville La constrction de la ville sr la ville pet être ne soltion. Les friches indstrielles et ferroviaires sont des sites privilégiés. Il est également possible de constrire pls hat. Les qalités d béton, qi permettent ajord hi de concevoir des bâtiments à hate performance thermiqe et ax strctres pls légères, atorisent des constrctions qi répondent ax exigences d économie d énergie. En otre, densifier la ville existante permet de miex tiliser les réseax, les services, de rédire les déplacements et donc les émissions de gaz à effet de serre. Christian Lois-Victor le confirme : Certaines zones sont pls tendes qe d atres. En région parisienne par exemple, il est possible de densifier. Les tors pevent être ne soltion dans certains liex, mais pas majoritairement. Le qartier de l Île de Nantes est l n des pls beax exemples de densification rbaine, mêlant les sages, la qalité architectrale et rbaine. Le Grand Paris joera également n rôle central avec la constrction préve de logements par an pendant 25 ans. Maison individelle et natre Cependant, les Français sohaitent majoritairement, habiter dans ne maison individelle o dans de petits collectifs. Et ils apprécient la proximité de la natre, sos forme d n jardin individel o d n espace vert de proximité. Une demande à laqelle il est difficile de répondre avec la ville dense traditionnelle. C est porqoi les agglomérations s étendront encore. Les derniers recensements montrent qe 48% de la croissance s est effectée dans des villes de moins de habitants, majoritairement des borgs de la poplation périrbaine. L enje est désormais de constrire de belles périphéries. De concevoir des qartiers bien reliés a centre rbain par des transports en commn. Por économiser le foncier, on pet également intensifier la présence de maisons individelles sr des terrains pls petits sités en périphérie des agglomérations et desservis par des transports collectifs, préconise Christian Lois-Victor. L exemple des écoqartiers L exemple est donné par les écoqartiers. Conçs dans la continité d bâti préexistant, ils privilégient les liaisons doces et les transports en commn por rédire les émissions de gaz à effet de serre. La proximité des éqipements et des services qotidiens limite les déplacements et la nécessité de disposer de dex voitres. Les maisons, sovent mitoyennes et respectant les normes énergétiqes les pls exigeantes, permettent d économiser l énergie. La compacité d qartier rédit le coût des réseax et préserve les terres agricoles. Les maisons individelles o le petit collectif en béton apportent ne réponse intéressante ax exigences énergétiqes. Ler constrction est faiblement émettrice de CO 2 et ler conception ler permet d atteindre la norme BBC. Aparavant, la fiscalité taxait la densité. Il n en est pls de même. L avantage fiscal qi incitait à la rétention de terrain constrctible va être spprimé. La réforme d droit de l rbanisme permettra d agrandir sa maison de 40m² sans permis de constrire. Les mrs ne seront pls compris dans le calcl de la SHON (srface hors œvre nette) : ce qi permettra de prévoir des mrs pls épais sans perdre de srface habitable. Atant d éléments qi iront dans le sens de la densité. Por les professionnels, la case de la densité est entende. Mais, por les habitants, elle rime bien sovent avec insécrité, promiscité et mavaise qalité de vie. Portant, n qartier de maisons individelles et petit collectif pet avoir la même poplation q ne tor, por n terrain d assise éqivalent. C est le défi qi attend le secter de la constrction : montrer qe les formes de la densité ajord hi ne sont pls celles d hier et qe le béton pet être le vecter d ne qalité de vie retrovée.

13 FAIRE DU GRAND PARIS UNE VILLE-MONDE Directer général de l Atelier International d Grand Paris, Bertrand Lemoine s attache à fédérer les travax des dix éqipes d architectes sr des enjex rbains d Grand Paris. Por Infociments, il revient sr les principes fondaters d projet. Infociments : En qoi le Grand Paris répond-il à ne problématiqe vitale por la France? : Bertrand Lemoine : La région Ile-de-France, qi rénit le 6 e de la poplation nationale et près d tiers d prodit intérier brt, doit consolider sa place de centre attractif por tote l Erope. L objectif est de faire d Grand Paris ne ville-monde, à la fois écologiqe, belle, cltrelle et solidaire. IC : L'État et la région Ile-de-France ont apprové le tracé d Grand Paris Express. En qoi consiste ce projet? BL : Élément majer d Grand Paris (à lire par aillers), ce projet consiste en la mise à nivea des principales lignes de RER, de novelles lignes de métro atomatiqe o de transports pblics associés à la création, ainsi qe le redéploiement de qelqe soixante-dix gares. Il inclt des lignes de rocade ator de Paris, la desserte des aéroports et des lignes desservant la grande coronne. IC : Qelles sont les grandes lignes de l aménagement rbain? BL : Por faciliter la vie des habitants, il est prév de constrire logements nefs par an a cors des vingt-cinq prochaines années, soit le doble d rythme actel. IC : Constrire pls, est-ce constrire différemment? BL : Oi, il va falloir à la fois mettre en œvre les objectifs définis dans les plans d action Grenelle 1 et 2, mais pls largement inscrire le développement de la métropole parisienne dans ne perspective de développement drable solide et exemplaire. IC : En qoi la filière béton ara-t-elle n rôle clé? BL : Avec n projet d ne telle envergre, c est l ensemble des indstries françaises d bâtiment qi vont être sollicitées. Car si les enjex sont qantitatifs, ce qe nos attendons des professionnels, c est q ils nos proposent des soltions innovantes, pls soples, pls économiqes, pls écologiqes et faciles à mettre en œvre. La filière béton sera n des acters majers d chantier d Grand Paris. JEAN-FRANÇOIS MAUBOUSSIN L Arc Express, n métro de banliee à banliee Le projet Arc Express proposera en 2017 ne rocade de métro atomatiqe en proche coronne d ne soixantaine de kilomètres. Il reliera des commnes de banliee entre elles, sans passer par Paris. Majoritairement soterrain, Arc Express comportera ne qarantaine de stations, en correspondance avec n grand nombre de lignes de transport en commn existantes o en projet. 13 INFOCIMENTS 2011

14 CONSTRUIRE DU BBC VERS DES LOGEMENTS PASSIFS À n moment où la maison basse consommation (BBC) est en passe de devenir le standard en matière de constrction neve avec la RT 2012, certains cherchent déjà les soltions à mettre en œvre por proposer ne maison passive, dite assi sans chaffage et conforme à la ftre règlementation thermiqe Les prodits en béton ajord hi disponibles sr le marché offrent des opportnités à la fois techniqes et économiqes por constrire ce type de maisons à des coûts accessibles à la majorité de nos concitoyens. 14 Depis de nombreses années, n certain nombre d'obligations réglementaires ont été prises en ce sens, dont les pls connes sont les réglementations thermiqes sccessives : RT2000, RT2005 et bientôt RT2012. Anticipant la RT2012, le label BBC fixe n objectif de consommation maximm à ne pas dépasser : 50 kwh ep/m 2.an en moyenne. Ce nivea BBC est deven la base servant à l'attribtion des aides concédées par l'état (PTZ + et dédctions fiscales.) À peine la constrction neve s est-elle alignée sr ce novea standard, qe déjà se profile le novel objectif qi nos sera fixé lors de l'élaboration de la phase règlementaire sivante (2020) : la maison passive. Q'est-ce q'ne "maison passive"? Sovent appelée maison sans chaffage, la maison passive s'inspire des expériences menées depis les années 1990 en Allemagne (label Passivhas). C est ne constrction très basse consommation (15 kwh ep/m 2.an por le chaffage) basée sr la récpération et l'tilisation de la chaler d soleil (énergie gratite), sr ne très forte isolation des mrs et des fenêtres, sr l'absence de pont thermiqe, sr ne étanchéité à l'air extrêmement performante, et sr n contrôle possé de la ventilation. Por l obtenir, il est nécessaire de prévoir : ne conception bioclimatiqe de la constrction (orientation, compacité etc.) ; des mrs très performants : U< 0.15 W/m 2 an ce qi sppose l'obligation de traiter les ponts thermiqes ; des fenêtres orientées principalement vers le sd et éqipées de meniseries à caractéristiqes thermiqes importantes ; ne ventilation doble flx à récpération de chaler. La maison passive en France demain! L'objectif de ces bâtiments est d'essayer de capter totes les sorces d'énergies gratites tot en limitant a maximm les déperditions. Cette Passivhas est donc très logiqement adaptée ax nécessités d'économiser l'énergie dépensée en chaffage lors de périodes climatiqes assez rigoreses. Cependant ce climat continental ne représente pas la diversité des sitations climatiqes qe nos povons rencontrer en France. Por les zones océaniqes, beacop pls tempérées, il s'agit d adopter ne stratégie de bioclimatiqe solaire pltôt q ne stratégie d isolation (épaisser de l isolant). Il fat veiller à obtenir ne inertie importante, indispensable por accmler et diffser les apports solaires. Por les zones méditerranéennes il y a dex possibilités complètement différentes de réaliser ne maison passive. Soit on reste sr la lancée d'ne maison très isolée, et il fadra la rafraîchir, soit on adopte les soltions de climat chad, tot en gardant qelqes ajstements por passer l'hiver sans chaffage. Hors l installation de climatisation énergivore les moyens disponibles ne sont pas nombrex. Il fat miser sr la srventilation noctrne d'ne part, et sr l'inertie thermiqe d bâtiment d'atre part. Le béton, matéria à capacité thermiqe importante, confère natrellement à la constrction cette inertie recherchée! Associés à des systèmes de srventilation noctrne, à des pits canadiens, les éléments en béton de la constrction par ler capacité de stockage de la chaler et de restittion lors de ventilations noctrnes sont n moyen essentiel permettant la réalisation de bâtiments passifs faiblement consommater d énergie et agréables à vivre en hiver comme en été. MAISON JAMBERT

15 L'INERTIE THERMIQUE, QU'EST-CE QUE C'EST? Dans n pays où la constrction est traditionnellement minérale, les effets de l'inertie thermiqe sont conns depis très longtemps. Tot le monde a à l'esprit l'image de constrctions ax mrs très épais qi restent particlièrement fraîches en été. L'inertie caractérise le comportement d'n matéria o d'n mr face ax variations de températre de ler environnement. Elle est conditionnée principalement par ne propriété appelée capacité thermiqe : c'est la faclté de ce matéria o de ce mr à absorber et à stocker d chad o d froid. En permettant de stabiliser les températres à l'intérier des bâtiments,l'inertie thermiqe est n gage de confort por les occpants. Elle est conditionnée par l'emploi de matériax à forte capacité thermiqe por les mrs, les planchers et les cloisons. Matéria à forte inertie, le béton associé à n bon isolant et à ne ventilation soignée, permet de valoriser a maximm les bénéfices de l'inertie. Démonstration. 15 Privilégier n matéria à forte capacité thermiqe En effet, lorsq'il est somis à ne variation de températre, le mr se comporte n pe comme ne éponge : comme l'éponge gonfle en présence d'ea, le mr li se réchaffe en absorbant ne partie de l'énergie reçe. Tos les matériax (constittifs d mr) ne possèdent pas les mêmes capacités thermiqes : por n même apport d'énergie en n temps donné, les matériax ne vont pas sbir le même échaffement. Cette capacité thermiqe s'exprime en joles (donc de l'énergie) rapportée a volme d matéria (qi a donc son importance dans le phénomène d'inertie). L'inertie thermiqe qi permet de stabiliser les températres à l'intérier des bâtiments sera donc conditionnée par l'emploi de matériax por les mrs (mais assi les planchers et les cloisons) à forte capacité thermiqe, comme le béton, avec n volme conséqent. Soigner la ventilation d bâtiment Si l'on reprend l'exemple de l'éponge, qand celle-ci est satrée en ea il est nécessaire de l'essorer afin q'elle pisse à novea se remplir. Il en est de même por les matériax de constrction : Qelqes capacités thermiqes selles de matériax Matériax corants Bois de charpente 960 Béton Terre cite Pierre l'inertie thermiqe joera son rôle à plein si les matériax sont réglièrement vidés de l'énergie thermiqe q'ils ont emmagasinée. C'est le rôle de la ventilation natrelle o mécaniqe. On comprend alors q ne srface d'échange importante est donc nécessaire entre matériax (mrs, planchers, cloisons ) et atmosphère intériere. Une bonne Capacité thermiqe (kj/m 3.K) inertie thermiqe est n facter déterminant por le confort de vie en particlier en mi-saison et en été. Les mrs à forte capacité thermiqe, pendant la jornée, accmlent la chaler venant de l'extérier et donc réglent natrellement la températre intériere. La nit, grâce à ne bonne ventilation, ils échangent l énergie ainsi accmlée et se refroidissent. Por terminer, il fat soligner q'il ne fat pas confondre isolation et inertie thermiqe. L'isolation caractérise le fait q'n matéria freinera les évoltions de températre sans stocker de l'énergie. Isolation et inertie sont des caractéristiqes différentes mais complémentaires. L'emploi combiné d'n bon isolant avec n matéria à forte inertie telle qe le béton permet de valoriser a maximm les bénéfices de l'inertie. INFOCIMENTS 2011 CABINET LANCEREAU ET MEYNIEL

16 CONSTRUIRE LE PONT DE TÉRÉNEZ UN OUVRAGE D ART EXCEPTIONNEL EN BÉTON 16 Le premier pont corbe à habans de France a été inagré en avril Le novea pont de Térénez, en Bretagne, détient le record d monde de portée por ce type de travée et cette particlarité fait de cet ovrage n véritable chef-d œvre architectral. LAURENT LAVEDER C est en ces termes qe le Président d Conseil Général d Finistère, Pierre Maille, a salé la fierté collective d Département d avoir mené à bien ce projet. Et lorsqe l on voit, côte à côte, l ancien pont sspend overt en 1925 et reconstrit dans les années 50, et le novea pont de Térénez, on ne pet q être émerveillé par l élégance et l adace de l ovrage en béton. Avec son profil aérien, il s intègre parfaitement a paysage de la vallée de l Alne. Le concepter de ce projet, l ingénier en chef des Ponts et Chassées Michel Virlogex, ancien président de la Fédération Internationale d Béton, a déjà conç pls de 100 ponts. Il décrit le novea pont comme ne silhoette élancée d ne rote posée sr dex pylônes ax formes éprées, inclinés comme cochés par les vents dans ce paysage magnifiqe. Associé à l architecte Charles Lavigne, l ingénier a s relever le défi de créer dans n lie confiné disposant d n accès rotier étroit n pont a tracé corbe, assrant ne meillere insertion dans le site. En effet, à véhicles emprntent chaqe jor cet itinéraire stratégiqe por le développement économiqe, social et cltrel de la péninsle finistérienne. Fondations, pylônes et tablier en béton Pas moins de m 3 de béton ont été nécessaires à la constrction d pont. Compte ten d lie de constrction, n milie marin avec ne salinité de l air importante, n béton spécifiqe a été conç por l ovrage. Établi avec des granlats marins en provenance d terminal sablier de Qimper, le béton d Pont de Térénez a ne tener en chlorres très faible. Le pont offre sr 515 mètres ne chassée à dex voies de circlation de 7,50 mètres assortie de dex cheminements de 2,40 mètres de part et d atre por les piétons, les cyclistes et les cavaliers. Sr ce tablier en forme d assiette renversée, la chassée occpe la partie spériere et les trottoirs sont en contrebas. Por des raisons de pérennité et d entretien, le tablier a été conç en béton armé. Dex pylônes en forme de lambda d ne hater de 100 mètres a desss de l Alne spportent le tablier tot en corbe. Le béton s est trové le matéria le miex adapté à la constrction de ces pylônes car ils sbissent des efforts de compression importants. S y accrochent 72 paires de habans. Les pylônes à mat niqe inclinés reprennent ainsi les efforts dirigés par les habans et limitent les flexions sos l effet de charge permanente. Dex caractéristiqes essentielles rendent le pont en béton de Térénez si spécial. Il bat le record mondial de longer de travée corbe habanée avec ne portée de 285 mètres. De pls, le déport latéral de la tête des pylônes par rapport à l axe d tablier d fait de la corbre de l ovrage est ne particlarité qi, associée à la longer de la travée centrale, fait de ce pont n ovrage original et remarqable qi n a pas d atre exemple de réalisation dans le monde. Michel Chevalet

17 LE MONT SAINT-MICHEL UN RETOUR À LA MER THOMAS JOUANNEAU/SIGNATURES La constrction d barrage sr le Coesnon, achevée dernièrement, constite la première étape d grand projet de désensablement d Mont-Saint-Michel, dont le bt final est de rendre le Mont à la mer en rétablissant le caractère maritime qi sert d écrin à l n des hats liex de l hmanité, inscrit sr la liste d patrimoine mondial. En alliant robstesse d génie civil et insertion dans n environnement assi magnifiqe qe sensible, le barrage sr le Coesnon a fait l objet d ne étde architectrale possée. Il se compose de hit passes hydraliqes de 9 mètres de large, éqipées de vannes secters qi permettent le remplissage d Coesnon à marée hate et la chasse hydraliqe à marée basse qi reposse les sédiments pls a large. Le barrage pet stocker a maximm m 3 d ea. Dex lâchers d ea entre 2 à 5 heres ont lie chaqe jor en fonction des marées et d volme stocké. Débit maximm de 100 m 3 /s, soit ne vitesse d écolement de 7,2 km/h. L originalité de ce barrage est de laisser circler l ea dans les dex sens, ce qi le différencie des ovrages flviax habitels. Il doit rétablir l amplitde et la fonction natrelle des marées et se servir des flx et reflx marins por chasser la pls grande partie des sédiments qe la mer apporte. Tot repose sr les vannes secters ax mécanismes de précision horlogère qi sivent le cycle des marées. Ainsi, dex fois par jor, qand la mer descend, les vannes actionnées par des vérins s ovrent progressivement. L ea stockée à marée hate s école par le fond et amplifie le débit natrel d fleve, rabotant ainsi les fonds et entraînant les allvions vers le large. Le balcon maritime est le sel endroit de la baie a-desss des eax où il soit possible de demerer lors des marées. Il est dessiné comme n espace sspend, projeté vers le Mont, sr cette ligne de partage symboliqe entre baie et intérier des terres. Sept formles de béton ont été étdiées por les différentes parties d ovrage por résister à l ea salée et à l air marin. Por tos ces bétons n sel type de ciment a été tilisé, le CEM III/A PMES qi convient ax travax en mer et en eax slfatées et permet d obtenir ne bonne compacité d béton. Un soin particlier a été accordé à la réalisation de l ensemble des bétons. Des traitements variés sont facilement observables sr les différents parements depis les berges lorsq on aborde le barrage par l aval et, srtot, par l amont : béton cannelé horizontalement por les voiles des clées o béton rainré por les voiles des locax techniqes sités sos le pont promenade. La grande cohérence techniqe, architectrale et environnementale d barrage a été coronnée en jin 2010 par le Grand Prix National de l Ingénierie attribé à M. Denis Carlier, ingénier Génie Civil et directer d projet d barrage, ainsi q à l éqipe de maîtrise d œvre. Le projet de rétablissement d caractère maritime d Mont-Saint-Michel se terminera en 2015 avec la réalisation d ne novelle dige-rote, d n pont-passerelle et d n terre-plein a pied d Mont. Et en 2025, le Coesnon ara reformé n large estaire en relation directe avec la Manche, avec a milie n îlot de granit qi portera la Merveille des Merveilles. Michel Chevalet 17 THOMAS JOUANNEAU/SIGNATURES

18 VIVRE LE BÉTON, NATURELLEMENT UNE CAMPAGNE QUI MOBILISE LA FILIÈRE 18 Accompagner le passage à la RT 2012, tot en promovant les bénéfices des soltions béton por ne constrction drable, tel est l objectif de la campagne qi mobilise la filière béton jsq en L a constrction drable est n enje majer de notre époqe. Il s agit de proposer a pls grand nombre des soltions constrctives tojors pls pérennes, confortables, économiqes et écologiqes. En 2009, les résltats de l étde Qalité Environnementale des Bâtiments (QEB) avaient légitimé le béton comme l n des matériax cardinax de la constrction drable. L occasion de soligner q il est possible, malgré les idées reçes, de bâtir sa maison basse consommation (BBC) à l aide des systèmes constrctifs bétons, aisément accessibles sr le marché et adaptés ax arbitrages financiers des foyers. Sr cette base, la filière béton porsit sa démarche d information et de sensibilisation des particliers en organisant ne grande campagne nationale de promotion de la maison BBC : Le Béton, natrellement!. Béton = Économie + Confort + Écologie + Esthétiqe Temps fort de l opération : le concors Le Béton, natrellement! propose ax propriétaires de maisons BBC béton d inscrire ler maison en projet, en cors de constrction o déjà réalisées sr le site Internet Un jry constité de professionnels d secter et de jornalistes spécialisés désignera les 100 meilleres maisons BBC en s appyant sr les qalités de confort de la maison (thermiqe, acostiqe, etc.), son originalité ainsi qe son degré d éco-conception (orientation, éqilibre entre le bâti et les éqipements, etc.) et de performance énergétiqe (50 kwh ep/m 2.an de consommation énergétiqe constitent le maximm, conformément à la règlementation thermiqe 2012 obligatoire à partir d 1 er janvier 2013). Un concors richement doté Les 100 meilleres maisons BBC seront récompensées : 60 prix de eros por n projet de maison o ne maison enconstrction ; 40 prix de eros por ne maison déjà réalisée. Un prix spécial Cop de cœr d pblic sera également décerné à la maison o a projet de maison qi ara obten le pls de votes des internates. Les constrcters remporteront, qant à ex, eros sos la forme d n kit de commnication. Les remises des prix aront lie à l occasion d salon Faire constrire sa maison en septembre 2011 et dans le cadre de la Foire de Paris, en avril 2012.

19 UN TROPHÉE BÉTON POUR LES JEUNES DIPLÔMÉS DES ÉCOLES D ARCHITECTURE À partir de la rentrée 2011, les jenes diplômés des écoles d architectre porront concorir por n novea trophée béton. Lancé à l initiative de Franck Hammotène, Président de Bétocib, en partenariat avec Cimbéton et l École Française d Béton, ce trophée a por bt de révéler les jenes diplômés des écoles d architectre, de les parrainer et de ler offrir ne visibilité à l orée de ler entrée dans la vie professionnelle. Intitlé Béton, liberté de l espace, ce trophée invite les ftrs professionnels à s interroger sr les qalités esthétiqes, techniqes et environnementales d matéria béton. Il récompensera trois projets de fin d étde (PFE), évalés selon des critères tels qe la démarche personnelle dans l tilisation jdiciese d béton, la qalité architectrale d projet, l approche strctrelle et constrctive ainsi qe sr la prise en compte des règlementations en viger. Les étdiants ayant présenté ler PFE ax sessions de jin 2011, février et jin 2012, sont invités à s inscrire dès à présent sr le site La première remise des prix ara lie à la fin de l année Renseignements : EFB, tél HUGO MoToR ET SES VARIATIONS BÉTON L artiste HUGO MoToR exposait récemment ses sclptres en béton à l'espace Oscar Niemeyer. Monbeabéton, partenaire de l exposition, est allé à sa rencontre. Monbeabéton : Á qoi correspondent ces personnages qi habitent votre œvre? Hgo Motor : Il s agit d ne représentation de l hmanité. Il y en a exactement 1024, tos différents. C est l éqivalent de 2 pissance 10, de dialoge pissance 10. C est assi le chiffre des sondages. C est ne façon por moi assi de sonder les personnages qe j ai créés. L organisation de la société, ses rptres comme ses interpénétrations, sont a centre de ma recherche artistiqe. MBB : Depis qand tilisez-vos le béton? HM : J ai commencé à l tiliser, il y a 20 ans, parce qe je cherchais à la fois n liant qi rattache la terre ax hmains et ne matière qi relie les hmains entre ex. J ai pensé a béton parce qe je savais q il était fabriqé à partir de l argile et d calcaire, qelqe chose qi existe sos nos pieds, qi nos sotient tos. Et j ai pensé qe le béton ne méritait pas d être considéré comme n matéria froid, qi créait de la distance et de la violence dans les cités. A contraire, c est l n des sels liens solides. Et d n point de ve prement techniqe, j adore sclpter, moler et transformer le béton. Il sait tot faire, tot dire. HUGO MoToR INFOCIMENTS 2011

20 VIVRE LA QUALITÉ DE L AIR INTÉRIEUR POUR DEMAIN Si l étanchéité à l air des bâtiments est n critère por atteindre les niveax de consommation rends obligatoires par la RT 2012, cette étanchéité porrait s avérer préjdiciable à la qalité de l air intérier. Le docter Odile Massot fait le point sr la réglementation en viger, les sorces de polltion potentielles et les soltions recommandées. 20 Cependant cette étanchéité accre des bâtiments porrait s avérer préjdiciable à la qalité de l air intérier. On porrait assister à ne agmentation des concentrations de pollants dans l habitat si le renovellement de l air intérier est mal appréhendé avec ne ventilation inadaptée o mal gérée. Les étdes menées par l Observatoire de la Qalité de l air intérier sr 567 bâtiments disséminés sr le territoire français ont montré, entre atres, d importantes concentrations de pollants chimiqes COV (composés organiqes volatils) dans l air intérier des habitats expertisés. Or, certains de ces pollants chimiqes (benzène et formaldéhyde notamment) ont n impact sanitaire important a nivea respiratoire. Le décret n d 23 mars 2011, (par a Jornal Officiel d 13 mai 2011) relatif à l étiqetage des prodits de constrction (revêtement de mr et de sols, peintres et vernis) concernant lers émissions de pollants volatils va permettre de miex anticiper, lors de la constrction et l aménagement de locax, les prodits émissifs délétères por la santé des occpants. A nivea sanitaire, ceci est déjà ne avancée. Les différentes sorces de polltion dans l habitat. Le béton, li, est inerte et minéral : il n émet donc pas de COV et son alcalinité li confère des propriétés intéressantes qi empêchent le développement de ces micro-organismes dont on connaît l incidence sr l asthme et l allergie. H. ABADIE Un changement de comportement des habitants s impose à l avenir. Le renovellement d air dans les bâtiments étanches sera la clé de la qalité de l air de demain, car il joera assi sr cette hmidité liée à la vie des occpants dans les locax. Une information sera donc nécessaire après des habitants por les aider à conserver ne qalité de l air intérier nécessaire à ler santé. En effet, si les recommandations simples por évacer les pollants étaient jsq à ce jor d ovrir les fenêtres, les contraintes énergétiqes de demain nécessiteront des systèmes de renovellement d air incorporés à la constrction. Ces systèmes devront maîtriser à la fois l hygrométrie, la températre et la qalité de l air por maintenir n environnement intérier sain. Ceci impose n changement de comportement des occpants car l overtre des fenêtres préconisée sera ne dépense énergétiqe novelle contraire à la RT2012. De pls, l entretien réglier, rigorex de tot système de ventilation sera nécessaire afin qe les occpants de ces bâtiments bénéficient d n air de qalité! D r Odile Massot, consltante environnement bâti et santé. À l avenir, les sorces de polltion venant des occpants par l tilisation de différents prodits d entretien et volatils porraient être pls importantes qe celles émises par les matériax d aménagement intérier. De pls, il ne fat pas oblier qe les habitants prodisent de l hmidité sos forme de vaper d ea qe ce soit par ler simple respiration o par ler mode de vie. Or, si ce tax est spérier à 60% dans l air intérier, il entraîne ne dégradation des matériax, des émissions annexes et condit à l apparition de moisissres. Ces noveax pollants pevent alors altérer la santé des occpants. L importance de la ventilation La ventilation doble flx se développe, notamment dans les bâtiments BBC (basse consommation), où elle permet ne bonne gestion des flx d air, mais nécessite ne installation soignée et n entretien sivi (changement des filtres notamment). La gestion de l air se fera par des systèmes doble flx adaptés. Par conséqent, les habitants devront impérativement changer de comportement. Ceci est essentiel dans les bâtiments très étanches où la ventilation est nécessaire à la santé des occpants et à la protection d bâti. La bonne performance thermiqe nécessite ne bonne étanchéité des réseax et n passage impératif en volme chaffé. Il fadra également éviter d tiliser des poêles o inserts non étanches, c est-à-dire qi ont besoin d ne entrée d air dans la pièce por fonctionner sans risqe por les occpants. Le point clé dans les économies d énergie et de santé sera la ventilation... Anne Marie Bernard, consltante Brea d Étdes Aéraliqes et Acostiqe, ALLIE AIR

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