La dynamique du dopage : justification, intention d agir et comportements chez les adolescents

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1 La dynamique du dopage : justification, intention d agir et comportements chez les adolescents Atelier C : Education pour la santé, entraînement, dopage, performance et APS. Fabrice Olivier LORENTE 1, Marc SOUVILLE 2, Jean GRIFFET 2, Laurent GRELOT 1 1- Laboratoire UPRES EA 3285 "Déterminants physiologiques de l activité physique", IFR 107 «Marey», Université de la Méditerranée, France. 2- Laboratoire UPRES EA 3294 "Sport et Adaptation", IFR 107 «Marey», Université de la Méditerranée, France. Résumé : Pour comprendre les motifs du passage à l acte de se doper, et pour adapter les campagnes de prévention aux publics ciblés, il est nécessaire de saisir la dynamique du phénomène dopage. Les comportements, les représentations, et les intentions d agir participent à cette dynamique. Pour étudier cette configuration chez les adolescents, nous avons questionné un échantillon représentatif de 1200 élèves inscrits en classe de troisième dans les établissements publics de l académie d Aix-Marseille. Les résultats indiquent que les faibles effectifs constatés parmi les consommateurs déclarés de substances avérées dopantes ne nous permettent pas d étudier la place des comportements de consommation dans la dynamique du dopage. D autre part, la justification du recours au dopage varie selon le domaine d application considéré : sport valide, handisport, performance non-sportive. De plus, Il apparaît clairement que les adolescents n excluant pas la possibilité de recourir un jour au dopage justifient plus aisément la prise de substances, et ce, quel que soit le type de performance à réaliser. Enfin, l analyse de la régression logistique a fait apparaître des facteurs de risque de l intention de recourir au dopage, parmi lesquels le fait d être un sujet de sexe masculin. Mots-clés : dopage, adolescents, justification, intention, consommation

2 La dynamique du dopage : Justification, intention d agir et comportements chez les adolescents Fabrice Olivier LORENTE 1, Marc SOUVILLE 2, Jean GRIFFET 2, Laurent GRELOT 1 1- Laboratoire UPRES EA 3285 "Déterminants physiologiques de l activité physique", IFR 107 «Marey», Université de la Méditerranée, France. 2- Laboratoire UPRES EA 3294 "Sport et Adaptation", IFR 107 «Marey», Université de la Méditerranée, France. Introduction Au delà de l approche épidémiologique de l usage de produits dopants chez les adolescents nord-américains (Yesalis et al., 1993 ; Tanner et al., 1995 ; Melia et al., 1996, etc.) et européens (Turblin et al., 1995 ; Kindlundh et al., 1999 ; Nilsson et al., 2001, etc.), des études ont interrogé les représentations du phénomène auprès de diverses populations (Laure et Reinsberger, 1995 ; Nocelli et al., 1998 ; Olrich et Ewing, 1999). Pour comprendre les motifs de consommation de produits dopants, il nous semble indispensable de tenir compte de la dynamique qui fait intervenir des comportements de consommation rapportés, des représentations de ces comportements et la justification de ceux-ci. Au vu de la littérature, la démarche exploratoire qui est la notre vise la mise en convergence de l axe «consommation de substances», de l axe «représentations», permettant d estimer la subjectivité des populations interrogées sur le thème du dopage sportif, et de l axe «intention d agir». Concernant ce troisième axe, notons que la théorie de l action raisonnée (Ajzen & Fishbein, 1980) indique que le meilleur prédicteur de la conduite est l'intention d'agir. Celle-ci dépend à la fois de l'attitude de la personne vis-à-vis de l'action et de la norme personnelle concernant cette action. L'attitude est fonction de la valeur du résultat attendu de l'action, multipliée par la probabilité que ce résultat se produise. Pour restituer cette configuration nous nous proposons d étudier les comportements de consommation de substances (à des fins qui ne sont pas systématiquement dopantes), les jugements sur des situations de dopage, les intentions rapportées de recourir au dopage et les facteurs de risque associés à ces intentions. Nous formulons alors l hypothèse selon laquelle la position des adolescents face au dopage sportif est de type multifactorielle, donc complexe. La justification du dopage par les adolescents varierait selon le contexte dans lequel il se produit et serait d autant plus importante chez les adolescents qui déclarent vouloir y recourir. Méthode Nous avons questionné un échantillon de 1200 collégiens inscrits en classe de troisième dans l académie d Aix-Marseille. Cet échantillon est représentatif de la population totale des élèves de troisième de l académie d Aix-Marseille du secteur public au regard des zones géographiques (les 15 bassins de formation sont représentés, le nombre d élèves à interroger dans chacun d eux a été proportionné), et de l orientation scolaire (générale, technologique, et insertion). Par ailleurs, les variables âge, sexe, et profession et catégorie sociale du chef de famille ont été contrôlées à posteriori, de sorte que 2

3 l échantillon soit également représentatif de la population parente au regard de celles-ci. L outil utilisé pour la collecte des données est le questionnaire auto-administré. Les conditions de passation du questionnaire ont été standardisées. Après avoir répondu, chaque élève déposait son questionnaire dans une pochette commune de sorte que l anonymat et la confidentialité des réponses étaient assurés. Les données ont été recueillies au printemps Par la suite, l analyse des données a été réalisée à partir du logiciel SPSS (Statistical Package for the Social Sciences), version Nous avons réalisé des tris à plat afin de disposer de données descriptives, puis des tris croisés (χ²) permettant d apprécier le degré de signification des croisements de variables deux à deux. Nous avons ensuite effectué des analyses factorielles en composantes principales (Rotation Varimax, avec normalisation de Kaiser) afin d'identifier des variables sous-jacentes, ou facteurs, qui permettent d'expliquer le patron des corrélations à l'intérieur d'un ensemble de variables observées. Nous avons enfin opéré une analyse de régression logistique binaire sur variable dépendante en vue d'élaborer un modèle final multivarié. Résultats Le taux de réponse est de 96% (1152 répondants sur 1200 attendus). Les réponses obtenues aux questions relatives à la consommation de substances montrent que 6,6% des collégiens consultés déclarent fumer entre cinq et dix cigarettes par jour. Ils sont 3,3% à en fumer plus de dix par jour. Interrogés sur leur consommation d alcool, 18,2% admettent en avoir bu une ou deux fois durant les 15 jours précédant l enquête, 20,3% prétendent avoir pris un ou deux verres au cours de la dernière semaine et 1,3% affirment boire de l alcool tous les jours. La prévalence de la consommation des autres substances étudiées est présentée en détail dans le tableau 1. Tableau 1. Consommation rapportée de substances. Substances n =1152 Tabac (> 5 cigarettes/jour) 17% Cannabis 34 % Alcool (>2verres/semaine) 22 % Anti-inflammatoires 62 % Vitamines 64 % Protéines 12 % Stéroïdes anabolisants 0,3 % Les faibles effectifs constatés parmi les consommateurs déclarés de substances réputées dopantes (Stéroïdes anabolisants par exemple) ne nous permettent pas d étudier la place des comportements de consommation dans la dynamique du dopage. En conséquent, 3

4 nous avons fait le choix de centrer l analyse sur les relations entre les représentations du dopage et les intentions rapportées d y recourir. Les questions relatives à l intention rapportée de se doper révèlent que 40,7% élèves interrogés se disent plutôt ou tout à fait prêts à prendre des produits dopants pour gagner une compétition sportive majeure s ils étaient assurés que cela ne produise aucun effet négatif sur leur santé. En revanche, ils ne sont plus que 6,1% à répondre de manière identique lorsque l absence d effets négatifs sur la santé n est plus précisée dans la question. Les résultats montrent également que 52,5% des sujets interrogés estiment qu il est «justifiable» qu un individu se dope pour améliorer une performance autre que sportive. La prise de substances dopantes par un individu dans le domaine sportif est justifiée par 14,5% d entre-eux. La proportion passe à 23,6% lorsqu il s agit d un handicapé qui se doperait pour participer à une compétition sportive (Tableau 2). Tableau 2. Les trois facteurs issus de l Analyse en Composante Principale sur la justification du dopage par les collégiens interrogés (n=1152). Composante Facteur 1 Facteur 2 Facteur3 AC*=0,81 AC=0,78 AC=0,79 1.un cadre d entreprise pour tenir le coup 0, un handicapé pour participer à une compétition sportive - - 0,883 3.un étudiant pour réussir un examen 0, un individu qui cherche à gagner une compétition sportive - 0,799-5.un auteur pour réaliser une œuvre littéraire et/ou artistique 0, un sportif amateur pour améliorer ses propres performances - 0,781-7.un sportif qui veut battre un record dans sa discipline - 0,798-8.un handicapé qui veut battre un record dans sa discipline sportive - - 0,793 9.un jeune diplômé pour monter rapidement en grade 0, un sportif qui ne parvient plus à progresser - 0,751 - *AC, Alpha de Crombach (consistance interne). Trois grands facteurs ont été identifiés par l analyse factorielle : Le facteur 1, que nous nommerons «Concurrence sociale / emploi», le facteur 2 désigné comme «Sport valide» et un facteur 3 appelé «handisport». Pour rendre compte des relations entre l intention rapportée de se doper et la manière de justifier le dopage, nous avons effectué des tris croisés (χ²) en étudiant la dépendance des variables deux à deux. Le tableau 3 montre ainsi que 59,6% des individus favorables à une prise future de produits dopants justifient la prise de substances pour améliorer une performance autre que sportive contre 48,5% pour ceux qui réfutent l idée de se doper un jour (p.<0,001). Il en va de même lorsque l on considère la 4

5 justification du dopage dans le milieu sportif valide (16,8% contre 11,6%, p.<0,05) et handisport (28,2% contre 20,7%, p.<0,005). Tableau 3. Relations entre l intention rapportée de prendre des produits dopants et la justification du dopage dans divers domaines (n=1152). justifsocial a P. justifsport b P. justifhand c P. orjo+ d 277(59,6%) <, (16,8%) <, (28,2%) orjo- e 330 (48,5%) 79 (11,6%) 141 (20,7%) <,005 jo&sante+ f 48 (64%) <,05 22 (29,3%) <, (37,3%) jo&sant- g 559 (52,2%) 145 (13,5%) 244 (22,8%) <,005 a justifie l usage de substances dopantes pour améliorer une performance non sportive. b justifie l usage de substances dopantes pour améliorer une performance sportive. c justifie l usage de substances dopantes pour améliorer une performance en handisport. d Intention déclarée de recourir à des produits dopants si l absence d effets sur la santé est garantie. e Intention déclarée de ne pas recourir à des produits dopants même si l absence d effets sur la santé est garantie. f Intention déclarée de recourir à des produits dopants même si l absence d effets sur la santé n est pas garantie. g Intention déclarée de ne pas recourir à des produits dopants si l absence d effets sur la santé n est pas garantie. Il est toutefois indispensable de pousser l analyse plus en avant car le caractère multifactoriel des phénomènes étudiés nécessite que l on soit attentif aux «facteurs de confusion». Le détail des résultats de la régression logistique binaire sur la variable «intention de se doper» est présenté dans le tableau 4. Tableau 4 : «Facteurs de risque» liés à l intention de se doper. Modèle de la régression logistique n =1152 Facteurs présentés Odds ratio P. Sexe masculin 1,4 <.01 Considère que le dopage ne fausse pas les résultats* 1,5 <.05 A déjà fumé du cannabis/marijuana 4,6 <.001 A déjà pris des protéines** 1,1 NS A déjà pris des tranquillisants 1,5 <.05 *Ayant répondu pas d accord ou pas du tout d accord avec le fait que le dopage fausse les résultats sportifs. ** En complément alimentaire. P. : niveau de signification du test. NS. : Non significatif. 5

6 Le tableau 4 se lit de la façon suivante : les élèves de troisième de sexe masculin ont 1,4 fois (Odds ratio ; P.<0,01) plus de risque de se dire prêts à utiliser des produits dopants que les filles. Discussion Nos résultats accréditent l hypothèse initiale, à savoir que la position des adolescents interrogés face au dopage apparaît comme un phénomène multifactoriel complexe dans lequel la justification du dopage varie selon le contexte mais aussi selon l intention rapportée d y recourir. Les adolescents interrogés dans cette enquête justifient différemment le recours à des substances dopantes selon que l on considère le domaine du sport valide, de l handisport, ou le domaine de la performance non-sportive (cadre d entreprise, étudiant, etc.). Les relations entre la justification du dopage et l intention rapportée d y recourir montrent que le fait d envisager une prise de substances passe par la légitimation de celle-ci. Ainsi, les individus déclarant vouloir prendre des produits dopants si l opportunité se présentait justifient plus aisément la prise de substances, et ce, quel que soit le domaine d application considéré (sportif, handisport, non sportif). La revue de littérature que nous avons réalisée n a pas fait émergé de travaux exposant les facteurs associés aux intentions de recourir à des produits dopants. De ce fait, il n est pas possible de discuter les facteurs reconnus comme associés à l intention de se doper avec les résultats d autres études. En revanche, bien que l énoncé des questions diffère, le pourcentage de jeunes gens favorables à l utilisation de produits dopants quelles que soient les conséquences sur leur santé, est nettement plus élevé dans notre échantillon que chez les jeunes sportifs québécois sondés en 1993 (Laberge et Thibault), soit 6,1% pour les élèves de troisième que nous avons interrogé contre 1,5% chez les jeunes québécois. De la même manière que pour la consommation de substances illicites chez les adolescents et les jeunes adultes français (Peretti-watel et al., 2002 ; Lorente & Grélot, 2003), les résultats de la présente étude montrent que les sujets masculins sont plus enclins à se dire prêts à prendre des produits dopants que les sujets féminins. D autre part, les adolescents qui déclarent consommer des substances telles que le cannabis, les tranquillisants et les protéines apparaissent davantage portés vers un comportement transgressif et déclarent plus fréquemment vouloir utiliser des produits dopants pour gagner une compétition sportive. L interprétation de la variable dépendante «intention de se doper» a toutefois ses limites. Sans mettre en cause la sincérité des réponses obtenues, «il faut distinguer l intention d agir (le vouloir) et l accomplissement de l intention (le faire)» (Laure & Lecerf, 1999). Nous nous limitons donc à l exposé des facteurs associés à l intention d agir sans prétendre élaborer un modèle explicatif ou prédictif. Conclusion L enquête que nous présentons revêt un caractère exploratoire et d autres travaux sont nécessaires à la compréhension d une telle dynamique du dopage. Envisager de s intéresser simultanément à des comportements, à des intentions d agir et à des représentations sur la question du dopage, semble essentiel à l étude d un tel phénomène afin d organiser une éducation pour la santé à la prévention des conduites dopantes chez les adolescents. 6

7 Références Ajzen I., Fishbein M. (1980). Understanding Attitudes and Predicting Social Behavior, Englewood Cliffs, Prentice-Hall. Kindlundh, A.M.S., Isacson D.G.L., Berglund L., Nyberg F. (1999). Factors associated with adolescent use of doping agents: anabolic androgenic steroids, Addiction, 94,4, Laberge S., Thibault G. (1993). Dopage sportif : attitudes des jeunes athlètes québécois et significations dans le contexte d une éthique postmoderne. Loisir & Société; 16(2), Laure P., Reinsberger H. (1995). Doping and high-level endurance walkers. Knowledge and representation of a prohibited practice, The Journal of Sports Medicine and Physical Fitness, 35,3, Laure P, Lecerf T. (1999). Prévention du dopage sportif chez les adolescents : à propos d une action évaluée d éducation pour la santé. Archives Pédiatrique, 6, Lorente FO, Grélot L. (2003). Substance use : gender differences among French sport sciences students. International Journal of Drug Policy. In Press. Melia P., Pipe A., Greenberg L. (1996). The use of Anabolic Androgenic Steroids by Canadian students, Clinical Journal of Sport Medicine, 6,1, Nilsson S., Baigi A., Marklund B., Fridlund B. (2001). The prevalence of the use of androgenic anabolic steroids by adolescents in a country of Sweden, European Journal of Public Health, 11, Nocelli L., Kamber M., François Y., Gmel G., Marti B. (1998). Discordant public perception of doping in elite versus recreational sport in Switzerland, Clinical Journal of Sport Medicine, 8,3, Olrich T.W., Ewing M.E. (1999). Life on steroids : Bodybuilders describe their perceptions of the anabolic androgenic steroid use period, The sport psychologist, 13, Peretti-Watel P, Beck F, Legleye S. (2002) Beyond the U-curve : the relationship between sport and alcohol, cigarette and cannabis use in adolescents. Addiction, 97(6), Tanner S.M., Miller D.W., Alongi C. (1995). Anabolic steroid use by adolescents: Prevalence, motives, and knowledge of risks, Clinical Journal of Sport Medicine, 5, Turblin P., Grosclaude P., Navarro F., Rivière D., Garrigues M. (1995). Enquête épidémiologique sur le dopage en milieu scolaire dans la région Midi-Pyrénées, Science & Sports, 10, Yesalis C.E., Kennedy N.J., Kopstein A.N., Bahrke M.S. (1993). Anabolic androgenic steroid use in the United States, Journal of the American Medical Association, 270,

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