Tableau de bord de l'environnement
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- Raymonde Beauséjour
- il y a 8 ans
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1 Tableau de bord de l'environnement Réseaux de surveillance des eaux naturelles: aspects quantitatif et qualitatif Cahier Janvier
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3 Préambule Le présent document, élaboré en étroite collaboration avec les services de l Agence de l eau Artois-Picardie, de la Diren Picardie et de la DDASS de la Somme constitue une synthèse des résultats enregistrés ces dernières années au niveau des réseaux de surveillance quantitative et qualitative des eaux souterraines et superficielles. Il montre que les faibles précipitations enregistrées ces trois dernières années ont eu pour effet, d une part un faible taux de recharge de nos ressources en eau potable et, d autre part la persistance de débits de nos cours d eau nettement inférieurs à la moyenne. En ce qui concerne les aspects qualitatifs, on notera une amélioration de la qualité des eaux souterraines, due à des changements de pratiques de fertilisation mais aussi très vraisemblablement au net ralentissement de la migration des polluants vers la nappe de la craie. Par contre, les cours d eau ont subi une sensible dégradation de leur qualité essentiellement en raison de la faible dilution des pollutions dans le milieu naturel affecté par la sécheresse. qualité des eaux littorales et particulièrement la qualité bactériologique des eaux de baignade s est quant à elle régulièrement améliorée depuis Ce travail de surveillance qui montre une qualité de nos eaux naturelles globalement satisfaisante, devra être poursuivi et adapté dès 2007 aux exigences de la Directive cadre sur l eau (DCE). Les efforts réalisés ces dernières années par les agriculteurs, les industriels et les collectivités pour l amélioration de la qualité de l eau, devront toutefois être intensifiés pour atteindre dès 2015 l objectif de «bon état écologique» de toutes les masses d eau d ici 2015 fixé par la DCE.
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5 SOMMAIRE DES OUTILS POUR UNE GESTION GLOBALE DE LA RESSOURCE 7 ETAT QUANTITATIF DE LA RESSOURCE 8 ETAT QUALITATIF DES EAUX SOUTERRAINES 11 ETAT QUANTITATIF DES EAUX SUPERFICIELLES 16 ETAT QUALITATIF DES EAUX SUPERFICIELLES 17 QUALITE DES EAUX DE BAIGNADES 23
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7 DES OUTILS POUR UNE GESTION GLOBALE DE LA RESSOURCE Directive Cadre sur l'eau (DCE) Directive Cadre sur l'eau est entrée en vigueur le 22 décembre Elle étend la portée de la protection à toutes les eaux : souterraines, superficielles, y compris littorales. Elle fixe des objectifs de résultats : toutes les eaux européennes doivent afficher un " bilan positif " (ou " bon état écologique ") d'ici DCE innove en instaurant une obligation de résultats et intègre des politiques sectorielles. Le district hydrographique (constitué d'un ou plusieurs bassins hydrographiques) est à cet effet découpé en volumes d'eau homogènes et significatifs : les masses d'eau. Dans la Somme, 17 masses d'eau superficielles et 4 masses d'eau souterraines ont ainsi été identifiées. Pour chacune de ces masses d'eau un plan de gestion devra être élaboré d'ici Le plan de gestion définira des objectifs, élaborera les programmes de mesures à réaliser et précisera les actions à mener pour les atteindre. O RUE Vimeuse GAMACHES Bresle Limite des masses d'eau identifiées dans la Somme N S Source : Agence de l'eau Artois Picardie E Somme canalisée Le Liger GAMACHES Bresle RUE Vimeuse Maye LeScardon ABBEVILLE L'Airaines Le St ndon rivière de Poix Les Evoissons Maye Somme Le Liger Les masses d'eau souterraine Les Parquets L'Authie Nièvre Selle DOULLENS AMIENS Selle Gézincourtoise Noye L'Hallue Grouches Quillienne Luce L'Avre Les trois Doms L'Hallue ALBERT L'Ancre Somme L a Somme canalisée MONTDIDIER L'Avre ROYE Les masses d'eau superficielle Le Scardon ABBEVILLE canalisée L'Airaines rivière Le St ndon de Poix Les Evoissons Les Parquets L'Authie Nièvre DOULLENS AMIENS Gézincourtoise Noye Grouches Quillienne Luce Les trois Doms ALBERT L'Ancre Somme rivière MONTDIDIER L'Ingon Le canal PERONNE du Nord Cologne L'Omignon 0 20 km Somme canalisée ROYE rivière PERONNE L'Ingon Le canal du Nord Cologne L'Omignon 0 20 km 7
8 ETAT QUANTITATIF DE LA RESSOURCE Précipitations L'eau de pluie, une fois arrivée sur le sol, s'évapore, ruisselle ou s'infiltre dans le sous-sol. L'eau qui s'infiltre peut alors gagner la nappe phréatique. Le niveau de la surface des nappes est directement lié aux précipitations avec toutefois des temps de réaction qui peuvent varier d'un endroit à un autre. Dans le département de la Somme, le volume d'eau qui s'infiltre chaque année dans la nappe est évalué à 1.5 milliards de m3 : moins de 10% sont prélevés pour différents usages, le reste est stocké dans le sous-sol servant principalement à l'alimentation des cours d'eau. L'état quantitatif de la nappe, soumis aux fluctuations climatiques (précipitations, températures) et aux prélèvements effectués, est surveillé dans la Somme grâce à 60 piézomètres suivis par l'agence de l'eau Artois Picardie. Les précipitations de février, mars et avril 2003 ont été déficitaires ce qui, cumulé à la sécheresse de l'été 2003, entraîne une baisse générale des nappes. Les précipitations dans l'ensemble déficitaires de 2004, 2005 et du début 2006 maintiennent les nappes à un niveau bas à Abbeville J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D à Rouvroy-en-Santerre Les précipitations de 2003 à 2006 Relevée En mm Normale J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D J F M A M J J A S O N D Sources : Météo France 8
9 Les eaux souterraines Evolution du taux de recharge de la nappe de la craie recharge de la nappe s'effectue en automne et en hiver lorsque l'ensoleillement est faible et l'activité végétale ralentie. Le taux de recharge d'un piézomètre à un moment donné se définit comme le rapport (en %) entre le niveau (en mètres) de la nappe mesuré et la différence entre les hauteurs d'eau maximales et minimales atteintes depuis le début de la surveillance sur ce piézomètre (période de référence). Les trois graphiques ci-contre constituent des exemples, qualifiés de représentatifs, des trois grands régimes de pluies efficaces (pluies permettant le rechargement de la nappe) du département. Huppy se situe dans la zone ouest du département où les pluies efficaces sont abondantes. Senlis-le-Sec est dans la partie centrale de la Somme et son régime de pluies efficaces est moins important % % Les piézomètres Huppy Senlis-le-Sec hautes eaux basses eaux Omiécourt se trouve à l'est du département où les pluies efficaces sont les plus faibles. 160 % Omiécourt Source : Agence de l'eau Artois Picardie
10 LA RESSOURCE EN EAU Etat piézomètrique de la nappe Les données piézomètriques permettent de dessiner un profil topographique de la nappe de la craie. A partir de ces valeurs, l'agence de l'eau Artois Picardie effectue une analyse statistique mettant en relation le niveau de la nappe avec la fréquence d'observation de ce niveau. On obtient alors l'état piézométrique de la nappe. Une telle analyse n'est actuellement possible que pour 24 des 60 piézomètres présents dans le département. En effet, la date de mise en service des autres, trop récente, ne permet pas le traitement statistique. En avril 2003, le niveau de la nappe était encore "très supérieur" à la normale pour 14 points de suivi, 7 piézomètres étaient qualifiés de "supérieur à la normale" et 3 qualifiés de "normal". Mais la situation tend à revenir à un niveau plus proche de la normale :depuis avril 2003, la baisse du niveau des nappes se confirme Kilomètres ABBEVILLE!( PIEZOMETRIE MOYENNE Département de la Somme AMIENS!( MONTDIDIER!( Hauteur de la nappe Valeur Elevée : 190 m Faible : 5 m!( PERONNE O N S E Source : IGN, AEAP Agence de l'eau Artois-Picardie nappe80.mxd, wg/kv, 13/07/
11 ETAT QUALITATIF DES EAUX SOUTERRAINES Réseaux de surveillance Trois réseaux permettent de suivre la qualité des eaux souterraines : - Le réseau sanitaire réglementaire mis en oeuvre par les services de la DDASS. - Le réseau complémentaire au réseau sanitaire. Financé par l'agence de l'eau Artois-Picardie et le Conseil général, il permet d'augmenter la fréquence des analyses complétes au niveau des captages d'aep. - Le réseau patrimonial de l'agence de l'eau Artois-Picardie a pour objectif d'assurer la surveillance qualitative des masses d'eau. Ce réseau est constitué de 59 points (captages d'aep, forages d'irrigation, sources) Depuis 1998, l'ensemble des 3 réseaux de suivi permet d'avoir une connaissance globale de la qualité de la nappe phréatique. 11
12 Les teneurs en nitrates Teneur moyenne en nitrates dans les eaux souterraines Année 2005 majorité des points (57%) ont une teneur en nitrates supérieur à 25mg/l ce qui marque une altération significative par rapport à l'état naturel. Toutefois, seulement 2% des stations dépassent le seuil réglementaire de 50 mg/l. Qualité des eaux souterraines en nitrates (2005) 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 12
13 Teneur moyenne en nitrates dans les eaux souterraines Période Qualité des eaux souterraines en nitrates ,00% 80,00% 60,00% 40,00% 20,00% 0,00% Sur la période , la lente dégradation constatée depuis plus de 20 ans s'est sensiblement infléchie vraisemblablement à cause du déficit pluviométrique enregistré depuis 3 ans qui de fait a ralenti la migration des polluants vers les nappes phréatiques : 11% des points présentent une teneur en nitrates supérieure à 40 mg/l contre 18% sur la période
14 Les teneurs en pesticides Dans les eaux souterraines, l'atrazine et la déséthylatrazine (DEA) sont les molécules le plus souvent mises en évidence. Les molécules détectées proviennent principalement d'herbicides agricoles. Les teneurs en atrazine mises en évidence sont responsables de la dégradation de la qualité de l'eau (moyenne et médiocre) dans plus de 25% des cas. (en %) atrazine DEA 0 Influence sur la qualité des eaux souterraines des molécules le souvent plus retrouvées glyphosate isoproturon Substances quantifiées de 2001 à 2004 Répartition par usages diuron 0,20% 0,10% simazine chlortoluron hydroxyterbuthylazin 99,70% hydroxyatrazine desethylsimazine HERBICIDES (99,7%) INSECTICIDES (0,2%) FONGICIDES (0,1%) QUALITE : Très bonne Bonne Médiocre Mauvaise Moyenne 14
15 Toutes les masses d'eau souterraines sont plus ou moins concernées par la présence de pesticides. Par rapport à la période , le pourcentage de captages où la présence de pesticides a été mise en évidence reste stable (54% environ). Par contre le pourcentage de captages qui dépassent le seuil de 0,1µg/l passe de 14% à 17%. Teneur en pesticides dans les eaux souterraines en % 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% % 15
16 ETAT QUANTITATIF DES EAUX SUPERFICIELLES Situation hydrologique principale caractéristique hydrographique du département de la Somme est l'absence de grands fleuves et de reliefs importants. Les cours d'eau sont constitués d'un fleuve en partie canalisé la Somme et de petites rivières qui se singularisent toutes par la faiblesse de leur débit et de leur pente. Enfin, le département est limité au nord comme au sud par deux fleuves côtiers, l'authie gérée par la DIREN Nord Pas de Calais et la Bresle par la DIREN Haute Normandie. Toutes les rivières s'écoulent sur un plateau calcaire en grande partie à vocation agricole. Le réseau hydrométrique Le réseau se compose de stations de mesures de hauteur situées sur les rivières suivantes : l'ancre, l'avre, l'hallue, la Maye, la Nièvre, la Selle et la Somme. Les données de hauteur d'eau sont recueillies traitées et valorisées afin d'être traduites en débit. Elles sont ensuite rendues accessibles sur un site national la Banque Hydro site gratuit. Depuis les inondations, des stations de mesures ultrason de débit direct ont été implantées sur la rivière Somme. Pour la troisième année consécutive, la pluviométrie est déficitaire. Les nappes, qui avaient accumulé en 2001 des réserves conséquentes, sont aujourd'hui redescendues à des niveaux inférieurs aux moyennes saisonnières. Les cours d'eau souffrent également de la sécheresse et affichent des débits inférieurs à la moyenne. DIREN suit mensuellement l'état des nappes et des cours d'eau. Tous les mois, elle analyse la pluviométrie, la piézométrie et l'hydrométrie au travers de son bulletin de situation hydrologique ; disponible sur le site Internet de la Diren Picardie : rivière de l'avre à Moreuil en 2001 année humide et 2005 année sèche. Ces stations sont aussi l'objet d'un suivi, d'une modernisation et d'un entretien réguliers accompagnés de mesures de jaugeages tout le long de l'année. Ces jauges permettent d'établir des courbes de tarage qui sont la relation univoque entre hauteur et débit. Légende : Débit journalier; Débit moyen; Débit quinquennal humide; Débit quinquennal sec 16 Source : DIREN Picardie
17 ETAT QUALITATIF DES EAUX SUPERFICIELLES Evolution de la qualité général des cours d'eau Le graphique ci-contre exprime l'évolution de la qualité de l'eau dans le département de la Somme depuis les années 80. grille utilisée pour cette interprétation est une grille multiusages dite "de 1971" intégrant les usages anthropiques et la vie piscicole. Elle sert de référence pour les objectifs de qualité du SDAGE % Ce graphique montre, au-delà des fluctuations interannuelles, une évolution favorable de la qualité de l'eau. En effet, les stations de mesure classées en rouge (mauvaise qualité) ont disparu. Les stations classées en jaune (qualité passable) ont fortement diminué au profit de celles classées en vert (bonne qualité) et bleu (très bonne qualité) Globalement, la qualité des cours d'eau s'est améliorée essentiellement grâce à une diminution des matières organiques et aux travaux d'assainissement et d'épuration (eaux usées et pluviales) menés au niveau des agglomérations. Les paramètres azote et phosphore s'améliorent également depuis les années 90 mais des efforts restent encore à réaliser Mauvais Passable Bonne Très bonne 17 Source : Agence de l'eau Artois Picardie
18 Qualité des cours d'eau... Légende :... en en 2005 Ces cartes ont été réalisées à partir d'un outil d'évaluation (le SEQ-Eau) basé sur la capacité de l'eau à permettre la vie aquatique. Cette évaluation de la qualité physico-chimique de l'eau ne tient pas compte de la qualité des habitats dont le niveau est un élément majeur pour une vie aquatique satisfaisante. qualité en 2005 dans le département de la Somme est globalement bonne à passable, néanmoins la qualité générale des cours d'eau s'est dégradée entre 2004 et En effet, sur les 39 points de surveillance, 9 ont vu leur qualité perdre 1 classe et seuls 2 d'entre eux se sont améliorés. Ces dégradations sont liées à la baisse des niveaux dans les cours d'eau de 2004 à dilution étant moins bien assurée, les cours d'eau dont la qualité est située en limite de classe s'en retrouvent facilement dégradés. L'Avre, les Trois Doms et la Luce sont victimes de la faiblesse de leurs débits par rapport aux agglomérations situées à l'amont. IGN BDCARTO Agence de l'eau Artois-Picardie (MAGE) 18
19 Altération des cours d'eau aux pesticides Situation en 2005 Une petite centaine de molécules de pesticides est analysée sur le territoire. Les pesticides retrouvés dans le milieu naturel peuvent avoir diverses origines : agricole mais aussi urbaine (traitement des trottoirs ou des parcs), domestique (jardins) ou même résultant d'activités telles que l'entretien de terrains de golf, de routes et d'autoroutes ou de voies de chemin de fer. carte ci-contre présente la qualité globale relative à la teneur en pesticides. Il suffit d'un prélèvement ou d'un seul paramètre déclassant pour déclasser la qualité du cours d'eau. On constate que 17 points sur 39 ne présentent pas une bonne qualité. Les 5 substances le plus souvent retrouvées sont la déséthylatrazine, l'atrazine, le diuron, l'isoproturon et le glyphosate. Les secteurs les plus pollués les Trois Doms et l'avre, sont déclassés à cause du diuron. 19
20 Evolution de l'indice Biologique Global Normalisé (IBGN) dans le bassin de la Somme de 2002 à 2005 Utilisé depuis 1992, l'indice Biologique Global Normalisé, ou IBGN, (Norme Française T90350, Mars 2004) est un indicateur qualitatif servant à estimer la qualité biologique des cours d'eau aisément accessibles (sans moyen nautique spécifique). Il fournit des indications sur la faune benthique inféodée aux divers habitats des cours d'eau et reflète les variations des composantes spatiales et temporelles du milieu. De ce fait, c'est un indice intégrateur de la qualité globale des écosystèmes aquatiques. Les macro-invertébrés benthiques sont soumis, durant tout leur cycle de vie, aux variations de la qualité de l'eau, ses éventuelles pollutions chroniques et/ou ponctuelles. Ils subissent également les modifications du milieu dues aux phénomènes de colmatage (érosion des sols, etc...), aux entretiens ou aménagements de rivière (curage, recalibrage, réfection des berges, modification de la végétation rivulaire...etc), ou de toute autre activité conduisant à une "banalisation" par la perte de diversité des habitats. Utile pour compléter les techniques usuelles de qualification et de détection des sources de pollution (analyses physico-chimiques des eaux par exemple), l'ibgn caractérise les perturbations du milieu par leurs effets et non par leurs causes. Outil de diagnostic parmi d'autres, il contribue également à l'interprétation de l'ensemble des informations recueillies sur un milieu étudié. C'est pourquoi l'ibgn est une note indicielle qui ne prend toute sa valeur qu'avec l'interprétation indispensable qui en est faite. Son utilisation implique de la part de l'hydrobiologiste une bonne connaissance du terrain, de l'organisation et du fonctionnement de l'hydrosystème et des problèmes liés aux perturbations. Les valeurs obtenues sont traduites en classes de qualité associées respectivement à cinq couleurs*. Note IBGN >= 17 Entre 16 et 13 Entre 12 et 9 Entre 8 et 5 <= 4 Couleur associée Niveau de qualité Très bonne Bonne Passable Mauvaise Très mauvaise * Pour une bonne compréhension de l'ibgn les notes inférieures à 17 sont la conséquence d'une perturbation qui peut être légère. Les notes les plus basses indiquent une dégradation forte de l'écosystème aquatique. 20 Source : DIREN Picardie
21 Qualité hydrobiologique évaluée par l'indice Biologique Global Normalisé Indice >= <= 4 Situation en 2002 (en%) 6 Situation en 2005 (en%) May e s e Le Scardon na lis ée e e Vimeuse vr iè N ALBERT ine s ne tois ca our ABBEVILLE 70 du Nord mm e ch ui a DOULLENS L So ou Gr c ézin G ie Q 30 th en Au lli L' 50 Noye Le c ana l RUE Situation en 2003 (en%) Le Lig er e L'H gne Colo PERONNE ée Somme canalis e re Av No ye L'Ingon L' d re e Poix iè s on ss oi v E s Le riv 20 km ROYE Les 55 me rivière Som Luc e 15 Se ll 10 Pa rq ue ts 5 L'Omignon Le s 35 AMIENS 10 0 e ncr L'A allu n St L le ando es Le Situation en 2004 (en%) Br L'A ira GAMACHES 50 Qualité Très bonne Bonne Passable Mauvaise Très mauvaise is D tro MONTDIDIER oms 21 Source : DIREN Picardie
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23 QUALITE DES EAUX DE BAIGNADES Réseaux de surveillance Plusieurs réseaux de surveillance concernent la qualité bactériologique, biologique et physicochimique des eaux littorales. Parmi ceux-ci, le réseau de surveillance sanitaire des plages animé par la DDASS permet d'établir le classement annuel des baignades pendant la saison estivale. Depuis 1996, aucune plage n'a été classée en catégorie C et les résultats montrent que depuis 2000 toutes les plages sont conformes; 50 à 80 % d'entre elles sont régulièrement en catégorie A depuis Les efforts d'amélioration de la qualité sont donc à poursuivre pour atteindre la qualité A sur l'ensemble des plages et maintenir ce niveau. A- eaux de bonne qualité B- eaux de qualité moyenne C- eaux pouvant être momentanément polluées D- eaux de mauvaise qualité qualité des eaux de baignade en mer 100% 80% 60% 40% 20% 0% Qualité A Qualité B Qualité C Qualité D Département de la Somme saison estivale 2006 Source : DDASS de la Somme Pour plus d'informations, consultez le site internet 23
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