'TOURISME INTERNATIONAL : évaluation de l'impact sur le développement des économies africaines

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1 UNIVERSITE DE DAKAR FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ET ECONOMIQUES fl- tx 'TOURISME INTERNATIONAL : évaluation de l'impact sur le développement des économies africaines Thèse de DOCTORAT è Economiques présentée et soutenue le 26 juin 1976 par Mamadou Moustapha KASSE JURY : Président : Paul DESNEUF, Professeur Suffragants : Guy BREMAUD, Professeur Abdoulaye WADE, Agrégé des Sciences Economiques Robert LAUNOIS, Maître de Conférences Maktar DIOUF, Chargé d'enseignement I

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4 Dans la plupart des Ekats, comme nous I1avoois rîaontrg, les optioc7s en faveur du développement touristique m sont pas po~tses par des Qtudes rigoureuses fondées sur une apprkiat ion concr&to de la rantabi l it& financière su dfautres critères de choix des investissements, I-!absence de t@lles études, malgr6 le recours aux services trks eociteu:c des bcareaux dlctudes, a entrafi76 la démarche efipiriqus des,glanificateurs dans!!estinqation de la deimnde et de Ifoffre des services tourlçt iques, Les plans nationaux en tzati&t-e de deic{iande de circuits fixent des taux de croissance des flux de touristes, nsais ceux-e i ne prov.iénnent :>as dl une extrapolation de tendance passée ; ils so;7t déterrnin9s par siilplc r4f6- rence au taux sond di al de êrsissancc de Ea deiasande. Clert donc en dgfinitive un sirs4ple pronostic qui est ebbectu6 au lieu et place dc toute prévision et pourtant des techniques Scono;-oiques sont ti;iaes eu psint ces dernieres années pour une pr5visiori plus r igs~arswse du cor;:~orêen;ct-it de la den~ande. 5 Cç lors, les plans ne peuvent &Cab! ir les lie,îs r5cls qui existent entre les invcstisçen~n ts r. r4al içsr et la dernanêk p--ojetées La moconnaisssnce dans: laquel le sc trouve en fin de compte 1-sc3. flux de tour isteç ne pcrc-*k-t pas dlappréeier avcc e;tacti tude Is renéabil ité des êa,,itaux dans le. secteur touristique et partant de Justifier iluti 1 isat ion de ceux-ci dans ce secteur plut& que daris un autne. Elle c en plus entrahr le sur investissement qui corresp@nd 2 un gaspilla~c des ressources,

5 DU point de vue de Iioffre égaleivent Ia planibieatiokq rila aucun iiroyen dl action ni pour la déterminer, ni pour agir scrr son niveau, car le plan se réduit 21 agr6ger les devis des divers projets priv6s ou publics dans les différents sous-secteurs du tourisme, Dans ce contexte, pour..-determiner les gains probables du burisri.ie, les responsables de la polit iquc touristique sc réfugient derr izrc Iss théories du tourisme qui slartiêulent eiq deux courants, Le p~etîqie~ fait du tourisim un véritable Pasteur du dé~eloppe~iiqt Qeono~~ique et soêiels des,nations, L'industrie touristique est alors asçirnilqe soit 2 un ",u61e de croissancefi au sens de F, PERROUX, soit 2 une iiqdustrie industrial isantc tel le qut el le est définie par Sr ~3EST,L,Xbb!E î~c EE[-X,NQS b savoir Ifune industrie dont la fonêt ion Qcoriomique fondamentale est drentrafner dans son ecvi- ronneimnt localisé et dalc un noirciçsemnt syçtél-tat ique ou une z-iodifi- cation struêturelle de la matrice inter-industrielle et des trançforr~~afions des fonctions do productionfi % 1. Pour une tel le optique de pensbe les b&n&ices du tourisrm son êori-iparâblcs h ceux proeur&s 5 lieurop8 au RIX@ si&cle par II industrie lourde, Le dsuxikme courant n'est en dcpii3i- tivc quiune variante plus nuancbe du pren~ier, Le tourisme nicst pas un secteur stratggique, mais un secteur qui par ses effets do pro~agation et dientmînernent peut contribue^ 2 la solution de quelques problqc-es propres aux &conornies en voie de d&veloppeizent, coc-ime 16 déficit de la balance des paiements, la stirnulat ion de I fac;rieulturs, l'expansion de It iiidrastru~- Ours de base, ( 1) S. DESTP+JNE De GEWNB.5 : Industries industrial isantes et contenu d'une polit iquo dt intégrat ion rbgionale,

6 Pour ces théories, les deitises g6nérées par le touriçre, c~nstituent un v6ritable pactole qui doit inciter Ic choix en faveur de son d6veloppomen9 rapide, suetout que ces devises frarchea plus sbes dens le terps, plus r6guli9res et peuvent etre dotic esnsidér6es h Juste titre comm un CIQn-ent de stabi l içation de If Ssonomie g6n6releil 6 11, Pa~r cette économie politique du tourism, Ilappûint de devises iiiest qurun OI6:rsnt des multiples avantages liés au burisri-e et qui sont : - la créatibn drernplois, - le financer-nt des éqkiipen?cntç, - I~ouverture de débouckbs stables aux autres çccteurs 3coiioini- cpues, - la transmi-ssion de êcrtains effets sociaux qui peuvent etre bén6fiquss dans Ic processus de d3veloppe~rw3nt des jcurisç nations, Ce tableau idyllique -qui fait fleurir des dqclaratioi?s enthousiastes et des plus prometteuses pour If avenir que SGI;-~IC r6çerver le tourisr;ic aux économies en voie de développernient- a 6tS ampl if i6 par des flyrsrnoteurç europ0ens, américains ou autochtones, soucieux dc faire acccptcr et financer leurs projets, I ls ont alors pub1 ié nor-&rc dl2tudc-s qui, plus ou minâ consciernmnt, laissaient dans Ilofiq-Pibre certaines dipficulf.5~~ certains manques 4 gjaai7er qui arnbnent aujourdihui les Qconsmistes à si interroger sur IIopportunitB du dbve lopperr-ent tourist iqweii (21 -Pi*-----i i--i ( 1) J, P. ISENEAU : Des do1 laps au Soleil Croissance des Jeunes Nations - Juin 1973, (2) J,P. RENEk.L! : Des dollars au Soleil Croissance des Jeunes Nations - Juin 1974,

7 L'Espagne, avec 29, Cr mil lions de touristes en i 972 et environ 3% miil ions en presque autant de touristes quc dfcspagnols- et une rocette globale cumul&e de 20 mil liards de dot lars en vingt ans qui ont permis de finamer les équipements industriels et de combler le d-ficit de Ic balance çornmrciale, est la réference des imd&les &laborés par les te760r iciens du tourisme (11, /%près avoir tent6 de comprendre les mt ivations de la dorzande touristique à lf6chelle mondiale et sa distribution r8gioiqale et appr6cier les cobts engagés pour Itexploitatlon et la mise en valeur touristique, il nous reste 2 évaluer les "avantages~l du touris~ix an:x>neés avec bonuooup dienthou- siasme par les ~esponsables des pol itiqucs tour ist iqucs et Ics prdessionnels du tourisme, Au séminaire sur le Tou~ism et le 2éveloppensent orsanis6 par IiLIPaOB (21, A. DRISS, situe ces avantages SUP trois plans : - celui de I~amélioratiori de la balance des paiements ; - de la crqation des enlplois g - des effets dtentrainernent sur les autres activitcs Scorîor-niques tel les que Il industrie du bâitirrent, Iiagriculture et Irartisanat, cela 6viden:ment il faut ajouter les effets provenant de la mul tipl icatian des revenus tou~istiques et les effets sociaux pour obtenir une vision totale des banéfices que Ifon peut espérer du tourisme, des avaiîtases peuvent se subdivise^ en deux catégories :... (1) Pd, KASSE : ka theorie du développement de Itindustrie touriçtiquo, Annales Africaines 1975, (31 A, DRISS : Rapport au SOminaire sur Is tourisme et le dbveloppemnt, Berlin, Mai - Juin 1969,

8 - ceux gui sont directement mesuo.ables que nous intitu1cp;îi.s les effets directs ou encore les effets priinaircs ; - et ceux qui ne peuvent L@tre qui1 indirectcixent et que nous appelons les effets indirects, i,,b En conséquence, notre Qtiude sur Ifinpact du tourisme va s1artielaler én deux chapitres : - le premier traite des effets directs, - et le second analyse les effets indirects, Quant à notre dqniarchc, elle sera plus analytique que descriptive, ce qui va sans nul dout2 conf6rer 2 notre travail un caractère quelque peu abstrait et tksorique, Cela tient diabord au fait ;. que les bilans du tourisitle qui sont parfois dressés prgsenterrt de notables insuffisances lizes soit aux rn@thodes en-p ir iques dlenrégistrer-nrnt des rqsul tats, soit pl-rrzstrcnt et simplement au caractère partiel et partial des informations, II y n ensuite surtout que Ic! politique volontariste des Etats imsqus les rssultats rqels, lesquels doivent justif ier la Justesse des options et I'i~~~portniriee des ressources al louées au secteur, Dtai l leurs sur ce point J, F, ZE,dZ,kU constate Qgalermnt que 11 les rapports pr&sent&s par les pzys concernés par le développer~xntouristique sont entachbs de partial ie6 : Icl plupart d6fendent à priori le r6le bdn5pique du tsurisinsll, I I y a enfin que Ilin- dustrie touristique se pretc diff icilecxené :, une anallyse quant itc?t ive très poussée, certains des effets indirects e9i-î;iciie sa fonction dient~ainieiwcnt dans It&9=onornie gqnqrale ou ses iriteri'6reinees ncigatiws ou ;2oçit ives avgc les autres sscteurç., ne peuvent être, ais6rmnt, h I13tat actuel dos statistiques, quantifi6s. II aurait Pal lu pour se faire, disposer ou pouvoir 6tablir, une sorte de matrice inter-industrielle, ce qui est slinplement

9 impossible,^ k tout cela stajoute le fait que Ic secteur priva dûminant dans certains sous-secteurs clefs de litr?tr;ustrie touristique, est couwr*t par le secret des affaires, il ne laisse en conséquence percer aucune informtion sur ses performances ou ses insucc&s, L'optique oèa nous nous plac;ons de nous interroger, partant des raqts et b6né-f ices, sur ltopportuni tq du d&veloppenrent touristique et sa place dsns la division mondiale du travail nous impose dlal ler au4elb dcs chi-hres bruts, Diabord sfil est Svident que Iiexpansiaii du tourisme peut npporter sur le plan économique, cor?am tout secteur en craissance, un ccrtzin i73~hre d'avantages (devises fraf'ches, cr6ation diernploiç, dcbosac:sds p ~ r certains secteurs, etc,,. 1, la questian reste p3çl.e de ssvoir, si cette simple 6vidence est suffisante pour allouer des ressources aussi inpor- tantes au tourisme qui reste fondacmntaleiilent un secteur extrqn-ement vuln6rable, tr@ç sensible 2 des ~nouve~~neiits de caractcre social ou politique. De surcroft le touris~iw peut accrol'trc la dcpendarsce pol itico-6csnomique dans la rîxsure obi Ilessentiel de la klient2le est loêalis6c B I fextsrieur, é t -.semble en effet que Iü déêisioi7 de faire du secteur touristique un secteur prioritaire devrait exiger une appr&ciatioci plus solide de [tint& gral ité des coqts cornparés aux bénéf iceç iiet~, Dans cet te optique, l'option serait rationnel le si seulemnt, le secteur rggénère nutant de dcvises qufil ne coate, contribue h moindre frais 3. In ereation des ei;?plois et enfin que le capital soit mieux utiliç6 là, que dans diautres secteurs,

10 S'il nfsn &tait pas ainsi, le développeirient du tourisn~ pourrait étre une grande distraction des ressources, Ensuite los mats non i-mii$tûires nous oblige 2 al ler au-del& des chiffres, car de tels eoqts ne sont pas quanti- fiables ce qui nf8te rien B leur matgrialit6. Le tourisme concepne présentement des 11gersonnes qui ont d6truit leur eiiviraniqer;i@nti, et qui sont issues de soci6téç ayant des civijisatims Froprcs, des r6fllc::es poli tiques dé.ternîinéç, en cons4quenuc le touriste n'est pas innocent, I I découvre certes, rimis il est 6 gjalsrmiqt i Scsuvcrt, cc qui vcut dire que le tourism aura un impact assez signlficat if sur I'cnvironi.iemnt hur~~ain et il faudra alors en!mesurer toutes les c~ns6quenccs. D'zut re?art la vulnqrabilit6 des CcosystBms et Ilactuel Be privatisation dti littoral ne sont pas sans poser dcç problèrmes sur Ilenvironncmrît physique (1 1, II sjagit finalement dc débrouiçsailler tous ces prsbl&rms et dlen mesurer / toutes les cons6quences pour alors çavûir ec que rsel Iei-mnt 0i-i peut attendre du taurisme, II s'agit su~t~ut dloser aller au-del5 des idsec, simples, (11 Voir DASP.'&%iWN. RllLT80*3 et FFEEPv!/34 : Ecological Principlsç fcr! F Deve loprswnt - UBVk:.! I r

11 C'-ZAPlTRE P 2 E Sv\ I ER, APPRECIATION DES EFFETS ECQNObII2LPES DIRECTS DU TOURÇkiE,

12 Les pays sous-développ6s pr6sentcnt presque tous, des objectifs identiques en matisre de politique de d&vcloppen-ent, II sicgit d~nc-mrcer un vaste processus de croissance ci.êssrorwique qui soit rapide, continu et regulier (11). De surcroît, ce processus doit étre dgbarass6 de toutes fluctuations brutales, ce qui nécessite une intewentioiî de IlEtat pour coordonner les forces en prosence et assunmr une grande partie de la croissance, Cependant, les imyens ~sscritiels de cette pol itiquc, font défaut, Non seulement les disponibilitss eri capital sont Iirnit6eç, inais les ri.iécaniss-ms traditionnels diaçcuiii~ulatioin interne et extcrne, sont bloqu6ç et rqgissent un faible volur.i~~ de capi ta I par rapport aux besoins, En effet, les sourccs habi tucl les de Pinanc~!~7ent des investisse~nents,.- les diff 6rentcs forims d1spa~gi-e~ sont trop Iargermnt insuffisantes. La spécialisation de la production qui earaet4rise presque tous les pays sous44veloppés, non plus nia entrakg le transfert de capifel co~ire le laissaient prévoir, les différentes varian tes thlsr iques des coqts coma- rat ifs, Cette situation réinstal le dans la pensbe Cconor'nigue de nouvel la ~;'pbf Ic::!ons sur le financeii-ent du dévcloppernznt et le choix des secteurs. Pour certains auteurs, apr6s 1Bs bckcs de l lindustrial isatian IQg8re de substi tution di in-portation, la raret6 des ressources en capital commande le choix de branches qui répondent au iimins 2 deux exiçelxcs : etre tr&s peu coqteuse quant & Iiexpioitatisn et le fonctionneineiît - et pouvoir régbnq~er à rmyen terrine un volum de capital apte 2 finûncer diautres secteurs, Iili.--i-~--LIIIUU C Il----U- ( 13 Dans le tourisim donc, cette strat,, &ie est considb~6e com~?c ut7 Pscteur de cr~issançe. Cek explique que le concept de croiçsancc cst nbusivemcnt uti lis6 dans toutes les dtudes faites sur le touriç~se.

13 ( 8 ) blerbe~t WOFFR'u~Sdt4 : Ltindustric touristique une chance pour les ce la les th&okfi=iei?ç du touriçr:~ rgp~~~;e;lt, qutune seule voie seriilale s~ouvrir pour sortii- de cette situation d6sesp5rante : le tourisrfio (Ila II sragit de cornmercial iser tr$ç rapide:r~n% selon i:lowi~e;3n [Ides choses qui sont inutiles (pour les pays en voie de développer;~nt), souvcr?t ennuyeuses, mais i7auteimnt upprqei6es par les riches : soleil zrdûnt, cictl bleu, plage blanche et foll:lorcil.;( '8 C'est ce que Des touristes recherchent et quiils sont prt?ts A payer cn devises, d-loffiî-rann praêiçe par ailleurs que Ilces dei/ises ne sont qulun i'imÿeal et aident au d6velop- pernent de la vie 6conomique au plan f iriûr~cicr, couvrent ou diminuent le d6ficit de la balance e8mi-rtsrciale~~. Et en plus, il y a la e~ba tion diemplois nouveaux, qui est approciable surtout dans cic-r; pi?;ls caractérisqs par un sous-emploi end6imiq~ae de ta main-dicreuvi-c, Ca dist~ibution çubséquecîte de revenus aura corvi;~ cons6quenêo directs la stimeitntion de la demande nationale de bj~iîs de c~ns0i~s7~-cati3& Far une ca!~~afi~n circulaire, un processus cup,wlatip se d6elsnche et entrûfhe dom Ilenseible des secteurs Bcommiques, Au plan de la lesgiquo formel le, la thooric ser;~b!e coh4rcntc et bien rigoureuse, fk8rine si elle n'explicite pas le czntenke d ~! terme cigvcl3ppemnt, el le ctablit n6anmins des rclz tio ns entrc le touiriçi-me et le cl5veloppenxtnt. Nous eornmnceroriç donc par otudier la problé~iat ique de I Ja~ezuii7iulati~ri du capital dans les 6eonoimieç ci? voie c!e c'ig~/eloppenxnt dans i?aîi..c premigre section -nous visons IG un double,-sbjeêtif: - diabord appr6lîender les factew~s qui l i riai tcnt In g&ngrut icsn des capitaux,

14 El? effet, en la ~mti&re, les tkgories cs!irar;ainent r;cceptses et dleçscnee n60-clasçique, enseignent que, la sp6ciaiisatioi1 pouss6e 4es nations +hénomène çarc7etéristique des puys en voie de développet;q;ient- B partir de leu^ dotation facto~iellc, devrait Ggaliser Oeç.cha;?ees de ci~5veloppenment des partci?aires à IfQehange,.On constate que cfcst pr8ciç6nant Bfinverse qui ci'e~t produit. Les 6carts de d6volopperîacnt et le ifdb~epoi~:~eb;-~eist du souci-dévoloppemenéf~ le cowf irmené. Cela sûn*ie auyurcr la fin clos il lusionci du d6vo loppe!iîent -?onci&es cxç1uçiver:-~;?t sur la dcn~nncie ext4riourc et pourtant In deri7ande touriçéiqeie est ;>di- nature cor,1plr2ter~-ent externe, Les dii.~s causes ne vont-elles pas nlors ii7c!uir% les I~:~ZEÇ çoncéqueiiices. - Ensuite, le tourisri;ie sfci?plique sur des çtrrdctures que.la th6orie du tour içm adiv ipi6isde sa vision. Cr les c; truiçtureç çsicio-ceonor~ii ques spécif iqucs aux pays en v ~ie de d6veloplcs;acnt peuverit n~tablcr~;ent ai-min- drir ou rn8rt-e ai7wuiler certains effets cc;.êono~-~iiqeies qui pourtaiit dans diautres pays psg6çshtz~it dfnutrcc; Boril~struâtsdrelies se sont manifestes de Paqon massive, Dans la deuxihe section, nous aborderons alors Ics &fi-ts 5conor:iques directs induits par Ic développcnîei~t to~irictiqus, Bout au Ion-; dc cette analyse nous tenterons dl6valucr Ics effets attendus i:~aiç surtaut leurs mats effectifs, En effet, il est &vident que le tourisme?eut avoir un aspect positif sur la balance des psierwntç par les recettes -tn devises ~rocurbcs, hkis le volume brut de ces recettes n'a auçutie espèce de signification, il faut déduire les diverses dépcnses partiçuli&rerrtent diit:por:ntisn pour,, arriver 2 un VFPIU~~~~ net qui seul reste disponible aour It5~3rioii-,ie gvncsrale.

15 Pour ce qui est de la êrbation d~ern~loi, il convient de sortir des idées simples. Comme ironisait Keynes, an peut tout autant acero?tre le nombre de travailleurs en payant des gens 2, creuser des tr3us et on ;anyealt di autres 2 les boucher, La problé~1~atiqus pour des pays qui ont des res- souirces limitées est de savoir le co0t effectif diune unit6 die;rpl~i créée, II en va presque de idn-te pur les recettes fiscales. Ls tiigorie lcs comptabilise h priori comme un effet air-ect positif sans di-^ appr5cier les manques à gagner qui provienhent déi dosarmement f iscgl.in:rrodi~it par les codes des investissements, Clest seulement une analyçs meritse en ces termes qui peut Pinalemnt autoriser une appréciation non mystifiés des gains réels du tourisme,

16 LA PR OBLEKAT1 2UE DE L'ACCUklUUTI ON DL! CPtPI TAL QAYS LES ECONOhSES EN VOIE BE DEVELOPPEI%&NT.

17 Les pays que nous prenons en réf&rence dans aotre étude pr3sei-tdent de notables différences qui tiennent à la Pois à lfhistoir-e, 2 1û ghgrayhie et à Iféconomie, kiaiç, par dela c 2s diffbrences, on trouve au mains deux caractéristiques commnes : - leur situation de pays sous-doveloppés, - lew volsntq d'en sortir. La première caract6ristique -d'ail leurs Oa seconde- a fait If objet d'une impressionnante l i ttqrature et dlimportantos csntr~verses qui portent sur le concept &me du sous-develo?pes?sent et dc çco diverses représentations, Zen6 '2endarme rel&ve à ce propûs 21 d6finifio~s propos6es C 1) du ph4nornène qui dont pas permis de le c 9ar ilie~. Le imiaîs quioi7 puisse dire est que le concept est ambigge et confus, kl3t~-e pr3pos niest pas ici ni cllajouter une dgfinitiorî, ni c;e passer en revue les diverses analyses, mais il est plus firiodestement de trauver i3 travers Ifextr$m diversité des facteurs suffisam~ient cûraêt&riçtiqeass, ceux qui permettent de repérer un pays sous-dqveloppg et les pr3bl8fi~s que cet Etat sculéve. Ces facteurs peuvent étre regroupés en deux catsgories : les facteurs quantitatifs et I es facteurs qua1 i tatifs. Les facter~rs quan- titatifs sont constitués par les critères communs que Yves Lacoste retient et qui constituent ce que J. 1-REVBhjDNET (2) 3ppsiers IIùnalyse cr it@r iolo-gique du sous-d6ve lopperrse~qt. Ces facteurs ont pour C'5n3rriinzteur, dl8tre quantifiables et partant, permettre des comparaisans, Ce sont principalemnt : C 1) 'en6 ---I CUI---u.-I-C--II-----C GEihlD,kkWbE : La pauvret6 des :\lations, Ed i t ions Cujas.

18 - Les faibles niveaux de revenus couplus avec une répartit ion très inggale de ceux-ci ; - la prédominance diune production fsrtewient sp6cialiç6e et esscn- Piellemnt à base agricole ou minière, ce qui veut dire que les bases industriel les sont faibles ; - la farte dépendance de Ilextc5rieur teils qutel le apparaît <ans leurs relations économiques internat ioi~alsç.; - une Porte croissance démgraphique qui puisque non accawpagnge dl une expmsion de l'économie générale, laisse apparaître un wc~lume appréciable de charnage sous des forsnscs diverses, Evidemment, on aurait yu tr~uver dtau tres çrit&res con-irtnc It insuffisance de Itgpargne, la faible consommation brbnergic, les secteur tertiai~e hypertrophie, la non explaitation de toutes ressources diç?onibles, etc,.. Mais finaiernxnt, tous ces critêres sont dérives cles quetre grai~dç types que nous avons socaliggn6s, dont ils ne smt que les cai~sequenees immqdiates. Quant aux facteurs qua1 itatifs, ce sont ceux qui portent dirccteri+ent sur les structures socio-pol i tiêo-écon3miques, et dont la quant l-ficstion est très malaisée 3 faire et parfois m&mo impossible, Certains dlcn tre eux en conséquence, dérivent des struetuples économiques et drautres des structures sociales, En effet : - les structures 6conomiques sont en ar3:xrence dlsartieulses, ciest- &-dire qutil y a une justaposition dtun secteur i~~derne (industricl et tertiaire supbrieur d~accorpagnemnt) et diun secteur traditiannel qui ont, des relations ykysiqldes et mnbtaires tr&ç faibles. 11s obelssent à cks centres de dqcision et 2 des mtivat ions differen te s ;

19 - les structures sociales &ga lement smt dmnscs 33ur sp6cipiq~es. Eii effet, les classes sociales nfont pas encars tr3uvs leur eontcurs tri. pr6cis et partant, les consciences de classes sont S pcine en P~rrnafion car ne sont pas portées par des idéologies précises, C"3L~bnm?Cne n~rrmal en Pin de compte car 2 tllmmaturitb des forces pr~ductives (infrastructures) correspond Ir irnmatur it6 des rappapts de prsdeict ion (s~e~erstructur~ Grest Justement IIQtat des structures éc:momiquos et sociales qui le secteur traditionnel subit des dominations ruineuses des propsi<- taires fonciers, cornmergants et des usuriers. Clcst dire que Ii&;>argne paysanne est ponctionnse moins pour am5liorer les techniques de produc- tion que pour financep la consom~îr;~akiori des classes pciraçitaires, Ces facteu~s que nous sou1 ignons -en partant de I ianzlyse crit6ricilongique- seulemat ne se rencantpent pas uniform6rrecnt dans t ~us les pays sous- déve lopp@s, mais auss i ne peuvent sxp l iquer le phbnoriagne du sous-deve- loppemnt dans sa ~ornplexité gbographique, historique et &conornique, I ls ne peuvent non plus permettre dictabt is les lois qui le pr4risi7ic;t;i1t;. b-ur intéret se réduit face 2 I'enchcvQtra~mnt souver? t souliçnc des facteurs dconomiques, sociologiques, polit iquss et au tres, face 2, l textrêrne complexitc5 des liens de causalit6 ou des inter-actions (1 3 à rsaliser une mise en ordre des feitç. En sonme. sa port& est sin-ipiemnt descriptive. Les théories partent souvent de la si:?pls observatian de ces faits pou^ expliquer le ~ous-de~elo?pe~i-it com;i?e un retard lis 2 la rarets des rosaourcos que ce sait en capital, en technologie, ou en insiructi3n (2).

20 Or comme Irindique A. HlRSCE-Sh':kY"s: l'tant qdon rangne le pra$l&rt~ à Ilabseiiâe dtun éi6snent capital, en trepreneurs, ou ê~nfiaissances techniques,. on peut croire possible de 1- rbésoudre en important cet éi6s~ent de Ifextbrisur", Ce que drailleurcr les politiques de d$veloppement, fondées sur la demande extérieure, vont proposer, Ces politiques -coriicrie manifestation de la volonté de sortir du saus-dévelo?perncnt- constituent le deuxibme caraêtéristique comrnuine de nos pays de réfqrenue, L'objet de cette seconde section est de passer en revue les OhSorics qui les p~rtent, Nous anal ysororîs donc succeçs ive men t : ka Les Okoories du cl6veloppemesit Qêanornique r'ond6es sur la demnde extqrieum et ses limites ; 6) Le tourism et la nouvel le problématique de Ifaêcunmlati3n interne,

21 PORTE ET LIMITES.

22 âeâes LI impressionnante littérature sur le saus-dbvd opperi~1-10 par delà les problc.nes jaa~fois bien mineurs de çér;mntique et de ii6pinition, soulqve une question fondainentale qui est de savoir quels sont les voies et rmyens les plus approprl0s pour ces pays de çtenga2er dans le processus de dgvelopgei:-ient que nous d&finirons comm étan t au point de vue 5cobîo~iique "~ine augmenta- tion du flux des revenus rqe is, ciest-&-dire un a~croiçsei~cent des quanti tss de bienset servi.ces disponibles par unit5 de ter-q3s clans une ccj11ectivi25 sûciale donn6ell [ 1 >, Ce processus paur se rilaintenir durablemnt dgit être accompagné de profondes rnutatims sociales et imntalcç qui rendent 1s col lectivit6 apte à poursuivre cet accroiâsemnt des Plu:c, II faut ngannwins souligner que la pl~~part des auteurs rgduisent le terri- de cl&voloppeiment CM terimss de siinl2l.e croissance Gconomique, ctest-2,4irc, IIaccr3issermnt continu drwn des agrégats con-iiq-e le prodldit naif ional pr6sent& en teri-ries reels, Ce faisant, ils épo~seiqt Ifoptique cllanalyse nqo-cla~;sique qui Pai t une place tres rcduite aux structures, Les théories sont trop nafi?breuses pour que nous!~uissions en donnek n*m une repr6sentatioi-1 ponctuel le, l.lous choisirons particul ikwrnent ce1 les qui considèrent le saus46ve l opperment cor;i;ne 6tnnt un rctar? de d6veloppermnt que Ilon peut c~filbler par les relations oxtgricuroç. Ce choix cependant n'a ri9n drarbitrairc diabord parce que ces thgor4c.s sont les plus courantes et ensui te êorz7ris Ic reinarque 3, :3e ZT-ITN!~, rv"el les inspirent les p\>l itiques de d6velapper;xnt dc certains pays sous développés à orien9atior.-lib6ralc et?airtant ont Ilappui des gsuvcrneri?ents et des centres des pouvoirs privosi1 ( ( 1) Celso FURT/'-J30 : Developperment et sous4bveloppcmc-'nte Col lections Vheoria, PL!!!, p. 75, \ Eab 6, De 6E2r\r\i83 : ~e SOLJS-CZV~IO~~~~T~~~~~* analyses OU re~rbçentations,.", * "fi-,.

23 U s discussions thqoriques soulev&es tournent pr incipa l@r.lent autour de trois tk8ma majeurs : - les pays sousdevelopp6s dans le coritexte des rel ati.ans 6hzonsmiques in ternationales; - les voies de Iiindustrialisûtion g - les relations en t re I findustrfe et Ilagriculture. Bien quiil ne se dégage aucune unaniinité th6orique ni sur les d6imrct-ies et Pnéthodes, ni sur les sslutior-is apport3es à chacun des problémes posgs, les opinions les plus cour~ntes, souitiennsnt quo les solutions les plus adéquates r6çultent des relations &conorniques internationalcs, Car, le çous45velopperi-ent étant dq à Iiabsenêc d'un ou plu sieur^ facteurs de croissance (cz~ital, teâhnolsgic), on peut pal lier à cette carence en les important, Cctte importa:ion doit etre couverte par les cx~rsktaticms, De fait, les 6Iémnts d9terminawtj de la strategie de dbveloppemnt, sont tous liqs à IIextéo.ici?h, En effet, pour ce courant, les ;xys sows-cl6velo~~&s vccalent uns êroiçsa:~ee économique ra>ide, Seulesment, le taux est une Ponction croissûnte du tau:: diaccurnulation du capi tai, Donc un niveau éiev4 de croissance exige en conséquence un volume CievS dtinvestissement et bi6psr3ric, Or Il6pargne h fondaimntaleif~nt trois sources : indivieluelle, priv6c et publique, biépargne individuel le est relativeti~nt tr&s faible voire rnéil-e nulle car, I el le est fonction du niveau des revenus et ce lui-.=i est très bns, LILpargne privée, molgré les bases iuidustriel los très restreintes, est appr&ciable, mis son volume est particudiqren-ent lig au cornmree cxtgrieur.

24 .2* 22 En effet, comme le note J. YJOWF file volurne de leur profit d6pend du volur-nc de leur production, et coriinz les pr~duitsont export&, du volwi-..ie des exportationst~ (14. En cons6qcaence, si le taux de tpansfeflt des b6nqficsç à l'étranger est limité, Ifépargne disponible sera a[spr&êlnble, II reste la troisi&vïle source de I1rSpnrgne qui est diarigins publique, Son vololizx est lié au corniverce ext6rieur, cfcst-à-dire que 11 la taxation ;-seut etre assise sur les izportatians, sur les exportatio~-is, si le pays clbtior-it le i-rionopole de la proc'uêtion drune mtièro preini2re de base, >u si! a demande internationale du produit est gcu 6lastique. sur Ics b&n&fices des saci,5t5ç assurant la conimree avec I~ext&rieur~~, En go(^r7iïme ssu les trois saurces dlopargne, deux sont Qtrolten-ent IfrVLes au con7r-mrce ext6rieur. ;:, cela s'ajoute les transferts de capitûux sous des for;rses cliverses c,3mme les prêts et les dons ê~rn~wn6n~nt a?pclvs aide extorieum -qei~ellc soit bi au iriultil at6ralo. Ce substratun; th6orique, r$p5tons, sc retrouve fari~lul~ r l avec des instruments dlai.ialyse parfois bien diff-ie6rentsm 81 npparafr i~lus netterrxi-it dans les tmis a'sç dc r&plexion tl-iéorique que n3us a1 9 ~ ; ~ s I Les recherches sur les lois qui gouvernent 116clînngc liiternntic~nal se rattachent pour la plupart 2 In vieil le tl-igoric ricardienno Zes cohs comparatifs qui a, selon 3, E-é/--,C-I=;?&P=:2 ~lconserv6 SE valeur diune i-~.icnibre &tonnante car el lc n surv6cu & la rdvolution rnarl;innl içte, et iaeyn6sienno sans grand dommage pour ses tiièseç esscnt ie l les11 623,...,,.;,; :. : b ' '? : The &devance of C laçaic.h.l Thesry under r~wdern ((2) G, ~/:@ERL~ZR.m Ad,. " *-.->,. e

25 Liorigine de la thdorie, d1ai l leurs rsmante & i~\~ SR;ITC-E qui Panchi t Il6ehailge ext6rieu~c sur la différence des ê~btc; absolus de YPO~LIC~~~~I car il fds~i t remarquer quo ttlorsqu'un pays 5trarigsr peut nous fûuriiir des fi7arâkan- dises dont le ;rix serait plus bas que celui des pr3rlraits fabriquds par nous-rdws, il vaut mieux les lui une partie.-4" notre production de notre propre travail inclustriel appl iqul &ils un di?inaine oh nous avons que I~UCS avantages;' ( P 1. icardo a p3ursciivi cette op0 ique dianalyse?sur ab~utir & la f~)rl;wlati3:i de IÛ fai-neuse loi des c&ts campa- ratifs, Le mosiaenî essentiel de Its.~alyss est que dans une s i tuatign de concurrence pure et parfaite et de plein-ei~loi cies facteurs de pr~duêtim -cconsid6ras coi-nme immuables- si 12 technologie rcste invariable et les codts abs~lus di-x6rents et constants, chaque nation a intfret 2 se s;>l$cia- liser parce que IfSchango 61Sve le niveau du r evenu slobnl, Le courant n6o-classique recaiiduit :mur Itessenticl les tii&ses ricardieanes dépouil l6es de la thborie de la vsleur qui selori f ai1ssi.2 iilest en 22finitivc qu'une hmoth8se qui facilite le rais3nnemnte e u e>i>ort f3iidamntal se situe dans lradjonction 2 Ifbdifice thgorique classique de la thhrie des codts de substitution et celle de Ia clotati.r>n factorielie, Le.remier?eriret dtqjecter dwinitivemnt la thdorie de la valeur travail et son romplaccmnt par la valeur fondde sur IiutilitS -le coqt d'un procrltnit 6tenP dbsormais d6fini par la renonciat'kh E un autre :aradui t- Le sccoiic??erraet de just ifier la nature et les ûvanta~es liss au>< dive~sst f~rî;7cs de la s?scialisatisn des nations, L'optimum thgorique nso-cl assique est atteint avec les travaux Oe Herkscher-3hlin (21, qui Stablissent un couale de relations entre ies dotations factorielles. les courants comii=isrcia~ les qrix i-:es fzctsurs et le niveau A rr&---riE~----iui (1).& Sl~~P~-~ :,.:in inquiry into the b!spure and cautss *3f the ;'ealéh ot Natians Londres 1904 ; p. 422, (21 Elie WEC!C5t",WER : The effect of foreign trade on the distribution 0.F incorn..&l lei? and Mnwin, Londot?, 1!%0,

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