80 % des ménages bretons satisfaits de leurs conditions de logement

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1 80 % des ménages bretons satisfaits de leurs conditions de logement En 2006, 4 ménages bretons sur 5 sont satisfaits de leurs conditions de logement et 1 sur 20 insatisfaits. En, les résidences principales sont plus spacieuses qu en métropolitaine. Ce sont les personnes de plus de 50 ans qui disposent le plus d espace. Malgré ce ressenti globalement positif, des marques d inconfort et d insatisfaction subsistent. L humidité est de loin le principal défaut constaté, mais elle touche plus les logements loués. Les motifs d insatisfaction, principalement une mauvaise isolation phonique, sont moins ressentis en qu en métropolitaine. En, les résidences principales sont un peu plus grandes qu en métropolitaine. Une surface moyenne et un nombre moyen de pièces plus élevés en témoignent. Par ailleurs, les grands logements sont plus fréquents dans la région. 66 % des résidences principales possèdent au moins 4 pièces contre 60 % en métropolitaine. Dans les six aires urbaines enquêtées, c est dans celle de Rennes que ces logements sont les moins fréquents (56 %), y compris lorsqu on ne prend pas en compte les logements occupés par les étudiants (5 %). Dossier d'octant n 51-1

2 Surface moyenne par habitant selon le statut d'occupation (en m 2 ) métropolitaine Propriétaire 4 46 Locataire secteur social Locataire secteur privé 41 3 Personne seule 1 6 Ménage de plusieurs personnes sans famille* Famille monoparentale 3 33 Couple Ensemble * personnes sans lien familial entre elles : colocataires, etc... Surface moyenne par habitant et par Aire Urbaine (AU) selon le statut d occupation (enm) Les locataires du secteur social ont plus d espace à Saint-Brieuc Dans la région, chaque habitant dispose d une surface moyenne de 43 m 2 contre 40 m 2 pour la moyenne de métropole. Hors Île-de- où les logements sont plus petits (32 m 2 par habitant), la surface moyenne bretonne est proche de celle observée en de province (42 m 2 ). Les 10 % de ménages les plus à l étroit dans leur logement disposent de moins de 23 m 2 par personne tandis que les 10 % les plus largement logés bénéficient de plus de 0 m 2 par personne. Dans les aires urbaines, il n y a pas de différence notable pour les ménages les plus à l étroit. Les écarts se creusent pour les ménages les mieux logés. Ainsi, dans celle de Rennes, ces ménages bénéficient de 5 m 2 par personne contre 100 m 2 dans celle de Quimper où les maisons individuelles sont plus nombreuses. En comme en métropolitaine, la surface moyenne par habitant est plus élevée pour les propriétaires que pour les locataires. Elle est plus élevée pour les locataires du secteur privé que pour les locataires du secteur social Brest Lorient Propriétaire Quimper Rennes Saint-Brieuc Locataire secteur social Vannes de province Locataire secteur libre métropolitaine On retrouve cette différence dans les aires urbaines de Lorient et Vannes. Par contre, dans celles de Quimper et Saint-Brieuc, les locataires du secteur social ont plus d espace. A Saint-Brieuc, la surface par locataire du secteur social est de 3 m 2, soit 4 m 2 de plus que la moyenne régionale. Définition de la notion de surpeuplement Pour l enquête Logement 2006, des règles précises ont été définies pour cerner la notion de surpeuplement au sein d un logement. Un ménage est dit en situation de surpeuplement si le logement qu il occupe ne comporte pas un nombre de pièces suffisant compte tenu du nombre de personnes dont il se compose. Selon les conventions de l Insee, sont nécessaires : une pièce de séjour, une pièce pour le couple ou pour l adulte seul, une pièce pour les autres personnes de 1 ans et plus ne vivant pas en couple, une pièce par enfant dans le cas général, une pièce pour deux enfants s ils sont du même sexe ou ont moins de ans. Avec cette définition, une personne seule habitant un studio est en situation de surpeuplement, c est pourquoi la surface du logement est prise en compte dans le cadre de cette étude. On exclut de la catégorie des logements surpeuplés les logements d une pièce de plus de 25 m² occupés par une seule personne. Par contre, on considère comme surpeuplé un logement comportant autant ou plus de pièces que la norme mais offrant moins de 18 m² par personne. Pour plus de précisions, on pourra consulter le site - rubrique Définitions La différence de surface s explique aussi par le type de logement. Dans la région, les occupants d une maison individuelle occupent chacun 45 m 2 contre 36 m 2 pour ceux d un appartement. Cet écart est plus marqué à Quimper et à Vannes et moins marqué à Saint-Brieuc. Plus d espace pour les personnes seules les plus âgées Les ménages de personnes seules vivent dans un logement plus spacieux (1 m 2 ) que les autres ménages mais parmi elles, les situations sont disparates. Au-delà de 50 ans, la surface par habitant est la plus élevée car ces personnes se retrouvent seules suite à des évènements familiaux tels que le départ de leurs enfants, le veuvage, la séparation, etc. Par contre, à l autre extrémité, en dessous de 30 ans, une personne seule ne dispose que 18 - Dossier d'octant n 51

3 de 41 m 2. Dans les aires urbaines, les personnes seules sont le plus à l étroit à Rennes, surtout les plus jeunes (étudiants et jeunes actifs) et les plus de 65 ans. En 2006, 6 % des logements bretons peuvent être qualifiés de surpeuplés (voir encadré p. 18). Le surpeuplement est plus fréquent dans les aires urbaines de Rennes et Brest (respectivement 10 % et 8 %). En métropole, il est de %. La situation de surpeuplement est par contre plus ressentie par les ménages. En effet, 11 % des ménages bretons déclarent le nombre de pièces de leur logement insuffisant, soit 5 points de plus que la part des ménages réellement touchés par le surpeuplement. Un quart des ménages ayant le sentiment d être en surpeuplement le sont réellement, particulièrement chez les couples avec au moins deux enfants. A l inverse, un ménage sur deux en réelle situation de surpeuplement se satisfait du nombre de pièces disponibles au sein de son logement. L humidité touche plutôt les logements en location Plus de logements bretons ne disposent pas du confort de base (WC, sanitaires et chauffage central) 1. 4 % des logements sont concernés contre 6,8 % en métropolitaine. La grande majorité de ces logements sans confort disposent de WC intérieurs et d installations sanitaires mais ils ne sont pas chauffés, sinon par des appareils indépendants. L enquête Logement permet de décrire les caractéristiques d un logement avec des critères plus fins que ceux du confort de base déjà évoqué. Sur les 12 critères donnant la définition d un logement décent 2, 10 critères sont appréhendés dans l enquête au sens du décret Solidarité et Renouvellements Urbains (SRU) du 30 janvier Répartition des logements par Aire Urbaine (AU) en fonction de leur qualité* (en %) Brest Lorient Quimper Rennes Saint-Brieuc Vannes de province métropolitaine Bonne qualité Qualité moyenne Mauvaise qualité * un logement de bonne qualité satisfait l ensemble des 10 critères SRU retenus dans l enquête ; de moyenne qualité entre 8 et ; de mauvaise qualité, au plus Intensité de l'humidité dans les logements selon le statut d'occupation Propriétaires Locataires Aires urbaines : Brest 0,6 1,3 Lorient 0,6 1,40 Quimper 0, 1,42 Rennes 0,0 1,35 Saint-Brieuc 0,0 1,4 Vannes 0,84 1,24 0,6 1,62 de province 0,3 1,3 métropolitaine 0,1 1,38 Lecture : parmi les logements touchés par l humidité en, 44 % d entre eux sont habités par des propriétaires. Par ailleurs, 65 % des ménages bretons sont propriétaires. 44 % / 65 % = 0,6. Ce ratio est inférieur à 1. Cela signifie que les propriétaires sont sous-représentés dans les logements touchés par l humidité. Quand le ratio est supérieur à 1, cela signifie qu il y a surreprésentation. En, deux tiers des logements peuvent être qualifiés de bonne qualité, c est à dire sans aucun défaut. En revanche, logements sont de mauvaise qualité, cumulant plus de deux défauts. Cela représente 3 % du parc des résidences principales, comme en métropolitaine. Dans les aires urbaines, la part des logements de mauvaise qualité est la plus faible à Vannes. Comme en métropoitaine, le principal défaut constaté en concerne des signes d humidité sur les murs (20 % des logements). Il est plus récurrent à Brest (25 %) et plus faible à Vannes (14 %). Dans la région, les logements présentant des signes d humidité sont davantage représentés dans ceux construits avant 14, dans les logements collectifs et chez les locataires. Cependant, les logements des locataires sont moins touchés dans les aires urbaines que la moyenne régionale. Pour les logements des propriétaires, c est l inverse. L humidité altère l opinion favorable des ménages sur leur logement mais elle n explique pas à elle seule le ressenti des enquêtés. Les ménages les plus satisfaits dans l aire urbaine de Vannes En 2006, % des ménages bretons se déclarent satisfaits de leurs conditions de 1- Chauffage mixte, urbain, individuel électrique ou par chaudière individuelle ou collective 2- Voir encadré sur le décret SRU p. 22 Dossier d'octant n 51-1

4 logement. Ce niveau de satisfaction est plus élevé que celui observé au niveau national (5 %). 16 % des ménages considèrent leurs conditions de logement acceptables et 5 % insatisfaisantes. Ce sont les ménages vannetais qui sont les plus satisfaits (85 %), soit 10 points de plus que les ménages briochins. Les raisons pour lesquelles des ménages sont plus satisfaits de leurs conditions de logement que d autres sont multiples et sont difficiles à appréhender. Néanmoins, en analysant des critères objectifs, les ménages satisfaits sont mieux logés que la moyenne. Ils habitent plus souvent des logements Répartition des ménages par Aire Urbaine (AU) selon leur degré de satisfaction (en %) récents, sont plus souvent propriétaires et sans doute plus enclins à améliorer le confort de leur logement. Premièrement, leur logement est plus spacieux (2 m 2 supplémentaires par personne pour la région, jusqu à 3 m 2 en plus pour l aire urbaine de Vannes). Ainsi, 82 % des ménages qui ne sont pas en situation de surpeuplement sont satisfaits. A l inverse, 1 % des ménages en situation de surpeuplement ne sont pas satisfaits. Dans l aire urbaine de Saint-Brieuc, ce taux atteint 2 % et dans celles de Lorient et Vannes, il n est que de 10 %. Ensuite, la qualité du logement joue également sur la satisfaction des ménages. Ainsi, 8 % des ménages occupant un logement de bonne qualité sont satisfaits tandis que 54 % des ménages occupant un logement de mauvaise qualité sont insatisfaits. L humidité qui est le défaut le plus récurrent touche 60 % des logements habités par des ménages insatisfaits contre 15 % des logements habités par des ménages satisfaits. 0 Brest Lorient Quimper (Très) satisfaisantes Rennes Saint-Brieuc Acceptables Vannes de province (Très) insuffisantes métropolitaine La part des ménages insatisfaits dépend également des conditions sociales dans lesquels ils se trouvent. Ainsi, 8 % des familles Motifs d insatisfaction concernant les logements et leur environnement (en %) Mauvaise isolation phonique Proximité des commerces mauvaise ou nulle Mauvaise opinion sur la présence et la qualité des espaces verts (ou des campagnes environnantes quand elles sont proches) Mauvaise ou pas de relation de voisinage 5 12 L un des membres du ménage a été victime ou témoin direct d un vol ou d une agression physique dans le quartier au cours des douze derniers mois 6 11 Mauvaise opinion sur l accessibilité par voiture 10 Mauvaise opinion sur l accessibilité par les transports en commun 8 6 Bruits diurnes et nocturnes très fréquents Mauvaise opinion sur entretien des rues de province métropolitaine Lecture : 11 % des ménages bretons répondent qu ils n ont pas de relation de voisinage e ou que ces relations de voisinage sont mauvaises. Ce motif arrive au 4 rang des motifs d insatisfaction 20 - Dossier d'octant n 51

5 monoparentales et % des ménages dont le chef de famille est au chômage, % des ménages dont le chef de ménage est agriculteur ou ouvrier estiment leurs conditions de logement insuffisantes contre 5 % pour la moyenne régionale. Par ailleurs, l analyse de l opinion des ménages sur leur logement et leur environnement montre que les ménages satisfaits se plaignent moins des nuisances sonores extérieures et intérieures. Ils ont également une meilleure opinion sur leur quartier (relations de voisinage, accessibilité du logement, espaces verts, air, sécurité,...). Les ménages se plaignent surtout d une mauvaise isolation phonique Une mauvaise isolation phonique est le premier motif d insatisfaction. Cette nuisance est davantage ressentie en qu en métropolitaine où elle n arrive qu en 3 e position derrière la qualité des commerces et des espaces verts. La proximité des commerces arrive en seconde position des motifs d insatisfaction, suivie de la qualité des espaces verts et des relations de voisinage. Excepté la mauvaise isolation phonique, les problèmes sont moins souvent évoqués en qu en métropolitaine. Les Bretons sont ainsi deux fois moins gênés par le bruit, une mauvaise accessibilité du logement par la voiture particulière (stationnement, embouteillage, ) et un mauvais entretien des rues. Dans les aires urbaines, les ménages se plaignent plus d une mauvaise insonorisation mais c est dans celles de Vannes et Saint- Brieuc qu ils en souffrent le moins. C est d ailleurs à Vannes que les problèmes sont les moins souvent évoqués et que le taux de satisfaction global est le plus élevé. Le mécontentement sur les espaces verts est plus fréquent dans les aires urbaines de Lorient et de Saint-Brieuc. Isabelle Baudequin Pour en savoir plus L occupation du parc HLM : un éclairage à partir des enquêtes Logement de l Insee / Alain Jacquot. - Paris : Insee, p. - ( Document de travail ; F008). - Accessible en ligne. Cinquante ans d évolution des conditions de logement des ménages / Alain Jacquot ; Insee. - Dans : La Société française : données sociales.- (2006, mai). - P Accessible en ligne. Vers une nouvelle mesure de l intensité du peuplement des logements / Christelle Minodier ; Insee, Division logement. - Paris : Insee, p. - ( Document de travail ; F060). - Accessible en ligne. Changer de logement dans le même environnement / Christelle Minodier ; Insee. - Dans : La Société française : données sociales. - (2006, mai). - P Accessible en ligne. La qualité des logements : l humidité est le défaut le plus fréquent / Hélène Chesnel ; Insee, Direction régionale du Nord-Pas-de-Calais. - Dans : Insee première ; n 1 (2004, juin). -4p.-Accessible en ligne. Les ménages à bas revenus et le logement social / Jean-Claude Driant, Christelle Rieg. - Dans : Insee première ; n 62 (2004, avr.). - 4 p. - Accessible en ligne. Le parc locatif récent : davantage de maisons et de petits immeubles / Christelle Minodier. - Dans : Insee première ; n 5 (2004, avr.). - 4 p. - Accessible en ligne. Enquête logement 2002 : fichier détail / Insee. - Paris : Insee, ( Fichiers détail Insee). - Cédérom. Les conditions de logement des ménages en 2002 : enquête logement 2002 / Liliane Lincot et Christelle Rieg. - Dans : Insee résultats. Société ; n 20 (2003, oct.) p. + Cédérom. - Accessible en ligne. Recensement de la population 1 : des logements plus grands et plus confortables / Mylène Chaleix et Chantal Madinier. - Dans : Insee première ; n 50 (2000, nov.). -4p.-Accessible en ligne. Confort de l habitat et cycle de vie / Laure Omalek, Martine Neiss, David le Blanc. - Dans : Insee première ; n 2 (2000, juil.). - 4 p. - Accessible en ligne Dossier d'octant n 51-21

6 Logement décent décret du 30 janvier 2002 : JO du 31/1/2002 Tableau récapitulatif des différents critères définis dans les articles 2 et 3 du décret Solidarité et Renouvellements Urbains (SRU). Les caractéristiques d un logement décent Le décret prévoit qu un logement décent doit satisfaire à certaines conditions au regard de la sécurité physique et de la santé des locataires : 1-Il assure le clos et le couvert. Le gros œuvre ainsi que celui de ses accès est en bon état d entretien et de solidité et protège les locaux contre les eaux de ruissellement et les remontées d eau. Les menuiseries extérieures et la couverture avec ses raccords et accessoires assurent la protection contre les infiltrations d eau dans l habitation. Dans les départements d outre-mer, il peut être tenu compte, pour l appréciation des conditions relatives à la protection contre les infiltrations d eau, des conditions climatiques spécifiques ; 2-Les dispositifs de retenue des personnes, dans le logement et ses accès tels que garde-corps des fenêtres, escaliers, loggias et balcons sont dans un état conforme à leur usage ; 3-La nature et l état de conservation et d entretien des matériaux de construction, des canalisations et des revêtements du logement ne présentent pas de risques manifestes pour la santé et la sécurité physique des locataires ; 4-Les réseaux et branchements d électricité et de gaz et les équipements de chauffage et de production d eau chaude sont conformes aux normes de sécurité définies par les lois et règlements et sont en bon état d usage et de fonctionnement ; 5-Les dispositifs d ouverture et de ventilation permettent un renouvellement de l air adapté aux besoins d une occupation normale du logement et au fonctionnement des équipements ; 6-Les pièces principales bénéficient d un éclairement naturel suffisant et d un ouvrant donnant à l air libre ou sur un volume vitré donnant à l air libre. Le logement doit comporter les éléments d équipement et de confort suivants : 1-Une installation permettant un chauffage normal, munie des dispositifs d alimentation en énergie et d évacuation des produits de combustion et adaptée aux caractéristiques du logement. Dans les départements d outre-mer cette condition n est pas obligatoire ; 2-Une installation d alimentation en eau potable assurant à l intérieur du logement la distribution avec une pression et un débit suffisants pour l utilisation normale de ses locataires ; 3 - Des installations d évacuation des eaux ménagères et des eaux-vannes empêchant le refoulement des odeurs et des effluents et munies de siphon ; 4-Une cuisine ou un coin cuisine aménagé de manière à recevoir un appareil de cuisson et comprenant un évier raccordé à une installation d alimentation en eau chaude et froide et à une installation d évacuation des eaux usées ; 5-Une installation sanitaire intérieure au logement comprenant un WC, séparé de la cuisine et de la pièce où sont pris les repas, et un équipement pour la toilette corporelle, comprenant une baignoire ou une douche, aménagé de manière à garantir l intimité personnelle, alimenté en eau chaude et froide et munie d une évacuation des eaux usées. L installation sanitaire d un logement d une seule pièce peut être limitée à un WC extérieur au logement à condition que ce WC soit situé dans le même bâtiment et facilement accessible ; 6-Un réseau électrique permettant l éclairage suffisant de toutes les pièces et des accès ainsi que le fonctionnement des appareils ménagers courants indispensables à la vie quotidienne. Dans l enquête Logement 2006 dont les résultats sont présentés ici, deux critères parmi les 12 ne sont pas disponibles : le dispositif de retenue (critère 2 de la 1 ère liste) et le réseau électrique concernant l éclairage (critère 6 de la 2 e liste) Dossier d'octant n 51

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