TRAVAIL ET IDENTITE SOCIALE COLLOQUE IFOREP 3/12/07

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1 TRAVAIL ET IDENTITE SOCIALE COLLOQUE IFOREP 3/12/07 INTRODUCTION : Pour démarrer, je vais tâcher de problématiser les termes proposés à la réflexion, à savoir «travail» et «identité sociale», parce qu il me semble qu aucun d entre eux n aille vraiment de soi. Pour ce faire, je propose de prendre successivement 2 entrées possibles sur la question : - une entrée contextuelle afin de nous interroger sur ce que recouvre aujourd hui la notion de «monde du travail» en tant que lieu où nous sommes censés produire une «identité sociale» qui serait commune : Qu est ce qui se passe concrètement dans nos univers professionnels du point de vue de la mise en œuvre d une appartenance collective à un même monde? - deuxième entrée : une entrée épistémologique (philosophique) va interroger le concept même d «identité» et permettre de le problématiser. A partir de là, nous pourrons envisager la question «travail et identité sociale» sur plusieurs axes. 1) le travail comme expérience des normes ou lieu d une dramatique d usage de soi 2) l activité de travail prise en tension au sein d un espace social tripolaire *** Prenons donc la première entrée : Le travail en tant que facteur de socialisation a perdu de son évidence. Il y a encore quelques décennies de cela, un monde du travail très usinier a permis l élaboration de repères collectifs homogènes et par là, la construction d identités sociales fortes à travers les vies au travail. «Travailler à l usine Y» signifiait beaucoup plus qu effectuer des actes de travail dans un nombre d heures données, c était aussi participer à l élaboration d une culture commune (cf «le monde ouvrier») qui s organisait autour du travail. On peut en ce sens avancer que le travail était un facteur structurant de la constitution des identités sociales. 1

2 Ces repères collectifs (type «conscience de classe», mouvements syndicaux, etc.) ont été affectés par les transformations des organisations du travail qui ont pu apparaître (non sans raison) comme réponses stratégiques à la force de ces homogénéités, de ces identités sociales. Aussi, la question que nous proposons à la réflexion aujourd hui est la suivante : dans un monde du travail sujet à de profondes transformations et où le «discours du travail» est agité comme réponse à tous les maux de la société (cf «travailler plus pour gagner plus»), qu en est t-il réellement de la place de l homme dans la production d un monde en commun? Qu en est-il de l élaboration collective d éléments susceptibles de construire à la fois des héritages et des projets communs au cœur des milieux de travail? Pour répondre à ces questions, je voudrais d emblée mettre en évidence un double processus qui interroge l activité de travail comme facteur possible de la construction des «identités sociales». D une part, un phénomène de globalisation, de mondialisation des économies, de mobilité internationale, etc. nous conduit à poser le constat suivant : le monde du travail est un et un seul, à la taille de la planète. C'est-à-dire que ce qui se joue localement a des répercussions toujours globales et inversement ce qui se décide au niveau global (OMC ) n est pas sans incidence sur l activité concrète des femmes et des hommes au travail. La question d un univers commun qui émergerait d un travail mondialisé se confronte bien entendu aussitôt à l hétérogénéité massive des formes sociales et juridiques de travail, d autant que par ailleurs (deuxième versant du processus que j évoque), on voit se développer dans les entreprises (notamment ici, en Occident), des tendances à une toujours plus grande individualisation du travail par la mise en concurrence de chacun contre chacun (cf. les «call-center»), par le développement des logiques «compétences», par la nécessité d une toujours plus grande flexibilité pour s adapter à la rapidité des changements dans le travail, etc. Tout ceci nous amène à considérer que le monde du travail que nous évoquons, monde censé être «un» tend à se réduire à la taille de l individu, à la taille du «plus que soi». Aussi, nous posons le constat paradoxal d un monde du travail à la fois globalisé et «monadisé», réduit à la singularité des individualités en lutte les unes avec les autres. Ma vision des choses à ce stade de la réflexion est forcément un peu caricaturale, mais je voudrais attirer l attention sur le point suivant : ce double processus met en question la possibilité d une appartenance à une communauté de vie au travail qui puisse être vecteur de la construction d une «identité sociale» par le travail. 2

3 Comment donc faire le lien aujourd hui entre un monde pensé à l échelle de la planète Terre et la réalité d activités de travail confrontées aux problèmes d isolement et de disparition des solidarités collectives? Mais disparaissent-elles vraiment? Ne se recréent-elles pas autrement ; et si oui, comment? Sur quels modes? Dans quels espaces? Selon quelles temporalités? Dans quelle mesure les personnes sont-elles amenées à tenter de construire leurs «identités sociales» ailleurs que dans le travail? Etc. Deuxième entrée (philosophique) : qu est ce qu une identité, à fortiori une identité sociale? Cette notion est loin d être évidente et nécessite de prendre un minimum de précautions lorsqu on l emploie. D abord parce que la notion même d identité est mise en question lorsqu elle rencontre celle d activité (car nous parlons bien d hommes et de femmes producteurs d un monde qu ils fabriquent et re-fabriquent en permanence notamment par leur travail). L identité n est donc pas quelque chose qui va de soi mais c est quelque chose qui se construit dans le rapport dialectique que l activité permet d instaurer entre une singularité et un environnement, rapport toujours médiatisé par les autres. L identité n est donc jamais arrêtée, elle n est jamais définie une fois pour toute mais elle est remise en chantier dans et par l activité (notamment activité de travail) et se détermine continûment au sein même du mouvement de vivre. Il nous importe donc d attirer l attention sur l instabilité constitutionnelle de cette notion dès lors quelle s applique au vivant, de surcroît à l humain en activité. Cette dernière remarque ne nous permet d approcher la notion d «identité» autrement qu en tendances. Comment donc parler d identité sociale (via l activité de travail) lorsqu on prend la mesure de cette instabilité? Nous avons là affaire à un «concept pluriel» : l identité est par définition insaisissable car «ce qui est» concernant des hommes et des femmes en activité ne demeure pas! Méfions nous donc des catégorisations rapides et de leur pouvoir de neutralisation d un réel en perpétuelle transformation, notamment lorsque nous rangeons derrière la notion «d identité sociale» une supposée appartenance commune à un groupe spécifié définitivement. 3

4 C est pourquoi, pour cerner dans quelle mesure le travail manifeste l intrication de rapports complexes et dialectiques entre soi et les autres, nous proposons d aller voir les choses de près et de les regarder sous l angle suivant : 1) le travail comme expérience des normes ou lieu d une dramatique d usage de soi. Le travail c est compliqué, il s y joue constamment quelque chose du rapport de soi au monde médiatisé par les autres. Autrement dit, produire un bien ou un service, c est toujours pour partie «se produire» soi-même en même temps qu on produit des configurations de monde particulières notamment sociales et il n y a rien de mécanique à cela! En effet, travailler, pour reprendre une expression d Yves Schwartz cité par Louis Durrive, «ce n est pas occuper une place prédéterminée dans une machine sociale mais c est véritablement participer à l aventure humaine». Qu est-ce que cela veut dire? Reprenons l un des grands enseignement de l ergonomie de langue française : entre le travail prescrit et le travail réel, il y a toujours un écart irréductible parce que le monde bouge, il est sujet à variabilité, il n est jamais exactement tel que prévu par le programme qui anticipe l action (exemple : une panne, un retard, un changement climatique pour des activités agricoles, etc.). Approcher de près le travail réel, c est donc considérer la gestion toujours pour partie singulière et problématique d un écart qui interpelle l homme comme être de choix. Travailler, c est en effet s ajuster en permanence aux aléas de la situation rencontrée afin de pouvoir répondre aux injonctions formulées par l organisation du travail. Autrement dit, le travail n est jamais «exécution de soi» sur «commande» mais l activité manifeste toujours des formes de négociations de l usage que chacun fait de lui-même par rapport à ce qu on attend de lui. Il me semble que nous touchons là du doigt quelque chose d important pour notre question «Travail et Identité sociale» dont les 2 termes ne peuvent s articuler qu à partir d un 3 ème qui est «la personne en activité» ; une entité qui se positionne par rapport à un ensemble de normes environnantes, une entité qui entre dans un rapport toujours polémique avec elles, qui les met en question afin de pouvoir se les approprier. Nous pointons donc ici l activité comme source d une dialectique permanente entre soi / autrui / le monde dans un espace social donné. 4

5 Cela veut dire qu à travers les choix qu on fait, on contribue toujours à la construction d un monde avec d autres, qui, en retour, nous réinterroge en permanence dans ce qu on fait. Il y a là quelque chose de très dynamique pour la constitution de chacun mais également du collectif de travail! Dit autrement notre réflexion prend à rebours toute idée de déterminisme social dans la constitution des identités. Travailler, c est toujours faire une expérience au sens étymologique du terme, «experiri : faire l essai de», c est tenter une réponse singulière par rapport à ce qu on nous demande. Une réponse constitutive de soi dans le rapport aux autres et au monde. En effet, à partir du moment où une personne fait des choix pour gérer un écart persistant entre le prescrit et le réel, elle le fait en fonction de critères qui renvoient nécessairement à des valeurs. Il apparaît de la sorte que dans le plus infime de l activité, derrière le réel du travail, il y a des débats : débats de soi avec soi qui peuvent être liés à l économie du corps : par exemple, une opératrice sur une chaîne de montage va procéder de telle ou telle manière afin de pouvoir tenir les cadences mais aussi ne pas finir la journée sur les genoux débats de soi par rapport à des valeurs sociales : on peut supposer que la même opératrice va vouloir gagner du temps en effectuant les opérations prescrites sur un laps de temps plus court que le temps prescrit afin de pouvoir éventuellement récupérer d un évènement négatif la patte d un composant électronique tordue par exemple sans que cela ait de conséquences pour sa voisine qui doit poursuivre le travail qu elle fait. On voit par là que l usage que l opératrice fait d elle-même incorpore à divers degrés des valeurs d ordre politique au sens du «bien vivre ensemble» sur la chaîne, du «bien vivre ensemble» au travail. Nous constatons de la sorte que l activité renvoie à un complexe de valeurs qui entrent en débat, si l on ignore ce débat, on ne peut comprendre vraiment le travail comme facteur d accomplissement de soi et de constitution des «identités» notamment sociales entendues comme reconnaissance d une appartenance à un groupe qui partage globalement les mêmes valeurs que soi. C est pourquoi nous parlons du travail comme lieu d une dramatique d usage de soi : dramatique au sens grec du terme : «drama» = «il s y passe quelque chose!», l activité interpelle l homme comme acteur et auteur d un monde à vivre avec les autres! 5

6 C est en ce sens qu elle apparaît comme médiatrice entre le local et le global : elle manifeste une sorte d accordéon permanent entre le plus microscopique de l activité et le plus global de ce que c est que vivre ensemble dans le monde. Aussi ce que chacun engage de lui-même à travers les arbitrages qu il opère, a des effets sur la socialisation des problèmes (émergence de mouvement revendicatifs ) et joue sur des changements politiques larges. Inversement, ce qui se décide au niveau global n est pas sans incidence sur le travail tel que configuré localement. Ceci m amène à considérer la question de la constitution de «l identité sociale» par le travail en tant que prise dans un mouvement de transformation de soi et du monde dans un espace social tripolaire. 2) L espace social tripolaire Nous avons parlé de l activité en tant que lieu d une «dramatique d usage de soi», c est-àdire que le travail n est pas le simple produit d un jeu de forces économiques et politiques par rapport auxquelles personne n aurait rien à dire et que l on subirait strictement, mais il mêle plusieurs usages qui entrent en tension au sein d un espace social tripolaire : - un usage marchand orienté par des valeurs économiques combien ça coûte? - un usage politique orienté par des valeurs sans dimension qui sont celle du «vivre ensemble», de la politeia - un usage de chacun pour sa propre vie : pôle des gestions, de l activité comme dramatique d usage de soi, où chacun arbitre entre divers ordres de normes pour orienter son agir ici et maintenant. C est l interaction permanente entre ces trois pôles en tension qui explique comment les choses se transforment sous l effet de crises et de rééquilibrages successifs et pour faire écho à notre introduction, nous pensons que le caractère pluriel et instable de la notion même «d identité sociale» est à mettre en correspondance avec ce qui se joue au sein de cet espace tripolaire. Le pôle du marché génère vis-à-vis de l activité humaine un certain nombre de normes ordonnées à des valeurs quantitatives, dimensionnables en termes de ratios économiques (= pôle du «combien ça coûte?»). C est là le pôle de la volatilité des échanges monétaires auquel correspond un certain nombre d injonctions : la disponibilité quasi-immédiate de la 6

7 main d œuvre (recours à l interim), la réactivité des femmes et des hommes producteurs qui sont appelées à changer rapidement et souvent de contexte d emploi (mobilité et flexibilité professionnelle en fonction de «mutations sectorielles», etc). Le poids de ces normes peut dans certaines configurations historiques entraîner une sorte de «vampirisation» par les valeurs marchandes des secteurs qui normalement ne sont pas fondamentalement orientés par ces valeurs là (même s ils doivent pouvoir faire l objet d un dimensionnement). Aussi, est-ce au pôle politique que s objectivent, à travers l établissement du droit, des valeurs sans dimension (la santé, la culture, l éducation, la fraternité, l égalité, la liberté, les droits de l homme, etc.) qui orientent la vie sociale eu égard à l horizon d un monde à vivre qui soit un monde commun. Ce pôle de la politeia doit être entendu comme possibilité d ouverture des citoyens à une culture commune à laquelle correspond un temps de très longue durée (le temps du droit qui renvoie aux principes de la constitution de 1789) et que l on ne peut pas déplacer au fil des conjectures. Dans cet espace social tripolaire, le pôle du politique manifeste l expression de valeurs sans dimension, pour autant, il nous faut bien mettre en histoire ces valeurs sans dimension : il est nécessaire d allouer des budgets à la santé, à l éducation, etc. On voit par là que le pôle politique ne peut se passer du pôle marchand mais il doit aussi pouvoir avoir un effet sur celui-ci afin d assurer un retour en positif vers les citoyens. Inversement le pôle marchand est intéressé par ce qui se passe au pôle politique car il y a là des formes de ressources et de pouvoir dont il voudrait pouvoir tirer profit. Bref, ce qui se noue à chacun de ces 2 pôles politique et marchand dans l espace social génère des tensions, des instabilités, des rapports de forces qui contraignent l activité de tout un chacun Pour comprendre cependant véritablement la dynamique de cet espace, il manque un 3 ème pôle qui est celui des gestions individuelles et qui engage les personnes, dans la singularité de leurs situations, vis-à-vis des 2 pôles précédemment évoqués. Le pôle des gestions renvoie véritablement à la question de «qui fait l histoire?», à celle de «qui construit les identités sociales?», à «Comment se construisent des points de ralliement pour une appartenance à un monde commun?». Car l histoire des hommes, la constitution de leurs appartenances, de leurs identités, ne se décrète pas «d en haut» mais s écrit à travers les manières dont chacun singulièrement et collectivement se confronte aux normes générées par 7

8 les 2 autres pôles. - Ce d autant plus que nous nous situons tous toujours à chacun des 3 pôles (on est à la fois électeur, consommateur, producteur ) -. Certes il y a des éléments englobants qui déterminent en partie la vie des individus mais ces éléments qui s imposent (logiques de marché, mondialisation des économies, rapports de classes à une époque donnée, etc.) sont toujours retravaillés dans l activité. L activité est donc vraiment ce qui fait le lien entre le local et le global : le pôle des gestions individuelles nous apparaît de la sorte comme «pôle des contre tendances» visant en quelque sorte une régulation de l espace social qui intègre la singularité des réalités vécues au jour le jour. On voit par là qu il y a quelque chose d important qui se passe au niveau de la confrontation des valeurs dans cet espace social : n est-ce pas justement là que se loge la question de l identité sociale? Dans quelle mesure les valeurs que je porte singulièrement peuvent-elles ou non entrer en résonance par rapport à d autres ordres de valeurs (valeurs de l entreprise, valeurs marchandes ) toutes brassées dans l espace social que nous habitons à plusieurs? Il n y a donc rien d évident dans la relation travail / identité sociale car c est quelque chose qui se construit de manière dialectique entre une personne et un environnement. Ce que nous voulons dire par là, c est que l activité de travail manifeste un double processus : d une part assujettissement à des normes extérieures et d autre part subjectivation par rapport à un environnement social et technique donné au sein duquel on revendique une place, un point de vue singulier! Ce double processus manifeste donc le travail comme potentiellement libérateur et aliénant, quelles que soient les formes historiques qu il prend. CONCLUSION : L ensemble de cette réflexion situe l activité de travail au croisement d enjeux individuels et d enjeux collectifs, tout ceci montre que dans mon activité est toujours engagée, à divers degrés, celle des autres. Ainsi, ce qui rend le travail possible, ce sont des cristallisations collectives plus ou moins formelles, plus ou moins informelles qui se font et se défont dans cet espace social tripolaire. 8

9 L activité de travail participe donc éminemment à la mise en œuvre d un «vivre ensemble» qui, pris dans les contradictions et tensions de l espace social, nous apparaît comme une construction toujours fragile, jamais stable, fluctuante, provisoire... Il apparaît de la sorte que la question du «collectif» dans les milieux de travail est toujours à considérer avec précaution : ces cristallisations collectives manifestent la rencontre de chacun avec les autres par rapport à un monde à la fois donné (normes antécédentes, lois, règlements, organigrammes ) et en même temps toujours pour partie à inventer. Bref, prendre en considération l activité à travers le prisme d une telle rencontre peut avoir des implications importantes concernant la gouvernance du travail : qu il s agisse de la «gestion des ressources humaines» ou du management, on ne fait pas la même chose quand on a conscience que «gérer», c est toujours gérer la gestion problématique que les autres font d eux-mêmes par rapport à un monde qui résiste et en fonction de semblables également engagés dans ce monde en commun. On ne peut plus alors s en tenir à une seule gestion comptable des «ressources humaines», certes confortable mais qui s opère dans un plus ou moins grand déni de tout ce que comporte l activité humaine comme réserve d alternatives. BIBLIOGRAPHIE : Y. SCHWARTZ et L. DURRIVE, Travail et ergologie. Entretien sur l activité humaine. Section 5 : «l homme, le marché et la cité». Octarès, L. DURRIVE, L expérience des normes. Formation, éducation et activité humaine. Thèse de doctorat en sciences de l éducation, ULP, Strasbourg, Compte-rendu de la conférence d Yves SCHWARTZ et Muriel PREVOST- CARPENTIER Ergologie et Management en partenariat avec les associations Arianesud et Réseau Eval, 21 février Site du département d ergologie 9

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