NOTE DE RECHERCHE Offre scolaire publique et privée au Congo-Brazzaville

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1 475 ESPACE, POPULATIONS, SOCIETES, pp Moïse BALONGA Robert Edmond ZIAVOULA École normale supérieure Université Marien Ngouabi BP 89 Brazzaville Congo École nationale d administration et de magistrature Université Marien Ngouabi BP 69 Brazzaville Congo Zia_larena@yahoo.fr NOTE DE RECHERCHE Offre scolaire publique et privée au Congo-Brazzaville INTRODUCTION La privatisation de l éducation est un phénomène qui se développe partout. La forme qu il revêt varie d un pays à l autre. Qu il s agisse des écoles communautaires au Mali, au Tchad ou au Togo, des écoles privées au Cameroun ou des écoles privées au Congo, l enjeu est que ces structures d éducation sont tenues de satisfaire la demande des consommateurs. Au Congo, le secteur privé d éducation, après avoir connu une existence réelle sous la colonisation et pendant les premières années qui ont suivi l indépendance du pays en 1960, a disparu avec la nationalisation de l enseignement intervenue en Réhabilité en 1990, ce secteur connaît une nette explosion depuis plus d une dizaine d années. En effet, les effectifs de l enseignement privé, notamment à l école primaire, ont progressé plus vite que dans le secteur public. Cette situation a été encouragée par les pouvoirs publics dans le but de pallier l offre insuffisante de l État. Les familles montrent ainsi leur attachement au secteur privé. En 2004, les établissements privés du Congo scolarisent 25,3 % des effectifs à l école primaire, 24,2 % des effectifs du collège et 10,9 % des effectifs au lycée (il s agit de l enseignement général). Au-delà de ces tendances, la question est de savoir si une autre réalité se cache derrière les apparences. La progression du marché privé de l éducation, dans un environnement marqué par la précarisation de la qualité de l offre publique, satisfait-elle les attentes des clients? Le présent article se fixe pour objectif de comparer les deux secteurs, public et privé, à travers l évolution des effectifs, des conditions d apprentissage et de l efficience des deux systèmes éducatifs. En effet, le développement du secteur privé, notamment dans le segment primaire, ne peut laisser indifférents les praticiens de l éducation. Il est nécessaire de questionner la viabilité et la performance du secteur privé qui attire de plus en plus de monde, en vue d esquisser une réflexion sur les conditions et les perspectives d un développement cohérent du secteur.

2 LA DEMANDE D ÉDUCATION : LA DYNAMIQUE FOURNISSEURS/CLIENTS L UNESCO, l OCDE et la Banque Mondiale qualifient de «privé» les institutions d enseignement qui ne sont pas contrôlées par une autorité publique, mais qui le sont plutôt par un organisme ou un conseil de gestion privé qui n a été ni élu, ni désigné par une autorité politique. C est ainsi que les institutions privées d enseignement peuvent être gérées par des organisations non gouvernementales ou par des associations, par des groupes religieux, des groupes d intérêts particuliers, des fondations ou des entreprises commerciales, poursuivant un but lucratif ou non. On considère généralement que la différence fondamentale entre «privé» et «public» tient au mode de gestion des écoles. Ce modèle a été thématisé entre autres par Hallak (1990), Gaziel et Warnet (1998) et Bray (1999). Sur le marché de l éducation, les consommateurs et les fournisseurs se positionnent, chacun exprimant explicitement ou implicitement ses besoins. Les consommateurs sont les élèves, les parents et les enseignants ; les producteurs d éducation étant les enseignants, les superviseurs et les administrateurs jusqu aux plus hauts niveaux. Au vu des exigences des uns et des autres, des conflits peuvent survenir à propos de la qualité du service éducatif. Les consommateurs ont des idées plus ou moins précises sur ce que l éducation doit être et ainsi recourent à des pressions politiques ou compromettent la réalisation de certains objectifs. Les producteurs d éducation, quant à eux, développent des idées différentes sur ce qui se fait et devrait se faire, non seulement vis-à-vis des consommateurs, mais aussi les uns par rapport aux autres. C est ainsi que les groupes les plus puissants ont une influence déterminante sur le développement et l organisation de l offre d éducation. Les expériences connues à travers le monde montrent que le marché privé d éducation met face à face une pluralité d acteurs. L enseignement privé camerounais, de masse, touche par exemple tous les segments de la population, urbaine, rurale, péri-urbaine, riche ou pauvre. Il est considéré comme le complément indispensable du système public par son apport important à la scolarisation des jeunes Camerounais [Djamé et al., 2000). Les écoles communautaires au Mali, au Tchad et au Togo se caractérisent par une forte implication des communautés de base. Dans ce sens, l école constitue «un projet du village». Cette appropriation de l école par les communautés s accompagne d une grande qualité de relations sociales dans et autour de l école, avec des enseignants motivés, souvent issus des communautés [Marchand, 2000]. Au sein de l école, il se produit une dynamique fournisseurs/clients [Gaziel et Warnet, op. cit.]. Ici, l apprenant est assimilé au client de l enseignant parce que bénéficiaire des services d éducation fournis pour l amélioration et le développement intégral de l apprenant. Les parents qui investissent lourdement dans les écoles privées à but lucratif s attendent à ce que leurs enfants obtiennent de bons résultats. 2. SOUTIEN SCOLAIRE ET EXPLOSION DU SECTEUR PRIVÉ D ÉDUCATION L évolution rapide des effectifs du secteur privé, notamment à l école primaire, a été le révélateur des déficiences du secteur public qui ne pouvait garantir à ses clients des conditions d apprentissage viables (classes surchargées, bâtiments délabrés le plus souvent, des enseignants parfois démotivés). Progressivement, est apparu sur le marché de l offre d éducation le phénomène de soutien scolaire privé pour tenter de corriger les faiblesses perçues à travers l encadrement pédagogique classique. Le phénomène décrit par Bray (op. cit.) est bien celui qui s est produit au Congo vers le milieu des années 1980 : «Le soutien privé existe parce que ses fournisseurs le mettent à la disposition des élèves et les incitent à en tirer profit, et/ou parce que ses consommateurs découvrent que le produit est disponible, puis décident d en faire usage,

3 477 alors même qu ils ne l auraient pas exigé si ce service n était pas aisément accessible. Ici comme ailleurs, on peut dire que l offre crée la demande» (p. 38). Comme pour la loi économique dite de Say [Montoussé, 2003], l offre disponible a progressivement créé la demande. La libéralisation de l enseignement intervenue en 1990 a vu ce soutien se formaliser à travers la montée du secteur privé, se positionnant comme une alternative au secteur public. Depuis, on constate que soutien scolaire privé et secteur privé d éducation coexistent. Les centres d encadrement à domicile ou dans des espaces «ad hoc», des centres «spontanés», continuent à attirer des clients à la quête du succès scolaire. L étendue du soutien scolaire complémentaire varie largement d une société à l autre. Parmi les facteurs qui l impulsent, on peut noter la nature du système éducatif et les structures économiques. Dans certains cas, le soutien scolaire constitue une vaste entreprise. On combine aujourd hui l école privée structurée et le soutien scolaire complémentaire privé (assuré à domicile par des enseignants, ou dans un cadre spécifique en dehors de l école). Au Congo, le soutien scolaire privé tend à devenir un phénomène social porteur. Il est parvenu à dominer la vie des élèves et de leurs familles. Ce soutien, comme le souligne Bray, «définit non seulement ce que souhaitent certains segments de la société, mais aussi le prix qu ils sont disposés à payer pour le recevoir» (1999, p.18). 3. LA BATAILLE DU PUBLIC ET DU PRIVÉ À TRAVERS LES EFFECTIFS Tableau 1 : Évolution des effectifs des élèves des secteurs public et privé entre 1999 et Public % Privé % Public % Privé % Enseignement primaire , ,2 Collège , , , ,1 Lycée , , , ,8 Ensemble Source : Annuaire statistique, DEP/MEPSA, Le tableau 1 permet d identifier les grandes tendances. À partir de 1995 et jusqu en 2004, deux évolutions contraires marquent l évolution des effectifs dans le primaire. D une part, de 1995 à 1999, on observe une dégradation continue et générale des effectifs, correspondant à la période des grandes tensions politiques au Congo (période au cours de laquelle les effectifs passent de élèves à ) ; d autre part, de 1999 à 2004, l école primaire affiche une perspective d évolution positive, avec en 2004 une augmentation de 123 % des élèves par rapport à Des deux secteurs, c est le privé qui progresse le plus vite. De 10 % en 1999, le pourcentage d élèves dans le secteur primaire passe à 25 % en DIVERSITÉ DE SITUATIONS ET DE PROBLÈMES Après avoir étudié l évolution comparée des deux secteurs, il convient de s intéresser à la qualité de l éducation. Nous nous limiterons aux conditions de l offre et aux résultats aux examens. La progression du secteur privé au détriment du secteur public a de quoi susciter des inquiétudes, si l on en croit les conditions d encadrement offertes. On constate en effet que, comparativement au secteur public, le privé se caractérise

4 478 par une diminution de la qualification du personnel enseignant. Au titre de l année 2004, seulement 36,6 % des maîtres sont qualifiés dans le primaire contre 46,8 % dans le public (tableau 2). Du point de vue des conditions de travail proposées, le secteur public offre de meilleures structures d accueil (salles de classe). Si le privé semble mieux loti dans le primaire, le public comble par contre son retard au collège et au lycée. Enfin, la différence est nette entre les deux secteurs pour ce qui est de la qualité de la vie à l école. En effet, le privé prend l avantage sur le public pour la disponibilité en électricité, en eau courante et en latrines. Tableau 2 : Indicateurs de qualité de l enseignement public et privé en 2004 Indicateurs* Primaire Collège Lycée Public Privé Public Privé Public Privé Enseignants qualifiés 80,7 36,5 50,7 81,1 46,8 11,3 Salles de classe en bon état 67,8 93,0 82,5 17, Établissements disposant d un point d eau 9,2 40,9 47,7 52,2 29,0 70,9 Établissements disposant de l électricité 1,5 20,4 43,1 56,8 63,1 36,8 Établissements disposant de latrines 43,1 80,1 63,6 36,3 33,3 66,6 Source : Annuaire statistique, , DEPS-MEPSA, N.B. (*) Les données sont en pourcentages. Au regard des conditions d encadrement (tableau 3), l écart le plus important entre les deux secteurs est relevé à l école primaire : le ratio maître/élèves dans le privé est supérieur de 50 points au détriment du public. Du point de vue du nombre moyen d élèves par classe, la situation est très contrastée entre les deux secteurs : l écart le plus important est noté au lycée, toujours au bénéfice du privé. Le public semble offrir des conditions d encadrement précaires. Tableau 3 : Caractéristiques de l enseignement public et privé en 2004 Primaire Collège Lycée Élèves Enseignants Salles de classe REM REC ,83 49,71 74,49 30,69 50,68 42,03 56,86 17,71 Source : DEPS-MEPSA, Annuaire statistique La lecture des résultats aux examens d État (tableau 4) aboutit à des conclusions mitigées. En effet, au niveau du certificat d études qui sanctionne la fin de l école primaire, les écarts sont faibles au cours de la période de référence. En ce qui concerne le BEPC, le diplôme qui sanctionne la fin du collège, en dehors de l année 2000 où l écart est important, les écarts sont faibles pour les années 2001 et Enfin, en ce qui concerne le baccalauréat, en dehors de l année 2000 où les deux secteurs sont au même niveau, les écarts sont importants pour les campagnes 2002 et 2003 (pratiquement du simple au double, au profit du secteur privé). Du point de vue des résultats aux examens, la suprématie du privé est somme toute très relative, car elle ne semble pas s affirmer dans le temps.

5 479 Tableau 4 : Évolution comparée des résultats aux examens d État (public/privé), en pourcentage public privé public privé public privé public privé public privé CEPE 63,61 86,72 70,53 58,57 71,45 85,83 74,45 67,58 74,12 89,22 BEPC 16,27 22,73 36,35 67,47 38,35 34,24 31,25 31,79 Bac 31,35 36,98 24,59 32,50 24,54 15,83 33,50 59,64 Source : Annuaire statistique, , DEPS-MEPSA, QUELLES CONSÉQUENCES POUR LE PRINCIPE D'ÉQUITÉ À L'ÉCOLE? Après l étude des tendances principales qui caractérisent les deux secteurs, il paraît important de tirer quelques enseignements pour l évolution du système éducatif dans sa globalité. Le développement inégal des deux secteurs, à tous les niveaux, pose le problème de la mise en œuvre d une éducation de qualité pour tous. L expansion du secteur privé - avec toutes ses contradictions - si l on n'y prend garde, peut être le signe d une augmentation des écarts de revenus de consommation. Il est urgent pour les pouvoirs publics de prendre conscience de l existence de cette école à «deux vitesses», qui participe au renforcement des inégalités sociales. La privatisation de l école apparaît aujourd hui comme un terrain de différenciation entre gagnants et perdants. La «marchandisation» de l éducation entraîne des situations de concurrence sauvage. Contrairement aux effets bénéfiques attendus ou supposés, le privé peut être à la longue contre-productif et donner libre cours aux critiques des «alterprivatistes» qui évoquent la recherche des profits et l inégalité de l accès provoquée par les différences de revenus. Au Congo, comme ailleurs où se développe un secteur éducatif privé, le risque de transformation de l éducation en produit commercial est réel. L éducation est sujette à la concurrence et à la déréglementation. Les écarts importants dans les conditions d apprentissage sont la conséquence de l existence d un secteur privé, même si, comme le pense Peano, «une plus grande autonomie des écoles privées n exclut pas un certain degré de réglementation et de compatibilité avec les normes, des dispositions réglementaires et des critères nationaux reconnus, normalement prescrits par la législation nat ionale» (1999, p.56). La tendance à la «marchandisation» de l éducation au Congo est perceptible à travers la pratique des acteurs, notamment les tenants des initiatives privées. Reconnaître ces dernières est une chose, aménager un cadre juridique pour leur existence et leur fonctionnement une autre. Face au secteur privé, l État possède en effet un avantage comparatif pour réglementer la fourniture des services éducatifs. Un danger guette le système : être sujet à la concurrence et à la déréglementation face à l offensive du secteur privé. L entretien conscient ou inconscient d un exode pédagogique du public vers le privé ne compromet-il pas le principe d équité dans la perspective d une éducation de qualité pour tous?

6 480 RÉFÉRENCES DJAMÉ R., ESQUIEU P., ONANA M.M., MVOGO B. (2000), Les écoles privées au Cameroun, Paris, Unesco/IIPE. BRAY M. (1999), À l ombre du système éducatif, le développement des cours particuliers : conséquences pour la planification de l éducation, Paris, Unesco/ IIPE. Direction des Études et de la Planification Scolaire (DEPS), Annuaire statistique , Brazzaville, MEPSA, GAZIEL H., WARNET M. (1998), Le facteur qualité dans l école de l An Deux mille, Paris, PUF. HALLAK J. (1990), Investir dans l avenir, Paris, l Harmattan / UNESCO-IIPE. KITAEV I. (2001), Les «charte schools» aux États-Unis un phénomène qui prend de l ampleur, Lettre d information de l IIPE, janvier- mars, pp MARCHAND J. (2000), Les écoles communautaires Mali, Sénégal, Togo, Paris, Unesco/IIPE. MONTOUSSÉ M. (2003), Théories économiques, Paris, Bréal. PEANO S. (1999), Financement et gestion financière de l éducation. Séminaire panafricain, Dakar (Sénégal), octobre 1997, Paris, UNESCO/IIPE.

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