Contrat de Gestion de l Ecole d Administration Publique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Contrat de Gestion 2014-2019 de l Ecole d Administration Publique"

Transcription

1 Contrat de Gestion de l Ecole d Administration Publique 1

2 TABLE DES MATIÈRES Identification des Parties... 4 Préambule 5 TITRE I. Dispositions générales... 7 Article 1. Définitions... 7 Article 2. Objet du Contrat... 9 Article 3. Cadre réglementaire... 9 Article 4. Rôles des acteurs... 9 Article 5. Engagements de l Ecole Article 6. Engagements des Gouvernements Article 7. Culture des résultats Article 8. Coût des activités Article 9. Satisfaction des bénéficiaires Article 10. Pouvoirs locaux TITRE II. Chapitre 1. Article 11. Article 12. Article 13. Missions et Activités de l Ecole d Administration Publique Missions de l Ecole Missions principales Missions complémentaires Principes généraux de fonctionnement Chapitre 2. Formations initiales, continues transversales et de carrière Article 14. Définition des activités Article 15. Définition et principe de l analyse des besoins Article 16. Mise en œuvre des analyses des besoins Article 17. Mise en place d un réseau de correspondants Article 18. Définition et principes du plan de formation Article 19. Elaboration du plan de formation Article 20. Organisation des formations Article 21. Sélection des formateurs Article 22. Harmonisation des pratiques en matière de recours aux formateurs internes Article 23. Animation d un réseau des formateurs internes et le développement de supports pédagogiques et didactiques à leur intention Article 24. Suivi et évaluation des formations Article 25. Utilisation des résultats des évaluations Article 26. Principes associés au transfert des missions de formation Article 27. Suivi et résultats Article 28. Qualité et benchmarking Chapitre 3. Article 29. Article 30. Article 31. Chapitre 4. Article 32. Article 33. Article 34. Article 35. Article 36. Certificat de management public Définition des activités et des acteurs Suivi et évaluation du Certificat de management public Suivi et résultat Missions complémentaires Définition des activités Développement d une vision stratégique Elaboration de référentiels de formation communs Développement d une expertise pédagogique Suivi et résultats TITRE III. Relation avec les bénéficiaires

3 Chapitre 1. Article 37. Chapitre 2. Article 38. Identification des bénéficiaires Le public bénéficiaire de l Ecole Relations avec les bénéficiaires Orientation «bénéficiaires» de l Ecole TITRE IV. Gouvernance et modes de gestion Article 39. Orientation générale Article 40. Culture organisationnelle ouverte Article 41. Allocation des ressources humaines et budgétaires Article 42. Contrôle et exécution des dépenses Article 43. Contrôle interne et de management de la qualité Article 44. Marchés publics Article 45. Conflits d intérêt Article 46. Gestion proactive des ressources humaines et renforcement des compétences Article 47. Communication interne et externe Article 48. Coopération interrégionale, fédérale et internationale Article 49. Gestion environnementale TITRE V. Financement Article 50. Principes généraux Article 51. Engagements financiers Article 52. Affectation des recettes TITRE VI. Modalités de mise en œuvre, suivi, et évaluation du Contrat Article 53. Plan d exécution Article 54. Tableau de bord du Contrat de gestion Article 55. Rapports annuels Article 56. Sanctions Article 57. Evaluation du fonctionnement et de la mise en œuvre du Contrat de gestion TITRE VII. Dispositions finales Article 58. Entrée en vigueur, durée et renouvellement du Contrat Article 59. Modifications et révision du Contrat Article 60. Document annexé au Contrat TITRE VIII. Annexe

4 IDENTIFICATION DES PARTIES Le présent Contrat est conclu entre : les Gouvernements de la Communauté française et de la Région wallonne, ci-après dénommés «les Gouvernements», représentés par le Ministre chargé de la Fonction Publique, Monsieur Jean-Marc Nollet, et l Ecole d Administration Publique commune à la Communauté française et à la Région wallonne, ci-après dénommée «l Ecole», représentée par sa Direction générale et par son Conseil d administration, ci-après dénommés ensemble les Parties. 4

5 Préambule Qu il s agisse de la formation de base ou de la formation continue, les besoins de formation évoluent sans cesse pour répondre à l évolution des métiers et des modes de collaboration entre individus et organisations. La gestion des entités publiques n échappe pas à cette tendance. De plus, cette gestion est de plus en plus complexe avec, en toile de fond, une administration davantage tournée vers le service aux usagers, de nouvelles exigences en matière de transparence, d interactivité, de reporting ainsi que, plus généralement, un niveau de responsabilisation croissant. Un meilleur service rendu aux citoyens passe nécessairement par le renforcement des capacités de gestion et l amélioration des performances de l administration. Parmi les outils d une gestion des ressources humaines opérationnelle et efficace, la formation y tient une place prépondérante. Afin de développer une approche cohérente et structurante de la politique de formation, il importe de disposer d un outil de formation qui soit moderne et efficient. Dans leur Déclaration de Politique régionale et communautaire du 16 juillet 2009, les Gouvernements se sont engagés à mettre en place une Ecole d Administration publique en s appuyant sur les structures existantes, qui coordonnera, impulsera, au niveau de la Communauté française, de la Région wallonne et de la COCOF, une véritable culture de management public. Le 10 novembre 2011, les Gouvernements ont approuvé l Accord de coopération créant l Ecole. Comme énoncé dans le préliminaire de cet Accord de coopération, «( ) dans une vision de bonne gouvernance, la politique de formation doit constituer une priorité stratégique de l administration, visant, d une part, à créer, renforcer ou maintenir une éthique de l intérêt général et, d autre part, à garantir l acquisition et le maintien des savoirs et savoir-faire requis pour l exécution des missions de service public, dans une dynamique d acquisition et de renforcement de compétences intégrant savoirs théoriques, capacités technicopratiques et aptitudes nécessaires à la production d un bien ou d un service dans un contexte donné ; ( ) il s avère essentiel de dispenser des formations adaptées aux besoins des agents et des services, participant à la délivrance aux usagers d un service de qualité rendu par du personnel qualifié ( )». La mise en place de l Ecole a pour objectifs de contribuer à l amélioration de la gouvernance publique, de participer à l émergence d une culture commune et des synergies entre les fonctionnaires de la Région wallonne et de la Communauté française et de la favoriser en accompagnant l évolution des enjeux et en adaptant les outils en fonction des besoins qui s exprimeront. Afin de rencontrer ces différents objectifs, et ce conformément à l Accord de coopération du 10 novembre 2011, l Ecole est chargée de trois missions principales : la conception et la mise en œuvre de la formation initiale, de la formation de carrière et de la formation continue transversale du personnel des Services de Gouvernements et des Organismes d intérêt public ; la conception et la mise en œuvre de la formation en vue de l obtention du Certificat de management public ; la conception et la mise en œuvre de la formation continue des agents des pouvoirs locaux pour les fonctions de management. 5

6 Outre ces trois missions légales, l Ecole est chargée de contribuer à la mise en place d une politique harmonisée de renforcement, de reconnaissance et de validation des compétences et de développement personnel au travers des formations au niveau de la fonction publique de la Région wallonne et de la Communauté française. De plus, l Ecole développera une expertise pédagogique qui permette de répondre de manière adéquate avec des formations de qualité aux besoins identifiés par les entités bénéficiaires. Dans la réalisation de ses missions, l Ecole se doit de tenir compte, le cas échéant, des orientations qui sont définies par les Gouvernements en termes de politique de formation. L Accord de coopération du 10 novembre 2011 précise, en son article 9, qu un Contrat de gestion d une durée de cinq ans sera établi entre, d une part, le Gouvernement wallon et le Gouvernement de la Communauté française agissant conjointement et, d autre part, l Ecole. Ce présent contrat constitue le premier Contrat de gestion de l Ecole. Son objet est de définir le déploiement des activités de l Ecole pour arriver à la reprise complète des missions de formation assumées aujourd hui par les services de formation des administrations ainsi qu à son autonomie de gestion. * * * 6

7 TITRE I. DISPOSITIONS GÉNÉRALES Article 1. Définitions Pour l'application du présent Contrat, il faut entendre par: Accord de coopération du 10 novembre Accord de coopération entre la Communauté française et la Région wallonne créant une Ecole d Administration publique commune à la Communauté française et à la Région wallonne. Accord de coopération du 20 septembre Accord de coopération relatif au certificat de management public pour l accès aux emplois soumis au régime des mandats au sein de la Communauté français et de la Région wallonne. Administration. Les services des Gouvernements de la Communauté française et de la Région wallonne. Annexe. Annexe au présent Contrat telle que visée à l article 64. Arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 20 septembre Arrêté du Gouvernement de la Communauté française instaurant un régime de mandats pour les fonctionnaires généraux des services du Gouvernement de la Communauté française et des organismes d intérêt public qui relèvent du Comité de secteur XVII. Arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 22 juillet Arrêté du Gouvernement de la Communauté française portant statut des agents des Services du Gouvernement de la Communauté française. Arrêté du Gouvernement wallon du 18 décembre Arrêté du Gouvernement wallon portant le Code de la fonction publique wallonne. Arrêté du Gouvernement wallon du 20 septembre Arrêté du Gouvernement wallon du 20 septembre 2012 réformant le régime des mandats des fonctionnaires généraux des services du Gouvernement de la Région wallonne et de certains organismes d intérêt public dépendant de la Région wallonne. CMP. Certificat de management public Contrat. Le présent Contrat de gestion conclu entre les Gouvernements de la Communauté française et de la Région wallonne et l Ecole d Administration Publique. Convention du 7 mai Convention et ses annexes concernant l organisation conjointe d un certificat interuniversitaire d executive master en management public. COCOF. Commission Communautaire Française. ETNIC. Entreprise publique des Technologies nouvelles de l'information et de la Communication de la Communauté française. Gouvernements. Les Gouvernements de la Communauté française et de la Région wallonne. Indicateurs. Données objectives, qualitatives et quantitatives, permettant de mesurer la réalisation d objectifs d impact, de qualité, d efficacité, d efficience et d économie. La définition d un indicateur comprend : sa dénomination, sa définition complète, son mode de calcul, sa fréquence de mesure et sa cible. Loi du 16 mars Loi du 16 mars 1954 relative au contrôle de certains organismes d intérêt public. 7

8 Ministre ou Ministre de Tutelle. Ministre ou Ministres ayant la Fonction publique dans ses ou leurs attributions au sein du Gouvernement de la Communauté française et du Gouvernement de la Région wallonne. MFWB. Ministère de la Communauté française. OIP. Organisme d intérêt public wallon ou de la Communauté française. Organes de direction. Le Comité stratégique du SPW, le Comité de direction du MFWB ainsi que les Comités de direction des OIP. Plan de formation. Plan de formation que l Ecole doit faire approuver par les Gouvernements tous les deux ans et qui est valable pour le SPW, le MFWB et les OIP qui en dépendent. SELOR. Bureau de sélection et de recrutement de l Administration fédérale. SPW. Service Public de Wallonie. Participant. Toute personne qui suit une formation professionnelle. Tableau de bord. Outil d'évaluation de l'atteinte des objectifs assignés à l Ecole constitué d'un nombre choisi d'indicateurs de suivi, de résultat et de performance. Le tableau de bord indique périodiquement le degré de réalisation et l évolution des indicateurs. * * * 8

9 Article 2. Objet du Contrat Ce Contrat et son annexe fixent les règles et les conditions selon lesquelles l Ecole exerce les missions qui lui sont confiées et règle les obligations des Parties au Contrat. Il comprend : Le développement des missions assignées à l Ecole ; Les engagements des Parties ; Les tâches et activités devant être assumées par l Ecole en vue de l exécution de ses missions ; Les moyens de l Ecole mis en œuvre pour atteindre ses objectifs ; Les modalités de mise en œuvre, de suivi, de contrôle, de sanctions, d évaluation et de révision du Contrat. Article 3. Cadre réglementaire L Ecole s engage à réaliser ses missions principales et complémentaires telles que reprises aux Article 11 et 11 en respectant les textes suivants : Loi du 16 mars 1954 relative au contrôle de certains organismes d intérêt public ; Loi du 19 décembre 1974 organisant les relations entre les autorités publiques et les syndicats des agents relevant de ces autorités. Accord de coopération du 10 novembre 2011 entre la Communauté française et la Région wallonne créant une Ecole d Administration publique commune à la Communauté française et à la Région wallonne ; Accord de coopération du 20 septembre 2012 relatif au certificat de management public pour l accès aux emplois soumis au régime des mandats au sein de la Communauté française et de la Région wallonne ; Arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 20 septembre 2012 instaurant un régime de mandats pour les fonctionnaires généraux des services du Gouvernement de la Communauté française et des organismes d intérêt public qui relèvent du Comité de Secteur XVII ; Arrêté du Gouvernement wallon du 20 septembre 2012 réformant le régime de mandats des fonctionnaires généraux des services du Gouvernement de la Région wallonne et de certains organismes d intérêt public dépendant de la Région wallonne ; Arrêté du Gouvernement wallon du 18 décembre 2003 portant le Code de la fonction publique wallonne ; Arrêté du Gouvernement de la Communauté française du 22 juillet 1996 portant statut des agents des Services du Gouvernement de la Communauté française. Article 4. Rôles des acteurs Dans le cadre de la définition et de la mise en œuvre de la politique de formation des administrations publiques et des OIP de la Communauté française et de la Région wallonne, les Parties s engagent à respecter les principes de fonctionnement suivants : Le Ministre et les Gouvernements définissent et décident de la politique générale de la formation de l administration publique ; ils garantissent et s assurent de sa bonne mise en œuvre. 9

10 Les Commissaires des Gouvernements, conformément à l article 36 de l Accord de coopération du 10 novembre 2011, assurent le contrôle de l Ecole. Le Conseil d administration, conformément à l article 17 de l Accord de coopération du 10 novembre 2011, administre l Ecole dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de la formation de l administration publique et exerce, d initiative ou sur saisine, un rôle consultatif et d avis relativement aux politiques de formation décidées par les Gouvernements. Le Collège scientifique contribue, conformément à l article 21 de l Accord de coopération du 10 novembre 2011, à la qualité et à la cohérence des décisions à caractère pédagogique de l Ecole. Il remet, conformément à l article 22, également des avis, des recommandations et des propositions dans toute matière relevant des activités pédagogiques de l Ecole ou ayant une incidence sur elles. Le Conseil de la formation, conformément à l article 26 de l Accord de coopération du 10 novembre 2011, remet son avis sur le plan de formation, le rapport d activités de l Ecole et le projet de Contrat de gestion. Il peut également remettre des avis d initiative en lien avec les missions de l Ecole. La Direction générale de l Ecole, conformément à l article 27 de l Accord de coopération du 10 novembre 2011, assume la gestion journalière de l Ecole ainsi que la coordination de la mise en œuvre des décisions stratégiques dans le respect du régime de délégation mis en place. Article 5. Engagements de l Ecole Dans le cadre des moyens budgétaires disponibles, les obligations générales de l Ecole résultant du présent Contrat visent à : élaborer, tous les deux ans, un plan de formation et développer une expertise pédagogique cohérents qui répondent aux besoins des administrations, des OIP et de leurs collaborateurs ainsi qu aux exigences des Gouvernements ; faire de l Ecole un concepteur et ultérieurement un opérateur reconnu en matière de formation au sein de la Communauté française et de la Région wallonne tant au niveau de l administration et des OIP que des pouvoirs locaux ; comme concepteur de formation pour l administration et les OIP, garantir l adéquation entre l offre et la demande de formations ; participer à la modernisation et à l efficience de l Administration ainsi qu au développement des compétences de tous les fonctionnaires en mettant à leur disposition les outils adéquats ; promouvoir une culture du management public à la Communauté française et à la Région wallonne, en ce compris au niveau local ; être un acteur partenaire de la politique de gestion des ressources humaines afin de soutenir la réalisation des projets et chantiers menés par les administrations dans le cadre du renforcement des compétences du personnel ; favoriser la diffusion et le partage des bonnes pratiques et participer au renforcement d une identité commune à la Région wallonne et à la Communauté française ; participer à la création et au renforcement d une culture administrative et d une pratique ouvertes et adaptées aux changements sociétaux. 10

11 Article 6. Engagements des Gouvernements Les obligations générales des Gouvernements résultant du présent Contrat visent à : mettre à la disposition de l Ecole les moyens nécessaires qui lui permettront d accomplir ses missions et d atteindre les engagements définis ; transférer les moyens financiers approuvés dans le respect des délais définis au présent Contrat ; octroyer à l Ecole les moyens nécessaires à l accomplissement de toute nouvelle mission principale ou complémentaire qui lui serait confiée après la conclusion du Contrat ; soutenir la position de l Ecole en défendant une politique harmonisée entre les logiques régionale et communautaire tant en matière de formation qu en matière de gestion des ressources humaines lorsque ceci est nécessaire à la réalisation des missions de formation. Article 7. Culture des résultats L Ecole s engage à poursuivre la mise en œuvre d une culture de l évaluation systématique. S agissant d un premier contrat de gestion, la mise en place d indicateurs se fera de manière progressive et selon le rythme de la mise en œuvre des transferts de missions. En tous cas, seront mis en place des indicateurs relatifs au degré de réalisation des actions dans les délais prévus. Article 8. Coût des activités La maîtrise des coûts constitue un élément majeur pour le maintien des équilibres à long terme de l Ecole. Par conséquent, l Ecole s engage à mettre en œuvre une comptabilité analytique afin d identifier et de maîtriser les coûts de ses formations. Article 9. Satisfaction des bénéficiaires Par bénéficiaire, il faut entendre les institutions bénéficiaires (les administrations et les OIP de la Région wallonne et de la Communauté française ainsi que leurs collaborateurs. L Ecole s engage à se mettre loyalement au service des bénéficiaires, à offrir un service de qualité pour gagner et conserver leur confiance. L attention portée aux besoins des bénéficiaires et à leur satisfaction est un élément essentiel dans la réussite de la mise en œuvre de l Ecole. Article 10. Pouvoirs locaux Sans préjudice des dispositions y relatives contenues dans l'accord de coopération du 10 novembre 2011 créant une Ecole d'administration publique commune à la communauté française et à la région wallonne, les missions de l'ecole à destination des pouvoirs locaux seront mise en œuvre après une concertation préalable des acteurs de la formation en fonction publique locale et examen des articulations entre ses missions et les dispositifs existants et au plus tard en * * * 11

12 TITRE II. MISSIONS ET ACTIVITÉS DE L ECOLE D ADMINISTRATION PUBLIQUE Chapitre 1. Missions de l Ecole Article 11. Missions principales Conformément à l article 2 de l Accord de coopération du 10 novembre 2011, l Ecole est chargée des trois missions principales suivantes : La conception et la mise en œuvre des formations initiales, des formations continues transversales et des formations de carrière à l attention des membres du personnel des Services des Gouvernements et des OIP (Chapitre 2 du présent Contrat) ; La conception et la mise en œuvre du Certificat de management public (Chapitre 3 du présent Contrat) ; La conception et la mise en œuvre de la formation continue des agents des pouvoirs locaux pour les fonctions de management. La première mission est transférée progressivement des services de formations existants vers l Ecole selon les modalités décrites à la section 2.6 du présent Contrat. Dans le cadre des formations de carrière, l Ecole organisera les formations prévues par le droit applicable et non encore mises en œuvre. Pour ce qui concerne le brevet de direction prévu à l article 88, 2, 4 du Code de la fonction publique wallonne, l Ecole prépare et organise l examen en vue de son obtention. A cette fin, elle soumettra des propositions au Gouvernement wallon au plus tard pour le 31 décembre 2015, en concertation avec le SPW. Article 12. Missions complémentaires Les missions complémentaires sont celles confiées à l Ecole par les Gouvernements en vue de permettre la réalisation des missions de formation. Dans ce cadre, l Ecole : Contribue à la mise en place d une politique harmonisée de renforcement, de reconnaissance, de validation des compétences et de développement personnel au travers des formations et de leur suivi au niveau de la fonction publique de la Région wallonne et de la Communauté française. En effet, pour développer une politique de formation commune, il est nécessaire de réaliser, en amont, un travail de convergence des politiques en matière de ressources humaines aux niveaux communautaire et régional. Développe une expertise pédagogique en vue de répondre de manière adéquate, au moyen de formations de qualité, aux besoins des bénéficiaires, en veillant, le cas échéant, à mettre en place de nouvelles pratiques en la matière. 12

13 Outre ses missions existantes, les Gouvernements peuvent confier à l Ecole la réalisation d autres missions complémentaires en relation avec ses missions principales. Article 13. Principes généraux de fonctionnement L Ecole s engage à : - assurer un suivi des formations ; - travailler en collaboration avec les services du personnel en Communauté française et en Région wallonne afin d élaborer et de piloter un processus transversal intégré et commun en matière de formation, allant de l analyse des besoins, à l évaluation des formations en passant par la prioritisation des besoins, la conception des formations et l organisation des formations, ainsi que les outils communs y relatifs ; - développer des collaborations et partenariats avec des organes de formations en Belgique et à l étranger. L Ecole mettra en œuvre ses missions principales et ses missions complémentaires en respectant les principes de service public : Egalité et universalité : L Ecole veillera à donner au public bénéficiaire un droit d accès égal à ses services sans discrimination. Elle appliquera le principe d égalité de traitement des genres et des chances dans le cadre de l exécution du présent Contrat et s inscrira dans les objectifs définis au niveau européen en matière d égalité des genres et des chances. L Ecole veillera, en outre, à lever les freins éventuels limitant le suivi de formations par des participants porteurs d un handicap. L Ecole appliquera le principe d universalité de service en vue d apporter un service de qualité à l ensemble des usagers ; Mutabilité : L Ecole s engage à s adapter aux évolutions et changements sociétaux dans un but de satisfaction de l intérêt général et des participants et dans un but de performance. Dans ce cadre, l Ecole respectera également les principes de bonne gestion suivants : Transparence et communication : L Ecole structurera son action dans la transparence et veillera à son accessibilité, à sa compréhension et à sa lisibilité par l ensemble du public. Par ailleurs, de manière à être en phase avec les orientations des Gouvernements, l Ecole se prêtera à tous les échanges d informations et collaborations utiles aux politiques de la formation ; Efficacité et efficience : L Ecole utilisera les moyens disponibles de manière optimale et veillera à analyser le coût de ses activités. * * * 13

14 Chapitre 2. Formations initiales, continues transversales et de carrière Article 14. Définition des activités L Ecole a pour mission de concevoir et de mettre en œuvre les formations initiales, les formations continues transversales et les formations de carrière à l attention des services des Gouvernements et des OIP. Dans le cadre de la mise en œuvre de cette mission, l Ecole exercera essentiellement les activités suivantes : l analyse des besoins en formation ; l élaboration du plan de formation ; l organisation des formations ; l animation d un réseau de formateurs et le développement de supports pédagogiques et didactiques à leur intention ; le suivi et l évaluation des formations. Section 2.1 Analyse des besoins en formation Article 15. Définition et principe de l analyse des besoins L objectif de l analyse des besoins en formation nécessite d élaborer des processus permettant aux bénéficiaires de définir au mieux leurs besoins permettant ainsi de renforcer la pertinence des solutions d apprentissage proposées et d atteindre l objectif visé. L analyse des besoins est réalisée préalablement à l élaboration de chaque plan de formation. Elle se fait également de manière continue, sur la base, d une part, d un dialogue constant avec les organisations bénéficiaires des formations de l Ecole en vue d une traduction de ces besoins en référentiels de compétences structurant des formations, et, d autre part, d une évaluation régulière de l offre de formation. Cette consultation régulière est réalisée dans l optique d établir les priorités et d assurer la transversalité des formations qui sont organisées par l Ecole. En vue de favoriser l adoption de plans de formation intégrés, le processus d identification des besoins se fera de manière coordonnée, que les formations soient spécifiques ou non. L Ecole assurera la coordination en la matière. L analyse des besoins est également alimentée par les avis du Collège scientifique. Article 16. Mise en œuvre des analyses des besoins Les analyses des besoins éclairent et commandent l établissement du plan de formation. Ces analyses seront réalisées de manière concertées entre l Ecole et les services du personnel et seront coordonnées par l Ecole. Un processus transversal sera mis en place afin que l analyse des besoins en matière de formations, qu elles soient continues transversales ou spécifiques, soit réalisée selon une méthode et un calendrier communs et ce, dans un but de simplification et de cohérence. Les analyses permettent d offrir aux services bénéficiaires un programme de formation intégré et d identifier les formations qui seront organisées par chacun des acteurs compétents. 14

15 L Ecole mettra en place, en accord avec les organes de direction concernés, des processus opérationnels avec les services bénéficiaires afin de pouvoir réaliser les analyses des besoins directement avec ceux-ci. Le réseau de correspondants de formation visé à l article 16 sera impliqué dans ces processus. Ces processus permettront aux services bénéficiaires de transmettre à l Ecole leurs attentes en matière de formations. L Ecole mettra également en place un processus d identification des besoins des membres du personnel des OIP. Article 17. Mise en place d un réseau de correspondants Afin de conserver un contact étroit avec son public bénéficiaire, l Ecole mettra en place et animera un réseau de correspondants de formation, via les organes de direction des organismes concernés, et en tenant compte des réseaux déjà existants. Par ailleurs, l Ecole évaluera le bien-fondé de ce système à mi-parcours du présent Contrat et adoptera, le cas échéant, des mesures pour répondre au mieux aux attentes et aux besoins des bénéficiaires. Section 2.2 Elaboration du plan de formation Article 18. Définition et principes du plan de formation Sur la base de l analyse des besoins visée à l Article 15, un plan bisannuel de formation est conçu. Ce plan répond aux besoins de formation de l ensemble des services des Gouvernements et des OIP en tenant compte de leurs priorités stratégiques, du calendrier des concours pour les formations de carrière et de la planification de l entrée en service effective des nouveaux agents en ce qui concerne les formations initiales. Il reprend l ensemble des formations initiales, continues transversales et de carrière qui sont organisées par l Ecole. Le plan de formation devra en outre intégrer les formations préparatoires aux différentes épreuves prévues par la réglementation en vigueur ainsi qu identifier les modules de base qui seront organisés par l Ecole en réponse à des besoins communs et les modules répondant à des besoins spécifiques qui seront organisés par les services compétents. En outre, dans le cadre d un processus transversal intégré de planification des formations et dans le respect des missions de chaque administration et organisme, seront également mentionnées les formations spécifiques organisées par les services compétents. Le plan de formation prévoira également les possibilités matérielles et financières d organiser des formations adaptées de manière à répondre rapidement à des nouveaux besoins qui seraient exprimés par les bénéficiaires. Article 19. Elaboration du plan de formation L élaboration du plan de formation sera assurée par l Ecole en concertation avec les services en charge de la formation des administrations et OIP en vue d avoir une approche globale, dans la même perspective que ce qui est noté à l article 16, dans l optique d optimiser l utilisation des ressources et permettant de s inscrire dans les demandes budgétaires de l année à venir. Le plan de formation sera élaboré selon un processus commun, une structure commune et un calendrier à définir de commun accord avec les organes de direction des organisations concernées. 15

16 Section 2.3 Organisation des formations Article 20. Organisation des formations L Ecole joue un rôle de concepteur dans l organisation des formations. A cette fin elle confie la dispense de formation à des formateurs issus des administrations ou à des opérateurs externes. Dans ce cadre, l Ecole assume un rôle de coordination pédagogique, de pilotage, d intégration, de stimulation et d appui vis-à-vis de ceux-ci, ainsi qu un rôle d évaluation des processus et des résultats au travers d indicateurs pédagogiques qui seront définis pour chaque processus. L Ecole pourra également, quand cela s avère opportun, être un opérateur de formation en dispensant elle-même les formations. Article 21. Sélection des formateurs L Ecole est en charge d assurer la sélection des formateurs internes et externes. L Ecole s engage à valoriser en priorité l expertise disponible en interne des administrations (SPW, MFWB et OIP) pour des raisons tant de meilleure connaissance de l environnement des bénéficiaires que financières. Les formateurs internes aux administrations et OIP sont sélectionnés sur la base de leurs compétences techniques et pédagogiques ainsi que de leur disponibilité. Ils sont indemnisés pour leurs prestations. En ce qui concerne les formateurs externes à l administration, ceux-ci seront sélectionnés selon deux modalités différentes : - au travers de la collaboration avec l enseignement de promotion sociale ou d autres acteurs publics ; - au travers de marchés publics, selon les règles en vigueur. Lorsque cela s avèrera opportun, l Ecole développera une offre de formation, associant des formateurs internes et des formateurs externes. Article 22. Harmonisation des pratiques en matière de recours aux formateurs internes L Ecole, en concertation avec le SPW et le MFWB, s engage à prendre l initiative en 2014 pour harmoniser les pratiques en matière de sélection des formateurs internes ainsi que les modalités de leur indemnisation. Section 2.4 Développement de supports pédagogiques et didactiques pour les acteurs de la formation Article 23. Animation d un réseau des formateurs internes et le développement de supports pédagogiques et didactiques à leur intention L Ecole développera et animera un réseau de formateurs. Celui-ci sera composé des formateurs internes au sein des administrations. L Ecole s engage à proposer aux formateurs, des formations au contexte, aux outils et aux objectifs attendus des administrations et OIP. De manière générale, afin de soutenir et stimuler les formateurs dans leur implication et leur développement, l Ecole s engage à : 16

17 Faciliter le réseautage entre experts et privilégier la mise en place d un système approprié de gestion des compétences, en particulier pour garantir leur transfert ; Développer des outils didactiques, méthodologiques et d évaluation ; Favoriser la diffusion de bonnes pratiques et de solutions d apprentissage novatrices issues notamment des résultats de la recherche et de l expérimentation en pédagogie des adultes. Section 2.5 Suivi et évaluation des formations Article 24. Suivi et évaluation des formations Dans le cadre d une offre de services centrée sur les bénéficiaires, l Ecole s engage à évaluer, de manière quantitative et qualitative, la satisfaction de ses usagers, comme des organisations dont ils dépendent, en apportant une attention particulière à la mesure de l adéquation des prestations du formateur aux besoins des agents et des services bénéficiaires. L évaluation des formations permettra d accroître leur impact sur l acquisition ou le renforcement des compétences, d améliorer la satisfaction des organisations et des individus bénéficiaires, de professionnaliser les prestations de services de l Ecole et d en augmenter l efficience. La mesure portera notamment sur : la qualité de la prestation de services (appréciation générale, qualité du contenu de la formation, des supports pédagogiques, des animateurs, de l organisation, etc.) ; l acquisition ou le renforcement des compétences au sortir du processus pédagogique. Les résultats devront être communiqués aux acteurs concernés et, si nécessaire, être traduits en actions d'amélioration concrètes. Pour ce faire, l Ecole s engage à mettre sur pied, de manière progressive, un système de suivi et d évaluation des formations comprenant plusieurs niveaux. Ce processus sera élaboré en concertation et avec le soutien des organes de direction. Les niveaux d évaluation, tels que définis par la méthodologie de D. Kirkpatrick, sont les suivants : «l évaluation des réactions» par l agent formé (niveau de satisfaction, sentiment d acquisition ou de renforcement de ses compétences, ) ; «l évaluation des apprentissages» qui évalue les acquis de l agent; «l évaluation du transfert» qui évalue les effets de la formation sur le travail de l agent et, éventuellement, «l évaluation de l impact» qui évalue les effets de la formation sur le service, par le supérieur hiérarchique de l agent formé ; l évaluation globale par les correspondants de la formation tels que visés à l article 16 au sein des services bénéficiaires ; l auto-évaluation par les formateurs ; l évaluation des prestations des formateurs par l Ecole. De plus, un système de gestion des plaintes et de la satisfaction des bénéficiaires sera mis en place. Article 25. Utilisation des résultats des évaluations Les résultats de ces évaluations seront utilisés pour améliorer la qualité et l adéquation des services proposés par l Ecole et par les formateurs. Les résultats permettront d ajuster ou de réajuster les formations sur la base d une reformulation des objectifs initiaux. 17

18 L Ecole adressera également des recommandations aux organisations bénéficiaires qui porteront à la fois sur le parcours de formation, sur les modalités de transfert des apprentissages dans les services des agents et sur la gestion et le développement des compétences. Les résultats de ces évaluations seront également utilisés pour générer et diffuser des informations sur les développements du secteur de la formation. Section 2.6 Organisation de la transition Article 26. Principes associés au transfert des missions de formation Les principes associés au transfert des missions de formations sont définis dans l annexe 1 intitulée : «méthodologie relative à la mise en œuvre du transfert des missions de formation et à la définition du processus d élaboration du plan de formation». Le transfert des missions de formations assignées à l Ecole débutera à partir de janvier 2014 pour être effectif au 31 décembre Celui-ci se fera de manière progressive. Lors du premier transfert de missions de formation vers l Ecole, les Gouvernements, chacun pour ce qui le concerne, ratifieront, en application de l article 70 de l Accord de coopération, les missions effectivement transférées et fixeront la date d entrée en vigueur de l article 3 dudit Accord. A cette occasion, les Gouvernement fixeront conjointement la date d entrée en vigueur de l article 66 dudit Accord. Une délégation sera donnée au Ministre pour opérer les prochains transferts. Les Gouvernements, par l'intermédiaire des commissaires de Gouvernement, seront informés des transferts de missions effectués Section 2.7 Suivi et résultats Article 27. Suivi et résultats En matière de résultats et de performances relatifs à la conception et la mise en œuvre des formations continues transversales, des formations initiales et des formations de carrières à l attention des services des Gouvernements et des OIP, l Ecole évaluera notamment les aspects quantitatifs suivants : Nombre de formations organisées (nombre et volume) globalement et par type de formation ; Nombre de personnes formées globalement et par type de formation ; Nombre d heures de formations moyen par ETP formé et par ETP de l Ecole ; Longueur des délais d adjudication de marché ; Coût des formations organisées par type de formation et coût moyen d une journée de formation ; Taux de réalisation du budget (crédits engagés/crédits octroyés) ; Crédits engagés par ETP bénéficiaire et par ETP de l Ecole. De même, l Ecole veillera à évaluer notamment les aspects qualitatifs suivants : Adéquation entre les besoins et l offre proposée dans le plan de formation ; Qualité de la prestation de ses services par rapport aux besoins identifiés via des enquêtes auprès des bénéficiaires individuels et des organisations bénéficiaires 18

19 (appréciation générale, qualité du contenu de la formation, des supports pédagogiques, des animateurs, de l organisation, etc.) ; Evolution globale, lorsque cela s avère possible, de la plus-value des formations sur le terrain (l'apport de la formation tant dans le cursus professionnel des individus que sur l amélioration de la qualité des services). Section 2.8. Qualité et Benchmarking Article 28. Qualité et benchmarking De manière régulière, l'ecole organisera des enquêtes feedbacks auprès d'échantillons d'agents qui auront suivi des formations auprès de l'ecole pour avoir une évaluation des prestations organisées par elle. Tous les deux ans, l'ecole participera à une enquête pour positionner son organisation, ses programmes et son efficacité vis-à-vis d autres Ecoles ou organismes similaires tant en Belqique qu à l étranger. Fin 2015, il serait utile que l'ecole mette en place un processus de certification de qualité (type ISO ou EFQM) mais aussi de certification de ses formations. * * * 19

20 Chapitre 3. Certificat de management public Article 29. Définition des activités et des acteurs Conformément à l Accord de coopération du 20 septembre 2012 et aux arrêtés mandats du 20 septembre 2012, l Ecole est chargée d organiser le CMP en collaboration avec le Selor et les Universités. L Ecole propose aux Gouvernements, d initiative ou à leur demande, le rythme selon lequel les cycles du Certificat de management public seront organisés. Sous réserve de la décision des Gouvernements, deux cycles maximum de 70 participants chacun sont organisés par législature. La durée de l Executive Master est portée à 18 mois. Le troisième cycle sera lancé dans le courant du premier trimestre 2016, moyennant l accord conjoint des Gouvernements. Les activités liées au CMP se répartissent en trois catégories de processus décrits cidessous : la préparation d un cycle du CMP. la formation et la délivrance du CMP telles que définies dans les arrêtés mandats du 20 septembre les processus et activités de support, transversaux à un cycle. Les acteurs de ces processus sont : L Ecole ; Le Gouvernement wallon et le Gouvernement de la Communauté française ; Selor ; les universités de la Communauté française ; les administrations et OIP concernés par les arrêtés mandats du 20 septembre

21 Processus du Certificat de Management public 21

22 A - Processus de préparation d un cycle 1. Préparation du lancement d un cycle et sélection des candidats Conformément aux arrêtés du 20 septembre 2012 : L Ecole : o o o o remet un avis aux Gouvernements, dans les trente jours de la demande, sur le nombre de participants à la formation. Conformément à la décision des Gouvernements du 18 octobre 2012, les deux premiers cycles comptent, chacun, maximum 70 participants au Certificat interuniversitaire d Executive master en management public. élabore un projet de programme de concours au cas où le nombre de candidats excède le nombre fixé par les Gouvernements. Ce programme est validé par Selor. rédige l annonce en vue de sa publication. propose, en concertation avec les universités, le programme du Certificat interuniversitaire nécessaire à l obtention du Certificat de management public aux Gouvernements. Ce programme comprend les objectifs des cours et le profil des enseignants qui en seront chargés. Dans ce cadre, l Ecole veille à une cohérence avec les besoins, les outils et la culture des administrations et OIP. Les Gouvernements : o o fixent, après avis de l Ecole, le nombre de participants admis à participer au Certificat interuniversitaire d Executive master en management public. approuvent le programme du concours de sélection préalablement élaboré par l Ecole et validé par Selor, au cas où le nombre de candidats excède le nombre fixé. o fixent le programme du Certificat interuniversitaire nécessaire à l obtention du Certificat de management public. 2. Préparation de l Executive Master et de l épreuve finale Dans le cadre du Certificat interuniversitaire d Executive master en management public, pour chaque cycle, conformément aux arrêtés du 20 septembre 2012 : L Ecole o assure le relais entre les administrations et les universités afin de : promouvoir l approche, les méthodes et outils de gestion publique inscrire le contenu des enseignements dans la culture et stratégie des Administrations concernées et OIP s assurer que le programme et les épreuves respectent les valeurs et la gouvernance spécifiques des Administrations concernées et OIP d identifier les fonctionnaires et praticiens à associer aux enseignements ou à la préparation de ceux-ci 22

23 o effectue la préparation opérationnelle de la formation : locaux, horaires, matériel,. En ce qui concerne l épreuve finale, l Ecole est concertée par Selor en vue de la composition du jury qui établit le règlement fixant l organisation concrète et matérielle de l examen. Cet examen consiste en une épreuve orale qui a pour but d évaluer les aptitudes requises à l exercice d une fonction de management. B - Processus de formation et de délivrance du CMP 1. Lancement d un cycle et sélection des candidats Pour chaque cycle, conformément aux arrêtés du 20 septembre 2012, Selor publie l annonce rédigée par l Ecole. 2. Executive Master et épreuve finale Pour chaque cycle, conformément aux arrêtés du 20 septembre 2012, le Certificat interuniversitaire est conféré par les universités de la Communauté française. La collaboration avec les Universités est définie par convention entre l Ecole et les 6 universités francophones de Belgique. La convention du 7 mai 2013 est conclue pour une durée qui couvre la période du 1er mai 2013 au 31 juillet La convention sera soumise à une évaluation. Dans le cadre de l Executive Master, le rôle de l Ecole est de continuer à assurer, durant la formation, le relais entre les administrations et les universités afin de veiller à ce que : - l approche, les méthodes et outils de gestion publique soient valorisés - le contenu des enseignements soit inscrit dans la culture et la stratégie des administrations concernées et des OIP - le programme et les épreuves respectent les valeurs et la gouvernance spécifiques des administrations concernées et des OIP En ce qui concerne l épreuve finale, l Ecole est chargée de remettre à tous les lauréats du concours le Certificat de management public ; 3. Gestion du pool Gérer le pool de candidats mandataires : suivi administratif et informatif. Conformément aux arrêtés mandats du 20 septembre 2012, l Ecole tient la liste des membres du pool de candidats potentiels. Conformément aux arrêtés du 20 septembre 2012, l Ecole valide ou propose les formations suivies par les mandataires. C- Processus transversaux Tout au long du processus du Certificat de management public, défini ci-dessus, l Ecole est chargée de : piloter l ensemble du processus CMP pour veiller à la qualité et l efficience de ses activités 23

24 assurer la communication sur le projet du CMP en interne (dans les administrations et OIP) et en externe assurer la communication et la coordination avec les partenaires en respectant les sphères de compétences de chacun : - Le Selor : l Ecole proposera l adoption d un protocole de collaboration. - Les Universités via les organes de gestion de la convention qui lie l Ecole et les universités : pilotage du Comité d accompagnement et participation au Comité directeur présidé par les universités évaluer le CMP (voir article 28) référer aux Gouvernements via l évaluation de la satisfaction des participants en vue de proposer les adaptations éventuelles - les mécanismes de reporting définis - les actions de communication convenues. Article 30. Suivi et évaluation du Certificat de management public L Ecole définira les modalités et contenus d évaluation et de reporting. Elle prévoira à chaque étape des processus-clés (voir ci-dessus) du CMP des moments d évaluation et de reporting, en veillant à proposer aux acteurs concernés tout aménagement utile à son amélioration, ainsi que toute mesure permettant de garantir la qualité de sa mise en œuvre. Concernant spécifiquement le Certificat interuniversitaire d Executive Master en Management public, l Ecole veillera à appliquer mutatis mutandis les règles d évaluation visées à l article 24 dès lors que celles-ci sont pertinentes et réalistes eu égard aux spécificités du public concerné et au rôle des Universités en la matière. Le cas échéant, l Ecole proposera des pistes d amélioration de la formation en termes de contenus et de processus. Dans ce cadre, l Ecole pourra proposer aux Gouvernements, en concertation avec les universités, une modification du programme du Certificat interuniversitaire nécessaire à l obtention du Certificat de management public. Les deux premiers cycles feront l objet d un rapport d évaluation globale du Certificat de management public qui sera transmis au Ministre de Tutelle. Article 31. Suivi et résultat En matière de résultats relatifs à la contribution de l Ecole à l organisation du Certificat de management public, l évaluation portera sur les aspects qualitatifs suivants : la collaboration avec Selor dans le cadre du lancement d un cycle de formation et de sélection des candidats ainsi que de l épreuve de fin de cycle ; la collaboration avec les universités dans le cadre de la proposition du programme de formation et de sa mise en œuvre. * * * 24

25 Chapitre 4. Missions complémentaires Article 32. Définition des activités Telles que prévues à l article 12, les missions complémentaires sont celles confiées à l Ecole par les Gouvernements en vue de permettre la réalisation des missions de formation. Dans ce cadre, l Ecole contribue à la mise en place d une politique harmonisée de renforcement, de reconnaissance et de validation des compétences ainsi que de développement personnel au travers des formations dans le cadre de la fonction publique wallonne et de la Communauté française. En effet, pour développer une politique de formation commune, il est nécessaire de réaliser, en amont, un travail de convergence des politiques du personnel aux niveaux communautaire et régional. Section 5.1 Contribution à la mise en place d une politique harmonisée de gestion des compétences et de développement personnel Article 33. Développement d une vision stratégique L Ecole s engage à être un partenaire des institutions bénéficiaires dans le cadre de la maintenance, du renforcement ou de l acquisition de compétences par leur personnel. Cet engagement s étend à la mise en cohérence des épreuves de carrière avec les référentiels de formation découlant des analyses des besoins. En contribuant à la validation des compétences et au développement personnel notamment par les formations communes qu elle organise, l Ecole vise à : soutenir les membres du personnel dans le développement et la reconnaissance de leurs compétences et dans leur évolution de carrière ; promouvoir l utilisation de référentiels de compétences dans la perspective d une intégration et d une mise en cohérence des processus RH autour de la validation des compétences. Concernant la validation des compétences, l Ecole veillera à ce que celle-ci puisse être assurée tant par le biais de la validation des compétences acquises en formation et suite à la formation que par celui de l expérience ou de modes informels. Afin d organiser le lien entre formations et compétences à développer ou à acquérir, l Ecoel participera à un groupe de travail qui sera composé de l'ecole et des représentants du SPW et du MFWB. La démarche de validation des compétences une fois définie sera validée par : les Secrétaires généraux ; le Comité stratégique du SPW, le Comité de Direction du MFWB et le Conseil d'administration de l'ecole ; le Ministre de la Fonction publique. 25

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux

Plus en détail

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Les dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France

Plus en détail

Responsable d agence

Responsable d agence Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser

Plus en détail

La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française.

La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française. La Valorisation des Acquis de l Expérience (VAE) en Communauté française. Dossier de presse rédigé par : Françoise de Viron, Présidente de la Commission Education tout au Long de la Vie (ETALV) du CIUF,

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008

Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique. Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Débat national sur les valeurs, missions et métiers de la Fonction publique Synthèse des contributions des participants au débat public 25/02/2008 Sommaire 1. Périmètre du débat et méthodologie des contributions

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Chargé d affaires en ingénierie électrique et électronique de l Université Montpellier 2 Sciences et techniques

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE

LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE LICENCE PROFESSIONNELLE ASSURANCE BANQUE - FINANCE Spécialité: Gestion Clientèle Particuliers Arrêté d habilitation : 20090979 REGLEMENT DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 2013-2015 VU la loi 84-52 du 26 janvier

Plus en détail

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CENTRE DE GESTION DE MAINE ET LOIRE NOTE D INFORMATION MARS 2008 Mise à jour JUIN 2009 (Annule et remplace la précédente) LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE

Plus en détail

Formation continue obligatoire

Formation continue obligatoire Formation continue obligatoire POLITIQUE (Organismes) Version décembre 2010 S E R V I C E D U D É V E L O P P E M E N T P R O F E S S I O N N E L Table des matières Section 1 : Information générale 3 1.

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

PLAN OPÉRATIONNEL DU DÉPARTEMENT GESTION ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE

PLAN OPÉRATIONNEL DU DÉPARTEMENT GESTION ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE PLAN OPÉRATIONNEL DU DÉPARTEMENT GESTION ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE TABLE DES MATIÈRES 1. Vision... 2 2. Missions... 4 3. Organigramme... 5 4. Analyse SWOT... 6 5. Pan opérationnel... 9 5.1 ARBRE DES

Plus en détail

19758 MONITEUR BELGE 28.03.2013 BELGISCH STAATSBLAD

19758 MONITEUR BELGE 28.03.2013 BELGISCH STAATSBLAD 19758 MONITEUR BELGE 28.03.2013 BELGISCH STAATSBLAD REGION WALLONNE WALLONISCHE REGION WAALS GEWEST SERVICE PUBLIC DE WALLONIE [C 2013/27076] 20 SEPTEMBRE 2012. Arrêté du Gouvernement wallon réformant

Plus en détail

Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016

Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Appel d offres pour la mise en place de cursus intégrés franco-allemands binationaux et trinationaux à compter de l année universitaire 2015-2016 Date limite pour l annonce du dépôt d une demande de soutien

Plus en détail

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs

Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Licence professionnelle Commerce en banque-assurance

Licence professionnelle Commerce en banque-assurance Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Commerce en banque-assurance Université Jean Moulin Lyon 3 Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES,

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE COMTÉ DE RIVIERE-DU-LOUP RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS

Plus en détail

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL

PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014 CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel

Plus en détail

www.opex-management.com

www.opex-management.com Paris Luxembourg Bruxelles Casablanca PROGRAMME des formations certifiantes Lean Management et Lean Six Sigma De nouvelles compétences pour les collaborateurs De nouveaux leviers de compétitivité pour

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS (Learning Management System) DU CENTRE DE FORMATION POUR LE DEVELOPPEMENT CFD/MADAGASCAR

Plus en détail

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE

LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE LE RENOUVEAU PÉDAGOGIQUE Ce qui définit «le changement» préscolaire primaire secondaire Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 2005-05-00511 ISBN 2-550-45274-7 (version

Plus en détail

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable

Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)

Plus en détail

REGLEMENT DE FORMATION DU PERSONNEL COMMUNAL

REGLEMENT DE FORMATION DU PERSONNEL COMMUNAL REGLEMENT DE FORMATION DU PERSONNEL COMMUNAL La formation professionnelle a pour objet de permettre aux agents d exercer de façon efficace les fonctions qui leur sont confiées en vue de la satisfaction

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

La Validation des Acquis de l Expérience. avec l IFPASS. www.ifpass.fr

La Validation des Acquis de l Expérience. avec l IFPASS. www.ifpass.fr La Validation des Acquis de l Expérience avec l IFPASS www.ifpass.fr Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS Le Pôle Orientation et VAE de l IFPASS est au service des professionnels de l assurance, qu ils

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI)

CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) AIX-EN-PROVENCE LILLE LYON ORSAY POITIERS RENNES SÉLESTAT TOULOUSE TOURS CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) la reconnaissance du musicien intervenant par

Plus en détail

Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée

Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité

Plus en détail

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré

UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

Master Ressources Humaines

Master Ressources Humaines 1 - Objectifs de formation du Master Le Master comprend deux années : Première année : Seconde année : La première année est dédiée à l acquisition des connaissances fondamentales en gestion des ressources

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève

Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève CONSEIL EXÉCUTIF EB136/39 Cent trente-sixième session 12 décembre 2014 Point 13.2 de l ordre du jour provisoire Immobilier : le point sur la stratégie de rénovation des bâtiments à Genève Rapport du Directeur

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Destinataires d'exécution

Destinataires d'exécution Information Secrétariat général Service des ressources humaines Sous-direction du développement professionnel et des relations sociales 78, rue de Varenne 75349 PARIS 07 SP 0149554955 Note de service SG/SRH/SDDPRS/2015-206

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement

Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement Agence de Développement Social Vision transversale et action cohérente pour la protection de l Environnement SOMMAIRE 1. vision 2. Mission de l ADS dans le domaine de la Protection de l Environnement,

Plus en détail

MASTER OF PUBLIC ADMINISTRATION

MASTER OF PUBLIC ADMINISTRATION MASTER OF PUBLIC ADMINISTRATION (Bac+4, +5, 300 ECTS) IEAM PARIS - Institut des Études d'administration et de Management de Paris & SCIENCES PO AIX - Institut d Etudes Politiques d Aix-en-Provence ou PKU

Plus en détail

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008

Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 Décret n 2008-517 du 20 mai 2008 fixant les modalités d organisation et de fonctionnement des Agences régionales de Développement. RAPPORT DE PRESENTATION En application

Plus en détail

Circulaire n 5051 du 04/11/2014

Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Circulaire n 5051 du 04/11/2014 Collaboration entre les Centres psycho-médico-sociaux, le Service de médiation scolaire et le Service des équipes mobiles missions et rôles Réseaux et niveaux concernés

Plus en détail

POLITIQUES ET PROCÉDURES DE LA CERTIFICATION DES ENTRAÎNEURS

POLITIQUES ET PROCÉDURES DE LA CERTIFICATION DES ENTRAÎNEURS POLITIQUES ET PROCÉDURES DE LA CERTIFICATION DES ENTRAÎNEURS 31 mai 2012 ORGANISATION DU NOUVEAU PNCE Les ateliers du PNCE sont mis sur pied pour répondre aux besoins de tous les entraîneurs, de celui

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Code à l intention des partenaires commerciaux

Code à l intention des partenaires commerciaux Code à l intention des partenaires commerciaux Groupe Axpo Code à l intention des partenaires commerciaux 02 03 Table des matières Introduction... 05 I. Éthique commerciale et intégrité... 07 II. Respect

Plus en détail

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020

POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 DÉVELOPPEMENT LOCAL MENÉ PAR LES ACTEURS LOCAUX POLITIQUE DE COHÉSION 2014-2020 Les nouvelles règles et la législation régissant le prochain financement de la politique européenne de cohésion pour la période

Plus en détail

Mastère spécialisé MS : «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau

Mastère spécialisé MS : «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau Mastère spécialisé MS : «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» 1- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS :

Plus en détail

MODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES. Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance»

MODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES. Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance» MODALITES DU CONTROLE DES CONNAISSANCES Année universitaire 2015 2016 Règlement relatif à l obtention du diplôme de MASTER ECONOMIE Mention «Monnaie Banque Finance Assurance» I Dispositions générales I.1.

Plus en détail

FORMATION SELON LE SYSTEME DUAL L APPRENTISAGE CFC DE GESTIONNAIRE EN INTENDANCE L APPRENTISAGE AFP D EMPLOYÉ-E EN INTENDANCE

FORMATION SELON LE SYSTEME DUAL L APPRENTISAGE CFC DE GESTIONNAIRE EN INTENDANCE L APPRENTISAGE AFP D EMPLOYÉ-E EN INTENDANCE Département de l'éducation de la culture et du sport Service de la formation professionnelle Departement für Erziehung, Kultur und Sport Dienststelle für Berufsbildung FORMATION SELON LE SYSTEME DUAL L

Plus en détail

La Régie des rentes du Québec

La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec La Régie des rentes du Québec est chargée d appliquer la Loi sur le régime de rentes du Québec et la Loi sur les régimes complémentaires de retraite. De plus, elle administre

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

la Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s)

la Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s) L'application de cette politique est sous la responsabilité et la coordination de la Direction générale en collaboration avec la Direction des études et la Direction de la formation continue (langue d

Plus en détail

Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce

Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce Concept d assurance de la qualité pour la formation à la pratique professionnelle au sein des écoles de commerce La partie informative du présent concept comprend une vue d ensemble des exigences de qualité

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014

Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014 FM 14/08/14 Modifications du Code du travail par la loi N 2014-873 du 4 août 2014 Article L1153-5 L employeur prend toutes dispositions nécessaires en vue de prévenir les faits de harcèlement sexuel, d

Plus en détail

Programme national «très haut débit»

Programme national «très haut débit» Liberté. Égalité. Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Programme national «très haut débit» - 1 - Sommaire I. ENJEU 3 II. DESCRIPTION GENERALE 4 III. PILOTAGE DU PROGRAMME 4 IV. PHASE DE LANCEMENT DU PROGRAMME

Plus en détail

SEMINAIRES INTERNATIONAUX

SEMINAIRES INTERNATIONAUX n, Conseil Formation Placement SEMINAIRES INTERNATIONAUX Programmes de Formation de Certification Conçus et Dispensés Entièrement en Français Par Illinois State University et GSBO Niamey - Abidjan - Ouagadougou

Plus en détail

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.)

Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100 Règlement spécifique des examens des Diplômes Européens de Compétences Professionnelles (D.E.C.P.) 5100.01 Titre I : Dispositions générales Art. 1 - Le Diplôme Européen de Compétences Professionnelles

Plus en détail

Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006. Note d information

Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006. Note d information OFFICE DES NATIONS UNIES A GENEVE UNITED NATIONS OFFICE AT GENEVA Concours de recrutement de professeurs de français - Genève - 2006 Note d information 1. Un concours de recrutement de professeurs de français

Plus en détail

Se former aux processus aujourd hui? Présentation de l offre de formation Salon DEVPRO Février 2013

Se former aux processus aujourd hui? Présentation de l offre de formation Salon DEVPRO Février 2013 Se former aux aujourd hui? Présentation de l offre de formation Salon DEVPRO Février 2013 Sommaire 1 Pourquoi s intéresser aux et à leur pilotage? 2 Etat des lieux 3 L offre de formation/certification

Plus en détail

Guide de l Etudiant en LMD de l Institut Supérieur des Technologies de l Information et de la Communication

Guide de l Etudiant en LMD de l Institut Supérieur des Technologies de l Information et de la Communication République Tunisienne Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique Université de Carthage Institut Supérieur des Technologies de l Information et de la Communication Guide de l Etudiant

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL

EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL EDUCATEUR SPECIALISE ANNEXE 1 : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L éducateur spécialisé, dans le cadre des politiques partenariales de prévention,

Plus en détail

Réforme de la formation professionnelle

Réforme de la formation professionnelle MEDEF Social mars 2015 Réforme de la formation professionnelle Compétitivité Mobilité Employabilité Edito En 2030, près de 30 % de nos métiers auront évolué. Pour relever ce défi, la formation des femmes

Plus en détail

L assurance qualité N 4. Décembre 2014

L assurance qualité N 4. Décembre 2014 N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et

Plus en détail

Cadre et Structures Organiques

Cadre et Structures Organiques 1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR)

Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) Association d Accueil aux Médecins et Personnels de Santé Réfugiés en France (APSR) POUVOIR EXERCER LA PHARMACIE EN FRANCE POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME NON COMMUNAUTAIRE ET POUR LES PHARMACIENS À DIPLOME

Plus en détail

REFERENTIEL DE CERTIFICATION

REFERENTIEL DE CERTIFICATION REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU TITRE PROFESSIONNEL Technicien(ne) Médiation Services Niveau IV Site : http://www.emploi.gouv.fr REFERENTIEL DE CERTIFICATION D'UNE SPECIALITE DU TITRE PROFESSIONNEL DU

Plus en détail

Master Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH)

Master Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH) Master Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH) RESPONSABLES : mention Management : Martine BRASSEUR,

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se

Plus en détail

Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION

Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION Comparaison des différentes versions des cadres du PAAS ACTION Au cours de l année 2014-2015, Emploi Québec a modifié deux fois le chapitre du Programme d aide et d accompagnement social (PAAS) ACTION

Plus en détail

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche

DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant

Plus en détail

ITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services

ITIL V3. Objectifs et principes-clés de la conception des services ITIL V3 Objectifs et principes-clés de la conception des services Création : janvier 2008 Mise à jour : juillet 2011 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a

Plus en détail

Statuts de la Fédération mondiale des Grands Concours Internationaux de Vins et Spiritueux (VINOFED) CHAPITRE 1 LA FÉDÉRATION

Statuts de la Fédération mondiale des Grands Concours Internationaux de Vins et Spiritueux (VINOFED) CHAPITRE 1 LA FÉDÉRATION Statuts de la Fédération mondiale des Grands Concours Internationaux de Vins et Spiritueux (VINOFED) CHAPITRE 1 LA FÉDÉRATION ARTICLE 1 NOM / SIEGE / DUREE 1.1 Sous le nom de la «Fédération Mondiale des

Plus en détail

Les concours de l Assemblée nationale

Les concours de l Assemblée nationale A S S E M B L É E N A T I O N A L E Les concours de l Assemblée nationale Les informations contenues dans cette brochure ont été mises à jour en septembre 2012 ASSEMBLÉE NATIONALE Service des Ressources

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

B. L ENGAGEMENT DE PRISE EN CHARGE COMME PREUVE DE MOYENS DE SUBSISTANCE SUFFISANTS (Annexe 3bis)

B. L ENGAGEMENT DE PRISE EN CHARGE COMME PREUVE DE MOYENS DE SUBSISTANCE SUFFISANTS (Annexe 3bis) L ENGAGEMENT DE PRISE EN CHARGE INFORMATION AUX GARANTS (Article 3 bis de la loi du 15 décembre 1980 sur l accès au territoire, le séjour, l établissement et l éloignement des étrangers) Cette information

Plus en détail

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ GESTION STRATÉGIQUE DES RESSOURCES HUMAINES À FINALITÉ PROFESSIONNELLE

MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ GESTION STRATÉGIQUE DES RESSOURCES HUMAINES À FINALITÉ PROFESSIONNELLE MASTER MANAGEMENT DES RH ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL SPÉCIALITÉ GESTION STRATÉGIQUE DES RESSOURCES HUMAINES À FINALITÉ PROFESSIONNELLE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel

Plus en détail

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention

Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions

Plus en détail

Plan de Management Direction générale Institutions et Population 2013-2019 ISABELLE MAZZARA DIRECTRICE GENERALE INSTITUTIONS ET POPULATION

Plan de Management Direction générale Institutions et Population 2013-2019 ISABELLE MAZZARA DIRECTRICE GENERALE INSTITUTIONS ET POPULATION Plan de Management Direction générale Institutions et Population 2013-2019 ISABELLE MAZZARA DIRECTRICE GENERALE INSTITUTIONS ET POPULATION TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES... 2 1. Situation de la

Plus en détail

Ministère de l Enseignement Supérieur Direction Générale de la Rénovation Universitaire. La réforme LMD en Tunisie Note de cadrage.

Ministère de l Enseignement Supérieur Direction Générale de la Rénovation Universitaire. La réforme LMD en Tunisie Note de cadrage. Ministère de l Enseignement Supérieur Direction Générale de la Rénovation Universitaire La réforme LMD en Tunisie Note de cadrage La licence Mars 2006 1 Nous poursuivrons nos efforts pour la mise en œuvre

Plus en détail

Les personnes handicapées ont les mêmes droits

Les personnes handicapées ont les mêmes droits Les personnes handicapées ont les mêmes droits La stratégie européenne 2010-2020 en faveur des personnes handicapées Commission européenne Égalité des droits, égalité des chances La valeur ajoutée européenne

Plus en détail

LA FORMATION PROFESSIONNELLE

LA FORMATION PROFESSIONNELLE éférences : - oi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, - oi n 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale,

Plus en détail

CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.

CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte

Plus en détail

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD

COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de

Plus en détail

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE

sous réserve de validation des modifications DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT FINANCE sous réserve de validation des modifications Niveau : MASTER année Domaine : Mention : DROIT ECONOMIE GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT M2 Spécialité : FINANCE 120 ES Volume horaire étudiant : 335 h 35 h

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE

GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE Compétences communes à tous les professeurs et personnels d éducation Référentiel des compétences professionnelles

Plus en détail

Guide pratique et concret des clauses sociales dans les marchés publics

Guide pratique et concret des clauses sociales dans les marchés publics Guide pratique et concret des clauses sociales dans les marchés publics 2009 Document élaboré par Raphaël Dugailliez Consultant, Formateur Formateur pour la dynamique «marchés publics durables» Mise en

Plus en détail