Conférence COFACE - 14 décembre 2011 «L éducation à la sexualité en Belgique francophone : pratiques actuelles et revendications»
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- Denis Labelle
- il y a 8 ans
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1 Conférence COFACE - 14 décembre 2011 «L éducation à la sexualité en Belgique francophone : pratiques actuelles et revendications» Bonjour à toutes et à tous, Merci à la COFACE de nous avoir proposé d intervenir. En Belgique, l éducation à la vie affective et sexuelle est un thème d actualité. Nous avons eu de nombreux débats dans les médias à ce sujet à la rentrée et de nombreuses réunions avec différents ministères. Pourtant, malgré certains efforts, la généralisation de l éducation à la vie affective et sexuelle (EVAS comme on dit dans notre jargon), est loin d être une réalité. Comme l indique le titre de mon intervention, je vous présenterai aujourd hui uniquement ce qui se passe dans la partie francophone du pays. Vous connaissez tous la complexité de la Belgique. Le propre du fédéralisme étant de diviser les compétences, tout ce qui touche à l éducation et à la prévention de la santé est du ressort des Communautés et des Régions. Mais je vous assure que déjà du côté francophone, les choses ne sont pas simples. Pour commencer mon intervention, permettez-moi de vous présenter la définition de l éducation à la vie affective et sexuelle définie par les 4 Fédérations de centres de planning familial et que nous utilisons pour notre travail de plaidoyer: «La sexualité est un point central dans l'existence de l'individu et de la collectivité (normes sociales implicites ou explicites, législation, politique de santé et prévention, ). Elle s inscrit tant dans la sphère sociale (les médias, le monde culturel, le monde associatif, l'école,...) que dans la sphère privée (la famille, les pairs, le couple,...). Elle inclut de multiples dimensions qui touchent à l'individu et au groupe auquel il appartient, sans jamais pouvoir être réduite à une seule de ces dimensions.» L inscription de la sexualité dans la sphère sociale avec la co-existence de valeurs et de traditions familiales, culturelles et éventuellement religieuses peuvent conduire à des comportements d intolérance, d inégalité, de phobies, de violence, de mal-être identitaire. Parce que l'école est pleinement incluse dans la sphère sociale et qu elle a une mission éducative, elle joue un rôle primordial : celui de permettre à l'élève de porter un regard critique sur certaines des représentations associées à la sexualité (sexisme, homophobie, exploitation sexuelle, violences sexuelles, mais aussi choix, plaisir, respect, ) et de le rendre autonome et responsable dans sa sexualité et sa parentalité.
2 L éducation à la vie affective et sexuelle en milieu scolaire implique l intégration d un processus de réflexion sur cette éducation au sein de chaque établissement. Elle vise à aider les élèves à acquérir progressivement une maturité affective et sexuelle, composante essentielle dans la construction de l individu et de l éducation citoyenne. Ce processus se traduit par la mise en place d actions concrètes et par un accès à l identification de lieux-ressources. Il implique l ensemble de la communauté scolaire, avec le soutien d intervenants extérieurs et est inscrit dans le projet global de l établissement scolaire. Pourquoi faut-il informer sur la vie sexuelle et affective Qui peut encore nier le mal-être de certains ados dans leurs relations aux autres? Comment fermer les yeux sur un taux de suicide inquiétant chez les jeunes? L adolescence est une période délicate dans la vie qui comporte son lot non négligeable de questions existentielles: qui suis-je?, suis-je normal? Parallèlement, le corps change, attire, désire. Or, s il y a bien un sujet sur lequel une grande majorité de parents est mal à l aise, c est celui de la sexualité. Sans compter certains parents qui nient complètement la sexualité de leurs enfants estimant qu il ne faut pas parler avec eux de ce qui ne les préoccupe pas! Nous savons pourtant qu il s agit là d un mensonge «de confort». Dès sa naissance, l enfant est un être sexué. La sexualité nous concerne tous, enfants comme adultes, et est centrale dans notre épanouissement personnel. Il va de soi qu en répondant aux préoccupations des jeunes dans ce domaine, on ne peut que favoriser le développement d une sexualité libre, autonome et responsable. La «santé sexuelle» est d ailleurs reconnue comme une composante de la santé globale par l OMS. L éducation sexuelle et affective apparaît donc comme une nécessité, un droit, et ce d autant plus dans une société obnubilée par le sexe comme l est la nôtre. Les jeunes générations sont, comme nous, les témoins quotidiens d une hyper sexualisation qui n a de cesse de les exposer de plus en plus tôt à ses dérives. La pornographie est aujourd hui à la portée de tout qui sait allumer un PC véhiculant ainsi une image de la sexualité erronée qui est trop souvent considérée comme la normalité et qui, d emblée, sépare l affect du sexe. On le sait, nous ne sommes plus face à des jeunes sous-informés. C est l inverse. A l heure du multimédia, ils sont noyés d informations (souvent erronées) sur le sujet qui comportent encore pas mal de clichés. Il est nécessaire de les accompagner afin qu ils puissent développer un regard critique. Que se passe-t-il pour le moment en Communauté française : Force est de constater que l éducation sexuelle et affective n échappe pas à l inégalité présente dans notre système scolaire. Un état des lieux des activités d éducation à la vie sexuelle et affective en milieu scolaire a été réalisé en Il affirme que 20% des jeunes parmi les 2èmes, 3èmes & 4èmes secondaires n a jamais participé à des activités d animations EVAS lors de leur parcours scolaire.
3 Cette même enquête a fait état de discriminations en la matière entre élèves de l enseignement professionnel, technique et artistique et ceux de l enseignement général. Or, c est précisément dans l enseignement professionnel et technique que sont davantage constatés une sexualité plus précoce et des comportements sexuels à risque! Par ailleurs, les professionnels de terrain constatent également des discriminations en fonction du type d enseignement. Les écoles catholiques étant parfois plus réticentes pour ce genre d animations. Ces réticences se font d ailleurs parfois l écho d inquiétudes de la part de parents d élèves. Il y a également une diversité importante dans l organisation pratique de ces animations: contenu abordé, mixité, taille des groupes animés, durée et fréquence des animations, etc. L éducation sexuelle et affective à l école fait donc actuellement référence à des interventions multiples et disparates. Pour les mieux lotis, elle s inscrit dans des animations dispensées par des professionnels extérieurs. Pour les autres, elle se cantonne encore aux cours philosophiques ou de science. Actuellement, il n y a donc pas, en Communauté française, d obligation pour les écoles d organiser des animations à la vie affective et sexuelle en leur sein. Les élèves sont inégaux face à l accès à l information sur cette thématique. Cette thématique est pourtant porteuse d importants enjeux de société et de santé publique : IST, grossesses non désirées, relations égalitaires, homophobie, inégalité homme-femme, violences... Il y a eu différents appels à projets et projets pilotes proposés par les pouvoirs compétents depuis une petite dizaine d année. Toutes sont des initiatives ponctuelles et restreintes. En 2009, des déclarations de politique communautaire et régionale prévoyaient un accord de coopération entre la Wallonie, la Fédération Wallonie-Bruxelles et la CoCoF (Commission communautaire française) afin de créer les synergies nécessaires à la mise en œuvre rapide d une généralisation des modules d animation à la vie affective et sexuelle, et cela pour l ensemble des élèves de la Communauté française. En 2012 il y aura donc une circulaire pour inciter les écoles à organiser des animations à la vie affective et sexuelle. Une circulaire n ayant aucun caractère obligatoire, elle risque de ne pas avoir d impact important. Toutes ces initiatives ne répondent pas, à proprement parler, à la mise en place d une véritable généralisation, pourtant annoncée par les déclarations de politiques communautaires et régionales.
4 Chaque établissement scolaire est donc seul maître de décider si cela fait partie de ses priorités ou non, et de répondre ou non à ce besoin... Tous les jeunes ne sont donc pas égaux en ce domaine et ne bénéficient pas des mêmes chances. Face à cela, quelles sont nos revendications : Comme vous l aurez compris, nous recommandons donc la généralisation des animations EVAS dans les écoles, à savoir permettre à chaque élève de disposer dans le cadre scolaire d une information en matière de VAS, de préférence fournie par un acteur extérieur à l école, sans lien d autorité sur les élèves. Voici quelques propositions concrètes, qui constituent selon nous un minimum à mettre en place : - Un panneau bien-être : c est-à-dire une série d'adresses et de contacts (associations, personnes-ressources) qui donnent la priorité aux acteurs établis à proximité de l'école ou des lieux de vie des élèves pour faciliter l accessibilité des service. Ce panneau devrait bien entendu être visible et installé dans un lieu de passage des jeunes. - Des animations «carte de visite» : les différents services offerts par le centre de planning familial y seraient présentés mais aussi des sujets spécifiques, décidés en concertation avec les PMS et l école, pourraient être abordés, en fonction des attentes et besoins des élèves - Des animations ponctuelles avec d'autres intervenants ayant un domaine d'expertise spécifique (AMO, Plateforme Prévention Sida, Ni Putes Ni Soumises,...) - Cadre: les animations devraient être dispensées en 6ème primaire au minimum à deux périodes (2 x 50 ). A 11 ans, certains élèves ont déjà des relations sexuelles ou sont susceptibles d'en avoir. En secondaire, quatre interventions devraient être réparties selon le profil et l'âge moyen des élèves. Qu est-ce qu une animation pour nous? Les animations ne sont pas des cours. C est d ailleurs aussi pour cela qu elles doivent être menées par des intervenants extérieurs. Elles doivent aborder les questions de la sexualité dans sa globalité en partant impérativement des différentes préoccupations des élèves et rencontrer les objectifs suivants : 1. Elles ouvrent un espace de parole, d écoute et de débat dans lequel les jeunes peuvent communiquer et partager leurs réflexions, préoccupations, étonnements, doutes ou inquiétudes éventuels avec leurs pairs et un adulte extérieur à l'institution scolaire. Ce professionnel devant être formé de façon spécifique à l'éducation à la sexualité. 2. Les animations sensibilisent les jeunes aux multiples dimensions et représentations de la sexualité. 3. Elles visent à rendre l'élève capable de trouver, dans et à l'extérieur de l'établissement scolaire, les personnes-relais ou institutions qui pourront répondre
5 aux questions qu'il se pose encore ou qui sont susceptibles d accueillir des demandes de contraceptifs, de tests, 4. Elles apportent des informations en adéquation avec les questions des élèves. Ces animations sont sous-tendues par une déontologie garantissant pour toute personne des conditions égales de recherche d une sexualité épanouie et d une parentalité libre et responsable. Le travail d'animation est donc guidé par les valeurs suivantes : la recherche du choix libre et éclairé de chacun le rejet des dogmatismes le droit à un accès égal à l'information, à l'éducation et aux services disponibles en matière d'éducation affective et sexuelle l'ouverture à la dimension de plaisir et d'épanouissement personnel la garantie d'une information sur le droit d'accès à la contraception et à l avortement le respect absolu de la confidentialité le rejet des «discriminations directes et indirectes fondées sur le sexe, une prétendue race, la couleur, l'ascendance, l'origine nationale ou ethnique, l'orientation sexuelle, l'état civil, la naissance, la fortune, l'âge, la conviction religieuse ou philosophique, l'état de santé actuel ou futur, un handicap ou une caractéristique physique» (loi Mahoux) la lutte contre toute forme d'exclusion la lutte contre les violences la défense de la démocratie et de la citoyenneté responsable Plus globalement, l'éducation à la sexualité devrait permettre à l'élève de comprendre la complexité et l'importance de la sexualité dans les rapports humains, intégrer dans son enseignement les diverses approches (biologique, affective, psychologique, sanitaire, juridique, sociale, culturelle et éthique) la concernant et susciter la réflexion. En ce sens, l'application des seules mesures du «panneau bienêtre» et de l'animation «carte de visite» sont à notre avis largement insuffisantes. Pour être parfaitement intégrée dans le projet scolaire, l'éducation à la sexualité devrait être pleinement prise en compte par l'établissement et ce de la maternelle à la fin du cursus scolaire. Elle devrait idéalement impliquer l'ensemble des acteurs du milieu scolaire à savoir la direction, le corps enseignant, les centres PMS, les éducateurs, le personnel soignant, le secrétariat, les techniciens de surface et recourir à des intervenants extérieurs (centres de planning familial et autres associations). L'intégration de la sexualité dans le projet scolaire implique aussi une notion de transversalité. La composante sexuelle devrait ainsi faire l'objet d'une attention particulière dans toutes les matières enseignées (histoire, français, biologie,...) et dans les compétences développées (savoir être). Soulignons-le, l'objectif d'une vision large de l'éducation à la sexualité est, outre la dimension d'éducation et de sensibilisation, de prévenir les éventuels problèmes ou
6 conflits qui peuvent surgir à l'école, relatifs à la sexualité (homophobie, rapports adultes/enfants, harcèlement sexuel, grossesse précoce,...) et de pouvoir les résoudre de manière adéquate le cas échéant. Un des principaux enjeux est de développer auprès des jeunes une vision positive de leurs relations et de leur(s) sexualité(s). Tout comme de transmettre des savoir-être et savoir-faire en ce domaine qui favoriseront une évolution harmonieuse de cet aspect de leur vie. En effet, il n existe pas une sexualité mais des sexualités. Il s agit donc de proposer des animations qui répondent au projet global de l école, de ses caractéristiques sociales et culturelles et qui surtout répondent aux besoins des élèves. Au-delà de cet enjeu d épanouissement personnel, un enjeu de santé publique est également à prendre en compte. Les grossesses non désirées, les IST, le Sida, etc. constituent des menaces potentielles pour tout jeune qui ne dispose pas des informations nécessaires pour gérer de manière responsable sa vie sexuelle et affective. Enfin, un enjeu d ordre sociétal entre également en ligne de compte. Il s agit d apporter un regard critique sur les discriminations contemporaines homophobie, égalité homme/femme mais aussi de déconstruire les clichés et les stéréotypes. Les initiatives prises par les pouvoirs politiques ne constituent actuellement que des «encouragements à». En conséquence de quoi, on constate que l éducation affective et sexuelle est très éclectique et dépend du bon vouloir de chaque établissement. Or, aux yeux des centres de planning familial, les besoins évidents de tout jeune d être sensibilisé et informé en la matière sont de facto créateurs du droit de bénéficier d une telle éducation. Il est donc impératif de passer la vitesse supérieure et d envisager une politique beaucoup plus ambitieuse qui rende obligatoire aux écoles un programme global d éducation à la vie affective et sexuelle. De cette manière, tous les réseaux et types d enseignement scolaires seront concernés identiquement. Il ne s agit bien sûr pas de «déresponsabiliser» les parents dans ce domaine, ni de s y substituer. Il s agit d agir de concert et de varier les sources informatives auprès des jeunes générations pour que les jeunes dont l espace de paroles familial est restreint ou absent aient, autant que les autres, la chance de vivre une sexualité saine et épanouie. Il est temps d arrêter de vouloir croire que tous les jeunes sont égaux face à l amour et à la sexualité. Merci, Julia Laot pour la Fédération des centres de planning familial des FPS
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