Au-delà de la technocratie? L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation
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- Théophile Grondin
- il y a 4 ans
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1 Ingénieur agricole, docteur en économie, est directeur de recherche à l INRA, directeur de l Unité TSV (Transformations sociales et Politiques liées au Vivant) à Ivry/Seine et directeur du Comité de direction de l Institut Francilien Recherche Innovation et Société (IFRIS).
2 Au-delà de la technocratie? L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation
3 Science et décision Il convient tout d abord de souligner le caractère paradoxal du recours à l expertise scientifique à des fins de décisions publiques. Ce recours est croissant (augmentation du nombre d experts, création d institutions ) depuis une trentaine d années, mais dans le même temps, de nombreux signes témoignent d une fragilisation de l expertise, souvent contestée. Lors d un colloque organisé à Arc-et-Senans en 1989, intitulé «les experts sont formels», Jerry Ravetz et Silvio Funtowics, rappelant la distinction entre des faits scientifiques indiscutables et des jugements de valeurs subjectifs, avaient avancé une relation aujourd hui inversée, selon laquelle il fallait prendre des décisions «dures» sur la base de faits scientifiques discutables ou non-stabilisés. Cet énoncé a influencé de nombreux travaux sur l expertise scientifique à finalité politique, qui seront à la base de mon exposé. Je souhaite souligner devant vous en quoi l expertise mène une production d une double nature : elle produit de la connaissance et en même temps des ressources politiques, relevant de la légitimité et de la crédibilité de la prise de décision. Prenons le cas limite d une recherche en toxicologie qui mettrait en évidence l effet de toxicité aigu d une molécule. Dans ce cadre, l expertise produit une ressource cognitive, au travers d un fait scientifique indiscutable dès lors qu ils sont en contact avec la molécule, les rats meurent subitement -, mais aussi une forte légitimité, la légitimité à interdire l autorisation de cette molécule. Bien évidemment, il s agit d un cas limite, et dans de nombreux cas, l expertise n a pas cette portée, et ne produit pas des faits scientifiques indiscutables légitimant d eux-mêmes une prise de décision. Souvent, nous sommes face à des situations moins tranchées dans lesquelles la production cognitive de l expertise va être plus variée - sans être moins intéressante - avec un lien plus complexe avec la décision. Intéressons-nous au changement climatique : la définition même du problème changement climatique, la conception du fait que le climat puisse changer pour des raisons qui tiennent aux activités humaines, est un construit de l activité scientifique, et de l activité scientifique au service d une expertise publique. Dans ce cas, l expertise va contribuer à définir des problèmes. C est un aspect central, puisque s entendre sur la définition d un problème est en soi une grande partie de sa solution. Dans le même temps, l expertise va produire un langage commun, fait de mesures, de catégories, en tout cas essentiel pour que les acteurs puissent discuter du problème. 55 #61
4 Science & Devenir de l Homme Les Cahiers du M.U.R.S. Dès lors que l on aborde des situations telles que celles pointées par Ravetz et Funtowics, c est-à-dire des situations qui ne reposent pas sur des faits tranchants mais sur des productions discutables, la relation entre l expertise et la décision est complexe. aux Etats-Unis ou la production de l EFSA 2 en Europe. Il s agit d un fait d observation. Les sources de divergence dans les avis d experts 56 L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation Les s o u r c e s t r a d i t i o n n e l l e s d e légitimité de l expertise En général, en matière d expertise, les faits ne parlent pas d eux-mêmes. Il est de nombreuses situations marquées par une incertitude radicale, qu aucun panel d experts ne puisse réduire. Elles caractérisent d ailleurs nos sociétés modernes et complexes. Néanmoins, plusieurs travaux consacrés à l histoire de l expertise au 20 e siècle montrent combien l objectif consistant à établir des expertises basées sur des faits scientifiques non-discutables a été important dans différents domaines. Le travail sur l expertise dans les années 90 a permis d identifier beaucoup de désaccords entre les experts, mais aussi parfois entre les comités d experts. Cela vaut pour la question des OGM, pour celle de la vache folle, ou plus récemment à propos de l évaluation des risques liés à la consommation par les humains de clones animaux. Sur ces sujets, les avis sont très différents, selon que l on s appuie sur la production de la FDA 1 Une analyse générique permet d identifier trois sources principales de divergence dans les avis d experts. La première tient à la définition du problème : qu appelle-t-on un risque? Quel est l objet de l évaluation? Dans le cas des OGM, les Etats membres de l Union européenne, qui réalisent leurs évaluations des risques dans un cadre réglementaire unifié, recourent à des comités d experts qui n utilisent pas la même dimension du cadre utilisé pour approcher les risques. Certains comités s en tiennent à la lettre de la réglementation européenne, et ne considèrent que les risques strictement sanitaires et environnementaux. D autres se sont intéressés à des risques agro-écologiques, ce qui revient à prendre en compte l interaction entre l utilisation des OGM et les pratiques des agriculteurs dans des paysages agricoles complexes et pour différentes échelles spatio-temporelles. S agissant des OGM, se pose également la question des effets socio-économiques, des effets en termes de concentration de l agro-industrie, mais aussi des effets en termes de biodiversité et d érosion génétique des plantes cultivées. La définition même du problème constitue une première source de désaccord importante, étant entendu qu il n existe pas de façon scientifique de «cadrer» 1 FDA : Food and Drug Administration 2 EFSA : European Food Safety Authority 3 eme trimestre 2009
5 Science et décision un problème. Le cadrage d un problème est un processus dont la dimension politique est irréductible. La deuxième source de divergence provient du type de connaissances mobilisées. Au-delà de la définition du problème, les approches d un même objet peuvent fortement varier d une discipline à l autre. Dans l exemple des OGM, les biologistes moléculaires étudient le risque des plantes transgéniques à partir du prisme de la construction du transgène. Raisonnant à cette échelle, ils considèrent que l existence d une construction «propre» rend le risque des plantes transgéniques assez minimes. Pour des agronomes qui s intéressent aux risques agro-écologiques, la conception même des risques et la façon dont on les évalue seront tout à fait différentes. Cette différence d approche renvoie à des travaux importants sur la diversité des cultures épistémiques (Knorr-Cetina). La troisième source de divergences dans les avis d experts tient au rapport au «risque réel». Supposons qu il y ait accord sur la nature du problème et la contribution de l expertise scientifique, encore faut-il voir que celle-ci ne produit que des connaissances limitées. Faut-il en rester à une conception positiviste où les seuls risques pertinents sont des risques avérés que l on sait analyser avec des méthodes scientifiques éprouvées? Ou bien admet-on que certains risques débordent nos connaissances scientifiques? Que faire de l incertitude et des risques que l on ignore? De plus, les risques ne peuvent pas être totalement cernés par des analyses de laboratoire. La façon dont ils vont se manifester sera très liée à une série d éléments pouvant relever du comportement des acteurs. Cela s exprime bien dans l étude des risques alimentaires, où des comportements d inadvertance peuvent déclencher des risques microbiologiques. Des comportements frauduleux ont joué un facteur essentiel dans la crise de la vache folle en Grande- Bretagne, puisque si le gouvernement, très rapidement, avait pris de bonnes mesures, celles-ci n étaient pas mises en œuvre, sans réel contrôle. Pourtant, la prise en compte d éléments ne relevant pas strictement du regard scientifique est très importante. A ce sujet, Oliver Godard et Bernard Chevassus ont proposé l expression de risques réels. Evaluer les risques réels, c est considérer que le risque est un phénomène hybride, à la fois naturel et social, et qu il est nécessaire de prendre en compte explicitement cette dimension dans l évaluation : efficacité de la mesure proposée, risque de fraudes, difficultés liées aux comportements effectifs des acteurs,... Légitimité de l expertise et des experts Dans ces conditions, l absence de standardisation des méthodes de l expertise conduit naturellement à des divergences entre comités d experts. Historiquement, deux types de légitimité se sont imposés. Le premier, qui caractérise fortement le système américain, est celui de la référence à des «faits objectifs». Le second, caractéristique du modèle fran- 57 #61
6 Science & Devenir de l Homme Les Cahiers du M.U.R.S. çais, est une légitimité non pas de l expertise, mais des experts, et renvoie aux fondements de notre système technocratique et au rôle de l Etat dans notre système politique. principal. L importance accordée à la production de faits objectifs s est accompagnée d un effort majeur visant à la standardisation des pratiques de l expertise. 58 L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation L ouvrage de Theodore Porter, intitulé Trust in numbers, explique bien en quoi les Américains croient beaucoup aux nombres. Il montre que cela ne tient pas à une quelconque supériorité dans le domaine des mathématiques, mais avant tout à l histoire et à la culture politique. Porter voit dans la référence au calcul et à une forme d objectivité mécanique le résultat d un système politique américain ouvert et confrontationnel : contrairement au système français, dans lequel l Etat joue un rôle central et fait émerger une référence à un intérêt général transcendant, le système des Etats-Unis repose sur la confrontation des opinions, l intérêt général n existant que comme résultat de la confrontation des intérêts particuliers. Dans ce contexte, une place essentielle est donnée à la contre-expertise, dès le départ du processus de production de l expertise. De longue date, des dispositifs d audition publique, de revue, de commentaires publics sont utilisés dans le travail des agences réglementaires américaines. S y ajoute une tradition de contrôle de qualité indépendant. Ce système ouvert a conduit à privilégier l affrontement sur les données et la mesure afin de trancher les désaccords. De fait, les ressources concernant l objectivation, l expertise et la contre-expertise, sont distribuées, ce qui fait de l objectivation le référentiel Un rapport de l Académie des Sciences Américaines, publié en 1983, a notamment explicité la façon de standardiser l expertise. En lien avec les affaires de toxicologie, il a proposé un schéma standard d évaluation des risques, qui comporte différentes étapes : identifier les sources de danger ; produire une évaluation quantitative des effets, au travers la réalisation d analyses dose-réponse ; mesurer les expositions auxquelles sont soumises les populations concernées. Il en découle une caractérisation quantitative des risques, qui permet d informer la décision publique et de nourrir l évaluation. Ce modèle s est progressivement diffusé à l international, pour être adopté en Europe à la fin des années 90, sous l influence du Codex Alimentarius. Ce rapport a également traité des risks assessment policies, que l on peut assimiler aux «boîtes noires». De ce point de vue, il a passé en revue les choix de politiques d évaluations des risques, essentiels pour déterminer le résultat de l analyse des risques. Ce sont, en toxicologie, les effets des faibles doses, très discutées - selon le modèle mathématique utilisé, on aboutit à des évaluations qui peuvent être radicalement différentes. C est aussi le principe d extrapolation des résultats obtenus sur modèle animal (le rat en général), qui consiste à pondérer les 3 eme trimestre 2009
7 Science et décision doses létales obtenues dans les tests animaux, d abord pour prendre en compte l hétérogénéité génétique chez l animal, ensuite pour prendre en compte les différences entre l animal et l homme. Or cette double pondération (un rapport de 1 sur 10 dans les deux cas) est un consensus qui n a pas de fondement scientifique abouti, mais qui s impose par l impossibilité de faire de la toxicologie chez l homme. Cette forme de convention constitue une «boîte noire» : face à un déficit de connaissances pour trancher un problème, des hypothèses ont été faites pour prendre des décisions permettant d aller de l avant. Dans le domaine de l expertise, c est une pratique courante. La force du modèle américain de l objectivation est d avoir fortement standardisé les procédures d expertise, ce qui permet d avoir des consensus assez forts entre les experts. A défaut de standards, le consensus ne peut émerger, y compris pour des problèmes simples, comme la toxicité des molécules. Le modèle technocratique «à la française» a, quant à lui, les attributs suivants : monopole de l expertise des grands Corps d Etat ; un système fermé, voire secret (du fait, spécifiquement, de l histoire du nucléaire en France) ; faible place donnée à la contreexpertise et à la confrontation entre les différents acteurs de la société ; un mode de légitimité rationnel-légal, assis sur la compétence technique des grands Corps et au rôle central dévolu à l Etat. Ce système s est effondré au cours des années 90, sous l influence d une série de crises : le sang contaminé, l amiante, la vache folle, les OGM, le nuage de Tchernobyl... Ces événements ont débouché sur une remise en cause de ce système technocratique, qui suppose un principe de délégation et une grande confiance dans le système d expertise. Or, les sondages d opinion montrent que les français accordent une faible confiance aux autorités publiques et, concernant de nombreux risques (pesticides, nucléaire, OGM, téléphonie mobile,...) ont le sentiment que la vérité leur est cachée. Il faut également noter l apparition d un phénomène de recours juridique contre l Etat dans la plupart de ces affaires, pour défaut de prise en compte de l information scientifique disponible. Ces recours juridiques ont entraîné des changements de comportements chez les politiques en charge de ces dossiers, le principe de précaution pouvant parfois être vu comme la précaution de leur propre activité vis-à-vis des risques juridiques liés à la non-prise de décisions. Le système français a donc connu une forte remise en cause, avec notamment la publication de rapports sur l expertise (au Parlement européen, dans les différentes institutions françaises) et des transformations. Ces transformations se sont développées sous l influence de quatre forces n étant pas forcément convergentes. 59 #61
8 Science & Devenir de l Homme Les Cahiers du M.U.R.S. 60 L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation L indépendance et le manque de transparence Le système d expertise est considéré comme trop dépendant des enjeux économiques et politiques. De fait, notre système technocratique est teinté de «néocorporatisme», et une partie des institutions d expertise (par exemple la Commission des Toxiques, qui est compétente en matière de produits pesticides en agriculture, a été mise en place il y a bien longtemps) avec une large place donnée dans leur composition aux représentants de la profession. Certes, les connaissances des professions sont souvent nécessaires à l analyse des risques, surtout lorsque l on s attache à évaluer les risques réels. Mais leur participation à des comités d experts pose un problème : elle ouvre la voie à la représentation des intérêts, et à un mélange des genres, pouvant conduire à une mise en avant des intérêts de certaines catégories sous couvert d arguments scientifiques. La démocratisation de l expertise Les demandes d information et de participation se sont peu à peu accrues. Au-delà de l expertise, c est un phénomène plus général, porté par une série de transformations en Europe, avec notamment la convention d Aarhus, qui introduit dans le droit les principes d information, de débat et de participation sur les questions environnementales. Le principe de précaution Les affaires des années 90 ont alimenté la construction du principe de précaution. Comment traiter l incertitude dans l expertise et les décisions réglementaires associées? Faut-il prendre en compte l incertitude? Comment et dans quelles situations? Faut-il au contraire s en tenir au risque avéré? La dimension internationale Le modèle français a dû tenir compte de la place de la France dans le monde et de l influence d accords commerciaux, en particulier dans le domaine du médicament, des aliments. Dans ce contexte, la France doit se doter d un système d expertise qui soit robuste en cas de désaccord vis-à-vis de partenaires économiques et commerciaux. Dans le domaine sanitaire, de nombreuses agences ont été créées sous le jeu de ces transformations. L Agence du Médicament en Europe a vu le jour au début des années 90. En France, la loi de sécurité sanitaire du 1er juillet 1998 a instauré le principe des agences en matière de sécurité sanitaire des aliments, en matière de santé environnementale L Etat a ainsi délégué l évaluation des risques. L expertise a par ailleurs été organisée clairement autour de plusieurs principes (compétence, indépendance et transparence). 3 eme trimestre 2009
9 Science et décision Cela ne signifie pas que les membres des grands Corps ne sont pas compétents, mais cela traduit en tout cas une nouvelle définition de la compétence. Quiconque veut participer à un comité d experts spécialisé de l AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) doit faire acte de candidature. L AFSSA va alors procéder à une vérification des publications scientifiques dans ce domaine. C est un changement majeur en termes d appréciation de la compétence puisque dans le modèle des grands Corps d Etat, la compétence était inhérente au statut de membre d un Corps. Désormais, c est une compétence universitaire, académique qui est mobilisée. Au plan de l indépendance, il convient de s assurer que les experts n ont pas partie liée aux acteurs pétitionnaires qui proposent un dossier. C est une évidence, qui amène cependant des situations extrêmement compliquées. L AFSSET 3, qui a été fortement contestée pour des avis rendus concernant la téléphonie mobile, au motif que certains des membres de ses comités d experts avaient eu, dans leur histoire, partie liée avec des opérateurs téléphoniques. Concrètement, comment associer compétence et indépendance? C est un sujet qui peut être insoluble. Prenons le cas de la formation du panel d experts à l OMC 4 pour statuer sur le différend en matière d OGM entre les Etats-Unis et l Europe : le principe a été posé qu aucun des experts ne devait avoir été membre des comités d experts des différentes parties. Cela est revenu ipso facto à exclure la participation des experts compétents. Quoi qu il en soit, ces principes sont importants et contribuent à la réorganisation du système. Au plan des procédures, il existe une norme AFNOR sur les bonnes pratiques de l expertise. J ai participé à l AFSSA à la production d un document d une centaine de pages consacré aux règles de bonnes pratiques internes à l expertise. Aujourd hui, les experts ne peuvent plus improviser, et doivent tenir compte des codes de bonnes pratiques et mettre en œuvre, les «bonnes procédures». Les q u e s t i o n n e m e n t s a u t o u r d e l e x p e r t i s e s u i t e à d i f f é r e n t e s crises sanitaires En Europe, nous sommes aujourd hui dans un entre-deux : une expertise validée et légitimée, en référence au mythe des faits parlants ; une croyance dans le fait que la participation du public permet de résoudre les carences du système de l expertise (le mythe participatif). Le mythe des faits parlants montre les limites d un modèle positiviste, limites de plus en plus apparentes dans l évolution du système d expertise aux Etats-Unis au cours des vingt dernières années. La référence 61 3 AFSSET : Agence française de sécurité sanitaire de l environnement et du travail 4 OMC : Organisation mondiale du Commerce #61
10 Science & Devenir de l Homme Les Cahiers du M.U.R.S. 62 L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation centrale aux risques avérés et aux risques calculables a des conséquences néfastes en matière d expertise sur les risques. Dans ce modèle, un risque n existe pas en l absence de connaissances scientifiques permettant de le caractériser. S y ajoute une carence de dispositif de débats sur la définition des problèmes. Enfin, faire d un risque avéré et calculable une référence centrale induit une manipulation stratégique de l incertitude, ce qui est très pratiqué aux Etats-Unis. Sur le climat, par exemple, vous trouverez toujours des experts, au MIT ou dans d autres institution prestigieuse, pour expliquer que la notion de température moyenne de la planète n a aucun sens au plan scientifique. De même que certains experts en diététique ou en nutrition vous diront qu il n existe pas de preuve entre l obésité et la consommation de barres chocolatées à tout moment. C est tout l objet de la «guerre de la science» aux Etats-Unis, avec une débauche d énergie, en particulier venant des lobbies industriels, pour produire de l incertitude. Cette attitude découle de l utilisation d un référentiel fondé sur le risque avéré : la mise en avant d éléments d incertitude, de contestation scientifique, affaiblit les travaux établis, avec un poids important, notamment parce que la jurisprudence va plutôt dans ce sens. Par ailleurs, le système de l expertise américaine est fragilisé par le fait qu il repose sur la rhétorique. Cela ne correspond pas à la réalité des faits, et peut faire douter du système. Les attentes sont fortes vis-à-vis de l expertise élargie, exposée dans l ouvrage «Agir dans un monde incertain» de Callon, Lascoumes et Barthe, au début des années Elle permettrait d améliorer la qualité des connaissances par un renforcement des points de vue, de la participation, de la discussion ; elle permettrait de renforcer la qualité de la démocratie, chacun se sentant plus concerné, s appropriant mieux les problèmes ; enfin elle permettrait d améliorer la qualité de la mise en œuvre par une plus grande implication des acteurs en amont. De nombreux sujets relevant de l action publique butent sur des caractéristiques de mise en œuvre. Pourtant, les principales tentatives d élargissement de l expertise amènent des résultats qui sont dans l ensemble décevants. Qui plus est, elles concourent à un risque d affaiblissement de la science, de manipulation stratégique de l expertise et à une forme de régulation molle. Des chercheurs qui s intéressent à cette question, comme Oliver Godard, nous invitent à prendre garde. Faut-il soumettre les résultats et préconisations du GIEC 5 à propos du climat à des débats publics? Une expérience est en cours sur ce problème, et il est d importance. A mon sens, ce serait une illusion de faire du débat public une fin en soi, et il faut au contraire réfléchir au pourquoi et au comment d une telle solution. 5 GIEC : Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat 3 eme trimestre 2009
11 Science et décision Je crois qu il faut avoir une démarche pragmatique et d expérimentation collective sur ces questions, sans confondre l ouverture à la société et l instauration de véritables dispositifs d exploration pour des questions complexes. L ouverture du débat au public, aux parties prenantes ne résout pas le problème, mais peut simplement y contribuer. Dans ce contexte, une nouvelle conception de l action publique est nécessaire. Les e n j e u x a u t o u r des transformations de l expertise Les Danois ou les Anglais ont une conception pragmatique de la participation du public, qui est considérée comme un outil, parfois utile, d autrefois non. En outre, il faut raisonner à partir d une palette d outils qui permettent d enclencher des processus pour différents publics. En France, en revanche, la question relève quasiment d une forme de religion. Notre culture politique de la représentation, au travers des corps intermédiaires, reste importante, ce qu explique très bien Rosanvallon. Ceci produit un terreau propice aux généralités, qui exclut la pragmatique. En l occurrence, il faudrait pourtant s intéresser aux types d expertise, et savoir pourquoi il peut être nécessaire, dans certains cas, de demander de l expertise à des profanes. Quand est-ce pertinent? Que faut-il entendre par expertise des profanes? Des collègues anglais ont élaboré un tableau périodique de l expertise, qui propose des modes d expertise en fonction des dimensions. On peut notamment distinguer une expertise contributive, portée par des individus capables de produire des connaissances dans un domaine, une expertise d interaction, portée par des individus ayant une capacité à estimer la qualité des connaissances produites Dans leur schéma, l expertise des profanes apparaît intéressante en cela qu elle permet de décadrer le problème par rapport aux institutions. Or l émergence d une vision «naïve» peut être essentielle dans un certain nombre de cas, dans la définition de problème, dans le processus de l expertise. De la même manière, beaucoup est à faire en matière de grammaire de la participation. La participation n est pas un processus univoque, elle relève de différents dispositifs, aux propriétés variées. Elles n associent pas les mêmes types d expertise, ne le font pas de la même manière. Les commentaires publics sont un dispositif qui est pourtant utilisé de manière systématique aux Etats-Unis, parce que cela figure dans le droit. Un rapport d une agence réglementaire n est définitif que lorsqu elle a reçu et pris en compte les commentaires publics dans son rapport final. A l occasion du rapport sur le clonage animal produit par la FDA, commentaires publics ont ainsi été établis, dont une centaine sont considérés comme substantiels ESB : encéphalopathie spongiforme bovine #61
12 Science & Devenir de l Homme Les Cahiers du M.U.R.S. 64 L expertise scientifique entre démocratisation et bureaucratisation Il ne faut pas confondre ouverture à la société et exploration. Sur certains sujets, les conférences de citoyens ne font pas du tout d exploration. Dans le même temps, on peut rencontrer des comités d experts qui considèrent leur action comme une exploration de l incertitude. Ce fut le mode de fonctionnement du comité dédié à la vache folle et aux ESB 6. Face à des situations complexes, incertaines et ambigües, le dépassement d une logique d expertise positiviste induit une nouvelle forme de temporalité. Il s agit en effet de travailler la définition du problème, mais aussi de fabriquer des connaissances dont on ne dispose pas, étant entendu que celles-ci non seulement ne vont pas nécessairement réduire l incertitude, mais vont parfois même contribuer à l accroître. C est là une expertise scientifique, au sens fort du terme, c est-à-dire une expertise ayant des attributs scientifiques, prenant en compte le doute scientifique, prenant en compte la réfutabilité des connaissances. Ce modèle génère en tout cas un problème sérieux pour les décideurs, et conduit à changer le système de décision. Les lois expérimentales sur les déchets nucléaires relèvent de cette forme de dispositif. En 1991, il a été convenu qu on ne pouvait pas décider sur ce sujet. En présence de trois options, un processus de recherche a été lancé, avec un point d étape en 2006, puis en La logique est pratiquement la même dans le domaine de l autorisation des médicaments : la frontière entre l avant-autorisation et l après-autorisation est de plus en plus ténue, et la pharmaco-vigilance, caractéristique de l après-autorisation, va permettre de produire des connaissances qu on n aurait pas pu produire avant l autorisation. D une certaine façon, on transforme ainsi la société en laboratoire d expérience. Cela suppose que l on accepte l incertitude résiduelle, ce qui n est pas simple, et qu il existe des formes politiques d encadrement. Il s agit d un enjeu collectif et politique essentiel, qui bute dans de nombreux cas sur les formes de l action publique contemporaine. Directeur de recherche à l INRA, Directeur de l Unité TSV (Transformations sociales et Politiques liées au Vivant) à Ivry/Seine et directeur du Comité de direction de l Institut Francilien Recherche Innovation et Société (IFRIS) 3 eme trimestre 2009
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