Chapitre 5 Introduction aux aérosols atmosphériques

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Chapitre 5 Introduction aux aérosols atmosphériques"

Transcription

1 1. Caractérisation d une population de particules 2. Formation et évolution des particules 3. Propriétés hygroscopiques 4. Composition des aérosols : exemple de bilan 5. Propriétés optiques Chapitre 5 Introduction aux aérosols atmosphériques 1 E.g. feux en Russie août 2010 Aérosol = particule solide ou liquide en suspension dans l air Regroupe de nombreuses particules de sources, compositions et tailles différentes!

2 2 Moyenne annuelle des concentrations de PM2.5 (particules fines) dérivé des observations satellitaires MODIS (AOD) (2002)

3 3 AOD Moyen observé par l instrument MODIS en Juillet 2005

4 4

5 5 Chap 5 Les aérosols atmosphériques Lien entre composition et taille des aérosols (Image: C. Leck)

6 6 5.1 Caractéristiques d une population de particules Formés par le biais de réactions chimiques Emis directement dans l atmosphère

7 7 5.1 Caractéristiques d une population de particules

8 8 5.1 Caractéristiques d une population de particules Distribution globale de composantes de l aérosol (Simulations globales) Sulfate Suie Organique Total

9 9 5.1 Caractéristiques d une population de particules Une grande variabilité:! - selon la taille:! - sels de mers près des cotes = grosses particules! - dust = grosses particules! - sulfates (SO4) = fines particules! - selon le lieu:! - au Sud: dust! - bord de mer: sels de mer! - au Nord: espèces carbonées! + en concentrations:! - selon la période de l'année! - selon les regions urbaines/rurales!

10 10 Chap 5 Les aérosols atmosphériques 5.1 Caractéristiques d une population de particules a) Aérosols primaires Particules émises directement dans l atmosphère Sources naturelles: particules minérales (e.g. désertiques) sels de mer cendres volcaniques cendres issues des feux de biomasse aérosols biologiques primaires (PBAP) Sources anthropiques: usure des pneus pots catalytiques + resuspension Tempête de sable en Méditerranée orientale"

11 Caractéristiques d une population de particules b) Aérosols secondaires Particules résultant de réactions chimiques en phase gazeuse (oxydation par l ozone ou les radicaux hydroxyles) ou ionique. Nucléation: processus de formation de nouvelles particules solides Différents processus physiques vont ensuite modifier les caractéristiques de la population (condensation, coagulation, etc.) Sels marins, dust

12 Caractéristiques d une population d aérosols c) Distribution en taille typique ultrafin" fin" grossier" accumulation" PM2.5 PM 10 " n S n N ( lnd P ) = N=number concentration (particles/cm 3 )" ds ( lnd P ) = d lnd P dn d(lnd P ) = πd p 2 n N (ln D P ) n V ( lnd P ) = dv d lnd P = π 6 D p 3 n N (lnd P )

13 13 Pourquoi s intéresse-t-on à la taille des particules? (1) Toxicité (2) Diffusion (3) Durée de vie λ=550 nm! (Seinfeld & Pandis) (Finlayson-Pitts & Pitts) (NARSTO, 2003) (4) Réactions à la surface

14 Formation et évolution des particules a) Nucléation Rapport de saturation Homogène homo-moléculaire hétéro-moléculaire Hétérogène # molecules" " ΔG S < 1 (sous saturée) ΔG* r crit r < r crit : les amas (embryons) s évaporent r > r crit : les amas grossissent par condensation S > 1 (sur saturée) r! Note: souvent négligé dans les modèles de qualité de l air

15 15 Evénement de nucléation observé en environnement urbain Banana plot " Gaydos et al. (JGR 2005)"

16 16 b) Coagulation Différents mécanismes de coagulation (fonction de leur taille ou du milieu dans lesquels ils se trouvent): Mouvement Brownien: processus thermique (le plus important) Collision lors d un écoulement: dynamique Ecoulement laminaire stable coagulation faible Ecoulement turbulent coagulation pourra être forcée et importante Sédimentation: dynamique

17 17 c) Condensation Mécanisme de fixation d une espèce gazeuse sur ou dans une particule => transfert entre phase gaz et phase solide ou liquide => modification de la composition chimique. Théorie == nucléation hétérogène Ici, le diamètre des particules est >> à celui des molécules gazeuses & coefficient de diffusion beaucoup plus faible. Processus Nombre Volume Nucléation Coagulation Condensation

18 18 Gaz Aérosols Nuage 0.1 nm 1 nm 10 nm 0.1 µm 1 µm 10 µm Temps caractéristiques:

19 19 Cf. cours dépôt

20 Propriétés hygroscopiques des aérosols Loi de Raoult 0 P H 2 O,SAT p A = γ A x A p A,sat x A fraction molaire dans la solution γ A le coefficient d activité 1 (mélange idéal) Pression de vapeur saturante sur une solution aqueuse de rapport de mélange de l eau x H2O Une atmosphère d humidité relative RH peut contenir à l équilibre des particules aqueuse dont le rapport de mélange de l eau est: x = P H 2 O,SAT H 2 O 0 = RH P H 2 O,SAT 100 Pour l équilibre entre un gaz et un aérosol au point de déliquescence, la particule aqueuse doit satisfaire les équations de solubilité et d électroneutralité (et somme des fractions molaires = 1): ( ) DRH = K s 1/ 2 P = x P 0 H 2 O,SAT H 2 O H 2 O,SAT eau Solution aqueuse Si RH<DRH, la particule est solide à l équilibre (peut rester à un état aqueux métastable).

21 21 Dans l atmosphère, les aérosols solubles et hydrophiles (principalement composante inorganique) grossissent par absorption et condensation de vapeur d eau lorsque l humidité relative augmente => modification de la composition, de la taille et des propriétés optiques des aérosols.

22 22 Humidités relatives de déliquescence/cristallisation

23 Exemples d aérosols secondaires

24 24 Formation de sulfate Formé à partir d acide sulfurique gazeux (H2SO4) H2SO4 a une pression de vapeur saturante très faible ; donc H2SO4 passe rapidement en phase particulaire Nucléation Condensation sur des particules existantes H2SO4 peut être neutralisé par l ammoniac (NH3) Sulfate d ammonium (NH4)2SO4 Bisulfate d ammonium NH4HSO4 Letovicite (NH4)3H(SO4)2 Formation de nitrate Formé à partir d acide nitrique gazeux (HNO3) HNO3 a une pression de vapeur saturante élevée ; donc HNO3 a tendance à rester en phase gazeuse HNO3 peut passer en phase particulaire Par dissolution dans une particule aqueuse (très faible quantité) Par réaction avec un autre composé, soit gazeux (NH3), soit particulaire (sels marins, particule calcaire) Cf. exercices TD 2NH 3 + H 2 SO 4 NH 4 ( ) 2 SO 4

25 25 Formation des aérosols sulfate-ammonium-nitrate Lois thermodynamiques! H 2 SO 4 (g) NH 3 (g) H 2 O H 2 O SO H + NH OH Le sulfate forme toujours une particule aqueuse! Lʼammoniac se dissout totalement dans lʼaérosol sulfate ou jusquʼà titration de lʼacidité! HNO 3 (g) H 2 O NO 3 + H + Le nitrate est intégré par lʼaérosol si (et seulement si) NH 3 est en excès après la titration du sulfate! NH 3 (g) + HNO 3 (g) NH 4 NO 3 (aerosol) Le HNO 3 et lʼexcès de NH 3 peuvent aussi former un aérosol solide si RH est faible! Condition ph aérosol Faible RH Forte RH [S(VI)] > 2[N(-III)] acide H 2 SO 4 nh 2 O, NH 4 HSO 4, (NH 4 ) (NH 4 +, H +, SO 4 2- ) solution 2 SO 4 [S(VI)] 2[N(-III)] neutre (NH 4 ) 2 SO 4, NH 4 NO 3 (NH 4 +,NO 3 - ) solution

26 26 Formation d aérosols organiques secondaires (AOS ou SOA en anglais)

27 27 Emission de composés volatils Produits d oxydation gazeux et aqueux Composés condensables Aérosols organiques secondaires Emission de composés semi-volatils Produits d oxydation gazeux et aqueux Produits de réactions particulaires Forte variabilité: spatiale saisonnière diurne interannuelle

28 28 (M. Camredon)

29 29 Exemple: Aérosols organiques secondaires à partir de COVs émis par la végétation Emissions Biogeniques " COVs " Réactions Oxydation" (OH, O 3,NO 3 )" Nucléation " (produit oxydation)" Croissance" Condensation sur des aérosols pré-existants" Plus de 500 réactions décrivent la formation de précurseurs de SOA, ozone, et autre polluants photochimiques (Griffin et al., 2002; Griffin et al., 2005; Chen and Griffin, 2005)

30 30 Isoprene (C 5 H 8 ) Monoterpenes(C 10 H 16 ) Sesquiterpenes (C 15 H 24 ) Anthropogenic SOA-precursors = aromatics (emissions are 10x smaller) "

31 Aérosol primaire ou secondaire? Le carbone suie (Black carbon, BC) est défini optiquement et comprend à la fois le carbone élémentaire (graphite) et la matière organique lourde absorbant la lumière Particule de BC fraichement émise Les moteurs diesel sont des sources importantes de BC

32 Hydrophobic BC resistant to scavenging coagulation gas condensation Aging time scale τ ~ 1 d Hydrophilic BC coated with sulfate, nitrate Emission Scavenging Implications for BC export from source continents: Hydrophobic BC aging aging long-range transport FREE TROPOSPHERE BOUNDARY LAYER scavenging OCEAN (D.Jacob, Harvard)

33 33 Le carbone organique (OC) issu de processus de combustion est généralement considéré comme un composé primaire dans les modèles mais il est en fait constitué de composés semi-volatils. Combustion Concentrations OC simulées en hiver: Données IMPROVE indiquées par les cercles Pye and Seinfeld [2010]

34 Exemples de bilan Exemple de bilan de masse pour des masses d air caractéristiques Bruit de fond naturel Zone péri-urbaine Proximité de rue Quel type de mélange?? core-shell

35 35

36 36 De nombreuses questions ouvertes Source manquante dans les modèles actuels? (Heald et al., 2005) Importance des composés semi-volatils?

37 Propriétés optiques des aérosols Interactions aérosols / rayonnement En diffusant le rayonnement solaire, les aérosols augmentent l albédo de la Terre. La diffusion atteint un maximum lorsque le diamètre de la particule = λ Particules de taille ~0.1-1 mm diffusent efficacement le rayonnement solaire.

38 38 Pouvoir d extinction du rayonnement donné par l indice de réfraction m=n-ik Dépend de la composition des aérosols et de la longueur d onde. Mélange homogène est une bonne approximation pour le calcul de l indice de réfraction. On a alors: Somme pondérée par la fraction massique L humidité relative doit également être prise en compte.

39 39 Diffusion et absorption Diffusion par les sulfates et les aérosols carbonés organiques audessus du NE des USA" Poussières désertiques partiellement absorbantes audessus du Sahara Aérosols absorbants (carbone suie, poussières) réchauffent le climat en absorbant le rayonnement."

40 40 Forçage radiatif directs du à différents types d aérosols anthropiques SO4 Black Carbon Biomass burning (BC & OC) Carbone organique

41 41 Forçage indirect par les aérosols: impact sur la formation des nuages Les nuages se forment par condensation sur des aérosols préexistants (CCN)" lorsque RH>100%" Nuage propre (peu de particules):" Grosses gouttelettes" albedo faible" précipitations efficaces" Nuage pollué (nombreuses particules):" Petites gouttelettes" albedo fort" précipitations supprimées "

42 Forçages indirects par les aérosols 42 Effets des aérosols sur le bilan radiatif IPCC ) accroissement des aérosols anthropiques augmentation initiale de la concentration des gouttelettes et diminution de leur taille pour une teneur fixe en eau liquide accroissement de l'albédo des nuages. 2) accroissement des aérosols anthropiques diminution de la taille des gouttelettes, réduisant la capacité de précipitation modifie la teneur en eau liquide ainsi que l'épaisseur et la durée de vie des nuages. 3) Effet semi-indirect: réchauffement local due à l aérosol absorbant évaporation des nuages.

43 43 Un exemple de forçage indirect par les aérosols: les traînées de condensation N ~ 40 cm -3 W ~ 0.30 g m -3 r e ~ 11.2 µm N ~ 100 cm -3 W ~ 0.75 g m -3 r e ~ 10.5 µm from D. Rosenfeld Particles emitted by ships increase concentration of cloud condensation nuclei (CCN) Increased CCN increase concentration of cloud droplets and reduce their avg. size Increased concentration and smaller particles reduce production of drizzle Liquid water content increases because loss of drizzle particles is suppressed Clouds are optically thicker and brighter along ship track

44 44 NASA, 2002 Atlantic, France, Spain AVHRR, 27. Sept. 1987, 22:45 GMT US-west coast

45 45 Aircraft condensation trails (contrails) over France, photographed from the Space Shuttle ( NASA).

46 46 Liens entre photochimie et pollution particulaire: importance des poussières désertiques en Méditerranée Plus de dust, moins d'ozone mais plus d'oxydes d'azote et particules.! Effet direct:" Les dust (magnésium et calcium) réagissent avec l'acide nitrique HNO3. Moins d'acide nitrique modifie la chimie gazeuse, le cycle de l'ozone avec une baisse notable des concentrations de O3.! Effet indirect:" Les dust augmente l'épaisseur optique, limitent le rayonnement en surface et donc la photochimie! Mesures au Mont Cimone (Italie) corrélant ozone et dust

47 47

48 Résumé équilibre gaz aérosol (solide /liquide) 1) On considère un seul gaz => S = p A,atm / p A,sat p A,sat : pression de vapeur saturante de A condensation sur particules préexistantes, si S>1, pour formation de nouvelles particules, il faut tenir compte de la tension de surface (Kelvin effect) 2) Formation de solutions binaires (idéales) => loi de Raoult p A = x A p A,sat S = p A,atm / x A p A,sat x A fraction molaire dans la solution 3) Formation de solutions aqueuses => loi de Henry K H = [A] aq / p A (pour solutions idéales, équivalence entre les lois de Raoult et Henry)

49 49 4) Equilibre gaz aérosol solide A g + B g AB s K AB = p A p B exemples : NH 3 + H 2 SO 4 -> (NH 4 )HSO 4 2 NH 3 + H 2 SO 4 -> (NH 4 ) 2 SO 4 NH 3 + HNO 3 -> NH 4 NO 3 Cas spécifiques : réactions supplémentaires dans la phase aérosol / eau rendant les pressions de vapeur saturante plus faibles / augmentant la solubilité : Dissociation des espèces en phase aqueuse (acides, bases) Déliquescence (hydratation) de l aérosol ex. de H 2 SO 4 p A,sat baisse très fortement, quasiment tout H 2 SO 4 dans phase aérosol Polymérisation des COV oxygénés dans l aérosol organique secondaire

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements

Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges

Plus en détail

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008

ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 ProSimPlus HNO3 Résumé des nouvelles fonctionnalités, décembre 2008 Cette page présente un résumé des derniers développements effectués dans le logiciel ProSimPlus HNO3. Ceux-ci correspondent à de nouvelles

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6

Perrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique

Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques :

Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement. A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : ANNEXE 7 Utilisation des 7 cartes d intensité jointes en annexe du règlement A- Protection d une construction vis-à-vis des effets toxiques : 1 carte est fournie pour l effet toxique : Carte N 1 «Taux

Plus en détail

Module HVAC - fonctionnalités

Module HVAC - fonctionnalités Module HVAC - fonctionnalités Modèle de radiation : DO = Discrete Ordinates On peut considérer l échauffement de solides semi transparents causé par le rayonnement absorbé par le solide. On peut également

Plus en détail

101 Adoptée : 12 mai 1981

101 Adoptée : 12 mai 1981 LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n

Plus en détail

Correction ex feuille Etoiles-Spectres.

Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Surveiller la qualité de l air avec les élèves

Surveiller la qualité de l air avec les élèves Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,

Plus en détail

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs

Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents

Plus en détail

Phénomènes dangereux et modélisation des effets

Phénomènes dangereux et modélisation des effets Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)

Plus en détail

Gestion moteur véhicules légers

Gestion moteur véhicules légers Module 8 Gestion moteur véhicules légers Orientation véhicules légers Diagnosticien d'automobiles avec brevet fédéral Orientation véhicules utilitaires Modules 7 à 9 Modules 10 à12 Modules 1 à 6 UPSA,

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium

Propriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique

Plus en détail

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président

Plus en détail

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton

Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France. Olivier Laguitton Bilan GES réglementaire d Eovi Mutuelle en France Olivier Laguitton Saint Etienne, le 18 février 2013 Contenu de la présentation Le contexte du développement durable Passage en revue de la législation

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique

Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université

Plus en détail

Jessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545

Jessica Dubois. To cite this version: HAL Id: jpa-00205545 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205545 Mesures de la charge électrique de gouttelettes d eau ou de solutions salines au cours de processus d évaporation, ou de condensation de vapeur d eau sur elles Jessica Dubois To cite this version: Jessica

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

LIDAR IPRAL (IPSL Hi-Performance multi-wavelength Raman Lidar for Cloud Aerosol Water Vapor Research)

LIDAR IPRAL (IPSL Hi-Performance multi-wavelength Raman Lidar for Cloud Aerosol Water Vapor Research) LIDAR IPRAL (IPSL Hi-Performance multi-wavelength Raman Lidar for Cloud Aerosol Water Vapor Research) M. Haeffelin, JC. Dupont (IPSL) V. Noel, C. Hoareau, L. Menut, C. Pietras, P. Delville, C. Cenac, F.

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine

SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes

Plus en détail

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012

Profils verticaux de la couverture nuageuse, de ses propriétés et des aérosols: données du lidar CALIOP et du radar CLOUDSAT (DARDAR) de 2006 à 2012 T1.3 (Tropics) Diurnal cycle of cloud cover in the tropical regions: combined use of geostationary satellite, A-Train measurements and lidar/radar ground station measurements. Coordination : G. Sèze (LMD)

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Titre : Emissions anthropiques d aérosols carbonés en Afrique en 2005 et en 2030 : élaboration d inventaires et évaluation

En vue de l'obtention du. Titre : Emissions anthropiques d aérosols carbonés en Afrique en 2005 et en 2030 : élaboration d inventaires et évaluation THÈSE En vue de l'obtention du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délivré par : Université Toulouse III - Paul Sabatier Discipline ou spécialité : Physique-Chimie de l Atmosphère Présentée et soutenue

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

Cofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014

Cofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement

Plus en détail

Questions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante :

Questions fréquentes. Citations des présentes questions : Lors de la citation d un groupe de questions, donner la référence suivante : Extraits du Rapport accepté par le Groupe de travail I du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat mais non approuvé dans les détails Questions fréquentes Citations des présentes

Plus en détail

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :

SP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution : SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant

Plus en détail

Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle

Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle 2009 NADICO Ltd. Germany www.nadico.de Le revêtement Titan Effect TE1022 améliorer la rentabilité des installations solaires

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

Enseignement secondaire

Enseignement secondaire Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

UNIVERSITÉ BLAISE PASCAL (UFR Sciences et Technologies) ÉCOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES N 600 THESE

UNIVERSITÉ BLAISE PASCAL (UFR Sciences et Technologies) ÉCOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES N 600 THESE N d Ordre : D. U. 199 UNIVERSITÉ BLAISE PASCAL (UFR Sciences et Technologies) ÉCOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES N 6 THESE Présentée pour obtenir le grade de DOCTEUR D UNIVERSITÉ Spécialité : Physique

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

SFEN. Groupe Régional des Hauts de Seine. Réunion du 27 avril 1993. Domus MEDICA - 75007 PARIS LE PLUTONIUM EN QUESTIONS LE PLUTONIUM

SFEN. Groupe Régional des Hauts de Seine. Réunion du 27 avril 1993. Domus MEDICA - 75007 PARIS LE PLUTONIUM EN QUESTIONS LE PLUTONIUM SFEN Groupe Régional des Hauts de Seine Réunion du 27 avril 1993 Domus MEDICA - 75007 PARIS LE PLUTONIUM EN QUESTIONS LE PLUTONIUM Brève présentation de ses propriétés nucléaires et physico - chimiques

Plus en détail

Bonnes pratiques bas-nox pour chaudières à biomasse.

Bonnes pratiques bas-nox pour chaudières à biomasse. Bonnes pratiques bas-nox pour chaudières à biomasse. Janvier 2013 Document réalisé grâce aux contributions de : S. PREAU, G.MARTIN (ATANOR) C. TOURNEBIZE, B. CHIEZE (COMPTE-R) T. ROGAUME (Institut PPRIME)

Plus en détail

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations

Plus en détail

l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton

l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton

Plus en détail

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30 Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

C3. Produire de l électricité

C3. Produire de l électricité C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres

Plus en détail

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»

Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait

Plus en détail

UNIVERSITE BLAISE PASCAL CLERMONT-FERRAND II (U.F.R. de Recherche Scientifique et Technique) ECOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES N : 391 THESE

UNIVERSITE BLAISE PASCAL CLERMONT-FERRAND II (U.F.R. de Recherche Scientifique et Technique) ECOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES N : 391 THESE Numéro d Ordre : D.U. 1443 UNIVERSITE BLAISE PASCAL CLERMONT-FERRAND II (U.F.R. de Recherche Scientifique et Technique) ECOLE DOCTORALE DES SCIENCES FONDAMENTALES N : 391 THESE présentée pour obtenir le

Plus en détail

LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement

LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement LSCE Laboratoire des sciences du climat et de l environnement octobre 2011 CONTACTS PRESSE : Service de presse de CEA - Tél : 01 64 50 16 49 presse@ceafr Service de presse du CNRS - Tél : 01 44 96 51 51

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE

Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Comment expliquer ce qu est la NANOTECHNOLOGIE Vous vous souvenez que tout est constitué d atomes, non? Une pierre, un stylo, un jeu vidéo, une télévision, un chien et vous également; tout est fait d atomes.

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction

Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Activité 1 : Rayonnements et absorption par l'atmosphère - Correction Objectifs : Extraire et exploiter des informations sur l'absorption des rayonnements par l'atmosphère terrestre. Connaitre des sources

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

Métrologie des particules PM 10 et PM 2.5. Caractérisation Chimique des Particules. Veille sur les études de sources.

Métrologie des particules PM 10 et PM 2.5. Caractérisation Chimique des Particules. Veille sur les études de sources. Métrologie des particules PM 10 et PM 2.5 Caractérisation Chimique des Particules Veille sur les études de sources Décembre 2009 Programme 2009 L. CHIAPPINI PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Cerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique

Cerea. Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Cerea Centre d enseignement et de recherche en environnement atmosphérique Laboratoire commun École des Ponts ParisTech / EDF R&D Université Paris-Est Le Cerea : une cinquantaine de chercheurs sur trois

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON

Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...

Plus en détail

Compte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy

Compte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur

Plus en détail

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS

Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

Les Aérosols au SIRTA : mesures et études

Les Aérosols au SIRTA : mesures et études Les Aérosols au SIRTA : mesures et études JC. Dupont, M. Haeffelin, C. Pietras, et al. Conseil Scientifique LMD, session AEROSOL, le 14/03/2014 CSLMD session Aérosols, 14 Mars 2014. Les Aérosols au SIRTA

Plus en détail

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation.

Le Soleil. Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil Structure, données astronomiques, insolation. Le Soleil, une formidable centrale à Fusion Nucléaire Le Soleil a pris naissance au sein d un nuage d hydrogène de composition relative en moles

Plus en détail

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation

La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation La modélisation, un outil pour reconstituer (et prédire) climat et végétation Quels rôles jouent les surfaces continentales dans le système climatique? Nathalie de Noblet-Ducoudré nathalie.de-noblet@lsce.ipsl.fr

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail