G4 : Tout ce qu il faut savoir pour bien appliquer les nouvelles lignes directrices de la GRI
|
|
- Françoise Chénier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 fggsf G4 : Tout ce qu il faut savoir pour bien appliquer les nouvelles lignes directrices de la GRI Guide pratique d application de la G4 à l attention des utilisateurs Juillet 2013 Note préliminaire Les 3 objectifs du Guide pratique d utilisation de la G4 sont les suivants: Signaler les changements majeurs et les orientations-clés de le G4 et celles qu IRSE management a noté lors de la conférence de lancement de la G4 du 22 au 24 mai 2013 à Amsterdam, ainsi que dans les documents publiés par la GRI Faciliter l appropriation de la G4 par les organisations et leur faciliter l analyse des écarts à combler. G4 est bien plus qu une liste d indicateurs Livrer les interprétations et les recommandations de l Institut RSE management concernant G4 Ce guide n a ni la prétention ni la vocation d être 100% exhaustif sur l intégralité des changements et des nouveautés de la G4. Il n a pas pour but de remplacer le G4 ou d éviter sa lecture toujours très précieuse de la G4. Au contraire, l objectif est de faciliter l appropriation par les entreprises, et de leur permettre de rentrer plus facilement dans G4. La traduction des nouveaux indicateurs et des nouvelles indications G4 a été réalisée par l Institut RSE management. La publication des lignes directrices G4 en français est prévue pour novembre 2013).
2 Elaborer, valoriser LE REPORTING EXTRA-FINANCIER & RSE Institut RSE Management est un cabinet de conseil fondé en 2010 par Patrick d Humières, spécialisé dans le reporting extra-financier, l application de la loi Grenelle 2, art.225 et dans l accompagnement des reporting RSE conformes aux normes et attentes des parties prenantes. Sur tout ou partie du processus du reporting, l Institut RSE Management établit avec les entreprises un partenariat d accompagnement pour les aider à construire le reporting extra-financier qui sera le mieux adapté aux attentes de leurs utilisateurs et de leurs parties prenantes. Nous apportons des méthodes et compétences pour assurer la fiabilité et l utilité de ce reporting. L institut RSE Management publie également régulièrement des notes d analyse, dont : Le Guide du reporting RSE 2012 (350 euros HT) Vérification réglementaire : vers plus de fiabilité dans l information extra-financière (disponible en ligne sur le site de l Institut RSE) Comment rapprocher utilisateurs et émetteurs d'informations extrafinancières pour valoriser le reporting RSE? (disponible en ligne sur le site de l Institut RSE) Pour en savoir plus sur notre offre en conseil ou formation spécialisé dans le reporting extra-financier, téléchargez notre offre ou retrouvez-nous sur notre site internet Nous contacter : contact@institutrse.com / INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 2
3 A. Rappels sur la Global Reporting Initiative: la boite à outil internationale du reporting extra-financier Genèse et gouvernance de la GRI Les objectifs de la G Les liens entre la GRI et les grands référentiels de responsabilité sociétale La GRI est le référentiel de reporting le plus utilisé dans le monde... 8 B. Approche générale et schéma d ensemble des G C. Les nouveautés dans l esprit du reporting selon la G L analyse de la matérialité des enjeux porte toute la démarche de reporting La fin des niveaux d application (A/B/C) et l avènement du modèle de déclaration de la conformité («in accordance with») Le nouveau format de reporting de l approche managériale (DMA-Disclosure on Management Approach) D. Les nouvelles informations et les nouveaux indicateurs demandés Les nouveaux indicateurs de vigilance dans la supply-chain et d «achats responsables» Les nouveaux indicateurs de gouvernance La transparence sur la rémunération des dirigeants Les changements dans les indicateurs liés à l énergie, au changement climatique et aux émissions de gaz à effet de serre Les nouveaux indicateurs de lutte contre la corruption Les autres nouveaux indicateurs de performance E. Les autres rapports GRI publiés dans la foulée du G4 et les faits à signaler autour de la conférence d Amsterdam Les attentes-clés des parties prenantes par grand secteur d activité Les recommandations en matière de vérification extra-financière Les évolutions de la réglementation en matière de reporting extra-financier Analyse de reporting intégré et de rapports intégrés d après GRI F. Conséquences des G4 sur votre prochain reporting et votre prochain rapport G. Conclusion de Patrick d Humières, fondateur de IRSE management, directeur de la formation executive Entreprise Durable de l Ecole Centrale de Paris H. Annexe 1 : tableau complet des indicateurs G4 (avec signalement des changements vs GRI 3.1) I. Annexe 2 : nouvelles indications et nouveaux indicateurs de la G J. Annexe3 : Indications et indicateurs qui ont été revus de façon significative dans la G4 vs G IRSE/ Note d analyse G4/P. 3 INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite 9, rue Villersexel Paris contact@institutrse.com
4 K. Annexe 4 : indications et indicateurs G3.1 qui ont été supprimés dans la G L. Annexe 5: Méthodologie conseil et offre de formation de l Institut RSE management : retrouvez notre plaquette en conseil spécialisé en reporting extra-financier 80 INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 4
5 4. La GRI est le référentiel de reporting le plus utilisé dans le monde Les statistiques sont claires : les lignes directrices de la GRI s affirment continuellement, d année en année, comme les «IFRS de la comptabilité extra-financière» : ü 2 rapports DD (Développement Durable) sur 5 publiés couvrant l année 2011 s appuyaient formellement sur la GRI et intégraient une table de correspondance ü Soit deux fois plus qu il y a cinq ans Ce qui ne tient pas compte des rapports qui utilisent des indicateurs GRI sans y faire spécifiquement référence INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 8
6 B. Approche générale et schéma d ensemble des G4 Légende : les 4 étapes de travail pour déterminer le contenu du rapport et du reporting selon la G4, expliqué par l Institut RSE Management INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 10
7 Les trois types d indications demandées dans la G4 et les changements majeurs par rapport à GRI 3.1 Premier type d indication de la G4 pour structurer le rapport et le reporting : les éléments d information sur l organisation (general standard disclosure) 7 grandes thématiques (cf page suivante, l encadré précise les 7 thématiques et les changements par thématique): Parmi ces 7 grandes thématiques, cinq ont faits l objet de changements et deux sont nouvelles : la partie gouvernance ainsi que la partie éthique et intégrité (voir pages du Guide) On dénombre 58 champs d informations en tout. C est la partie où la G4 s est la plus étoffée. Second type d indication : le reporting de l approche managériale (DMA Disclosure on Management Approach) Pour chaque enjeu («aspect» dans la terminologie G4), l entreprise explique, de manière qualitative généralement, sa politique, ses engagements, ses objectifs, ses plans d action, qui les pilote, qui contrôle leur efficacité, les ressources dédiées (cf. encadré ci-contre) Pour une analyse de ces changements, merci de vous reporter à la partie dédiée (voir pages 23-24) Troisième type d indications : les indicateurs de performance, au regard des enjeux (Performance Indicators) 6 grands piliers, sont déclinés en enjeux/aspects, auxquels sont rattachés les indicateurs de performance. Les nouveaux enjeux/aspects qui apparaissent dans G4 sont surlignés en jaune INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 12
8 STATISTIQUES SUR LA G4 ET LES CHANGEMENTS PAR RAPPORT A LA DERNIERE VERSION G3.1 Nombre %* Total du nombre d'indications & d'indicateurs de performance % demandés dans la G4 dont nombre d'indications et éléments d'information sur 58 39% l'organisation dont indicateurs de performance 91 61% Nombre de nouvelles indications et de nouveaux indicateurs 35 23,5% demandés dans G4 dont nombre de nouvelles indications et de nouveaux éléments 19 32,8% d'information sur l'organisation dont nombre de nouveaux indicateurs de performance 16 17,6% Nombre d'indications et d'indicateurs qui ont été modifiés / 20 13,4% revus de façon significative par rapport au G3.1 dont nombre d'indications et d'éléments d'information sur 10 17,2% l'organisation qui ont été modifiés / revus de façon significative par rapport au G3.1 dont nombre d'indicateurs de performance qui ont été modifiés 10 11,0% / revus de façon significative par rapport au G3.1 Nombre d'indications et d'indicateurs qui ont été supprimés 11 par rapport au G3.1 dont nombre d'indications et d'éléments d'information sur 4 l'organisation qui ont été supprimés par rapport au G3.1 dont nombre d'indicateurs de performance qui ont été 7 supprimés par rapport au G3.1 Nombre d'indications et d'indicateurs qui sont restés 94 63,1% identiques dont nombre d'indications et d'éléments d'information sur 29 50,0% l'organisation qui sont restés identiques par rapport au G3.1 dont nombre d'indicateurs de performance qui sont restés 65 71,4% identiques par rapport au G3.1 Nombre d'indications et d'éléments d'information requis pour 34 58,6% atteindre le niveau core Nombre d'indications et d'éléments d'information requis pour atteindre le niveau comprehensive % * : % exprimés en % du nombre total d indications et d éléments d informations demandés INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 14
9 C. Les nouveautés dans l esprit du reporting selon la G4 1. L analyse de la matérialité des enjeux porte toute la démarche de reporting Les objectifs majeurs recherchés en appliquant le test de matérialité : Prioriser. Il s agit d être sélectif, à travers un processus d entonnoir, qui part de l identification des enjeux (voir schéma en 4 étapes pour déterminer le contenu du rapport, page10) Déterminer l importance relative. Il ne s agit pas seulement d établir la liste des enjeux significatifs. Il s agit surtout de déterminer l importance relative. Autrement dit on ne répond pas seulement à la question «Est-ce un enjeu significatif?» mais on doit également répondre à la question «Quels sont les enjeux les plus significatifs?». Cela suppose de tracer un «seuil de matérialité» au-delà duquel un enjeu devient matériel Confronter les perspectives internes et externes (parties prenantes, analystes ) dans une approche d amélioration continue Equilibrer le contenu dans les rapports DD : les enjeux les plus matériels doivent être traités de façon détaillée alors que les enjeux peu matériels ou moins matériels peuvent être traités plus rapidement La définition de la matérialité et des enjeux matériels «Les enjeux matériels sont ceux qui reflètent les impacts économiques, environnementaux et sociétaux d une organisation ou qui sont de nature à influencer l opinion et les décisions des parties prenantes. Ces enjeux sont à inclure dans le rapport DD/RSE.» (définition pages 11 et 12 de la part 2 de la G4) Point essentiel : la notion de matérialité s apprécie au-delà d un certain seuil. Le «seuil de matérialité» n est pas absolu, il est relatif, et il doit être fixé clairement en amont par l organisation, selon son niveau d ambition. Les enjeux matériels sont donc ceux qui dépassent ce seuil de matérialité A noter que la matérialité s apprécie à l intérieur et à l extérieur de l organisation. Dans la définition et l explication des enjeux, l organisation doit préciser si l enjeu est matériel à l intérieur ou/et à l extérieur de l organisation La matérialité se cerne donc à travers 2 axes : L influence sur l opinion et les décisions des parties prenantes è c est une approche très externe («outside-in»). Comment mesurer l influence sur l opinion et les décisions des parties prenantes? Par un dispositif de veille (lois et INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 16
10 2. La fin des niveaux d application (A/B/C) et l avènement du modèle de déclaration de la conformité («in accordance with») Légende : Rappel de l ancien modèle des niveaux d application en vigueur dans les G3/G3.1, qui avait le mérite d être très clair et de fournir une base «obligatoire» de reporting pour les entreprises. G4 met fin à ce système afin d éviter les mauvaises interprétations du A+ (ce n est pas une note mais un degré de transparence) et de limiter l approche «cocher des cases» Comme prévu, le G4 met fin au système des niveaux d'application (A+/A/B/C), qui dépendait du niveau de transparence, du nombre d'indicateurs publiés dans le rapport DD de l'entreprise et de la vérification par un tiers externe d une partie des données publiées dans le rapport). Par conséquent, la distinction entre indicateurs de base ("core") et indicateurs supplémentaires ("additional") est supprimée dans la G4. Cette proposition avait fait couler beaucoup d'encre au moment de la publication du draft de la G4, notamment au sein des entreprises françaises. Les réactions avaient pointé du doigt un dispositif jugé: trop ambitieux (beaucoup d'indicateurs à publier, déclaration de conformité signée par le directeur général compliquée à mettre en place) inégal (peu applicable aux PME, par ailleurs, l obligation est plus vaste pour certains secteurs du fait de l'obligation de publier les indicateurs sectoriels dans le cas de l existence d un supplément sectoriel GRI voir les deux premiers suppléments sectoriels mis à jour avec la G4 : financial services & mining and metals) INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite IRSE/ Note d analyse G4/P. 20
11 F. Conséquences des G4 sur votre prochain reporting et votre prochain rapport Au final, les entreprises qui pourront affirmer être en conformité avec le nouvel esprit du reporting extra-financier selon la G4 seront celles qui surmonteront ces 4 défis majeurs, que peu d entreprises arrivent à résoudre pour l instant : Expliquer comment (et avec qui) l entreprise identifie et estime l impact des enjeux RSE, et en particulier : La méthodologie détaillée utilisée, quantitative (quelles analyses chiffrées viennent étayer les hypothèses et les analyses) et qualitative (tendances, observations d experts) Comment les parties prenantes sont associées à ce processus Comment les enjeux sont hiérarchisés de façon relative (c est-à-dire les uns par rapport aux autres) Le niveau de transparence affiché par l entreprise, en publiant la cartographie finale Rendre lisible la «carte d identité» de la société et de sa chaîne de valeur : Concrètement, quelles sont les activités gérées par la société Quelles sont les activités qui ne sont pas gérées par la société Comment les enjeux significatifs liés à la supply-chain sont gérés Comment les fournisseurs et les clients participent à la politique RSE et quelles sont les diligences raisonnables (due diligences) qui sont mises en place pour s assurer que les fournisseurs respectent les pratiques RSE du donneur d ordre Livrer succinctement les axes forts de la politique RSE, des engagements, des objectifs et des résultats atteints (cf. le nouveau format de DMA le reporting de l approche managériale) En évitant de trop s attacher aux initiatives à faible portée En distinguant les actions volontaires des actions réglementaires En analysant de façon approfondie les résultats extra-financiers et en expliquant comment surmonter les difficultés rencontrées Renforcer la transparence sur la gouvernance en matière de RSE et le niveau d appropriation interne Participation du conseil d administration / conseil de surveillance Rémunération variable pour les managers / top managers liés à l atteinte des résultats RSE IRSE/ Note d analyse G4/P. 41 INSTITUT RSE MANAGEMENT Toute reproduction interdite 9, rue Villersexel Paris contact@institutrse.com
12 H. Annexe 1 : tableau complet des indicateurs G4 (avec signalement des changements vs GRI 3.1) G4 GRI 3.1 core comprehensive nouvel indicateur indicateur supprimé (case barrée) indicateur modifié / revu Indicateur GRI ELEMENTS D'INFORMATION Stratégie et analyse G x x Déclaration du décideur le plus haut placé de l organisation (directeur général, président ou cadre dirigeant de même niveau, par exemple) sur la pertinence du développement durable pour l organisation et sa stratégie. G x Description des impacts, risques et opportunités majeurs Profil de l organisation G x x Nom de l organisation G x x Principaux produits et/ou services et marques correspondantes G x x Lieu où se trouve le siège de l organisation. G x x Nombre de pays où l organisation est implantée et nom des pays où soit l exploitation est majeure, soit les questions relatives au développement durable traitées dans le rapport s avèrent particulièrement pertinentes. G x x Nature du capital et forme juridique. G x x Marchés où l organisation opère avec répartition géographique, secteurs desservis et types de clients ou de bénéficiaires
Le pilotage et les outils du développement durable
Le pilotage et les outils du développement durable ANCI Création mars 2010 PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements Présentation du Groupe PRESENTATION DU GROUPE Les 4 engagements 4 engagements prioritaires
Plus en détailCatalogue des services intégrés
Responsabilité sociétale et reporting extra-financier Catalogue des services intégrés FORMATION, CONSEIL & ACCOMPAGNEMENT 2014 Pour en savoir plus Dolores.larroque@materiality-reporting.com Tel. 06 86
Plus en détailLa RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur
La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante
Plus en détailFACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES
L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION
Plus en détail4 avril. Formation IDSE 2012 10 mai 2012
4 avril 203 Formation IDSE 2012 10 mai 2012 La politique de responsabilité sociétale de Vivendi, enjeux et gouvernance Pascale Thumerelle Directrice de la responsabilité sociétale d entreprise (RSE) Webinaire
Plus en détailL INSTITUT RSE MANAGEMENT, LE CONSEIL EN REPORTING EXTRA-FINANCIER CATALOGUE DE FORMATION 2012
L INSTITUT RSE MANAGEMENT, LE CONSEIL EN REPORTING EXTRA-FINANCIER CATALOGUE DE FORMATION 2012 À L HÔTEL DE L INDUSTRIE PLACE SAINT-GERMAIN-DES-PRÉS 75006 PARIS Éditorial 2012 est l année de trois changements
Plus en détailSecrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel
Secrétariat permanent de la Plateforme 7 mai 2014 Martin Boekstiegel Traduction non officielle du texte diffusé fin avril 2014 par le Conseil du Développement Durable (Allemagne) dans le cadre de la consultation
Plus en détailCHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013
1 CHARTE RESPONSABILITE SOCIALE DE L ENTREPRISE MAJ : 2013 2 Groupama Asset Management s engage par le biais de cette présente Charte à appliquer et promouvoir une politique de Responsabilité Sociale de
Plus en détailÉtude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS
Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations
Plus en détailCommentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative
Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires
Plus en détailLes obligations responsables, opportunités pour l entreprise, fondées sur l excellence du
.... D U R E P O R T I N G A L A P E R F O R M A N C E E X T R A - F I N A N C I E R E a v e c l a m é t h o d e e c o v a l u e Rencontre R3 Les obligations responsables, opportunités pour l entreprise,
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailGuide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 Engagements RSE dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication
MEDEF - ORSE octobre 2014 Guide sur les initiatives RSE sectorielles Fiche n 6 dans le secteur des industries électriques, électroniques et de communication Fédération des Industries Electriques, Electroniques
Plus en détailperformance environnementale Synthèse Décembre 2013 Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france
Étude réalisée en partenariat avec Immobilier tertiaire et performance environnementale Analyse de la demande de bureaux «verts» EN ile-de-france Synthèse Décembre 2013 Ce document synthétise les principaux
Plus en détailArticle225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014
Article225: Guide sectoriel CNCC Audition plateforme RSE, 20 février 2014 Jean-Michel Silberstein Délégué Général CNCC Christophe Garot CNCC UNIBAIL-RODAMCO Le CNCC Le CNCC, Conseil National des Centres
Plus en détailQuestionnaire Entreprises et droits humains
Membres du Avec & Asset Management Questionnaire Entreprises et droits humains 1 2 Présentation des organisations Le CCFD-Terre Solidaire est la première association française de développement. Elle a
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE
LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE TABLE DES MATIÈRES PRÉFACE 3 1. OBJECTIF DES LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING 5 2. UTILISATION DES LIGNES DIRECTRICES 2.1 Les Lignes directrices
Plus en détailCharte Mutuelle Existence
Charte Mutuelle Existence Développement Durable Développement Durable Environnement - Social - Économique Sommaire Définition du Développement Durable p. 2 Nos valeurs et nos engagements p. 3 Charte Sociale
Plus en détailAnnexe A : tableau des Indicateurs GRI
Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement
Plus en détailVotre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels
Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels La majorité des organisations comptent sur les voyages d affaires pour réaliser leurs objectifs opérationnels, qu il s agisse de
Plus en détailwww.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient»
www.pwc.fr Risk Assurance & Advisory Services Pour un management des risques performant et «résilient» C est sans surprise que dans la dernière enquête «CEO» de PwC, les dirigeants font état de leurs préoccupations
Plus en détailCet index de la GRI constitue le complément du rapport sur la Responsabilité sociale d'entreprise (RSE) 2014 de Rogers.
Cet index de la GRI constitue le complément du rapport sur la Responsabilité sociale d'entreprise (RSE) 2014 de Rogers. L index suivant offre un aperçu du rapport sur la RSE de Rogers quant aux lignes
Plus en détailCM-CIC Actions ISR. CM-CIC Actions ISR Code de Transparence AFG / FIR / EuroSif. 1. Données générales
L Investissement Socialement Responsable est une part essentielle du positionnement stratégique et de la gestion du fonds commun de placement. Présent dans la gestion éthique depuis 1991, CM-CIC Asset
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailTROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE
TROPHEE RSE DE LA PROFESSION COMPTABLE 2014 CATEGORIE MEILLEURE DEMARCHE RSE Nom de la société : Adresse : INFORMATIONS GÉNÉRALES N téléphone : Adresse de messagerie : Etablissement(s) secondaire(s) ou
Plus en détailSTRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI
STRATEGIE, GOUVERNANCE ET TRANSFORMATION DE LA DSI NOTRE EXPERTISE Dans un environnement complexe et exigeant, Beijaflore accompagne les DSI dans le pilotage et la transformation de la fonction SI afin
Plus en détailADEME : Colloque Produits Verts. Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat
ADEME : Colloque Produits Verts Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat Juin 2008 Une solution dédiée à vos achats responsables
Plus en détailFormation de dirigeant de PME
Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise
Plus en détailPré-diagnostic du Développement Durable
Pré-diagnostic du Développement Durable à l usage des PME-PMI et Autres Entreprises Le présent questionnaire a été réalisé par le groupe Développement Durable de l AUEG qui comprenait des membres d entreprises,
Plus en détailNotre expertise au service des personnes morales
ENTREPRISES Associations placements gestion sous mandat Notre expertise au service des personnes morales entreprises associations fondations mutuelles Sommaire introduction 3 qu est-ce que La gestion sous
Plus en détailComment intégrer les risques ESG aux dispositifs de maîtrise des risques opérationnels?
Guide pratique Comment intégrer les risques ESG aux dispositifs de maîtrise des risques opérationnels? Avril 2012 Observatoire de la Responsabilité Sociétale des Entreprises 25 rue du Charolais - 75012
Plus en détailLa réponse aux enjeux des RH du 21 ème siècle
La réponse aux enjeux des RH du 21 ème siècle Comment répondre aux nouveaux enjeux des DRH du 21 ème siècle? Besoin n 1 : innover et développer de nouveaux usages métier en décloisonnant les différents
Plus en détailVotre étude de Matérialité. en ligne. Découvrez toute notre gamme de solutions online. MAT ERIALI T Y-Reporting,
Votre étude de Matérialité en ligne by MAT ERIALI T Y-Reporting, Experts en reporting extra-financier GRI-G4 Découvrez toute notre gamme de solutions online A quelques clics de votre matrice de matérialité
Plus en détailL Indice Carbone Casino, le premier étiquetage environnemental complet en France
- Communiqué de presse - 11 juin 2008 L Indice Carbone Casino, le premier étiquetage environnemental complet en France Casino poursuit son engagement en faveur du développement durable en lançant le premier
Plus en détailLes indicateurs du développement durable
Les indicateurs du développement durable (extraits de la première édition) Préambule L Association française de l assurance a publié en janvier 2009 sa Charte du développement durable, formalisant ainsi
Plus en détailComment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel???
Comment mieux évaluer les risques industriels par la mesure du capital immatériel??? GENERALI : Un acteur engagé et responsable FFSA 26/01/2010 " Le secteur de l assurance est concerné par tous les sujets
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailReporting RSE. Les nouvelles dispositions légales et réglementaires. Méthodologique
Méthodologique Reporting RSE Les nouvelles dispositions légales et réglementaires Comprendre et appliquer les obligations issues de l article 225 de la loi Grenelle 2 Sommaire 5 Première partie : Compréhension
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailLignes directrices G4 du GRI et ISO 26000 Pour une utilisation conjointe des lignes directrices G4 du GRI et de l ISO 26000
Lignes directrices G4 du GRI et ISO 26000 Pour une utilisation conjointe des lignes directrices G4 du GRI et de l ISO 26000 Responsabilité légale Si le Conseil d administration et le Secrétariat du GRI
Plus en détailLE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE
LE NOUVEAU REFERENTIEL NORMATIF ET DEONTOLOGIQUE DU PROFESSIONNEL DE L EXPERTISE COMPTABLE Septembre 2011 Page 1 Au sommaire Préambule Le nouveau référentiel sur la forme Le nouveau référentiel sur le
Plus en détailALDEA ET SYSTEMES D INFORMATION
ALDEA CONSEIL EN ORGANISATION ET SYSTEMES D INFORMATION 30 avenue du Général Leclerc 92100 Boulogne-Billancourt Tel : +33 1 55 38 99 38 Fax : +33 1 55 38 99 39 www.aldea.fr ALDEA - Conseil en Organisation
Plus en détailEnquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires
Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailEnquête d image des Verts neuchâtelois : Conférence de presse du 23 juin 2010. Sommaire. 1. Présentation du projet...3. 2. Enquête de notoriété...
Sommaire Enquête d image des Verts neuchâtelois : 1. Présentation du projet...3 2. Enquête de notoriété...4 Conférence de presse du 23 juin 2010 3. Enquête d image (interne /externe)...6 4. Analyse de
Plus en détailLE GROUPE MACIF ET LA RSE
LE GROUPE MACIF ET LA RSE SOMMAIRE Présentation du Groupe MACIF, ses engagements RSE Quelle organisation, quelle prise en compte dans les pratiques internes Quelles réponses aux enjeux RSE dans le cœur
Plus en détailNotre façon d investir n est pas seulement une question d argent
Investissement Socialement Responsable Notre façon d investir n est pas seulement une question d argent banque de financement & d investissement / épargne / services financiers spécialisés a performance
Plus en détailPARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE
PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE Gouvernance du Système d Information Comment bien démarrer? Page 1 Soirée «Gouverner son informatique et sa sécurité : le défi des entreprises» CLUSIS / ISACA
Plus en détail1. CHAPTER LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE
1. CHAPTER 1 LIGNES DIRECTRICES POUR LE REPORTING DÉVELOPPEMENT DURABLE TABLE DES MATIÈRES 1. INTRODUCTION 4 2. UTILISATION DU GUIDE DE MISE EN OEUVRE 6 3. PPRINCIPES DE REPORTING 8 3.1 Principes de contenu
Plus en détailYphise optimise en Coût Valeur Risque l informatique d entreprise
Réussir le Service Management avec ISO 20000-1 Novembre 2007 Xavier Flez yphise@yphise.com Propriété Yphise 1 Introduction (1/2) Il existe une norme internationale sur le Service Management en plus d ITIL
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailInvestissements d Avenir Premier bilan du FSN PME, le Fonds Ambition Numérique, fonds dédié aux PME innovantes du domaine numérique,
MINISTERE DELEGUEE CHARGEE DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, DE L INNOVATION ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE COMMISSARIAT GENERAL A L INVESTISSEMENT C o m m u n i q u é d e p r e s s e C o m m u n i q u
Plus en détailLe Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale
Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les
Plus en détailL évaluation des risques au travail
L évaluation des risques au travail Un outil au service de vos politiques de prévention pour la santé et les RPS Connection creates value Le contexte Au cours des dernières années, la prise en compte des
Plus en détailBaromètre Novethic. Stratégies environnementales des principales foncières cotées à l aune des reportings
Baromètre Novethic 2014 Stratégies environnementales des principales foncières cotées à l aune des reportings L édition 2014 epuis les premières obligations de transparence, le reporting environnemental
Plus en détailIntroduction Big Data
Introduction Big Data SOMMAIRE Rédacteurs : Réf.: SH. Lazare / F. Barthélemy AXIO_BD_V1 QU'EST-CE QUE LE BIG DATA? ENJEUX TECHNOLOGIQUES ENJEUX STRATÉGIQUES BIG DATA ET RH ANNEXE Ce document constitue
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détailJanvier 2013 DOCUMENT PREPARATOIRE AU PLAN NATIONAL FRANCAIS DE DEVELOPPEMENT DE LA RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES (RSE)
Janvier 2013 DOCUMENT PREPARATOIRE AU PLAN NATIONAL FRANCAIS DE DEVELOPPEMENT DE LA RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES (RSE) SOMMAIRE INTRODUCTION... 4 I. UNE POLITIQUE VOLONTARISTE DE RSE COHERENTE
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailZOOM SUR. le métier du SFE. N 5 Janvier 2012. Un nouveau regard sur la stratégie opérationnelle de l industrie pharmaceutique
Un nouveau regard sur la stratégie opérationnelle de l industrie pharmaceutique N 5 Janvier 2012 Prochain numéro Mai 2012 ZOOM SUR le métier du SFE Magazine réalisé par l équipe de consultants du cabinet
Plus en détailA vos côtés en région Rhône-Alpes Accompagner vos projets Participer au développement de notre territoire
A vos côtés en région Rhône-Alpes Accompagner vos projets Participer au développement de notre territoire Notre volonté est d être au plus près de nos clients pour mieux les servir, en s inscrivant au
Plus en détailDessinateur projeteur en béton armé
Référentiel de Certification UNION EUROPEENNE Fonds Social Européen DSP REAC RC RF CDC Dessinateur projeteur en béton armé Libellé réduit: DPBA Code titre: TP-00314 Type de document: Guide RC Version:
Plus en détailEXPERTISE COMPTABLE ACCOMPAGNEMENT COMPTABLE ET FINANCIER AUDIT CONSEIL
EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT ET FINANCIER CONSEIL présentation Implanté en plein cœur de Paris, le cabinet Exalys Audit & Expertise est un cabinet d expertise-comptable pluridisciplinaire, intervenant auprès
Plus en détailPourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?
Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle
Plus en détailFormation «Système de gestion des documents d activité (SGDA)»
Formation «Système de gestion des documents d activité (SGDA)» **** Norme principale : - ISO 3030X : Système de gestion des documents d activité (SGDA) ; Normes Connexes : - ISO 15489 : Records Management
Plus en détailOptimisation de la gestion des risques opérationnels. EIFR 10 février 2015
Optimisation de la gestion des risques opérationnels EIFR 10 février 2015 L ADN efront METIER TECHNOLOGIE Approche métier ERM/GRC CRM Gestion Alternative Approche Technologique Méthodologie Implémentation
Plus en détailMASTER MANAGEMENT, SPECIALITE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DEVELOPPEMENT RESPONSABLE
MASTER MANAGEMENT, SPECIALITE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS ET DEVELOPPEMENT RESPONSABLE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : Management
Plus en détailCOMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT
COMMUNICATION SUR LE PROGRES GLOBAL COMPACT NOVEMBRE 2013 2 Le mot de la direction Lorsque nous avons fondé NEXEO, nous avions déjà une expérience significative du métier de la prestation intellectuelle
Plus en détailPromouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises
Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Nadine Richez-Battesti (Lest et Université de la Méditerranée) nrichezbattesti@wanadoo.fr
Plus en détailPourquoi nous avons créé Mirova
Par Philippe Zaouati, directeur général délégué de Natixis Asset Management et responsable du pôle d expertise Mirova. Pourquoi nous avons créé Mirova Directeur du développement et membre du comité exécutif
Plus en détailOctobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45
Baromètre Afci ANDRH Inergie 2013 sur la Communication Managériale 4 ème édition «L implication des managers dans une communication de proximité avec leurs équipes» Octobre 2013 Contact Inergie Toute publication
Plus en détailModèle Cobit www.ofppt.info
ROYAUME DU MAROC Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail Modèle Cobit DIRECTION RECHERCHE ET INGENIERIE DE FORMATION SECTEUR NTIC Sommaire 1. Introduction... 2 2. Chapitre
Plus en détailSopra Group communique sur l'incidence comptable de la distribution exceptionnelle en numéraire et de la distribution des actions Axway Software
Communiqué de Presse Contacts Relations Investisseurs : Kathleen Clark Bracco +33 (0)1 40 67 29 61 kbraccoclark@sopragroup.com Relations Presse : Virginie Legoupil +33 (0)1 40 67 29 41 vlegoupil@sopragroup.com
Plus en détailPrestations d audit et de conseil 2015
M. Denis VIROLE Directeur des Services +33 (0) 6 11 37 47 56 denis.virole@ageris-group.com Mme Sandrine BEURTHE Responsable Administrative +33 (0) 3 87 62 06 00 sandrine.beurthe@ageris-group.com Prestations
Plus en détailMASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE
MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE SPECIALISATION MANAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DURABLE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation
Plus en détailPlan d études du CAS SMSI Volée 2014
Plan d études du CAS SMSI Volée 2014 SIE Système d information d entreprise Crédits ECTS : 2 Périodes : 32 «Le module SIE a pour objectif de faire connaître les fondements théoriques du système d information
Plus en détailCommunication sur le progrès 2013 (CoP) SterWen Consulting
Communication sur le progrès 2013 (CoP) SterWen Consulting Introduction Notre engagement RSE SterWen Consulting adhère au Pacte Mondial des Nations Unies depuis 2009. A ce titre, SterWen Consulting soutient
Plus en détail«INTÉGRER NOTRE RÉSEAU, C EST DÉVELOPPER VOTRE ENTREPRISE EN TOUTE SÉCURITÉ»
«INTÉGRER NOTRE RÉSEAU, C EST DÉVELOPPER VOTRE ENTREPRISE EN TOUTE SÉCURITÉ» Présentation d ODE DIAGNOSTIC 3 De solides références qui nous font confiance 5 Une equipe de professionnels à votre service
Plus en détailCNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification
Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN
Plus en détailF RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur
F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet
Plus en détailPROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE
AVANT-PROPOS MISSION D EXAMEN LIMITE : UNE MISSION QUI CONSOLIDE LE ROLE DU PROFESSIONNEL AUPRES DE L ENTITE La mission d examen limité des comptes est une mission d assurance de niveau modéré, sur la
Plus en détailSynthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC
Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un
Plus en détailRecommandation concernant les produits financiers durables
Recommandation Recommandation concernant les produits financiers durables Recommandation aux membres de Febelfin concernant les critères minima pour les produits commercialisés comme «durables» ou «socialement
Plus en détailL éco-conception entre donneur d ordres et PME ou comment changer nos habitudes dans l évaluation des technologies en aéronautique Projet CORINE
L éco-conception entre donneur d ordres et PME ou comment changer nos habitudes dans l évaluation des technologies en aéronautique Projet CORINE EcoMundo, Fangcun ZHOU 1 Présentation du Projet CORINE Conception
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE LA CONFERENCE-DEBAT
RESONANCES HUMANITAIRES Samedi 06 Octobre 2007 11h 13h Espace CERISE, 46 Rue Montorgueil, Paris 2ème COMPTE-RENDU DE LA CONFERENCE-DEBAT «Les métiers du Développement Durable et de la Responsabilité Sociale
Plus en détailNote à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle
Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général
Plus en détailBaromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne
Baromètre Inergie-Afci 2012 de la fonction Communication Interne Contact Afci Aurélie Renard Déléguée Générale de l Afci arenard@afci.asso.fr Contacts Inergie Luc Vidal DGA Directeur associé pôle Opinion
Plus en détailEtude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs
Octobre 2014 Etude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs Méthodologie de l étude Étude réalisée auprès d un échantillon
Plus en détailNan MA Chine Consulting
Nan MA Chine Consulting Qui sommes-nous? Nan MA Chine Consulting est une société de conseils en stratégie, formation et traduction. Nous vous accompagnons pour maîtriser la culture chinoise, réussir vos
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailLes chartes de France Investissement
Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement
Plus en détailLe règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité
Le règlement REACH Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Impacts économiques, risques extra-financiers et opportunités pour les entreprises Résumé de l étude réalisée par EthiFinance,
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailCharte de contrôle interne
Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien
Plus en détailPOLITIQUE DE VOTE DU FONDS CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE CCR ASSET MANAGEMENT
Date de mise à jour : janvier 2010 POLITIQUE DE VOTE DU FONDS CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE CCR ASSET MANAGEMENT A titre indicatif CCR ACTIONS ENGAGEMENT DURABLE a pour objectif de réaliser une performance
Plus en détailQuiblier CONSEIL. Présentation de notre cabinet et de nos différentes solutions pour la gestion de vos Ressources Humaines
Quiblier CONSEIL Solutions Ressources Humaines sur-mesure Présentation de notre cabinet et de nos différentes solutions pour la gestion de vos Ressources Humaines Recrutement Evaluation Assessment center
Plus en détail