OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA

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1 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA

2 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 2

3 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 3

4 LES HOMMES 1) Dans chaque secteur de l activité (production, gestion, comptabilité etc), la qualité et la fiabilité du personnel est fondamentale. 2) De plus peut-on se développer en assurance Vie : a) sans Actuaire, b) sans gestionnaire d actifs, c) sans contrôleur interne. 3) l assurance est un domaine à forte valeur ajoutée, et la formation permanente des collaborateurs est une des clés de l optimisation et du développement. 4

5 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE GESTION LES OUTILS L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 5

6 LA GOUVERNANCE 1) l entreprise est dirigée par des collaborateurs honnêtes et compétents qui rendent compte. 2) les procédures écrites sont respectées : - une sélection médicale rigoureuse en accord avec la réassurance afin de maitriser la sinistralité en décès/prévoyance (voire par extrapolation en santé), - l utilisation et le respect des tables de mortalité pour une tarification des produits conforme aux notes techniques, 3) Un contrôle interne systématique et périodique est effectué, renforcé par des audits ponctuels (PM, marge de solvabilité, couverture des engagements, complétude des dossiers, délais et règlement des sinistres.). 4) Sont mises en place des règles de déontologie et d anti-blanchiment, à chaque niveau de l entreprise ainsi que la rédaction et le respect des chartes clients, anti-fraude.etc, 6

7 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 7

8 LES GESTION L importance des outils informatiques tournés vers le client. Automatiser au maximum afin de maitriser les frais généraux : 1) la production : Décentraliser les actes de production au plus près du client, automatiser le quittancement,.etc 2) Les traitements comptables (rapprochements automatiques de soldes, interfaçage avec la gestion..) 3) les fonctions Commerciales (outils de simulation), Quel doit être l investissement informatique, le prix d un logiciel vie coûtant au minimum entre 1.5 à 2 M et le cout informatique annuel ne devant pas dépasser les 3 % du CA en décès/prévoyance. 8

9 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 9

10 L ALM 1) L allocation d actifs doit permettre d assurer l adéquation entre la durée des engagements auprès des assurés (passifs) et la durée des actifs admis en représentation des dits engagements (actifs) tout en optimisant les rendements. 2) L environnement financier doit permettre l optimisation de l actif placé (plus values, revenus, volatilité, sécurité, liquidité..). Aujourd hui il est très difficile d effectuer une saine gestion Actif/Passif en zone Cima, avec la mise en adéquation entre la durée des engagements Vie et les rendements des placements sur la même période du fait de l absence de supports adaptés et des contraintes réglementaires. Quelles solutions pour diversifier les placements,et à quels couts? 10

11 L ALM 3 ) Doit-on assouplir les contraintes de localisation des actifs ou bien ouvrir la possibilité d externaliser une partie des placements? De nombreux contrats de capitalisation bénéficient encore de clause de rendement garanti et constituent un risque «d effet ciseaux» permanent en raison des rendements obtenus sur les placements et de leur durée de vie. 4) Sur le plan technique les outils les plus utilisés sont les progiciels Prophet, Moses, Life DFA ainsi que des logiciels internes. 11

12 Répartition de l actif des assureurs vie et mixtes en France 29% des actions détenues d par les assureurs sont étrangèresres 60% des obligations détenues d par les assureurs sont étrangères res grâce à l élargissement à la zone euro des possibilités s d investissementd

13 Affaires nouvelles : le boom des multisupports

14 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 14

15 LES MODELES L importance des outils permettant de mesurer la rentabilité des produits : 1) Mise en place de profit testings pour chaque nouveau produit, qui vont déterminer leur rentabilité en fonction d un certains nombre de données constatées et d hypothèses, 2) Mise en place et suivi de business models par produit, qui vont permettre de valider et/ou d actualiser les hypothèses initiales. 15

16 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 16

17 LA VALEUR INTRINSEQUE 1) Au delà du résultat et de l EVA, la valeur intrinsèque est le véritable élément d évaluation de la rentabilité d une activité en assurances de personnes. Le calcul de l embedded value doit porter sur le stock et les affaires nouvelles branche par branche et pour chaque produit. Sa sensibilité repose avant tout sur : -les taux de chute et les sinistres en décès, -les frais généraux constatés ou estimés rapportés au CA. Le détermination et la surveillance de la valeur intrinsèque permet de valider au sein d un seul modèle l ensemble des hypothèses retenues tant au niveau des profit testings que des business models. 17

18 LA VALEUR INTRINSEQUE 2) Le ratio de référence (EV actualisée/primes actualisées) est fixé généralement à 2 %. Actuellement en zone CIMA, peut on atteindre ce taux en capitalisation au regard des volumes traités, de la rentabilité des placements et des contraintes de rémunération? 3) Sur le plan technique les outils les plus utilisés sont le logiciel Moses ainsi que des progiciels internes (développés sous sas, access ) 18

19 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 19

20 LA MAITRISE DES FRAIS GENERAUX 1) Doit on privilégier le développement de l assurance Décès/prévoyance ou celui de la capitalisation en fonction des volumes de primes et amortir ainsi plus facilement les frais généraux correspondants? 2) le collectif doit il être privilégié par rapport à l individuel ( contraintes de de gestion, risque d impayés, frais de distribution.etc)? 3) Quels modes de distributions privilégier compte tenu de l étroitesse des marchés et de l environnement économique : le direct, les intermédiaires (agents et courtiers), La bancassurance, les agents commerciaux. En France la répartition 2006 du CA était de 62 % en bancassurance, 19 % par les agents et courtiers, 15 % par les réseaux salariés. 20

21 LA MAITRISE DES FRAIS GENERAUX 4) Le cout de la réassurance doit être maitrisé en calculant le seuil de rétention de la cédante en fonction de la sinistralité, des fonds propres, et du volume d affaires ( 3.5/5 M FCFA en moyenne sur la zone CIMA). En France les frais d acquisition représentent en moyenne 4.3 % des cotisations et les frais de gestions 0.3 % des provisions : Pour la capitalisation 2.9 % en acquisition et 0.3 % en gestion Pour les collectives vie 2.4 % en acquisition et 0.1 % en gestion Pour le décès 22.3 % en acquisition Pour les collectives décès 16.1 % en acquisition 21

22 L EFFET TAILLE : LES MARCHES CIMA Un marché très étroit pour un nombre important d acteurs ASSURANCES VIE MONDE AFRIQUE CIMA (14 pays) CA (milliards de $) 1973,7 27,8 0,205 % du PIB 4,3 3,3 0,15 22

23 OPTIMISATION DE LA GESTION D UNE COMPAGNIE D ASSURANCE VIE EN ZONE CIMA LES HOMMES LA GOUVERNANCE LES OUTILS GESTION L ALM PILOTAGE LES MODELES LA VALEUR INTRINSEQUE LES FRAIS GENERAUX LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE 23

24 LA SURVEILLANCE DU PORTEFEUILLE En décès/prévoyance, mise en place d outils de suivi de portefeuille sur : - Le taux de chute (En France la durée moyenne d un contrat décès/prévoyance est de l ordre de 7 ans), - Le taux d impayés, - La sinistralité. En France le ratio prestations/primes nettes en 2005 était de 30.8 % en individuelles et de 59.3 % en collectives. 24

25 CONCLUSION 1) Peut on parler d optimisation si à la base la taille critique n est pas ou ne peut être atteinte. La taille moyenne en France d une société vie est de 1 Milliard d de primes pour 8.3 milliards d d encours. Le CA vie s est élevé en 2006 à milliards d soit 8,6 % du PIB. 2) Peut on parler d optimisation sans contrôle interne et externe 3) L optimisation de la gestion doit enfin permettre d offrir les produits mais également les tarifs les mieux adaptés afin que l assurance de personnes devienne un véritable support de développement économique dans les pays de la zone CIMA. 25

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