CYTOLOGIE IFSI Françoise Charles-Pétillon Service de Cytologie, Cytogénétique, Biologie de la reproduction CHRU Brest

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CYTOLOGIE IFSI 2010. Françoise Charles-Pétillon Service de Cytologie, Cytogénétique, Biologie de la reproduction CHRU Brest"

Transcription

1 CYTOLOGIE IFSI 2010 Françoise Charles-Pétillon Service de Cytologie, Cytogénétique, Biologie de la reproduction CHRU Brest

2 CELLULE INTRODUCTION Fin XVIIème siècle R. Hoocke 1 ère observation d une cellule végétale microscope élémentaire (coupe de liège) 1858 Les cellules prennent naissance à partir d autres cellules : théorie cellulaire (Virchow) qui ne cessera de se développer Mendel bases théoriques de la génétique et de l hérédité. Microscopie électronique à transmission Microscopie électronique à balayage Structure hélicoïdale de l ADN Watson et Crick développement de la biologie moléculaire.

3 DEFINITION : plus petite unité élémentaire limitée par membrane plasmique exprimant les propriétés s du vivant : Synthétiser ses constituants Croître Se multiplier CELLULE Les plus simples : bactéries isolées ou en colonies Organisme supérieur = cités cellulaires : groupes cellules rassemblées (200 types cellulaires) vont se spécialiser, se différencier Constitution d un tissu (osseux, épithélial ), d un organe En cellules indépendantes (sanguines, sexuelles) Remplir des fonctions spécialisées Reliées communications intercellulaires

4 CELLULES : unités élémentaires TISSUS Épithéliaux Conjonctifs (tissus osseux et cartilagineux) Musculaires Nerveux Circulants ORGANES Estomac, poumon CELLULE APPAREILS Digestif, respiratoire ORGANISME

5 TECHNIQUES D ETUDE CYTOLOGIE : morphologie des cellules microscopique HISTOLOGIE : morphologie des tissus (organes) macro et microscopique. LESIONS ANATOMO-CYTOPATHOLOGIE 1) TECHNIQUES CLASSIQUES MICROSCOPIE PHOTONIQUE OPTIQUE (MO) G 1000 à Le µm unité habituelle (10 - ⁶m = 10 - ³mm) 1) Prélèvements cytologiques : cellules isolées, peu épaisses Raclage (FC U) : étalement sur lames fixation cytospray ou laque à cheveux coloration (Harris-Shorr)

6 TECHNIQUES D ETUDE Ponction organes ponction directe (ganglion, thyroïde, sein ) ou guidée par écho, scanner (poumon, pancréas, rein, médiastin ) étalement séchage à l air coloration (May-Grünwal-Giemsa MGG) Ponction séreuses : LCR, plèvre, péritoine, liquide articulaire (Tubes à bouchon rouge, flacons type copro ou ECBU) cytocentrifugation dépôts sur lames Coloration (MGG, Papanicolaou ) Technique rapide 1 à 2 heures.

7 TECHNIQUES D ETUDE 2) Prélèvements histologiques : biopsies, pièces opératoires fixation (formol) inclusion (paraffine) coupes /microtome (successives, sériées, fines) dépôts sur lames déparaffinage coloration (hématoxyline et éosine) Technique au minimum 36 heures.

8 VARIANTES : TECHNIQUES D ETUDE Coupe en congélation : examen extemporané Contraste de phase, lumière polarisée, fluorescence MICROSCOPIE ELECTRONIQUE (ME) : nm (10-9 m ou 10-3 mm). 2) AUTRES TECHNIQUES IMMUNOHISTOCHIMIE : marquage par AC CYTOMÉTRIE DE FLUX : marquage de milliers de cellules en qqs mn HYBRIDATION IN SITU : mise en évidence de séquences d ADN FISH : fluorescent in situ hybridation PCR : polymerase chain reaction

9 ARCHITECTURE CELLULAIRE Cellule = ensemble ordonné de macromolécules La matière vivante : quatre éléments de base : H, C, O 2, N largement représentés éléments en Q. plus faible : fer, soufre, phosphore très importants éléments sous forme de traces : oligo-éléments (Zn, Cu, Mn) Les constituants de la cellule : Eau (60 à 65 % poids du corps) Sels minéraux : peu solubles (squelette) : Ca++, Mg++, Ph ioniques (dissous balance ionique +++) : Na+,K+, Ca++, Mg++, Cl- Composés organiques (contenant du carbone)

10 ARCHITECTURE CELLULAIRE COMPOSES ORGANIQUES Protides Glucides Lipides Acides nucléiques Vitamines Protides +++ constituants principaux de la cellule Acides Aminés : éléments de base, 20 dt 9 essentiels (alimentation) Peptides : courts enchaînements d A.A. (insuline, Adréno C Trophic H ) Protéines : polypeptides nombre élevé d A.A. (hémoglobine, collagène ) rôle structural (membrane, récepteurs) rôle métabolique : fonctionnement cellulaire (enzymes, hormones)

11 Glucides : ARCHITECTURE CELLULAIRE Simples : monosaccharides ou oses (glucose, fructose, galactose) Complexes : polysaccharides : Holosides : 2 à 10 mol d oses : maltose (2 glucoses) saccharose (glucose + fructose) lactose (glucose + galactose). amidon, glycogène Hétérosides (Glycoprotéines, Glycolipides) source d énergie nécessaire au fonctionnement cellulaire : énergie immédiatement utilisable (glucose) énergie de réserve (glycogène) rôle dans la structure (glycosylation protéines, lipides)

12 Lipides : ARCHITECTURE CELLULAIRE Simples : acides gras Saturés (origine animale) Insaturés (origine végétale) Complexes : Phospholipides Glycolipides Stéroïdes (dérivés du cholestérol) réserve d'énergie (tissu adipeux) rôle dans la structure (membrane) rôle dans la synthèse hormones stéroïdes

13 Acides nucléiques : Nucléosides = base azotée e + pentose Nucléotides = base azotée e + pentose + ac.. Phosphorique Polymérisés : ARCHITECTURE CELLULAIRE ADN acide désoxyribonucléique (chromosomes : génome) ARN acide ribonucléique (synthèse des protéines) Libres : rôle +++ voies métabolites transfert d énergie chimique (Adénosine Mono Phosphate Cyclique, ADP, ATP) transport d électrons (Flavine Adénine Dinucléoside, Nicotinamide Adénine Dinucléotide ) voies de recherche, de nouvelles thérapeutiques

14 Vitamines : indispensables au fonctionnement cellulaire cofacteurs de réaction biochimique Vit B, C : hydrosolubles ARCHITECTURE CELLULAIRE Vit A, D, E, K : liposolubles Anti-oxydants : Vit A, D, C Les macromolécules cules sont réparties r dans la cellule

15 ARCHITECTURE CELLULAIRE ORGANISATION 3 compartiments : Membrane Noyau (caryos) Cytoplasme Cellule procaryote (bactéries, algues ) Taille de 1µm1 ADN et Ribosomes intra-cytoplasmiques Archéobactéries, bactéries de l extrême : 100, PH à 1, abyssales

16 Membrane plasmique Noyau Cytoplasme Taille de 5 à 50 µm ARCHITECTURE CELLULAIRE Cellule eucaryote : 2 compartiments interd 2 compartiments interdépendants sur le plan fonctionnel, sépars parée e du milieu extérieur par la membrane plasmique

17 Acaryote (virus) Un seul type d acide nucléique ADN ou ARN ARCHITECTURE CELLULAIRE taille de 50 nm ne font pas partie des êtres vivants pas de métabolisme propre se développe dans cellule hôte intégration du génome viral : mort de la cellule hôte transformation (cancer col utérus)

18 MITOSE : Phase de division INTERPHASE : Croissance et différenciation avec 3 phases : G1 variable S G2 G1 très longue = G0 prolongée : hépatocytes, thyréocytes toute durée vie : neurones CYCLE CELLULAIRE Vie des cellules se déroule d sur un MODE CYCLIQUE alternance mitose et interphase G1 très courte : cellules souches sanguines

19 MORT CELLULAIRE 2 MODALITES DE MORT CELLULAIRE de nature différente APOPTOSE naturelle programmée Indispensable au développement normal pas d inflammation NÉCROSE accidentelle Agressions (anoxie, ) réaction inflammatoire

20 INTRODUCTION Frontière de structure asymétrique : compartiment intra-cellulaire / milieu extra-cellulaire Double couche lipidique, protéines membranaires, glucides Principales fonctions : Barrière re de protection Transports membranaires : filtre sélectif (nutriments / déchets) Adhésion et antigénicit nicité de surface : reconnaissance du moi/non- moi MEMBRANE PLASMIQUE Communication intercellulaire : perçoit les modifications environnement et s y adapte : capteur de signaux

21 STRUCTURE MEMBRANE PLASMIQUE M.E. triple feuillet : 2 couches sombres et 1 claire (8 nm) Biochimie : mosaïque lipides-protéines et glucides 1. double feuillet lipidique 50%, phospholipides et cholestérol 2. protéines membranaires 50% P. intrinsèques transmembranaires fortement liées => Transport : Cx, transporteurs P. extrinsèques périphériques faiblement liées Enzymes Adhésion Forme cellulaire

22 STRUCTURE Biochimie : MEMBRANE PLASMIQUE 3 glucides : cell-coat. 2 à 3 %, cellule enrobée de sucres Face externe : longues chaînes fixées : G Protéines, G Lipides => Rôle dans l adhésion => Reconnaissance cellulaire (spz/ovule, cells système immunitaires/bactéries virus

23 MEMBRANE PLASMIQUE

24 STRUCTURE mosaïque fluide ASPECTS FONCTIONNELS 1 Barrière de protection 2 Adhésion - Antigénicité de surface : moi/non-moi 3 Communication intercellulaire 4 - Transports membranaires MEMBRANE PLASMIQUE Protéines flottent sur une mer de lipides Fluidité et déformabilité : Mouvements des lipides Mouvements des protéines

25 ADHESION MEMBRANE PLASMIQUE Entre elles et avec milieu extérieur / molécules spécifiques «velcro» CAM Cell Adhesion Molecule : entre les cellules SAM Substrate Adhesion Molecule : entre cellules et substrat Glycoprotéines : Immunoglobulines : Neural Cell Adhesion Molecule, cells sanguines Cadhérines : jonctions cellulaires, cells épithéliales, musculaires Sélectines : leucocytes, cellules endothéliales Intégrines : SAM

26 ADHESION Rôles : MEMBRANE PLASMIQUE Développement embryonnaire, cicatrisation, immunité Pathologie : anomalies des gènes codant pour ces protéines : malformation du SNC maladies A -immunes : auto AC contre cadhérine des jonctions épidermiques : lupus, pemphigus infection : permet fixation et pénétration agents pathogènes cancérologie : perte des cadhérines des cells K : migration des cells

27 ANTIGENICITE MEMBRANE PLASMIQUE Moi biologique = expression du génome Non moi = «étranger» système immunitaire tentera d éliminer Glucides du cell coat : reconnaissance cellulaire = théorie clef-serrure Antigènes = molécules étrangères => production d anticorps Ag Groupes sanguins A B : chaînes sucrées à surface hématies Ag carcino-embryonnaires : ACE marqueurs de la prolifération tumorale (Colorectal, S, B P) CA 125 (ovarien)

28 Repose sur : Jonctions intercellulaire de type «gap» Signaux électriques (Ts nerveux, musculaire) Molécules adhésion : CAM, SAM Signaux chimiques MEMBRANE PLASMIQUE COMMUNICATION INTERCELLULAIRE Cellule K échappe à la communication prolifération anormale

29 COMMUNICATION INTERCELLULAIRE modes SIGNAUX CHIMIQUES S. Endocrine : à distance Pancréas (insuline / circulation) Thyroïde C (calcitonine / Ca++) S. Paracrine : voisine estomac (gastrine) synapse neuro-musculaire gaps S. Autocrine : elle-même facteurs de croissance cells cancéreuses MEMBRANE PLASMIQUE Suivant la distance entre cellule émettrice et cellule réceptrice

30 COMMUNICATIONS INTERCELLULAIRES types de signaux Signal chimique hydrosoluble : Réponse rapide, courte MEMBRANE PLASMIQUE Ne traversent pas la membrane Nécessitent des récepteurs spécifiques Médiateurs Chimiques Locaux : F de crois., A.A. (histamine, sérotonine) Hormones : Insuline, ACTH, FSH, dérivés d A.A. (adrénaline) N Transmetteurs : NorA, AcCh, GammaAminoButyricAcid

31 MEMBRANE PLASMIQUE COMMUNICATIONS INTERCELLULAIRES types de signaux Signal chimique hydrosoluble schéma Adrénaline (M S): hormone de l adaptation à effort - froid - stress

32 Réponse tardive, longue durée Hormones thyroïdiennes MEMBRANE PLASMIQUE COMMUNICATIONS INTERCELLULAIRES types de signaux Signal chimique liposoluble : diffusion simple Fixation sur région ADN et régulation de la transcription gènes Hormones stéroïdes : cortisol, testostérone, estradiol, progestérone Signal chimique gazeux : diffusion simple Monoxyde d azote NO

33 MEMBRANE PLASMIQUE TRANSPORTS MEMBRANAIRES : 2 types de transport Cellule responsable maintien du milieu intra-cellulaire constant TRANSMEMBRANAIRES = Perméatifs : Petites molécules +/- énergie VÉSICULAIRES : Substances haut poids Moléculaires Déformation membrane + énergie

34 MEMBRANE PLASMIQUE TRANSPORTS MEMBRANAIRES TRANSMEMBRANAIRES Gradient de [ ] : différence de composition chimique entre Mx intra et extra cellulaire : [ ] différentes d ions et de petites molécules 1) Transport passif : dans sens gradient de [ ] du + concentré vers le moins concentré 1-1) Transport passif sans perméase Diffusion simple Petite taille molécules Absence de polarité Absence de charge 1-2) Transport passif avec perméase Diffusion facilitée Transporteurs passifs Canaux ioniques : Potentiel-dépendants : Na+, Ca++, Ligands dépendants : N T pr ACh Eau Oxygène Glucose

35 MEMBRANE PLASMIQUE 2) Transport actif contre gradient de [ ] Nécessite de l ENERGIE Couplé à ATPase : pompes ioniques Na+K+ Ca++ K+H+ C œur Muscle Estomac TT par IPP Couplé à un transport passif : co-transport : Système symport : Na+ passif/glucose actif Système antiport : Na+ passif/h+ actif

36 MEMBRANE PLASMIQUE TRANSMEMBRANAIRES Cau & Seité, ELLIPSES, 1999

37 MEMBRANE PLASMIQUE TRANSPORTS MEMBRANAIRES VÉSICULAIRES Mouvements de la membrane plasmique ENERGIE Transport grosses particules Formation vésicules, vacuoles Exocytose Endocytose Macrophages Phagocytose Pinocytose

38 TRANSPORTS MEMBRANAIRES 1) TRANSPORTS TRANSMEMBRANAIRES = Perméatifs petites molécules +/- énergie 1) Dans sens gradient de [ ] passif sans énergie Transport passif sans perméase : Diffusion simple Transport passif avec perméase : Diffusion facilitée Transporteurs passifs Canaux ioniques : Potentiel- Ligands dépendants 2) Contre sens gradient de [ ] actif avec énergie : pompes ioniques, co-tansport (symport, antiport) 2) TRANSPORTS VÉSICULAIRES : Substances haut poids moléculaire Déformation membrane vacuoles : exo endocytose phagocytose + énergie MEMBRANE PLASMIQUE

39 ELEMENTS SPECIALISES DE LA MEMBRANE PLASMIQUE 1)Spécialisations apicales : MEMBRANE PLASMIQUE Microvillosités :plateau strié, bordure en brosse, actine (entérocytes) Stéréocils (voies génitales chez l homme) Cils vibratiles (bronches, trompes) microtubules Ondulations de la membrane (puzzle)

40 ELEMENTS SPECIALISES DE LA MEMBRANE 2) Jonctions intercellulaires : cell coat, ondulations de membrane (puzzle), jonctions membranaires spécifiques Jonctions étanches ou serrées : étanchéité (Entérocytes) Jonctions d'ancrage : cohésion Ceinture d'adhérence Boutons-pressions ou desmosomes (Peau, Muscle cardiaque, col utérus) Jonctions communicantes ou "gap" : conduction Ions, sucre, petites molécules (Muscle cardiaque, muscle lisse) MEMBRANE PLASMIQUE

41 CELLULE Barrière de protection Transports membranaires Adhésion et Antigénicité de surface Communication intercellulaire

42 CYTOPLASME et ORGANITES 3 types d'organites délimitd limités s par une membrane Système endomembranaire Mitochondries Peroxysomes Cytosol (hyaloplasme) espace entre les organites Cytosquelette Protéines filamenteuses Ossature et musculature Inclusions Glycogène(foie, muscle), lipide (tissu adipeux, cells testiculaires), mélanine (peau, poils), hémosidérine, pigments exogènes (poussières, encre de chine)

43 CYTOPLASME et ORGANITES Inclusions : débris d hématies, hémosidérine, cristaux d hématoïdine

44 1) CYTOSOL : Gel aqueux ds lequel baignent tous organites Comprend : 85 % eau Protéines, AA Glucose ARN m, ARN t Ribosomes Matériaux pour fonctionnement Molécules pour énergie Carrefour métabolique m synthèse se et stockage sucres & lipides synthèse protéines CYTOPLASME et ORGANITES

45 2) CYTOSQUELETTE Assemblage de protéines filamenteuses. 3 types de fibres : microfilaments d actine, filaments intermédiaires, microtubules Rôle ds mouvement : musculature de la cellule Rôle de squelette : ossature de la cellule 1) MICROFILAMENTS D'ACTINE : abondants, rôle mécanique et moteur Dans toutes cellules, non spécifiques Rôle ds viscosité CYTOPLASME et ORGANITES Rôle ds mobilité (cellules, protéines, organites, endocytose, exocytose) Rôle ds mitose (formation de l'anneau contractile) Rôle mécanique (micro villosités, jonctions) Rôle ds adhésivité (fixation aux molécules d'adhérences cellulaires)

46 2) FILAMENTS INTERMEDIAIRES : rôle architectural. Spécifique Kératine (tissus épithéliaux) CYTOPLASME et ORGANITES Neuro-filaments (axones des neurones) Glial Fibrillary Acidic Protein GFAP (cellules gliales, cellules du SNP) Vimentine (cell. mésenchymateuses) Desmine (cell. musculaires lisses, fibroblastes) dans le nucléoplasme, FI nucléoplasmique : lamine

47 3) MICROTUBULES CYTOPLASME et ORGANITES Microtubules "instables" : polymérisation / dépolymérisation Rôle moteur (dynamique des chromosomes au cours de mitose) Rôle ds transport (mitochondries, vacuoles d'endocytose) Maintien de la forme des cellules différenciées Microtubules "stables" : Centres cellulaires (centrosome) Cils

48 CYTOPLASME et ORGANITES 3) SYSTEME ENDOMEMBRANAIRE Système complexe cavités, canalicules limités par membrane communiquant avec membrane plasmique : flux membranaire inter communicant 1 ENVELOPPE NUCLEAIRE 2 RÉTICULUM ENDOPLASMIQUE 3 - APPAREIL DE GOLGI 4 VESICULES, VACUOLES, LYSOSOMES

49 CYTOPLASME et ORGANITES SYSTEME ENDOMEMBRANAIRE cytoplasmique

50 3) SYSTEME ENDOMEMBRANAIRE 1 - RÉTICULUM ENDOPLASMIQUE : labyrinthe R. E. GRANULAIRE : REG RER 2 aspects /traduction ADN citernes aplaties ribosomes (= protéines + ARN r) Accolement temporaire CYTOPLASME et ORGANITES synthèse des protéines schéma (hépatocytes, cells sanguines ) Maillet, MASSON, 1995 RIBOSOMES Synthétisés ds le nucléole Libres ds le cytoplasme Accolés à la membrane

51 3) SYSTEME ENDOMEMBRANAIRE 1 - RÉTICULUM ENDOPLASMIQUE labyrinthe R. E. LISSE : tubes Synthèse et stockage des lipides membranes h. stéroïdes, cholestérol CYTOPLASME et ORGANITES (cells de Leydig, hépatocytes ) Détoxification cytochrome P 450 (cells foie, rein, intestin ) Tolérance drogue et alcool => modif. REL Maillet, MASSON, 1995 Stockage des ions Ca ++

52 CYTOPLASME et ORGANITES 3) SYSTEME ENDOMEMBRANAIRE 2 - APPAREIL DE GOLGI saccules + vésicules + tubes = dictyosome. Lieu de trafic Transformation des protéines Maturation et finition Synthèse & modif. glucides (G protéines : glycosylation protéines). Lieu d emballage :«étiquettes de destination» (Pro-insuline => insuline) Maillet, MASSON, VESICULES, VACUOLES, LYSOSOMES Vésicules (vacuoles) d exo ou endocytose stockage Lysosomes : enzymes digestives lytiques «système digestif»

53 CYTOPLASME et ORGANITES 3 VESICULES, VACUOLES, LYSOSOMES Vésicules (vacuoles) d exo ou endocytose stockage Lysosomes : enzymes digestives lytiques «système digestif»

54 Système endomembranaire Mitochondries Peroxysomes CYTOPLASME et ORGANITES 3 types d'organites délimitd limités s par une membrane

55 4) MITOCHONDRIES Production d énergie : ATP stockée «Centrales d énergie» Support de la respiration cell Morphologie : 2 membranes / 2 chambres Biochimie Membrane externe : pores, T. Passifs Membrane interne : crêtes. enzymes +++ (ATPsynthase, cytochr. P450) T. actifs ions Espace intermembranaire : chbre externe id cytoplasme ; H+ cytochr. C Matrice : chbre interne : CYTOPLASME et ORGANITES Génome (ADN mt, ARN, ribosomes mt) et Enzymes Maillet, MASSON, 1995

56 4) MITOCHONDRIES Fonctions Production d énergie ATP B oxydation des acides gras Cycle de Krebs Chaîne respiratoire Phosphorylation oxydative CYTOPLASME et ORGANITES 1 molécule de glucose : 36 ATP Mitochondries nombreuses ds cells actives (foie, muscle)

57 4) MITOCHONDRIES Autres fonctions Synthèse h. stéroïdes Rôle ds concentration Ca++ Rôle ds détoxification Rôle ds mort cellulaire CYTOPLASME et ORGANITES

58 5) PEROXYSOMES Enzymes Oxydases : utilisent O2 neutraliser substances toxiques Catalases : transforment peroxyde d hydrogène en eau Cytochrome P450 CYTOPLASME et ORGANITES Rôle ds production et dégradation de peroxyde d hydrogène Rôle ds détoxification (cells foie, rein) Consomment oxygène (mitochondries) CYTOCHROMES : Cytochrome C : protéines pr transport des e-e de la chaîne respiratoire Cytochrome P450 : enzymes des membranes des mitochondries, peroxysomes, du REL pour détoxificationd toxification

59 Ds toutes cellules. Hématies. Unique, parfois multiple Indispensable à la vie cellulaire et à la multiplication Contrôle activité cytoplasme Contient et conserve information génétique (génome) ASPECT DU NOYAU EN INTER-PHASE NUCLEOPLASME (id cytosol) ENVELOPPE NUCLEAIRE NUCLEOLES CHROMATINE NOYAU

60 NOYAU ENVELOPPE NUCLEAIRE 2 membranes Externe en continuité RE Interne : chromatine / FI lamina dense Pores : Molécules, ARN Maillet, MASSON, 1995 SYSTEME ENDOMEMBRANAIRE ENVELOPPE NUCLEAIRE RÉTICULUM ENDOPLASMIQUE APPAREIL DE GOLGI VESICULES, LYSOSOMES

61 NUCLEOLES 1 ou 2 Réseau de mailles : fibrilles grains d ARNr NOYAU Site d assemblage des ribosomes (pores) CHROMATINE Aspect morphologique (MO) fin réseau irrégulier Hetérochromatine : mottes (ADN spiralés, condensés) Euchromatine : espaces clairs (ADN non spiralés : replication ou transcription)

62 NOYAU CHROMATINE Aspect biochimique Chromosome dédoublé condensé métaphase 2 chromatides /centromère Double hélice d ADN : fibre nucléosomique Collier de perles : histones (protéines) ADN et histones Chromatine Condensée en chromatides

63 NOYAU CHROMATINE Aspect biochimique : enchaînements de nucléotides Nucléotides : union Phosphate («boulon») Sucre (pentose : désoxyribose) Base azotée Bases azotées Pyrimidiques : Cytosine Thymine Puriques : Adénine Guanine Liaisons hydrogènes : C G A T Complémentarit mentarité des bases Brin sens 5-3 Cau & Seité, ELLIPSES, 1999 Brin anti-sens 3-5

64 Au total : NOYAU Noyau contient ADN macromolécules fragmentées en plusieurs segments : chromosomes Contiennent et conservent l information génétique (génome) Au moment de la division cellulaire : une copie conforme de cette information transmise aux cells filles ss forme de chromosomes Au cours de l interphase, le noyau impose au cytoplasme la synthèse des protéines / «plan de fabrication» conforme à l information ds ADN

65 Interphase : chromatine croissance différenciation G1, S, G2 PHENOMENES DE MULTIPLICATION CYCLE CELLULAIRE Modifications de la cellule entre sa formation et sa division en 2 cells-filles identiques (génome) Cellules diploïdes : 46 chr Cellules haploïdes : 23 chr (Ovocytes, Spermatozoïdes) CYCLE CELLULAIRE : 2 étapes Mitose : chromosome division transmission intégrale de l information génétique

66 INTERPHASE PHENOMENES DE MULTIPLICATION G1 : Σèse ARN et protéines S : Réplication ADN & Σèse des protéines ADN polymérase /point initiateur : œil ou bulle de réplication G2 S G1 Fourchette de réplication : Y Déroulement des hélices Séparation de l ADN en 2 chaînes Matrice : modèle C G G A A T G2 : Σèse ARN et protéines 1ère SVT, HATIER, 1993

67 INTERPHASE PHENOMENES DE MULTIPLICATION REPLICATION : phase S SEMI-CONSERVATIVE Brin ancien et brin nouvellement synthétisé ORIENTEE Brin avancé : sens de l ouverture de la fourche de réplication, Brin retard : en direction opposée. POINTS DE CROISSANCE MULTIPLES

68 PHENOMENES DE MULTIPLICATION MITOSE Synthèse protéines très faible 4 phases Prophase : chr. spiralés, fuseau mitotique (centrioles Microtubules) Métaphase : plaque équatoriale Anaphase : migration des chromosomes le long des M T Télophase : anneau contractile, scission Cellules génétiquement identiques Après mitose, 3 éventualités : Maturation et mort cellulaire Nouveau cycle cellulaire : Phase G1 Maillet, MASSON, 1995 Phase de différenciation prolongée G0

69 PHENOMENES DE MULTIPLICATION Prophase fuseau mitotique Métaphase plaque équatoriale Anaphase migration chromosomes M T Télophase anneau contractile scission

70 PHENOMENES DE MULTIPLICATION MEIOSE 2 fonctions +++ Réduction de ½ stock chromosomes Brassage de l information génétique Division cell diploïde : 2n chromos. 4 cells haploïdes (4 gamètes) 1 chr de chaque paire 1ère division : réductionnelle r Tétrades Enjambement (crossing-over) Brassage intra chromosomique n chromosomes à 2 chromatides 2ème division : équationnelle Pas de réplication préalable Séparation des chromatides Brassage inter chromosomique n chromosomes à 1 chromatide Maillet, MASSON, 1995

71 PHENOMENES DE MULTIPLICATION MEIOSE gamétogen togenèse : Spermatogenèse Ovogenèse Ovogonies 1ère SVT, HATIER, 1993 Prophase de 1ère Division M bloquée jusqu à puberté Ponte ovulatoire : 1 seul ovocyte Oeuf

72 PHENOMENES DE MULTIPLICATION CYTOGENETIQUE étude du nombre, structure des chromosomes Caryotype 23 paires de chromosomes 5 groupes (taille, centromère, bras) 46, XX 46, XY Diagnostic anténatal natal (amniocentèse 14 ème SA) : conseil génétique - DPI Trisomie 21, 8, 13, 18 (3 Chr.) 47, XY T. gonosomique : 47, XXX / 47, XXY Monosomie : 45, X0 (Sme de Turner) Mucoviscidose : gène CFTR chr 7 Pathologie tumorale : ss typage lymphomes, PNET Maillet, MASSON, 1995 Génotype : patrimoine génétique g Phénotype : traduction du patrimoine

73 PHENOMENES DE MULTIPLICATION FACTEURS AGISSANT SUR LE CYCLE FACTEURS DE CROISSANCE ET INHIBTION Facteur de croissance épidermique (EGF) Facteur de croissance d origine plaquettaire (PDGF) Interféron β bloque effets mitogènes SUBSTANCES PERTURBANT CYCLE CELLULAIRE Sur les différentes phases du cycle : antimitotiques Bloquant phase G1 (méthotrexate) Bloquant phase S (cytosine, arabinoside) Bloquant phase G2 (ATB, antimétaboliques, agents alkylants) Bloquant phase M : fuseau mitotique (colchicine, vincristine) Action sur les chromosomes : Séparation défectueuse (tripaflavine) Fragmentation (ypérite, radiations ionisantes)

74 SYNTHESE DES PROTEINES Protéines indispensables structure et fonctionnement cellulaire Production des protéines dirigée / information génétique (noyau) Le «plan» protéines existe en langage codé 2 grandes étapes : TRANSCRIPTION : COPIE D'ADN EN ARN noyau (G1 G2) TRADUCTION : DE L ARN L EN PROTEINES cytoplasme CODE GENETIQUE : Correspondance entre les codons et les A.A. Protéines (phrases) enchaînement d A.A.(mots) 20 A.A. différents Gène = séquence de nucléotides d ADN codant pour une séquence d AA Segment d ADN portant instructions correspondant à chaine polypeptidique

75 CODE GENETIQUE Nucléotide : base + pentose + ac. Phosphorique ADN : Bases azotées Pyrimidiques : Cytosine Thymine Puriques : Adénine Guanine Liaisons hydrogènes complémentarité C G SYNTHESE DES PROTEINES A T

76 CODE GENETIQUE Lettres = 4 bases Mots = 20 A.A. Phrases = protéines Code génétiqueg = correspondance entre codons / A.A. Information génétique codée en 3 nucléotides successifs Codons : triplets 4³ : 64 codons 61 codons A.A. 3 codons signal d arrêt :TAA TAG TGA Codon départ d universel : ATG pour Méthionine. SYNTHESE DES PROTEINES Protéines commencent par même A.A. Méthionine

77 CODE GENETIQUE SYNTHESE DES PROTEINES ADN : Information génétique plan «codé» Protéines Gène : séquence nucléotides codant pour une séquence A.A. 10 à gènes exprimés/ : 10% ADN nécessaire pour coder protéines d une cellule

78 SYNTHESE DES PROTEINES I) TRANSCRIPTION : COPIE D'ADN EN ARN noyau A chaque génération milliers copies ARN à partir même segment d ADN Phases G1- G2 : chrtine décompactée ARN polymérase (promoteur) déroule ADN : une chaîne sera copiée Appariement bases Thymine = Uracile C G A U ARN monocaténaire 3 codons signal d arrêt TAA TAG TGA Codon départ universel : ATG ARN quitte le noyau (pores) ARNm 1ère SVT, HATIER, 1993

79 SYNTHESE DES PROTEINES I) TRANSCRIPTION : COPIE D'ADN EN ARN noyau ARN messager (nucl( nucléoplasme) ARN transfert (nucl( nucléoplasme) ARN ribosomal 50 % (nucléole) Complexes RiboNucléoProt oprotéiques ARN m et ribosomes = polysomes

80 Outils : ARN m ARN t (adaptateur) A.A. Ribosomes Énergie (ATP), enzymes SYNTHESE DES PROTEINES II) TRADUCTION DE L ARN L EN PROTEINES cytoplasme Traduction message génétique Ribosomes Étapes : Phase d initiation Phase d élongation Phase de terminaison

81 SYNTHESE DES PROTEINES II) TRADUCTION DE L ARN L EN PROTEINES cytoplasme Phase d initiation : signal AUG/UAC ARNt porteur de Méthionine sur ribosome Complémentarité anticodon/ codon ARN messager C G A U Phase d élongation : accrochage successif A.A. (ordre défini par ARNm) Phase de terminaison : 1 des 3 codons arrêt de synthèse UAA, UGA, UAG Libération chaîne polypeptidique Ribosomes accolés au RE ou libres 1ère SVT, HATIER, 1993

82 CODE GENETIQUE SYNTHESE DES PROTEINES 20 A.A. Insuline : 2 chaînes polypeptidiques 21 AA & 30 AA Collagène : 3 chaînes polypeptidiques 1050 AA Hémoglobine : 2 chaînes 141 et 2 chaînes 146 AA A.A. /plusieurs codons 1ère SVT, HATIER, 1993

83 Modifications post-traductionnelles Adressage SYNTHESE DES PROTEINES DEVENIR DES PROTEINES SYNTHETISEES Avec signal d entrée ds RE (par le flux membranaire) : enveloppe nucléaire, app de golgi (maturation et finition), lysozomes, membrane Sans signal d entrée ds RE : mitochondries, peroxysomes, nucléoplasme, membrane, système endomembranaire REGULATION DE LA TRANSCRIPTION 3 groupes d informations Génome propre à cellule (anomalie génétique malformation) Origine cytosolique : informations véhiculées par les échanges nucléo-cytoplasmiques Origine extracellulaire (récepteurs membranaires, intracellulaires)

84 SYNTHESE DES PROTEINES DIFFERENCIATION CELLULAIRE Acquisition par cellules d une spécialisation morphologique et fonctionnelle basée sur utilisation partielle du génome, différente d une cellule à l autre 10 à gènes exprimés/ : 10% ADN nécessaire pour coder protéines d une cellule Les cellules spécialisées n utilisent qu une seule partie de l information génétique différente d un tissu à l autre. Phénomènes de régulation : répression de certaines gènes ou activation d autres gènes (rôle facteurs de croissance, molécules d adhésion) Réversible ds certaines situations (cancer)

85 GENIE GENETIQUE SYNTHESE DES PROTEINES Depuis 25 ans : manipulations d ADN gènes codant pour 2 à 3 millions de protéines, 90 % du génome humain est décrypté Sonde moléculaire : instrument essentiel du génie génétique basé sur la complémentarité des 2 chaînes d ADN Génie génétique : technologie de l ADN recombinant : création nouvelles molécules et intégration dans organisme. Modifier programme génétique des cellules.

86 GENIE GENETIQUE Trangénèse : introduction ou inactivation d un gène Plantes transgéniques 1983 (tabac, tournesols), 1995 (tomates) colza, soja, maïs Création de médicaments : protéines rares ds la cellule produite à l échelle industrielle par tech. PCR facteur VIII (coagulation) hormone de croissance insuline SYNTHESE DES PROTEINES Séquençage du génome création de banques-bibliothèques d ADN «empreintes génétiques» : identité génétique de chaque individu (code barre). Fichier National des Empreintes Génétiques.

87 GENIE GENETIQUE SYNTHESE DES PROTEINES Clonage injection d un fragment d ADN particulier à partir d une cellule. Transfert du noyau d une cell embryonnaire ou adulte dans un ovocyte privé de noyau. Thérapeutique (cellules souches embryonnaires) but médical, autorisé ds certains pays (Chine, Corée sud, GB, Pays-Bas, Belgique, Suède) Cellules souches : cellules indifférenciées, qui peuvent s autorenouveller à l identique ou se différencier dans certaines conditions. Reproductif développement d un embryon sans fécondation jusqu à la naissance (pas autorisé) Thérapie génique remplacer un gène défectueux par une version normale

88 PHENOMENES ENERGETIQUES Production d énergie : caractéristique fondamentale organismes vivants Nutriments (glucose, ac. Gras, glycérol, AA)<= digestion aliments (glucide, lipide, protide) = source d énergie des cellules Au cours de mécanismes anaérobies et aérobies : E des nutriments est convertie en ATP. L E de ATP utilisée pour activités cellulaires : synthèse des protéines, transports membranaires actifs mouvements mécaniques réactions enzymatiques

89 PHENOMENES ENERGETIQUES Certaines cells n utilisent, comme source d E, que le glucose (hématies, cells nerveuses) A jeun : la satisfaction des besoins énergétiques est assurée à partir des réserves (glycogène : muscle, triglycérides : ts adipeux) Dépense énergétique est permanente, variable en fonction de l activité État d équilibre permanent (cellules détruites et remplacées) Métabolisme : toutes les étapes de transformation chimique Catabolisme : dégradation Anabolisme : édification de molécules (biosynthèse)

90 STOCKAGE DES NUTRIMENTS Une partie des nutriments immédiatement utilisée l autre mise en réserve et utilisée / besoins 1- EN POST PRANDIAL 1-1- Glucides : apportés au niveau intestinal, acheminés vers le foie (galactose et fructose transformés en glucose) Glucose : principale source d E utilisée, libéré ds circulation, alimente toutes les cellules, pour générer ATP Stockage : PHENOMENES ENERGETIQUES Triglycérides (tissu adipeux : 80à 85 % des réserves d E) Glycogène : glycogénogenèse (foie, muscle) Glycémie régulée par hormones (insuline, glucagon)

91 STOCKAGE DES NUTRIMENTS 1- EN POST PRANDIAL PHENOMENES ENERGETIQUES 1-2- Lipides : (chylomicrons) transformés en acides gras & glycérol, stockés en TG ds le tissu adipeux Rôle structural (membranes, hormones stéroïdes, sels biliaires) 1-3- Acides aminés : acheminés vers le foie : Synthèse des protéines plasmatiques (albumine), de la coagulation, de transport Transformés en corps cétoniques A.A par voie sanguine vers autres cellules (synthèse des protéines) Rôle structural (membranes, cytosquelette) et fonctionnel (enzymes) A.A en excès dégradés en ammoniaque et éliminés par reins (urée)

92 PHENOMENES ENERGETIQUES Foie et muscle jouent rôle +++ ds le stockage du glucose (glycogène). Foie seul organe à sécréter du glucose dans le sang. 2 - ETAT DE JEÛNE [glucose] baisse (principale source d E) 2 mécanismes se mettent en place Utilisation des réserves Glycogénolyse ds le foie (glucose immédiatement utilisé) Glycogénolyse ds muscles squelettiques (ac. Pyruvique puis glucose ds foie, puis ds circulation sanguine) Lipolyse (Ts adipeux : glycérol, converti en glucose ds foie : néoglucogénèse) Protéines dégradées (converties en glucose ds foie) qd jeûne persiste. muscle cardiaque

93 PHENOMENES ENERGETIQUES 2 - ETAT DE JEUNE [glucose] baisse (principale source d E) Épargne du glucose si le jeûne se prolonge Dans le cycle de Krebs (+ graisse et de protéines) L activité des cells nerveuses dépendantes du glucose, les autres organes réduisent leur oxydation du glucose au profit de celle des lipides.

94 MECANISMES DE PRODUCTION D'ENERGIE 1- GLYCOLYSE ANAEROBIE Dans le cytosol Ne consomme pas d oxygène Glucose transformé en Pyruvate 2 molécules ATP 2 - PHOSPHORYLATION OXYDATIVE Dans la mitochondrie Consomme de l oxygène Cycle de Krebs Rendement important 34 molécules d ATP PHENOMENES ENERGETIQUES

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Le trajet des aliments dans l appareil digestif.

Le trajet des aliments dans l appareil digestif. La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques

Plus en détail

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :

1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire : La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST

Banque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST 1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce

Plus en détail

Microscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire

Microscopie Confocale. Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Université Paris Descartes L3 - Licence Professionnelle «Industries chimiques et Pharmaceutiques Option Biotechnologie» Microscopie Confocale Principes de base & Applications en Biologie Cellulaire Bruno

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Univers Vivant Révision. Notions STE

Univers Vivant Révision. Notions STE Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,

Plus en détail

Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9

Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

L univers vivant De la cellule à l être humain

L univers vivant De la cellule à l être humain L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres

Plus en détail

Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre

Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534

École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique

Séquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

Respiration Mitochondriale

Respiration Mitochondriale Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire

Séquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences

Plus en détail

I. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie

I. La levure Saccharomyces cerevisiae: mode de vie LES LEVURES UE «levures» -5 avril: généralités (MN Simon) -6 avril: analyse génétique (MN Simon) -6 avril: Cycle cellulaire I: la réplication (E. bailly) -7 avril: Cycle cellulaire II: la mitose (E. Bailly)

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.

1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS

L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre

Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

NEUROPHYSIOLOGIE (2)

NEUROPHYSIOLOGIE (2) NEUROPHYSIOLOGIE (2) B - LE SYSTEME NERVEUX (SUITE) - NEURONES ET GLIOCYTES IV - LES NEURONES ET LES GLIOCYTES 1) OBJET DE LEUR ETUDE La NEUROPHYSIOLOGIE est l étude du fonctionnement du système nerveux.

Plus en détail

Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission

Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement.

Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?

Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

VI- Expression du génome

VI- Expression du génome VI- Expression du génome VI-1.- EXPRESSION DU GÉNOME- PRINCIPES GÉNÉRAUX DOGME CENTRAL Les gènes et l information génétique sont conservés sous forme d acides nucléiques La perpétuation à l identique de

Plus en détail

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE 4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine. Collège Français des Pathologistes (CoPath)

Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine. Collège Français des Pathologistes (CoPath) Moyens et objectifs de l anatomie pathologique en médecine Collège Français des Pathologistes (CoPath) Date de création du document 2011_2012 Sommaire 1 Historique... 3 2 Place de l'anatomie pathologique

Plus en détail

Guide PACES - 23/06/2010

Guide PACES - 23/06/2010 1 Guide PACES - 23/06/2010 Historiquement, la réforme de la PCEM 1 (pour 1 ère année du Premier Cycle des Etudes Médicales) a toujours fait débat, à savoir trouver la meilleure formule pour juguler l afflux

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par

Plus en détail

PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION

PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du

Plus en détail

Introduction générale

Introduction générale Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?

La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Dossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches

Dossier thématique. de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE. B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches Dossier thématique de la Fondation de l'avenir THERAPIE CELLULAIRE SOMMAIRE I Qu est ce que la thérapie cellulaire A - Approche de définition B - Cellules fonctionnelles, précurseurs et cellules souches

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice

Plus en détail

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux. 40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation

Plus en détail

SITUATION PROFESSIONNELLE

SITUATION PROFESSIONNELLE PÔLE Biologie et microbiologie appliquées Ergonomie-soins Sciences médico-sociales Animation et éducation à la santé Nutrition-alimentation Services à l usager SITUATION N 1 COMPETENCES C.2.2.1. Présenter

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée!

Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! imprimer la page Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! Philippe Froguel, directeur de l'umr 8090, Institut Pasteur de Lille La question du diabète est actuellement très préoccupante, partout

Plus en détail

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?»

«Peut-on jeûner sans risque pour la santé?» Le FIGARO du 21/10/2013, page 13 : Cet article est un document culturel qui témoigne à quel degré l establishment médical français ignore le jeûne. À mettre au frigo, pour le ressortir le jour où l'essai

Plus en détail

2015-2016. Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE

2015-2016. Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme ANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016 SudMédical Montpellier-Nîmes Établissement d Enseignement Supérieur Privé Espace Saint-Charles - 300, rue Auguste Broussonnet - 34090

Plus en détail

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles

Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles Contrôle de l'expression génétique : Les régulations post-transcriptionnelles http://perso.univ-rennes1.fr/serge.hardy/ utilisateur : biochimie mot de passe : 2007 L'ARNm, simple intermédiaire entre le

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Diagnostic biologique de la toxoplasmose

Diagnostic biologique de la toxoplasmose COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail