Sources de l innovation dans l industrie agroalimentaire en France : une étude empirique sur données individuelles de l enquête CIS3

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1 Jont Congress of the European Regonal Scence Assocaton (47 th Congress) and ASRDLF (Assocaton de Scence Régonale de Langue Françase, 44 th Congress) PARIS - August 29 th - September 2 nd, 2007 Local governance and sustanable development Sources de l nnovaton dans l ndustre agroalmentare en France : une étude emprque sur données ndvduelles de l enquête CIS3 Jhane RAHMOUNI et Messaoud ZOUIKRI (Équpe de recherche PROXIMITÉS, UMR SAD-APT, INRA) Résumé L objectf de cet artcle est de caractérser les sources de l nnovaton dans l ndustre agroalmentare en France. L analyse emprque menée, en utlsant les données au nveau de la frme de la trosème enquête communautare sur l nnovaton (CIS3), a perms de mettre en évdence, à l nstar de pluseurs secteurs ndustrels, que l nvestssement dans les actvtés de producton des connassances est un détermnant essentel de l nnovaton et de la productvté des entreprses de l agroalmentare. En outre, nous avons trouvé que l nnovaton de produts est lée aux sources nternes de connassances, telles que l engagement de l entreprse dans la R&D nterne, alors que la mse en œuvre des nnovatons de procédés dépend plus de l acquston de connassances externes (machnes, équpements, logcels etc.) et des lens tssés avec les fournsseurs et les clents. Mots clés : Sources de l nnovaton, ndustre agro-almentare, nnovaton de produt, nnovaton de procédé, Tobt généralsé Abstract Ths artcle ams at characterzng the sources of nnovaton n French agro-almentary ndustry. The emprcal analyss carred out, usng data from the thrd communty nnovaton survey (CIS3) at frm level, shows that the man determnant of nnovaton and productvty s the frms nvestment n knowledge producton actvtes. Moreover, a postve and sgnfcant mpact of nternal sources of knowledge (manly own nvestment n R&D) on product nnovaton, s found for frms that nnovate at least n ths feld. However, process nnovaton seems to depend more on acquston of external knowledge (machnes, equpment, software etc.) and on lnkages between frms, ther supplers and customers. Key words: nnovaton sources, agro-almentary ndustry, product nnovaton, process nnovaton, generalzed Tobt ADIS, Unversté Pars Sud 11. adresse : 54, boulevard Desgranges, SCEAUX Cedex. tel. 33.(0) mal : rahmoun_j@yahoo.fr IRISES, Unversté Dauphne. adresse : IRISES, Unversté Pars Dauphne, place du Maréchal de Lattre de Tassgny, Pars. tel. : 33.(0) mal : zoukr@yahoo.com 1

2 Introducton Face à un envronnement évolutf et ncertan, les entreprses réagssent en parte par la mse en place d accords de coopératon et de partenarat sous dfférentes formes, en vue de rédure le nveau d ncerttude. La ve économque se caractérse par une crossance remarquable des accords de coopératon. Lon d être un phénomène récent, la coopératon entre frmes demeure une réalté ncontournable et une pratque des années quatre-vngts dans le monde ndustrel. Une entreprse solée, sans partenares, ne peut pas persster dans un envronnement changeant et complexe. Entretenr des relatons de coopératon avec une ou pluseurs frmes lu permet d assurer, la créaton, l échange de ressources et surtout d assurer sa pérennté. Au-delà de leurs frontères, les frmes cherchent à tsser des lens pour partager ensemble des connassances et des compétences spécfques pour nnover qu elles n ont pas en étant solées. Elles multplent alors les accords de coopératon entre elles ou avec des nsttutons, restructurent leurs relatons avec leurs fournsseurs et leurs clents tout en se stuant dans un même espace ou dans des terrtores dfférents. Il s agt donc, d une coopératon où l nnovaton est plus au mons explotée collectvement, engageant dans sa producton des acteurs varés, formant ans des réseaux. Selon Loasby (1996), les relatons entre frmes d un même secteur, notamment (mas pas unquement) lorsqu elles sont géographquement proches, fournssent des opportuntés d observer et donc de dscuter, des façons alternatves de condure des entreprses smlares. En conséquence, elles permettent non seulement la crculaton des savors mas également la créaton de nouvelles dées à travers le rapprochement ou l assocaton de dfférentes nterprétatons. Il mporte de savor, s les entreprses nouent des relatons de coopératon avec dfférents acteurs locaux, tels que frmes, organsmes, pouvors publcs, fournsseurs, clents, soustratants, assocatons et nsttutons de tous types, afn de construre des compétences stratégques dont elles ont beson. Leurs ntégratons et leurs co-développements sont ndspensables pour les mettre en capacté de répondre à leurs enjeux. Le secteur prvlégé de l étude est l Industre Agroalmentare. Ce chox s explque par la place majeure occupée par les entreprses des IAA dans le système économque. Au nveau mondal, tout d abord, avec le rôle essentel qu elles jouent désormas dans l almentaton de la populaton. Au nveau franças, ensute, avec ) leur place détermnante dans les flères almentares et leurs lasons fortes avec les entreprses de la grande dstrbuton, ) leur poston essentelle au sen du système productf natonal, dont elles contrbuent largement à l excédent en termes de balance des paements. Par alleurs, ces entreprses entretennent des lens mportants avec d autres secteurs productfs et leurs poltques de coopératon, de partenarat et d allances sont partculèrement développées. C est justement le sujet de cet artcle, qu repose sur une analyse de type emprque menée au nveau de la France et dont l objectf est double : - revenr sur la noton d nnovaton, par ces dfférentes facettes, en appréhendant l nnovaton comme un processus de créaton et d nteracton. Chaque frme nnovante 2

3 et nteractve a plus de chance d évoluer dans un processus de coopératon avec le temps qu une smple entreprse tradtonnelle solée et fermée ; - caractérser les sources d nformaton moblsées dans le processus d nnovaton du secteur agroalmentare au nveau natonal. Cet artcle est organsé comme sut. Dans un premer temps, nous commenceront par reprendre les prncpaux éléments de défnton du concept nnovaton en défendant l dée que l nnovaton ncte les entreprses à coopérer en s nscrvant dans une logque de créaton de ressources et de connassances (pusque l objectf des partenares est la créaton d un nouveau produt ou procédé). Dans un deuxème temps nous mettrons en évdence les prncpales caractérstques de l ndustre agroalmentare, avant de présenter, dans une trosème parte, un modèle économétrque pour en dédure les dfférentes sources de connassances utlsées par les frmes de ce secteur pour nnover. Cec, nous permet d apprécer ndrectement les formes de coopératon exstantes dans cette ndustre dans le domane de l nnovaton. 1- Cadre théorque : éléments de défnton Le concept d nnovaton possède de multples facettes, elle concerne auss ben la recherche, la découverte, l expérmentaton, le développement, l mtaton ou l adopton de nouveaux produts, les nouveaux procédés que les nouvelles organsatons (Dos, Orsengo, 1988). L nnovaton est un phénomène complexe et dffcle à défnr et, donc, à mesurer. Schumpeter (1942), précurseur en matère de défnton de cette noton, précse et sort l'nnovaton de sa dmenson unquement technque. La défnton qu'l propose dstngue formellement l'nventon de l'nnovaton, la premère fasant parte du domane des technques et la deuxème étant valdée par le marché : l'entrepreneur qu prend le rsque de la nouveauté, puse dans le stock de savors nouveaux pour générer l nnovaton et s'assure de l'adopton de celle-c par le marché. Tout autre emplo ultéreur du même savor à une autre occason ne peut revêtr le statut d'nnovaton pusque celu-c est déjà applqué alleurs. Donc, même s pour Schumpeter l'nnovaton n'est plus unquement technque, on aboutt à une accepton qu en est relatvement restrente. Cette défnton de l'nnovaton peut être qualfée d'absolue, dans le sens où l'nnovaton correspond à un moment unque. Cette approche absolue fat que l'nnovaton représente une nouveauté pour l'entreprse mas auss pour l'ensemble des acteurs économques. L'nnovaton est alors nécessarement la premère ntroducton d'un produt ou d'un procédé absolument nouveau par rapport à toutes les pratques exstantes. Dans notre étude on se lmtera à présenter deux types d nnovaton, de produts et de procédés, fortement développées dans les ndustres agroalmentares : en se référant au Manuel d Oslo 1, les nnovatons de produts mplquent des caractérstques nouvelles ou sensblement amélorées du servce proposé au clent, les nnovatons de procédés portent sur l utlsaton de méthodes, de machne et/ou de compétences nouvelles ou sensblement amélorées pour fournr le servce, produre plus effcacement un produt exstant ou un nouveau produt. Ces deux types d'nnovatons ne sont pas exclusfs l'un de l'autre, ls vont même souvent de par, pusque la producton d'un nouveau produt amène fréquemment l'entreprse nnovante à mettre en place un nouveau procédé de producton ou à modfer un procédé exstant. L nnovaton est vue comme une ntroducton sur le marché d un produt (ben ou servce) nouveau ou sgnfcatvement modfé par rapport aux produts (bens ou servces) précédemment élaborés par l entreprse. La nouveauté ou l améloraton se 1. Manuel d Oslo, 3 éme édton: Prncpes drecteurs pour le recuel et l nterprétaton des données sur l nnovaton. OCDE/Communautés européennes

4 mesurent par rapport aux caractérstques essentelles du produt (ben ou servce), de ses spécfcatons technques, des logcels ou tout autre composant matérel ou mmatérel ncorporés, de l utlsaton prévue ou de la faclté d usage. Est exclue la revente de produts nnovants entèrement fabrqués et développés par d autres entreprses. Elle se vot auss comme une ntroducton dans l entreprse d un procédé de producton, d une méthode de fournture de servces ou de lvrason des produts nouveaux ou sgnfcatvement modfés. On dédut donc que les nnovatons de produts consstent à ntrodure de nouveaux produts sur les marchés, et les nnovatons de procédés, par contre, portent sur la mse en place de nouveaux procédés de producton, pour produre plus effcacement un produt exstant ou un nouveau produt. Quelle qu'en sot la forme et la nature, l'nnovaton a toujours pour objectf d'apporter un avantage concurrentel à l'entreprse pour l améloraton de ses performances, la réducton de ses coûts et pour une melleure réponse aux exgences des clents par exemple. En effet, dans un envronnement de plus en plus ncertan, une unque certtude : seules survvront et se développeront les entreprses capables de défrcher de nouveaux secteurs d'actvté, de développer des créneaux porteurs par leur créatvté, d'exploter des marchés exstants en y prenant une place prépondérante par leur compéttvté. Cependant la coopératon entre les frmes favorse l effcacté productve, mas également la créaton de nouvelles ressources et de nouvelles actvtés qu peuvent être nnovantes. Naturellement, la mse en place d un nouveau produt nnovant est le résultat d un ensemble d opératons et de procédures qu consttuent un processus. Elargr le concept d nnovaton en la consdérant comme le frut d un processus d nteracton entre dfférents acteurs dans un cadre de coopératon serat ntéressant dans la mesure de ben comprendre ses sources Innovaton : un processus de créaton et d nteracton La plupart des travaux portant sur l nnovaton s appuent explctement ou non sur une représentaton de l nnovaton en terme de processus. Tant les économstes, à travers les théores évolutonnstes (notamment Nelson et Wnter, 1982 ; Dos, 1988, ), que les socologues (Alter, 1990; Callon, 1991 ; Latour, 1992) s accordent sur ce terme. Ce processus met en jeu des nteractons entre dfférents acteurs. Dans le cadre du développement de l économe de la connassance (Foray, 2000), le processus d nnovaton est consdéré comme un processus d apprentssage. Ans, Dvry et al (1998) synthétsent la représentaton du processus d nnovaton dans la frme en ces termes : l s agt d un «processus de créaton et de recréaton» de technologe. Ce processus met en jeu des nteractons entre acteurs multples, tant nternes à la frme qu externes. Il est donc nteractf, mas auss cumulatf : au cours de son déroulement, de nouvelles connassances sont créées, d autres dsparassent ; l exste des phénomènes de verroullage ou «dépendance de senter» qu, à certans moments, orentent rréversblement le processus dans certanes drectons, alors que d autres possbltés sont abandonnées. Dans cette représentaton, l entreprse est dotée d une capacté de collecte, mas auss de tratement d nformaton. Cette capacté de tratement d nformaton, qu se stue dans le cadre des nteractons entre ndvdus, aboutt à l émergence de nouvelles connassances, de nouveaux savors, qu peuvent être matéralsés dans de nouvelles technologes, de nouveaux produts ou servces, de nouveaux procédés, ou de nouvelles formes d organsaton, autrement dt des nnovatons. Tant l acquston que la producton de nouvelles nformatons, de 4

5 nouveaux savors, supposent des capactés d apprentssage. Le processus d nnovaton apparaît ans comme un processus collectf d apprentssage. Pluseurs modaltés d apprentssage ont été dentfées : apprentssage par l usage (Rosenberg, 1982), apprentssage par la pratque, et également apprentssage par l nteracton (Lundvall, 1992). Les nteractons, tant nternes qu entre l entreprse et l extéreur, sont fondamentales dans le processus d nnovaton. La capacté d apprentssage, à travers les relatons nternes et celles que la frme entretent avec son envronnement, est crucale pour le processus d nnovaton. Cec suppose non seulement ce qu est appelé par Cohen et Levnthal (1990) une capacté d absorpton organsatonnelle, c est-à-dre une capacté à ntégrer en nterne les nformatons extéreures, mas également une capacté à trater cette nformaton pour produre de nouvelles connassances, cette apttude étant lée aux connassances antéreures, donc à une compétence nterne (Krat et Lebas, 1995). Cette producton est également le frut des nteractons entre dfférents acteurs, détenteurs de savors tactes ou explctes. Partant de cette représentaton, Dvry et al (1998) dentfent quatre types de compétences nécessares à la frme pour nnover : une capacté à échanger des nformatons, la détenton d un savor ou d un savor-fare spécfque («maîtrse reconnue»), une mémore (aspects de «captalsaton») avec des entrées, mas auss des sortes, et enfn une capacté à changer et évoluer. Le beson des entreprses à nnover n est plus un phénomène contestable en sot, étant donné la réducton de la durée de ve des produts et la présence d une concurrence de plus en plus vve et de mons en mons prévsble. Ne pas nnover, que ce sot à la marge ou de façon radcale, c est refuser de s adapter aux exgences accrues des clents et de se soumettre aux normes qu mpose le nouvel envronnement économque mondal. L nnovaton est vue comme un élément clé du manten de la compéttvté des entreprses. Elle est consdérée comme un moteur de crossance économque et de créaton de rchesse sgnfcatf. Cec justfe l ntérêt qu on peut accorder aux sources d nnovaton et surtout dans le secteur agroalmentare Les sources d nnovaton dans les IAA Les entreprses de l agro-almentare caractérsées par un secteur dynamque qu tend à nnover plus que la moyenne de l ndustre sont caractérsées par des dépenses fables en recherche-développement ( Mangematn, mandran1999). L nnovaton ne s appue que margnalement sur la R&D, quelle sot nterne à l entreprse, au groupe ou commandée à des socétés spécalsées. Les actvtés d études et de méthode et l utlsaton novatrce de bens d équpement sont le plus souvent ctées comme source d nnovaton. Les nnovatons ont plutôt un caractère «ncrémental» qu tent plus de la combnason de technologes exstantes que de la réalsaton de «premères» technologques. Les PMI de l agro-almentare ont des capactés de recherche fables. Pourtant elles nnovent, notamment grâce aux relatons qu elles entretennent avec des partenares externes. Cela peut explquer en parte le type d nnovaton, plutôt «ncrémental». Les capactés de geston des relatons partenarales devennent alors crucales. L entreprse nnovante dot fare face à tros types de problèmes : des problèmes de réalsaton technque pour mener à ben l nnovaton de produt ou de procédé qu elle espère réalser ; des problèmes de partenarat pour renforcer sa capacté lmtée aux dfférents stades de l nnovaton : concepton, réalsaton technque de sous-système, ade à la 5

6 commercalsaton, etc. ; des problèmes de geston, étant la maître d œuvre d un projet elle dot combner des compétences, des technques, des cultures et des savor-fare dfférents. L nnovaton passe souvent par la combnason d une technologe maîtrsée par l entreprse avec d autres technologes, la concepton de cette combnason pouvant elle-même être déléguée. Donc dentfer les partenares potentels et gérer ces relatons devennent des compétences clés dans l entreprse nnovante. Dans le secteur agroalmentare, les compétences des frmes sont relatvement peu développées. En conséquence, elles dsposent de peu de capactés d'absorpton. Néanmons, leur pette talle ne leur permet pas de produre en nterne l'ensemble des ressources dont elles ont beson pour nnover. Elles s'adressent donc à l'extéreur pour acquérr de nouvelles ressources ans que des savors et des compétences et de sasr des opportuntés porteuses d dées nouvelles. L'ntégraton de ces actfs dans les PME requert des modes de transfert partculers, et notamment de fréquents contacts entre les partes. Les pettes et moyennes entreprses peuvent atténuer leur problème de ressources lmtées en travallant en collaboraton avec d autres organsatons afn de développer ou d assurer le succès d une nnovaton. Karlsson et Olsson (1998) résument les prncpales rasons pour lesquelles des entreprses pourraent développer des collaboratons : partager les coûts ; partager les rsques, ce qu est mportant surtout dans les nnovatons radcales où le degré d ncerttude est relatvement élevé ; obtenr une melleure connassance du marché ; compléter la gamme d expertse nécessare ; desservr un marché nternatonal relatvement mportant et développer des standards ndustrels. Par alleurs, certans chercheurs consdèrent l envronnement externe ou le mleu dans lequel se trouvent les entreprses comme sources d nnovaton. Cet envronnement jouerat un rôle détermnant sur la dsponblté des ressources humanes ou des compétences spécfques, des nfrastructures et des ressources fnancères nécessares aux pettes entreprses pour réalser avec succès des actvtés mmatérelles. L nnovaton pourrat ans être stmulée davantage par un envronnement urban plutôt que rural, ce qu a pu être confrmé par Brouwer et Klenknecht (1996) auprès d entreprses hollandases. D un autre côté, Karlsson et Olsson (1998) ajoutent qu un envronnement urban peut rédure la flexblté des entreprses par des salares élevés, des coûts de producton supéreurs, des dffcultés de déplacement qu nhbent les comportements créateurs par une réducton de la qualté de ve. La dversté de la clentèle peut également nfluencer l nnovaton, dans la mesure où elle détermnera les besons de l entreprse de développer de nouveaux produts ou de modfer des produts exstants. Parce que les donneurs d ordres et les sous-tratants dovent collaborer plus étrotement dans les nouvelles formes d organsaton qu mpose la globalsaton, les PME agroalmentares sous-tratantes sont de plus en plus contrantes à devenr des entreprses de «classe mondale» étant donné que leurs partenares ne comptent pas seulement sur leurs capactés ou spécaltés de producton, mas également et surtout, sur leurs connassances, savor-fare et capactés nnovatrces. Une pette entreprse ayant développé d étrotes relatons commercales avec quelques grands clents est alors davantage nctée à allouer les ressources nécessares à l nnovaton dans le but de satsfare les exgences de qualté, de coûts et de développement de produts de ses clents nternatonaux (St-Perre et Raymond, 2002) ou smplement dans le but de mantenr ou d amélorer sa poston dans la chaîne d approvsonnement (Hanna et Walsh, 2002). L dentfcaton des sources de l nnovaton passe par la caractérsaton de tros dmensons essentelles : la structure du marché, les ressources exstantes dans l envronnement et la 6

7 structure des actvtés de R&D dans l entreprse. Ces tros dmensons, en nteragssant ensemble, forment un ensemble dynamque. Les deux premères sont détermnantes dans le cas des PME en rason de la fablesse avérée de leurs ressources de R&D en nterne. Dans le cas de PME, le développement des capactés d nnovaton repose sur une stratége combnatore de ressources, prncpalement externes, mplquant dfférents partenares qu ntervennent dans le processus d nnovaton et de transfert de connassances vers les PME agro-almentares (Benamar B. 2005). L étude emprque présentée c-dessous, s attache à analyser le pods de l nvestssement des entreprses agroalmentares dans les actvtés d nnovaton en montrant ses sources et sa nature. Pour donner une vson générale de ce secteur, une présentaton de ses prncpales caractérstques s avère mportante. 2- Caractérstques du terran d étude : les ndustres agroalmentares On entend par ndustre agro-almentare, l'ensemble des ndustres de transformaton des matères premères, d orgne végétale ou anmale, en produts destnés à l'almentaton humane ou anmale. Elles font parte d'une chaîne almentare, qu va de l'agrculture jusqu'à la dstrbuton en assurant les fonctons suvantes : - la producton de produts almentares de qualté en termes de conservaton, d'hygène, de sécurté et de qualté, répondant aux attentes du consommateur ; - la préparaton, le condtonnement et l'expédton des produts vers les centres de dstrbuton ; - la fabrcaton et la commercalsaton de nouveaux produts ssus de la recherche et de l'nnovaton ; - des actons de promoton et d'nformaton du consommateur. Derrère cette défnton, apparemment smple, du secteur, l faut prendre en compte la très grande hétérogénété des produts et la complexté des relatons au sen des flères. Ce secteur regroupe donc à la fos des entreprses qu conçovent et commercalsent les produts almentares et des équpementers qu fournssent les matérels utles à la préparaton de ces produts. Les IAA françases se classent au second rang des ndustres natonales en tant qu employeur, et consttuent un secteur d'emplo mportant pour le mleu rural. Elles portent la France à la seconde place mondale des pussances exportatrces de produts agroalmentares derrère les États-Uns. Dans l'unon européenne, elles se stuent au deuxème rang, en termes de chffre d'affares, derrère les ndustres allemandes. C'est la régularté des performances des IAA sur le marché ntéreur, plus que leur taux annuel de crossance, qu donne une assse solde au développement des entreprses. Les exportatons, longtemps la composante la plus dynamque de leur développement, marquent le pas. Le secteur agro-almentare franças représente un peu plus de 18% du chffre d'affares de cette ndustre dans l'unon européenne. Il n'est représenté au nveau des 100 premères frmes mondales qu totalsent un ters du chffre d'affares mondal des ndustres de l'agroalmentare que par 5 grands groupes (Danone, Lactals, Bongran, Pernod Rcard et Terrena). L ndustre agroalmentare représente, par son pods économque et l mportance de ses effectfs, un des plers de l économe françase. 7

8 Ben répartes sur l ensemble du terrtore natonal, les entreprses qu composent le secteur agroalmentare, jouent un rôle prmordal dans l anmaton économque de l espace natonal, notamment en rason des lens qu les unssent aux grandes zones de producton agrcoles. Sur le graphque c-dessous, on remarque tros grandes régons en France qu se classent premères dans le secteur agroalmentare : La Bretagne avec 132 entreprses et un 12,1% en C.A, suv de la régon Pays de la Lore 114 entreprses et 10,45% en C.A et l Ile-de-France avec 113 entreprses et 10.36% en C.A. Graphque 1 : Localsaton des entreprses agroalmentares en France Effectfs et % ,1 6,32 3,3 3,02 3,3 3,39 3,12 Acqutane Alsace Auvergne Basse_Normande Bourgogne Bretagne Source : enquêtes CIS3, ERIE 2003 Centre Champagne_Ardenne ,36 9 4,67 2 2,02 2,57 0,18 1,47 0,82 2,2 4,77 6,32 Corse Franche_Comte Haute_Normande Ile_de_France Languedoc_Roussllon Lmousn Lorane Md_Pyrennes Régons Nombre d'entreprses Pourcentage (%) Nord_Pas_de_Calas Pays_de_Lore ,45 2,47 3,12 4,95 Pcarde Potou_Charentes Provence_Alpes_Cote_dAzur Rhone_Alpes 9,07 8

9 Tableau 1 : Pods de l ndustre agroalmentare Régons Nombre d entreprses Nombre d employés Chffres d affares en % Alsace ,46 Aqutane ,72 Auvergne ,28 Basse Normande ,93 Bourgeonne ,37 Bretagne ,64 Centre ,91 Champagne-Ardenne ,56 Corse ,01 Franche-Comté ,55 Haute-Normande ,97 Ile-de-France ,65 Languedoc-Roussllon ,06 Lmousn ,54 Lorrane ,96 Md-Pyrénées ,68 Nord Pas de Calas ,82 Pays de la Lore ,00 Pcarde ,97 Potou -Charente ,64 Provence Alpe Côte d'azur ,56 Rhône Alpes ,74 France % Source : Enquête ERIE 2003 L agroalmentare reste l un des fleurons de l ndustre françase, et dspose d une assse économque forte. Le champ de notre étude couvre les neuf famlles de l ndustre agroalmentare : l ndustre des vandes ; l ndustre du posson ; l ndustre des fruts et légumes ; l ndustre des corps gras ; l ndustre latère ; le traval des grans et fabrcaton de produts amylacés ; la fabrcaton d alments pour anmaux ; l ndustre des bossons ; les autres ndustres almentares (pan, pâtssere, confsere, sucre, chocolatere, pâtes almentares, thé, café, condments, alments adaptés à l enfant et dététques). Celles-c ont des nveaux très dvers en ce qu concerne leur techncté, leur pods dans le secteur ou la structure des entreprses qu les composent. Les tableaux c-dessous llustrent les prncpaux chffres des entreprses agroalmentares déclarées nnovantes en France : 9

10 Tableau 2 : Prncpaux chffres sur les entreprses agro-almentares de 20 salarés et plus en 2005 Secteur Nombre d entreprses Effectf salaré Chffre d affares hors taxe Industre des vandes Industre du posson Total A l export Industre des fruts et légumes Industre des corps gras Industre latère Traval du gran Fabrcaton d alments pour anmaux Autres ndustres almentares Industre des bossons ENSEMBLE des IAA Source : Agreste - Enquête annuelle d entreprse sur les IAA Résultats provsores 2005 On remarque que le secteur agro-almentare franças est le leader mondal des exportatons agro-almentares. Représentant 8% des exportatons de produts agrcoles et agroalmentares au nveau mondal, la France exporte pour 39,3 mllards d'euros en 2005, ce qu la stue en trosème poston derrère les USA et les Pays-Bas. Les 28,7 mllards d'euros d'exportatons de produts agroalmentares (11,4% des exportatons françases) la stuent au premer rang mondal. Ces exportatons ont perms de dégager un excédent commercal de 7,7 mllards d'euros en 2005, le deuxème solde postf après celu du secteur automoble dans un défct global de 26 mllards d'euros. En France, comme au nveau mondal, coexste à coté de grands groupes ndustrels un tssu de pettes et moyennes entreprses souvent d'orgne famlale, représentant 85% de l'effectf total des entreprses de 20 salarés et plus et entreprses employant mons de 20 salarés. Les tableaux 1 et 2 donnent quelques éléments statstques sur les entreprses ans que les dfférents sous-secteurs d ndustres agro-almentares en France pour les années 2004 et Il est à soulgner que entreprses du secteur réalsent un chffre d'affares entre 15 et 76 mllons d'euros et qu'un ters des entreprses appartennent à un groupe ndustrel. 3- Analyse emprque Une frme peut nnover en suvant pluseurs stratéges. Premèrement, l nnovaton peut résulter de moyens propres de l entreprse telle que l nvestssement dans les actvtés de R&D. Deuxèmement, l entreprse peut confer à d autres entreprses, appartenant au même groupe ou externes, la msson de réalser l nnovaton pour elle. Enfn, l nnovaton peut être le résultat d une coopératon entre l entreprse et un ou pluseurs partenares externes y comprs des unverstés ou centres de recherche. Lon de représenter la réalté (complexe et évolutve), car très souvent les entreprses entreprennent pluseurs stratéges en même temps, ce schéma sert cependant à caractérser les sources de l nnovaton dans un secteur donné. Avant de spécfer le modèle emprque, les deux éléments qu suvent présentent respectvement, l échantllon des données et les statstques descrptves. 10

11 3-1- Echantllon des données et défnton des varables L échantllon des données utlsées dans cette étude content 898 entreprses appartenant à l ndustre agroalmentare françase. Il est ssu de la trosème enquête communautare sur l nnovaton dans les entreprses qu couvre la pérode A la dfférence des nvestgatons quanttatves classques sur la R&D, telles que celles effectuées précédemment aux Etats-Uns, le mérte des séres d enquête CIS est de fournr des ndcateurs hybrdes : quanttatfs et qualtatfs. En plus de l nnovaton de produt ou de procédé défne c dessus, parm les prncpales mesures de l nnovaton, la plus ntéressante en termes d output peut être le chffre d affares nnovant. Il exste, dans CIS3, tros ndcateurs du chffre d affares nnovant. 1. Chffre d affares nnovant (TurnIn) Le chffre d affares nnovant, est la part du chffre d affares global provenant des produts et/ou servces nouveaux ou sgnfcatvement amélorés ntroduts sur le marché dans la pérode Chffre d affares nouveau pour le marché (TurnMar) La dfférence entre le chffre d affares nouveau pour le marché et le précédent résde dans le degré de nouveauté. Il est plus élevé dans le cas du chffre d affares nouveau pour le marché, car les produts/servces en queston ne représentent pas seulement une nouveauté pour l entreprse mas pour l ensemble de son secteur d appartenance. 3. Chffre d affares couvert par un brevet déposé ou accordé (TurnPa) Le brevet est un symbole de monopole temporare sur l nnovaton. Il est également une mesure de l output de l nnovaton. Par conséquent, le chffre d affares provenant de la vente des produts brevetés peut être une mesure du rendement de l nnovaton. 4. Innovaton globale (INNOV) Selon le crtère d nnovaton global, une entreprse est consdérée comme étant nnovante s elle s nscrt au mons dans l un des quatre cas suvant : a. être nnovante en produts (InPdt) b. être nnovante en procédés (InPcs) c. avor des projets d nnovatons (produts/procédés, R&D) en cours (InOn) d. avor abandonné des projets d nnovaton (produts/procédés, R&D) dans la pérode de référence (InAb). Le chffre d affares nnovant est la mesure de l nnovaton que nous avons retenu pour être utlsée dans les modèles emprques, présentés plus lon. Ce chox est motvé par des nvestgatons statstques sur la dstrbuton de ces varables. La dstrbuton du chffre d affares nnovant, obtenue après transformaton (logstque), est symétrque et approxmatvement normale, alors que les dstrbutons des deux autres mesures (turnpa et turnmar) sont dssymétrques (skewed). 11

12 3-2- Statstques descrptves a. Proprétés statstques des varables ndépendantes (sans valeurs manquantes) Varables N Moy. Ecart Mn Max type Intensté d nnovaton (nntense): log(dépenses/employés) Intensté d nnovaton (nntensc): log(dépenses/ventes) Emplo (emp):log (nombre total des employés) Log chffre d affares (turn) Intensté du captal fxe (nvta): log(captal fxe/employés) b. matrce de corrélaton des varables ndépendantes Varables V 1 V 2 V 3 V 4 V 5 Intensté des dépenses d nnovaton : log(nntense) V1 1 Intensté des dépenses nnovaton :log(nntensc) V 0.92*** 1 2 Nombre des employés :log(emp) V -0.14*** -0.21*** 1 3 Chffre d affares : log(turn) V *** 0.90*** 1 4 Intensté du captal fxe :log(nvta) V *** 0.79*** 0.80*** 1 5 *** coeffcents sgnfcatfs au nveau de 1 % 3-3- Modèle emprque Dfférents facteurs nfluencent la capacté d nnovaton d une frme. Il est possble d dentfer aujourd hu un certan nombre de régulartés emprques qu ont ms en évdence l mportance de ces facteurs. Ans, l nvestssement propre dans les actvtés de R&D, non seulement est reconnue aujourd hu, sans un effort supplémentare de démonstraton, comme un détermnant essentel de l nnovaton et de la performance des entreprses (cf. la rche lttérature emprque sur le len R&D-nnovaton-productvté : e.g. Grlches, Crépon, Duguet, Maresse, Hall), mas est consdéré également un facteur favorsant l assmlaton des connassances externes (Cohen et Levnthal, 1989). Les caractérstques sectorelles telles que les opportuntés technologques et les condtons d appropraton peuvent consttuer, par alleurs, des détermnants de la R&D et de l nnovaton (Levn et al., 1984). A la lumère de ces travaux, et à fn d apprécer l mpact des dfférentes sources d nnovaton sur la capacté d nnovaton des entreprses de l agroalmentare, nous consdérons que la probablté d nnover pour une frme de ce secteur dépend de son nvestssement dans des actvtés nnovantes, de sa talle et d autres facteurs externes y comprs la coopératon. L orgne de cet nvestssement est prse en compte en dstnguant l allocaton des ressources entre l nterne et l externe. 12

13 Consdérant la nature qualtatve (bnare) de la varable dépendante, l approche emprque appelle l utlsaton d une modélsaton de type logstque. Toutefos, l ensemble des varables ndépendantes touchant aux actvtés d nnovaton ne sont observées que pour les entreprses qu nnovent. Le fat de travaller donc sur l échantllon global consttue un bas de sélecton, car les entreprses non nnovantes sont par supposton consdérées sans effort de R&D n d autres actvtés de ce type (coopératon, ades publques pour l nnovaton etc.). C est la défnton retenue dans la sére d enquêtes CIS. Le modèle Tobt généralsé, permet de tenr compte de ce bas en utlsant la procédure de sélecton de Heckman (1979). Ce modèle est composé de deux équatons. Dans notre cas, la premère équaton (de sélecton) ndque la propenson à nnover et la seconde équaton (du modèle), défnt l ntensté de l nnovaton. Cette dernère est mesurée par la part du chffre d affare provenant de la vente des produts et servces nouveaux dans le chffre d affares total. Formellement, l équaton du modèle («outcome equaton») ndquant l ntensté des ventes nnovantes, s écrt : ' y = X β + u 1 (1) Avec : y : part du chffre d affares nnovant, exprmée comme une foncton logstque (cf. annexe 7 X : vecteur des varables ndépendantes β : vecteur des coeffcents u : erreur aléatore de l unté. 1 L équaton de sélecton qu spécfe la probablté d nnover en produt, s écrt : * ' Z = γ α + u2 (2) Avec : * Z : ntroducton sur le marché de produts et/ou servces nouveaux ou sgnfcatvement amélorés. Cette varable détermne la condton par laquelle une observaton est ntégrée dans le modèle (1) ' γ : vecteur des varables ndépendantes pour l unté α : vecteur des coeffcents u : erreur aléatore de l unté. 2 Suvant le modèle de sélecton de Heckman, on suppose que y est observée s une autre varable latente (non observable), z dépasse un certan seul. z * 1 f Z > 0 ; = 0, autrement Ans l équaton de sélecton prend la forme d un modèle Probt : 13

14 Pr( z = 1) = Φ( γ ' α ) Le modèle suppose par alleurs que : u u 1 2 ~ N(0, σ ) ~ N(0, 1) corr ( u 1, u2 ) = ρ Les résultats de l estmaton des équatons (1) et (2) sont affchés dans la deuxème et trosème colonne du tableau 1 (Annexes). Nous commentons ces résultats dans la secton suvante. 4- Dscusson des résultats emprques Ben que consdérée comme une ndustre à fable ntensté en actvté de R&D, par rapport aux secteurs de haute technologe, entre 1998 et 2000, 47 % des entreprses de l agroalmentare déclarent nnover au mons en produt, en procédé, avor une actvté d nnovaton ou de R&D en cours, ou avor ms fn à un projet pour cause de contrantes fnancères, réglementares ou dues aux manques des ressources humanes qualfées dans le domane concerné. En quo nnovent-elles ces entreprses et quelles ressources moblsentelles pour cela? L enquête CIS3 ne tent compte, cependant, que de deux formes d nnovaton, produt et procédé. Le pourcentage des entreprses déclarant nnover en produt, s élève à 34 %. L nnovaton de procédé est pratquée par 24 % des entreprses. Seulement, 18 % des entreprses affrment nnover conjontement en produt et en procédé, contre 60 % ne pratquant aucune des deux formes, dans la pérode de référence. Afn de détermner le pods des ressources allouées à chaque type d nnovaton, nous avons estmé un modèle Probt (cf. résultats au tab. 2 de l annexe) qu permet d apprécer l mpact margnal de chaque dépense ou source de connassances moblsée dans le processus d nnovaton. Mas avant de présenter les résultats de ce modèle, nous souhatons tout d abord, examner le modèle global qu tent compte de la somme d nvestssement de l entreprse dans les actvtés d nnovaton, qualfée, par alleurs, d ntensté des dépenses d nnovaton. Pour rappel, cette dernère dffère de la noton ntensté d nnovaton qu, elle, ndque le pods des produts et servces nouveaux dans le chffre d affares total. Le modèle (1) part du concept de la foncton de producton qu est une relaton fonctonnelle relant les nputs aux outputs de producton. Dans notre cas, elle représente une foncton d nnovaton. Les nputs sont les dépenses d nnovaton, calculées comme une ntensté en les dvsant par le nombre total des employées (nntense) ou par les ventes (nntensc). Le traval est mesuré par le nombre total des employés (emp). Il peut être nterprété comme l effet de la structure ou de la talle sur la producton des nnovatons. L output de l nnovaton, la varable dépendante (explquée), est représentée par la part des ventes nnovantes dans le chffre d affares total. Comme les entreprses ne sont pas toutes nnovantes, l faut tenr compte de cette caractérstque lors de l estmaton de l équaton (1). Cec est rendu possble par l applcaton de la procédure à deux étapes de Heckman (1979). Cette méthode consste à se demander dans une premère étape s l entreprse est-elle ou non nnovante. S cela est le cas, elle estme, ensute, l ntensté de l nnovaton. Les résultats de l estmaton de ce modèle par le maxmum de vrasemblance fgurent dans le tableau 1 de l annexe. 14

15 Les résultats obtenus de l estmaton de l équaton de sélecton, montrent que l engagement dans la R&D nterne, l acquston des machnes spécalsées et d autres sources nternes de connassances (marketng etc.) sont de bons prédcteurs de la probablté d nnover au mons en produts ou servces. Autrement dt, la prse en compte de ces facteurs augmente la probablté qu une entreprse mette en œuvre des produts ou servces nouveaux. D après l équaton du modèle, l ressorte que l ntensté des actvtés d nnovatons (vor l ensemble des dépenses détallées, dans le tableau 3 de l annexe) et l emplo (ou la talle de l entreprse) sont des détermnants mportants de la capacté d nnovaton de l entreprse. Toutefos, la talle a un effet négatf et sgnfcatf qu peut ndquer l exstence d un rendement d échelle décrossant, sauf que cette équaton ne peut pas vérfer cette hypothèse. Sans aller lon dans cette drecton qu n est pas l objet de cet artcle, l estmaton de la productvté du traval (quatrème colonne, tab. 1) montre qu à l égal du captal fxe et de l emplo, l ntensté des dépenses d nnovaton a un mpact postf et sgnfcatf sur la productvté. Il est mportant de noter à ce nveau, que l nterprétaton des coeffcents du derner modèle du tableau 1, n est pas entendue en termes de causalté, mas plutôt d mpact. Revenant mantenant aux effets des sources de connassances sur l nnovaton. La dstncton entre nnovaton de produt et nnovaton de procédé est d une grande mportance dans l ndustre agroalmentare. L nnovaton de produt qu parfos ne porte que sur la forme, l emballage ou la présentaton, s exprme souvent en termes de dversfcaton. Le changement des envronnements concurrentels (prse en compte des consdératons envronnementales, santé etc.) et réglementares (normes de qualté, sécurté almentare etc.), ncte les frmes à nnover pour gagner des parts de marché. L nnovaton de procédé est entendue en ce sens, non seulement pour rédure les coûts de producton mas auss, pour favorser l nnovaton de produt elle-même. Il résulte des analyses emprques que les connassances moblsées dans l nnovaton de produt provennent essentellement de l effort propre de l entreprse, alors que pour l nnovaton de procédé, les clents et fournsseurs de matérels et dfférents équpements sont des facteurs susceptbles d augmenter la chance de l entreprse d nnover dans ce domane (cf. tableau 2 de l annexe). Ce résultat concorde avec les conclusons d une dzane d entretens que nous avons effectués avec des responsables d entreprses appartenant à l ndustre agroalmentare, stuées en Île de France. Plus partculèrement, l a été à mantes fos noté que ces entreprses ont eu recours aux fournsseurs spécalsés et entretennent des relatons avec des laboratores prvés, pour mettre en œuvre leurs nnovatons de procédés. Ce résultat peut être nterprété par le fat que les nnovatons ntrodutes sur les produts se font par améloratons et changements mneurs. L ntroducton sur le marché de produts complètement nouveaux est très rare. Le pourcentage des entreprses qu déclarent ntrodure, entre 1998 et 2000, des produts consdérés nouveaux non seulement pour l entreprse mas auss pour son marché, est de 16 %. La concurrence dans cette ndustre se joue en grande parte, sur des changements touchant aux produts, rason pour laquelle les entreprses préfèrent réalser les nnovatons de produts au nveau local. Une autre rason qu lasse penser que pour les procédés, elles chosssent la collaboraton, trouve sa justfcaton dans la spécalsaton technologque. Les procédés agro-almentares utlsent souvent des machnes et équpements fabrqués par d autres secteurs, ce qu rend l ndustre agroalmentare dépendante des fournsseurs de ces matérels dans le domane de l nnovaton de procédé. 15

16 5- Concluson Suvant la classfcaton de Pavtt (1984), l ndustre agro-almentare serat consdérée comme un secteur à fable ntensté technologque, pourtant selon les données de l enquête nnovaton (CIS3), 47 % des entreprses de ce secteur en France, déclarent pratquer au mons une forme d nnovaton durant la pérode Contrarement à l dée selon laquelle la grande parte des nnovatons est attrbuée au secteur manufacturer, Von Hppel (1988) consdère que celles-c peuvent provenr des producteurs, des utlsateurs ou des fournsseurs d un ben. En ce sens, pendant que les nnovatons de produts des entreprses de l agroalmentares sont mses en œuvre en moblsant des connassances produtes au sen des entreprses, les nnovatons de procédés dépendent des fournsseurs de matérels et des équpements spécalsés ou sont développées en nteracton avec les clents. Il convent de soulgner à l ssue de ce traval que l utlsaton des données de l enquête CIS3 ne s est pas effectuée sans dffculté. Il s agt notamment de la présence de varables pouvant consttuer un ntérêt majeur pour l étude mas qu se trouvent mal rensegnées. En ttre d exemple, les valeurs quanttatves des dépenses d nnovaton ne sont dsponbles que pour la R&D nterne et une parte de la R&D externe, et ce malgré que le volet qualtatf de cette varable sot ben rensegné (cf. tableau 3, annexe). Les dépenses d nnovaton qu restent, sot sont de mauvase qualté, sot fgurent comme valeurs manquantes. Toutefos, cette caractérstque semble domnée la base de données CIS3, pusque des cas de fgure semblables ont été observés pour d autres secteurs, l ndustre pharmaceutque, en ttre d exemple. Enfn, en dépt de leur grande rchesse et orgnalté, l utlsaton des données de l enquête CIS3 qu vot l nnovaton sous le seul angle technologque (le couple produt-procédé), fat omettre une parte mportante des actvtés nnovantes, pratquées au sen de frmes de l agroalmentare. Ces actvtés touchent prncpalement l organsaton et le marketng. En vue de dépasser cette lmte, l sera ntéressant d approfondr l étude et l enrchr par l utlsaton des données de l enquête CIS4 qu, elle, tent compte justement d autres formes d nnovaton non technologques. Par alleurs, la poursute de ce traval dans une optque de comparason nterrégonale, peut s avérer utle à comprendre la logque d ensemble de l nnovaton dans le secteur agroalmentare. Les nterrogatons sur la dstrbuton géographque des frmes, leur proxmté des zones agrcoles et leur performance en termes d'nnovaton, sont autant d éléments à prendre en compte en vue de caractérser les dfférences nterrégonales. 16

17 Annexes Tableau 1. Estmaton de l mpact de l ntensté des actvtés d nnovaton (producton et utlsaton des connassances) sur la capacté d nnovaton de la frme et sa productvté Effet des varables Explcatves α Intensté des dépenses d nnovaton (nntensc) Nombre total des employés (emp) Engagement dans la R&D nterne (rdn) Acquston de machnes (rmac) Sources nternes d nformatons (sent) Mécansmes d appropraton : Propenson à nnover 0.57** (0.22) 0.82*** (0.18) 0.73** (0.34) Intensté d nnovaton (0.33) 0.09** (0.04) -0.16*** (0.05) Productvté du traval 4.55 (0.14) 0.08***a (0.02) 0.08*** (0.02) Brevets accordés (paval) Dépôt de marque (protm) Intensté du captal fxe (nvta) 0.56** (0.27) 0.44** (0.17) 0.19*** (0.02) Log Pseudolkelhood Rho Wald p-value 2 R Nombre des entreprses ***, **, * : Coeffcents sgnfcatfs à 1%, 5% et 10%, respectvement Entre parenthèses fgurent les erreurs standards robustes à l hétéroscédastcté, résultant de l applcaton de la méthode de Eker-Whte. a : l ntensté des dépenses d nnovaton c est calculée comme le log (dépenses d nnovaton/nombre des employés), au leu de dvser par le chffre d affares. 17

18 α Tableau 2. Estmaton de l effet margnal des sources d nformaton nternes et externes sur la probablté d nnover en produts et procédés (model Pobt) Engagement dans la R&D nterne (rdn) Acquston de machnes et équpements (rmac) Sources nternes d nformatons (sent) Fournsseurs de matérels, d équpements, de composants et logcels (ssup) Clents (scl) Impact margnal des varables Innovaton de produt Innovaton de procédé (0.33) (0.28) 0.52** (0.23) 0.80*** 0.82*** (0.18) (0.14) 0.76** (0.31) Mécansmes de protecton des nnovatons 0.78*** (0.23) -0.93*** (0.25) Dépôt de marque (protm) Brevets accordés (paval) Complexté de la concepton (prodes) Avantage temporel sur les concurrents (protm) 0.46*** (0.17) 0.55** (0.26) -0.37** (0.15) 0.42** (0.21) 0.41** (0.19) Test β = 0 Ch-deux Ch-deux Lkehood rato p-value p-value Score // // Wald // // Pseudo R Nombres des entreprses Tableau 3. Engagement des entreprses dans les actvtés d nnovaton, selon l enquête CIS3 (% des frmes qu nnovent en produt, en procédé, ayant des actvtés de R&D ou d nnovaton en cours, ou ayant abandonné des projets,.e. INNOV=1. Pourcentages pondérés, dû à la méthode de l échantllonnage et pour tenr compte de la non réponse) Type de dépenses % des entreprses engagées entre Recherche nterne et développement expérmental (rdn) - Acquston de R&D externe (rdex) Acquston de machnes et équpement (rmac) Acquston d autres connassances externes (roek) Formaton (rtr) Introducton des nnovatons sur le marché (rmar) Concepton et autres préparatfs pour la producton et la lvrason (rpre) 18

19 Tableau 4. Taux d utlsaton des sources d nformaton pour nnover (% pondérées, avec la crtère INNOV=1) Sources d nformaton % des entreprses nnovantes utlsatrces - Sources nternes à l entreprse, y comprs les servces de R&D, marketng, etc. (sent) - Sources nternes au groupe (sgrp) Fournsseurs d équpements, matérels, composants et logcels (ssup) - Clents ou consommateurs (scl) Concurrents et autres entreprses appartenant à la même ndustre (scom) - Unverstés ou établssements d ensegnement supéreur (sun) - Organsmes publcs de recherche ou nsttutons prvés à but non lucratf (sgmt) - Colloques et revues professonnelles (spro) Fores et expostons (sexb) Remarque : Cette varable a été transformée d une varable ordnale à deux nveaux et tros Sous catégores à une varable bnare, en retenant que les deux cas extrêmes : frmes utlsatrces et non utlsatrces. Ans, pour la frme utlsatrce, on a gnoré le degré d mportance qu elle attrbue à la source en queston (bas, moyen, élevé). Tableau 5. Mécansmes de protecton des résultats d nnovaton (% pondérés) Méthodes de protecton % des entreprses nnovantes utlsatrces Formelles - Brevets accordés (paval) Dessens et modèles (proreg) Marques (protm) Drots d auteur (procp) 4.10 Stratégques - Secret (prosec) Complexté de la concepton (prodes) Avance technologque sur les concurrents (protm) 19

20 Tableau 6. Défnton opératonnelle des varables Varables 1. Varables quanttatves - Intensté des dépenses d nnovaton (nntense) - Nombre total des employés (emp) - Chffre d affares total (turn) Descrpton L ensemble des dépenses d nnovaton par employé, ou en les dvsant par le chffre d affares. 2. Varables qualtatves Dépenses de R&D - Engagement dans la R&D nterne (rdn) - Acquston de machnes et équpements (rmac) Sources d nformatons pour l nnovaton - Sources nternes à l entreprse (sent) - Varables bnares ndquant s l entreprse s est engagée ou non dans la R&D nterne ou a acqus des machnes dans la pérode Varable bnare ndquant s l entreprse a fat au non recours à cette source d nformaton pour nnover durant la pérode de référence. Mécansmes de protecton des résultats d nnovaton Formels - Brevets accordés (paval) - dépôt de marques (protm) Stratégques - Complexté de la concepton (prodes) - Avantage temporel prs sur les concurrents (protm) -Varable bnare ndquant s l entreprse dspose ou non de brevets accordés. -Varable bnare ndquant s l entreprse a déposé ou nom des marques durant la pérode de référence. -Varables bnares ndquant s l entreprse a eu recours ou nom à l un de ces mécansmes pour protéger ses nnovatons. 7. Notes sur la transformaton des varables - Les varables quanttatves utlsées dans le modèle (1) ont été transformées en échelle logarthmque afn de rédure le problème de l hétéroscédastcté des données et de rapprocher, par alleurs, leur dstrbuton à la lo Normale. - Ventes nnovantes (y) : la part des ventes nnovantes est un pourcentage stué entre 0 et y 1. La transformaton logstque en utlsant la formule, z = log, confère aux 1 y 20

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