UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE DE DROIT (E.D. 41) DOCTORAT en DROIT. Boureima SAVADOGO
|
|
- Beatrice Bouchard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV ECOLE DOCTORALE DE DROIT (E.D. 41) DOCTORAT en DROIT Boureima SAVADOGO LE TRAITEMENT FISCAL DES REVENUS DE SOURCE ETRANGERE EN DROIT FRANÇAIS ET BELGE. Thèse dirigée par M. Jean-Pierre MAUBLANC Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV. Soutenue publiquement le 21 décembre Jury : M. Jean-Noël CAUBET-HILLOUTOU, Magistrat, Vice-Président du Tribunal administratif de Pau, Maître de Conférences Associé à l Université de Pau et des Pays de l Adour. Mme Florence DEBOISSY, Professeur à l Université Montesquieu Bordeaux IV. M. Jean-Pierre MAUBLANC, Professeur à l Université Montesquieu Bordeaux IV, directeur de Thèse. M. Eric REY-BETHBEDER Magistrat, Vice-Président du Tribunal administratif de Pau. Mme Marie-Christine STECKEL Maître de Conférences à la Faculté de Droit et de Sciences Economiques de Limoges, rapporteur.
2
3
4
5
6
7 SOMMAIRE
8
9 LISTE DES ABREVIATIONS
10
11
12
13 INTRODUCTION GENERALE P1- La mondialisation de l économie comme facteur révélateur et d accroissement des clivages fiscaux. 1
14
15 8
16
17
18 P2- La régulation de l économie mondiale et la recherche d un nivellement des prélèvements fiscaux.
19
20
21
22
23
24 P3- L échec des politiques de régulation : L émergence des paradis fiscaux ou la manifestation de la souveraineté fiscale des Etats.
25
26
27 43
28
29 PARTIE I : LES LEGISLATIONS FRANCAISES ET BELGES D IMPOSITION DES REVENUS ETRANGERS.
30 46
31
32 49 Louis TROTABAS et Jean-Marie COTTERET, op. cit., P. 146.
33 CHAPITRE I L OBJECTIF COMMUN D APPRENHENDER LA MATIERE IMPOSABLE.
34 SECTION I - PRINCIPES D IMPOSITION DES REVENUS DE SOURCE ETRANGERE PERCUS PAR LES PERSONNES MORALES. P1 PRINCIPES D IMPOSITION DES REVENUS ISSUS DES FILIALES.
35 A- Les dividendes perçus par les sociétés mères de leurs filiales. 1- L imposition en France des revenus perçus par les sociétés mères de leurs filiales étrangères.
36
37 .
38 2- L imposition en Belgique des revenus perçus par les sociétés mères de leurs filiales étrangères.
39
40
41 B- Les intérêts et les redevances perçus par les sociétés mères de leurs filiales 1- L imposition en France des intérêts et des redevances perçus par les sociétés mères de leurs filiales étrangères
42 cités.
43
44
45 P2- L IMPOSITION EN FRANCE ET EN BELGIQUE DES REVENUS ISSUS DES SUCCURSALES ETRANGERES
46 82 a- Définition du territoire fiscal français.
47
48 b- La notion d entreprises exploitées en France.
49
50
51 2- Le principe de la mondialité appliqué en Belgique.
52
53
54 B- L imposition des sociétés françaises et belges sur les revenus issus de leurs succursales. 1- L imposition des sociétés françaises possédant une succursale à l étranger.
55
56
57
58 .
59
60
61 2- L imposition des sociétés belges possédant des succursales à l étranger ou le système de la mondialité.
62
63
64 .
65 SECTION II L IMPOSITION DU REVENU MONDIAL DES PERSONNES PHYSIQUES.
66 P1 LES CRITERES DE DOMICILIATION FISCALE DES PERSONNES PHYSIQUES 124 A- Les critères communs de définition du résident fiscal.
67 1 Le lieu d habitation permanent.
68
69
70 2 Le centre des intérêts économiques..
71
72 B- La particularité belge de l inscription au registre national des personnes physiques..
73 C- Le cas des agents diplomatiques.
74
75 P2 ETUDE COMPARATIVE DE L IMPOSITION DES DIFFERENTS REVENUS.
76 A L imposition des revenus professionnels. 1 L imposition des revenus professionnels de source étrangère en Belgique.
77
78
79
80
81
82 2 L imposition en France des revenus d activités exercées à l étranger
83
84
85 B- L imposition des revenus non-professionnels. 1- Les revenus immobiliers.
86
87 2- Les revenus mobiliers. 164
88
89 166
90 P3- ETUDE DES CONDITIONS ET PARTICULARISMES D IMPOSITION. A Les conditions d obtention des réductions d impôts en Belgique.
91 1- La réalisation des revenus à l étranger. 167
92
93 2 L imposition des revenus à l étranger..
94
95 B Les particularités liées à l imposition des revenus étrangers en France. 1- La méthode du taux effectif.
96 2 L évaluation forfaitaire des bénéfices et des charges.
97
98 CONCLUSION DU CHAPITRE I.
99
100
101 CHAPITRE II LES MESURES DE LUTTE CONTRE L EVASION ET LA FRAUDE FISCALES.
102 SECTION I LES MESURES VISANT À EMPECHER LA MINORATION DE LA BASE D IMPOSITION OU DE L ASSIETTE. 182 D autres techniques existent cependant, par exemple transformer des intérêts en plus-values à long terme moins lourdement taxés.
103 P1 LES MESURES VISANT A LIMITER OU A CONTROLER LES SOMMES VERSEES A DES PERSONNES ETRANGERES.
104 A Les limitations apportées à la déduction de certains frais.
105 1- La nature des dépenses concernées.
106 2- La qualité des bénéficiaires.
107 chapitre.
108
109 3- Les conséquences de l application des articles 238 A CGI et 54 C.I.R
110 .
111 72.
112 . cit. P. 82..
113
114 B Les rémunérations versées à certaines personnes pour leurs prestations.
115
116
117 1 Le prestataire de services.
118 211
119 2- Le bénéficiaire des rémunérations..
120
121
122
123 3- L organisateur de la compétition ou de la manifestation source de l imposition
124 France. 221
125 P2- LES MESURES DE PORTEE GENERALE DE LUTTE CONTRE LA FRAUDE ET L EVASION FISCALES.
126 A- La mesure générale de lutte contre la fraude et l évasion fiscales internationales : La théorie de l abus de droit en France.
127
128 1 Définition de l abus de droit.
129
130
131
132
133 .
134 2- La répression de l abus de droit..
135 .
136 .
137
138 B- L absence en Belgique d une théorie générale de l abus de droit.
139 1- Le rejet de la théorie de la fraude à la loi. 253
140 256.
141 259
142 . 261
143 2 Le rejet de la théorie de la réalité économique.
144
145
146 3- La mesure de portée générale fondée sur la simulation.
147
148
149
150
151
152
153
154 SECTION II- LES MESURES VISANT L IMPOSITION DE CERTAINS REVENUS ETRANGERS.
155
156 P1 L IMPOSITION EN FRANCE DES PARTICIPATIONS DETENUES DANS DES STRUCTURES ETRANGERES.
157 A L imposition des participations détenues pas des sociétés françaises dans certaines structures étrangères. 1- Les conditions d application de l article 209 B du CGI.
158
159 .
160
161
162
163 2 Les conséquences fiscales de l application de l article 209 B du CGI.
164 305 Nous donnons la formule mais néanmoins il faut noter que depuis 2006, il n y a pas d imposition séparée au titre de l article 209 B.
165 3 Les limites de l article 209 B du CGI.
166 308 J. J. NEUER, op. cit. P Il s agit pour la société française de donner mandat avec les fonds nécessaires à un fiduciaire pour constituer la société. C est donc le fiduciaire qui est le détenteur juridique et apparent des titres.
167 B- L imposition des participations détenues dans des structures étrangères par les personnes physiques domiciliées en France.
168 1- Les conditions d application de l article 123 bis du CGI.
169 315 Art. 50 bis I annexe II CGI.
170 316 Art. 209 B III bis al. 1 CGI.
171 2 Les conséquences fiscales de l application de l article 123 bis.
172
173
174 P2 LES LIMITATIONS A LA DEDUCTION DES DIVIDENDES ETRANGERS EN BELGIQUE.
175 324 Art. 202, 2, al. 1 et 2 C.I.R
176 A Les limitations liées à la situation de la société qui alloue les dividendes. 1- L exclusion générale des dividendes provenant de sociétés établies dans des paradis fiscaux. 325 Les revenus visés par l article er sont les suivants : 1 «les dividendes, à l exception des revenus qui sont obtenus à l occasion de la cession à une société de ses propres actions ou parts ou lors du partage total ou partiel de l avoir social d une société. 2 Dans la mesure où il constitue un dividende auquel les articles 186, 187 ou 209 ou des dispositions analogues de droit étranger ont été appliquées, l excédent que présentent les sommes obtenues ou la valeur des éléments reçus, sur la valeur d investissement ou de revient des actions ou parts acquises, remboursées ou échangées par la société qui les avait émises, éventuellement majorée des plus-values y afférentes, antérieurement exprimées et non exonérées.».
177 326 Tel est le cas si par exemple un dispositif exonère d impôts les bénéfices des premières années d exercice. 327 Cf. CHAPITRE I, SECTION II, P3, A, Sont exclues, les sociétés résidentes de l Union européenne. Elles bénéficient du régime des RDT dans les mêmes conditions que les sociétés belges. 329 Art CIR
178 2 L exclusion des sociétés de financement, de trésorerie et d investissement.
179 333
180 336 Art. 203, 2, al. 2 C.I.R L article 192, 1 er traite de l exonération des plus-values sur actions et parts. 338 P. F. COPPENS, op. cit. P. 588.
181 B- Les limitations liées à la nature des revenus de la société qui alloue les dividendes. 1 Les exclusions des revenus provenant d établissements étrangers.
182 339
183 2- Les sociétés offshore
184
185 3 Les sociétés holding intermédiaires. 341
186 343 P. F. COPPENS, op. cit. P
187
188
189 CONCLUSION DU CHAPITRE II
190 344 Cf. Jurisprudence DELLEURIM, Aux Vieux Saint Martin, BREPOLS.
191
192 CONCLUSION DE LA PARTIE I
193 345 La phrase en anglais qui a donné cette traduction est «No country are takes notice of the revenue laws of another.» 346 Pour une étude détaillée de la règle de Mansfield, cf. Pierre LEVINE, La lutte contre l évasion fiscale de caractère international en l absence et en présence de conventions internationales. Paris, LGDJ, P. 214 à Pierre LEVINE, op. cit. P. 215.
194 348 Op. cit. P. 215.
195 PARTIE II : L INFLUENCE DU DROIT COMMUNAUTAIRE.
196 349 Le Traité de Rome fût signé le 25 mars 1957 entre six pays : l Allemagne (RFA), la Belgique, la France, l Italie, le Luxembourg et les Pays-Bas. Le même jour, a été signé, entre les mêmes pays, le Traité instituant la Communauté Européenne de l Energie Atomique. Le Traité de Rome qui a célébré son cinquantenaire en 2007 dispose d un site internet : on y retrouve notamment tout son historique. 350 Jean Michel COMMUNIER, Droit fiscal communautaire. Bruxelles : Bruyant, P 1.
197 351 Nous ne reprendrons ici que les grandes lignes des différents travaux qui ont conduit à l adoption de certaines directives relatives à l harmonisation fiscale. Le lecteur voudra bien consulter l ouvrage de J. M. COMMUNIER précité ou les ouvrages suivants : Dominique BERLIN. Droit fiscal communautaire. Paris : Puf, P. Elli ASSIMACOPOULOU. L harmonisation de la fiscalité de l épargne dans les pays de la Communauté. Paris : LGDJ, P. Jean-Pierre JARNEVIC. Droit fiscal international. Paris : Economica, P J. M. COMMUNIER, op. cit. P Le rapport Neumark (rapport du comté fiscal et financier) doc. CEE 8070/1/XII/1962/5.
198
199
200
201 CHAPITRE I LA LEGISLATION FISCALE EUROPEENNE SUR LES PERSONNES MORALES..
202
203 SECTION I LE REGIME FISCAL DES SOCIETES MERES FILIALES.
204 P1 LE CHAMP D APPLICATION DE LA DIRECTIVE. A Les sociétés concernées.
205 1 les sociétés résidentes de l Union européenne.
206 2 Les notions de sociétés mère et filiale.
207
208 .
209
210 B Les distributions concernées..
211 P2 LES METHODES D ELIMINATION DES DOUBLES IMPOSITIONS.
212 A- Le traitement fiscal des bénéfices dans le pays de la filiale. 1 les prescriptions de la directive 90/435 sur le traitement fiscal par l Etat de source des bénéfices distribués par les filiales.
213
214 2- Retenue à la source et libertés fondamentales garanties par le traité CE.
215
216 B Le traitement fiscal des bénéfices distribués dans l Etat de la société mère.
217 1 L exemption des dividendes reçus par la société mère.
218
219
220
221 2- L imputation de l impôt payé par la filiale sur l impôt dû par la société mère.
222
223 SECTION II L ELIMINATION DES DOUBLES IMPOSITIONS EN CAS DE CORRECTION DES BENEFICES ENTRE SOCIETES LIEES.
224
225 P1 LE CHAMP D APPLICATION DE LA CONVENTION. A- la nature des sociétés couvertes par la convention 90/436/CEE.
226 1 La dépendance économique entres les entreprises couvertes par la convention. 2 La communauté d organes dirigeants entre les entreprises couvertes par la directive.
227 B Les bénéfices et les impôts pouvant justifier une application de la convention 90/436/CEE.
228 1 Les bénéfices couverts par la convention 90/436/CEE.
229 2 Les impôts couverts par la convention 90/436/CEE.
230 P2 LES METHODES D ELIMINATION DES DOUBLES IMPOSITIONS. A La phase amiable de la procédure d élimination des doubles impositions.
231 1 La saisine de l autorité compétente.
232
233 2 L effet de la saisine de l autorité compétente. 433
234
235 B La phase arbitrale de la procédure conventionnelle de suppression des doubles impositions.
236 1 Composition de la commission d arbitrage.
237
238 2 Le rôle de la commission consultative
239
240
241 SECTION III LES PAIEMENTS D INTERETS ET DE REDEVANCES.
242 P1 LE CHAMP D APPLICATION DE LA DIRECTIVE 2003/49/CE.
243 A Les sociétés concernées par la directive 2003/49/CE. 1 La notion de société d un Etat membre.
244 2 La notion de sociétés associées.
245
246 B Les paiements concernés par la directive 2003/49/CE. 1 La notion d intérêt selon la directive 2003/49/CE.
247 2 La notion de redevance selon la directive 2003/49/CE.
248 P2 METHODES D ELIMINATION DES DOUBLES IMPOSITIONS SELON LA DIRECTIVE 2003/49/CE.
249 A L exonération dans le pays de la source des revenus. 1 L exonération des intérêts et des redevances suivant la directive 2003/49/CE.
250 .
251 2 Le remboursement des prélèvements indus.
252 B- Les mesures anti abus suivant la directive 2003/49/CE. 1 Les mesures générales anti abus de la directive 2003/49/CE.
253
254 2 Les paiements exclus du bénéfice de la directive 2003/49/CE.
255
256
257 CONCLUSION DU CHAPITRE I
258
259 CHAPITRE II- LA LEGISLATION EUROPEENNE SUR LA FISCALITE DES REVENUS DE L'EPARGNE.
260
261 SECTION I- CHAMP D'APPLICATION DE LA DIRECTIVE 2003/48/CE SUR LA FISCALITE DE L'EPARGNE.
262 P1- LES PERSONNES INTERVENANT DANS LA MISE EN ŒUVRE DE LA DIRECTIVE 2003/48/CE. A- L'agent payeur.
263 1- Définition issue de la directive 2003/48/CE de l agent payeur.
264
265 2- Le rôle de l agent payeur.
266
267
268
269 B- Le bénéficiaire effectif des intérêts.
270 1- Définition issue de la directive 2003/48/CE du bénéficiaire effectif
271 2- L identification du bénéficiaire effectif.
272
273
274 P2- LES INTERETS OBJETS DU PAIEMENT DE LA DIRECTIVE 2003/48/CE. A- Les intérêts provenant des créances. 1- Les intérêts découlant directement des créances.
275
276
277
278 2- Les intérêts résultant de la cession des créances. B- Les intérêts distribués par certains organismes.
279 1- Les intérêts relevant de plein droit du régime de la directive.
280
281
282 2- Les intérêts relevant sur option du régime de la directive.
283 P3- LE CHAMP D APPLICATION TERRITORIAL.
284 A- Les accords avec les territoires. 1- Les territoires concernés. 2- La portée des accords
285 B- Les accords avec les Etats tiers.
286 1- Les Etats tiers concernés. 2- La portée des accords.
287 SECTION II- LE REGIME FISCAL DES PRODUITS
288 P1- LES MECANISMES D AIDE A L IMPOSITION. A- La transmission des informations.
289 1- La transmission des informations comme but ultime de la directive.
290 2- L absence de conséquences immédiates liées à la transmission des informations.
291 B- L exception : la retenue à la source.
292 1- Le mécanisme de la retenue à la source.
293 2- L élimination des doubles impositions.
294
295 P2- LES LIMITES DE LA DIRECTIVE 2003/48/CE. A- Les limites inhérentes à la directive.
296 1- Les limites tenant au champ d application.
297
298 2- Les autres limites de la directive 2003/48/CE.
299
300 B- Les limites inhérentes aux autres Etats. 1- Les limites liées aux Etats ayant signé une convention.
301
302
303 2- Les limites liées aux Etats n ayant pas signé de convention.
304
305 CONCLUSION DU CHAPITRE II
306
307 CONCLUSION DE LA PARTIE II
308
309 PARTIE III - L INFLUENCE DES CONVENTIONS PREVENTIVES DE DOUBLE IMPOSITION.
310
311 608
312
313
314
315 CHAPITRE I- CONSIDERATIONS GENERALES SUR LES CONVENTIONS PREVENTIVES DE DOUBLE IMPOSITION.
316
317 SECTION I- L INTERPRETATION ET LA PORTEE DES CONVENTIONS FISCALES 621.
318 P1- L INTERPRETATION DES TRAITES. A- Principes d interprétation communs aux traités.
319
320 1- les règles principales d interprétation.
321
322
323 2- les moyens complémentaires d interprétation.
324
325
326 B- La particularité des traités fiscaux.
327
328 1- Les principes de l interprétation littérale et stricte et de la non-aggravation de la situation du contribuable.
329
330
331 2- Les exceptions françaises sur le rôle du juge et la nonaggravation de la situation du contribuable.
332
333
334 P2- LA PORTEE DES TRAITES FISCAUX.
335 A- Les rapports entre les traités et les lois internes. 1- La prévalence des traités sur les lois internes.
336
337
338 2- Le principe de subsidiarité des conventions préventives de double imposition.
339
340
341
342
343
344
345
346
347
348
349
350
351
352
353 B- Les rapports entre les traités et le droit communautaire.
354 1- La primauté du droit communautaire sur les traités liant les Etats
355
356 2- Les raisons de l absence de confrontation entre les conventions fiscales et le Traité communautaire.
357
358
359 SECTION II- LES CONVENTIONS MODELES.
360 P1- LE MODELE DE CONVENTION OCDE
361
362 A- La définition des termes clés. 1- Les termes ayant trait aux personnes morales.
363
364 .
365
366
367
368 751 Le fournisseur de services internet est la société qui nous permet d avoir accès à internet, par Orange, SFR, Bouygues Télécom en France, BELGACOM en Belgique
369 2- Les termes ayant trait aux personnes physiques.
370
371 B- La définition du mécanisme d imposition.
372 1- L attribution des pouvoirs d imposition.
373
374
375
376
377
378
379
380
381
382
383 2- Les méthodes d élimination des doubles impositions.
384
385
386
387 P2- LES AUTRES MODELES DE CONVENTION.
388 A- Le modèle de convention des Nations Unies concernant les doubles impositions entre pays développés et pays en développement.
389 1- Différence entre le modèle ONU et le Modèle OCDE de convention préventive de double imposition.
390
391
392
393
394 2- La portée du modèle de convention des Nations Unies.
395
396 B- Le modèle belge de convention préventive de double imposition.
397 1- Les différences dans les dispositions générales entre le modèle belge et le Modèle OCDE de convention fiscale.
398
399
400 2- Les différences dans l attribution du pouvoir d imposition.
401
402
403
404 CONCLUSION DU CHAPITRE I.
405
406 CHAPITRE II LE SUIVISME FRANÇAIS EN MATIÈRE DE PRATIQUE CONVENTIONNELLE.
407
408 SECTION I LA BELGIQUE : UN ETAT VISIONNAIRE?
409 P 1 LA CONVENTION SIGNEE ENTRE LA BELGIQUE ET HONG KONG. 799
410 A La recherche d une convention sur mesure.
411 1- L adoption de certaines définitions du modèle ONU.
412
413
414 2- La conservation d une trame du Modèle OCDE. B La recherche d une efficacité fiscale maximale.
415 1- Le maintien des règles clés.
416 2- La naissance d une nouvelle tendance : l imposition à taux zéro.
417 .
418
419
420 .
421 P2 LA CONVENTION ENTRE LA FRANCE ET HONG KONG. A Les points de ressemblance entre les deux conventions.
422 1- L alignement de certaines définitions.
423 2- L alignement des principes d imposition.
424
425
426 B L inachèvement de l alignement entre les deux conventions. 1- Le constat d une imposition supérieure ou égale à l imposition résultant de la convention liant la Belgique à Hong Kong.
427
428
429 2- Le constat d un intérêt limité de la convention.
430
431 SECTION II LA CONFIRMATION DE LA RECHERCHE DE SOLUTIONS FISCALES PLUS FAVORABLES PAR LA BELGIQUE : L AVENANT A LA CONVENTION AVEC LES ETATS- UNIS.
432 P1 LA SYMETRIE DES DISPOSITIONS CONVENTIONNELLES DES DEUX PAYS..
433 A La symétrie sur les définitions des termes. 1- L établissement stable.
434 .
435 2- Les impôts concernés.
436 .
437 B La symétrie sur les taux d imposition. 1- La similitude des taux en matière de dividendes.
438
439 2- La similitude des taux en matière de redevances et d intérêts.
440 P2 LA DISSYMETRIE DES DISPOSITIONS CONVENTIONNELLES OU LA TENDANCE DE LA BELGIQUE A S ERIGER EN PARADIS FISCAL..
441 A L adoption d un régime déséquilibré sur les dividendes.
442 1- La disproportion prononcée dans les taux de détention du capital ou des droits de vote pour bénéficier de l exemption d imposition des dividendes.
443
444 2- L acceptation implicite par la Belgique de son statut de paradis fiscal.
445 c)
446
447 B Les autres points de dissemblance entre les deux conventions. 1- Le seuil d imposition des artistes et sportifs dans l Etat d exercice de l activité
448
449 2- Le refus américain de reconnaître le secret bancaire belge.
450 CONCLUSION DU CAHPITRE II.
451
452
453
454
455 CONCLUSION DE LA PARTIE III
456
457
458
459 CONCLUSION GENERALE
460 844 Le régime de droit commun des dividendes n est pas applicable ici car nous sommes dans l hypothèse où les dividendes trouvent leur source dans des Etats non liés à la France par une convention préventive de double imposition.
461 845 Quotité Forfaitaire d Impôt Etranger.
462
463 847 Cf. audité le 17 septembre 2012.
464
465 BIBLIOGRAPHIE
466 ASSIMACOPOULOU Elli.. Paris : LGDJ, P.
467
468
469
470
471 ?
472
473
474
475
476
477
478
479
480 (G20) (Administration fiscale française) (Législation française)
481 (Ministère des Finances belge)
482
483 INDEX
484
485 TABLE DES MATIERES a- Définition du territoire fiscal français. b- La notion d entreprises exploitées en France.
486
487
488
489
490
LA FISCALITE, MAL AIMEE DE L EUROPE?
LA FISCALITE, MAL AIMEE DE L EUROPE? Prof. Dr. Isabelle Richelle Co-Présidente Tax Institute de l Université de Liège Isabelle.Richelle@Ulg.ac.be Collège Belgique Bruxelles, 5 décembre 2013 SOUVERAINETE
Plus en détail2. FRANCE - Plus-values Cession de fonds de commerce et clientèles libérales
Lettre mensuelle Mai 2005 SOCIETES 1. UE FRANCE - Intégration fiscale Déduction des pertes subies par des filiales situées dans d autres Etats Membre de l UE 2. FRANCE - Plus-values Cession de fonds de
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GENERALE DES IMPOTS 5 I-1-06 N 4 du 12 JANVIER 2006 MESURES DE TRANSPOSITION DE LA DIRECTIVE 2003/48/CE DU CONSEIL DU 3 JUIN 2003 EN MATIERE DE FISCALITE DES REVENUS
Plus en détailN 187 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2002-2003. Annexe au procès-verbal de la séance du 25 février 2003 RAPPORT FAIT
N 187 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2002-2003 Annexe au procès-verbal de la séance du 25 février 2003 RAPPORT FAIT au nom de la commission des Finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de
Plus en détailTRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC
TRANSFERT DU DOMICILE FISCAL DE FRANCE AU MAROC I DETERMINATION DE LA RESIDENCE Au plan fiscal, les conséquences résultant pour un résident et ressortissant français de son installation au Maroc dépendent
Plus en détailIMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS
IMPOSITION DES INTÉRÊTS, DES DIVIDENDES ET DES GAINS EN CAPITAL A CHYPRE LOIS ET DÉCRETS Loi relative à l impôt sur le revenu (amendement) de 2005 Loi relative à la contribution spéciale à la défense (amendement)
Plus en détail1) L impôt sur le revenu des personnes physiques
DIRECTION DE LA LEGISLATION FISCALE Sous-Direction E - Bureau E 2 139, RUE DE BERCY - TELEDOC 568 75572 PARIS CEDEX 12 DLF/E/DO/2006000762 Fiscalités étrangères FE n 11/06 Anne Galmace 01 53 18 92 24 Fax
Plus en détailItalie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS
Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Déductions et crédits d impôt Réductions d impôts Imposition des plus-values Imposition des revenus financiers Régimes spéciaux concernant les expatriés L impôt
Plus en détailCONVENTION ENTRE LE ROYAUME DE BELGIQUE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO EN VUE D EVITER LA DOUBLE IMPOSITION
CONVENTION ENTRE LE ROYAUME DE BELGIQUE ET LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO EN VUE D EVITER LA DOUBLE IMPOSITION ET DE PREVENIR LA FRAUDE ET L EVASION FISCALES EN MATIERE D IMPOTS SUR LE REVENU ET SUR
Plus en détailNOTE D INFORMATION : LA FISCALITE DES FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE ETAT ACTUEL ET EVOLUTIONS EN COURS
Joëlle Garriaud- Maylam Sénateur représentant les Français établis hors de France NOTE D INFORMATION : LA FISCALITE DES FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE ETAT ACTUEL ET EVOLUTIONS EN COURS Au 31 décembre
Plus en détailHong Kong: Sociétés offshore à Hong Kong :
Hong Kong: Le territoire de Hong Kong est situé sur les côtes Sud Est de la Chine et regroupe un grand nombre d îles. Ce territoire compte, à ce jour, près de sept millions d habitants. Hong Kong est revenu
Plus en détailLuxembourg, le 26 avril 2011. Projet de loi portant
Luxembourg, le 26 avril 2011. Objet: Projet de loi portant 1. approbation du Protocole et de l échange de lettres y relatif, signés à Luxembourg, le 25 janvier 2010, modifiant la Convention entre le Grand-Duché
Plus en détailLes nouvelles modalités d imposition des dividendes perçus par des personnes physiques
Les nouvelles modalités d imposition des dividendes perçus par des personnes physiques Depuis le 1er janvier 2005, de nouvelles modalités de taxation s appliquent aux dividendes distribués par les sociétés
Plus en détailOrganisation successorale internationale: analyse de droit international privé. Conseil de l Union européenne Comité du personnel 20 juin 2013
Organisation successorale internationale: analyse de droit international privé Conseil de l Union européenne Comité du personnel 20 juin 2013 Plan de l exposé Introduction Les conséquences civiles Les
Plus en détailACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA REGION ADMINISTRATIVE SPECIALE DE HONG KONG DE LA REPUBLIQUE
ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA REGION ADMINISTRATIVE SPECIALE DE HONG KONG DE LA REPUBLIQUE POPULAIRE DE CHINE EN VUE D EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS
Plus en détailHarmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc
Commission juridique et fiscale Harmonisation fiscale dans les pays de la Zone Franc Réunion du 3 février 2010 au Cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre CEMAC = 40,11 millions habitants UEMOA = 92,087 millions
Plus en détail---------------------------
F I S C A L I T E A P P L I C A B L E A U X D I V I D E N D E S P A Y E S P A R D E X I A Principe général : Les dividendes d actions payés par des sociétés belges à leurs actionnaires, quelque soit leur
Plus en détailLA MISE À JOUR 2014 DU MODÈLE DE CONVENTION FISCALE DE L OCDE
15 juillet 2014 LA MISE À JOUR 2014 DU MODÈLE DE CONVENTION FISCALE DE L OCDE Introduction Ce document inclut le contenu de la mise à jour 2014 du Modèle de Convention fiscale de l OCDE (la «mise à jour
Plus en détailTable des matières. Avant-propos... 5 Préface... 9 Introduction... 11 Principaux arrêtés royaux et lois étudiés dans cet ouvrage...
Avant-propos... 5 Préface... 9 Introduction.... 11 Principaux arrêtés royaux et lois étudiés dans cet ouvrage... 15 PREMIERE PARTIE Les grands principes de détermination du revenu imposable d une société...
Plus en détailTRAITEMENT FISCAL DES REVENUS MOBILIERS DANS LE CHEF D UN RESIDENT BELGE PERSONNE PHYSIQUE REVENUS 2014
TRAITEMENT FISCAL DES REVENUS MOBILIERS DANS LE CHEF D UN RESIDENT BELGE PERSONNE PHYSIQUE REVENUS 2014 Ci-dessous, nous vous proposons un bref aperçu du traitement fiscal des revenus mobiliers (dividendes
Plus en détailISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions
ISF des dirigeants et actionnaires Les bonnes questions L ISF : Un barème très élevé Seuil d imposition : 1 300 000. Tranche Taux Calcul < 800 000 0% Assiette x 0 Entre 800 000 et 1 300 000 0,50% (A x
Plus en détailLoi de Finances Rectificative 2012 : Impacts et stratégies fiscales à adopter
Loi de Finances Rectificative 2012 : Impacts et stratégies fiscales à adopter Loi de finances rectificative pour 2012 n 201-958 du 16 août 2012 Intervention au Medef Lyon-Rhône 6 septembre 2012 Nathalie
Plus en détail4. Déduction des intérêts d emprunt pour l acquisition de la résidence principale
Lettre d'information - Septembre - Octobre 2007 MESURES FISCALES ET PATRIMONIALES EN FAVEUR DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU POUVOIR D ACHAT ENTREPRISES 1. Défiscalisation des heures supplémentaires 2. Parachutes
Plus en détailLe cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant
Janvier 2015 Le cadre fiscal et social de l épargne salariale pour l épargnant France métropolitaine et D.O.M. (hors Mayotte) BANQUE DE GRANDE CLIENTÈLE / ÉPARGNE ET ASSURANCE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS
Plus en détailREGIME APPLICABLE AVANT LE 1 ER JANVIER 2008 1
RÉGIME DES PERSONNES IMPATRIÉES REGIME APPLICABLE AVANT LE 1 ER JANVIER 2008... 1 REGIME NOUVEAU... 4 A - Personnes concernées... 5 1 Salariés et mandataires sociaux... 5 2 Personnes non salariées... 6
Plus en détailExit tax: L expatriation présente-t-elle encore un intérêt FISCAP 2012. 7 Avril 2012 Michel Collet, Avocat associé CMS Bureau Francis Lefebvre
Exit tax: L expatriation présente-t-elle encore un intérêt FISCAP 2012 7 Avril 2012 Michel Collet, Avocat associé CMS Bureau Francis Lefebvre Plan I. Exit Tax II. Expatriation III. Présentation synthétique
Plus en détailPrésentation de la loi de finances 2013
Expertise Comptable Audit Social Juridique Notre vocation est de mesurer la valeur Notre ambition, vous aider à la créer Conseils Présentation de la loi de finances 2013 Actualités sociales et fiscales
Plus en détailCONVENTION ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE LE GOUVERNEMENT DE L UKRAINE
CONVENTION ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE L UKRAINE EN VUE D EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS ET DE PREVENIR L EVASION ET LA FRAUDE FISCALES EN MATIERE D IMPOTS SUR
Plus en détail- Abrogation de la TVA «sociale» : La hausse de 1,6% de la TVA, qui devait entrer en vigueur le 1 er octobre 2012 devrait être abrogée.
- Abrogation de la TVA «sociale» : La hausse de 1,6% de la TVA, qui devait entrer en vigueur le 1 er octobre 2012 devrait être abrogée. - Contribution exceptionnelle sur la fortune : Une contribution exceptionnelle
Plus en détailAvertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur
DCG UE4 DROIT FISCAL - session 2014 Proposition de CORRIGÉ 2014 dcg-lyon.fr Avertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur DOSSIER 1 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE - 5 points 1.
Plus en détailFiscalité patrimoniale
Fiscalité patrimoniale Suggestions pour une future réforme fiscale Commission parlementaire mixte sur la réforme fiscale 18 novembre 2013 François Parisis Maître de conférences Plan Préambule : quel pourrait
Plus en détailVotre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES
Votre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES Membre inscrit I. Définitions Loi du 11 mai 2007 relative
Plus en détailLes principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012
Les principales dispositions de la loi de finances pour 2013 du 20 décembre 2012 PLAFONNEMENT GLOBAL (CGI. art. 2000 A) Montant du plafonnement global des niches fiscales CGI. art. 2000 A Le montant du
Plus en détailAlain Theimer Avocat au Barreau de Paris Président de la Commission fiscale de l Ordre des Avocats au Barreau de Paris Intervention à la CCIP du 6
Alain Theimer Avocat au Barreau de Paris Président de la Commission fiscale de l Ordre des Avocats au Barreau de Paris Intervention à la CCIP du 6 janvier 2015 1 INTRODUCTION I) FISCALITE DES PERSONNES
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 11533 Projet présenté par les députés : M mes et MM. Ronald Zacharias, Pascal Spuhler, André Python, Jean-Marie Voumard, Jean-François Girardet, Thierry Cerutti, Henry Rappaz,
Plus en détailTRANSMISSION Tirez parti des opportunités fiscales avant fin 2012
14 NOVEMBRE 2011 CCI RENNES BRETAGNE TRANSMISSION Tirez parti des opportunités fiscales avant fin 2012 14 NOVEMBRE 2011 LES INTERVENANTS Me Hervé ORHAN Me Alexandre RUDEAU Arnaud DE KERMADEC Félix JOLIVET
Plus en détailTunisie. Convention fiscale avec la Grande Bretagne
Convention fiscale avec la Grande Bretagne Signée le 15 décembre1982 Art.1.- Personnes visées La présente Convention s applique aux personnes qui sont des résidents d un Etat contractant ou de chacun des
Plus en détailFRANCE : RÉGULARISATION
FRANCE : RÉGULARISATION DES AVOIRS DÉTENUS À L ÉTRANGER FISCALITÉ FRANÇAISE : QUELS CHANGEMENTS MAINTENANT? - Michel Collet - 16 octobre 2012 PLAN A - INTRODUCTION I - LA LUTTE CONTRE L ÉVASION FISCALE
Plus en détailLoi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011
Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011 Loi de finances pour 2011 La loi de finances pour 2011 ne bouleverse pas notre fiscalité. Les principales dispositions sont relatives
Plus en détailOrdonnance concernant la convention de double imposition américano-suisse du 2 octobre 1996
Ordonnance concernant la convention de double imposition américano-suisse du 2 octobre 1996 672.933.61 du 15 juin 1998 (Etat le 30 novembre 2011) Le Conseil fédéral suisse, vu l arrêté fédéral du 22 juin
Plus en détailLOI DE FINANCES POUR 2011 Loi du 15 décembre 2010 QUELQUES ASPECTS FISCAUX FISCALITÉ DES ENTREPRISES
FR 52-09 LOI DE FINANCES POUR 2011 Loi du 15 décembre 2010 QUELQUES ASPECTS FISCAUX FISCALITÉ DES ENTREPRISES GROUPE DE SOCIÉTÉS : RÉGIME DES SOCIÉTÉS MÈRES ET FILIALES Suppression de la possibilité de
Plus en détailSOCIÉTÉ EN SUISSE. Présentation du pays. Une place onshore. Page 1 1 CHF = 0.80. Délai de création : 18 jours. Sociétés pré-constituées : Non
INFORMATIONS GÉNÉRALES Présentation du pays Délai de création : 18 jours Sociétés pré-constituées : Non Comptabilité : Obligatoire Secrétariat : Obligatoire Actionnariat anonyme : Oui Directeur nominé
Plus en détailVotre patrimoine étranger en ligne de mire!
Votre patrimoine étranger en ligne de mire! De l échange de renseignements à la taxe Caïman et la possibilité d une rectification spontanée DE BROECK VAN LAERE & PARTNERS Avocats à Bruxelles, Gand et Anvers
Plus en détailGROUPE DE TRAVAIL SUR UNE ASSIETTE COMMUNE CONSOLIDÉE POUR L IMPÔT DES SOCIÉTÉS (GT ACCIS) Dividendes. Réunion prévue pour le 12 septembre 2006
COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA FISCALITÉ ET DE L UNION DOUANIÈRE Analyses et politiques fiscales Analyse et coordination des politiques fiscales Bruxelles, 28 juillet 2006 Taxud E1, RP
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailACCORD. entre le Gouvernement de la République française. et le Gouvernement. de la République populaire de Chine
ACCORD entre le Gouvernement de la République française et le Gouvernement de la République populaire de Chine en vue d éviter les doubles impositions et de prévenir l évasion et la fraude fiscales en
Plus en détailACTUALITE DES EXPATRIES. Fiscalité : comment déclarer vos revenus de 2010? Aspects russes et français. CCIFR 3 mars 2011 Swisshôtel Krasnye Holmy
ACTUALITE DES EXPATRIES Fiscalité : comment déclarer vos revenus de 2010? Aspects russes et français CCIFR 3 mars 2011 Swisshôtel Krasnye Holmy André LOUP RESIDENCE FISCALE RESIDENCE FISCALE FRANCE Les
Plus en détail> Abréviations utilisées
Aide-mémoire fiscalité des particuliers 2015 > Abréviations utilisées BNC : bénéfices non commerciaux IR : impôt sur le revenu NP : nue-propriété PFL : prélèvement forfaitaire libératoire PVI : plus-value
Plus en détailPoint sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger.
Olivier HOEBANX Associé BMH Avocats Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Introduction Depuis quelques années, de nombreux pays se sont engagés dans des démarches
Plus en détailDéclaration des plus ou moins-values réalisées en 2014
N 2074 N 11905 * 15 Déclaration des plus ou moins-values réalisées en 2014 distributions de plus-values par un OPCVM ou un placement collectif ; cessions de valeurs mobilières, droits sociaux, titres assimilés
Plus en détailDroits d auteurs : quelles opportunités fiscales?
Droits d auteurs : quelles opportunités fiscales? Vincent Lamberts et Jean-Luc Wuidard Avocats au Barreau de Liège 26 novembre 2010 Petit déjeuner conférence Etudes et Expansion ASBL Plan des exposés -1.
Plus en détailLA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS
LA FISCALITE ISRAELIENNE L INTERET DES INVESTISSEURS OU DES IMMIGRANTS FRANÇAIS Maître ALON LEIBA Avocat au barreau d ISRAEL et de PARIS 14, rue Clément Marot 75008 Paris 1 PLAN 1. Le régime d imposition
Plus en détailVotre résidence fiscale est en France. B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013)
Votre résidence fiscale est en France B8 Impôt sur la fortune (Mise à jour mai 2013) En France, l impôt sur la fortune, appelé Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF), est un impôt qui frappe le patrimoine.
Plus en détailCongo Convention fiscale avec la France
Convention fiscale avec la France Convention, signée le 27 novembre 1987 Entrée en vigueur le 1 er septembre 1989 Convention entre le gouvernement de la République Populaire du et le gouvernement de la
Plus en détailAspects fiscaux des placements en société
Aspects fiscaux des placements en société Sommaire 1. Généralités 2. Exploiter d abord l épargne fiscale 2.1. L engagement individuel de pension via une assurance externe (EIP) 2.2. Une pension libre complémentaire
Plus en détailNous ne développerons pas ici l allègement des pactes «Dutreil», ni la définition plus large des biens professionnelles, mesures fort bienvenues.
DROIT ET FINNCE DROIT ET FINNCE DROIT ET FINNCE Les Défis de mai 2011 N 3 La newsletter de DFi vocats SPECIL PROJET LOI REFORME L ISF : RIEN NE S OPPOSE L INVESTISSEMENT DNS LES PME Le projet de «loi de
Plus en détailQuelques modestes idées pour une réforme de l impôt des entreprises
Quelques modestes idées pour une réforme de l impôt des entreprises Philippe Malherbe Professeur à l Université catholique de Louvain Avocat (Liedekerke) Commission mixte Chambre-Sénat le 4 novembre 2013
Plus en détailPETITS-DEJEUNERS D ACTUALITES FISCALES 2013-2014 TABLE DES MATIERES
PETITS-DEJEUNERS D ACTUALITES FISCALES 2013-2014 TABLE DES MATIERES OCTOBRE 2013 1. Fiscalité de l été 1.1. Les nouveautés à l ISOC 1.1.1. Les commissions secrètes 1.1.2. La fairness tax 1.1.3. Autres
Plus en détailMESURES INCITATIVES À L INVESTISSEMENT 1
1/9 1. Fonds de promotion de l investissement «FPI» 2 Investissement égal ou supérieur à 200 Millions Dh Création d au moins 250 emplois stables Installation dans une des provinces ou préfectures «prioritaires»
Plus en détailReximmo Patrimoine 2
G E S T I O N D E P A T R I M O I N E Reximmo Patrimoine 2 SCPI DE TYPE «MALRAUX» Un investissement indirect dans de l immobilier ancien au cœur des villes historiques Souscription ouverte jusqu au 20
Plus en détailUNE ACTIVITÉ LÉGISLATIVE FISCALE INTENSE : IMPACT SUR LES EXPATRIÉS
L année 2011 aura été particulièrement chargée en matière d actualité fiscale : en effet, la loi de finances pour 2011 a été modifiée par pas moins de quatre lois de finances rectificatives; et à peine
Plus en détailActualité fiscale 25 juin 2015
INTERESSEMENT DES SALARIES Le projet de loi Macron Le projet de loi pour la croissance, l activité et l égalité des chances économiques, dite «loi Macron», a été présenté le 11 décembre 2014. Après de
Plus en détailLoi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements?
Le 27 janvier 2014 Loi de finances pour 2014 et loi de finances rectificative pour 2013 : Quels sont les principaux changements? I. POUR LES ENTREPRISES 1.1 Nouvelle taxe exceptionnelle sur les hautes
Plus en détailLe secrett Ibaimcalire-
UNIVERSITE DE LAUSANNE FACULTÉ DE DROIT Le secrett Ibaimcalire- Sa portée dans le temps, dans l'espace et dans les groupes de sociétés. THESE de licence et de doctorat présentée à la Faculté de droit de
Plus en détailPatrimoine franco-isra. israélien : impositions sur le capital
Patrimoine franco-isra israélien : impositions sur le capital Charles SCHEER, Avocat à la Cour, Spécialiste en Droit fiscal, Cabinet SCHEER Hervé OLIEL, Avocat à la Cour, Spécialiste en Droit fiscal, Cabinet
Plus en détailLatham & Watkins Département Tax. des investisseurs
Numéro 360 14 Janvier 2004 Client Alert Latham & Watkins Département Tax La loi de finances pour 2004 ainsi que la loi pour l Initiative Economique votée l été dernier prévoient de nombreuses mesures en
Plus en détailPopulation : 20.3 millions Taux de croissance PIB: 9,4% (2013)
Disclaimer : Cette fiche pays ne constitue qu un outil de base destiné à présenter aux lecteurs une synthèse globale des régimes juridiques et fiscaux des entreprises d investissement à capital fixe. Elle
Plus en détailL intérêt fiscal d utilisation d une société holding belge comme outil de planification
La Holding belge, utilisation par les résidents et les non-résidents option «put» pour forcer celui qui a vendu ses actions en violation des clauses de stabilité de l actionnariat à racheter les actions
Plus en détailSOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE
SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE AVERTISSEMENT : La souscription réalisée par une personne domiciliée hors de France ou par un ressortissant d un Etat autre que la France sur le territoire national
Plus en détailACTUALITES FISCALES. Loi de finances 2014 : les censures du Conseil Constitutionnel
ACTUALITES FISCALES Loi de finances 2014 : les censures du Conseil Constitutionnel Dans sa décision n 2013-685 DC du 29 décembre 2013, le Conseil Constitutionnel a censuré plusieurs mesures fiscales prévues
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailThèmes de Formation. Les fondamentaux techniques et commerciaux. Technique et commercial : les indissociables
Thèmes de Formation Thématiques de formation délivrées par Michel Brillat, Directeur de la Formation et de l Ingénierie Patrimoniale, CGP Entrepreneurs Pour ce faire, le minimum «syndical» à savoir PEL,
Plus en détailLundi 8 octobre 2007. Nancy. Comment optimiser l organisation de votre patrimoine grâce à la loi TEPA et au projet de Loi de Finances 2008?
Lundi 8 octobre 2007 Nancy Comment optimiser l organisation de votre patrimoine grâce à la loi TEPA et au projet de Loi de Finances 2008? Frédéric Gros Directeur Nancy Élise Moras Ingénieur patrimonial
Plus en détail1. La rupture unilatérale 13 2. La rupture de commun accord 14
Table des matières Titre 1 La séparation des époux 7 Bibliographie sommaire 9 Introduction 11 Chapitre 1 13 Les principes régissant la séparation des époux 13 Section 1. La rupture de la vie commune 13
Plus en détailFIT4 BUSINESS HARMONISATION OU NON
FIT4 BUSINESS HARMONISATION OU NON DES INTERMÉDIAIRES DU COMMERCE ANIMATION PAR MARIE-LUCE DIXON, JURISTE LUNDI 10 MARS 2014 LUXEMBOURG LE RÉSEAU ENTREPRISE EUROPE Réseau officiel mis en place par la Commission
Plus en détailUNE FISCALITÉ ADAPTÉE
UNE FISCALITÉ ADAPTÉE AU SERVICE DE LA COMPÉTITIVITÉ ET DE L INVESTISSEMENT 10 L ESSENTIEL EN POINTS 1 UN 2 3 4 TAUX EFFECTIF D IMPOSITION COMPÉTITIF L étude KPMG Competitive Alternative (2014) compare
Plus en détailÉpargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents
Épargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents Sommaire 3 LA DIRECTIVE EUROPÉENNE SUR L ÉPARGNE: UN CONTEXTE NOUVEAU POUR L ÉPARGNE CONSTITUÉE
Plus en détailFiscalité de l épargne. Eric Vacher Conseiller pour les affaires fiscales
Fiscalité de l épargne Eric Vacher Conseiller pour les affaires fiscales Mercredi 9 Janvier 2013 Un engagement électoral Proposition 14 de François HOLLANDE «La contribution de chacun sera rendue plus
Plus en détailRéunions patrimoniales Janvier Février 2013
Réunions patrimoniales Janvier Loi de Finances pour 2013 et 3 ème Loi de finances Rectificative pour 2012 Le présent document vous est transmis à titre personnel, il a été réalisé sur la base de l environnement
Plus en détailLes stratégies de démembrement restent-elles pertinentes? Les clés d optimisation
Les stratégies de démembrement restent-elles pertinentes? Les clés d optimisation Animé par : Benoît Baron, Rédacteur en chef - L AGEFI ACTIFS Intervenants : Grégoire SALIGNON Directeur de l ingénierie
Plus en détailFiche réalisée par Gentiane Guillot, relue et validée par Frédéric Subra - Cabinet Delsol et associés
La retenue à la source sur les représentations à l étranger et les droits d auteur Lors d une tournée à l étranger, les taxes appliquées par les acheteurs sur le montant du contrat de cession sont parfois
Plus en détailINFORMATIONS SUR LE TRAITEMENT FISCAL DE LA DISTRIBUTION EN NATURE ENVISAGEE
INFORMATIONS SUR LE TRAITEMENT FISCAL DE LA DISTRIBUTION EN NATURE ENVISAGEE Paris, le 11 juin 2015, 17h35 Le groupe de services digitaux HiMedia Group (Code ISIN FR0000075988 - HIM, HIM.FR), communique
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailProjet de Loi de finances pour 2014. et Projet de Loi de Finances rectificative pour 2013
Projet de Loi de finances pour 2014 et Projet de Loi de Finances rectificative pour 2013 10/12/2013 1 Fiscalité des particuliers 2 PLAFONNEMENT ISF : MODIFICATION DES REVENUS A PRENDRE EN COMPTE (art.8
Plus en détailLa Lettre COFIGE Patrimoine Octobre 2013 - N 12. Projet de loi de finances 2014 Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2014
Madame, Monsieur, Le projet de loi de finances pour 2014 a été présenté en Conseil des ministres le 25 septembre. Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 a été quant à lui rendu
Plus en détail11 Détermination de votre résultat fiscal 2012
11 Détermination de votre résultat fiscal 2012 Six nouveaux retraitements extra-comptables MC 816, 817, 939-1, 1880, 1918-4, 2153-1, 2220-2, 2857 PAR LES AUTEURS DU MEMENTO ANNE-LYSE BLANDIN, Associée,
Plus en détailAlgérie. Convention fiscale avec la Belgique
Convention fiscale avec la Belgique Signée le 15 décembre 1991, entrée en vigueur le 1 er janvier 2004 Art.1.- Personnes visées La présente Convention s applique aux personnes qui sont des résidents d
Plus en détailBIENVENUE AU PARADIS DES ENTREPRENEURS
BIENVENUE AU PARADIS DES ENTREPRENEURS Les Emirats bénéficient d'une des économies les plus dynamiques au monde. Réputé pour sa beauté naturelle et son "art de vivre", Dubaï a également acquis la réputation
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS
GUIDE PRATIQUE DE LA SCI MISES A JOUR et COMPLEMENTS D'INFORMATIONS Les présentes mises à jour concernent le quatrième tirage 2000. PACS ( Pacte civil de solidarité ) - Page 6 Le régime applicable entre
Plus en détailITALIE. Commission ouverte
Commission ouverte ITALIE Responsable : martina barcaroli AVOCAT AUX BARREAUX DE PARIS ET DE ROME Lundi 23 février 2015 L imposition des dividendes des sociétés étrangères : Le cas de l Italie, la France
Plus en détailLES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL
LES SOCIETES DE GESTION DE PATRIMOINE FAMILIAL (SPF) www.bdo.lu 2 Les Sociétés de Gestion de Patrimoine Familial (SPF) TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS 3 1. INTRODUCTION 4 2. ACTIVITES D UNE SPF 2.1 Activités
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE La fiscalité simplifiée des valeurs mobilières Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre
Plus en détailNewsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2012
Newsletter - Mesures fiscales de la loi de Finances pour 2012 Octobre 2012 Sommaire 1. CONTRIBUTION EXCEPTIONNELLE SUR LA FORTUNE...2 2. DROITS DE SUCCESSION ET DE DONATION...2 2.1 Réduction de l abattement
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailService Public Fédéral Finances Diminuer la pression fiscale sur les revenus de brevets, un incitant à l innovation 2013 Cellule Fiscalité des Investissements Etrangers Michela Ritondo Personnel Dispense
Plus en détailN 5 JANVIER 2013 LOI DE FINANCES POUR 2013 PRINCIPALES REFORMES IMPOT SUR LES SOCIETES (IS) La LF prévoit :
La loi de finances pour 2013 (LF) a été publiée au Journal Officiel du 30 décembre 2012 après avoir été examinée par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier a partiellement censuré la LF telle qu elle avait
Plus en détailLes intérêts notionnels (déduction pour capital à risque) et la réserve d investissement. Les intérêts notionnels (déduction pour capital à risque)
Mise à jour : 23/03/2015 Parc scientifique Einstein - Rue du Bosquet 8A - B 1348 Louvain-La-Neuve Téléphone : +32 (0)10/811 147 Fax +32 (0)70/401 237 - info@filo-fisc.be Les intérêts notionnels (déduction
Plus en détailDIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 4 OCTOBRE 2011 5 B-13-11
DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 4 OCTOBRE 2011 5 B-13-11 IMPOT SUR LE REVENU. REDUCTION D IMPOT SUR LE REVENU. CONSEQUENCES DE L ABROGATION DU COMPTE EPARGNE CODEVELOPPEMENT. COMMENTAIRES
Plus en détailPremière partie IMMUNITÉ ET JUSTICE : LES CONTRADICTIONS... 31. Titre 1 Contradiction des fondements et divergence des sources...
TABLE DES MATIÈRES Remerciements......................................................................... 7 Préface.................................................................................... 9
Plus en détail