Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur : Lithiase Urinaire et Transplantation Rénale (en 9 points!)
|
|
- Ségolène Lecompte
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur : Lithiase Urinaire et Transplantation Rénale (en 9 points!) Frank Martinez Transplantation rénale Hôpital Necker / Paris
2 Lithiase Urinaire et Transplantation rénale en 9 points (1) Fréquence / présentation (2) Facteurs de risque (3) Facteurs de «protection» (4) L hyperoxalurie primitive de type 1 (5) Le déficit en APRT (6) Lithiase(s) chez les donneurs (7) Les spécificités thérapeutiques chez les transplantés (8) Corynébactérium uréalyticum (9) Dépôts calciques et Hyperparathyroïdie
3 QCM (I)! La fréquence des complications lithiasiques urinaires chez le transplanté rénal adulte est de: A: < 1 % B: 2,5 % C: 5 % D: 7,5 % E: 10 %
4 QCM (II)!! Peut être considéré comme un donneur vivant potentiel: A: individu ayant un rein unique en fer à cheval B: individu ayant un DFG mesuré < 70 ml/min C: individu ayant une trithérapie anti-hta D: individu ayant un BMI à 40 (malgré régime) E: individu ayant une lithiase calicielle unique
5 1. Fréquence (I) : Bicêtre / patients greffés de 1976 à patients ont présenté une lithiase - Asymptomatique, chez 8 (rein «dénervé») 0,8 % - Fréquence 10 fois plus faible qu avant 1980 Benoît G et Al. Clin Transplant 1996
6 1. Fréquence (II) : Necker / Mars patients suivis en 2008 Dont 547 patients greffés de 2005 à hospitalisations pour lithiase (2005 / 2007) 4 «cohorte» (dont 2 JJ «oubliées») 4 «incidents» (dont 2 donneurs) < 0,5 à 1 % Autre information Necker Attente pour IRCT «lithiasique» 6 / 551 = 1 % liste attente F. Martinez et DIM Necker, 2008
7 1. Fréquence (III) : USRDS transplantés! (USRDS ) 104 cas pour patients x année = 0,1% patient x année Greffe rénale: Idem population générale chez l homme Femme transplantée : RR x 2,84 Abbott KC Am J Transplant 2003
8 2. Facteurs de risque (I): Le terrain (Guest G Arch Fr Pediatr 1993 / Rhee BK J urol 1999) Rein Pancréas ( et dérivation vésicale) = 2 à 4 % Enfants = 4 à 5 % (malformations urinaires) Les facteurs «locaux» Vessie intestinale Infection urinaire Obstacle et chirurgie itérative ATCD lithiasiques Fils / sutures non résorbables
9
10 2. Facteurs de risque (II): métabolisme En théorie, de multiples facteurs de risque : 5 à 15 % d hyperparathyroïdie tertiaire (Ca > 2,65 et PTH > 70 sans carence en Vit D) Supplémentation vitamino(d)-calcique fréquente Hyperuricémie (80 % à un an!) Acidose (HCO3 < 24 chez 58 % des Tx, m = 22,5) Hypocitraturie Hypocitraturie : 30% en cas de lithiase Kim Korean J Int Med, 2001 Hypocitraturie : 75% en cas de lithiase Harper, Br J Urol, 1994
11 2.facteurs de risque (III): métabolisme Une réalité plus nuancée En l absence d hypercalcémie : la calciurie est basse 3,2 vs 4,6 mmol/j ; p < 001 Dumoulin G, Kidney Int 2002 Ca-oxalate saturation < greffé vs volontaires sains Pas d hypercalciurie après charge calcique Fraction d excrétion d acide urique abaissée (Sauf agent uricosurique) Laine J Nephron 1996 Pas d analyse systématique de la citraturie
12 3. Et des facteurs de protection (!) : Absence de prédisposition génétique du receveur (1% de lithiasique sur la liste d attente) et (en général) du donneur Dysfonction rénale = Tb de concentration U. Polyurie 2,4l /jour vs 1,39 /jour Dumoulin G Kidney Int 2002 FE magnésium augmentée EF Mg = 4,9 vs 2,32 Mazzaferro S, J nephrol 2002) Et Nycturie des greffés!
13 LITHIASE DU TRANSPLANTE COMPOSITION Phosphocalcique - Hypercalcémie / Hyperphosphaturie -HPT IIIaire - Néphrocalcinose associée
14 LITHIASE DU TRANSPLANTE COMPOSITION Phosphocalcique Oxalo-calcique - Souvent mixte (Ph x Ca) -Contexte obstructif -Hyperoxalurie
15 LITHIASE DU TRANSPLANTE COMPOSITION Phosphocalcique Oxalo-calcique Struvite - Mixte -Contexte infection à germes uréasiques - Facteurs obstructifs - Vessie iléale
16 LITHIASE DU TRANSPLANTE COMPOSITION Phosphocalcique Oxalo-calcique Struvite Acide urique Hyperuricurie: 5/130
17 4. Les maladies récidivantes: l hyperoxalurie primitive de type 1 Déficit hépatique complet (75 %) ou partiel (25 %) en Alanine Glyoxylate aminotransferase (AGT)
18 4. Les maladies récidivantes: l Hyperoxalurie primitive Y penser!, chez l adulte aussi, Néphrocalcinose + Lithiases + IRC : Exclure une hyperoxalurie/ primitive : - Oxalurie Glycolaturie +++ / (glycératurie) - Dosage enzymatique (foie)
19 4. Les maladies récidivantes: l hyperoxalurie primitive de type 1 Maladie récessive autosomique (2q36-q37) Nombreuses mutations (> 40) 1 / naissance 0,5 (à 10 %) des causes d IRCT pédiatrique Forme infantile précoce (néphrocalcinose / IRCT) Forme infantile / et adolescence ++++ Forme de l adulte + (lithiase + IRC) Diagnostic post-transplantation (!) Absence de symptômes / histoire familiale Cochat P. et al (Oxford Textbook 2004)
20 4. Les maladies récidivantes: l hyperoxalurie primitive de type 1 L atteinte rénale = Lithiases oxalo-calciques récidivantes Néphrocalcinose IRC progressive l hyperoxalurie En dessous de 40 ml/ min: l oxalose systémique Os +++ (métaphyses / anémie) Cœur ( muscle et conduction) Nerfs périphériques Peau (livedo/ulcères) et articulation (chondrocalcinose) Rétine Cochat P. et al (Oxford Textbook 2004)
21 4. l hyperoxalurie primitive de type 1: Un casse-tête «passionnant» pour le(s) transplanteur(s) 1) Traiter le défaut génétique et le déficit enzymatique En attendant la thérapie génique Vit B6 (cofacteur de l AGT) Greffe de Foie ) Prévenir puis Traiter la défaillance rénale Hydratation ( > 2l/m2 ) / citrate (3 prises) / vit B6 Greffe rénale +++ Car la dialyse est défaillante pour traiter l oxalose 3) Traiter l oxalose systémique = Eviter la surcharge = greffe de foie (et hépatectomie du foie malade) Faciliter la clairance = greffe de rein (qui marche > 40 ml/min) Dialyse et hydratation post Tx Mortalité précoce en greffe hépatique (devenue rare) Mauvais résultats (habituels) des greffes rénales isolées Sauf (?) Déficit AGT partiel / Mdie rénale > oxalose systémique/ âge
22 5. Les maladies récidivantes: le déficit en APRT Maladie très rare (< 50 cas France / chromosome Déficit en Adénine PhosphoRibosylTransférase (Ch16) Accumulation d adénine et de son métabolite urinaire la 2,8- dihydroxyadénine= très insoluble +++ (spectroscopie infrarouge) Cristaux et lithiases et IRCT Récidive post-greffe = constante +++ Sauf diagnostic et Hydratation +++ Allopurinol +++ Régime pauvre en purine ++ Cassidy MJD NDT 2004 Gagné ER AJKD 1994
23 6. Lithiase chez le(s) donneur(s): c est possible Fréquence dans la population générale ++ = donc fréquence chez les donneurs ( C & V) N est pas une contre-indication au don / prélèvement Si: DFG (vrai) > 80 ml/min/1.73m2 Filtration symétrique (scintigraphie) Lithiase unique et «idiopathique» (calcique / urique) Sans maladie sous-jacente identifiable ( hyperca / hyperpara / acidose / morphologie urinaire normale) Choisir le rein lithiasique!! Idéalement traitement (technique ex-vivo) avant greffe sauf lithiase < 4 mm Giessing M Clin Transplant 2008 & Martin G Urology 2007
24 7. Lithiase chez les transplantés : spécificités thérapeutiques Un transplant rénal, c est : Un rein unique, en IRC modérée, en position iliopelvienne (donc entouré d os ), avec une anastomose urinaire «ectopique» (et un système anti-reflux), qui saigne parfois facilement (IRA/IRC/ anti-aggrégants) Chacun de ces points à des conséquences sur les options Lithotripsie - LEC - (repérage -os- / hématomes) Approches per-cutanées (facilité? / saignement) Urétéroscopie rigide / souple (anastomose «ectopique») Chirurgie à ciel ouvert ( fibrose ++ / perte néphronique) Attention aux JJ (oublis / changement / infections)
25 8. Une infection méconnue du transplanté rénal L infection urinaire à Corynébactérium Uréalyticum Germe uréasique (présent sur la peau) Peut Infecter les urines! Cystite et pyélite incrustante : struvite Culture lente & difficile Traitement difficile Vancomycine ++ Acidification locale ++ Fragmentation ++ Hertig A, JASN 2000 Meria P, J Urol 1998
26 8. Une infection méconnue du transplanté rénal L infection urinaire à Corynébactérium Uréalyticum Etude systématique chez 163 greffés Culture longue et milieu spécial Présence = 16 / 163 patients = 9,8 %! 6 asymptomatique 9 «cystite» 1 pyélite incrustante Facteurs de risque: Antibiothéraphie Nephrostomie portage cutanée Signes de cystite Lopez-Medrano F Clin Infect Dis 2008
27 9. Au delà des cristaux & lithiases: les calcifications du greffon Approche systématique du groupe de hannovre: 213 patients Biopsies systématiques à S6 et M6 Fréquence des calcifications: 6,1 % (S6) et 17,8 % (M6) Association : calcémie & PTH Pas d association : Durée ischémie, ciclo ou FK, type de dialyse, fibrose interstitielle Sous groupe avec calcifications: Association inverse PTH / DFG à un an
28 9. Au delà des cristaux & lithiases: les calcifications du greffon Pour une prise en charge «aggressive» de l hyperparathyroidïe? Réversibilité à un an ++ (HPT secondaire versus tertiaire), fréquence (90%) de la carence en vit-d native Hypofiltration post-parathyroïdectomie > 20 % chez 50 % des patients (Delta PTH) Calcifications 70 % des patients Sans conséquence sur la survie à 10 ans Intérêt du cinacalcet (mimpara)? Efficace 9/10 calcémie (-0,25 mmol/l - Ca total) Pas d hypofiltration (30 / 60 mg) Hypercalciurie post prise
29 Fig 1 : Variations of serum PTH and Cai levels after cinacalcet morning dose delta PTH (%) delta Cai (%) T0 T1 T2 T3 T4 T5 time (hours) 0
30 Fig 2 : Variations of urinary Ca/Creat ratio after cinacalcet morning dose delta Ca u /Creat u (%) T0 T1 T2 T3 T4 T5 time (hours)
31 Lithiases et transplantation rénale: 5 «take-home messages» 1) Rare (< 1%) mais «time-consuming» 2) Penser à l hyperoxalurie primaire (oxalose) et au déficit en APRT (lithiases et cristaux de 2,8 DHA) 3) Rechercher l infection à corynebacterium urealyticum 4) Ne pas exclure les donneurs lithiasiques 5) La «meilleure» prise en charge précise de l hyperparathyroïdie tertiaire reste à définir Place du cinacalcet (pour qui?, durée?, calciurie?) Place de la chirurgie
32 Merci les jeunes néphrologues!
33 QCM (I)! La fréquence des complications lithiasiques urinaires chez le transplanté rénal adulte est de: A: < 1 % B: 2,5 % C: 5 % D: 7,5 % E: 10 %
34 QCM (II)!! Peut être considéré comme un donneur vivant potentiel: A: individu ayant un rein unique en fer à cheval B: individu ayant un DFG mesuré < 70 ml/min C: individu ayant une trithérapie anti-hta D: individu ayant un BMI à 40 (malgré régime) E: individu ayant une lithiase calicielle unique
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailDonneurs vivants Risques à long terme. Cours de transplantation Univ. Montréal et McGill 5 avril 2013
Donneurs vivants Risques à long terme Michel R. Pâquet MD, PhD Unité de Transplantation Le Centre Hospitalier de l Université de Montréal Hôpital Notre-Dame Montréal Hôtel-Dieu Hôpital Notre-Dame Cours
Plus en détailLa Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques
La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailEvolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT
Evolution des paramètres de la transplantation rénale depuis 10 ans - Illustration à partir du rapport d activité de DIVAT Marc Ladrière CHU Nancy Hôpital Brabois Adulte 19 mars 2015 Le rapport d activité
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailPROGRAF MC Toutes indications
PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailPlanification d une substitution rénale: que faut-il savoir?
CURRICULUM Forum Med Suisse 8;8:7 74 7 Planification d une substitution rénale: que faut-il savoir? Hanno Elsässer a, Nick Hoyer b, Michael Dickenmann a a Klinik für Transplantationsimmunologie und Nephrologie,
Plus en détailDémarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc
Démarrage du prélèvement d organes et de Tissus sur donneurs décédés au Maroc B.Ramdani Président du coneil consultatif de Transplantation d'organes et de tissus humains benyounsramdani@gmail.com 1 INTRODUCTION
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailLa goutte la maladie des rois
La goutte la maladie des rois Tous droits protégés Pharmanetis Sàrl Tout savoir sur la goutte Comment bien gérer sa maladie? Par Van Nguyen et Xavier Gruffat (pharmaciens) Photo: Matthew Cole - Fotolia.com
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailspecial greffe ii numéro LA REVUE SEMESTRIELLE GRATUITE DE LA LIGUE REIN ET SANTÉ MARS 2012 - SEPT. 2012 DOSSIER GREFFE ET DIABÈTE page 41 à 47
n 12 MARS 2012 - SEPT. 2012 LA REVUE SEMESTRIELLE GRATUITE DE LA LIGUE REIN ET SANTÉ numéro special greffe ii DOSSIER GREFFE RÉNALE page 5 à 26 AIDE MÉMOIRE DU TRANSPLANTÉ page 26 à 40 DOSSIER GREFFE ET
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailTout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse
Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches
ROTARY INTERNATIONAL District 1780 Rhône-Alpes Mont-Blanc Don volontaire de cellules souches Le don de cellules souches Jean VIVIN 04/2013 1-Nature du problème : 2- Technique Les leucémies représentent
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailnews L évolution des dons d organes issus de donneurs vivants en Suisse
swisstransplant 4 L évolution des dons d organes issus de donneurs vivants en Suisse Sous dons d organes issus de donneurs vivants, on entend le prélèvement d un organe chez une personne saine avec une
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailRevue Médicale Suisse Prélèvement de rein chez le donneur vivant : l évolution mini-invasive
Revue Médicale Suisse Prélèvement de rein chez le donneur vivant : l évolution mini-invasive Auteur : N. Fleury J. Schwartz K. Hadaya P.-Y. Martin C. Iselin Numéro : 3136 Sujet: Urologie La transplantation
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailMaladies ostéo-articulaires
CHAPITRE 8 Maladies ostéo-articulaires PLAN DU CHAPITRE INTERPRÉTER LA PRÉSENCE D'ANTICORPS ANTI-PEPTIDES CYCLIQUES CITRULLINES (AC. ANTI-CCP) INTERPRÉTER LA PRÉSENCE D'UN FACTEUR RHUMATOÏDE INTERPRÉTER
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailLe guide. pour tout comprendre. Agence relevant du ministère de la santé
DON D ORGANES, IL SUFFIT DE LE DIRE. MAINTENANT. Le guide pour tout comprendre Agence relevant du ministère de la santé La greffe D organes comment s y prendre? des vies La greffe d organes est un acte
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailCaroline John, Sophie Kamel, Vincent Dombre, Joao Da Costa Rodrigues, Yann Coattrenec
Caroline John, Sophie Kamel, Vincent Dombre, Joao Da Costa Rodrigues, Yann Coattrenec Plan de l exposé 1. Introduction 2. Déséquilibre offre demande 3. Donneur 4. Receveur 5. Liste d attente 6. Aspect
Plus en détailLe financement du prélèvement et de la greffe d organes La région Centre face aux défis de la greffe
Le financement du prélèvement et de la greffe d organes La région Centre face aux défis de la greffe Abm / direction médicale et scientifique / pôle OFAS 1 2 3 Rôle et place de l Agence de la biomédecine
Plus en détailRegistre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires. Qu est-ce qu une greffe de rein par échange de bénéficiaires?
Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires Qu est-ce qu une greffe de rein par échange de bénéficiaires? Le Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires. Notre
Plus en détailAu Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007.
Communiqué de presse Luxembourg, le 2.02.2008 Campagne Il y a une vie après la mort. D après les statistiques d EUROTRANSPLANT, organisme européen qui gère les échanges d organes entre les pays Luxembourg,
Plus en détailIncontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris
Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailDon d organes. Notre pays a une nouvelle loi sur la transplantation depuis juillet 2007.
Don d organes Donner ses organes et ses tissus à son décès est un geste généreux qui permet de sauver la vie de plusieurs personnes et d en aider de nombreuses autres à recouvrer la santé. La transplantation
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailRecommandations du groupe ERBP sur l évaluation du donneur de rein et du receveur, et des soins périopératoires
Recommandations du groupe ERBP sur l évaluation du donneur de rein et du receveur, et des soins périopératoires 1 Disclaimer: this guideline was translated with approval of ERBP the official guideline
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailInformation au patient TRANSPLANTATION RÉNALE. Coordination de transplantation 02 477 60 99
Information au patient TRANSPLANTATION RÉNALE Coordination de transplantation 02 477 60 99 Transplantation Rénale 1. Introduction Pour le patient qui présente un stade avancé d insuffisance rénale, la
Plus en détailConclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation. R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen
Conclusions d étape Groupe de travail APHP Prélèvements - Transplantation R Adam, F. Desgrandchamps, S Cohen Etat des lieux : prélèvements et greffes à l AP-HP Forte Activité de l AP-HP au plan national
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailLa prise en charge des insuffisants rénaux chroniques au stade terminal État des lieux
La prise en charge des insuffisants rénaux chroniques au stade terminal État des lieux Pr. Larbi ABID La maladie rénale chronique que l on nomme insuffisance rénale chronique (IRC) se définit soit par
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailEthique, don d organe et Agence de la Biomédecine
Ethique, don d organe et Agence de la Biomédecine Patrick Niaudet Président du Conseil d Orientation de l ABM Servie de Néphrologie Pédiatrique Hôpital Necker-Enfants Malades, Paris Mon intervention ne
Plus en détailJ aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire?
Simon Equilibré grâce à sa pompe depuis 2004 J aimerais garder les hypoglycémies sous contrôle - Que puis-je faire? L hypoglycémie peut être l une des préoccupations majeures des diabétiques de type 1,
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailLe don de cellules souches. M.Lambermont Pascale Van Muylder
Le don de cellules souches M.Lambermont Pascale Van Muylder 1 Pourquoi avons-nous recours à la greffe de CSH? Certaines maladies causent la destruction ou un fonctionnement anormal de la moelle osseuse.
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLes reins sont foutus
Les reins sont foutus quelles sont les avenues? F O R M A T I O N C O N T I N U E Vous voyez en relance M me Bouthillier, 83 ans, atteinte d insuffisance cardiaque ischémique, d hypertension artérielle,
Plus en détailEnjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur
Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailVous êtes concerné par l'insuffisance rénale : LA GREFFE DE REIN Qu en est-il en Nouvelle-Calédonie?
Vous êtes concerné par l'insuffisance rénale : LA GREFFE DE REIN Qu en est-il en Nouvelle-Calédonie? émoignages è Marie Rose 54 ans : «Tous les soirs, je devais me brancher à une machine pour être dialysée
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailLa transplantation rénale (TR) est la stratégie optimale de prise en charge
D O S S I E R Transplantation Néphrologie rénale pédiatrique chez l enfant : où en est-on? 17 B. RANCHIN 1, L. BADET 2, E. JAVOUHEY 3, P. COCHAT 1 Transplantation rénale chez l enfant : où en est-on? La
Plus en détailDécidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès.
Informations sur le don d organes, de tissus et de cellules en cas de décès. Décidezvous. Sinon, vos proches devront le faire pour vous. Le court-métrage sur le sujet transplantinfo.ch Vous pouvez être
Plus en détail