CONSEIL GENERAL DU VAL-DE-MARNE DIRECTION DE L EDUCATION ET DES COLLEGES
|
|
- Edith Claudette Grenon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONSEIL GENERAL DU VAL-DE-MARNE DIRECTION DE L EDUCATION ET DES COLLEGES NOTE aux membres du CDEN Séance du 2 octobre 2013 Communication au Conseil départemental de l Education nationale Dotation 2014 collèges publics Dans le cadre de ses priorités données à l Education et à la Jeunesse, le Département consacre des moyens importants au financement des collèges tant pour assurer les compétences qui lui ont été confiées par les lois de décentralisation que pour mettre en œuvre le Projet Educatif Départemental «Réussir ils en sont tous capables» qui a pour objectif d agir sur l environnement des collégiens afin de contribuer à la réussite de tous les élèves. 66,6 M sont ainsi consacrés à la reconstruction, à la rénovation, à la maintenance et à l équipement informatique des collèges pour offrir des établissements accueillants, dans le cadre de démarches de développement durable, respectueuses de l environnement. 14,1 M (montant identique par rapport à 2013) sont consacrés au fonctionnement des 104 collèges publics dans le cadre d une dotation globale de fonctionnement composée d une dotation initiale, votée par le Conseil général et notifiée aux collèges avant le 1 er novembre, objet du présent rapport, et de subventions complémentaires (subventions et abondements) pour couvrir le cas échéant des variables d ajustement et/ou des dépenses exceptionnelles. 7 M sont dédiés à l opération ORDIVAL. La dotation de fonctionnement permet de financer les dépenses obligatoires à la charge des collèges : viabilisation, maintenance des équipements, entretien de premier niveau des bâtiments, dépenses de vie scolaire. Les activités pédagogiques sont pour leur part financées par des crédits spécifiques de l Etat. En outre une somme de permet de subventionner certains équipements spécifiques dans les collèges et sont dédiés à l achat de matériel de bureau et de mobiliers scolaires. Dans le cadre des objectifs de lutte contre les inégalités sociales et scolaires, de solidarité et d innovation pour les collèges, la répartition des moyens accordés dans le cadre de la dotation de fonctionnement s effectue sur une base de calcul, issue de l histoire avec souvent de fortes inégalités liées principalement à la viabilisation et à l ancienneté des 1
2 bâtiments (qu il conviendrait à terme de réduire), et par l attribution de crédits destinés à soutenir des dispositifs spécifiques, illustrant les actions propres à notre collectivité. Dans un contexte de crise financière économique et sociale, le Département a néanmoins toujours maintenu son effort en direction des collèges alors que les périodes de restrictions budgétaires actuelles grèvent de façon importante et régulière les dotations de l Etat versées aux collectivités. Cependant, depuis quelques années la dotation est ajustée en fonction des fonds de réserves des établissements aux services généraux. Sans renoncer à nos engagements forts pris en direction des collèges, il convient cependant d être particulièrement vigilant à la meilleure utilisation des fonds publics, y compris lorsqu il s agit d organismes publics financés par les collectivités tels les collèges, établissements publics locaux d enseignement. L examen attentif des budgets des collèges devrait donc nous permettre d optimiser encore davantage les moyens dédiés aux établissements afin d assurer les meilleures conditions d accueil et de vie des élèves dans tous les établissements et développer des actions renforcées dans les 35 collèges situés dans les quartiers les plus sensibles. La proposition de dotation de fonctionnement des collèges pour l année 2014 s appuie donc sur une analyse approfondie des comptes financiers concernant l année 2012 et s inscrit dans un objectif renforcé de la meilleure utilisation des fonds dédiés aux collèges. I. BILAN FINANCIER DES COLLEGES & ANALYSE DE L EXISTANT L analyse financière des comptes financiers des collèges, arrêtés au 31 décembre 2012, a porté sur les 104 établissements (intégrant les trois collèges en cités scolaires). Avec la réforme du cadre budgétaire et comptable (RCBC), la notion de fonds de roulement a évolué. Il est maintenant constitué de l ensemble des réserves disponibles, des stocks et des dépôts et cautionnements. Afin de simplifier l analyse, le fonds de roulement incluant désormais les réserves des services généraux, des services spéciaux (SEGPA) et celles du service restauration, seront entendus hors stocks et dépôt et cautionnements. Les points marquants de cette analyse sont les suivants : - un montant important des fonds de roulement des collèges. L ensemble des réserves disponibles au compte financier s élèves à en 2012 contre en 2011 soit une augmentation de + 10 %, sachant que ce montant était déjà en augmentation de 4 % par rapport à l année Par ailleurs pour 2012, la moyenne des réserves disponibles représente une somme de par collège, soit 4 mois d autonomie financière moyenne par collège. Le montant médian des réserves disponibles s élève à et 50 % des établissements disposent donc d une durée d autonomie de plus de 3 mois, alors que le montant des réserves préconisé s élève à 1,5 mois d autonomie,. Il est à noter par ailleurs que certains collèges disposent en outre de ressources propres (loyers, accueil de GRETA). 2
3 - des disparités importantes entre les collèges pour les charges de viabilisations et d entretien. L analyse des comptes financiers des collèges sur les quatre dernières années montrent des disparités importantes entre les collèges en matière de viabilisation et de maintenance des installations. Ces écarts viennent impacter les crédits disponibles pour les actions pédagogiques et la vie scolaire. Le ratio rapportant les dépenses de viabilisation et de maintenance à la dotation versée peut ainsi varier de 40 % à 80 %. Certains collèges voient alors la quasi-totalité de leur dotation «absorbée» par la viabilisation et ne disposent ainsi plus de crédits suffisants pour financer les dépenses pédagogiques. Il est donc proposé que la dotation 2014 soit calculée en tenant compte du montant important des réserves qui constituent des crédits inemployés. Il apparaît anormal en effet dans le contexte actuel que ces crédits ne puissent pas être utilisés non seulement dans un souci légitime de bonne utilisation des deniers publics mais surtout avec l objectif de redéployer ces crédits pour améliorer la vie scolaire des élèves et soutenir les collèges en difficultés. Par ailleurs, une attention particulière sera portée aux établissements dont les dépenses structurelles (viabilisation et entretien) sont importantes et qui ne disposent pas de réserves suffisantes pour les absorber. II. RÉPARTITION DE LA DOTATION ANNUELLE 2014 Afin de clarifier et rendre plus transparentes les modalités de calcul de la dotation, il est proposé d identifier une dotation initiale ciblant la partie «variable» du fonctionnement de l établissement (viabilisation, maintenance, entretien de premier niveau) et la part «fixe» dédiée aux élèves (crédits liés aux effectifs et à la pratique sportive). Afin de maintenir un suivi individualisé et de rendre lisible l engagement de la collectivité dans certains domaines, les crédits liés à une spécificité de l établissement ou à une action volontariste de la collectivité seront versées dans le cadre d une subvention complémentaire en début d année civile. Les 3 cités mixtes régionales auront les mêmes critères de calcul de la dotation pour la part fixe et l impact du fonds de roulement, mais auront une dotation de base moins importante du fait des contrats d entretien qui sont payés directement à la région par le département. A. Elaboration de la dotation initiale selon 4 critères Critère 1 : Prise en compte du fonds de roulement La dotation initiale 2014 a été élaborée en tenant compte de la situation de chaque collège au regard du fonds de roulement (arrêté aux comptes financiers 2012), et évaluée à travers son autonomie financière. Considérant que 1,5 à 2 mois d autonomie (soit 12,5% à 16,67% du montant de la dotation initiale) sont nécessaires pour faire face aux impondérables, l on 3
4 peut constater, dans l analyse financière effectuée, que 22 collèges n atteignent pas ce niveau de sécurité. Ainsi, dans un souci de rééquilibrage, il est proposé d ajuster la dotation des établissements au regard du fonds de roulement. Au regard du fonds de roulement arrêté aux comptes financiers 2012, les réajustements de la dotation 2014 s appliqueront sur la dotation 2013 (hors crédits spécifiques) selon les taux suivants : augmentation de 3 % de la dotation des collèges dont le fonds de roulement est inférieur ou égal à 1,5 mois d autonomie de trésorerie ; maintien de la dotation des collèges dont le fonds de roulement se situe entre 1,5 et 2 mois d autonomie de trésorerie ; du collège Decroly à Saint Mandé compte tenu de sa spécificité de gestion, du collège Laplace à Créteil qui vient de bénéficier d une reconstruction et du collège Jean Macé à Fontenay-sous-Bois compte tenu de ses difficultés financières ; diminution de 3 % de la dotation des collèges dont le fonds de roulement se situe entre 2 et 3 mois d autonomie de trésorerie; diminution de 7 % de la dotation des collèges dont le fonds de roulement se situe entre 3 et 5 mois d autonomie de trésorerie ; diminution de 10 % de la dotation des collèges dont le fonds de roulement est supérieur à 5 mois d autonomie de trésorerie ; Critère 2 : Évolution des effectifs Maintien des crédits dédiés à la vie scolaire, soit une dotation de 17 par élève, en tenant compte des effectifs sur la base du constat de rentrée transmis par l Inspection académique pour l année scolaire 2013/2014. Critère 3 : Pratique sportive Maintien des crédits dédiés à l éducation physique et sportive, soit une dotation de 6,40 par élève complété d un crédit de affecté à l acquisition de matériel sportif. Critère 4 : Dépenses structurelles Intégration des dépenses structurelles qui font l objet d abondements récurrents, ainsi que celles liées aux restructurations et agrandissements des collèges, notamment pour les collèges réhabilités. Les frais liés à la taxe sur les déchets ménagers ne sont pas intégrés. Une démarche est en cours auprès de la direction départementale des finances publiques pour obtenir l exonération de cette taxe conformément au code général des impôts. Le montant de la dotation 2014 accordée aux 104 collèges publics traduit la volonté du Département d accorder aux collèges les justes moyens de fonctionner malgré un contexte économique et financier contraint. B. Crédits spécifiques versés en dehors de la dotation initiale A cette dotation initiale s ajoutent les crédits spécifiques, versés en dehors de la dotation 4
5 Ces crédits feront l objet d une subvention en début d année civile, afin de les ajuster aux effectifs de l année scolaire 2013/2014 (et/ou créations/suppressions de ces enseignements), pour les classes spécifiques suivantes : - 26 par élève en faveur des classes de 3ème de découverte professionnelle (DP) ; par classe d'accueil d'élèves non scolarisés antérieurement (NSA) ; pour les ateliers artistiques (AA) ; - 80 par élève de SEGPA ; par classes et ateliers relais ; par unités (8 élèves) localisée pour l inclusion scolaire destinée à l accueil des élèves handicapés (ULIS) ; Mais également : - 4,60 par élève attribués sur projet aux 35 collèges prioritaires, ce supplément de crédits pédagogiques sera versé uniquement sur présentation de projet et au regard des effectifs 2013/2014. Il est à noter qu en 2013, les collèges de Bonneuil (P. Eluard), le Kremlin-Bicêtre (J. Perrin), Orly (Dorval) n ont pas présenté de projet. - Des subventions pour la location de gymnase et le transport vers les installations sportives. Enfin : spécifiquement attribués pour la location de camions réfrigérés pour les cuisines centrales qui doivent être inscrits à un service spécial restauration. - L ensemble des crédits dédiés aux collèges s élèvera ainsi à en 2014, montant inchangé par rapport à
6 III. ORIENTATION POUR L ELABORATION DES BUDGETS & VERSEMENT DES ABONDEMENTS A. Orientations pour l élaboration des budgets 2014 Les orientations du département en matière d utilisation de la dotation de fonctionnement pour contribuer au mieux à la réussite des élèves seront énoncées dans une note annexée à la notification de la dotation globale de fonctionnement aux établissements. En outre, une collaboration renforcée avec les services du Rectorat, permettra d améliorer l accompagnement et le contrôle des financements dédiés aux établissements dans le cadre de la réforme budgétaire et comptable (RCBC) et de la dématérialisation des actes des collèges prévue en Une note d instruction relative aux procédures que le Département souhaite voir respecter pour l'élaboration et la transmission des actes budgétaires (budget, décisions budgétaires modificatives et compte financier) ainsi que des actes du Conseil d'administration sera adressée aux collèges. Par ailleurs et pour rappel, il convient aux établissements d inscrire au budget 2014 les crédits permettant de faire face aux dépenses de viabilisation, quelles que soient la rigueur de l hiver et l évolution des prix de l énergie. Il appartient à l établissement de définir ces crédits selon une estimation calculée sur la base moyenne des charges réelles des deux derniers comptes financiers. De plus, les établissements neufs, agrandis, dont les dépenses de viabilisation sont en progression constante depuis quelques années, ou encore chauffés au fuel ou au gaz, doivent être particulièrement vigilants pour l estimation de leurs dépenses de viabilisation. Le Département ne compensera les éventuels déficits que sous la double condition du respect de cette disposition et de l insuffisance des réserves disponibles de l établissement. Concernant les dépenses d entretien, les établissements doivent inscrire la totalité des dépenses liées à la passation des contrats d entretien et de contrôle obligatoires : Alarmeincendie, Ferme-portes automatiques et ventouses, Blocs de secours, Désenfumage, Extincteurs, Chauffage, Monte-charge et ascenseurs, Hottes et extractions ventilation, Terrasses, Cabines moyenne et basse tension, Tout système d accès automatique (portes et portails automatiques), installations sportives, Contrôle des installations gaz, électriques et de la conformité de la maintenance des monte-charges et ascenseurs. Aussi, tous les établissements sont invités à transmettre avec leur budget 2014 la liste chiffrée des contrats d entretien qu ils ont souscrits pour l année. Afin de rendre plus lisibles les critères d attribution et les modalités de calcul de la dotation, un guide pratique, expliquant également les incidences de la réforme budgétaire et comptable sur les budgets des collèges sera par ailleurs élaboré à l attention des membres des conseils d administration des collèges B. Versement des abondements en fonction des fonds de roulement des collèges Il convient d ajuster le seuil minimal des fonds de roulement (réserves du service général et des services spéciaux incluant la restauration) à la spécificité de chaque établissement. Il est donc proposé de limiter le seuil de ces fonds à 1,5 mois d autonomie pour chaque collège (soit 12,5 % du montant de la dotation initiale). De fait, toute demande d abondement y compris les demandes spécifiques d équipement tel que l achat de Casiers, (hors variables d ajustement et crédits spécifiques) ne sera examinée que dans le cas de dépenses exceptionnelles et après utilisation des fonds de roulement. 6
7 Aucun abondement ne sera accordé pour les établissements dont les fonds de roulement seront supérieurs à ce ratio. 7
Procès verbal de la séance du conseil d administration. Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin : 19 h 30
Établissement : 0352760K Collège de La Mézière Biardel N de séance : 4 35520 LA MEZIERE Procès verbal de la séance du conseil d administration Date : Mardi 27 mars 2012 heure de début : 18 h heure de fin
Plus en détailIMMOBILIER D ENTREPRISE
La transformation de bureaux en logements : un premier bilan PAR BRIGITTE JOUSSELLIN 1 Entre 1994 et 1998, plus de 500 000 m 2 de surfaces d activités ont été transformées en logements, permettant de résorber
Plus en détailMél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :
Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr
Plus en détailconseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat.
conseil municipal L équipement des écoles en numérique va se poursuivre pendant tout le mandat. Les enfants des écoles vont régulièrement rencontrer les résidents des logements-foyers. PoitiersMag page
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailPrésentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015
Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en
Plus en détailAtelier : Le budget de fonctionnement des CE : anticiper les réformes
Atelier : Le budget de fonctionnement des CE : anticiper les réformes Transparence financière et nouvelles prérogatives économiques 28 MAI 2013 PALAIS DES CONGRÈS DU FUTUROSCOPE POITIERS - 5 E ÉDITION
Plus en détailPPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté
PPMS Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement Page 1 1 IDENTIFICATION DE L ETABLISSEMENT Année de réalisation du PPMS Nom de l établissement
Plus en détailRENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE
RENCONTRE TRIPARTITE DU 18 FEVRIER 2009 : 30 MESURES URGENTES POUR FAIRE FACE A LA CRISE La CFTC demande l organisation d un marathon social. Il s agira d élaborer une liste lors de cette réunion du 18
Plus en détailCommission Hygiène et Sécurité du 23/01/2014. Commission Hygiène et Sécurité. Date : 23/01/2014
Collège François Rabelais 107 route de coulonges 79 000 NIORT Commission Hygiène et Sécurité Date : 23/01/2014 Présents : Mme Feuillet, M. Cousin, M. Gestin, Mme Danioux, Mme Ménard, Mme Rochaud Tarnaud,
Plus en détailCOMPTE D'EXPLOITATION 2014
Dans une volonté de transparence absolue, nous vous présentons les comptes d AHI, CHARTE ETHIQUE : Conformément à notre charte, tous les frais de fonctionnement engagés pouvant apparaitre dans ce document,
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA PRATIQUE SPORTIVE DES JEUNES
1 QUESTIONNAIRE SUR LA PRATIQUE SPORTIVE DES JEUNES (6-20ans) en situation de handicap moteur et/ou sensoriel en Lorraine. Ce questionnaire est réalisé par le Comité Régional Handisport de Lorraine. Il
Plus en détailVisite de rentrée 2014 du Président du Conseil général
Visite de rentrée 2014 du Président du Conseil général Depuis les premières lois de décentralisation (entrées en vigueur en 1986), le Département assume la charge des collèges. Il en assure la construction,
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES HOTELS D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détailDEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015
DEBAT D ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2015 Le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit dans les communes de plus de 3 500 habitants, les départements, les régions et les EPCI la tenue d un débat
Plus en détailBudget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015
Service de presse Ville de Rennes/Rennes Métropole Tél. 02 23 62 22 34 Vendredi 6 mars 2015 Conseil municipal Budget 2015 de la Ville de Rennes > Séance budgétaire du lundi 9 mars 2015 Sommaire > Communiqué
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN
TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la
Plus en détailConvention de mise à disposition d un équipement sportif : COMPLEXE SPORTIF SALVADOR ALLENDE ==========================================
L'an deux mille dix, le Entre les soussignés, Convention de mise à disposition d un équipement sportif : COMPLEXE SPORTIF SALVADOR ALLENDE ========================================== La Ville de SaintBriceCourcelles,
Plus en détailLA RÉFORME DU CADRE BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE
LA RÉFORME DU CADRE BUDGÉTAIRE ET COMPTABLE CB1.2-1 les principales innovations budgétaires.ppt 1/33 LA RCBC : sommaire Enjeux et contexte La construction budgétaire : - Les sections - Les services généraux
Plus en détailPrésentation générale du fonctionnement de la réserve parlementaire
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE LIBERTÉ - ÉGALITÉ - FRATERNITÉ Demande de réserve parlementaire Présentation générale du fonctionnement de la réserve parlementaire De manière générale, dans chaque circonscription,
Plus en détailSITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS. Réunion Publique du 6 Aout 2015
SITUATION FINANCIERE DE LA COMMUNE DE MONT DE LANS Réunion Publique du 6 Aout 2015 LE BUDGET PRIMITIF COMMUNAL 2015 BUDGET GLOBAL (13,53 M ) INVESTISSEMENT 2,87M FONCTIONNEMENT 10,66M Dépenses (2,87 M
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détail18 Février 2011 à 12 Heures
MARCHES PUBLICS DE SERVICES Ville d Auterive Place du 11 novembre 1918 31190 AUTERIVE 05 34 28 19 30 Cahier des Clauses Administratives Particulières Création d une médiathèque dans le bâtiment dénommé
Plus en détailCODE DE VIE 2013-2014
CODE DE VIE 2013-2014 1. ASSIDUITÉ J assiste obligatoirement à tous mes cours. Je fais tous les travaux demandés et je les remets à temps. Après une absence ou à la demande des enseignants, je me présente
Plus en détailL art de trouver le logement de ses rêves
L art de trouver le logement de ses rêves Introduction Etudes obligent, il n est pas toujours aisé de trouver un logement décent à prix réduit d autant plus que les villes étudiantes sont des villes où
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION. Fonds Régional d Appui à la Sensibilisation Européenne et à la Coopération européenne. Volet coopération européenne
DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION Fonds Régional d Appui à la Sensibilisation Européenne et à la Coopération européenne Volet coopération européenne Dénomination de la structure : Titre du projet : Date
Plus en détailLe budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES
Le budget 2015 du Département Chiffres Clés LE DÉPARTEMENT S ENGAGE AUPRÈS DES NORDISTES Éditorial Le budget primitif 2015 s inscrit dans un contexte économique et social contraint. Face à cette situation,
Plus en détailConseil d administration. Du 1 Avril 2011
Conseil d administration Du 1 Avril 2011 Vérification du quorum Nombre de membres : 24 Nombre de présents : 13 Quorum atteint au 13 ème membre présent Quorum atteint : Oui Début du conseil d administration
Plus en détailGuide du budget 2014 à l intention des offices d habitation (OH)
1. INTRODUCTION Guide du budget 2014 à l intention des offices d habitation (OH) Le budget qui vous est envoyé a déjà été approuvé par la Société d habitation du Québec (SHQ). Si votre budget de Remplacement,
Plus en détailÉCOLE DES HAUTES ÉTUDES EN SCIENCES SOCIALES
LE PRESIDENT FW/GB/ 149-2009 PLAN D ORGANISATIONET DE CONTINUITE DES ACTIVITES DE L ECOLE DES HAUTES ETUDES EN SCIENCES SOCIALES EN CAS DE PANDEMIE GRIPPALE (VERSION DU 30 JUILLET 2009) L objectif prioritaire
Plus en détailPosition de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises
Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises A l occasion de l examen du projet de loi Pinel sur l artisanat, le commerce et les très
Plus en détailENTRETIENS, CONTROLES ET VERIFICATIONS TECHNIQUES
ENTRETIENS, CONTROLES ET VERIFICATIONS TECHNIQUES 1 SOMMAIRE SOMMAIRE PAGE 1 INTRODUCTION PAGE 2 I ENTRETIEN CONTROLE ET VERIFICATION TECHNIQUES PAGE 3-4 II CLASSEMENTS ET CATEGORIES DES ETABLISSEMENTS
Plus en détailGuide explicatif. Demande d adhésion à la police d assurance cautionnement collective de la CMMTQ
autionnement Guide explicatif Demande d adhésion à la police d assurance cautionnement collective de la CMMTQ Ce guide est conçu pour vous aider à remplir adéquatement le formulaire de demande d adhésion
Plus en détailCONVENTION 2013 Union Nationale du Sport Scolaire de la Gironde
CONVENTION 2013 Union Nationale du Sport Scolaire de la Gironde Championnat du monde ISF (International School Federation) du 14 au 22 avril 2013 Entre : - L'Union Nationale du Sport Scolaire de la Gironde
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détailAUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS
AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant
Plus en détailCOMPTE-RENDU CONSEIL D ADMINISTRATION du 28 novembre 2013
COMPTE-RENDU CONSEIL D ADMINISTRATION du 28 novembre 2013 Ville-La-Grand, le 03 décembre 2013 Etaient présents :. Mesdames BAHLOUL, ADJALI, ARGHYRIS, VOISIN, CARREL, DURAND, GROS, GOLL, TAMBA et BELLINI..
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailRèglement intérieur de la Cité
Règlement intérieur de la Cité 19 mai 2015 p.1 PREAMBULE Objectifs La Cité est un équipement municipal de soutien à la vie associative. C est un lieu d accueil, de promotion, d information, de formation
Plus en détailIntroduction et sommaire
Mémoire de l Association canadienne des professionnels de l insolvabilité et de la réorganisation Introduction et sommaire 277, rue Wellington Ouest Toronto (Ontario) M5V 3H2 Tél. : 416-204-3242 Téléc.
Plus en détailBUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION. Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015
BUDGET PRIMITIF 2015 PRESENTATION Conseil Municipal du 19 JANVIER 2015 - Introduction - Tableaux de synthèse - Synthèse des grands équilibres du Budget Primitif 2015 1 INTRODUCTION Le Budget Primitif 2014,
Plus en détailRéunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011
Réunion du Conseil Municipal de Lipsheim du 11 avril 2011 Nombre de Membres dont le conseil doit être composé : 19 Nombre de Conseillers en exercice : 19 Nombre de Conseillers présents : 11 + 4 procurations
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailDISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES
CAHIER DES CHARGES DISPOSITIF RÉGIONAL ET DEPARTEMENTAL EN FAVEUR DES PÉPINIÈRES D ENTREPRISES Rappel du cadre général d intervention des 3 collectivités : Dans le prolongement du Schéma Régional de Développement
Plus en détail1. Vue d ensemble des budgets I 3 I
Sommaire 1. Vue d ensemble des budgets 2. Contexte des finances locales en 2014 3. Section de fonctionnement 4. Section d investissement 5. Synthèse et conclusion I 2 I 1. Vue d ensemble des budgets I
Plus en détailETABLISSEMENT : 0911042N COLLEGE PAUL ELUARD ste genevieve des bois cedex ETAT PREVISIONNEL DE LA COMMANDE PUBLIQUE AU TITRE DE L'ANNEE 2010
PAGE : 1 pour les achats de fournitures et de services, et par opération pour les travaux, en fonction des d'achat retenues. Fournitures FE01 - Habillement-produits textiles 4 000.00 4 000.00 FE02 - Produits
Plus en détailMONTGERON TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE
TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE MONTGERON FISCALITÉ, ENDETTEMENT, FONCTIONNEMENT, INVESTISSEMENT, ÉQUIPEMENTS PUBLICS, ÉPARGNE, CRÉDIT, SERVICES PUBLICS CHIFFRES
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.
ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du
Plus en détailAppel à projets. Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e
Appel à projets Implantation d un jardin partagé au sein du square Rosa Luxembourg. Angle Pajol/Riquet, Paris 18 e 1 1. Contexte Situé à l est du 18 e arrondissement, à la frontière avec le 19 e, Aubervilliers
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détailExternaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN
Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...
Plus en détailLES GARANTIES D EMPRUNT
LES GARANTIES D EMPRUNT (Compte 801.5) Fiche n 1 Définition Les garanties d emprunt entrent dans la catégorie des engagements hors bilan parce qu une collectivité peut accorder sa caution à une personne
Plus en détail>> Concrètement, qu est-ce que l Assurance Maladie Risques Professionnels vous propose?
Dans le BTP, 16 % des accidents du travail sont causés par des chutes de hauteur. Avec 50 décès annuels sur 144 et près de 3,3 millions de journées de travail perdues par an dans le BTP, ce seul risque
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailIntermédiaires de commerce non spécialisé. Echantillon : 1263 Données : 2014
Intermédiaires de commerce non spécialisé Echantillon : 1263 Données : 2014 Recettes encaissées 45263 Débours 3 Honoraires rétrocédés 325 Montant net recettes 44935 Achats 0.4 Salaires nets 0.2 Charges
Plus en détailOpération Programmée d Amélioration de l Habitat 2009-2012
Opération Programmée d Amélioration de l Habitat 2009-2012 ECONOMIES D ENERGIE PERSONNES AGEES ENERGIES RENOUVELABLES MAINTIEN A DOMICILE ADAPTATION INSALUBRITE HANDICAP LOYERS MODERES LOCATION CHARGES
Plus en détailMEMO A L USAGE DES LOCATAIRES ET DES PROPRIETAIRES
MEMO A L USAGE DES LOCATAIRES ET DES PROPRIETAIRES Association Villeurbannaise pour le Droit au Logement 277, rue du 4 août 69 100 Villeurbanne Téléphone : 04 72 65 35 90 Télécopie : 04 78 85 40 53 avdl.asso@wanadoo.fr
Plus en détaild intervention prioritaires de l Etat et les modalités de cette intervention.
DSAS/Avant-projet du 28.02.2014 Loi du... sur les seniors (LSen) Le Grand Conseil du canton de Fribourg Vu la Constitution du canton de Fribourg du 16 mai 2004 (Cst. cant.), notamment ses articles 35 et
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailPROTECTION SOCIALE SÉCURITÉ SOCIALE : ORGANISATION, FONCTIONNEMENT MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS ET DE LA FONCTION PUBLIQUE
PROTECTION SOCIALE SÉCURITÉ SOCIALE : ORGANISATION, FONCTIONNEMENT MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE ET DE LA SOLIDARITÉ MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DE
Plus en détailGuide simplifié de la déclaration des revenus fonciers
logiciel de gestion locative mais assez complêt Guide simplifié de la déclaration des revenus fonciers POUR PARTICULIERS BAILLEURS Gérer seul son bien est la solution la plus économique et Rentila.com
Plus en détailFiches Techniques. Règlement Intérieur. Particuliers
Service Festivités et Location de Salle Fiches Techniques Règlement Intérieur Particuliers Contact : Anita Godbille Tél/ 03 27 28 12 88 Courriel : agodbille@mairie-petiteforet.fr Service Festivités et
Plus en détailCONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE
CONVENTION REGLANT LES MODALITES DE PARTITION DE LA CITE SCOLAIRE ENTRE : le Lycée, représenté par M. André, proviseur le Lycée Professionnel, représenté par Mme, proviseure le Collège, représenté par
Plus en détail- CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE
Jérôme DUPUIS CONSULTANT Conseil en Gestion Des Organisations Publiques - CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE Note de synthèse portant conclusion de l audit de gestion de la politique sportive régionale
Plus en détailLE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON
LE MARCHE LOCATIF DES BUREAUX FRANCILIENS IL FAUT SAVOIR GARDER RAISON Un vent d optimisme nouveau commence à souffler sur le marché francilien de la location de bureaux. Le volume des transactions s est
Plus en détailREGROUPEMENT PIED CARRÉ
REGROUPEMENT PIED CARRÉ PROJET DE GASPÉ : RECHERCHE ET EXPLORATION : ATELIERS D'ARTISTES ET D'ARTISANS, STUDIOS DE MUSIQUE ET DE DANSE, MICROENTREPRISES CRÉATIVES, CENTRES ET COLLECTIFS D'ARTISTES EN PRODUCTION
Plus en détailpage 1 sur 5 mise à jour le 09/12/2010 BON SEJOUR EN FRANCE CONDITIONS de RESERVATION
page 1 sur 5 mise à jour le 09/12/2010 BON SEJOUR EN FRANCE CONDITIONS de RESERVATION SARL BON SEJOUR EN FRANCE ci-après dénommée BSEF, 14, rue de l Abbaye, 17740 Sainte-Marie de Ré immatriculée au RCS
Plus en détailD i s p o s i t i f d i n t e r v e n t i o n EN MATIÈRE SPORTIVE. e n m a t i è r e s p o r t i v e. Les équipements sportifs
D i s p o s i t i f d i n t e r v e n t i o n EN MATIÈRE SPORTIVE e n m a t i è r e s p o r t i v e Les équipements sportifs JANVIER 2010 Janvier 2010 2/10 LES EQUIPEMENTS SPORTIFS STRUCTURANTS Les équipements
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailTOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES
États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de
Plus en détailCONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016
Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant
Plus en détailMaréchal Ardans-Vilain. Denis. "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique." Programme. Michel Petiot.
Canton Meudon - Chaville élections départementales Denis Cécile Maréchal Ardans-Vilain Alice Carton Michel Petiot Programme "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique."
Plus en détailCONVENTION. Bordeaux Gironde Investissement 2011
POLE DEVELOPPEMENT DURABLE ET RAYONNEMENT METROPOLITAIN DIRECTION DES ENTREPRISES ET DE L ATTRACTIVITE Service du portage des projets économiques CONVENTION Bordeaux Gironde Investissement 2011 Entre :
Plus en détailPratiques et besoins de financement des entreprises artisanales
ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Pratiques et besoins de financement des entreprises artisanales FÉVRIER 2014 Présentation des résultats Pratiques et besoins de financement des
Plus en détailLES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS
LES NOUVELLES CONTRAINTES EN MATIERE DE MARCHES PUBLICS I - PREAMBULE Jusqu à présent, la majorité des achats d équipements effectués par les services échappaient à la réglementation relative aux marchés
Plus en détail1 La régularisation des comptes
1 La régularisation des comptes Sujets abordés dans chacun des travaux suggérés Problèmes de Sujets abordés Exercices compréhension Le principe de l indépendance 1 des exercices L exercice comptable et
Plus en détailAppel pour une politique stratégique et coordonnée de l'aide aux sans-abri 2014-2019
Cet appel sollicite les responsables des gouvernements afin qu'ils s'engagent à relever ces enjeux dès l entrée en fonction de la nouvelle législature. Appel pour une politique stratégique et coordonnée
Plus en détailDOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION
PREFET DU LOIRET Ce dossier est à adresser DOSSIER DE DEMANDE DE SUBVENTION - Collectivités ou organisme public maître d'ouvrage - en 2 exemplaires signés au Cabinet du Préfet (dont 1 original) 1 exemplaire
Plus en détail4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010
LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailB U S S Y- S A I N T- G E O R G E S S E I N E & M A R N E. Le Domaine du Val
B U S S Y- S A I N T- G E O R G E S S E I N E & M A R N E Le Domaine du Val A Le Domaine du Val Bussy-Saint-Georges u cœur de Marne-la-Vallée, à une trentaine de minutes de Paris directement accessible
Plus en détailLA NEWSLETTER DU SERVICE ÉTUDIANT-FORMATION-JEUNESSE / JANVIER
ETUDES INFOS LA NEWSLETTER DU SERVICE ÉTUDIANT-FORMATION-JEUNESSE / JANVIER 2014 LA FOIRE AUX QUESTIONS VOUS SOUHAITEZ FAIRE DES ÉTUDES EN MÉTROPOLE? L ADMISSION POST BAC QU EST-CE QUE L ADMISSION POST
Plus en détailCe guide se veut évolutif et dynamique. Actualisé mensuellement, il recueillera les appels à projets qui Il est votre outil et notre lien.
Mesdames et Messieurs, Le P total) afin de relever le défi de la compétitivité et de faire émerger un nouveau modèle de croissance, en finançant des projets innovants et exemplaires, rigoureusement sélectionnés.
Plus en détailROF 2003_096. Ordonnance. modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs. Le Conseil d Etat du canton de Fribourg
Ordonnance du 1 er juillet 2003 Entrée en vigueur : 01.07.2003 modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs Le Conseil d Etat du canton de Fribourg Vu la loi fédérale du 19 mars
Plus en détail- le cas échéant, représenté par le mandataire [nom ou raison sociale et adresse du mandataire ainsi que l activité exercée] :
CONTRAT DE LOCATION (Soumis au titre Ier bis de la loi du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n 86-1290 du 23 décembre 1986) LOCAUX MEUBLES A USAGE
Plus en détailL examen des recettes lors du contrôle budgétaire d une collectivité territoriale en France. Séminaire Eurorai Alicante 23 avril 2010 1
L examen des recettes lors du contrôle budgétaire d une collectivité territoriale en France 1 Plan de l exposé 1ère partie : Présentation Le contrôle budgétaire, Méthodologie du contrôle et ses suites,
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailExamen décembre 1994
Examen décembre 1994 QUESTION REDIGEE Temps conseillé: 2 heure 30 minutes noté sur 100 points ENONCE: FRANCOTRANS SA, entreprise de transport public de marchandises, ayant l usage de 15 ensembles identiques
Plus en détailLa dévolution du patrimoine aux établissements d enseignement supérieur. Contribution à la mission de contrôle du Sénat
La dévolution du patrimoine aux établissements d enseignement supérieur Contribution à la mission de contrôle du Sénat Avril 2010 Avant-propos La présente contribution est issue des travaux effectués par
Plus en détailAssociation pour l Expérimentation de Nouvelles Structures d Accueil Pour Exclus (E.N.S.A.P.E.)
TRIBUNAL INTERREGIONAL DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE DE PARIS REPUBLIQUE FRANÇAISE CONTENTIEUX N 07.041 PRESIDENT/RAPPORTEUR : Monsieur LEVY COMMISSAIRE DU GOUVERNEMENT : Madame LARSONNIER SEANCE
Plus en détailChampionnat de France Universitaire de KARTING Actua Kart - Saint Laurent de Mûre (69720) - Mardi 31 Mai 2011
C R Sport U Lyon LE MOT D'ACCUEIL L'équipe du et l'entpe de Vaulx en Velin sont heureux de vous accueillir sur le circuit Actua Kart de Lyon métropole, situé à Saint Laurent de Mûre, pour la 4 ème édition
Plus en détailFiche d application Aération. Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS. Réglementations Thermique Acoustique Aération
Réglementations Thermique Acoustique Aération Fiche d application Aération Départements d Outre-Mer Version 1.0 Ventilation d hygiène des pièces de service BÂTIMENTS D HABITATION NEUFS Ministère de l'écologie,
Plus en détailVILLE D'YVERDON-LES-BAINS
VILLE D'YVERDON-LES-BAINS MUNICIPALITE PM Préavis n 46 18 novembre 2005 RAPPORT AU CONSEIL COMMUNAL D'YVERDON-LES-BAINS concernant la 2ème série de compléments au budget 2005 Monsieur le Président, Mesdames
Plus en détailun nouveau quartier pour une qualité de vie durable Le domaine uni-vert Saint-pierre-du-perray / 91
un nouveau quartier pour une qualité de vie durable Le domaine uni-vert Saint-pierre-du-perray / 91 Saint-pierre-du-perray, entre ville et nature À Saint-Pierre-du-Perray, une nouvelle vie s offre à vous...
Plus en détailLA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE
CETE MEDITERRANEE / COTITA JOURNEE TECHNIQUE DU 7 JUIN 2012 GESTION DE PATRIMOINE IMMOBILIER LA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE «Le schéma directeur d'implantation des services municipaux»
Plus en détailConditions générales de garantie pour bénéficier de la garantie «dommages aux biens loués» 9flats
Conditions générales de garantie pour bénéficier de la garantie «dommages aux biens loués» 9flats Au 15 septembre 2011 Les dispositions suivantes sont valables pour toutes les réservations de logements
Plus en détail