Rencontre des réseaux addictions

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1 Rencontre des réseaux addictions Mardi 18 septembre 2012 SYNTHESE (2 ème partie) «Constats, difficultés et perspectives des réseaux Addictions» par Dominique MEUNIER, responsable «Pratiques professionnelles», Fédération Addiction

2 Pour effectuer le recensement, nous avons capitalisé toute la matière que chacun de nous possédait. Nous nous sommes répartis les tâches par régions. Chacun des membres fondateurs du Collectif a contacté une liste d ARS pour vérifier l existence des réseaux, puis chaque réseau identifié a été contacté pour vérifier ses coordonnées. La Fédération Addiction, qui est organisée en 14 Unions Régionales, s est également appuyée sur ses Délégués régionaux pour vérifier ou corriger le listing. Peu à peu, nous avons fini par stabiliser une liste. Seuls les réseaux addictions exclusivement ou non y sont recensés. C est-à-dire qu il n y a pas toutes les autres spécialités en santé mais uniquement les réseaux d addictologie. Il y a peut-être des modifications à apporter car déjà nous avons eu connaissance de réseaux destinés à disparaitre ou bien des réseaux amenés à des regroupements. C est donc un outil évolutif mais il a au moins le mérite d exister. Nous n avons pas limité le recensement aux seuls réseaux financés en tant que tels (via le FIR notamment), nous avons aussi inclus les réseaux «plus informels». C est avant tout leurs missions et leurs pratiques qui nous intéressaient.

3 Le taux de réponses au questionnaire (50,63 %) est de bonne qualité. Il montre un intérêt pour la démarche proposée par le Collectif.

4 Concernant le rattachement à une plateforme ou à un regroupement, plus de la moitié des réseaux ayant répondu au questionnaire sont concernés. Les répondants ont pu préciser lesquels. Leur analyse laisse entrevoir une diversité dans leur forme et leur nature : par exemple, plateformes régionales ARS, maisons de santé, GCSMS (groupement de coopération sociale et médicosociale), GIP (Groupement d Intérêt Public), fédérations, associations, Par rapport à la corrélation entre la création des réseaux et leur financement, on voit nettement que quasiment 60 % d entre eux se sont d abord montés puis dans un second temps ont reçu des financements et donc une reconnaissance institutionnelle de leur activité. Il semble que ce constat soit à mettre en lien avec l histoire même des réseaux, qui se sont créés pour beaucoup sur la base de professionnels militants, désireux d améliorer la coordination des acteurs accompagnant les usagers. La structuration institutionnelle étant venue après, pour asseoir les coopérations et favoriser la reconnaissance mutuelle entre les acteurs.

5 Les «autres» appuis à l origine des réseaux addictions sont : - Des institutionnels (DDASS, DRASS, CG, CODES, PJJ, Eduction Nationale, ) - D autres réseaux par exemple : les réseaux ville-hôpital ou des réseaux avec qui fusionner ou se regrouper. Et de façon plus marginale : - Des associations de type Groupes d entraide ou groupes d auto support par exemple - Ou des pharmaciens, - Ou des mutuelles

6 Nous avons demandé aux réseaux quels professionnels composaient leur équipe (sous la forme d une liste de fonctions à cocher) ainsi que de détailler le temps de travail pour chacun, dans la mesure du possible. Bien sur la coordination est importante qu elle soit administrative ou médicale (bien que moins importante en termes d ETP). A cela s ajoute le secrétariat. Coordination et secrétariat concernent les ¾ des réseaux à peu près. Les «autres» réponses sont détaillées ci-après.

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8 Dans la 8 ème diapositive, nous avons demandé aux réseaux quels types d activités ils menaient. Ils ont eu à cocher les items listés que vous retrouvez là selon un ordre décroissant de proportion. Dans les réponses, nous retrouvons les missions officielles des réseaux telles que décrites dans la loi du 4 mars A noter, ¼ des réseaux travaillent en direct avec des usagers. Dans le questionnaire nous avons demandé aux réseaux de préciser leur file active de professionnels et d usagers. Nous y avons mis la moyenne mais aussi la médiane qui permet d apporter un élément complémentaire d analyse. Toutefois, ces chiffres sont à prendre avec prudence. En effet la façon dont était posée la question, laisse un flou sur l homogénéité des réponses. Les répondants à la file active usagers étaient-ils uniquement des réseaux de prise en charge directe d usagers ou était-ce également des réseaux destinés aux professionnels, chiffrant les usagers concernés par leurs activités?

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11 Certains professionnels de santé vivent encore dans la culture de leur responsabilité individuelle vis-à-vis du patient.

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13 Echanges avec les participants - (Réseau d IDF) : à la demande de l ARS IDF, création d un «Micropôle» (avec bilan d activités). L ARS a demandé qu on ne parle plus de «réseaux» mais de «groupement». On a le sentiment de tricher en permanence On reste invisible. - P. Binder (ICARES) : on ne peut pas avoir de vision politique stable du fait des changements de gouvernement, dans les cabinets, les ministères, à la MILDT Les décisions sont instables. La régionalisation a «cassé» les instances nationales. Ça évolue dans le sens d une instabilité de la pensée et d une obligation d adaptation permanente pour faire face aux jeux de pouvoir. - C. Rassis (RENAPSUD) : C est très contextuel. Cet état des lieux aurait été fait en 2010, il aurait été différent. La précarisation est plus forte (financement au trimestre), les différences entre les réseaux sont plus fortes. L ARS a dit que ce n était pas normal. Le Guide Aquitain sur les réseaux, précise qu ils doivent se recentrer sur la coordination autour des cas complexes. L ARS souhaite mettre en place des Services territoriaux d'appui à la coordination (le monothématique ne doit plus exister). Il nous faut nous prononcer : disparaitre ou s adapter Il faut donc que nous fassions connaitre nos pratiques, la mobilisation nationale nous y aidera-t-elle? - (Réseau de Languedoc Roussillon) : aujourd hui, nous sommes dans un contexte de tarification à l acte (T2A). En Languedoc, les réseaux sont rattachés à l hôpital et font de l éducation à la santé. Les addictions ne sont pas une priorité politique, il faut un peu de courage par rapport à cette question. De plus, les ARS ne sortent pas de texte clair sur leurs orientations. - A. Morel (Fédération Addiction) : les réseaux ne sont pas tout seul. Ils se rencontrent via la Fédération Addiction et via leurs partenaires. Les réseaux défendront leur raison d être ensemble et avec les partenaires, ils sont des instruments indispensables de coordination, d articulation sans lesquels nous ne pouvons fonctionner. - C. Vanbelle (RESADH 73) : De mon point de vue, c est positif que les ARS nous demandent de travailler sur les cas complexes. Les techniques développées en addictologie peuvent être utiles aux autres maladies (diabète, etc). L aide des réseaux est très pertinente dans ce cas-là. - F. Brun : Les réseaux ont eu comme particularités de se soucier autant des usagers que des professionnels. En addictologie, il se pose la question de la représentation, comme spécificité de notre travail. On a aussi un rapport avec le juridique (papiers, justice, accès aux soins, ). On soutient les personnes dans des itinéraires compliqués et c est une spécificité. - D. Bry (Réseau Vaucluse Camargue) : «spécificité»? Est-ce une bonne façon de se déterminer? Idem pour «Travailler sur les cas complexes»? Les regroupements thématiques sont-ils une voie où aller? - C. Vanbelle (RESADH 73) : Les «toxicomanes», population à l origine des créations de réseaux, risquent d être mis de côté car ils sont plus précaires et cela risque de créer un réseau en parallèle. La spécificité addictologique est très intéressante pour ces patients. Il faudrait un réseau global (mutualisation de moyens) + un spécialiste pour chaque spécificité. - P. Binder (ICARES) : En Poitou Charentes, c est une usine à gaz. On a un problème de structuration. Il faut une pensée commune et ce n est pas gagné. Les ARS mettent à disposition des moyens pour faire fonctionner le dispositif sanitaire. Mais attention au risque d uniformité pouvant être interprété positivement ou négativement. Il faut être uni dans nos propositions aux ARS.

14 - M. Birebent (ADDICA) : Les réseaux font preuve d une grande adaptabilité à la problématique locale. En Champagne Ardennes, on nous dit que les réseaux ne sont pas soignants mais ont pour vocation de rassembler les soignants, tels des «boites à outils du professionnel». - M. Birebent (ADDICA) : Le Collectif des réseaux addictions pourrait définir des groupes d organisation commune (des collèges) pour se transmettre des pratiques et des outils. Et ces collèges permettraient ne pas tout lisser ou uniformiser. Etre plus lisible. - C. Vanbelle (RESADH 73) : Le bénéfice pour les libéraux ce sont les actes dérogatoires et les formations. - A. Morel (Fédération Addiction) : la notion d adaptabilité est très importante et reliée aux territoires. Il faut défendre le fait qu un réseau est un instrument qui répond à une problématique locale c est-à-dire : avoir une définition générale mais pouvoir activer +/- telle ou telle activité en fonction du territoire. - S. Marce (Réseau 34 addictologie) : A propos du concept d usagers «experts» comme ayant des savoirs. Il faut se référer à l histoire de l auto support (en lien avec les années SIDA). La question du savoir et de la connaissance pose celle de la place des populations. Les acteurs de l addictologie sont dans des rapports de pouvoir (hiérarchie, concurrence, ). Il y a un isolement des réseaux alors que nous sommes entourés de partenaires - D. Bry (Réseau Vaucluse Camargue) : ça dépend de la façon dont se sont constitués les réseaux, certains travaillent en très bon partenariat avec les institutions. - P. Binder (ICARES) : Pas d accord que les réseaux viennent du VIH. Les 3 premiers réseaux financés au début des années 90 sont des réseaux toxicomanie. - P. Binder (ICARES) : Sur la participation des usagers, dans notre réseau on a des représentants «alcool» mais il est impossible d avoir des représentants «toxicomanie». - A-M. Brieude (Rezo Addictions 41) : C est du à la question de l illégalité. - P. Binder (ICARES) : il y a deux difficultés : le réseau (travailler ensemble) et le fonctionnement des réseaux. La priorité est-il le thème ou la structure «réseau de santé? - C. Vanbelle (RESADH 73) : Faut-il défendre le maintien d un réseau addictions ce qui pose la question de l évaluation, des outils etc Ou faut-il un réseau global «maladies chroniques»? - F. Fry (Remed 95) : On pose les bonnes questions mais on n a pas les bonnes réponses. Cela touche à la question de la culture commune dont parlait A. Morel. Mais il existe une non-réciprocité entre l addictologie et les autres champs. Il faut rester dans des spécificités territoriales pour contourner les représentations. - C. Alphonsine (Réseau Addictions Martinique) : Oui il y a encore des représentations. L addiction fait peur, c est ce qui créé aussi les problèmes de rapprochement avec d autres réseaux. - C. Alphonsine (Réseau Addictions Martinique) : Sur les critères d évaluation venant des tutelles, on ne s y retrouve pas dans les critères imposés. Le Collectif pourrait travailler sur des indicateurs concernant les pratiques. - S. Todesco (LORRADDICT) : Il y a 8 réseaux de santé en région Lorraine + des réseaux territoriaux pluri thématiques (ils ont 4 missions obligatoires dont l addictologie). Cette configuration est intéressante et positive. L ARS a été explicite sur les objectifs : améliorer, faciliter le parcours des patients complexes. - H. Denis (RVH Alcool Tabac 35) : nous n avons qu un seul réseau addictions. On ne se retrouve pas dans les critères de l ARS. L ARS demande de décrire nos spécificités mais on est tout seul. - N. Boughedaoui (Réseau Addictions Cote d Or HEMERA) : Les réseaux doivent prendre la mesure de la médecine de ville et aller vers les médecins généralistes. Nous avons 3 réseaux addictions. Ils sont dans un même pôle commun mais séparés des autres thématiques.

15 - P. Binder (ICARES) : Les rapports de force entre les acteurs proviennent de la distribution des financements. Sur la question des indicateurs, nous assurons le minimum vital pour contenter l ARS et on essaie de créer un outil d évaluation de nos objectifs.

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