1963/ tableaux numérot6s NO à N225. ENQUETE NUTRITIONNEMR HAUTE-VOLTA AVANT-PROPOS P. '

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1 ENQUETE NUTRITIONNEMR HAUTE-VOLTA 1963/1964 AVANT-PROPOS P. ' PRESENTATION GMERALE DE L' ENQUETZ ET DE SON EXPLOITATION P. 2 à 'D COMENTAIRE DES PRINCIPAUX RESULTATS P. 1k à 20 GUIDE DE LECTURE DES TABLEAUX P. 21 à tableaux numérot6s NO à N

2

3 AVANT-PROPOS L'enquête nutritionnelle dont les tableaux des résultats sont présentés ici a été effectuée dans certaines régions de la Haute-Volta, d'avril 1963 à juin 1964, dans lé cadre de la convention de financement N 9/C/63/F conclue entre les gouvernements voltaique et français. Sa réalisation sur le terrain a été menée conjointement à une enquête budget-consommation, avec le concours de statisticiens français et sous la direction de M. G. SANOGOH, Chef du Service National de la Statistique et des Etudes Economiques de la Haute-Volta. Un dépouillement manuel provisoire,, sur place,a permis de fournir les principaux résultats de ces enquêtes sans trop de délais. Diverses circonstances n'ont pas permis de réaliser aussitôt après une exploitation mécanographique détaillée. Ce n'est qu'en 1968 que les questionnaires ont été envoyés à Paris, à llinu, en vue d'être soumis à un dépouillement complet visant à expérimenter les nouvelles méthodes d'exploitation informatique. La lourdeur inhérente à une telle opération, la concurrence avec d'autres exploitations d'enquêtes, divers changements de personnel etc... ont entraîné à nouveau une accumulation des retards et les tableaux ne sont sortis de l'ordinateur qu'en Enfin la refonte du Service de Coopération de l'ins7f. et la redéfinition de ses priorités alliées au vieillissement des résultats et au manque d'un spécialiste de la nutrition ont entraîné l'abandon de l'advlyse des résultats. Il a paru tout de même utile, à l'heure actuelle où de nouveaux programmes d'enquêtes auprès des ménages sont prévus sur le continent africain, de procéder à la publication de ces tableaux, ne serait-ce que pour permettre d'apprécier l'évolution sur longue période. Le présent document comprend : - Une présentation sommaire du champ de l'enquête et des méthodes utilisées, ainsi que des types de résultats obtenus ; - Un commentaire très synthétique de ces résultats ; - Les 226 tableaux obtenus, précédés d'un guide de lecture facilitant leur consultation : sigles et unités utilisés, inventaire des tableaux, explicitation des critères d'analyse. Cette exploitation des données de l'enquête nutritionnelle a été assurée par Mademoiselle Marie-Thérèse MICHEL.

4 Ime 2 PRESENTATION GENERALE DE L'ENQUETE ET DE SON EXPLOITATION 1) LE DOMAINE GEOGRAPHIqUE D'ETUDE Le domaine d'étude se compose de quatre zones, dont deux sont considérées comme urbaines et deux comme rurales. Le "milieu urbain" se limite en effet aux deux plus grandes villes du pays, à savoir OUAGADOUGOU, la capitale administrative, et BOBO-DIOULASSO, le principal centre économique, à l'exclusion de toute autre agglomération même située dans le champ géographique de l'enquête. Le "Milieu rural" étudié correspond quant à lui à deux régions rurales apparemment caractérisées l'une, la région Mossi, par une certaine uniformité ethnique, et l'autre, la région de l'ouest, par une diversité ethnique certaine. Si l'on a convenu de limiter le "milieu urbain" aux deux principales agglomérations, c'est parce que des quatre agglomérations de plus de habitants (1) du pays, seules OUAGADOUGOU ( habitants) et BOBO-DIOULASSO ( habitants) ressemblent le plus à de vrais centres urbains, les deux autres (KOUDOUGOU et OUAHIGOUYA) apparaissent plutet comme des centres semi-urbains. Cette distinction se justifie en fait d'autant plus que les deux premières villes jouissent chacune d'une situation particulière qui renforce leur degré d'urbanisation. En effet, malgré le transfert à OUAGADOUGOU de l'administration centrale, BOBO-DIOULASSO demeure le principal centre économique du pays et hérite erune infrastructure urbaine qui va en se consolidant (avec bien entendu tous les avantages et inconvénients qui en découlent) à mesure que s'y développe l'industrie moderne. Il faut également souligner que, du point de vue des communications, BOBO-DIOULASSO occupe une position de noeud deeervant l'ouest, et de porte tournée vers la Côte d'ivoire et la mer, ce qui attribue en outre à la ville une importante fonction de centre de transit. De même, devenue depuis l'indépendance la capitale administrative de la Haute-Volta, OUAGADOUGOU connaît une accélération de sa croissance démographique due en partie à l'implantation récente de certaines activités modernes. L'urbanisation rapide de la ville s'accompagne d'ailleurs d'une extension tout aussi prompte de son râle économique dans le pays en général et au sein de la région centrale en particulier. Peut en témoigner d'ailleurs le volume croissant dde flux de marchandises qui partent de l'agglomération, y aboutissent ou y transitent. (1) Chiffres de 1961.

5 ISM Le "milieu rural" étudié dans l'enquête se limite, pour des raisons entre autres financières, à deux régions seulement : la région Mossi et celle de l'ouest. La région Mossi, constituée de diximhuit cercles s'étendant autour de OUAGADOUGOU, se signale 'par sa configuration singulière : peuplée presque exclusivement Cà 97 %) de Mossis, elle rassemble environ 45 % de la population rurale sur une superficie de km2, soit 22 % du territoire voltaïque (d'où une densité rurale moyenne de 30 habitants au km2). Sachant par ailleurs que les Mossis représentent la moitié de la population du pays et plus des trois quarts de celle de OUAGADOUGOU, on peut estimer que la région Mossi ainsi définie regroupe, avec la capitale, 87 % des originaires de cette ethnie. La première zone rurale enquêtée correspond donc dans ces conditions à peu près à ce que l'on désigne couramment sous le nom de pays Mossi, auquel s'attachent toutes les particularités historiques déjà mentionnées plus haut, Du point de vue économique, elle se caractérise par l'importance de la place prise par l'agriculture vivrière traditionnelle, à laquelle s'ajoute parfois la culture du coton (environs de KAKO-KAYA et au sud de OUAGADOUGOU)i malgré la médiocrité du sol en quelques endroits, le rendement agricole reste le meilleur du pays, bien que certaines difficultés d'approvisionnement puissent survenir en période de soudure à causé de la densité de la population. La seconde zone rurale enquêtée se compose quant à elle de sept cercles situés au nord de BOBO-DIOULASSO qui totalisent 10 % de la population rurale sur une superficie de km2, soit 18 % de celle de la Haute-Volta (d'où une densité moyenne de 8 habitants au km2). Le choix de cette région, dite de l'ouest, s'explique par au moins trois raisons il s'agit d'une région à peuplement moyen et à composantes ethniques relativement variées (deux raisons qui l'opposent au pays Mossi) qui jouit de l'influence économique directe de. BOBO-DIOUIASSO (ce qui signifie aussi un accès facile à partir de cette ville). Sur ce dernier plan économique, outre la culture principale du sorgho, il faut noter celle du coton (environs de TOUGAN et au nord-est de BOBO-DIOULASSO), celle des arachides (entre TOUGAN et DEDOUGOU), et celle du mals (au nord de BOBO-DIOULASSO). En résumé, en dehors de l'intérêt que présente l'étude de chacune d'elles en propre, les deux zones rurales peuvent donc se prêter soit à une analyse par contraste (entre elles deux), soit à une analyse par complémentarité (de chacune d'elles avec le centre urbain correspondant).

6 2) REALISATION DE L'ENQUETE SUR LE TERRAIN L'enquête sur le terrain s'est déroulée selon un schéma de sondage et d'observation adopté dans le but d'obtenir, dans la limite des conditions techniques, des échantillons représentatifs des ménages vivant dans les zones étudiées Le schéma d'enquête Bien que comportant partout les trois mêmes volets (constitution de la base de sondage, établissement du plan de sondage, définition de la procédure d'observation), le schéma d'enquête diffère selon le milieu rural ou urbain. En mfieu urbain, la base de sondage comprend l'ensemble des ménages des deux villes duquel on a exclu les cadres supérieurs voltaïques, les Européens et autres non-nationaux, les "ménages" à caractère non familial (pensionnaires des collèges, des casernes, des prisons, etc...), et les ménages voltaïques composés habituellement ou temporairement d'une seule personne (soit, pour ces derniers, 8 5.; des ménages et 2 % des personnes à OUAGADOUGOU). Obtenues à BOBO- DIOULASSO à l'aide d'un dénombrement exhaustif préalable et à OUAGADOUGOU grâce à un dénombrement progressif réalisé sur la base des résultats du recensement démographique de , les listes effectives des ménages ainsi choisis permettent un classement de ceux-ci en trois catégories (ménages à revenus essentiellement agricoles, ménages à "gros revenus", et ménages à "petits revenus"). Chacune des villes étant par ailleurs découpée en sept secteurs et chaque secteur en douze sous-secteurs, le plan de sondage consiste alors à tirer au hasard une graine de cinq ménages par sous-secteur, soit un ménage de la lère catégorie, deux de la 2ème, et deux de la Sème. Chaque ville fournit de cette manière un é- chantillon de 420 ménages dont l'observation doit s'étendre globalement sur un an. Au niveau de chaque ménage, l'enregistrement des opérations budgétaires doit durer 50 jours et celui des opérations alimentaires 6 jours. En réalité, si les durées d'observation ont été en général respectées au niveau du ménage, tel n'était pas le cas sur le plan global : des défaillances diverses ont en effet réduit chaque échantillon urbain à 350 ménages seulement, chacun des secteurs à enquêter ne l'étant en fin de compte qu'aux 5/6. n milieu rural, la base de sondage est définie indirectement au travers d'un fichier donnant le nom et la population (estimation administrative) des villages situés dans les zones visées. Le dénombrement effectif des ménages n'est dès lors réalisé qu'au fur et à mesure de l'enquête et que pour les villages de l'échantillon, ceux-ci étant désignés par un tirage au sort effectué à partir du

7 fichier amputé des villages comptant moins de 200 habitants. Cette amputation, qui a touché seulement 4 % de la population des zones d'enquête (mais 16 % des villages de la région Mossi et 41 % de la région de l'ouest), trouve son origine dans le plan de sondage : après avoir réparti les villages du fichier en cinq catégories selon leur taille (moins de 200 habitants, de 200 à 499, de 500 à 999, de à 1.999, de et plus), on choisit pour chacune des régions rurales cent villages selon la méthode dite des totaux cumulés (pour chaque village, probabilité de tirage proportionnelle à sa taille), en écartant la 1ère catégorie jugée difficile à observer notamment en raison de l'effet possible de parasitisme (influence dela présence de l'enquêteur sur le comportement des ménages des petits villages). Des listes de dénombrement obtenues pour chaque village ainsi désigné, on tire alors au hasard une grappe de quatre ménages, ce qui donne pour chacune des régions rurales un échantillon de 400 ménages à observer globalement sur un an et individuellement sur 28 jours budgétaires et 7 jours alimentaires. Ce plan a été dans l'ensemble respecté malgré, comme c'est d'ailleurs aussi le cas pour le milieu urbain, quelques déséquilibres dans la répartition des ménages au sein de la période d'enquête L'organisation technique Assistée d'un personnel de base de 43 chefs d'éqùipe, dénombreurs et enquêteurs, les responsables de l'enquête (au nombre de sept, placés sous la direction de M. G. SANOGOH, Chef du Service National de la Statistique et des Etudes Economiques de la Haute-Volta), ont da faire face à de nombreux problèmes survenue au cours des opérations sur le terrain : modification de certains éléments du plan de sondage en milieu urbain, réajustement des circuits de rotation des enquêteurs en milieu rural, etc... Les délais ont néanmoins été à peu près respectés et l'enquête sur le terrain s'est étendue d'avril 1963 à juin 1964.

8 CALENDRIER DES OPERATIONS SUR LE TERRAIN 1964 ENQUETE SUR LE TERRAIN A OUAGADOUGOU I 'à ti e ENQUETE SUR LE TERRAIN A BOBO - DIOULASSO 28 ENQUETE SUR LE TERRAIN EN RECTION MOSSI ENQUETE SUR LE TERRAIN EN Rut TON DE LeOUEST I) = Dénombrement exhaustif préalable de la ville de BOBO-DIOULASSO.

9 ÉLen-11ZËIq12-eurrenli 2PMÊ Outre les relevés préparatoires (fiches de dénombrement) et annexes (questionnaires sur l'emploi du temps et sur les migrations, relevés de prix, fiches de villages), les documents à remplir sur le terrain comprennent quatre séries de questionnaires destinées à couvrir quatre catégories d'informations différentes : - les informations d'ordre général relatives au ménage (huit questionnaires : composition, présence des membres, habitat, équipement de production, cheptel, cultures en cours, productions antérieures, fabrication du dolo). - Les informations sur les opérations alimentaires (trois questionnaires : rationnaires, préparation des repas, consommation en dehors des repas familiaux et échanges de plats). - les informations sur les opérations monétaires (deux questionnaires : emplois, ressources). - Les informations sur les opérations non monétaires (quatre questionnaires : cadeaux reçus ou offerts, trocs produit-produit, produit-service, service-produit). Malgré quelques petits problèmes (telle l'imprécision dans l'intitulé de certaines rubriques...), on peut considérer que les questionnaires ainsi établis correspondent à peu près à leur profil normal, excepté sur un point qui représente précisément l'un des plus importants : aucun questionnaire ne porte en effet sur les opérations d'auto-conoommation, d'auto-investissement ou d'auto - fourniture (sauf en ce qui concerne l'auto-consommation alimentaire obtenue "accidentellement" grâce aux relevés sur la nutrition), alors que de telles opérations sont loin d'être négligeables dans une économie peu monétisée. Et comme l'on peut s'y attendre, ce grave défaut ne manquera pas de réduire d'autant la portée des résultats de l'enquête. Cela dit, on peut estimer que dans l'ensemble les relevés ont été, dans les limites imposées par les questionnaires et à quelques exceptions près, assez correctement effectués, allégeant ainsi dans une certaine mesure le poids des difficultés à surmonter lors du traitement des informations recueillies.

10 3) LE TRAITEMENT DES INFORMATIONS Le traitement des informations, que l'on peut scinder en trois phases, est réalisé sur la base des cahiers de relevés, (un cahier par ménage enquêté) et des documents annexes (fiches de village, relevés de prix, etc...) en vue de définir le cadre d'exploitation (nomenclatures), de transcrire les données collectées (chiffrement) et de sortir les résultats finals (tableaux). La première phase, qui apparaît en réalité comme un stade préliminaire, doit cependant son importance au fait qu'elle fixe le cadre dans lequel doivent être exploitées les données recueillies (dont la nature et le volume ont déjà été, on le sait, déterminés par les questionnaires). Elle consiste à définir les nomenclatures à utiliser tant pour les biens, services et opérations (nomen- _clatures-produits) que pour les critères de différenciation des ménages (nomenclatures-critères). Ainsi a-t-on établi deux "codes-produits" (ressources et emplois) et dix "codes-critères" (saison, ethnie, taille du ménage, type de ménage, nombre de rationnaires, type de ressources, emplois monétaires de consommation par personne, emplois monétaires de consommation par ménage, sous-région, genre de village, les deux derniers codes étant réservés aux zones rurales) en s'appuyant d'abord sur les résultats d'un pré-dépouillement sommaire (pour dresser la liste exhaustive des postes et des modalités) et ensuite sur les états de pointage récapitulatifs obtenus après le chiffrement intégral des informations (pour procéder aux regroupements indispensables). Cette phase se termine avec la mise au point des nomenclatures définitives, c'est-à-dire en même temps que la seconde phase puisque les deux sont intimement liées. La seconde phase, qui représente le dépouillement proprement dit, comporte trois séries d'opérations se distinguant par leur objet. Et premier lieu, il s'agit de chiffrer les caractéristiques des ménages pour en faire des critères de différenciation : si certaines modalités de critère sont relativement faciles à déterminer, d'autres (comme notamment le type de ressources) nécessitent au contraire des calculs ou des appréciations parfois très complexes. En second lieu il fautfranserire toutes les opérations budgétaires et alimentaires effectuées par les ménages observés et enregistrées sur les cahiers de relevés : cette opération, simple à première vue, exige en réalité souvent des arbitrages d'ordre taxinomique ou des redressements à l'aide de tests de cohérence. En troisième lieu il reste à valoriser les opérations en nature, c'est-à-dire l'auto-consommation et les"cadeaux en nature" pour les produits alimentaires, et les "cadeaux en nature" seulement pour les autres produits (l'auto-consommation de ces produits étant exclue par omission, le troc étant soit mal enregistré, soit assimilé aux

11 "cadeaux"), en partant des prix constatés sur les marchés locaux (un prix global pour chaque ville, quatre prix régionaux pour chacune des régions rurales). L'ensemble des opérations de la seconde phase a permis de constituer un fichier propre (après contrôle des grilles de chiffrement et vérification des cartes perforées à l'aide d'états de pointage) pour l'exploitation mécanographique.' La troisième phase, qui vise à obtenir par ordinateur les résultats finals, n'a pas posé de problèmes trop délicats sauf lorsqu'on a voulu présenter les tableaux de manière directement lisible à la sortie même de la machine (1). Une petite conséquence matérielle de cette exploitation électronique concerne les arrondis pour lesquels l'ordinateur s'est contenté d'opérer au niveau de chaque chiffre et non pas au niveau des totaux d'ensemble. En résumé, l'on peut considérer que, du point de vue des méthodes de traitement des informations collectées, le dépouillement réservé à cette enquête correspond aux "classiques" du genre. On pouvait en effet envisager comme innovation une plus simple utilisation de l'ordinateur (en l'associant par exemple à l'établissement du plan de sondage, à la constitution des nomenclatures, etc... grâce aux applications récentes de l'anelyse factorielle des données), mais étant donné l'avancement des travaux au moment de la "découverte" de ces nouvelles techniques, cela aurait exigé une refonte complète des méthodes de dépouillement. 4) CONSTITUTION DES ECHANTILLONS Les quatre zones enquêtées peuvent être étudiées soit séparément, soit en opposant les régions urbaines aux régions rurales, soit encore en comparant les deux régions urbaines entre elles et les deux régions rurales entre elles, soit enfin en analysant les relations établies entre chacune des agglomérations et la région rurale environnante. Il est clair cependant que de tels rapprochements ne vont être possibles qu'au niveau de l'analyse des résultats finals et non pas lors de la constitution des échantillons, car il serait en effet aberrant d'agréger des régions géographiques qui ont été enquêtées à des taux de sondage disparates (1) Les tableaux reproduits dans la présente étude sont en effet sortis tels quels de l'ordinateur.

12 (3,4 % à OUAGADOUGOU, 4,6 % à BOBO-DIOULASSO, 0 2 % en région Mossi, 0,7 % en région de l'ouest) et dont le regroupement, même partiel, ne correspondrait â aucune entité géo-économique statistiquement significative. Pour la présentation des résultats, on a par conséquent conservé les autres zones initiales d'enquête et dépouillé les informations recueillies selon quatre échantillons séparés. D'après le plan de sondage modifié, les échantillons prévus pour les quatre régions d'enquête (ville de OUAGADOUGOU, ville de BOBO-DIOUIASSO, région Mossi, région de l'ouest) devaient comporter respectivement 350, 350, 400 et 400 ménages. Au niveau des cahiers de relevés, ces chiffres n'ont pas, été en réalité atteints car, si quelques-uns des cahiers ont simplement et purement disparu, certains autres paraissent plutôt fort mal remplis. Parmi ces derniers, on peut distinguer ceux qui sont restés vierges, ceux qui ne sont remplis qu'à moitié, et ceux qui ont "échoué" en passant le "test alimentaire". Ce test consiste en effet à contrôler sommairement la consommation alimentaire enregistrée pour chaque ménage en la rapportant au nombre de rationnaires correspondant : lorsque la consommation moyenne en poids par personne tombe à l'intérieur d'une certaine fourchette (entre 800 et g par jour), le cahier est conservé pour l'exploitation dans le cas contraire, le cahier ne sera définitivement éliminé que lorsque les besoins en calories (calculés en fonction de la composition réelle de chaque ménage) sont couverts en-deçà de 50 % ou au-delà de 200 %. On obtient en fin de compte les effectifs suivants pour les échantillons apurés Echantillons Effectifs prévus Ménages réguliers. Ménages "irréguliers" en valeurs absolues en Ville de OUAGADOUGOU ,9 Ville de BOBO-DIOULASSO ,0 Région Mossi ,3 Région de l'ouest ,0 Total ,7

13 Afin de recouvrer les effectifs prévus, on a ensuite procédé à un redressement des échantillons en doublant certains ménages choisis au hasard dans les mêmes catégories de stratification que ceux qui ont été éliminés. Un ménage urbain éliminé sera donc remplacé par un autre ménage appartenant à la même strate de revenus et devant être enquêté à la même période. Un ménage rural éliminé sera de son côté suppléé par un autre ménage appartenant à la même sous-région et devant être observé à la même période. L'opération revient par conséquent à reconstituer les échantillons tels qu'ils devaient être juste après l'enquête sur le terrain, dans le but notamment de tester la valeur des stratifications réalisées. La phase suivante consiste alors à élaborer, à partir des échantillons redressés et à l'aide des taux de sondage par strate (strate de revenus en milieu urbain, sous-région en milieu rural), des échantillons pondérés destinés à fournir des représentations homothétiques des populations enquêtées. Les échantillons ainsi obtenus (voir tableau ',Passage des échantillons redressés aux échantillons pondérée) permettent de travailler sur des images directement comparables des populations intéressées (grâce à l'uniformité des échelles, 1/5 pour le milieu urbain, 1/50 pour le milieu rural) tout en marquant la distance inévitable entre des résultats sur échantillons et les chiffres réels. Il va sans dire que toute l'exploitationdes informations collectées sera par la suite fondée sur les échantillons pondérés, les échantillons redressés ne servant qu'à l'interprétation technique des résultats (seuil de fiabilité, croisement des critères, etc

14 PASSAGE DES ECHANTILLONS REDRESSES AUX ECHANTILLONS PONDERES Zone d'enquête Echantillon redressé Nombre de ménages Nombre de personnes Coefficients de pondération Echantillon pondéré Nombre de ménages Nombre de personnes Populations totales it. calculées *OIE réelles Ville de Ouaeadougou Strate I Strate s. Strate Total Ville de Bobo-Dioulasso Strate ( Strate Strate Total

15 Région Mossi Mossi-Ouest Mossi-Est Mossi-Centre Mossi-Nord 95 é Total Région de l'ouest Ouest-Nouna Ouest-Tougan Ouest-Bobo Ouest-D dougou., ,... i _ Total I ( calculées par homothétie (coefficient 5 pour le milieu urbain et 50 pour le milieu rural) à partir des Populations ( ) échantillons pondérés. )mue totales ( dénombrées lors de l'enquête sur le terrain (milieu urbain et villages effectivement enquêtés) ou extrapolés ) à partir des estimations administratives (villages non enquêtés).

16 COMMENTAIRE DES PRINCIPAUX 1ZESUITATS Ces résultats ont été obtenus en convertissant en nutriments, à l'aide de la Table de composition des aliments éditée par la FAO, les quantités d'aliments consommés par les ménages et en les comparant aux besoins nutritionnels théoriques de ces ménages tels qu'ils ressortent des recommandations de cette même FAO. lies commentaires qui suivent s'attachent à souligner, après une présentation des résultats d'ensemble, quels sont les facteurs qui conditionnent le plus fortement la situation nutritionnelle de la population. Dans ce qui suit, il a été admis : - que les ménages ayant moins de 80 % de leurs besoins couverts en calories, protéines, calcium, fer ou vitamines peuvent être considérés comme sujets à des carences nutritionnelles ; - que les ménages ayant moins de 12 % de calories protidiques ou moins de 18 % de calories lipidiques dans l'apport calorique total, peuvent être considérés comme ayant une structure calorique déséquilibrée. Ces seuils ont été fixés à ces niveaux en raison de l'imprécision d'un certain nombre de données comme. par exemple, la composition exacte de certains aliments voltaiques, la participation effective aux repas (cas des gens de passage, des plats offerts ou reçus, des restes etc...). C'est pour ces mêmes raisons d'ailleurs, que les tableaux fournissant la dispersion des ménages du point de vue des taux de couverture des besoins de chacun des nutriments ne sont fournis que pour les résultats d'ensemble. Pour l'analyse par variables socio-économiques,seules ont été calculées les dispersions relatives aux ce7ories, aux protéines et à la structure de la ration calorique. 1) LA RATION MOYENNE ET LES TAUX MOYENS DE COUVERTURE DES BESOINS par région sont indiqués dans le tableau N 1 ci-joint, d'ou il ressort : - des carences notables en :. Lipides moins de 11 de calories lipidiques dans les quatre régions. Vitamines A et C taux de couverture des besoins inférieurs à 80 % Li les quatre régions

17 -15- TABLEAU 1 APPORTS PAR PERSONNE ET PAR JOUR POURCENTAGE DE COUVERTURE MOYENS DES BESOINS (pour chaque nutriment et suivant la région) A : Apports--T s % de couverture des besoins Nutriments Unités REGION 1 OUAGADOUGOU A T REGION 2 BOBODIOULASSO A T RÉGION 3 Région Mossi A T REGION 4 Région Ouest A T Calories cal Calories protidiques cal Calories lipidiques cal Protéines g Calcium mg loi Fer mg Vitamine B1 mg 1, , , ,6 226 Vitamine B2 mg 0,9 65 1,0 72 1,4 93 1,6 102 Vitamine PP mg 18, , , ,2 98 Vitamine A MR * o Vitamine C mg 45, , , ,8 52 ** Calories protidiques (a) % Calories Calories lipidiques (b) % Calories Mierogrammes de rétinol ** Pour être satisfaisant (a) devrait dépasser 12 % et (b) 18 %.

18 Vitamine 32 en milieu urbain. - Des besoins partout largement couverts en fer et vitamine B1 Des taux de couverture plut8t médiocres (entre 80 % et 120 %) pour les autres nutriments car ils impliquent une notable proportion de ménages ne disposant pas de la ration minimum : Calories : minimum 94 % à OUAGADOUGOU, maximum 114 % à BOBODIOULASSO. Protéines minimum 108 % à OUAGADOUGOU, maximum 121 % à BOBODIOULASSO. Calcium : taux limite, 80 %, en ville, faiblement supérieur à 100 % en milieu rural. - Vitamine B2;en milieu rural (carence grave en milieu urbain) Vitamine PP:sauf à BOBO-DIOULASSO. 2) Les résultats concernant la dispersion des ménages suivant les taux de couverture des besoins confirment et.récisent les observations.récédentes. Ils figurent dans les tableaux N2 à N45 qui sont synthétisés dans le tableau 2 ci-joint. Ce tableau permet d'apprécier l'ampleur des carences puisque : - Plus de 85 % des ménages n'ont pas leur ration calorique équilibrée (à 18 % au moins) en lipides, quelle que soit la région. - Plus de 70 % des ménages n'ont pas leurs besoins couverts en vitamine A, quelle que soit la région. - Plus de 55 % des ménages n'ont pas leurs besoins couverts en vitamine C, quelle que soit la région (80 % en région rurale Mossi). Il montre aussi que des résultats moyens à peu près acceptables impliguent des carences notables pour une kart importante de la population : - Calories 40 % des ménages à OUAGADOUGOU n'ont pas leurs besoins couverts à 80 %, (contre 20 à 30 % ailleurs). - Vitamine 32 près de 70 % des ménages urbains n'ont pas leurs besoins couverts à 80 %, et près de la moitié des ménages ruraux. - Calcium plus de la moitié des ménages urbains n'ont pas leurs besoins cou- verts à 80%. En résumé, on peut noter : - Un problème grave et générai pour les lipides, les vitamines A et C. - Un problème grave pour une part notable de la population en ce qui concerne les calories, le calcium et la vitamine 32.

19 TABLEAU 2 POURCENTAGE DE :MÉNAGES AYANT LEURS REgOINS NON COUVERTS (suivant les différents nutriments - et selon la région) - Pour les calories, les protéines, le calcium, le fer et les vitamines, les ménages retenus ont moins de 80 % de leurs besoins couverts. - Pour les calories protidiques, les ménages retenus ont moins de 12 % de calories protidiques dans l'apport calorique total. Pour les calories lipidiques, les ménages retenus ont moins de 18 % de calories lipidiques dans l'apport calorique tctl. Nutriments Région 1 OUAGADOUGOU Région 2 BOBODIOULASSO Région Mossi 3 Région 4 Ouest Calories Calories protidiques Calories lipidiques Protéines Calcium Fer o., vitamine Bi O o 0 o Vitamine B Vitamine PP 38, Vitamine A o Vitamine C

20 - A BOBODIOULASSO le régime alimentaire est meilleur qu'à OUAGADOUGOU alors qu'il n'y a pas de différence notable entre les deux régions rurales. - En milieu rural les carences en lipides, vitamine C et vitamine PP sont un peu plus marquées qu'en ville. Et inversement pour la vitamine B2 et le calcium. 3) Consommation mo e nne ar ersonne et ar 'our des rinci aux roduits alimentaires Le tableau N 3 ci-dessous indique la ration moyenne en grammes obtenue par addition pure et simple (sans coefficients de conversion) des consommations moyennes des principaux aliments sous leurs formes diverses (exemple : grain et farine pour le mil le mals, le riz, etc...). Ce tableau est donc tout à fait indicatif. Les tableaux NO donnent le détail de la ration par aliment et par région. TABLEAU N 3 Région 1 OUAGADOUGOU Région 2 BOBODIOULASSO Région 3 Mossi Région 4 Ouest CEREALES co 417 TUBERCUII LEGUMINEUSES FEIJILTFs LEGUMES FRUITS BOEUF, MOUTON, VOLAILLE POISSON LAIT OLEAGINEUX BIERE DE MIL, DOLO

21 -19 - Confirmant ce qui précède, on peut noter que :. La consommation de céréales est beaucoup plus forte en milieu rural qu'en milieu urbain ;. que la consommation de viande et de légumes en milieu rural est très faible ;. que l'on n'a pratiquement pas enregistré de consommation de fruits, pas plus en ville que dans les campagnes ;. la ration en oléagineux est nettement insuffisante partout. 4) Anal se du ré ime alimentaire en fonction des caractéristiques des ménages Te liste des dix critères d'analyse retenus est détaillée ci-après dans le "Guide de lecture des Tableaux" Il ne saurait être question de procéder ici à l'étude de l'influence de ces divers critères dans chaque région. Une telle étude n'aurait d'intérêt que dans le cadre d'une analyse de l'évolution sur longue période (depuis 1963/64 jusqu'à maintenant), conduite par des spécialistes de la nutrition et connaissant suffisamment la Haute-Volta. Au demeurant un examen rapide des tableaux ne permet pas de dégager des conclusions très assurées (sauf en ce qui concerne les critères de "taille" des ménages) eu égard à la faiblesse des échantillons dans certaines classes, au degré de précision des mesures et au caractère indicatif des standards nutritionnels retenus. Il faut observer enfin que ces différents critères ne sont pas indépendants et seule une analyse factorielle des données aurait permis de dégager les ensembles de critères les plus significatifs. On peut en fait, pour simplifier, distinguer trois types de critères : - les critères de taille (nombre de rationnaires, type de ménage, taille du ménage) - les critères monétaires (dépense de consommation par ménage ou par personne) - les critères "d'intégration" à l'économie monétaire (type de ressources, genre de village). Le résultat essentiel et incontestable est le suivant : le régime alimentaire se détériore au fur et à mesure que la taille du ménage augmente. Cette influence négative de la taille est très marquée, très régulière, très générale. Le second critère paraissant exercer une influence notable est le suivant le niveau des dépenses de consommation par personne. (Rubrique "Emploi Monétaire de Consommation par personne"). En ville, lorsque la dépense moyenne par personne augmente,le régime alimentaire s'améliore. Ce résultat, naturel s'il y a peu d'autoconsommation, ce qui est le cas en ville, est très net à BOBODIOUIASSO, beaucoup

22 moins à OUAGADOUGOU. En zone rurale, la conclusion est moins évidente : dans l'ouest, la ration parait s'améliorer lorsque le niveau de dépenses par personne augmente mais chez les Mossi, c'est plutôt l'inverse. Enfin, l'ensemble des tableaux peut laisser suggérer : - Qu'en ville, et c'est assez net à OUAGADOUGOU, ce sont les ménages dont le mode de vie et les caractéristiques se rapprochent le plus du type "traditionnel" (origine locale, plusieurs adultes et nombreuses personnes à charge, revenu par personne modeste tiré de l'agriculture et de l'élevage ou d'un emploi salarié sans spécialisation) qui ont le régime alimentaire le plus médiocre : insuffisance calorique marquée, fortes carences en vitamines A, C et PP, déséquilibre de la ration par manque de lipides. - Qu'en pays Mossi, la tendance est inverse : le régime alimentaire est plutôt meilleur pour les ménages à caractéristiques "traditionnelles". Dans la région Ouest, il y a une trop forte proportion de ménages à caractéristiques traditionnelles pour qu'on puisse mettre en évidence une différenciation notable selon ce point de vue.

23 GUIDE DE LECTURE DES TABLEAUX Les besoins théoriques des différents rationnaires ont été évalués selon les recommandations de la FAO. De même la consommation alimentaire des ménages a été transformée en nutriments à l'aide de la Table de Composition des Aliments fournie à l'époque par cet organisme. I' - SIGLES ET UNITe, A : Apports en nutriments, en (cf. unités ci-dessous) T : Pourcentage de couverture des besoins correspondant à l'apport A sauf pour les calories protidiques et calories lipidiques, pour lesquelles T représente le pourcentage par rapport au total des calories (% minimum recommandé : 12 % dans le cas des calories protidiques, 18 % dans le cas des calories lipi- diques) ; VA : valeur absolue = nombre de ménages ou de rationnaires enquêtés de la classe considérée. UNITES - Calories nombre = CAL - Calories protidiques " = CAL, à raison de 4 calories par gramme de protides. - Calories lipidiques = CAL, à raison de 9 calories par gramme - Protéines grammes = GR de lipides. - Calcium milligrammes rzelg - Fer milligrammes = mg - Vitamine BI milligrammes = mg - Vitamine B2 milligrammes = mg - Vitamine PP milligrammes = mg - Vitamine A en microgrammes de rétinol = MR - Vitamine C milligrammes = mg

24 II - INVENTAIRE DES 226 TABLEAUX LNbre de Tableaux Numérotation Titre ou Contenu 1 1 NO N1 Consommation par personne et par jour, en grammes, des principaux aliments, par région. Apports par personne et par jour et pourcentages de couverture moyens pour chaque nutriment et suivant la région 44 N2 à N45 Région 1 = Région 2 = Région 3 = Région 4 = Pour chaque région : dispersion des ménages et des rationnairesde l'échantillon suivant leur taux de couverture des besoins, en nutriments. 4 Régions X 11 Nutriments = 44 Tableaux Ville de OUAGADOUGOU. Tableaux N2 à N12 Ville de BOBO-DIOUIASSO - N13 à N23 Région Mossi = - N24 à N34 Région de l'ouest = - N35 à N45 40 N46 à N85 REGION 1 : VILT.T. DE OUAGADOUGOU 8 critères d'analyse : cf. liste ci-dessous en III, 01 à 8 pour chaque critère, 5 tableaux suivants : - Apports par personne et par jour, et taux de couverture moyens pour chaque nutriment - Répartition des ménages suivant leur taux de couverture des besoins en :. Calories (7 tranches). Calories protidiques (6 tranches). Calories lipidiques (6 tranches). Protéines (7 tranches) 40 N86 à N125 REGION 2 VII-,TF, DE BOBO-DIOULASSO Les - mêmes 5 tableaux pour les mêmes 8 critères d'analyse 40 N126 à N175 REGION 3 : REGION MOSSI Les mêmes 5 tableaux pour les mêmes 8 critères d'analyse 50 N176 à N225 NI76 à N180) N181 à N186) REGION 4 : REGION DE L'OUEST Les mêmes 5 tableaux pour les mêmes 8 critères d'analyse et pour 2 nouveaux critères : Critère : Sous-Région Critère : Genre de village.

25 III - LES 10 CRITERES D'ANALYSE La colonne de gauche reprend l'en-tête des colonnes des tableaux. Ces en-têtes ont été abrégées pour des considérations informatiques. La colonne de droite donne le libellé complet de la rubrique. 1) Le Trimestre F = de fin décembre à fin mars F = de fin mars F de fin juin à fin juin à fin septembre F = de fin septembreà fin décembre 2) L'ethnie 1«MOSSI MANDINGUE 4. PEULE 3. Autres 2nu_damt (basé sur le nombre et le sexe des adultes du ménage) 1. Homme - Femme 1 homme et 1 femme 2. Homme - Femmes 1 homme et plusieurs femmes 3. Hommes - Femme plusieurs hommes et une femme 4. Hommes - Femmes plusieurs hommes et plusieurs femmes 5. H ou F seuls un seul adulte 4) Type de Ressources 1. Non Spe. Salar. 2. Specia. Salar 3. Employ. Rev F 4. Employ. Rev FV 5. Camer Artis. 6. Agriculteurs 7. Agr. El. 4. A. Rev = 8. Autres Salariés non spécialisés Salariés spécialisés Employés à revenu fixe Employés à revenu fixe disposant aussi de revenus divers et variables Commerçants ou artisans agriculteurs purs Agriculteurs-éleveurs disposant d'autres revenus Autres.

26 -24-5) Emploi monétaire de consommation par personne Il s'agit des dépenses de consommation, far personne et par mois en francs CFA 1. 0 à à à à à à à à et sup. 6) Emploi monétaire de consommation par ménage Il s'agit des dépenses de consommation, par ménage et par mois en francs CFA 1. 0 à à à à à à à et sup. 7) Nombre de Rationnaires = nombre moyen de rationnaires par jour 1. 0,0 à 1,4 2. 1,5 à 2,4 3. 2,5 à 3,4 4. 3,5 à 4,4 5. 4,5 à 5,4 6-5,5 à 6,4 7. 6,5 à 7,4 8. 7,5 à 9,4 9. 9,5 et sup.

27 - 25-8) Taille du Ménage pers 1 ou 2 personnes 2. 3 pers 3 personnes 3. 4 pers 4 personnes 4. 5 pers 3 personnes 5. 6 pers 6 personnes 6. 7 pers 7 personnes pers 8 ou 9 personnes pers 10 personnes ou plus 9) Sous-Région 'Pour la Région 4 seulement (Région de l'ouest) - Tableaux N176 à N180. Ouest - Houna Ouest - Tougan Ouest - Bobo Ouest de Doug 10) Genre de Village Pour la Région 4 seulement (Région de l'ouest) - Tableaux N181 à N C. lieu et env. Chef-lieu et environs 2. V/voie commune Village sur une voie commune 3. V/disp. Ecole Village avec dispensaire et école 4. V/sup H Village de plus de habitants 5. V/ H Village de 500 à habitants 6. V/2 NF 500 H. Autres.

28 TABLEAU NO : CONSOMMATION ALIMENTAIRE MOYENNE PAR REGION, PAR PERSONNE, PAR JOUR en grammes REGION I OUAGADOUGOU I CEREALES... eeeee eeeeeeeeeeee *gogo eeeeeeee 0"00.1ps eeeeee Mars et dérivés eeeeeeeee... emelbapee6,... o. 14 dont : farine de mars eeeeeeeeeeeeeeeeee 178 dont : farine blanche de mil 149 mil écrasé 13 mil blanc, petit mil Blé et dérivés 7 dont : pain de blé eeeee 00.0ope eeeee Riz et dérivés semeeo4opeoesemseoemeeeeogooeepeoseee dont : riz décortiqué oo 37 riz en grains 16 5 Divers 11 dont : bouillie liquide 8 II TUBERCULES 10 1 Ignames et dérivés * maseee"000seee 9 dont : Igname frais Divers 1 III LEGUMINEUSES 13 1 Haricots et dérivés 10 dont : haricots en grains, écossés Divers 3

29 TABLEAU NO (suite) : 2 REGION I - OUAGADOUGOU, IV - LEGUMES Feuilles Tomates fraîches Divers 17 dont : gombo frais 5 oignon sec 5 V - FRUITS 4 VI - VIANDES, VOLAILLES, POISSONS, PRODUITS LAITIERS Chgvres Boeuf 43 ' dont : viande de boeuf 28 viande sans os Mouton Volailles Poissons et dérivés Produits laitiers 1 VII - OLEAGINEUX Arachides et dérivés 9 dont : arachides crues, grillées,.?éches ou en pgte Divers 11 dont : beurre de Karité 5

30 TABLEAU NO (suite): 3 REGION I - OUAGADOUGOU VIII - PRODUITS DIVERS 9 dont : sucre 4 sel, sel gemme, sel marin 5 IX - BOISSONS 19 dont : Bière de mil, data 10 Tamarin et dérivés 9 X - TOTAL - REGION I 459

31 Tagrtif -? sas0009 osupgxe ue e;ootah t g samatureows - III etealc emvu?t : ;uop e9ata9p eemeuel t 64 SEIROUSEM - II tl GPTCTT ettitnoq : ;trop lintf 42 sutsa2 ue zta mmo9p zta quoi) ATJ9P 1.0 zt11 - L L atq ep upd t.uop G9ATI9P 1-b 9TE - g 44 TTm ep etittnocl 44 9euxose rem Ç2 rpm q.t4ed 4ourem rga rem ep Emmen eut.re; : vtrop ATI9P qe ottwaos 'TTM -? lg erem ep eutaej 1.uop 017 e9ati9p i.e creli t Srivraao - I osslrunoidoaos - II anon t(el.tne) ON nvelan

32 -30- TABLEAU NO (suite) : 5 REGION II - BOBODIOULASSO IV - LEGUMES Feuilles Tomates fraîches OOOOOOOOOO e agee 0 00 OOOOOOOOO t el Divers IF * 6 eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee. 23 dont : gombo frais owee..seeeeseee eeeeee 7 oignon sec 8 V - FRUITS ebeeepoweee 15009e1Peeek e6w e eeeeleeeeee oeseeea VI - VIANDES, VOLAILLES, POISSONS, PRODUITS LAITIERS, Boeuf 40 dont : viande de boeuf 27 viande sans os Mouton Volailles Poissons et dérivés Produits laitiers VII - OLEAGINEUX Arachides et dérivés 14 dont : arachides crues, grillées, aches ou en pâte Divers 11 dont : beurre de Karité 8

33 TABLEAU NO (suite): 6 REGION II - BOBODIOULASSO VIII - PRODUITS DIVERS 14 dont : sucre 5 sel, sel gemme, sel marin IX - BOISSONS 12 dont : café, café en tasse 4 bière de mil, dolo 3 X - TOTAL - REGION II 538

34 TABLEAU NO (suite): 7 REGION III - REGION MOSSI I - CEREALES 1 - Mals et dérivés dont : farine de mars Mil. sorgho et dérivés dont : farine blanche de mil 210 mil blanc, petit mil 118 sorgho rouge 15 ete,bouillie de mil mil écrasé Blé et dérivés Riz et dérivés dont : riz décortiqué Divers... e e000e0 7 Il - TUBERCULES e*00... a... III - LEGUMINEUSES 30 1 Haricots et dérivés dont : haricots en grains, écossés Divers 30 dont : petits pois, pois de terre... IV - LEGUMES, Feuilles Divers 7

35 TABLEAU NO (suite) : 8 REGION III - REGION MOSSI V - FRUITS VI - VIANDES. VOLAILLES, POISSONS. PRODUITS LAITIERS Chèvre Boeuf Mouton Volailles Poissons et dérivés Produits laitiers 2 VII - OLEAGINEUX 13 1 Arachides et dérivés Divers 9 dont : bical, Kalago, soumbala, amande de néré 6 VIII - PRODUITS DIVERS 9 dont : sel, sel gemme, sel marin 5 IX - BOISSONS 55 dont : bière de mil dolo 51 X - TOTAL - REGION III 571

36 TABLEAU NO (suite) : 9 REGION REGION OUEST I CEREALES seemeeeeosasee emeoseeeseeesoogoe e4 el, * Mafs et dérivés gedee seese eoeoce see00 26 dont : farine de mars»bée ,e oeeeeeoe000 ooreo eeeeeeeeeeeeeee 373 dont : mil blanc, petit mil e4rééeseee 194 farine blanche de mil 125 pâte, bouillie de mil 19 sorgho rouge eeeeee fonia sec, décortiqué 12 3 Blé et dérivés * eeeeeee 00, eeeeeeeee 00 Meee dont : macaroni, nouilles, pâtes... 1 Riz et dérivés 0 0e someeemeee oeé eu Divers --es. saleesee000 00$ O9e es II TUBERCULES a9a0e III LEG1.TMINEUSES eee 00.00" 00. eeeeee eeeeeee 1b 1 Haricots et dérivés eteee seeeees e0e 12 dont : haricots en grains, écossés Divers e000.0 eeeeee ée0 9-0 eeeeeee e.001, e a.eee dont : petits pois, pois de terre 4 IV LEGUYES , ee é eeee 00.00éeee OOOOOOOOOOO 0000" OOOOOOOO 32 1 Feuilles OOOOOOOOOOOOO 50.3e0 OOOOOOOOOOOO ee Divers OOOOOOOO sess09$09 000a44 e Oée V FRUITS e00.00 OOOOOOOOOOOOO 4e

37 TABLEAU NO (fin) : 10 RÉGION IV - REGION OUEST VI - VIANDES. VOLAILLES. POISSONS. PRODUITS LAITIERS Ch8vre Boeuf Mouton Volailles Porc et gibier Poissons et dérivés Produits laitiers 19, dont : lait de vache non sucré 15 lait caillé 4 VII - OLEAGINEUX Arachides et dérivés Divers 13 dont : beurre de Karité..4 bical, Kalago, soumbala, amande de néré 4 VIII - PRODUITS DIVERS 8 dont : sel, sel gemme sel marin 4 IX - BOISSONS 71 dont : bière de mil, dolo 66 X - TOTAL - REGION IV 608

38 -)6 TABLEAU No N1 PPORTS PAR Rso urcentages DE COUVERTURE MOYENS POUR CHAQUE NUTRIMENT ET SUIVANT LA REGION Nutriments REGION 1 Ouagadougou A T REGION 2 Bobodioulasso A T REGION 3 Région Mossi A T REGION 4 Région de Ouest A T Calorie 2256, Calorie protidique Calorie lipidique Protéine Calcium Fer Vitamine B ,5 Vitamine B Vitamine PP , Vitrine A Vitamine C

39 REGION 1 - TABLEAU N N2 DISPERSION DES MENAGES ET RATIONNAIRES SUIVANT LEUR TAUX DE COUVERTURE DES BESOINS EN CALORIES % de couverture DISPERSION DES en calorie Ménages". Rationnaires - de et TOTAL Apport moyen par personne et par jour en calorie CAL % de couverture moyen en calorie 38.7 % des ménages regroupant 43.5% des 93.8 rationnaires ont moins de 80% de leurs besoins couverts e0 REGION 1 - TABLEAU N N3 % de couverture en calorie protidique DISPERSION DES MENAGES ET RATIONNAIRES SUIVANT LEUR. TAUX DE COUVERTURE DES BESOINS EN CALORIES PROTIDIQUES DISPERSION DES Ménages Rationnaires 0 - de f ,0 16 et TOTAL Apport moyen par personne et par jour en calorie CAL % do couverture moyen en calorie protidique 13.2 protidique 25.4 % des ménages regroupant 27.2% des rationnaires ont moins de 12 % de calories protidiques

40 REGION 1 - TABLEAU N N4 DISPERSION DES MENACES ET RATIONNAIRES SUIVANT LEUR TAUX DE COUVERTURE DES BESOINS EN CALORIES LIPIDIQUES % de couverture en calorie li idi ue DISPERSION DES Nénagee % Valeur ala g ires - de , et TOTAL Apport moyen par personne et par jour en calorie lipidique CAL % de couverture moyen on calorie lipidique % des ménages regroupant 86.8'% des rationnaires ont moins do 18% de calories lipidiques REGION 1 - TABLEAU N N5 DISPERSION DES MENACES ET RATIONNAIRES SUIVANT TRUR TAUX DE COUVERTURE DES BESOINS EN PROTEINES % de couverture en protéine Ménages valeur absolue DISPERSION DES Ratiornaires - de et TOTAL Apport moyen par personne et par jour en protéine 74.5 GR % de couverture moyen en protéine % des ménages regroupant 29.1% des rationnaires ont moins de 80% de leurs besoins protéiques couverts.

41 REGION 1 - TABLEAU NoN6 DISPERSION DES MENAGES ET RATIONNAIRES SUIVANT LEUR TAUX DE COUVERTURE DES BESOINS EN CALCIUM de couverture en calcium Ménages DISPERSION DES Rationnaires - de et A TOTAL Apport moyen par personne et par jour en calcium MG % de couverture moyen en calcium % des ménages regroupant 63.2% des rationnaires ont moins de 80% de leurs besoins calciques couverts REGION 1 - TABLEAU N N7 DISPERSION DES MENAGES ET RATIONNAIRES SUIVANT LEUR TAUX DE COUVERTURE DES BESOINS EN FER de couverture en fer Ménages DISPERSION DES Rationnaires - de et TOTAL Apport moyen par personne et par jour en fer 44.5 mg % de couverture moyen en fer Les besoins ferriques sont couverts

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