Résumé de thèse La mondialisation des Jeux Olympiques de Séoul (1988) à Sydney (2000)

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1 Université de Franche-Comté UFR des Sciences de l Homme, du Langage et de la Société CERSO (Centre d Etude et de Recherche sur le Sport et l Olympisme) Laboratoire THEMA, UMR 6049 du CNRS Besançon - France Résumé de thèse La mondialisation des Jeux Olympiques de Séoul (1988) à Sydney (2000) Thèse de Doctorat en Géographie présentée par Nicolas CHAMEROIS Année 2002 Thèse honorée d une bourse du Comité International Olympique et du Comité National Olympique et Sportif Français Sous la direction de Monsieur Jean PRAICHEUX, Professeur à l Université de Franche-Comté Thèse soutenue le 13 décembre 2002 devant le jury composé de : Madame Françoise ZWEIFEL, Directrice du Musée Olympique, Lausanne, Suisse Monsieur Jean-Pierre AUGUSTIN, Professeur à l Université de Bordeaux III, France Monsieur Bertrand DURING, Professeur à l Université de Paris V, France Monsieur Jean-Marc HOLZ, Professeur à l Université de Perpignan, France Monsieur Jean PRAICHEUX, Professeur à l Université de Franche-Comté, France Monsieur Henri SERANDOUR, Président du CNOSF, Membre du CIO, France 2002 Nicolas Chamerois 1

2 Les Jeux Olympiques (JO) d été ont une ampleur sans équivalent. De 1896, date des premiers Jeux rénovés à Athènes en Grèce où 14 pays étaient présents, à 2000 lors de la dernière édition des Jeux à Sydney en Australie où 199 nations participaient, les JO d été ont su conquérir la planète (les Jeux Olympiques d hiver ont une audience plus restreinte puisqu ils n ont réuni que 78 pays en 2002 à Salt Lake City). Les Jeux d été sont aujourd hui un rendez-vous incontournable sur la scène internationale. Tous les quatre ans, l ensemble des pays s expriment lors de cette manifestation dans un programme de compétitions riche et varié. Seul l Olympisme a réussi à rassembler autour du sport autant de peuples lors d un même événement. Au-delà de l image d universalité qui caractérise les JO et le mouvement qu ils ont su générer (le Mouvement Olympique), il nous semble pertinent d étudier la portée réelle du système, en essayant de répondre à cette question : quel est le degré de mondialisation des Jeux Olympiques d été? Devant la complexité du système olympique, nous avons essayé d identifier et d analyser les comportements des acteurs à travers deux axes. Le premier thème de notre réflexion a abordé les aspects structurels du Mouvement Olympique, par le biais des attributions et des liens qui unissent les trois piliers que sont le Comité International Olympique (CIO), les Fédérations Internationales (FI) et les Comités Nationaux Olympiques (CNO). La seconde partie de notre réflexion a eu pour objectif de dégager les stratégies exprimées lors du déroulement des Jeux d été de 1988 à Pour cela nous avons tenu compte des conditions de participation définies par le programme olympique (qui émanent conjointement du CIO et des FI) et de l importance des délégations (en nombre de participants, d inscriptions et de succès). Nous avons établi une méthode d analyse pour mesurer les conditions et l évolution des accès des Comités Nationaux Olympiques aux compétitions olympiques. Nous nous sommes concentrés sur le rendement des équipes nationales, afin d évaluer les capacités des CNO (un CNO est l organe olympique représentant un pays) à remporter des succès. Nous avons par la suite confronté nos hypothèses avec des facteurs extra-sportifs par l intermédiaire d une méthode statistique : l Analyse Factorielle des Correspondances. Cela nous a permis de valider certains de nos raisonnements et d expliquer les stratégies globales des pays participants aux JO. Enfin, nous avons apporté un éclairage sur un thème particulier, celui du sport féminin. Nous avons choisi ce thème non seulement parce qu il a fait l objet d une forte promotion durant la période étudiée, mais aussi parce que les bouleversements politiques ont eu sur lui de profondes répercussions. Globalement nous avons pu démontrer que les sphères politiques, culturelles et économiques jouent un grand rôle dans les niveaux de développement du Mouvement olympique Nicolas Chamerois 2

3 1. Le CIO, l organisme responsable Le CIO est l organisme responsable du développement des Jeux Olympiques. D un point de vue interne, il a bouleversé son fonctionnement en 1999, en incluant davantage les acteurs du monde sportif (CNO, FI, athlètes). Il a eu ainsi l occasion de s internationaliser un peu plus (par la fonction et la nationalité de ses membres) et de moderniser son image. Le Comité International Olympique a le pouvoir d introduire des nouvelles pratiques sportives, d élire les villes organisatrices et d élaborer (en collaboration avec les FI) les critères de qualification pour les concurrents. C est donc lui qui détient les clefs de la mondialisation. Néanmoins, force est de constater que le CIO s en sert avec parcimonie. Sa stratégie vis-à-vis de l événement olympique l en empêche. En effet, l organisation des Jeux est réservée à quelques pays riches. L Afrique et l Amérique du Sud n ont jamais connu cette distinction, et il sera difficile pour le CIO d honorer (s il le souhaite) tous les continents. La taille des Jeux et leur coût limitent les candidatures fiables. De même, cette manifestation a atteint un seuil dans le nombre des sports. Afin de ne pas céder au gigantisme, les critères d entrée pour les sports, et de qualification pour les athlètes, sont devenus draconiens. Le poids et le succès des Jeux assurent au CIO une autorité certaine sur les décisions prises. En revanche, les relations avec les CNO fluctuent davantage. Devant les revendications nationales de quelques entités (qui ont tenté, entre autres, d utiliser les CNO pour apparaître sur la scène mondiale) le CIO s est trouvé dans l obligation de modifier sa charte et de mieux définir la notion de pays. Afin de ne pas légitimer les actes politiques, le CIO se range dorénavant sous les résolutions de la communauté internationale (ONU notamment). Depuis 1894, l Olympisme a pu s étendre progressivement sur la planète. C est ici que le phénomène de mondialisation prend tout son sens, puisque 199 CNO sont aujourd hui reconnus. 2. Les FI, le cumul des sports au service de la mondialisation Les sports sont gérés par les Fédérations Internationales. Celles-ci cherchent à se développer et à émerger sur la scène internationale. Le CIO a étendu sa marque sur la quasi-intégralité des pratiques sportives en leur donnant le label olympique. Néanmoins, toutes les FI ne sont pas présentes aux JO. Si beaucoup d entre elles sont candidates pour faire leur entrée, on compte peu d élues. Aux Jeux de 2000, 28 sports (soit autant de FI) avaient ce privilège. Les Jeux Olympiques représentent une réelle opportunité pour ces structures qui profitent à la fois de la visibilité et des retombées financières de l événement. Peu de FI ont les capacités de faire l impasse sur cette manifestation (le football, le tennis et peut-être l athlétisme ont les moyens d exister en dehors des JO). Elles cherchent donc toutes à renforcer leur poids en revendiquant davantage d épreuves ou de places allouées. C est le cumul des sports qui confère le caractère mondial à l événement car chaque culture sportive est représentée. Pourtant, ces pratiques n ont pas toutes le même poids à l échelle internationale. Elles varient du confidentiel à l universel selon la nature des sports, de leur ancienneté et du coût de leurs pratiques. Nous avons pu constater qu il existait déjà à ce stade une opposition entre les pays riches (qui sont affiliés à un grand nombre de FI) et les nations défavorisées (qui privilégient les sports de base, comme l athlétisme ou les sports collectifs, au détriment de pratiques a priori coûteuses telles l équitation, la voile, l aviron ) Nicolas Chamerois 3

4 Extrait 1. Carte 1 : le poids des fédérations affiliées par CNO, une importance variable Cette inégale répartition s explique par différents facteurs. Le premier est sans nul doute le niveau économique : les pays riches s opposent aux pays pauvres. Globalement, il existe une opposition Nord-Sud. Il y a ensuite un effet de taille. Les micro-etats, riches ou non, en Europe comme en Asie ou en Amérique, ont un poids sportif inférieur. En revanche, les CNO très peuplés n ont pas forcément une politique d affiliation forte. La puissance démographique n est donc pas déterminante. L apparition de CNO forts dans une zone faible peut aussi s expliquer par la tradition, le poids historique de la colonisation et de son héritage sportif. L instabilité économique différencie également les CNO. Les Républiques d ex-yougoslavie ou d ex- URSS de création récente enregistrent un niveau d affiliation assez variable.ce critère rejoint celui de la volonté politique qui est un élément déterminant dans le développement et la structuration des pratiques sportives (espace post-soviétique, Chine...). Cette distribution fortement contrastée s explique enfin par l intérêt conféré aux différentes pratiques sportives sur les territoires. Lors de cette étude, nous avons pu également déceler l existence de 28 conceptions différentes d un territoire. En effet, chacune des FI a le pouvoir de reconnaître des fédérations nationales selon des critères divers. Ce point peut paraître anecdotique, mais les affiliations des pays aux FI est une première reconnaissance sur la scène internationale. C est également l une des conditions à remplir pour revendiquer la création d un CNO, et donc apparaître sur la scène olympique Nicolas Chamerois 4

5 3. Les CNO, entre mondialisation de la participation et confiscation des succès Sous l impulsion du Président SAMARANCH, le Mouvement olympique a retrouvé une unité longtemps mise à mal par les boycotts successifs (de 1976 à 1984). Le CIO a réussi, après un siècle d histoire, à réunir la planète entière. La reconnaissance des CNO s avère être un acte incontournable de la reconnaissance politique des Etats au même titre que l ONU. De plus, les pays font maintenant tous l effort de participer, notamment pour bénéficier de l exposition médiatique engendrée par l événement olympique. Il y a donc bien à ce niveau une adéquation avec le phénomène de mondialisation tant le processus d expansion semble achevé. Toutefois, les comportements des délégations nous incitent à relativiser notre propos. L étude de la participation et des succès a montré de profonds contrastes entre les CNO. L accès aux compétitions est trop difficile pour la majeure partie des pays. Ceux-ci ne peuvent s exprimer que par l intermédiaire des pratiques de base où les quotas d athlètes sont importants et les conditions de qualification assez faciles (athlétisme, natation, boxe, judo). La prise en compte des succès (que nous avons déterminée à partir des huit premiers de chaque épreuve) a amplifié ces contrastes. L engagement d équipes puissantes (en termes d athlètes et de succès) est le fait de quelques pays. La répartition spatiale de ces différents éléments se traduit globalement par une opposition entre les nations riches et les pays en développement. Cependant, le facteur de développement économique n explique pas tout. La taille démographique des pays agit également mais en effet de seuil. C est-à-dire que les pays peu peuplés et ce quel que soit leur niveau de richesse ont bien dû mal à s exprimer. La tradition sportive est également déterminante. Elle trouve son origine dans l histoire des pays. Cet élément est le fruit de la culture des peuples et/ou de l incidence de la politique des Etats. Cela aboutit souvent à un phénomène de spécialisation sportive qui est le premier indicateur de la stratégie des CNO Nicolas Chamerois 5

6 Extrait 2. Carte 2 : le poids des CNO en inscriptions par sport en 2000 Près des deux tiers de la communauté n arrivent pas à être représentés dans plus de cinq sports. Cet élément exclut une grande partie de l Afrique, de l Amérique, de l Asie et de l Océanie. L Europe est la seule à recenser une présence massive des CNO entre 10 et 20 sports. Au-delà de ce seuil peu de nations (15) sont concernées. Cette distribution inégale témoigne de la difficulté pour les pays d accéder aux compétitions sur leur valeur propre. 4. Les Jeux Olympiques, éléments de prospective Les Jeux Olympiques ont connu un tournant entre 1988 et L effondrement du bloc communiste a eu pour incidence de moins politiser le déroulement des compétitions. Les relations entre l Est et l Ouest se sont pour l heure à peu près normalisées. Néanmoins, les comportements de la Chine et de Cuba montrent que certaines entités utilisent encore le sport à des fins essentiellement politiques. On retrouve un comportement identique pour les pays organisateurs qui établissent des stratégies de développement sportif et de préparation (la Grèce pour 2004). De même, le scandale survenu lors de l affaire de patinage artistique aux Jeux d hiver de Salt Lake City (à la suite du classement de l épreuve de couple où les Canadiens s estimaient lésés au profit du vainqueur russe) a réveillé temporairement les vieilles rancœurs entre les USA et la Russie. La dimension politique est donc toujours présente, même si elle est maintenant sous-jacente Nicolas Chamerois 6

7 Il ne semble pas que les JO soient menacés par des boycotts comme cela fut le cas par le passé. La stabilisation de la politique mondiale a permis au CIO de développer un peu plus son événement en introduisant de nouvelles épreuves. Cependant, l arrivée des nouveaux pays et l augmentation régulière des compétitions a mis en péril la manifestation olympique. Le CIO, dans le souci de préserver les Jeux, semble vouloir réorienter sa politique, en fixant un nombre limite d athlètes et un programme plus souple concernant le format des compétitions. Les nécessités de restreindre le coût d organisation et de se conformer aux impératifs médiatiques (notamment les télévisions qui sont parmi les premiers partenaires économiques du Mouvement olympique) nuisent à un élargissement géographique, en termes de participation et de succès, de l événement olympique. D une logique d approche géopolitique, nous glissons progressivement vers une approche géomarketing. Cette stratégie ne peut pas favoriser l élargissement de la participation et des succès. Au contraire, le nombre d athlètes ne devant pas évoluer, c est la place de l élite qui sera renforcée. En résumé nous pouvons en conclure que le monde olympique est un monde paradoxal qui est à la fois fier de réunir l ensemble des nations autour de la même fête, mais qui voudrait en même temps privilégier l élite pour des raisons de visibilité. Apparemment, l avenir des Jeux ne va pas dans le sens d une réelle mondialisation, à moins que les instances sportives aident les moins bien lotis à se développer. Cette thèse a notamment été déposée auprès de la Bibliothèque du Musée Olympique Lausanne. Pour toute information complémentaire concernant ce travail, merci de contacter le Service des Relations Extérieures du Centre d Etudes Olympiques : studies_centre.museum@olympic.org ou par fax au +41 (0) Nicolas Chamerois 7

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